Un bon job : Chapitre 8 : Séance de minitel rose Partie 1
Ce matin-là, Marc monte dans le bureau de sa patronne pour faire viser un devis qu'il vient de finir. C'est avec un sourire reflétant son contentement qu'il frappe et entre dans le bureau directorial. Sa patronne est derrière son bureau, fort occupé sur son Minitel à priori. C'est tout juste si elle salue son jeune employé, tellement elle semble absorbée par son activité sur le petit écran. Après les formalités d'usage, le jeune homme s'approche du bureau, le contourne pour aller embrasser sa directrice, mais s'arrête près de l'appareil allumé, pour regarder l'écran.
- Eh bien Marie-France ! Tu fais du Minitel rose ce matin ?
- Et alors, ça te gêne en quoi, dis-moi ? Répond sèchement la belle blonde, sans détourner ses yeux.
- Non, non ! Cela ne me gêne pas du tout, déclame le jeune homme, cherchant à masquer son trouble.
Il vient de remarquer que sa patronne a la jupe relevée, qu'elle ne porte pas de culotte. Mais ça, le jeune homme commence à s'y habituer. Elle se caresse la moule impudiquement d'une main, pendant que de l'autre, très agile, elle tape sur le clavier avec dextérité. Un peu énervé tout de même, il demande d'une voix, qui trahit son agacement :
- Tu me signes mon devis ?
- T'es bien pressé ! Ce devis n'est pas urgent, il attendra mon bon vouloir. Alors, prends une chaise et viens t'asseoir près de moi, mon grand.
- Bien patronne, acquiesce le jeune employé, en allant chercher la chaise placée devant le bureau.
Une fois installé, il regarde l'écran d'un œil curieux en posant une main sur la cuisse de sa directrice.
Celle-ci se laisse faire, la douce chaleur de cette main sur sa peau, un peu fraîche, lui donne un petit frisson. N'y prêtant qu'une attention secondaire, elle continue à taper frénétiquement sur son clavier, tout en cajolant son clitoris durci.
- Regarde, derrière ce pseudonyme 'msve' je crois reconnaître un type que j'ai connu par le passé, un drôle de vicieux, mais tout se passe dans la tête avec lui.
- Ah bon ! Mais je ne te savais pas soumise, ma belle, rétorque le jeune homme, dans un sourire complaisant.
- Non, non, rassure-toi, mais je vais jouer son jeu. D'ailleurs, je vais faire monter Sylvie. Puis, joignant le geste à la parole, elle décroche son téléphone et compose le numéro du standard.
- Fais-toi remplacer au standard et monte après, ma belle, dit simplement la blonde à la jeune et belle rousse.
- J'arrive tout de suite, répond cette dernière, toute émoustillée par l'appel, qui lui fait miroiter une chaude matinée.
Quelques minutes plus tard, Sylvie frappe à la porte.
- Entrez, ordonne la directrice d'une voix calme et ferme.
La jolie rousse fait son apparition dans le vaste bureau. Elle referme consciencieusement la porte après son passage, puis vient saluer sa patronne et maîtresse d'un chaste baiser. C'est seulement ensuite qu'elle dépose un autre baiser sur la bouche de son jeune collègue dont elle est un peu jalouse, qu'il ait déjà la main sur la jambe de sa patronne.
- Parfait ! Les congratulations étant faites, je vais t'expliquer pourquoi je t'ai fait venir, ma belle chérie, déclare la directrice, sans lever les yeux de son appareil.
Sylvie ne bouge pas. Elle se demande quel nouveau jeu sa patronne va encore inventer, surtout que la présence de Marc ne la rassure pas vraiment. Bien sûr, elle aimerait être seule avec ce beau jeune homme, mais quand il est entre elle et sa maîtresse, elle redoute le pire.
- Voilà ! S'exclame la blonde, j'ai expliqué la situation présente à mon ami sur le Minitel. Je lui ai dit qu'il pouvait ordonner ce qui lui passait par la tête, et que vous seriez, mes chéris, tout prêt à exécuter ses vœux, même les plus salaces.
- Mais... C'est que j'ai encore plein de boulot moi, s'écrie le jeune employé, pour tâcher de se dérober à ce qu'il ressent comme une drôle de matinée en perspective.
- T'occupe... Qui est la patronne ici ? S'esclaffe la blonde, d'un ton ne laissant aucune possibilité de réponse.
Le jeune homme se tait donc, puis il tourne son regard vers sa compagne d'infortune et lui adresse un sourire malheureux.
Un silence pesant règne dans la pièce, seul le déclic des touches anime la scène pour le moment. Les deux employés n'osent pas interrompre leur directrice. Tout à coup, relevant la tête, cette dernière s'adresse à sa standardiste :
- Bien, retire ta culotte tout en gardant ta jupe maintenant.
- Tout... Tout de suite ? Interroge la rousse, très surprise.
- Ben oui ! Allez, magne-toi le cul salope, s'énerve la belle blonde en regardant son employée, qui ne met visiblement pas d'ardeur à exécuter son ordre.
Sylvie remonte alors sa jupe, et d'un geste précis, mais sans poésie, retire sa culotte de soie rose. Elle la fait glisser lentement le long de ses grandes jambes gainées de bas noirs. Et, avant de repousser le fin vêtement du pied, réajuste sa jupe.
Le jeune homme regarde sa collègue se dévêtir en se disant qu'il ferait bien un petit galop d'essai, avec une si belle jument.
La directrice reprend sa frappe sur le clavier, puis, fixant toujours l'écran, attend la réponse de son correspondant. Un sourire éclaire le visage de la blonde, lorsque la réponse attendue arrive enfin. Elle lit attentivement le message, puis se retourne vers la jolie rousse et lui dit, tout en lui tendant son stylo plume :
- Lèche mon stylo, chienne.
Sylvie prend délicatement l'objet dans ses grands doigts fins et le porte à ses lèvres qu'elle entrouvre juste suffisamment pour sortir sa langue. En regardant sa patronne, d'un œil vif et malin, elle commence à lécher doucement le bout du stylo. Elle se caresse les lèvres avec l'objet froid qui commence à se réchauffer lentement.
Marie-France admire sa copine et rend compte de tous ses faits et gestes à son mystérieux correspondant. Elle décrit la scène avec emphase, tant et si bien, qu'elle est obligée d'envoyer plusieurs messages d'affilée. La réponse de l'occulte minitéliste ne se fait pas attendre, après l'avoir lu, la blonde s'adresse à nouveau à sa standardiste :
- Très bien. Maintenant viens te vautrer sur le coin de mon bureau, vite.
Sylvie vient se placer, comme il lui a été demandé. Elle se plie en deux et allonge son buste sur le bureau de bois, tout en écartant ses grandes jambes.
- Relève-lui sa jupe, que l'on puisse admirer son cul de gouine, Marc, lance la blonde, à son jeune employé.
Le jeune homme se lève et vient exécuter la consigne.
Précautionneusement, il remonte la jupe en faisant bien attention à ne pas la froisser. Il laisse traîner ses doigts sur la peau douce et légèrement fraîche des fesses rebondies.
- Continue de sucer mon stylo, salope. Je ne t'ai pas dit de t'arrêter, si ! Laisse tomber la blonde, sur le ton ferme du commandant.
La belle rousse reprend alors son manège. puis, estimant qu'elle se devait de faire encore mieux, elle enfonce l'objet dans sa bouche suave et commence une longue succion. Elle fait entrer et sortir le plume lentement, comme si elle avait une véritable bite en bouche.
Marie-France tapote toujours sur son clavier, elle raconte la scène à son énigmatique interlocuteur épistolaire. Elle continue de se caresser tranquillement la moule d'un doigt inquisiteur et expert. Elle aime à se passer ainsi un doigt entre ses lèvres sexuelles, doucement, en l'humidifiant de sa mouille abondante.
Marc regarde sa patronne, il est revenu s'asseoir à côté d'elle et a remis sa main tiède sur le haut de la cuisse. La bizarrerie du moment lui fait venir des idées salaces.
- C'est une bonne salope hein ! Dit Marc en pressant tendrement la cuisse, sous ses doigts et en jetant un coup d'œil vers la standardiste.
- Oui, d'ailleurs, tu vas aller lui foutre le stylo dans son cul de chienne, mon grand, explique alors la blonde.
Le jeune homme se lève lentement, presque comme dans un rêve, vient se placer juste derrière la belle rousse, attrape le stylo, que lui tend gentiment sa collègue, et pose sa main gauche sur le cul rebondi.
Au contact de cette main chaude, la belle se détend quelque peu, se trémousse et laisse son collègue lui écarter les fesses et creuse son dos pour mieux offrir encore son anus.
Marc admire la rondelle brunâtre, puis, d'un geste vif et précis, enfonce sans ménagement le stylo tiède et couvert de salive dans le petit trou offert. Il fait pénétrer l'objet progressivement, mais fermement, et ne s'arrête que lorsqu’il estime que le plume est correctement positionné.
Sylvie est ravie de la manœuvre. Elle aime autant être l'objet de ce beau jeune homme, que de sa maîtresse lubrique.
- Ah le salaud ! S'écrie subitement la belle blonde.
Puis, se retournant vers son employé, elle ajoute, d'une voix qui se veut calme, alors qu'elle semble être assez excitée par ce qu'elle vient de lire :
- Va dans le meuble sous la télé et prend l'anus-picket qui s'y trouve, ramène aussi le tube de vaseline, qui doit être à côté.
Marc se lève et se dirige vers le meuble bas, arrivé devant, il se baisse et ouvre un premier tiroir, qui n'est, bien sûr, pas le bon. Au deuxième, la chance lui sourit et il trouve l'ustensile. Effectivement, il y a bien aussi le tube de vaseline. Marc s'empare des deux objets et retourne vers sa directrice. Une fois à ses côtés, il lui tend aimablement l'ensemble.
Le plug rose en caoutchouc fait une vingtaine de centimètres de long, terminé, comme il se doit, par une base plate et flexible. Le haut du jouet fait deux centimètres de diamètre, et sur quinze centimètres, il va grossissant pour atteindre quatre virgule cinq centimètres de diamètre, puis se rétrécit très vite.
- Enduis le plug de vaseline, mon grand, dit la patronne, sans détourner les yeux de son écran et tout en continuant à se caresser le minou.
Le jeune employé dévisse donc le bouchon du tube de pommade grasse. Puis, presse dessus pour en extirper une belle noisette, qu'il applique sur le plug. Il rebouche la vaseline, et la repose sur le coin du bureau. Il vient se positionner tout juste derrière la belle rousse, puis interpelle sa patronne :
- Et maintenant, Marie-France, je fais quoi ?
- À ton avis rigolo, tu veux que je te fasse voir comment enculer une salope maintenant ? Répond très sèchement la blonde sans quitter un instant des yeux son écran.
Marc écarte doucement les fesses, de la standardiste rousse, d'une main experte, pour dégager l'anus rond. Il applique le bout du plug sur le sphincter, puis appuie délicatement, mais de plus en plus fort tout de même, pour le faire entrer.
Au début, la belle Sylvie est aux anges. Puis, l'engin allant toujours plus loin, et de ce fait le diamètre augmentant, elle commence à ressentir un certain malaise. Puis, une petite douleur qui s'amplifie très vite. Quand le plug est au trois quarts de sa course, la rousse commence à vouloir resserrer ses fesses, mais, voyant qu'elle ne peut y arriver, commence à se plaindre à son collègue :
- Aie ! Tu me fais mal !
- Ta gueule, pétasse ! Intervient brusquement la blonde.
- Mais, ma chérie, ça fait très mal là ! Se plaint Sylvie dans un demi-sanglot qui n'est pas feint.
- Et alors, connasse, souffre en silence ou je vais chercher la cravache...
La belle directrice continue de taper sur son clavier, puis, s'arrêtant un bref instant, jette un œil par-dessus le Minitel et s'en prend maintenant à son jeune employé :
- Et toi, Marc, tu n'as pas à écouter ses gémissements de gouine, ne t'occupe de rien et fous-lui le plug dans son cul, c'est tout ce que je te demande, alors tu exécutes et vite encore !
- Bien patronne, répond tout simplement le jeune homme, sachant pertinemment que s’il n'obéit pas aux ordres, ce sera lui, la prochaine victime.
L'homme continue donc son geste en forçant de plus en plus. Le plug s'enfonce toujours plus loin en écartant toujours plus le sphincter de la belle rousse.
D'un coup de rein, la belle Sylvie se dégage de sa position en criant qu'elle n'en peut plus et qu'elle souffre trop.
La directrice se lève d'un seul mouvement, vient se placer en face de sa standardiste à moins de trente centimètres de son visage. Là, sans mot dire, elle la gifle de toutes ses forces. La claque assomme à moitié la jeune femme, puis la patronne renchérit :
- Maintenant, c'est fini, tu te mets à ta place, et tu prends le plug dans ton cul de sale pétasse et tu ne m'emmerdes plus, compris chienne ?
- Oui Madame, réponds juste la pauvre Sylvie en pleurant.
Puis, elle revient s'installer comme précédemment, mais visiblement sans y mettre autant d'ardeur, que la première fois.
Marie-France attrape sa standardiste par la nuque, et, sans mot dire, dans un mouvement violent, plaque la face de la rousse sur son bureau en disant d'une voix terrible :
- Dernière édition salope !
Elle jette un œil noir sur la standardiste apeurée, pour vérifier que cette dernière exécute, bien et vite, maintenant, ses ordres.
Sylvie écarte immédiatement ses grandes jambes et tend son cul bien en arrière, elle reste bien plaquée contre le bureau comme si elle espérait quelque protection du mobilier.
Marc comprend que vraiment, ce matin, il n'est pas question de plaisanter. Que de toute façon, soit lui, soit sa collègue, va en prendre plein la figure, et que finalement, il estime que pour lui, il est mieux que ce soit sa collègue qui trinque. Aussi, fort de cette idée, il revient se placer derrière la rousse immobile, remet sa main droite sur le postérieur de la belle, écarte les fesses rebondies, et enfonce d'un coup le plug jusqu'à la garde.
Cette fois, la belle Sylvie ne peut s'empêcher de pousser un grand cri de douleur. En entrant, le jouet de caoutchouc a détendu, d'un coup, le sphincter. Elle sent maintenant le petit muscle rond se resserrer autour de la base du plug pour l'emprisonner. La base du jouet est maintenant plaquée contre ses fesses. Le long cône dans ses entrailles repoussent ses excréments plus en aval dans le gros côlon. Car ce matin, ne sachant pas le programme de la journée, la belle Sylvie ne s'est pas fait de lavement.
Marie-France est revenue sur son fauteuil, devant son Minitel. Au passage, elle en a profité pour retirer prestement sa jupe et est donc maintenant les fesses nues sur le cuir chaud. Sa main droite vient rapporter les événements en plusieurs messages à l'attention du mystérieux correspondant télématique. Sa main gauche est retournée sur son clitoris pour le cajoler et humidifier la grotte féminine.
Le jeune homme se tient en léger retrait par rapport à sa collègue, qui gémit encore. Il ne se permet pas de parler à sa patronne, pour lui demander quelle est la suite du programme, de peur de représailles.
D'un coup, la directrice lubrique se penche sur le côté du Minitel et regarde l'homme à la hauteur de la taille, puis, dans un sourire sadique, lui dit d'une voix ferme :
- Défais ta ceinture en cuir Marc.
Après un premier temps d'hésitation, le jeune homme commence à défaire son accessoire comme demandé. Une fois qu’elle est enlevée, il interroge sa patronne du regard.
- Attends, je vais te montrer, dit la directrice en se relevant et en s'approchant de son collaborateur.
La blonde prend la ceinture par la boucle et l'enroule de plusieurs tours autour de sa main. La langue de cuir, d'une trentaine de centimètres, semble être la rallonge naturelle, de son bras. La directrice vient se placer à deux pas de sa standardiste, les jambes légèrement écartées, le bras gauche le long du corps, un sourire vicieux sur son visage. Après une profonde aspiration, elle lève son bras droit bien haut, puis abat sans retenue le morceau de cuir sur la fesse droite de sa pauvre employée, qui pousse un cri sous la morsure de la lanière.
- Ferme ta gueule, pétasse, je ne tiens pas à ce que tu alertes toute la baraque ! Ordonne fermement la patronne lubrique.
- Mais ça fait terriblement mal, Marie-France, se plaint la belle rousse dans un sanglot.
- Si tu ne fermes pas ta grande gueule, c'est sur ta chatte de gouine, que tu prendras les coups, connasse, répond sèchement la belle blonde, en déroulant la ceinture pour la donner au jeune homme.
Marc se saisit de l'accessoire et fait comme il vient de le voir. Il ressent une bizarre impression, lui rappelant la folle soirée en Normandie, en compagnie de la bonniche. Il suit des yeux sa patronne qui retourne s'asseoir, et vient ensuite se placer, comme il a vu faire précédemment. Là, il attend sagement la suite des événements.
La blonde patronne s’installe à nouveau dans son fauteuil, reprend son dialogue Minitel. De longues minutes passent, juste entrecoupées des sanglots étouffés de la belle standardiste, qui ressent toujours la brûlure sur sa fesse droite et du cliquetis des touches de l'appareil. Puis, d'un coup, la directrice apostrophe son employé servile :
- Donne cinq coups de ceinture sur la fesse gauche Marc.
- Bien patronne, répond machinalement le jeune homme, en levant son bras.
Cinq fois de suite, il abat la ceinture sur la fesse rebondie de sa collègue. Les premiers coups sont portés sans force, mais, la griserie du moment aidant, le jeune homme s'enhardit quelque peu, et finit par porter les coups avec force.
Marie-France se rend compte, aux sons de la lanière sur la chair tendre, que les coups sont de plus en plus forts. Les petits cris étouffés de la belle rousse, sont également de plus en plus longs et plaintifs d'ailleurs. La belle blonde commence à être très excitée, par le jeu dicté par son correspondant.
Sylvie a les yeux fermés, ses fesses brûlent maintenant, elle a honte d'être ainsi malmenée, mais par ailleurs, elle se sent excitée aussi, par ce douloureux jeu. Lorsque le cuir s'abat, la brûlure est presque instantanée, mais peu à peu, cette brûlure s'estompe, en laissant place à une sensation très bizarre, mais pas du tout déplaisante. Aussi se calme-t-elle le plus possible, pour pouvoir être encore plus réceptive à la suite des événements.
Marie-France ouvre son tiroir et en extirpe deux petites pinces crocodiles métalliques. Puis, elle les tend à son employé en disant juste :
- Déshabille cette salope et pose ces pinces sur ses tétons.
- Debout chienne, lance le jeune homme, à l'attention de sa collègue, tout en se saisissant des objets, que lui donne sa patronne.
La belle rousse se remet debout et droite, les bras le long du corps, elle garde les yeux bien fermés, comme si cela pouvait la protéger de la douleur. Elle fait trois petits pas en arrière pour ne pas être trop près du bureau. Elle est très excitée, mais son grand corps tremble tout de même, non pas de froid, mais de cette appréhension, qu'elle ressent au plus profond d'elle-même. Le plug est toujours profondément placé dans son anus et se fait rappeler à son bon souvenir, lors de son déplacement.
Marc se place devant sa partenaire, il admire pendant quelques instant la plastique de la belle rousse. Dans un geste précis, il ouvre la fermeture Éclair de la jupette et fait glisser cette dernière le long des jambes droites. Ensuite, dans son élan, il défait très vite les boutons du chemisier et retire le délicat vêtement. Le soutien-gorge prend très vite, également, le même chemin que le reste. Puis, Marc s'empare du sein droit avec sa main gauche. Il ouvre la pince de son pouce et de son index droit, puis amène l'objet au niveau du téton qui pointe déjà. Il positionne la pince, et relâche doucement son étreinte, pour laisser les ressorts de l'outil fermer la mâchoire d'acier luisant, sur le téton.
La morsure sur son téton droit, tire encore une longue plainte de la bouche de Sylvie. Heureusement que la chaleur de la main droite, de son ami, la console un peu. Quelques instant s'écoulent ainsi, puis elle sent la main chaude se retirer.
Marc attrape maintenant le sein gauche, il en profite pour le pétrir un peu avant de réparer la deuxième pince. Puis, sans prévenir, il amène la pince et la relâche brutalement, avec beaucoup moins de précautions que la première fois.
La rousse pousse encore un petit cri, celui-ci est plus plaintif que le premier, et de fines larmes pointent à la commissure des yeux fermés. Le fait de se sentir ainsi soumise à son collègue et ami, et à sa patronne et amante, la met dans un état second et très difficile à décrire, tant les émotions et les idées se mêlent. L'étrange mélange de douleur et de plaisir fait frissonner la belle rousse. Elle sent son vagin se remplir de cyprine et cette dernière s'échapper doucement en coulant le long de ses cuisses, bien faites.
La folle directrice ne perd pas une miette du spectacle, puis, sans mot dire, elle se remet à tapoter sur son clavier, pour rendre compte à son interlocuteur des dernières avancées de la journée. Elle dépeint avec grandiloquence la scène qui se déroule sous ses yeux. Elle explique comment se tient sa belle standardiste, comment son jeune employé vient de lui poser les pinces crocodiles.
Marc se rend compte que le sexe rasé de sa copine rousse, avec juste une petite touffe de poils au-dessus des grandes lèvres, laisse échapper quelques gouttes de cyprine, il s'accroupit devant la standardiste, examine en détail sa chatte, puis ayant eu l'assurance de sa première impression, dit à l'attention de sa patronne :
- Elle mouille, la salope !
- Bien, nous allons calmer ses ardeurs alors, répond la directrice, dans un sourire malin.
Marie-France explique à son correspondant que la rousse mouille tout debout. A priori, la réponse vient rapidement, et elle la lit à son employé :
- Il faut alors lui donner trois coups de ceinture sur chaque sein, de façon alternée.
- Bien maîtresse, laisse échapper Marc d'un ton toujours plus bizarre.
Il vient se placer devant la standardiste qui a toujours les yeux fermés, exécute un moulinet en l'air avec la ceinture, puis laisse cette dernière s'abattre violemment sur le sein gauche de la pauvre rousse.
Sylvie pousse un cri de douleur au contact du cuir froid sur la chair tendre de son nichon. Mais, se souvenant de la mise en garde de sa patronne, abrège ses gémissements et attend encore les cinq autres coups, qui doivent arriver. Elle sent ses jambes trembler. Elle a envie de mettre ses mains devant sa poitrine, pour se protéger, mais elle s'y refuse, connaissant, que trop, le résultat de pareil mouvement. Aussi, passe-t-elle ses mains derrière son dos, les joint, et serre le plus fort possible, comme pour contrebalancer la douleur qu'elle ressent.
Marc contemple la marque rouge sur le sein blessé, puis, sans prendre de grands élans cette fois, il assène un autre coup de ceinture sur le sein droit, cette fois. Ce coup est maintenant porté de manière plus cinglante. La ceinture enferme le sein pendant un très court instant.
Marie-France suit avec intérêt toute la scène, qui se déroule sous ses yeux. Elle adore voir sa standardiste ainsi malmenée, et surtout, son jeune employé s'abandonner si bien, à ses jeux un peu fous, mais si excitant. Elle se rend compte, avec bonheur, que l'homme lui convient parfaitement et qu'elle pourra aller encore bien plus loin avec lui.
La rousse serre les dents et les poings, tant et si bien, que ses ongles marquent les paumes de ses mains. Ses tétons pincés lui font moins mal, lui semble-t-il, mais la brûlure du cuir, est elle, bien présente.
Marc, pris dans le feu de l'action, serre plus fort la ceinture dans sa main puissante, dans un enchaînement précis, il fouette le dessous du sein gauche, puis le dessous du sein droit, l'action ne durant pas plus de deux secondes en tout.
Sylvie pleure maintenant en silence, lors des deux derniers coups, elle a ressenti, outre la brûlure du cuir, les pinces bougeant sur ses tétons. Elle ne comprend plus rien, elle souffre, c'est indéniable, mais en plus, elle sent qu'elle est toute mouillée. Elle sent ses larmes couler sur ses jolies joues, et sa cyprine le long de ses grandes jambes. Elle profite du moment pour écarter un peu ses gambettes.
Le jeune homme enroule, d'un tour supplémentaire, la ceinture autour de sa main. Il s'approche de sa proie, et donne un coup sur le sein droit. La langue de cuir effleure cette fois la chair meurtrie. Il recule d'un pas, et contemple les zébrures sur les nichons de sa collègue. Puis il s'approche à nouveau, et donne le dernier coup sur le sein gauche, mais cette fois de toute sa force.
La rousse ne peut pas s'empêcher de pousser un cri sous le dernier coup. Ses seins enflammés la torturent, ses tétons pincés lui font mal à nouveau, seuls, ses fesses lui semblent maintenant chaudes, mais ne la brûlent plus. Elle n'est presque plus gênée par le plug, toujours bien en place dans son cul, mais qui n'en continu pas moins, à lui dilater l'anus.
- Bien mon mignon, arrête maintenant, dit la belle Marie-France, à son employé zélé.
Sans un mot, Marc vient se placer à côté de sa patronne, en attendant la suite des événements.
La directrice continue de rendre compte des moindres faits et gestes de la scène, qui se déroule dans son grand bureau. Puis, ayant reçu visiblement de nouvelles instructions, elle lève la tête, fixe une demi seconde sa standardiste et dit d'un ton impérieux :
- Couche-toi par terre sur le dos, salope !
Sylvie exécute immédiatement l'ordre qui vient de lui être intimé. Quand elle s'accroupit, le plug se rappelle à son bon souvenir et lui vrille les entrailles, pourtant elle ne dit rien. Elle pose ses mains derrière elle avant de s'asseoir par terre, puis s'allonge sur le dos, les jambes tendues, les bras le long du corps.
- Je la veux plus offerte que ça. Marc, va t'occuper de cette sale gouine mon lapin, dit Marie-France en ayant suivi tout le mouvement de la belle rousse et en commençant à le décrire sur son Minitel.
- Comme je veux, patronne ? Demande le jeune homme de peur de faire une ânerie.
- Oui, et dépêches toi, rétorque la directrice lubrique, sur un ton menaçant.
L'homme vient se placer juste à côté de la belle rousse, il la regarde pendant quelques courts instants, puis se baisse. Il attrape le genou droit de la jeune femme, le porte à la hauteur des seins et dit d'un ton sec :
- Tiens ça pétasse.
Sylvie passe sa main droite sous sa cuisse et retient ainsi sa jambe pliée.
Marc, sans la moindre douceur, appuie sur le genou pour que la jambe soit écartée sur le côté, puis, il attrape l'autre genou et exécute la même opération. À nouveau, il s'adresse à sa collègue soumise, d'une voix ferme :
- Tiens ta jambe gauche aussi, connasse.
La standardiste passe sa main gauche sous son genou et écarte, cette fois d'elle-même, sa jambe. Dans la position où elle se trouve, elle exhibe impudiquement sa chatte baveuse aux regards de tous. Les tétons sont toujours droits et équipés des pinces crocodiles, qui les maltraitent. Le contact de la moquette sous la peau de son dos, la rassure quelque peu.
On peut apercevoir facilement la base du plug en caoutchouc qui semble écarter les fesses de la belle brune. Les pinces montent et descendent au rythme de la respiration de la jeune femme, qui a toujours les yeux fermés, mais qui semble plus paisible maintenant.
La blonde Marie-France est toujours devant son Minitel, la main droite pour taper sur son clavier, la gauche pour s'occuper de son clitoris en feu.
Le jeune homme est, quant à lui, revenu à côté de sa patronne, debout, la ceinture encore autour de sa main droite, bien campé sur ses jambes puissantes. Il aimerait bien pouvoir lire l'écran, mais il lui parait plus prudent de n'en rien faire pour le moment. Il lit sur le visage de sa patronne, toujours ce même sourire sadique, qui ne lui dit rien qui vaille. Cependant, il sent bien son sexe gonflé dans son pantalon, et la vue de sa collègue, ainsi offerte, lui donne encore d'autres idées, plus folles les unes que les autres. Aussi s'en ouvre-t-il à la blonde :
- Tu sais, Marie-France, j'aimerais beaucoup aller la piner, cette salope de Sylvie, dans la position où elle est, qu'en dis-tu ?
- J'en dis que j'ai la chatte en feu, et que tu vas passer sous le bureau, pour me manger la moule, comme tu sais si bien le faire, mon mignon.
Le jeune homme ne se fait pas prier, il passe devant le bureau en retirant la ceinture qu'il tenait toujours autour de sa main droite et la laisse tomber sur le sol. Puis, il s'accroupit, se met à quatre pattes et vient se placer entre les jambes de sa directrice. Là, il pose ses mains sur le haut des cuisses, approche son visage de ce sexe parfumé, et commence par embrasser cette vulve gluante.
Marie-France se cale dans son fauteuil pour offrir, mieux encore, sa chatte à cette langue experte et douce, qui ne devrait plus trop tarder à s'insinuer dans son vagin brûlant. Elle attend également la réponse à un mystérieux message qu'elle vient de passer, à son correspondant télématique.
Marc sort maintenant sa langue et vient flatter les chairs tendres de la vulve. Sa langue glisse doucement dans ce pays de cocagne, qu'est le sexe de sa patronne. Il se régale de toute cette cyprine tiède qui enduit sa langue experte.
Pourtant, le plaisir est de courte durée, à la réception de son message sur le Minitel, la blonde ordonne d'une voix sèche :
- Arrête et viens… Je vais te montrer comment, tu vas t'occuper de cette chienne en chaleur.
Et dans ce même temps, la directrice se relève de son siège en laissant Marc quelque peu abasourdi, et vient se placer devant son bureau. Là, elle ramasse la ceinture et l'entoure à nouveau autour de sa main.
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