Train de nuit 01 (2002)

  


C'est le début des vacances pour Sophie, une jolie fille du nord, qui vient de fêter ses vingt ans. Elle n'est pas très grande avec son mètre soixante-cinq, mais elle est très bien faite. De plus, ses yeux verts allument la convoitise dans le regard des hommes et ça, elle s'en est aperçue déjà, depuis pas mal de temps et on peut même dire, qu'elle en joue assez souvent.

C'est la première fois, qu'elle part ainsi en train de nuit, toute seule. Depuis deux ans, elle part en vacances, avec ses copines de fac, mais cette année, elle a choisi l'aventure, l'inconnu. Fille de famille, elle ne part, tout de même pas, en bohémienne. Sa place est déjà réservée dans un club, en bord de Méditerranée, où elle compte bien s'initier à la plongée sous-marine et qui sait, peut-être trouver un beau garçon, à l'accent chantant.

Elle est émoustillée par ce voyage solitaire, qu'aucune contrainte ne vient ternir. Cette liberté est telle, qu'elle ne sait pas encore trop comment faire pour la dompter, aussi, le train à peine parti, elle se met nue au lit, espérant que le voyage sera plus rapide. Et puis, elle n'a pas envie de passer du temps avec la voisine, de ses parents, qu'elle a salué en montant dans le train. Cette femme est si bavarde, qu'elle imagine facilement les discussions interminables et stériles, qu'elle risque à la rencontrer dans le couloir.

La nuit est chaude, elle n'a mis que le drap par-dessus elle et encore, elle a la jambe droite qui est dégagée presque entièrement.

C'est plongée dans la lecture du fameux roman sulfureux "histoire d'O" qu'est la jeune fille, quand des coups sourds sont frappés sur la porte métallique. Ils la font sursauter. Elle questionne timidement :

- Oui, qui est-ce ?

- Contrôleur, Mademoiselle !

Sans se lever, elle pose son livre à l'envers sur le drap, tend le bras et déverrouille la porte. Elle attrape son sac à main qui est à ses côtés et fouille dedans pour en extraire, finalement, le billet.

Un grand bonhomme, d'une trentaine d'années, entre à demi dans le compartiment. Il se baisse pour voir la fille et la salue :

- Bonsoir Mademoiselle, votre billet s'il vous plaît ?

- Tenez... !

Elle vient d'apercevoir les yeux d'un bleu lumineux, qui la détaillait auparavant, et elle sourit gentiment. C'est vrai, qu'elle le trouve plutôt mignon, ce contrôleur, rien à voir avec l'image d’Épinal du vieux contrôleur, tout rond. Cet homme est grand et costaud, svelte, mais musclé très certainement, ses cheveux sont d'un blond, qui fait penser aux surfeurs des feuilletons américains.

- Eh bien, mais vous n'êtes pas dans le bon compartiment, Mademoiselle, c'est assez gênant, ce compartiment est réservé par des gens qui doivent monter à Troie.

- Aïe ! J'ai dû me tromper, veuillez m'excuser Monsieur, mais n'est-il pas possible d'inverser les compartiments, maintenant que je suis installée ?

- Ah non ! Ça, c'est impossible, le règlement l'interdit, et vous savez, souvent, les gens réservent telle ou telle cabine, par nostalgie, ou parce qu'elle leur rappelle une lune de miel, ou une rencontre...

- Oh Monsieur, s'il vous plaît, ne pourriez-vous pas expliquer à ces gens que je dors par exemple ?

- Vous en avez de drôles, vous ! Si vous croyez que c'est si simple. Et en cas de réclamations, je serais alors mis à pied pour faute, merci bien, je n'ai pas envie de perdre mon boulot !

- Allez... Dit encore Sophie, en prenant un air de chien battu.

- Non, c'est impossible. Je peux vous aider à déménager, mais je ne peux pas vous laisser ici, j'en suis vraiment navré, Mademoiselle !

- S'il vous plaît…

- Non, tonne cette fois François, qui commence à être exaspéré par cette petite grue, qui joue les saintes-nitouches, alors qu'elle est visiblement nue sous le drap léger, car il s'aperçoit bien des volumes, à travers le fin tissu.

Durant ce dialogue, le type est entré complètement dans le compartiment et a repoussé la porte.

La jeune fille lui tend toujours son billet, il s'en empare et le poinçonne avant de lui rendre.

En rangeant son billet dans son sac, Sophie, ne s'occupant plus trop du drap qui lui masque sa poitrine, fait un tel mouvement, autant énervée de devoir changer de compartiment, que par la présence de ce bel homme, que le tissu glisse, laissant apparaître deux magnifiques seins, ronds et bien faits, dont les pointes sont érigées.

- Et vous dormez nue, en plus !

- Et alors, ce n'est pas interdit que je sache ?

- Non, mais cela dénote fort bien votre nature...

- Comment ça, ma nature, je vous prie ?

- Vous devez être une sacrée garce !

François, d'un coup d'épaule discret, vient de refermer complètement la porte sans trop de bruit, maintenant, il approche une main de cette poitrine si tentante.

- Comment ça, je suis une garce ?

Et, s'emparant du premier sein qui lui tombe sous la main, tout en le pressant, il poursuit :

- J'en ai vu des cochonnes dans les trains de nuit, mais des comme vous, qui me mettent leurs seins sous le nez, ça, c'est un peu fort, je trouve !

- Mais je ne vous mets rien sous le nez, le drap a glissé, c'est tout !

- Ben voyons ! Et je suis sûr encore, que vous ne portez même pas de culotte !

À ces mots, le contrôleur qui commence à être excité par la douce peau qu'il vient de tâter, s'enhardit à relever entièrement le drap. Puis, il poursuit sur un ton devenant dur :

- Et voilà, qu'est-ce que je disais, encore une folle de bites, qui voyage à la recherche d'un bon coup !

- Je ne vous permets...

- C'est bon ! j'en ai vu d'autres… ! Et que diraient vos parents s'ils apprenaient votre attitude ? Hum ?

- Mais...

- Pas de mais… ! Vous êtes une grosse salope en chaleur, et c'est tout, je connais. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas là pour vous empêcher de vous envoyer en l'air !

Durant tout le dialogue, le contrôleur n'a pas cessé de regarder cette jolie jeune fille, sous tous les angles qui lui étaient permis. Il a, par exemple, très bien remarqué qu'elle s'entretient régulièrement les poils du pubis, qui ne forment qu'une petite touffe raz, juste au-dessus de la commissure des lèvres. Il a le sang qui commence à bouillir, aussi finit-il par dire, avec une voix cassée, qui trahit l'état d'excitation dans lequel il se trouve :

- Mais t'as de la chance, j'aime ça, moi les salopes en rut... !

Est-ce les mots, est-ce le ton, est-ce la chaleur, est-ce le début des vacances ? Certainement un mélange subtil de tout ça, toujours est-il que Sophie éclate en sanglots.

- Voilà les larmes maintenant, tssss...

Et François rejette complètement le drap au pied de la couchette, dans un geste violent. Puis, il fixe, d'un regard noir, la pauvre jeune fille qui est devenue subitement blême.

- Fais-moi voir comment tu es faite, chienne !

Et à ces mots, il empoigne fermement la jolie brunette et, sans ménagement, la plaque sur son lit. De sa main libre, il écarte les jeunes cuisses bien faites, un rien rondes, et commente :

- Putain ! il y a eu du passage par ici, tu as la chatte toute dilatée...

- Mais...

Sophie en a plus qu'assez maintenant, au début, elle trouvait ça encore un peu amusant, mais là, vraiment, ça ne va plus du tout, aussi, tenue et ne pouvant pas vraiment se débattre, elle commence à parler très fort :

- Attention, je vais crier, salopard !

- Mais crie, connasse, tu es seule dans ce wagon !

Et alors, la pauvre jeune fille prend vraiment peur. Elle se met à crier de toutes ses forces.

La seule vraie réponse qu'elle obtient, c'est une grande gifle, qui l'assomme presque, tant elle est violente.

- Ferme ta gueule, pouffiasse !

Et l'homme lâche sa proie, une toute petite seconde, pour lui prendre les cuisses, juste au-dessus des genoux. Il la tire, sur le bord de la couchette, avec force.

Dans la manœuvre, Sophie se retrouve en travers de la couchette, en se cognant la tête contre la paroi métallique du compartiment. Cette fois, elle pousse un petit cri de douleur, car la tête a frappé durement. Tout va si vite, qu'elle ne sait même plus où elle en est, la pauvre fille. Elle reste presque sans réaction, face à ce monstre en uniforme.

François n'en reste pas là, après lui avoir écarté les cuisses, il repousse les jambes vers l'arrière. Ensuite, il bloque les deux jambes, de son puissant bras gauche et porte sa main droite, sur la vulve.

- Au secours ! Lance encore la jeune fille, mais cette fois, de façon bien moins convaincante.

- Vas-tu fermer ta gueule, pétasse ?

Et pour marquer encore plus sa désapprobation, il relève sa main droite et l'abat violemment ; tout de suite ; sur la totalité de la vulve.

Sous le coup, Sophie crie encore plus fort, mais très vite, elle se met à pleurer, autant par la douleur, que par la situation, qu'elle ne contrôle vraiment plus du tout et qui lui semble désespérée. Et, si elle aime faire l'amour, tout le temps et en tout lieu, elle a maintenant très peur, de ce monstre lubrique et craint même pour ses jours, tant l'homme semble fou.

Sans se soucier des pleurs de la jeune fille, le contrôleur écarte les grandes lèvres et passe l'ongle de son doigt, sur le clito, pour voir sa réaction.

- Non, non ! Se plaint encore la pauvre petite.

François n'en a cure, il s'aperçoit très vite, que cette façon de frotter le capuchon, le fait gonfler. Il teste alors l'humidité de la grotte féminine.

Le dur massage sur son clitoris, agace tout de suite, la belle Sophie, et tout de suite aussi, ou presque, elle commence à mouiller. Toute cette violence, toutes ces injures l'ont mise dans un état second, un état d'excitation bizarre, étrange, où chaque grossièreté de l'homme, la met en transe, et en même temps, l'énerve, lui donne envie de mordre, de crier, de le frapper. Elle ne sait pas exactement, ce qui se passe en elle, mais elle sent cette drôle de sensation mélangée, faite de haine et d'envie, de crainte et d'excitation, de peur et de curiosité, pour la suite des événements.

Bien sûr, elle souffre des coups et de la dureté du traitement, que lui inflige ce monstre, mais en même temps, elle voudrait le combler, lui obéir aveuglément, être sa chose. Elle voudrait être ailleurs parfois, puis la seconde suivante, elle aimerait être encore plus proche de son tortionnaire, plus câline, puis encore une seconde plus tard, elle pourrait le tuer sans remord.

François, n'est pas du tout dans le même état d'esprit. Lui, il teste cette jeune cochonne, qu'il sent prête à beaucoup, prête à aller encore bien plus loin, pour peu que l'on sache la prendre comme il faut.

Malgré son martyr, Sophie mouille abondamment, sous les coups de griffes, appliqués sur le clitoris, qui lui vrille tout le bas du ventre et enflamme toute la zone. Elle se surprend même, à pousser un petit râle de plaisir, alors elle fait attention à se retenir.

L'homme n'a pas ses oreilles dans sa poche, il comprend, bien que cette jeune salope, n’est pas loin de s'envoyer en l'air, aussi, il continue de plus belle en enfonçant son majeur, d'un coup sec, dans la chatte détrempée.

Sous cette introduction inattendue, la jeune fille pousse un petit soupir de plaisir. Sa respiration devient plus courte et plus haletante. Son bouton d'amour la brûle délicieusement et elle apprécie, qu'il ne soit plus mis à l'épreuve.

François, fait maintenant passer son index, en plus de son majeur, dans la moule ouverte et si accueillante. S'apercevant qu'aucune résistance ne vient contrecarrer son mouvement, il poursuit d'une voix sèche :

- Tu as vraiment dû en avaler des tonnes de bites ! Salope va...

- Enfoiré, vous n'avez...

- J't'emmerde, connasse… T'es une vraie pute, au con distendu...

Puis, retournant sa proie, le contrôleur vérifie maintenant l'anus. Et très vite, il se rend compte que, ce trou-ci est aussi le siège d'un passage régulier, car le muscle est avachi et l'entrée est un peu moins béante que de l'autre côté, mais toujours très ouverte, pour une femme d'à peine vingt ans.

Sophie se sent soulevée, puis rejetée sans ménagement, sur la couchette. Dans la position où elle est maintenant, elle ne peut presque plus crier, car elle a la tête plaquée sur le drap.

Enfouissant son majeur dans le cul de la belle, François s'exclame :

- Et tu as aussi le trou du cul, qui a beaucoup servi, à ce que je vois, chienne !

Seul, un râle étouffé se fait alors entendre. Décidément, la pauvre fille n'est plus que le jouet de ce monstre lubrique que, visiblement, rien n'arrête. Mais quelque part, peut-être au plus profond d'elle-même, cette situation, lui convient-elle assez. Cela fait déjà bien longtemps, qu'elle recherche chez ses amants, un homme qui puisse la guider vers de nouveaux plaisirs.

Maintenant, le vicieux contrôleur s'amuse à limer ce petit cul, avec son doigt, de plus en plus vite.

La caresse lubrique, commence à bien exciter Sophie, dont la respiration devient courte et hachée.

À ce moment, François, ressort prestement son majeur et le remplace aussitôt par son pouce, qui est au moins, deux fois plus épais, que le doigt.

- Aïe ! Tu me fais mal salopard !

- Tu penses... Tu as dû te faire enculer par un éléphant, ce n'est pas possible, d'avoir le cul aussi défoncé !

Et sur ces mots, il redouble de vigueur. Il pousse son gros doigt le plus loin possible, à le faire entièrement disparaître dans l'anus. Puis, pensant qu'il peut aller bien plus loin encore, il ressort son appendice et ordonne, d'une voix terrible :

- Mets-toi debout, que je t'observe sous toutes les coutures... !

- Mais, je ne vous permets...

- Fais pas chier connasse ! Debout et vite, si tu ne veux pas que je te jette par la fenêtre.

- Mais… Essaye d'articuler la pauvre jolie brune, tant elle vient de prendre peur.

- Allez… Plus vite que ça !

Et sur l'élan, il empoigne la pauvre fille par les cheveux et la tire en bas de la couchette.

Sophie fait un gros effort, pour ne pas tomber par terre, encore une chance qu'elle ne soit pas sensible du cuir chevelu. Mais telle qu'elle est menée, elle se retrouve, un peu à contrecœur, au milieu du compartiment, nue devant son tortionnaire.

- Tiens-toi droite !

Et, comme un automate, la belle se redresse. Elle se tient maintenant, bien droite, au milieu de la petite pièce, les bras le long du corps, les yeux fixes rivés sur le sol, un léger tremblement parcourt tout son être.

- Parfait ! Ajoute encore François en se levant et en faisant le tour de cette statue vivante.

Elle est perdue dans ses pensées et essaye de faire le point sur ce qui est en train de se passer. Elle est maintenant complètement mouillée par les caresses qu'elle a reçues alors, que ces mêmes caresses, ont tout sauf de la douceur. Elle tremble de peur, car elle craint bien que ce monstrueux mec, soit, bel et bien capable, de mettre sa menace à exécution.

Après deux tours de sa proie, l’affreux employé stoppe face à elle. Il s'empare de son téton gauche, le pince violemment et tire dessus comme s'il voulait allonger le sein.

La brune pousse un cri en relevant la tête et en faisant un pas en arrière.

Dans un premier temps, l'homme surpris de la vivacité du mouvement perd sa prise, mais tout de suite, il rattrape le téton et tire encore plus violemment dessus, pour remettre en place la jeune fille.

- Aïe, vous me faites mal, salaud...

- Ta gueule, pétasse.

Et pour couronner le tout, il lui fiche une cinglante claque, de sa main gauche.

C'en est trop pour Sophie, elle se met à éclater en pleurs et balbutie :

- Pourquoi, mais pourquoi donc ?

- Parce que tu n'es qu'une grosse pute, et parce que je veux que tu m'appartiennes, chienne en chaleur que tu es !

Et elle redouble de larmes, en enfouissant son visage dans ses mains.

- Et maintenant, arrête de pleurer, ou je te fiche une volée, dont tu te souviendras... !

Mais la fille ne l'entend même pas, elle pleure de douleur, car son téton lui fait un mal de chien, elle pleure sur son sort. Elle se rend bien compte, maintenant, que d'allumer les mecs a parfois des limites, et qu'elle a bien dû les dépasser, ce soir.

Au bout de dix secondes, voyant que rien ne calme cette jeune salope, François détache sa ceinture et la fait coulisser, dans les passants de son pantalon. Ensuite, il empoigne avec vigueur la jeune fille, s'assoit sur le bord de la couchette, la tire à lui et l'allonge sur ses genoux. Toute l'opération n'a pas durée plus de la durée d'un clin d’œil.

Sans vraiment comprendre comment, Sophie se retrouve le ventre sur les jambes de son tortionnaire, la tête presque au sol, les fesses en l'air. Elle pleure toujours comme une madeleine, ses larmes coulent sur le sol métallique.

- Je vais te faire goûter à ma ceinture, pour t'apprendre les bonnes manières !

- Non ! S'exclame la pauvre fille, en ramenant ses mains sur ses fesses.

Sans se soucier, outre mesure, des paroles de sa proie, l'employé entoure sa ceinture autour de son poignet droit, ne laissant dépasser qu'une petite vingtaine de centimètre de cuir, attrape les poignets de la fille de sa main gauche et ramène les fines mains, sur les reins, lève son fouet improvisé et l'abat violemment, sur les fesses rebondies.

- Aïe… Au secours… ! Crie la pauvre Sophie, en recevant le premier coup, qui lui brûle instantanément la peau.

- Tu peux toujours crier, connasse, personne ne voudrait prendre la défense d'une pute dans ton genre... !

Et tout en disant cela, il relève encore sa ceinture pour l'abattre aussi durement que la première fois, juste à côté de la première marque rouge, sur les fesses à sa disposition.

Un nouveau cri déchire le compartiment. La douleur est très vive, elle a l'impression qu'on vient de la faire asseoir, sur la grille d'un barbecue.

- Alors, tu gueules toujours, grognasse ? Attention, plus tu gueuleras, plus tu en prendras sur le cul, tâche de réfléchir un peu, espèce de conne !

La pauvre jeune fille n'arrête de pleurer, que pour crier sous les coups, qui continuent à pleuvoir, bientôt, elle a tout le cul embrasé et tout rayé de marques rouges, d'un centimètre et demi de largeur.

Ce monstre fait bien attention, de ne pas taper deux fois au même endroit, des fois que la zone serait un peu désensibilisée. Mais il s'en donne à cœur joie, il frappe, frappe et frappe encore, comme si subitement, il était devenu fou.

Quand Sophie arrive à reprendre un tout petit peu son souffle, elle en profite pour gémir :

- Pitié, pitié, arrêtez, je ferai tout ce que vous voudrez.

François se calme, il arbore maintenant un sourire pervers. Puis, ayant analysé très vite les paroles qu'il vient d'entendre, il demande sur un ton froid et très sec :

- TOUT ?

- Oui Monsieur, tout, mais par pitié, arrêtez de me battre, je vous en prie !

- Bien, nous allons voir ça tout de suite, alors !

Et dans un geste brutal, il repousse la jeune fille, qui se retrouve par terre, en pleurs.

- À quatre pattes, alors !

Sans demander son reste, trop contente d'avoir un peu de répit, Sophie se place à quatre pattes devant son tortionnaire. Maintenant, elle ne bouge plus, mais continue de pleurer, à chaudes larmes.

François déroule la ceinture en regardant cette jeune chienne, qu'il vient de battre comme plâtre, et dit au bout de quelques instants de silence :

- Tu vas te retourner pour me montrer ton cul de putain !

Elle se déplace alors sur elle-même en restant toujours à quatre pattes sur le sol. Puis, une fois qu'elle a atteint la position demandée, elle reste figée.

- Je veux que tu te masturbes devant moi, maintenant... Et comme il n'est pas écouté assez vite, à son goût, il ajoute encore : Allez !

Alors, elle porte sa main droite, le majeur en avant, sur sa vulve. Et elle commence à le passer doucement entre les grandes lèvres quand elle entend :

- Non ! Branle-toi le trou du cul !

- Mais...

- Tu veux encore goûter à ma ceinture, tu n'en as pas eu assez pour aujourd'hui ? Demande François en commençant à entourer sa ceinture de nouveau autour de sa main.

- Si, si, je vous obéis, Monsieur... !

Et tout en disant cela, la jeune fille passe son doigt entre ses fesses rougies et commence à masser doucement la rondelle brunâtre.

- Encule-toi !

Sophie obéit encore une fois en introduisant son majeur dans son anus. Elle le fait entrer et sortir doucement, mais profondément. Finalement, grâce au contraste avec les minutes précédentes, d'ailleurs, elle commence à ressentir un sérieux trouble, fait de l'excitation de cette si étrange exhibition et du plaisir, qui monte au creux de ses reins, alors que ses fesses la brûlent toujours.

Le contrôleur se régale du spectacle offert. Il pense que cette petite est vraiment très cochonne et ça lui plaît beaucoup. En fait, comme presque tous les hommes, il adore les cochonnes.

- T'es vraiment une grosse salope, toi ! Incroyable !

La belle arrête un instant sa branlette pour dire :

- Mais c'est vous qui...

- T'occupe… ! Branle-toi espèce de garce… Je vais te dresser, tu vas voir !

Excitée, mais aussi apeurée, elle reprend son manège avec son doigt. On peut voir sa main s'activer, pour pousser le majeur toujours plus loin, dans les intestins.

- Vas-y morue, prépare-toi bien ton joli petit cul !

Maintenant, Sophie ne répond plus, elle a compris que tout ce qu'elle pourrait dire ne ferait qu'envenimer les choses, aussi se contente-t-elle de suivre, à la lettre, les instructions qui lui sont données.

Puis, d'un coup, le pervers contrôleur ordonne :

- Assez maintenant, remets-toi debout, tout de suite !

Là encore, la jeune fille exécute immédiatement la manœuvre demandée. Elle se rétablit et fait face à l'homme.

- Écarte tes jambes... !

Elle pousse sa jambe droite de cinquante centimètres environ.

- Encore...

Elle écarte encore sa jambe d'une bonne vingtaine de centimètres.

- Branle-toi le clito maintenant...

Déjà très soumise, elle passe sa main doucement sur son ventre et vient entrouvrir ses grandes lèvres pour laisser passer son index sur le bouton d'amour.

- Ça te mène, le cul… Hein pétasse... ?

Mais Sophie ne répond pas de peur d'avoir encore affaire à cette satanée ceinture, qui lui a fait si mal, tout à l'heure.

- Réponds, morue, quand je te cause ! T'aimes ça, te branler, n'est-ce pas ?

- Oui Monsieur... !

- Parfait, parfait… Branle-toi mieux encore !

Et elle active avec plus de vigueur son index. Elle se prend si bien au jeu qu'elle commence à fermer les yeux pour se laisser aller au plaisir.

- Voilà… C'est bien salope... !

La jeune fille commence maintenant à gémir doucement sous ses propres caresses.

- Bien… Je vais t'emmener et te mettre sur le trottoir, comme ça tu pourras en prendre plein le cul toute la journée et tu me rapporteras du pognon en plus !

- Mais, ça ne va pas, non ! Dit-elle, en rouvrant tout grand ses beaux yeux verts et en arrêtant de se masturber.

- Continue, connasse ! Lance alors François, très mécontent qu'elle se soit arrêtée dans ses caresses, mais amusé aussi de la peur, qu'il suscite en elle, à l'idée de la prostituer.

- Mais Monsieur...

- Je te dis de continuer !

Alors la pauvre fille recommence à passer son doigt sur son clitoris, mais cette fois, la peur au ventre, le plaisir ne vient plus.

- Tu vois bien, il n'y a vraiment que le cul qui t'intéresse dans la vie ! Tu n'es vraiment qu'une salope en chaleur, toujours prête à t'exhiber !

- Mais Monsieur...

- Il n'y a pas de mais qui tienne... Dis donc, je n'ai pas eu à te forcer beaucoup, pour que tu te branles comme ça, devant un inconnu !

À ce moment, François plonge son regard froid et dur dans les yeux verts de la jeune fille, qui ressent alors un profond malaise, puis il enchaîne :

- Alors, avoue-le…. Que tu n'es qu'une pute !

- Mais…

Là, il reprend sa ceinture en main et fronce les sourcils, si bien que Sophie se met à pleurer et finit par balbutier :

- Oui, vous avez raison, j'aime ça, le sexe...

- Je veux que tu dises, que tu es une vraie pute, allez !

- Je suis une pute, Monsieur...

- Bien, voilà qui est mieux, je vais te contenter alors, espèce de truie !

Au bord de la crise de nerfs, la pauvre jeune fille redouble de larmes, en baissant la tête.

Le contrôleur apprécie la situation, mais il en veut plus, encore beaucoup plus, aussi continue-t-il en disant :

- Bien, tu reconnais donc, que tu es une pute, parfait...

- Mais, c'est vous qui m'obligez...

- Ferme-la ! Je ne t'oblige à rien du tout, tu es une chienne, tu voyages nue, tu n'hésites pas à me montrer tes seins quand je viens poinçonner ton billet, et tu trouves que je te force à quoi là ? Hum ?

- Mais...

- La ferme ! Mais ce n'est pas vrai ça, tu ne sais pas fermer ta grande gueule… Je disais donc, que quand je soulève complètement le drap pour te voir entièrement nue, là encore, tu ne fais pas de gros efforts pour te protéger, en fait, tu aimes exciter les mecs, et même cette attitude, prouve que tu avais envie de te faire piner, comme ça, là, sur la couchette !

- Mais voyons...

À ce moment, c'est une claque que donne François en se levant brutalement de la couchette, puis il enchaîne :

- Tu ne l'ouvres, que quand je t'interroge, c'est compris maintenant ?

- Oui Monsieur ! Dit la jeune fille en pleurant et en se frottant la joue.

- Quel est ton prénom ?

- Sophie, Monsieur.

- Parfait Sophie. Bon, reprenons alors, je suis sûr que tu aimes te faire prendre en levrette, je me trompe ?

- Non Monsieur...

- Non quoi, connasse ? tu aimes ou pas ?

- Oui Monsieur, j'aime cette position...

- Bien, là encore, je vois que tu aimes être soumise et sous l'homme, prise comme une bête, que tu aimes être à la merci des mecs !

Et, comme il ne reçoit toujours pas de réponse après une bonne minute, il poursuit d'une voix incisive :

- Je me trompe peut-être ?

- Non Monsieur, vous avez raison.

- Alors maintenant, dis-moi pourquoi tu pleures, quand je te traite de salope, de truie en chaleur, de pute ? Ce ne sont même pas des injures pour toi, je ne décris que le fond de ta personnalité là, non ?

- Eh bien non !

- Non ! Eh bien, elle est bonne celle-là ! Regarde-toi un peu...

Sophie a les yeux rougis par les larmes, mais elle ne pleure plus pour le moment. Elle relève la tête et fixe François, d'un regard froid.

Ce dernier se lève, fait lentement le tour de la fille nue, se replace juste devant elle, la dépassant de plus d'une tête et, en la toisant, continue plus durement encore :

- Attends... Tu prétends ne pas être une grosse cochonne ! Mais regarde-toi, bon sang, tu passes ton temps à poils, tu te laisses peloter par n'importe qui, tu restes nue devant moi sans chercher à te cacher. Je peux même toucher tes nichons sans que tu ne dises rien...

Et sur ces derniers mots, il s'empare du sein droit de la jeune fille et le malaxe.

Elle a un petit mouvement de recul et cherche à se dégager, mais une claque sur la joue gauche lui fait comprendre qu'il n'est pas question de se soustraire à ce monstrueux contrôleur.

- Tiens ! maintenant tu te rebiffes, attention ma ceinture n'est pas loin, salope...

La pauvre fille ne sait plus quoi faire pour abréger ses souffrances. Elle sent bien, dans le ton utilisé, que ce mec pervers est tout prêt à la battre, avec la ceinture, à nouveau, aussi évite-t-elle de bouger, pour le moment.

François presse le nichon, sans douceur, tire sur le téton avec violence, arrachant au passage un nouveau cri, à la pauvre Sophie, puis il enchaîne :

- Ouais... Ton métier, ce sera putain… Demain, je t'emmènerai chez moi, à Nantes, là, j'y ai un copain qui est le patron d'un bar de nuit, il devrait pouvoir te prendre à l'essai !

- Non...

- Mais si, tu verras, tu seras bien, tu pourras en prendre plein le cul, toute la nuit, et tu me rapporteras du pognon... !

- Mais vous n'avez pas le droit...

- Chut... Voyons maintenant ce que tu sais vraiment faire avec ton cul ma belle... !

Et, sans autre forme de procès, il attrape les cheveux bruns de Sophie et lui ordonne :

- À genoux.

Ne pouvant pas vraiment faire autrement que d'obéir, elle se baisse et se met à genoux sur le sol.

- Qu'attends-tu donc ?

- Que voulez-vous au juste Monsieur ?

- Devine, connasse ! Ouvre ma braguette, tu vas très vite comprendre !

François bande comme un taureau, et maintenant, il a envie de passer aux choses sérieuses.

Obéissant sagement, autant par peur que par vice, elle ouvre doucement la braguette, en faisant bien attention à ne pas maltraiter cette grosse bite, dont elle a finalement très envie, aussi.

- Vas-y, suce-moi la bite, morue... !

Sans répondre à ces insanités, Sophie prend alors la queue dans sa bouche et referme ses lèvres pulpeuses, sur le gland violacé.

Les petits coups de langue, qui viennent agacer sa queue, donnent bien des frissons à François. Il ferme ses yeux, pour mieux se concentrer sur la pipe, qu'est en train de lui faire, cette jeune salope experte.

- Oui… Comme ça, c'est bon… Ah quelle bonne chienne, tu me fais, toi !

Il maintient toujours fermement la tête, mais maintenant, on peut lire un large sourire, sur sa face de scélérat.

La jeune fille commence à se sentir, un tout petit peu plus rassurée en tenant entre ses dents, la bite de son tortionnaire. Elle pourrait, si elle le désirait vraiment, mordre et faire fuir ce monstre de contrôleur, mais quelque chose doit se passer en elle, car au lieu de se venger de ce qu'elle vient de subir, elle prend plaisir à sucer.

- Parfait salope, toi, tu es une bonne suceuse, ou je ne m'y connais pas.

Et elle continue à pomper, elle pompe par plaisir, mais aussi encourager par ce qu'elle vient d'entendre, ces mots ne la choquent plus vraiment, au contraire même, maintenant, ils commencent à enflammer ses sens.

François a le corps tendu, les jambes raides, excité comme il est, par cette rencontre imprévue et si bizarre, il sent qu'il ne va pas tarder à jouir. Il relâche les cheveux de la pauvre jeune fille, que pour mieux s'emparer de ses oreilles et lui imprimer un rythme bien plus soutenu.

- Continue ! Je vais t'offrir mon foutre, pour te montrer à quel point, tu es une bonne pute...

Sophie acquiesce, par deux petits sons gutturaux, ne pouvant pas parler outre mesure. Elle aspire, encore plus fort et en profite pour sortir sa langue, sous la queue épaisse, et venir la caresser par-dessous.

Très vite, ne pouvant plus se contenir, l'homme jouit dans la douce bouche. De gros jets de foutre, vont s'écraser contre le fond de la gorge.

Rapidement, la jeune fille a la bouche entièrement remplie de foutre, heureusement, elle peut laisser, à cet instant, ce gros vit ressortir. Puis, une fois qu'elle a la bouche dégagée du gros mandrin de chair, elle entend :

- Avale tout, n'en perds pas une goutte... !

Et là encore, toujours soumise, elle avale tout le sperme chaud.

François tire encore sur les oreilles, mais cette fois, pour qu'elle relève la tête. Il veut voir la tête, qu'elle peut bien faire, à être ainsi obligée de boire son jus de mâle.

La tête relevée, Sophie affiche un grand sourire, car elle adore boire cette épaisse liqueur. Elle ne pourrait dire exactement ce qui l'excite, en ce moment, mais ce qui est certain, c'est que sa cyprine coule abondamment de sa chatte détrempée, il y a même une petite flaque, de son foutre de femelle sur le sol.

- C'est bien, chienne, tu aimes ça, alors dorénavant, je te nourrirai au sperme.

La jeune fille sourit à cette idée saugrenue, néanmoins, elle se souvient d'avoir fait des rêves fous, dans lesquels elle était au milieu de plein d'hommes qui déchargeaient dans un saladier et elle devait boire tout le sperme, à la fin de la soirée.

- Bien, nous allons faire une nouvelle expérience maintenant ! Enchaîne encore François, avec un regard lubrique.

Sans rien dire, Sophie sourit doucement, car elle voit bien que le type, va avoir quelques peines à reprendre du service, car il a la bite en berne.

- Mets-toi à quatre pattes et montre-moi ton cul, salope ! Ordonne, à cet instant, le contrôleur.

- Mais vous n'en avez pas encore assez ? Il y a bien d'autres personnes dans ce train à contrôler, non ?

- Ta gueule connasse ! Tu fais ce que je te dis ou je reprends ma ceinture pour te mater...

- Bien, Monsieur...

Et, ayant compris, au ton employé, qu'elle n'avait pas d'autres choix, que de s'exécuter, elle se tourne et se remet, une fois de plus, en position.

- Il n'y a pas à dire, tu as vraiment un beau cul, et l’anus est bien dilaté...

Tout en parlant, François a posé sa main gauche sur les fesses pour les écarter, de son pouce et de son index, puis il a introduit son majeur droit, dans l'orifice qu'il cherche, encore, à ouvrir plus.

- Toi, tu aimes vraiment te faire enculer, ça se voit, comme le nez au milieu de la figure.

Sophie ne répond plus, mais se laisse aller au plaisir, que lui procure ce doigt expert, en visite guidée. Effectivement, elle adore ce genre de gâterie, aussi se laisse-t-elle aller à gémir, sous la caresse.

L'homme se rend compte et ordonne alors :

- Viens t'écarter les fesses en grand, avec tes mains !

Toujours soumise, elle laisse sa poitrine venir en contact, avec le sol dur du compartiment, puis elle ramène ses mains sur ses fesses et les écarte alors impudiquement, comme pour permettre une meilleure pénétration.

- Allez, tire bien sur tes fesses, pour l'ouvrir, ton anus de pute !

Et Sophie écarte encore plus ses fesses, pour se laisser fouiller les entrailles, mais elle ne peut pas voir, à cet instant, que François vient de se relever et se tient derrière elle, les jambes fléchies.

- Mets-toi les index pour l'ouvrir, ton cul de salope, vite !

Toujours sans répondre, la jeune fille s'exécute rapidement, en se dilatant le trou du cul et en espérant le passage, d'une bonne bite par cet orifice.

L'homme attend quelques instants, que l'anus soit bien ouvert, toujours debout au-dessus des fesses, les jambes fléchies. Il tient sa bite pliée vers l'orifice béant. Puis, quand il estime que la femelle est à sa merci, il se lâche et pisse, tout debout, dans l'orifice ouvert.

La jolie brune se met alors à pousser un cri, tant elle est surprise de l'opération, puis elle commence à balbutier :

- Mais ça ne va pas...

- Ta gueule ou je te pisse dans la bouche, morue ! Se contente de répondre François en se vidant la vessie.

Le liquide jaune pâle qui s'insinue dans ses entrailles procure une étrange sensation à la belle Sophie, ni vraiment agréable, ni vraiment désagréable. La seule chose qui la stupéfie encore, c'est son absence de réaction, face à ce monstre, bien sûr, c'est un bel homme, mais comment a-t-elle pu en arriver, à se laisser faire de telles choses, là est la question.

- C'est parfait, tu es une bonne pute bien docile ! Laisse tomber le contrôleur, d'une voix devenue bienveillante, tout en se rasseyant sur le bord de la couchette.

La jeune fille n'ose pas bouger, de peur d'agacer le monstrueux personnage, mais aussi de peur, que l'urine ne s'échappe de ses intestins. Elle se sent sale, tout à coup.

Le mec contemple quelques instants sa proie, soumise à ses caprices, puis, il ajoute sur un ton redevenant impératif, tout en gardant encore des traces de bienveillances :

- Maintenant, tu vas aller te vidanger les boyaux, aux chiottes en bout de wagon.

À ce moment-là, la pauvre jeune fille commence à croire, qu'elle arrive au terme de ses souffrances et que, ce vicieux personnage, va finir par se lasser d'elle, aussi, tout doucement, elle se relève. Une fois debout, elle s'empare de sa petite robe d'été, qui est posée sur la couchette, en face de la sienne.

- Non ! Vas-y nue, tu es une bonne chienne, mais pas un toutou à sa mémère, avec un petit manteau, donc tu vas aux chiottes nue, comme une bonne chienne, bien obéissante !

- Mais Monsieur, si quelqu'un venait...

- Je te protégerai, sois rassurée, mais je veux te voir nue, dans le couloir !

Et encore une fois, la peur au ventre, la pauvre Sophie se remet à pleurer, en balbutiant :

- Pitié, Monsieur, pitié, je vous en prie !

- Allons donc ! Ça ne va pas te tuer de faire dix mètres, nue, d'ailleurs tu dois bien avoir l'habitude de t'exhiber, non ?

- Non Monsieur, je vous assure, je ne...

- Pas d'histoire, tu fais ce que je t'ordonne et c'est tout, sinon gare à ma ceinture !

La pauvre chérie se met à trembler en redoublant ses pleurs. Elle essaye encore inutilement de négocier en ajoutant, entre deux sanglots :

- Mais, pour qui je vais passer, moi, alors ?

- Eh bien, pour ce que tu es ma belle, une vraie salope soumise qui a, en permanence, le feu au cul et qui a toujours besoin, de se faire fourrer !

- Mais...

- Aller, hop, plus de discussion stérile, va aux toilettes, je te suis !

Le ton est devenu complètement contraignant, la jeune fille est entièrement perdue et, ne sachant plus quoi dire, finit par entrouvrir la porte du compartiment. Elle hésite, jette un regard à droite, puis à gauche, essaye de reculer quand elle sent deux mains puissantes sur ses hanches qui la poussent, dans le couloir, assez peu éclairé.

- Et ne tâche pas de cacher tes seins ou ta moule, hein !

Alors, les bras le long du corps, elle se hâte vers le bout du wagon en priant mentalement que personne ne passe pendant son trajet. Très heureusement pour elle, la pièce est libre et elle entre prestement dans le petit réduit en refermant la porte sur elle. Elle est persuadée que le contrôleur est derrière la porte à l'attendre, aussi se dépêche-t-elle de s'asseoir sur la lunette.

François, est finalement resté dans le compartiment et attend que sa proie revienne. Il s'amuse beaucoup, intérieurement, à voir comment et combien cette jeune créature est à sa merci. Il se rend compte qu'il a poussé le bouchon très loin, cette fois-ci, mais il se doit bien de reconnaître, que ces jeux l'excitent aussi beaucoup, et que plus il va loin, plus de nouvelles idées germent dans son esprit.

Sophie pisse littéralement par le cul. Elle sent également ses propres excréments qui partent avec le liquide, heureusement que le bruit du train, couvre entièrement les sons qu'elle laisse échapper. Elle pense qu'elle se sentirait encore plus honteuse, si elle savait que quelqu'un pouvait l'entendre. Seule maintenant, elle essaye de retrouver ses esprits et de comprendre, comment elle en est arrivée là.

Au bout de cinq minutes, le contrôleur ne voyant pas réapparaître sa soumise, il se décide d'aller jusqu'aux toilettes, pour voir de quoi il en retourne. Arrivé devant la porte, il tend l'oreille, mais ne perçoit aucun son, il tape alors à la porte avec sa pince et annonce en déguisant sa voix :

- Billet, s'il vous plaît.

Le bruit fait sursauter la jeune fille, sur son siège. En s'essuyant rapidement, elle lâche :

- Oui, j'arrive Monsieur.

Comme elle est entièrement nue, elle en profite pour laver ses fesses toutes maculées. Après un rapide séchage, elle entrouvre la porte, pour voir si personne d'autre n'est présent.

- Allez, dépêche-toi, je n'ai pas que ça à faire, moi !

Baissant la tête, Sophie repart vers son compartiment, sans mot dire. Sans oublier qu'elle est nue, elle se sent soulagée, que l'homme la suive de près. Au moins, pense-t-elle, si quelqu'un m'aperçoit ainsi, il comprendra ce que j'endure et viendra, peut-être me délivrer de ce monstre.

Malheureusement, personne ne passe à cet instant dans le wagon, et la jeune femme soumise, entre dans son compartiment, suivi de près par le pervers contrôleur.

Dès que la porte est refermée, il ordonne, d'un ton des plus secs, en lui attrapant le bras et en commençant à lui imprimer, le mouvement qu'il souhaite lui voir faire :

- À quatre pattes, par terre !

Toujours sans broncher, la pauvre fille s'exécute, elle pose ses genoux sur le sol et prend la position demandée, les mains bien à plat, devant elle.

- Parfait, tu vas rester dans cette position, le temps que je finisse mon service maintenant, je passerai de temps à autre, gare à toi si tu as bougé, ma ceinture est toujours prête, elle… !

Et sur ces mots, il sort du compartiment en refermant derrière lui, avec son trousseau de service.

Sophie essaye de comprendre tout ce qui vient de se passer. Les idées tournent dans sa tête à grande vitesse. Pour le moment, elle ne sait même plus si ce fût excitant ou carrément dégoûtant, bien sûr, la fessée lui a fait mal, mais cette douleur est maintenant bien loin, bien sûr, elle a été injuriée, mais ces injures n'ont-elles pas été aussi excitantes quelque part ? Et n'a-t-elle pas rêvé parfois de situations assez semblables ?



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