Christine ou les malheurs de la maturité (2023)
Christine est une femme mûre de soixante-cinq ans, veuve, grande mais forte, blonde décolorée, aux beaux yeux bleus. Son mari, Claude, est décédé brutalement un triste soir de septembre, la laissant seule dans cette grande ville, sans amis, ni famille.
La relation, plus que fusionnelle, avec son mari n’avait pas donné d’enfant, mais lui avait fait découvrir moult plaisirs, tous plus forts les uns que les autres. Et, depuis deux ans que son cher et tendre s’en était allé, la masturbation ne lui suffisait plus. Elle avait une grande envie de chaire fraîche et jeune, d’aventures pour supporter cette absence si terrible. Toujours entre deux eaux, ses envies de plus en plus pressantes et sa peur de tromper son défunt, elle se laissait aller à la boisson pour se donner du courage, pour affronter la vie et ses envies.
En se laissant aller de de plus en plus souvent dans les bras de Bacchus et dans ce monde onirique des vapeurs suaves, elle finit, un soir de cuite et de cohue, une force mystérieuse et impérative la poussant, à sortir en club.
Une robe qui arrive juste au-dessus du genou, les bas avec un petit porte-jarretelles, des escarpins, pas de culotte, mais tout de même un soutien-gorge pour préserver ses vieux seins d’une chute programmée, et la voilà prête, après un coup de brosse dans les cheveux et force parfum, à sortir de la maison.
Comme dans un rêve, la voiture glisse au milieu des lumières de la ville. Bientôt, le petit parking du dancing apparaît, Christine y range sa voiture, passe encore en revue sa tenue, ce qu'elle peut dans son rétroviseur pour ce qui est de son maquillage et se dirige vers l'entrée. Elle est tout de suite introduite dans l’établissement, sans autre forme de procès.
Une fois l’octroi passé, elle se retrouve très vite, assise à une petite table ronde ou deux ou trois personnes pourraient prendre place autour d'elle, si besoin.
La maison lui offre le verre de bienvenue, qui ajoute encore à son état d’ébriété confirmé, et très vite, la musique l'entraîne. Elle commence par danser ces fameuses chorégraphies des années quatre-vingt qui se jouent seul.
C'est vendredi soir, il n’y a pas encore beaucoup de monde dans l’établissement, toutefois, il y a quelques hommes au bar.
Un beau jeune homme, entre vingt et trente ans, brun ou yeux verts, la scrute en détail. Il semble bien apprécié la façon dont Christine se meut.
Les choses vont finalement assez vite, quand une première série de slows commence, le bellâtre la prend par la main, alors même qu’elle était encore dans son monde sur la piste de danse et l'a fait danser langoureusement, en la collant bien. Puis, après quelques instants, il tourne la tête et l'embrasse fougueusement.
La vieille femme retrouve des sensations de sa jeunesse immédiatement, elle sent son vagin s’inonder et dans un réflexe colle sa vulve contre la jambe de son partenaire.
Le jeune salaud s'en rend compte, il comprend instantanément qu'il est en train de faire fondre, la mémé. Il s’enhardit à lui peloter les nichons en passant sous son chemisier, puis va encore plus loin, en passant sa main entre les cuisses. S'apercevant que la vieille ne porte pas de culotte et qu'elle a la vulve détrempée, il se penche à son oreille et lui dit :
- Viens, je sens que tu as une très grosse envie, viens vite !
Comme dans un rêve, Christine se laisse emmener. L'homme la guide vers les toilettes des hommes et y entre.
Le lieu est désert, une fois Christine entrée, il referme la porte derrière elle.
Il assoit la vieille femme sur le rebord du lavabo, la dépoitraille très vite, puis plonge entre ses cuisses, gainées de nylon, pour lui faire minette.
Tout va très vite, quelques courts instants plus tard, il baisse son jean et son caleçon. Après avoir remis la vieille debout, il la force à s'accroupir pour que sa bite soit au niveau de la bouche, qu’il imagine gourmande.
La femme n’a pas besoin de plus de sollicitation, elle est heureuse de retrouver cette folle sensation d’avoir une bite dans la bouche.
Quand le jeune salaud bande bien, il l'aide à se remettre debout, puis la retourne, la penche en avant, les mains sur le rebord du lavabo, les grosses fesses tournées vers lui et sans autre forme de procès, il l'encule.
Il lime rageusement ce vieux cul à l’anus encore bien souple pendant quelques longues minutes puis, sentant son plaisir arrivé, il retourne la mémé, la fait de nouveau s’accroupir devant sa queue et lui colle sa bite polluée dans la bouche. Très vite, il jouit comme un gros porc.
La pauvre femme sent cette semence tiède envahir sa bouche, elle en avale une bonne partie, non sans un léger haut le cœur. Son cerveau, totalement submergé par l’alcool et le stupre, ne réagit plus, et elle reste dans cet état, prostré.
Ensuite, tout se passe très vite. Le jeune homme arrache le soutien-gorge de la pauvre vieille hébétée et la repousse violemment. Tant et si bien qu'elle se cogne la tête contre la glace devant la cuvette. L'homme sort précipitamment des toilettes, se rend à la table que la pauvre femme occupait, fouille dans son sac à main et s’empare du porte-monnaie et du portefeuille. Puis, il se dirige précipitamment vers la sortie.
Pendant ce temps-là, Jacqueline a bien du mal à reprendre ses esprits.
Alors, après s'être mis un peu d'eau sur le visage, redonnait vie à sa tenue, au moins à peu près, elle ressort des toilettes pour homme et se dirige vers sa table pour reprendre son souffle.
Après quelques longues minutes, si le souffle est partiellement revenu, elle s'aperçoit qu'il n'a plus ni porte-monnaie ni portefeuille dans son sac à main.
Aussi, se dirige-t-elle vers le bar et essaie de se renseigner sur le jeune homme qui vient de la sodomiser si brutalement. Mais là, personne ne le connaît. Elle explique qu'elle s’est fait voler, ce qui ne semble pas émouvoir, outre mesure, le vieux barman, patron de l'établissement qui, en guise de compensation, lui offre encore un verre de whisky-coca.
Une fois le breuvage avalé, la pauvre femme décide de repartir. Elle passe à l'entrée, récupérer la petite veste qu'elle avait en venant et se dirige vers sa voiture, d’un pas mal assuré. Mais là, elle a un mal fou à trouver ses clés et n'arrête pas de pester contre elle-même. Elle s’égosille de plus en plus fort. Quand un voisin, excédé des cris de la mémé, appelle police secours.
Au moment même où Christine paraît avoir repris un peu ses esprits et retrouver sa clé de voiture et qu'elle essaie de s’asseoir à la place du conducteur, La main puissante d'un policier l’attrape par l'épaule et la retourne.
- Vos papiers, s'il vous plaît.
C'en est trop pour elle. Elle commence à râler, puis à injurier le pauvre fonctionnaire.
- Ce salaud m’a piqué mes papiers et c'est moi que tu viens emmerder, connard !
- Calmez-vous, madame.
- J’ai pas à me calmer, c'est toi qui ne fais pas ton boulot, gros con de flic !
- Arrêtez tout de suite, madame, sinon on vous embarque.
Mais Christine, parti en délire, crie de plus en plus fort, la situation dégénère, la femme devient agressive physiquement et tente de griffer le policier. Ce petit manège dure plus de cinq minutes, si bien que le fonctionnaire, n’a d’autre moyen que de la faire monter dans la camionnette avec laquelle il est venu. Et la tâche est ardue, car la femme se démène comme un beau diable.
L’agent de police se place à côté d’elle, sur la banquette de la camionnette, tandis que son collègue redémarre, direction le commissariat central.
La vieille femme fait un foin, elle cherche à toucher le sexe de l’homme à ses côtés, et, n’y arrivant pas, elle ouvre en grand son chemisier, en faisant sauter quelques boutons, et commence à crier au viol.
Heureusement, ils arrivent bientôt dans le parking en sous-sol du commissariat. Dès la portière ouverte, Christine retire sa veste et se retrouve avec ses vieilles mamelles à l’air, puis elle remonte sa jupe en gueulant :
- Alors les fiottes, qui ose venir me sauter.
Les fonctionnaires ont toutes les peines du monde pour l’emmener, en essayant de la rhabiller, dans une cellule de dégrisement.
Tout le reste de la nuit, elle cria, elle se dévêtit totalement, et ne finit par s’endormir, que sur le coup de cinq heures du matin.
Vers neuf heures, un officier vient ouvrir la porte et annonce :
- Alors la pochetronne, on a terminé son cirque ?
La pauvre femme est encore dans les vapeurs stupéfiantes de l’alcool et peine à cacher ses gros seins lourds.
- Allez, habille-toi, on va passer dans mon bureau.
Christine s’habille sous le regard concupiscent de l’homme qui affiche un sourire goguenard. Une fois sa jupe enfilée, elle s’aperçoit que son chemisier est en manque de boutons, et qu’elle ne pourra pas le fermer correctement.
Elle suit le jeune officier dans les couloirs qui sentent le rance, et arrive dans un petit bureau, défraîchit, où elle est invitée à s’asseoir.
- Bien… Vous devriez avoir recouvré la raison, non ?
- Si...
- Si qui ?
- Si, monsieur l’agent.
- Vous savez pourquoi vous avez dormi dans notre hôtel ?
- Oui et non, je ne me souviens pas de la soirée d’hier.
- Vous avez bien conscience d’avoir dormi nue, non ?
- Oui… Et alors que l’homme fronce les sourcils, elle ajoute d’une petite voix : Monsieur l’agent.
- Estimez vous que c'est une attitude correcte pour une femme de votre âge ?
- Non, mais…
- Mais quoi ?
- Non, vous avez raison…
- Vous souvenez vous au moins avoir agressé mon collègue dans le fourgon ?
- Non, aucun souvenir… Monsieur l’agent.
- Et avoir voulu qu’on vous baise dans le parking ?
- Non, j’ai honte de ce que vous me dites… Ce n’est pas moi ça !
- Et d’être totalement saoule, vous ne vous souvenez pas non plus ?
- En fait, non, je suis désolée !
Vous avez fait un scandale au "crocodile argentin", vous vous en souvenez au moins ?
Une petite lumière s’allume alors dans le cerveau de Christine, la mémoire lui revient, ce bellâtre, son sexe généreux, la baise sauvage dans les toilettes, son anus grand ouvert, le goût de ce sperme onctueux… Mais qui sortait d’une queue polluée par son propre corps. Et la surprise dans son sac à main, ses sous et ses papiers envolés.
L’énervement, la honte, le tout totalement mêlé. Ses clefs de voiture qu’elle ne retrouvait plus, et ses jurons, si peu discrets. L’arrivée des flics, et, d’un coup, son comportement vis-à-vis des agents de la force publique.
Elle se souvient avoir exhibé ses vieilles mamelles flasques, rien de vraiment très beau, pour ces hommes jeunes. Sa chatte aux poils gris et rares, ses cris dans la cellule, et même, qu’elle s’est masturbée. Et, sans en être totalement sûre, qu’elle a pissé dans le coin de la pièce !
À nouveau, elle sent cette chaleur terrible qui lui monte au visage, elle doit être rouge pivoine, limite à mourir de honte. Réussissant enfin à articuler un peu, elle souffle :
- Oui… J’ai dû être très conne...
- C'est rien de le dire !
- Je tiens à m’excuser…
- Vous excuser ! Et après ça, une petite fessée, un gros câlin, et la bêtise est pardonnée ? Non, madame, encore que de vous appeler madame me semble être une hérésie, ici, c'est la loi qui s’applique, avec des peines allant de l’amende à la prison, en avez-vous conscience ?
- Je suis vraiment désolée… Et la pauvre femme éclate en sanglot, enfouissant son visage cramoisi entre ses mains.
- Dura lex sed lex, Madame… Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de t’appeler connasse !
Ses pleurs redoublent, mais dans un silence relatif.
- Bon, j’ai votre adresse, je vous rédige votre amende et passerai chez vous dans la semaine. Pour le moment, vous êtes libre.
Christine s’apprête à sortir des lieux, quand une voix l’interpelle :
- Ton sac ?
Elle allait oublier que les flics avait ramassé son sac à main durant la nuit. Elle se précipite sur l’objet qui est en évidence sur le comptoir, va pour s’en emparer, mais le sac résiste.
- Qu’est-ce qu’on dit, vieille truie ?
- Merci.
- Merci qui ? Connasse dépravée.
- Merci monsieur l’agent.
Et elle récupère la précieuse besace et sort précipitamment du commissariat
Très vite, la pauvre femme, qui ne ressemble plus à rien, presse le pas vers le dancing. Les gens qu’elles croisent, la dévisagent souvent ou la détaillent du regard, se demandant bien que fait cette vieille pute dans la rue, de si bonne heure.
Elle arrive une petite demi-heure plus tard sur le parking de la boîte. Trouve tout de suite ses clefs de voiture, cette fois-ci. Monte à bord et démarre.
Arrivée devant son pavillon, elle prie pour qu’aucun de ses voisins ne soit dehors, mais quand on est maudit !
Le voisin, son épouse et un couple qu’elle ne connaît pas, sont en grande discussion devant leur portillon. Ne pouvant pas rester dans sa voiture sans attirer plus l’attention, la pauvre femme s’extirpe de son véhicule, encore endolorie de la nuit sur le béton qu’elle vient de passer, et va ouvrir son portail, puis revient à sa voiture, entre sur son terrain, et sort précipitamment de sa voiture pour s’engouffrer chez elle.
Les voisins sont fort surpris du manège.
Quelques jours se passent, Christine n’ose plus sortir de chez elle. Et jeudi matin, sur le coup de dix heures trente, la sonnette retentit.
Depuis le samedi précédent, elle n’est pas ressortie pour refermer son portail, ni, d’ailleurs, rentrer sa voiture dans le garage.
Ouvrant la porte sans crainte, pensant que c’était le facteur, elle tombe nez à nez avec l’officier de police qui lui a fait passer son interrogatoire. Mais aujourd’hui, il est en civil.
- Police nationale, je viens vous remettre les conclusions de l’enquête et l’avis du procureur de la république. Puis, sans y être vraiment invité, l’homme pousse la porte en entre dans le vestibule.
- heuuu… Entrez, je vous en prie…
- Voilà, vous êtes recevable d’une amende de cent trente-cinq euros.
- Ça tombe extrêmement mal !
En effet, la veille, elle a appris, par sa banque, qu’elle avait un arrêt-saisie sur sa retraite, du moins la pension de réversion de feu son mari. Et elle craint de devoir revendre la maison, si les informations de sa banque sont bonnes. Aussi, une amende en plus, qu’elle ne pourra pas régler tout de suite, donc qui va être multiplié par quatre, au moins, est une catastrophe.
- Vous semblez gêner, des soucis financiers ?
- Malheureusement oui. Laisse tomber la pauvre femme.
N’ayant pas prévu de sortir de chez elle, ni d’avoir de visite d’ailleurs, elle est nue sous un peignoir mal fermé. L’officier de police peut voir les gros seins lourds qui tombent sur une panse naissante.
- Allez, vieille folle, je ne suis pas un monstre, fais-moi une bonne pipe et on oublie l’amende.
Tout en disant cela, il prend la main de la femme et la guide jusqu’au canapé. Mais, il prend bien soin de laisser la porte d’entrée grande ouverte. Arrivée au sofa, il baisse son pantalon et son slip, puis s’installe confortablement, ensuite, il ordonne :
- À poils, salope.
Christine, surprise de la situation, perd tout son libre arbitre, et fait glisser son peignoir au sol.
- Approche, que je puisse tripoter un peu ta crèmerie.
Toujours sans autre réaction, la vielle femme vient se coller contre les jambes de l’agent. Se laisse tripoter, puis, d’elle-même, se penche pour prendre le sexe dressé dans sa bouche.
- À quatre pattes, mémère, et suce-moi comme si ta vie en dépendait.
Les réflexes reviennent vite, et la vieille salope pompe maintenant comme une jeunette, en branlant le manche en même temps, avec un art consommé de la fellation.
L’homme se laisse aller à son plaisir, mais se dit qu’il serait dommage de ne pas goûter à cette vieille chatte, pendant qu’il est là.
- Stop ! Arrête… Je vais te la mettre dans la chatte.
L’homme se dégage de la femme, se lève d’un bond, tel un chat, puis aide la vieille femme à se remettre debout. Quand elle y est, il la pousse vigoureusement pour que ses mains s’appuient sur l’assise du sofa. Là, d’une main experte, il place sa queue gonflée à l’entrée de la vulve, et pousse d’un coup, faisant ainsi entrer tout son membre dans l’antre féminin.
- Putain, mémé ! Tu es bouillante… Tu dois en prendre souvent de la bite, hein salope ?
Christine ne répond rien, mais semble bien apprécier cette queue de belle taille qui lui vrille le ventre.
- Allez, dis-le que tu es une salope...
- Je suis une salope…
- Plus fort, chienne.
- Je suis une salope.
- Encore plus fort, crie-le que tu es une vieille salope en chaleur.
Cette fois, prise par l’orgasme qui monte très fort, elle se met à crier très fort : Oui ! Je suis une salope !
- Une vieille salope...
- Oui ! Une vieille salope…. Tu vas me faire jouir...
Mais le mec a une autre idée et se dit qu’autant en profiter pour enculer cette mémé qui paraît être une bonne vieille chaudasse.
- Attend, morue.
Et il se retire d’un coup sec du vagin détrempé, pour venir placer son gros gland contre l’œil de bronze. Là, d’un grand coup de rein, il encule la vieille jusqu’à la garde.
- Haaaa…
- Dis-moi que tu es une enculée… Allez...
- Je suis une enculée.
- Plus fort, crie-le que tu es une enculée.
À nouveau, la pauvre femme obéit et se met à crier à tue-tête qu’elle est bien une enculée.
- Salope, tu vas me faire cracher.
Et, se cramponnant fermement aux hanches, l’homme décharge sa semence dans le gros cul dont il a pris possession. Ensuite, tout va très vite, il repousse la vieille qui s’affale sur le canapé, remonte son slip et son pantalon, et, tout en finissant de fermer sa braguette, annonce :
- T’es bonne, mamie, je reviendrai te fourrer quand j’aurai le temps, à plus.
Et, pour finir, l’homme sort de la maison, mais juste avant, ordonne encore :
- Crie-moi encore que tu es une sale enculée.
Bien qu’elle soit totalement ruinée par la chevauchée énergique qu’elle vient de subir, que son visage soit posé contre l’assise du canapé, elle trouve encore la force de crier :
- Oui ! Je suis une enculée !
Tout ça c’est passé si vite, que, lorsqu’elle a repris son souffle, et une partie de ses esprits, elle se rend compte que la porte de la maison est grande ouverte. Elle sait ses proches voisins avoir l’ouïe fine, aussi se presse-t-elle à aller à la porte pour la fermer. Mais trop tard, son diable de voisin est dans la rue, à sa hauteur, et la salue avec un air moqueur. Pas étonnant, la pauvre vieille a totalement oublié qu’elle est nue comme un ver. De plus, un liquide épais et blanchâtre coule de ses fesses et se répand sur le sol. Et en parlant de ver, elle se réfugie dans la cuisine et sort un verre, ainsi que la bouteille de vodka.
Samedi arrive, une fois encore, une triste soirée. Christine met le nez dans la boisson, le programme télé est nul, comme tous les samedis soirs. Finalement, sur le coup de dix heures, après avoir bien biberonné, elle se sent pousser des ailes et décide de sortir en boîte de nuit.
Pas question, bien sûr, de retourner dans le même établissement que la première fois. Elle choisit alors une boîte de nuit plus classique où il y aura sûrement, plein de jeunes et peu de personnes mûres.
Bien qu’engourdit par la vodka, à laquelle elle a jeté un sort, elle se maquille correctement, ou presque, puis s’habite d’une robe arrivant à mi-cuisse, cette fois pas de soutien-gorge, ni de culotte, elle sortira légère !
La voiture la conduit bien plus qu'elle ne la conduit. Elle se retrouve bientôt garée dans la rue, à deux pas de cette boîte à la mode
Dans la queue qui a devant l'établissement, elle s'aperçoit que, finalement, il y a pas mal de gens de son âge et ça la ragaillardit, quelque peu.
Une fois entrée dans l'établissement, elle se promet de ne pas abuser de l'alcool et commence par commander un jus d'orange.
L’endroit se construit autours d’une grande piste de danse, une vaste salle parsemée de petites tables rondes avec trois à cinq fauteuils autour, au fond, contre les murs, de longues banquettes dans la même matière que les fauteuils. Le bar, qui prend les trois quarts de la largeur des lieux, trône dans un coin, avec de grands miroirs, des lumières multicolores, et des serveurs qui s’agitent.
Bien qu’il soit encore tôt dans la soirée, l’endroit se remplit très vite, et bientôt, trouver une table pour y être seule devient impossible pour Christine. Pas question non plus de laisser son sac à main pour marquer son territoire, alors elle se rend au bar et commande un jus d’orange.
Par chance, elle trouve la dernière table vide et s’y installe. Et quelques minutes après, deux femmes dans ses ages, viennent et lui demandent si elles peuvent se mettre aussi à sa table.
- Oui, je suis seule, donc venez, installez-vous.
- Merci beaucoup.
- Je vais chercher à boire, s’exclame l’autre femme et elle disparaît en direction du bar.
- Vous venez souvent ici, commence par demander la nouvelle arrivante à notre héroïne.
- Non, c'est la première fois en fait, je suis veuve depuis deux ans, et l’absence de mon homme me manque, mais j’ai aussi envie de sortir et voir du monde.
- Georgette, et mon amie Claude, nous, on vient pour danser uniquement.
- Je n’en doute pas, pour ma part, si je trouvais un beau chevalier servant, je ne serais pas contre.
- Nous, on vient pour danser, mais soyons franches, si un beau mâle s’approche, nous ne nous effarouchons pas comme des vierges !
- Tenez, pour vous remercier de nous accepter à votre table, c'est Claude qui tend un verre de vodka-orange à Christine.
Les trois femmes parlent fort, d’abord parce que la musique est forte, elle aussi, mais aussi parce que de tournées en tournées, les trois viandes à boîte de nuit commencent à en avoir un sérieux coup dans la pipe.
Alors que Christine va au bar pour commander sa troisième tournée, elle est légèrement bousculée par un jeune homme. Elle reste comme pétrifiée ! Ce jeune lui rappelle son défunt mari quand elle l’a connu. Grand, blond, les yeux verts, carré, mais sans excès, un large sourire ravageur, une jolie voix qui s’excuse du dérangement.
Remontée instantanément à bloc, la vieille femme souriy et répond poliment :
- Ce n’est rien, jeune homme.
- Mais si, je suis confus de vous avoir bousculé, laissez-moi vous offrir un verre pour me faire pardonner.
- Si ça vous fait plaisir.
Sylvain commande deux whisky-coca et se tourne vers la femme. Il affiche un grand sourire, et quand la commande arrive, il lève son verre et rend hommage à celle qu’il vient de bousculer malencontreusement.
Et voilà mémé avec encore un verre d’alcool, de plus, dans le corps. Elle écoute à peine le blondinet lui expliquer qu’il est pompier, nouvellement muté en ville, qui ne connaît personne ici. Elle le dévore des yeux, allant de ses beaux cheveux blonds comme les blés mûrs, à ce visage si doux, ce cou merveilleusement dessiné. Ces épaules, droites, fières, ce torse qu’elle devine sous la chemise assez épaisse. Et cette bosse au niveau de la braguette, quelle bosse ! Elle doit masquer un sacré engin. Elle sent son vagin se liquéfier et une cyprine chaude et épaisse, glisser sur le haut de ses cuisses.
Cet homme, bien que jeune, n’est pas sans expérience. Là, il voit parfaitement qu’il vient de taper dans l’œil de mémé, et il ne serait pas surpris de constater qu’elle mouille abondamment. Remarquant que la femme est dans un semi-coma amoureux, il en profite et propose :
- Je suis venu avec l’ambulance des pompiers, ça vous dirait de voir comment c'est fait ?
Christine s’entend accepter, comme dans un rêve, et bientôt, elle sent une main puissante s’emparer de la sienne. Alors, elle se laisse conduire, sans retrouver son libre-arbitre.
L’air frais qui frappe son visage sort la vieille femme de son état second. Mais pas encore assez pour s’opposer à ce jeune et bel étalon qui la conduit vers le plaisir. Du moins, l’espère-t-elle.
Tout va très vite, Sylvain ouvre la porte arrière de l’ambulance et fait monter la femme, puis referme la porte derrière eux. À peine la porte refermée, il enlace la femme et l’embrasse comme du bon pain.
Christine sent des mains parcourir son vieux corps sous ses vêtements, puis, répondant favorablement aux caresses, se laisse déshabiller.
- Ha ! Toi, au moins, tu es une vraie cochonne !
La femme se laisse guider et se retrouve assise sur le brancard, puis allongée dessus.
L’homme lui offre sa queue déjà développée, sans être encore en pleine érection, à sucer.
La vieille femme s’applique, il lui semble qu’elle fait un bond de plus de quarante ans dans le passé, elle a ‘impression de sucer son défunt mari quand il était jeune.
Ne perdant pas de temps, Sylvain retire son froc et monte sur le brancard, en moins de temps qu’il ne fout pour l’écrire, le voilà prenant possession du vieux vagin. Le gros membre glisse très bien dans cet antre détrempée.
Très vite, Christine se met à couiner comme une jeune gorette.
- Putain ! Qu’est-ce que t’es bonne, salope. L'homme se lâche et pistonne frénétiquement cette chatte détrempée.
La pauvre femme est ballottée de tous côtés. Mais qu’est-ce qu’elle aime cette force, cette puissance, cette fougue.
- Attends mémé j'ai envie de te la foutre dans le cul.
Et, joignant le geste à la parole, repli les vieilles jambes par-dessus le cul, les genoux autour des oreilles, et là, d'un grand coup de rein, pouce sa pine dans l'anus souple.
La vieille femme, plus surprise que souffrant de l'introduction, pousse un grand cri. Puis, se laisse aller au rythme des va-et-vient de ce membre qui envahit ses boyaux.
- Hé bien ! Mémé, tu aimes ça, le cul
- Oui j'adore.
- Ton trou du cul n'a pas été visité récemment semble-t-il, tu vas me faire cracher dans tes boyaux !
- Oui, vas-y fais-toi plaisir… Reste en moi.
Sylvain jouit bruyamment on se cramponnant aux hanches grasses, mais douces.
- Tu vas en avoir, du jus de couilles, vieille salope !
Puis il s'écroule sur le corps de la femme pour reprendre son souffle.
Elle, elle cherche un baiser profond. Quelque chose qui pourrait lui faire croire à l’amour, et pas simplement au sexe.
Le blond se laisse embrasser, c'est une façon de remercier cette vieille de lui avoir offert son corps.
C'est le baiser, qui dure, il est si doux pour Christine, qu'elle tombe immédiatement amoureuse de ce jeune et bel étalon.
Mais dans l'état d'alcoolémie avancé où se trouve la pauvre femme, elle tombe rapidement dans les bras de Morphée.
Le jeune homme ne la laisse pas dormir, il la secoue un peu en lui disant encore :
- Allez mémé, je vais te ramener chez toi, ce n'est pas prudent que tu prennes ta voiture.
Christine trouve encore la force de donner son adresse puis retombe dans une sorte de coma éthylique.
Ce n'est pas mal de se faire accompagner par un preux chevalier en ambulance des pompiers. Quand l'homme stoppe son véhicule devant la grille du portail ouvert, il repasse derrière et la secoue à nouveau.
- Allez, debout mémé, on rentre à la maison.
L'homme la soutien et la guide.
C'est à ce moment que Christine se souvient que son sac est resté dans sa voiture. Elle trouve la clé de secours sous un pot de fleur, avant d’ouvrir la maison.
Une fois à l’intérieur, Sylvain, lui lâchant les bras, est prêt à repartir, mais la femme s'accroche à lui, l’implore de rester et de passer la nuit avec elle.
Après tout, il n'a rien de mieux à faire et estime avoir déjà assez picolé pour cette nuit. Et, finalement, lui en refoutre un coup dans ce cul, n'est pas pour lui déplaire.
Christine tout en se déshabillant emmène le jeune homme dans sa chambre où le lit n'a pas été fait. Elle s'allonge en repoussant les draps par terre et attire à elle son beau pompier.
- Allez viens mon chéri, déshabille-toi et viens vite. J'ai besoin de ta chaleur.
- C'est toi qui en chaleur ! Tu es une vraie chaudière ! J'ai une de ses envies de te fourrer ma bite dans ton gros cul, si tu savais.
Dès qu'il est sur le lit, Sylvain offre sa belle pine à la bouche avide de la vieille femme. Cette queue encore maculée de taches brunes venant de ses entrailles.
- Allez, suce, ma vieille… Ma bite a le bon goût de ton cul, tu sens ?
Christine produit un grognement dont on ne saurait dire si c'est d’acceptation ou non. Toutefois, elle suce toujours avec avidité cette jeune et belle bite, elle s’imagine quarante-cinq en arrière quand elle a fait la première pipe à celui qui devint son mari.
- J’adore les vieilles chiennes qui sucent après la sodo ! Et qui aiment ça !
- J’aime tout de toi…
La voix féminine est pâteuse, la langue colle au palais, au point ou elle en est, elle serait prête à tout, et surtout à n’importe quoi.
- Allez, viens, je vais te baiser, mémère.
Joignant le geste à la parole, l’homme aide sa partenaire à se mettre sur le côté, lui lève la jambe droite, et lui enfourne sa pine dans le vagin détrempé.
Très vite Christine jouit bruyamment sous les assauts de cet étalon.
- T’aimes ça la bite, hein, vieille chienne ?
- La tienne me rend folle, continue ! Au pire, je vais mourir de plaisir.
Sylvain redouble de vigueur. Bientôt, il sent un liquide chaud coulé sur ses couilles, puis sur ses cuisses.
- Tu pisses, mémère ? T’es plus étanche ?
Elle est tellement prise par son plaisir et les orgasmes à répétitions qu’elle ressent, qu’elle s’est lâchée totalement.
Que la femme se pisse dessus excite terriblement le pompier, dont les coups de boutoirs sont de plus en plus forts. Il sait que sa queue tape au fond du vagin contre le col de l’utérus, et il n’a de cesse que de dilater ce col pour pouvoir enfin coller sa queue dans cet anneau, si serré habituellement.
Mamie crie, secoue la tête dans tous les sens, fait des mouvements désordonnés avec ses membres.
Ça y est ! Son gland a franchi le col, semble-t-il. Sa longue queue est entrée en entier dans le corps de la vieille femme, et il sent cette morsure de l’anneau autour de son gland.
Christine pousse un cri terrible, non pas qu’elle souffre de cette introduction si étrange, mais la sensation est si nouvelle, si intense, qu’elle ne peut plus se contrôler.
Ressortant d’un coup sec son engin, il poursuit :
- Ta moule me brûle la bite, je vais te prendre les fesses.
- Oui… Tout ce que tu veux...
Il repousse la jambe droite sur le lit et met la mémé sur le ventre, puis il attire le gros cul vers lui, écarte les fesses et annonce :
- T’as les fesses sales, mais, tant pis, j’ai trop envie de t’enculer.
Toute honte bue, Christine se laisse prendre par l’anus, et très vite ensuite recommence à jouir.
Bien que très excité, Sylvain lime consciencieusement le vieil anus en se retenant de jouir, l’idée de refoutre sa bite bien polluée dans la bouche chaude de sa partenaire lui plaît énormément.
La femme n’en peut plus, elle a orgasmes sur orgasmes, si ce n’était pas si bon, ce serait presque douloureux.
Mais bientôt, le jeune homme, malgré une forme physique hors du commun, sent monter sa semence. Il ressort sa bite, dans le même mouvement, retourne sa partenaire, se place à genou à côté de sa tête et plonge sa queue souillée dans la bouche entrouverte.
- Ma bite, ta merde et ta pisse, et mon sirop de couilles, que du bon, que du bio. Et il lâche la purée dans un concert de jurons.
Quel spectacle ! La bouche encore entrouverte avec du foutre qui en sort, des taches brunâtres aux commissures des lèvres, le rouge à lèvre tout autour de la gueule, le rimmel qui coule, la vieille ne ressemble vraiment plus à rien.
Quand le jeune homme reprend ses esprits, et connaissant les femmes, il se lève et prend son smartphone pour faire quelques clichés, du visage défait, mais aussi des fesses maculées et de la chatte défoncée. Le temps qu’il pose l’appareil, la vieille dort, et il décide de faire aussi une sieste.
Plusieurs fois dans la nuit, Sylvain se réveille, et à chaque fois, il baise la vieille, qui se réveille, jouit fébrilement, puis se rendort dès qu’elle a reçu sa dose de foutre dans le ventre.
Au petit matin, laissant la vieille femme reprendre des forces, et fort des points qu’il a marqués durant la nuit, il se lève doucement, griffonne son numéro de téléphone et le petit mot : "si tu es aussi amoureuse que tu me l’as dit, tu ne manqueras pas de m’appeler très vite". Ensuite, il rassemble ses affaires et sort de la maison.
À son réveil, Christine sent monter une grosse angoisse, le beau pompier est parti, bien sûr ! Il ne va pas s’amouracher d’une vieille carne comme elle, mais quelle nuit !
Elle se débarbouille rapidement, mais décide de ne pas se laver pour garder les odeurs de l’homme le plus longtemps possible, elle se fait un café, et c'est seulement quand elle vient sur la table de la salle à manger, qu’elle voit le petit mot avec le numéro de téléphone !
Elle est comme folle, et passe tout de suite un appel, qui tombe, bien entendu, sur le répondeur. Qu’à cela ne tienne, elle lui laisse son téléphone, son e-mail et un message comme quoi, il peut venir quand il veut, et elle termine en lui disant qu’elle l’aime.
Quelques heures plus tard, un texto arrive, avec trois photos, sa gueule souillée, son trou du cul et sa chatte, le texte et court : "merci pour cette nuit de folie et de plaisir immense, moi aussi, je pense très fort à toi".
Elle se pince les deux tétons très très fort pour être sûr de ne pas rêver.
Plusieurs fois, l’homme vient la voir, il est toujours charmant durant la première partie de soirée, mais dès qu’arrive le moment du sexe, il devient différent, vicieux, limite brutal parfois. À chaque fois, il ressort les photos en se moquant de la pauvre vieille en lui disant des choses comme "tu t’es quand même chié dessus la première fois que je t’ai mis ma bite", ou encore, en commentant la photo du visage maculé :"tu fais vraiment vieille pute en fin de tapin, là" ou bien : "on dirait un vieux clown vicelard", voire parfois : "t’es plus étanche, mémé" ou "tu pisses encore au lit quand tu jouis ? Même quand tu te branles ?".
Bien entendu, ces moqueries ne plaisent pas du tout à Christine, mais elle ne veut surtout pas contredire ce bel étalon, elle a trop peur de le perdre.
Et à chacune de ses visites, elle se met sur son trente-et-un, sort sa plus belle lingerie, passe des heures à se préparer.
Et à chaque fois qu’il repart, au petit matin, elle est de plus en plus amoureuse.
Un jeudi midi, après une rude matinée de boulot, Sylvain appelle et intime l’ordre à la pauvre vieille de se tenir nue, avec seulement des bas, un porte-jarretelles et des escarpins à talons fins, ceux justement, qui lui font si mal aux pieds.
- Tu es bien mignon, mais il fait froid !
- Pousse ton chauffage à fond, faudra qu’il y ait plus de vingt-cinq degrés dans la maison.
- Que ne ferais-je pour toi...
c’est vers treize heures trente que Sylvain arrive, dès que la porte est déverrouillée, il entre en trombe et prend Christine par la main. Il l’entraîne jusqu’à la salle à manger, et, sans autre forme de procès, ouvre sa braguette et prend brutalement possession de cette vielle vulve déjà toute luisante d’envie.
La porte d’entrée est restée légèrement entrouverte.
Le jeune homme lime comme un démon, ne mettant pas longtemps pour que sa partenaire ait son premier orgasme, suivi d’une multitude d’autres.
- Avec ma jeune carotte, c'est vraiment dans ton vieux pot qu’on fait de la bonne soupe !
La vieille blonde commence à être habituée à ces grossièretés, et finalement, ça l’excite. Là, elle est hors du temps, tout à son plaisir. Et, alors qu’elle voyage dans les étoiles, elle se retrouve avec une bite dans chaque main de chaque côté de la table.
- J’ai dit à mes potes que tu étais une vieille pute vraiment confortable, ils veulent t’essayer, alors suce-les, et aussi bien, que tu me suces.
Ensuite Sylvain se retire de ce sexe coulant et va s’asseoir sur le canapé, regardant le spectacle de ses deux potes s’occupant de sa petite amie.
Tour d’abord, Bruno, le plus âgé de la bande, attire à lui la femme en la faisant glisser sur la table et lui fourre sa pine dans la bouche :
- Allez, Mémé, fais voir comme tu es une bonne vieille suceuse.
Pendant ce temps-là, Alain,s’amuse à écarter les vielle jambes pour mettre ses doigts dans les deux trous.
- En tout cas, Mamie, tu mouilles comme une jeunette ! Quel âge as-tu ? Soixante-dix, quatre-vingts ?
- Soixante-cinq, mais tu as raison, Alain, à voir ses trous déglingués, on lui en donne beaucoup plus. Précise le jeune pompier depuis le canapé.
- En attendant, ta vieille pute, elle a du métier, elle suce vraiment bien. Bruno enfonce le clou.
Quelques longues minutes se passent, la pauvre femme commence à avoir mal à la mâchoire à force de sucer cette bite de belle taille.
- Allez, Bruno, laisses-en un peu pour les autres, demande Alain en retirant ses doigts du corps de la femme et en lui lâchant la jambe.
Retirant sa queue en pleine érection de la vieille bouche, l’homme s’empare d’une chaise qu’il vient placer devant le corps presque inerte de la vieille. Là, il s’assied et tire le lourd corps jusqu’à ce qu’il s’empale sur sa queue dressée.
- Non ! Ma chatte est réservée à mon amour ! Dis quelque chose, Chéri !
- Justement, comme ça m’appartient, j’en fais profiter mes potes, alors occupe-toi bien d’eux.
- Salaud ! C'est un cri désespéré que pousse la pauvre femme, comprenant qu’elle allait être l’objet d’une sorte de tournante de pompier.
Elle est maintenant à cheval sur ce diable d’homme qui la fait monter et descendre en la soulevant par les aisselles. Très vite, le dernier larron vient se faire sucer, alors elle ouvre la bouche et happe ce nouveau membre.
- Elle suce bien cette vieille salope, non ?
- Ha oui ! Elle a du métier mémère ! Répond alors Alain.
- Alors, je ne vous avais pas menti, les mecs… Sylvain dit ça sur un ton qui montre combien il est fier de sa copine, aussi âgée soit-elle.
Bruno redouble de vigueur, et fini par remplir le vieux vagin de son foutre chaud.
Christine jouit de nouveau plusieurs reprises.
- À ton tour, mon ami, dit Bruno en aidant la vieille à se remettre sur ses pieds.
- Dis, Sylvain, je peux l’enculer, j’ai pas envie de mettre ma queue dans le sperme de Bruno !
- Bien sûr, mon ami, elle est à ta disposition.
- Salaud, s’écrie encore Christine, bien que son cri soit moins fort que précédemment.
Alain pend la vieille à bras-le-corps, et l’allonge, ventre contre la table. Il écarte les grosses fesses, et, là encore, s’enfonce dans le vieux corps d’un seul coup.
Une fois de plus, la vieille ne met pas longtemps à jouir, à nouveau.
L’homme, excité comme il est, ne met pas longtemps non plus à inonder les boyaux de sa semence chaude.
Mamie reste allongée sur le ventre sur cette table qui a vu tant de repas sympas, de fêtes de familles, de soirées entre amis.
- Bon, salut Sylvain, nous, on rentre à la caserne.
- Merci pour ta pute, on reviendra, lance encore Bruno en refermant sa braguette.
En sortant, les deux compères laissent quatre billets de cinquante euros sur le meuble près de la porte d’entrée, dans le vide-poche.
Maintenant que ses acolytes sont repartis, Sylvain se lève du canapé, ouvre sa braguette et sort sa queue tout en venant devant le visage grimaçant de sa compagne, puis il annonce :
- Très bien Mamie, tu as été une bonne vieille pute, pour ta récompense, tu peux sucer ma bite.
Comme dans un rêve, Christine ouvre sa bouche et happe la bonne pine de son jeune amant.
Le jeune homme ne veut pas passer trop de temps pour la pipe, il a bien d’autres projets en tête pour son amie, aussi, très vite, il est prêt à jouir et annonce :
- Je vais te remplir ton troisième trou, comme ça, ta matinée sera complète !
Et il lâche la purée dans la bouche gourmande, mais malmenée, et la vieille femme avale tout.
- Parfait, dit-il en rangeant son sexe et prenant par la main son amie. Viens voir, tu as une surprise.
Et il guide la vielle femme par la main jusqu’au meuble de l’entrée, là, il désigne le vide-poche et les quatre billets, et poursuit :
- Tu vois, comme tu as été sage, les messieurs t’ont fait un petit cadeau…
Christine n’en revient pas et ouvre en grand ses yeux, avant de commencer à balbutier :
- Mais, c'est quoi…
- C'est ton salaire, ma pute, tu viens de faire tes deux premiers clients !
- Espèce de salaud ! Tu ne respecteras donc rien !
- Si… Mais pas toi, vieille morue.
- Connard !
- Bon, ferme-là, avec ce que tu as gagné aujourd’hui, ce midi, tu peux m’offrir un bon restaurant.
- Dégage, salaud, hors de chez moi !
- Bon, si tu veux, vieille putain.
Et joignant le geste à la parole, il repousse vigoureusement la main qu’il tenait, ouvre la porte et sort sans se retourner. Il sait parfaitement que très bientôt, elle le rappellera et lui demandera de revenir.
Christine s’affale sur le sol, et éclate en sanglots.
Les trois semaines qui suivirent cet épisode furent longues pour la vieille femme, elle pleura tous les jours et beaucoup. Elle ne trouva de réconfort que dans les bras de Bacchus, buvant le calice jusqu’à la lie. Tantôt pestant contre ce salaud de jeune pompier, tantôt contre elle-même, se traitant de connasse pour avoir rejeté un si bel étalon qui lui donnait de si fabuleux orgasmes. Et toute cette histoire, pour seulement deux cents balles.
Elle avait retardé le moment d’appeler le jeune homme, de peur de sa réaction définitive et sans appel. Mais ce vendredi matin. Après une nuit encore plus agitée que les autres, elle décide de crever son abcès et l’appelle vers onze heures.
Elle est heureuse d’entendre cette douce voix.
- Ça fait longtemps que tu n’as pas appelé, ça y est, tu ne fais plus la gueule ?
- Non, je ne faisais pas la gueule, mais tu m’as tout de même prostituée !
- Oui, bien entendu, donc la question est : maintenant, es-tu prête à assumer ton statut de pute ?
- Je ne sais pas… j’ai peur… j’ai honte.
- Je viens ce midi, tu m’expliqueras ça de vivre voix.
- Ho oui !
- Et tu n’oublies pas ton statut, tu mets une robe, mais bas, porte-jarretelles et escarpins, comme une bonne pute.
Et il raccroche.
Ça laisse peu de temps à Christine pour se préparer, mais aussi pour mettre un peu d’ordre dans sa maison, où l’on pourrait croire qu’un ouragan est passé.
Vers midi vingt, un coup de sonnet et Sylvain entre directement dans le logis. Il saute au cou de la femme quelque peu interloquée, et l’embrasse fougueusement, sans oublier d’aller sous la robe pour vérifier si ses directives ont bien été suivies.
De sentir à nouveau ses doigts magiques courir sur son corps, rend la vieille comme folle. Elle se laisse transporter par son plaisir si longuement attendu.
Sylvain en profite pour asseoir mémé sur le bord de la table de la salle à manger, et défait sa braguette avant de sortir sa belle pine, déjà toute gonflée de désir.
- Ta vieille chatte manquait à ma bite.
- Ho oui, prends-moi fort…
Le jeune homme, d’un coup de rein net et précis, enfonce sa queue entièrement dans le vieux corps.
En quelques instants, la femme a un orgasme qui dure plus longtemps que d’habitude, ses jambes tremblent et elle ne peut plus rien gérer.
Visiblement, totalement satisfait de l’effet qu’il produit, Sylvain ne cherche pas le record de durée, et lâche raidement ses spermatozoïdes dans le vagin détrempé.
- Ça fait du bien !
- Ho mon Chéri, tu m’as tellement manqué.
- À moi aussi, tu as manqué.
Est heureux que ce jeune pompier ne s’appela point Pinocchio, son nez aurait trahi son propos.
Reprenant assez vite son souffle et ses esprits, le bellâtre se dit qu’il est temps d’aller au restaurant, sa pute lui devant encore le repas fruit de ses deux premiers clients.
- Alors, tu nous l’offres ce resto avec tes premiers gains ?
- Ho ! j’ai si honte ! Il faut vraiment que je t’aime fort pour avoir fait ça.
Tu penses mémère, et c'est loin d’être fini, se dit le jeune homme.
- Le secret, ma Chérie, c'est de penser à moi quand tu fais le client, à moi, et au fric que tu ramasses.
- Pas si simple…
- Mais si, tu vas voir, ça améliorera bien ta situation financière. On sait ce qu’est la retraite. Bon, allez, mets ta jolie robe noire.
- Attends, je vais d’abord me laver l’entre-jambe, je coule ! C'est ton amour !
- Justement, les coulures sur tes bas sont extrêmement érotiques, alors reste comme ça.
- Mais ! Ça va se voir !
- Tant mieux, que tout le monde puisse voir la salope que j’ai, c'est super.
- Même pas une culotte ?
- Non ! Comme ça, te dis-je.
Finalement, faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, la femme se décide à obéir et va chercher sa petite robe noire qu’elle affectionne. Elle revient avec, et la passe devant son amant.
- Parfait, ton sac à main et nous allons au château de la Courtille, ça te va ?
- Mais je n’ai pas les moyens !
- Si, tu as deux cents balles qui suffiront bien pour deux menus "découvertes".
Sur ces bonnes paroles, le couple sort de la maison.
En entrant dans la salle à manger du château, Christine a l’impression que toute l’assemblée la regarde, que tous les convives savent qu’elle s’est prostituée pour venir ici. Elle ne se sent vraiment pas dans son monde.
Le maître d’hôtel, très stylé, les installe à une jolie table contre la baie vitrée.
Et sa chatte qui n’arrête pas de suinter. En voiture, elle s’est aperçue que les coulures se voyaient sur ses bas. Et en plus, quelle malchance, tout ça la fait mouiller ! Cette pensée la fait rougir.
- Tu as honte de quoi, pour rougir de la sorte ?
- J’ai des fuites ! Tu es un démon de ne pas m’avoir permis de mettre une culotte.
- Tu es comme les vieilles motos anglaises, elles ont de la classe, mais elles pissent l’huile.
Le repas est fin et délicat, les vins à la hauteur, c'est un pur moment de bonheur pour les amateurs des plaisirs de la bouche. Au moment de l’addition, mamie sort ses trois billets de cinquante pour payer la note, quand le serveur vient prendre l’argent, Sylvain dit alors :
- Tu vois, Chérie, l’avantage de faire la pute, ça remplit l’estomac ?
Christine devient rouge écarlate instantanément. Elle s’imagine tout de suite que le serveur et les convives alentours ont entendu la phrase de son bel amant. Mais ce n’est que son impression.
- Allez, on y va ma belle.
- Mais ! Et ma monnaie ?
- Fais la grande dame, laisse-le en pourboire
- Quarante euros, tout de même !
- On va en faire d’autres, des euros, et en faisant des heureux encore.
Et en sortant, à nouveau, la pauvre vieille devient rouge, elle sent sa chatte couler, et se dit que tout le monde doit le voir.
Dès qu’ils sont sur le parking, et alors qu’il y a deux couples pas loin, le jeune homme remonte la petite robe noire, et s’exclame :
- Tu vois, un bon repas te fait autant mouiller qu’une bonne bite !
La femme ne sait plus où se cacher, mais quand elle sent le doigt magique sur son bouton d’amour, elle ferme les yeux et oubli l’endroit, à ce moment-là, la tension nerveuse retombe, et elle s’envoie en l’air presque instantanément.
Au retour, comme Christine insiste pour que son amant reste avec elle, elle l’installe dans le canapé et annonce qu’elle va faire un café.
- Alors, ce resto ?
- Magnifique, mais tu aimes vraiment m’humilier devant tout le monde !
- Oui, j’avoue, et comme tu as tout de suite honte, ça m’excite encore plus.
- Petit salaud.
- Oui, mamie, mais c'est comme ça que tu deviens folle de moi, non ?
- Si… Le pire est que tu as raison !
Le jeune homme rejoint la femme dans la cuisine, là, il défait sa braguette et laisse tomber au sol son pantalon et son caleçon, puis il ordonne :
- Suce-moi, vielle salope que j’aime.
L’aveu de son amour, fait un effet terrible sur la femme qui ne sait plus quoi penser, et qui s’accroupit devant le sexe fièrement dressé. On pourrait la croire en dévotion devant une idole des temps anciens.
Cette fois, fort de Son self-control, le jeune se retient et fait durer la pipe.
Quel bonheur de sucer, mais l’exercice dure, dure… Et bientôt la blonde a une envie de faire ses besoins, mais elle essaye de se retenir et de en pas gâcher l’instant magique de cette pipe.
- Tu suces bien ma pute, t’es une vielle pute, mais de classe internationale !
Là, c’en est de trop pour la pauvre femme, et n’y tenant plus, elle pisse en plein milieu de la cuisine.
Sylvain s’en aperçoit et s’écrit :
- T’es plus étanche, vieille folle, j’adore quand tu te pisses dessus tellement tu es accaparée par ton plaisir.
- Ho ! j’ai honte ! Voilà que je pisse devant toi !
- C'est bien, une pute ne doit pas avoir d’intimité devant son homme ! Allez, mets-toi debout que je fourgonne cette vieille chatte pleine de pisse.
Là encore, Christine obéit et se remet debout.
L’homme la retourne et la colle sur la table de la cuisine, le ventre rond fait que, sous les coups de boutoirs, les seins touchent la table froide par intermittence.
Très vite, ses jambes tremblent et ne portent plus la pauvre femme. Heureusement que cette folle queue qui la travaille, la maintient également.
- Allez, sac à pisse, maintenant, je vais te la mettre dans la boîte à crottes.
Jamais, elle n’aurait pensé que des gros mots et des insultes, puissent l’exciter ! Et là, ces gros mots et ces insultes, font encore plus que de l’exciter, ils la font jouir carrément.
Sylvain sait parfaitement que la mémé est folle de lui et qu’il peut tout se permettre, ou presque. Et il se met à limer ce vieux fion comme un démon, arrachant de grands cris à sa pauvre partenaire.
Elle bouge sa tête dans tous les sens, autant que la table lui permet de le faire, ses jambes tremblent à nouveau, ses neurones sont en court-circuit, elle ne sait plus où elle est. Son corps n’est plus qu’un amas de plaisir intense, de feu orgasmique ardent.
- Allez, debout, tu vas boire à ma source de jouvence.
Et, sans trop de ménagement, le pompier tire la vieille et la guide pour qu’elle s’accroupisse devant la table. Là, il enfourne sa queue malodorante dans la bouche à sa disposition.
En trois coups de langue, les jets bouillants se succèdent dans la bouche chaude. Mamie avale tout ce qu’elle peut, mais il y en a de trop et une partie du foutre coule aux commissures de ses lèvres.
- T’aimes ça, le jus de couilles, hein, vieille morue.
- Oui, Chéri, ho oui…
- Et tu aimes aussi ma pine…
- Ho que oui !
- Même quand elle pue la merde ?
- Oui… L’acquiescement se fait, cette fois, d’une toute petite voix.
- Et après, tu pues de la gueule ! Tu me diras, ça change de ton haleine de vioque.
Toujours accroupie, et toujours sur son petit nuage, la pauvre femme sent, subitement, que quelque chose coule de son anus. Elle est en train de chier !
- Oui, vieille dégueulasse, oui !
- Ho pardon !
- C'est bien, tu as tellement joui que tu ne peux plus retenir ton corps, c'est bien.
Et, repoussant doucement la femme, il ordonne encore :
- Ne bouge surtout pas, je reviens de suite.
Ensuite l’homme sort de la pièce, après avoir remonté caleçon et pantalon, bricole un peu dans la salle à manger, puis revient avec son smartphone.
- Ne bouge surtout pas.
Et Sylvain prend plusieurs photos sur lesquelles on voit la pisse et la merde de sa partenaire, la chatte et le cul souillés, puis quelques vues d’ensembles sur lesquelles on voit très bien le corps et surtout le visage de Christine.
En refermant sa braguette, il annonce :
- Bon, j’ai encore du taf, mais merci pour ce gastro et cette partie fine bien cradouille. Je t’appelle quand j’ai fini mon astreinte qui commence tout à l’heure.
Et il sort.
À neuf heures, le lendemain matin, la sonnerie du téléphone sort mamie de sa rêverie. Elle a passé toute la nuit sans dormir, à se poser moult questions quant à ce qu’elle vie, ce qu’elle accepte, et ce que son corps lui fait.
Elle décroche, et c'est la voix de son bel amour qu’elle entend.
- Je fais cours, je suis au taf, d’astreinte, mais j’ai un collègue qui va passer, la totale pour cent balles. Bisous. Et il raccroche.
Christine fait rapidement un peu de rangement, puis elle met ses bas, son porte-jarretelles, son beau soutien-gorge et ses escarpins. Ensuite, elle enfile une jolie robe fleurie par-dessus tout ça.
Un peu après dix heures quinze, un coup de sonnette. Elle se souvient avoir verrouillé le portail, aussi s’empare-t-elle des clefs pour aller ouvrir.
En sortant, et avant d’arriver au portail, elle voit les voisins qu’elle salut, tout en rougissant, comme si elle était prise en flagrant délit de racolage.
L’homme qui attend est un grand escogriffe de près d’un mètre quatre-vingt-dix. Une barbe courte et des cheveux courts presque roux. Quand la vieille femme est presque au niveau du portail, il annonce clairement, d’une voix puissante :
- C'est Sylvain qui m’envoie, c'est bien cent euros pour une heure ? Et il sort deux billets de 50 qu’il exhibe devant lui.
À nouveau, mamie pique Son fard, et en ouvrant le portail, elle dit doucement :
- Oui.
Les voisins suivent la scène avec un regard quelque peu hébété.
Sans autre parole, elle se retourne et rentre chez elle, suivi de près du solide gaillard. Une fois la porte d’entrée refermée, le client attrape Christine et lui remonte sa robe.
- Sylvain ne m’a pas menti, tu es bien habillée comme les putes à l’ancienne, j’adore.
Elle se laisse faire et accepte que l’homme lui roule une pelle magistrale. Il a tout de grand, semble-t-il, même sa langue envahit totalement la vieille bouche qui en a pourtant accueillit pas mal !
L’homme pousse le bouchon jusqu’à faire glisser les bretelles du vêtement le long des bras ronds, puis titre fermement sur le soutif jusqu’à ce que les attaches dorsales sautent.
- Tu as les nichons qui tombent, ma vieille, j’espère qu’ils sont doux au moins.
Mamie se laisse faire, être tripotée, ça elle commence à en avoir l’habitude. Et comme elle se souvient qu’elle a pas mal de soucis financiers en ce moment, elle prend sur elle et demande :
- Vous me donnez les billets ?
- Comment on demande ?
- S'il vous plaît, Monsieur.
- Tient, mais à ce prix-là, je fais tout ce que je veux, on est bien d’accord ?
- Oui Monsieur.
- Parfait, où est ta piaule ?
- Suivez-moi, Monsieur.
La vieille femme, les nichons qui pendouillent toujours à l’air, se dirige vers sa chambre à coucher. Cette chambre qu’elle a partagée avec son défunt mari, cet homme qu’elle a tant aimé. Mais aussi qu’elle a partagée avec son jeune pompier, si beau, si fringuant, pour qu’il s’intéresse à elle, il fallait bien qu’il y ait une tare quelque part.
L’homme se déshabille totalement, le dos tourné, posant ses fringues sur une chaise à sa portée, puis se retourne.
- Ho mon Dieu !
- Bel engin, n’est-ce pas ? Je ne peux pas me payer des jeunettes, ma bite est bien trop grosse, c'est pour ça que je me tape des vieilles comme toi.
- Mais ! Monsieur, elle ne rentera jamais !
- Tranquille, mémé, ça va bien se passer.
Il attrape Christine par la main et la dépose sur le lit, puis vient se coller contre elle. Il commence à sucer les gros nichons, tout en se laissant aller à mettre un de ses grands doigts, dans la chatte déjà humide.
- Je vois que ça te fait envie, tout de même…
La pauvre femme ne répond rien, elle est dans un état entre une peur panique et une excitation qui monte très fort.
Un deuxième doigt vient visiter la grotte féminine. L’homme écarte ses doigts pour ouvrir la vulve en grand et faire de la place dans ce vagin. Ensuite, un troisième doigt vient envahir le sexe mouillé.
- Essaye de me pomper, quand elle sera trop grosse pour ta gueule de vioque, tu me le diras.
L’homme glisse sur les draps et vient présenter sa queue pas encore raide devant la bouche.
Christine n’en revient pas, cette queue déjà hors norme, immense, longue et grosse, pourrait encore grossir ?
- Vas-y, suce mémé, tu vas voir, elle sent bon.
Et l’homme en profite pour mettre deux doigts de son autre main dans la chatte déjà bien ouverte, et il tire sur les côtés pour l’ouvrir encore plus. Ce faisant, il plonge la tête entre les grosses cuisses et lèche en même temps le clitoris.
Justement, mamie a bien du mal avec ce monstre pour le sucer, aussi, bonne fille, elle le lèche partout, des couilles jusqu’au méat, elle passe sa langue douce sur le sexe qui se dresse encore.
- Bon, c'est pas ce que j’appelle sucer, mais c'est bien tout de même, mémé… Au moins, tu fais des efforts pour tes clients.
Tirant une dernière fois sur les parois élastiques de la vulve, l’homme ordonne alors :
- Allez, mémé, fini les amuse-gueules, on passe à la phase deux.
Et il se met sur le dos et de son bras puissant, attire la femme pour la placer sur lui. Là, d’une main sûre, il positionne son gros gland contre la vulve détrempée de la femme, qui se met à trembler.
- T’inquiète, mémé, ça va bien se passer.
Les mains sur les hanches de la vieille, il appuie de façon à ce que son immense bite rentre tout doucement.
Dès que le gland est passé, la blonde souffle fortement et reprend une autre profonde aspiration. La sensation est dantesque, elle a l’impression qu’elle vient de se faire ouvrir en deux. Penser à son jeune amant, voilà le truc qu’il lui a donné, alors elle essaye de porter toute son attention sur le corps du beau jeune homme.
Mais ce coquin de client ne compte pas en rester là, il pousse encore un peu sur le corps de la femme âgée, et finalement rentre une bonne longueur de sa grosse bite dans le vagin, cette fois distendue.
La pauvre femme pousse un grand cri, plus de surprise que de douleur d’ailleurs. Si elle ressent comme de petites piqûres, elle sent surtout son vagin totalement écarté, elle pense trouver la sensation des femmes lors de l’accouchement.
- Voilà, mémé, tu vois, c'est entré tranquillement.
Elle ne dit rien et se laisse porter par le rythme doux que lui impose son partenaire.
Grâce à ses mouvements longs, il fait en sorte d’aller toujours plus loin, petit à petit, et quand il estime que son énorme queue est entrée assez loin, il attrape la nuque de la femme, et la fait pencher en avant.
- Tiens ! Regarde ! t’as vu tout ce que tu prends dans ta vieille chatte ?
- Ho !
- Voilà, tu vois, fallait pas avoir peur.
Et l’homme commence à limer, mais à un rythme bien plus soutenu. Cette fois, il défonce littéralement la vieille.
Mamie crie de plus en plus fort sous les assauts de ce monstre sexuel qui lui explosent le ventre.
- J’ai pas envie de jouir tout de suite, aller, à quatre pattes, ordonne le visiteur en ressortant sa grosse queue.
Docilement, Christine se met en position, c'est une sensation incroyable, elle a l’impression qu’on lui a enlevé la moitié du ventre ! Mais elle ne souffre pas pour autant. Elle se dit qu’en levrette, ça devrait aller bien, aussi.
Le type n’a pas envie d’une levrette, en fait ! Il veut sodomiser la femme avec son énorme sexe. Aussi, il écarte les fesses et profitant qu’elle est un peu dans les vapes suite au premier traitement qui lui a infligé, il positionne son gland contre le sphincter et pousse d’un grand coup de rein.
- Aie !
Cette fois, elle ressent une grande brûlure. Elle a l’impression qu’on lui a déchiré l’anus, ça pique que c’en est insupportable. Elle tente de se dégager, et hurle :
- Arrête ! Ça brûle !
- Ça tombe bien, je suis pompier, je m’occupe de ça tout de suite !
Et le type, sans se soucier plus que ça de la douleur de la femme, commence à limer le cul offert, disons plutôt volé ! Comme précédemment, il va de plus en plus loin et de plus en plus vite.
Mamie crie, hurle sa douleur, implore, mais rien n’y fait.
- Tu es encore bien serrée du cul pour une vieille putain !
- Pitié ! Pitié, arrête, j’ai trop mal.
- Ça va aller, je n’en ai plus pour longtemps.
Et cette fois, l’homme se met à aller très vite et toujours plus loin dans le corps qui sautille devant lui. Et il finit par jouir en de longues saccades bien fournit.
Christine pleure, la douleur est trop forte, et elle ne sent même pas que l’homme ressort son sexe et la prenant par le bras, la fait se retourner. Ensuite, il présente sa queue polluée par le travail qu’elle vient de réaliser dans les boyaux en les raclant à fond, puis ordonne :
- Mon pote Sylvain m’a dit que tu bouffais ta merde, fais-moi voir ça, car pour le moment, je n’ai vu que des photos...
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