La boite à blacks (2019)
Depuis quelque temps déjà, Marc avait le fantasme de voir sa femme aux prises avec des blacks, bien montés et endurants. Mais cette dernière, peut-être avec quelques relents de racisme, ne voulait pas entendre parler de plan avec des blacks.
Pourtant, ce couple, proche de la soixantaine, avait eu une vie bien joyeuse, côté sexe. Ils avaient participé à de nombreuses partouzes, reçut d’autres couples, tout comme ils avaient été souvent invités. Certes, ces dernières années avaient été plus calmes, mais Marc aimait encore exhiber sa compagne, dans les magasins, dans les ruelles le soir, pour une balade nocturne, voir sur les aires d’autoroutes, pour exciter les routiers et autres voyageurs de commerce.
Avec la ménopause de cette dernière année, Bérénice avait aussi pris pas mal de poids, mais, si elle possédait désormais un bon gros cul, digne d’une Africaine, justement, elle avait gardé un visage charmant et était toujours affublée de ses grosses mamelles, qui attiraient tant le regard des messieurs. L’ensemble était agréable à l’œil, une femme mûre dans sa plénitude, et encore très attirante. Son petit côté, vicieuse souriante, améliorait encore la chose. Son mari ne la surnommait-il pas, la vicieuse délicieuse ?
Et, en cette belle soirée de juin, Marc décide, du manque de motivation de sa chère et tendre à faire la cuisine, de lui offrir une petite balade dans la vieille ville, avec un petit restaurant à la clef, histoire de fêter l’été qui ne saurait plus tarder maintenant.
La vieille ville est toujours aussi accueillante, beaucoup de monde, les terrasses des bars pleines, des touristes de tous horizons déambulant, des jeunes, des moins jeunes, bref ce subtil mélange qui rend la ville si conviviale. Sur la demande de Marc, et bien qu’il fasse encore chaud à presque vingt heures, Bérénice a passé une jolie robe mi-longue et porte des bas. Comme à son habitude, elle ne porte pas de culotte, mais à décider de mettre un joli soutien-gorge qui emprisonne bien ses lourds globes de chair, dans les bonnets D. Les tétons sont érigés, dû, pour le moment, au frottement avec le nylon.
Après un délicieux repas chinois, le couple se promène dans les ruelles de la ville, un peu à l’écart de la cohue, histoire de digérer.
- Tient ! Ça fait longtemps que nous n’avons pas été au bar 77, tu te rappelles ?
- Ha oui, répond Bérénice, tu m’offres un petit mojito ?
Une autre partie de la soirée se passe donc en terrasse à siroter la fameuse boisson cubaine.
Après une bonne heure passée à déguster, discuter, regarder passer les gens dans la rue, Marc propose abruptement :
- Et puisqu’on est sur du cubain, si on allait danser dans une boîte aux accents des caraïbes ?
- Ha oui, bonne idée ! j’ai justement des fourmis dans les jambes.
Et voici le couple qui part à pied pour traverser une petite partie de la ville. Bientôt, il se retrouve devant l’entrée du club, Marc sonne et attend qu’on lui ouvre.
- Bonjour, entrez...
Dans le vestibule, l’ouvreur, un homme dans les cinquante, cinquante-cinq ans, propose de débarrasser la dame de son châle. Ce qu’elle accepte de bon cœur.
Le couple s’installe autour d’une petite table basse et ronde dans de profonds fauteuils, eux aussi très bas, mais très confortables.
L’ouvreur, qui visiblement est aussi le serveur, et sûrement aussi le patron de la boîte, vient les voir au bout de quelques minutes et leur demande ce qu’ils veulent boire.
- Un mojito, je ne vais pas faire de mélange, décide en premier, Bérénice.
- Moi aussi.
Très vite le serveur revient avec les boissons, puis repart derrière son bar, visiblement il sert aussi de DJ.
Depuis qu’ils ont été servis, le volume de la musique a sensiblement augmenté, et, il est vrai que, boissons et musique forte donnent envie à Bérénice de danser.
- Allez, on va danser ?
Sans répondre, Marc se lève et aide sa compagne à sortir du fauteuil. La piste est tout de suite là, et il commence à danser, un peu distant, mais se rapprochant assez vite l’un de l’autre.
Un nouvel arrivant est entré alors que le couple commençait sur la piste. L’homme, un black plutôt bel homme, dans la trentaine, s’installe sur un tabouret haut et regarde le couple tout en discutant avec le barman.
Marc, lui, s’échauffe aux rythmes lascifs de la Jamaïque, il finit par se coller derrière son épouse, et remonte sa robe jusqu’à ce qu’on puisse voir apparaître, la lisère des bas.
Théodore, le troisième client, vient danser dès que le morceau change. Il regarde effrontément Bérénice dans les yeux, puis les baisse doucement, tout en remuant, comme s’il l’examinait médicalement. De temps en temps, il lève son regard et fixe quelques secondes le mari et va jusqu’à lui faire un clin d’œil. Tout en faisant cela, il s’est rapproché inexorablement de la femme, et maintenant, il lui prend les mains pour lui faire danser une sorte de biguine endiablée.
Marc se recule d’un pas et laisse sa femme dans les mains de cet inconnu. Toutefois, il ne s’éloigne pas plus. Est-ce pour assurer la sécurité de sa compagne, est-ce pour être aux premières loges de ce qui va se passer ?
Échauffée par cette danse, Bérénice remercie son nouveau cavalier et lui indique qu’elle veut aller se reposer un peu. Le couple retourne s’asseoir dans les fauteuils, Théodore, lui, retourne à sa place au bar.
De là où il est, Théodore peut voir où en sont les deux personnes qui l’intéressent au premier plan ce soir. Et, quand il voit que les verres sont presque vides, il commande trois mojitos et va rejoindre le couple.
- Permettez-moi de vous offrir à boire, après cette danse si chaude !
- Merci ! Mais il ne fallait pas, commence à refuser poliment Bérénice.
- Ça me fait plaisir, ajoute l’homme avec un grand sourire qui vient appuyer ses dires.
Très vite, la glace est rompue. L’homme est charmant, plein d’humour et raconte de temps à autre des histoires qui font éclater de rire la femme et son mari. Une bonne demi-heure passe ainsi, puis, d’un coup, l’homme se lève et prend la main de la femme en lui disant :
- Allez, on y retourne, ce morceau est trop top !
Et revoilà Théodore sur la piste, son mari a quelques pas, à danser aussi, mais surtout à ne pas la quitter des yeux. Théodore conduit la manœuvre et pousse la jolie brune toujours plus loin dans les mouvements, dégageant souvent la robe et exhibant les bas de sa cavalière.
Après quelques danses bien lascives, Bérénice donne des signes de fatigue. Les deux hommes la ramènent à la table et Théodore l’installe de façon très allongée sur le fauteuil déjà bas.
- Elle a des jambes magnifiques ! Si j’osai...
- Si tu veux aller lui faire un petit bisou sur le minou, vas-y, je pense qu’elle n’attend plus que cela !
Alors Théodore se met à genoux entre les cuisses gainées de nylon noir, en ayant pris soin de remonter la robe sans trop la froisser, puis s’exclame :
- Ho ! C'est une coquine ! Elle n’a pas de culotte !
Puis, il enfouit sa tête dans l’entre-cuisses, et commence à donner de subtils coups de langue en haut de la fente, atteignant ainsi facilement le clitoris.
Bérénice, dans une sorte d’état second, rabaisse le pan de sa robe sur la tête de son lécheur, comme par pudeur. Puis elle se laisse aller, les yeux mi-clos, à la volupté.
Pendant ce temps, deux autres clients sont entrés dans le club et se sont installés au bar. Ils semblent, eux aussi, bien connaître le maître des lieux et discutent joyeusement avec lui.
Théodore s’applique à lécher toute la vulve de cette chatte légèrement odorante.
Très vite, la femme brune se met à gémir, sous les assauts malicieux de cette langue des plus agiles. Certes, la musique couvre les sons explicitent, qui annoncent que la dame va avoir un orgasme, mais la scène reste des plus claires.
Le premier des deux nouveaux arrivants, Rufus, vient de s’apercevoir du manège, de l’autre côté de la pièce, et donne un coup de coude à son pote Fabrice.
- C'est cool chez toi, Claude !
Le patron de la boîte, qui n’avait pas trop fait attention, jusqu’à présent, à ce qui se passait dans la salle, se penche pour regarder la scène.
- Encore une salope qui veut de la grosse bite, les mecs !
- Ça me fait trop rire ! Une vieille chienne qui va se faire mettre, devant tout le monde !
- Ouais, et si j’ai un contrôle de flic, je suis bon pour fermer le tabernacle ! Faut pas déconner.
Aussitôt, le boss pose son torchon et sort de derrière son bar, par le petit portillon, à droite du comptoir. Puis, d’un pas décidé, il se dirige vers les trois coquins, qui ne font pas du tout attention à ce qui se passe dans la boîte. Il se place directement derrière l’homme sans tête, qu’est devenu Théodore, et se penche pour lui taper doucement du plat de la main, sur les cotes.
Surpris, l’homme ressort de sa fausse cachette et se retourne.
Claude dit quelque chose en créole, puis tourne les talons.
- Un souci ? C'est vrai que ce qu’on est en train de faire, ne se fait pas, habituellement, dans les clubs !
Les deux hommes rient un bon coup, puis Théodore explique, que le patron est venu lui dire d’aller dans la pièce à côté, qu’il y avait un canapé, et que ce serait plus discret, quand d’autres clients se pointeront.
- On va à côté, le boss a peur, qu’en restant dans la salle, ça ne dégénère !
Théodore se remet debout puis, avec Marc, aide Bérénice à se relever et va l’installer sur le sofa de la pièce d’à côté. En fait, ce que le patron appelle "à côté", n’est qu’une antichambre par laquelle il faut passer pour aller aux toilettes. La pièce est assez spacieuse, et uniquement meublée d’un beau clic-clac.
Le sol est carrelé en blanc, ce qui donne une petite sensation de fraîcheur, les murs sont d’un bleu très pâle, le tout serait encore assez accueillant, s’il ne persistait, une légère odeur de produit pour les toilettes.
Une fois la femme à nouveau avachie sur le sofa, Théodore se penche sur elle et la déshabille doucement, la belle se laisse faire, un peu comme une poupée. Assez rapidement, bien que l’homme ne soit ni brusque ni pressé, la belle se retrouve les seins à l’air, sa robe retirée et son soutien-gorge dégrafé. Mais ses bras sont toujours dans les bretelles du sous-vêtement, ce qui fait qu’il est posé sur le ventre rond de Bérénice.
La chatte toute lisse est à l’air, encadrée par les bandes élastiques qui tiennent les jarretières, les jambes gainées de nylon noir se terminent par des pieds enfermés dans les escarpins.
Maintenant qu’il en a fini avec les vêtements, Théodore se colle à genoux entre ses cuisses et la gamahuche à nouveau. Il passe sa langue sur toute la fente, l’entrouvrant doucement un peu plus à chaque passage, s’attarde, une fois sur deux ou trois, sur le clitoris, qu’il cajole du mieux qu’il peut. Redescend pour que sa langue aille titiller, l’anneau fripé de cet anus, si tentant.
Bérénice se pâme, certes la musique couvre encore les sons, qui sortent de sa gorge, mais les yeux clos, la respiration rapide, la poitrine qui se soulève et s’abaisse rapidement, tout explique que la femme n’est pas très loin de l’orgasme.
Théodore semble bien conscient de l’état dans lequel il met la femme mûre, aussi, il décide d’un coup de plonger sa langue dans le vagin bouillonnant. Ce dernier n’attendait rien d’autre qu’une visite, la plus douce possible. L’homme, tout en s’aidant de son pouce sur le clitoris et en appuyant, cette fois, le massage de ce dernier, cherche à faire jouir la vieille brune.
Le résultat ne se fait pas attendre, Bérénice a un premier orgasme et l’exprime en râlant, au rythme du massage de son bouton d’amour. Des décharges électriques lui parcourent le corps. D’un coup, elle lance ses deux mains à hauteur de son sexe, pour emprisonner la tête de son lécheur, jusqu’à ce que ses spasmes en finissent, ce qui met un temps certain.
Maintenant, Théodore a une furieuse envie de prendre la femme qu’il vient de faire jouir, pour la faire jouir d’une autre façon. Il se remet debout, ouvre sa braguette et descend son jean avec son caleçon sur les chevilles. Puis, il demande d’une voix claire qui trahit sa grande envie :
- Je vais te prendre, je n’ai pas de capote, je peux te faire confiance ?
Bérénice fait oui de la tête, pas encore redescendu sur terre, elle n’a qu’une envie, jouir, encore et encore.
Théodore, en pleine érection, s’empare des grosses cuisses de la brune et tire le corps au bord du canapé. Là, d’un coup de rein magistral, il enfonce son pieu de chair, d’un coup, jusqu’au fond du vagin détrempé et bouillant.
- Tu me brûles la bite ! Salope !
- Oui, vas-y, baise-moi comme une salope. C'est tout ce que peut articuler Bérénice pour le moment.
Théodore entame alors une série de coups de reins très rapides en alternant des passages beaucoup plus doux et moins vigoureux, puis il recommence son rythme diabolique.
La femme jouit à nouveau très fort, les orgasmes s’enchaînent les uns après les autres. Elle crie à chaque apogée, heureusement que ses cris sont couverts par la musique.
Avant que l’homme ne recommence ses séries alternatives, et alors qu’il reprend son souffle, la bite bien enfoncée dans le corps de la vieille femme, la porte de la salle s’ouvre, et deux messieurs entrent dans la pièce, puis referment la porte derrière eux.
Ils semblent bien connaître Théodore, et échangent quelques mots avec lui en créole. Ensuite, Rufus, le plus grand des deux arrivants, entame une petite conversation avec ce mari candauliste, qui semble si sympa.
- C’est vrai qu’on peut peloter ta femme ?
- On peut même la baiser ? Demande à brûle-pourpoint Fabrice.
- Visiblement, elle est chaude comme la braise ! Et elle accepte même votre pote sans capote ! Je n’aurais pas pensé ça d’elle !
Les deux hommes font mine d’écouter, mais déjà, ils ont les seins de la brune en main et malaxent, la chaire douce, énergiquement. Rufus se défroque de sa main libre, lui ne porte pas de slip, alors que son pote reste à jouer avec les lourdes mamelles, qui semblent si pleines. En tout cas, pleines de promesses !
Théodore s’éclate dans cette chatte, mais à trop vouloir en faire, il perd aussi son contrôle, et bientôt, à son tour, il râle, prêt à lâcher les ballons. Dans un dernier assaut, il se met à limer le plus vite possible, puis stop d’un coup, sa bite tout au fond du vagin, et il jouit dans une symphonie de gros mots (symphonie en ré majeur, très certainement).
Des flots de foutre chaud envahissent son vagin et, lui semble-t-il, son utérus, le gland de l’homme étant collé au col.
Théodore cramponne les bonnes hanches de la femme et la garde plaquer contre son ventre, sa queue qui vient de cracher son jus de gosse, toujours profondément enfoncée dans la brune, qui n’arrête pas de sursauter, preuve qu’elle ressent encore des orgasmes. Mais bientôt sa queue dégonfle, et son pote Rufus lui tape sur l’épaule :
- Allez, fais pas le feuje, laisse la place aux potes.
La jolie brune se sent pleine, elle adore cette sensation, et ne calcule pas encore la suite de la soirée.
Rufus vient se placer à genoux à côté du charmant visage, la bite à l’air. Il prend la tête de la brune à pleine main et guide la bouche féminine vers sa queue déjà de belle taille, puis il baise littéralement la bouche.
Bérénice écarquille les yeux.
Fabrice n’est pas en reste et malaxe fermement les gros nichons de la brune, passant d’un sein à l’autre, toujours avec la même main, la gauche. De l’autre, il se branle et se fait copieusement bander.
Théodore s’assoit au bout de la banquette et reprend son souffle.
Quel tableau ! Bérénice presque à poil dans cette pièce à l’éclairage blafard. Un grand type noir assis d’un côté du canapé, nu comme un ver. Deux autres blacks qui s’occupent d’une femme, fin cinquantaine, en bas et escarpins. Son mari qui tourne et vire en faisant des photos avec son téléphone.
Quand Rufus estime bander correctement, et en effet il est du genre assez imposant, il fait comprendre, en créole, à son pote Fabrice, qu’il faut retourner la femme sur le sofa et la mettre à quatre pattes.
Docilement, Bérénice se laisse conduire et se retrouve les genoux sur l’assise, le visage tout proche du mur. Un court moment de répit de quelques secondes, quand elle sent deux mains puissantes lui écarter les fesses. Ensuite, une masse se colle contre son sphincter, exerce une petite pression, puis un gros pieu de chair prend possession de son anus et envahit son colon. De là à dire qu’il le colonise...
Rufus encule la femme mûre, qui certes en a vu d’autre, mais rarement d’aussi impressionnantes et vigoureuses à la fois. Son gros zob entre totalement dans l’anneau de bronze puis ressort totalement aussi, avant de réinvestir les lieux. L’homme connaît son affaire et s’y entend en sodomie !
Bérénice recommence à couiner, si de se faire ouvrir le cul en si grand l’a surprise au début, maintenant que le passage est fait, elle goûte tout le plaisir de la chose.
Une cliente entre dans l’antichambre et passe pour aller aux toilettes. Elle ne semble pas effrayer le moins du monde, ni même surprise. Elle rigole et fait un petit geste complice à Théodore qui semble être le pivot de cette boîte.
Fabrice tripote les lourdes mamelles de la femme, les empêchant de trop ballotter sous les assauts de Rufus.
Rufus, quant à lui, ne s’occupe maintenant plus de rien d’autre que de son plaisir qu’il sent monter. Il accélère la cadence, cette fois sans ressortir son vit de l’anus, et serre, fortement, la taille de la pauvre femme.
Elle semble manquer d’air, mais râle, de plus en plus fort, tout de même.
Bientôt, l’homme grisé par l’ambiance et le plaisir, ne peut plus se retenir et jouit dans ce cul bouillant si accueillant. Il reste quelques secondes avec la queue plantée dans le corps de la femme, cambré en arrière, comme une statue. Puis, sa bite mollissant doucement, elle finit par ressortir naturellement de l’anneau de bronze, laissant un trou béant qui ne se referme pas, trou suintant un foutre de couleur café au lait.
Bérénice reste inerte maintenant que cette bonne verge, qui vient de lui donner trois énormes orgasmes, est ressortie de son corps. Elle essaye de reprendre son souffle et de rassembler ses esprits.
Fabrice aide son pote à se relever, puis, profitant de la situation, et voyant que la femme ne réagit pas, il prend la place en s’agenouillant devant ce divin cul.
Fabrice, également, n’est pas mal monté, il arbore un pénis bien droit, tout lisse, tout comme son pubis et ses couilles. D’une main experte, il guide l’engin vers la fente dégoulinante de cyprine. De son autre main qu’il a passée sous le ventre de la brune, il lui relève l’arrière-train, et plante son pieu au fond de la chatte. Il s’y enfonce aussi loin, que la nature le permet, puis ressort d’un grand coup sec, puis recommence à entrer et aller au fond du vagin dans un grand élan. Ce petit jeu dure quelque temps et à chaque fois que le vit touche le col de l’utérus, la femme pousse un cri plus fort que le précédent.
Marc n’en perd pas une miette et prend photos sur photos.
À nouveau, Bérénice, repart pour le pays des orgasmes. Son corps tremble sous l’effet des vagues de plaisir qui la transportent.
Maintenant, l’homme décide de limer cette vieille chatte à toute vitesse, ce qui amplifie encore les cris de la jolie brune. Et après quelques longues secondes de ce traitement, il s’arrête, reprend deux grands bols d’air frais, et recommence à pilonner le sexe féminin. Mais ne surnomme-t-on pas Fabrice, le marteau-pilon humain ?
À chaque série de pilonnages intenses, Bérénice crie, et à chaque série, ses cris sont de plus en plus forts.
La femme qui était passée pour aller aux toilettes en ressort. En passant à côté du sofa, elle s’adresse au besogneux :
- Toujours aussi efficace, Fabrice !
Seule la musique couvre les cris de la vieille brune quand la femme ouvre la porte de la salle. Et encore, pas totalement, ce qui attire l’œil de deux autres salopes en chaleur venues, très probablement, pour se faire, elles aussi, ramoner le fion.
Fabrice continue son manège, et fait crier la pauvre femme de plus en plus fort, atteignant maintenant une sorte de paroxysme vocal.
Bérénice gueule si fort, que malgré la musique forte dans la salle de danse, le patron entend ce qui se passe. En quelques secondes, il est dans l’embrasure de la porte, un air goguenard, fais quelques réflexions salaces, en créole, aux trois blacks, puis s’approche de la femme toujours à genoux sur l’assise du canapé.
Marc est invariablement en reportage et ne laisse pas une seule position sans l’immortaliser avec son smartphone.
Claude tripote un peu les lourdes mamelles qui dansent au rythme que lui impose Fabrice. puis le boss ouvre son pantalon, le laisse glisser jusqu’aux genoux, sort sa grosse queue de son caleçon. Il attrape les cheveux noirs pour que Bérénice se retrouve avec la bouche à deux centimètres de la queue odorante.
La femme ne peut que happer la bite quand la pression se fait trop forte contre ses lèvres. Et, machinalement, elle se met à sucer.
Fabrice finit par limer cette chatte bien ouverte à la plus grande vitesse que la nature lui permette. Et termine par un grand cri annonçant qu’il lâche la sauce.
Bérénice jouit comme une folle malgré sa bouche envahie. Et manque de mordre le phallus patronal !
Claude, bon garçon, après avoir retiré sa pine de la bouche dangereuse et donné une petite gifle affectueuse, se recule un peu et se remet debout. Il vient prendre la place de Fabrice en poussant aimablement ce dernier sur le côté.
- À moi maintenant.
Comme tous, il s’agenouille, on se croirait à une consécration, serait-ce que la chatte de Bérénice deviendrait con-sacré ?
Marc, lui non plus, n’en peut plus de voir sa chère et tendre se faire limer, la chatte et le cul, et se faire remplir ! Elle qui est le chantre du préservatif, la pourfendeuse de la mode barback, la voici maintenant pleine de jus de couilles ! Certes, ménopause aidant, elle ne risque plus la fécondation, mais les maladies vénériennes diverses et variées sont tout de même encore bien existantes. Toutefois, voir le foutre, qui suinte des trous de sa compagne, le fait bander, et dès qu’il a une main de libre, il se tripote à travers l’étoffe de son pantalon.
Claude, maintenant correctement en place, les hanches de la salope convenablement en main, fourre l’anus directement, car celui-ci est encore bien entrouvert.
La brune gémit pendant les assauts de cette queue de bonne taille, bien que sensiblement plus fine que la précédente, qui ait emprunté ce chemin.
Le patron s’amuse à sortir sa queue de l’anus pour la mettre dans la chatte remplie de foutre, puis revenir dans l’anus, tant et si bien que la pauvre femme, au bout d’un certain temps, ne sait plus de quel trou il s’agit.
Ce qui est très étonnant, c'est que Bérénice refuse toujours à ses amants, comme à son mari d’ailleurs, de passer de l’anus au vagin, pour une raison d’hygiène, et éviter le risque d’une petite inflammation du vagin, dû aux bactéries présentes dans le côlon. Là, elle se laisse faire.
Bientôt, le patron, à son tour, balance la came dans le fion de la brune dans un concert de jurons.
- Qu’il est bon ton gros cul, vieille salope ! J’aime les chiennes en chaleur comme toi, t’es une bonne grosse pute, hein ?
- Oui… S’entend répondre Bérénice, comme dans un rêve.
- Bon, c'est pas le tout de rigoler, faut que je retourne au chagrin.
Et, en se redressant, il donne une bonne claque sonore sur le gros cul toujours en position pour se faire prendre. Puis, il remonte son froc.
Bérénice a maintenant la chatte qui suinte d’un foutre bien blanc, et le cul d’une substance blanchâtre tirant sur un léger marron. Quelques taches brunes autour de l’anus encore béant.
Le patron ordonne alors, tout en finissant de se rhabiller, que Théodore aide la femme à se rendre présentable. Il veut la voir au bar avant son départ.
Théodore, qui n’a pas arrêté de se branler pendant les ébats, arbore à nouveau une fière érection, et en profite pour se branler dans la bouche de la brune.
Bérénice, qui est maintenant vautrée dans le sofa, les bras en croix. Se laisse envahir la bouche, mais n’a plus la force de sucer, pour faire une bonne pipe, comme elle sait pourtant faire.
L’homme se finit avec le gland dans la bouche chaude et en se branlant. Mais vu l’érotisme, le vice, les turpitudes de la soirée, il ne tient pas longtemps et éjacule très vite une bonne dose de lait de taureau.
La pauvre femme avale et a un petit hoquet, mais ne semble plus vraiment réagir, la soirée aurait-elle été trop intense finalement ?
Une fois sa tenue réajustée, Théodore apostrophe le mari, d’un ton plutôt autoritaire :
- Allez, man, on la rhabille, le boss veut encore la voir au bar.
Rangeant son téléphone dans sa poche, Marc vient aider l’amant du moment, à essayer d’enfiler le soutien-gorge de la femme sur elle.
- Non, laisse, pas besoin de soutif, on va rentrer directement, on va juste lui remettre sa robe.
- Si, le boss a été clair, il veut qu’elle porte son soutif.
Après quelques efforts, Bérénice ne les aidant que très peu, les deux hommes finissent par remettre sur pied la brune, équipée de son soutien-gorge sous sa robe, correctement ajustée.
La femme, le regard un peu ailleurs, et on peut le comprendre après ces folles chevauchées, est guidée vers le bar par Théodore.
La boîte est encore presque vide, à l’exception d’une petite table autour de laquelle trois femmes, semblant un peu plus âgées que Bérénice, sont en pleine discussion en matant les trois blacks déjà présents.
Le patron se réjouit de voir la femme debout, il n’aurait pas aimé qu’elle s’endorme et pique un bon gros roupillon devant ses chiottes.
Il soulève la robe et voit avec plaisir que les bas sont zébrés de coulures de foutre, plutôt blanc entre les cuisses, plutôt tirant sur le marron à l’arrière des jambes. Il fait mettre la pauvre Bérénice à genoux derrière le bar, à l’abri des regards indiscrets.
Le mari ressort son portable pour prendre des photos, pensant que sa femme va encore se faire piner.
Mais Claude prend deux œufs durs sur le comptoir, sort une capote de sa poche et l’ouvre. Il y glisse le premier œuf et l’enfile dans la chatte bien ouverte de la femme à quatre pattes, puis, fait de même avec le deuxième œuf, mais cette fois, le glisse dans l’anus.
- Voilà, je m’en voudrais qu’elle se sente trop vide en rentrant chez vous !
Les trois blacks, qui ont pourtant bien profité de la vieille salope, se marrent comme des bossus, c’en serait presque humiliant, si la pauvre femme pouvait s’en rendre compte.
Puis, Claude aide la femme à se remettre debout, là, il la dépoitraille en faisant glisser la robe sur les bras ronds. Il fait deux pas et ouvre sa caisse. Il en ressort deux billets de cent euros. Glisse le premier dans le bonnet droit, le second dans le bonnet gauche. Et, enfin, remonte les bretelles de la robe, pour donner une apparence presque normale à la brune.
Marc n’a rien perdu de la scène et a photographié autant qu’il a pu. Son appareil, d’ailleurs, commence à lui dire qu’il a faim de courant.
Claude s’adresse au mari sur un ton qui n’accepterait pas de réponse négative :
- Prends une carte de visite, tu m’enverras les photos de la soirée. Au fait, quel est le numéro de téléphone de ta femme ?
Marc tend le bras et s’empare d’une petite carte, puis il énonce, chiffre par chiffre, le numéro de sa compagne.
L’homme, qui a sorti son propre téléphone, enregistre méticuleusement le numéro. Puis, il appelle un taxi pour ramener le couple chez lui.
Arrivé chez eux, c'est le chauffeur de taxi qui aide Marc à soutenir sa femme pour aller jusqu’à la porte de l’immeuble, puis le mari se débrouille pour aller jusqu’à la chambre à coucher. Là, trop crevé, il la laisse habillée pour l’allonger sur la couche. Et lui-même se couche tout habillé.
Le lendemain matin, vers onze heures, c'est le téléphone qui réveille Bérénice. Elle fouille dans son sac à main, sort le téléphone, et fait, d’une voix pâteuse :
- Allô.
- Bonjour la pute.
- Mais ! Que...
- Tu ne te souviens pas d’hier soir ? Tes trois clients ? Regarde dans ton soutif, chérie.
- Mais...
- Pas de malaise, chérie, tu as bien bossé, tu reviens quand tu veux... J’ai déjà des demandes pour toi... Le tout est que tu me préviennes deux jours avant. Bises ma pute, à bientôt.
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