Punition au sex-shop (2002)

 


En cette fin d'après midi, Charles et sa délicieuse épouse Sophie se rendent au "cap-Horn", sex-shop nouvellement installé à Tours, pour y voir quelques films résolument hards. Une fois payé leurs places, le couple passe la porte donnant accès aux salles en sous-sols, et là, étonnés, ils me tombent dessus, alors que je m'apprêtais à sortir.

Mon premier étonnement passé, je souhaite la bienvenue au couple, qui répond à mon "bonjour", puis, je m'adresse à l'homme d'un ton excité :

- Alors ? De sortie coquine, une petite envie de se donner quelques idées bien salaces, peut-être ?

- En fait, j'ai surpris cette cochonne de Sophie en train de se masturber en rentrant un peu plus tôt de mon boulot, et j'ai décidé de la punir en venant ici l'obliger à le faire devant des mecs qui ne doivent pas être qu’un peu excités par les films qu'ils sont en train de visionner !

- Alors comme ça, tu te branles le clito sans spectateur ? Il me semblait bien que nous te l'avions interdit l'autre jour, chienne que tu es !

- Pardon, balbutie la femme, visiblement gênée par un tel dialogue dans un endroit fréquenté.

- Veux-tu te joindre à nous, Michel ? M'a alors demandé Charles.

- Mais avec plaisir. D'ailleurs, nous allons commencer par l'humilier tout de suite !

Et sans autre forme de procès, je me retourne vers la vieille cochonne et lui ordonne fermement :

- Mets tes bras, droit le long du corps, salope !

La belle obéit instantanément en tendant ses bras de part et d'autre de son corps.

Étant sur une marche plus basse que celle où se trouve la vicieuse femelle, je remonte sa jupe de manière à dégager sa chatte qu'aucune culotte inopinée ne vient cacher. Et, sortant une ficelle de ma poche, je vais le tour des hanches en coinçant les avant-bras avec le lien et fais un solide nœud (oui ! C'est promis, le coup du Mac Gyver pornocrate, je ne le referais pas trop souvent !).

Sophie est en porte-jarretelles, avec des bas fumés. Elle porte des escarpins assez haut qui s'ajoute à la ligne de ses jambes graciles, mais fort bien dessinées. Elle ne porte qu'un chemisier déjà passablement débraillé sous lequel on peut apercevoir un soutien-gorge en dentelles emprisonnant ses gros seins.

À ce moment, Charles dégrafe le haut du chemisier jusqu'à mi-corps, repousse le fin tissu sur les bras de son épouse, dégageant ainsi les épaules, sort sans précaution le sein droit pour le faire passer par-dessus le vêtement. Puis, il réitère cette opération pour l'autre sein. Enfin, satisfait de son œuvre, il ajoute :

- Voilà une tenue qui convient bien mieux à ta condition de femelle lubrique en chaleur !

- Oui, tout à fait, descendons ! Finis-je par dire après un long examen visuel de la soumise pareillement apprêtée.

La descente dans le sous-sol de l'établissement se fait sans encombre malgré le peu de clarté des lieux. La trentaine de marches est assez vite franchie et nous nous retrouvons maintenant dans le couloir principal du sous-sol. La cave est fraîche, dans les vingt degrés, température très agréable comparé au plus de trente qu'il fait dehors. Connaissant le taux d'occupation des différentes salles, je propose alors à Charles, tout en commençant à pousser la porte :

- Dans cette salle il y a un bon film d'amateurs où l'on peut voir une drôle de sauvageonne se faire prendre par plusieurs mecs. En plus, il y a déjà deux spectateurs.

- Très bonne idée, nous allons concurrencer le film en exhibant Sophie au milieu de la salle.

Et nous entrons dans la pièce. La lueur vient uniquement du téléviseur qui diffuse le film. Les deux hommes présents se retournent alors pour regarder qui vient les interrompre. Le premier ne semble pas s'être aperçu de la tenue de la soumise, mais le deuxième reste bouche bée à sa vue. La salle est assez grande, d'environ cinq mètres de long, entre le fond où est installée la télé et le premier rang de fauteuils il y a bien deux mètres cinquante. La porte donne sur le côté du dernier rang.

Dès que la porte a été refermée par les soins de Charles, je prends la soumise par l'épaule et la guide devant le premier rang où sont assis les deux hommes. Là, je me retourne vers Sophie et lui ordonne :

- Puisque tu ne peux plus te branler maintenant espèce de coche ! Tu vas aller demander gentiment et humblement à ses messieurs qu'ils te caressent ton clito.

- Mais Maître… Commence alors à balbutier la pauvrette.

- Tais-toi chienne en chaleur ! Ajoutai-je alors en lui donnant une grande claque sonore sur son cul à l'air, ce qui lui donne un peu d'élan, se trouvant alors devant le premier homme.

Sophie a maintenant les yeux baissés, elle est gênée d'être ainsi exhibée à des gens qu'elle ne connaît pas. Elle n'ose pas exécuter l'ordre que je viens de lui donner.

Aussi, est-ce l'homme qui prend l'initiative en commençant par passer sa main sur la vulve épilée qui n'est plus qu'à un petit mètre de lui.

Charles nous a rejoints pendant ce temps-là. Il se contente de rester un tout petit peu à l'écart, mais de telle façon qu'il puisse contempler tout à loisir le spectacle ainsi offert.

J'en profite pour venir me coller à ma soumise, et, passant mes mains sur le côté de son corps, je viens emprisonner ses tétons entre pouce et index.

L'homme s'enhardit et passe maintenant ses doigts longs et fins dans la vulve baveuse.

Moi, j'en profite pour malmener quelque peu les seins de ma soumise et je lui susurre à l'oreille :

- T'aimes ça te faire branler, hein, grosse salope que tu es !

Et sans attendre sa réponse, je pince encore plus fort ses tétons. À ce moment, elle se met à pousser un petit cri et à se débattre légèrement en disant :

- Aïe, ça me fait mal, Maître !

- Mais c'est fait pour ! C'est pour éviter que tu pisses de bonheur sur les doigts de ce monsieur, on te connaît, chienne comme tu es, tu vas encore mouiller autant qu'une source !

L'homme a maintenant passé deux doigts dans la moule ouverte et emplie de cyprine.

L'autre homme s'est approché et passe à son tour sa main sur le ventre rond, chaud et doux de la belle. Puis estimant qu'il est quelque peu lésé, il passe l’autre main sur ses fesses.

À ce moment, me reculant un peu de ma soumise, je lui dis dans l'oreille :

- Tu vas te placer devant ces messieurs et te pencher bien en avant qu'ils puissent admirer ta chatte baveuse et ton petit trou du cul !

La docile femme exécute alors l'ordre. Elle vient se placer juste devant les deux hommes, se penche en avant, et, chienne comme elle est, s'écarte les fesses pour être mieux vue.

J'en profite alors pour dire d'une voix forte aux deux hommes :

- Ne vous gênez pas, elle mérite une bonne fessée, alors allez-y franchement !

Le deuxième homme étant finalement plus pervers que le premier, commence par donner une petite tape sur le cul rebondi de la belle.

Son acolyte, quant à lui, a replacé ses doigts dans l'enfer bouillant et continue son massage interne de la matrice (d'ailleurs, on appelle enfer le sexe d'une femme, car Satan l'habite ... Ou alors, ça tend la bite, je ne sais plus trop l'orthographe moi !).

La deuxième tape sur le cul m’apparaît, au son, plus forte que la première, aussi, je décide d'encourager l'homme en lui disant :

- Bien, plus fort, je veux qu'elle ait le cul qui lui brûle, elle a déjà la chatte en feu, on verra bien alors, si elle mouille autant du petit que de la moule !

L'homme, ainsi épaulé, commence une série de petites tapes brèves et sèches à un rythme soutenu. Il a les doigts bien raides et ne laisse pas la main sur la peau après chaque touche.

Après quelques minutes de ce traitement, voyant que ma soumise a les fesses maintenant bien rouges, je romps le charme en annonçant tout de go :

- Et une bonne pipe par cette bouffeuse de bites, ça vous dirait ?

- Ah queue oui ! Me répond le premier homme (dans un humour des plus douteux).

Je me retourne à ce moment-là vers mon ami Charles et lui dis tranquillement :

- Viens t'asseoir, on va tous se faire pomper par ta belle Sophie !

Et il vient s'asseoir à côté de moi qui ai eu le temps de me mettre à côté du premier homme, si bien que nous sommes tous quatre en ligne. Une fois bien installé, j'ordonne à ma soumise :

- Tourne-toi et viens te mettre accroupie devant nous pour sortir nos chibres. Puis, trouvant que mes ordres ne sont pas assez rapidement suivis, je poursuis, allez, salope, magne-toi le cul !

La belle vient alors près de moi en me montrant ses liens qui l'entrave pour ce genre de sport. Compatissant, je la délie.

Sophie vient se placer devant son mari pour commencer et fait glisser la fermeture de la braguette. Elle plonge ensuite sa main délicate dans le pantalon, et ressort l'objet tant convoité. Elle se penche alors en avant et commence par enfourner cette belle queue dans sa bouche avide.

Mais, estimant que ce n'est pas ce que je viens de demander, je continue d'une voix forte :

- Non, ne suce pas, chienne lubrique ! J'ai dit sortir nos bites, pas les happer comme tu fais !

Alors ma soumise passe devant moi, et déboutonne ma braguette. Comme je ne porte pas de caleçon ce jour-là, elle n'a aucun mal à sortir ma bite. Pour les deux autres hommes, elle a beaucoup moins de travail, car ceux-ci avaient déjà sorti leurs ustensiles, pour se branlocher, alors, qu'ils s'occupaient de Sophie. M'assurant que nous sommes tous quatre en position, je continue à intimer à ma docile femelle :

- Bien, maintenant, tu as quinze secondes par personne pour piper. Si tu dépasses ce temps, tu seras pénalisée d'autant de coups de ceinture sur le cul, que tu auras dépassé de secondes.

Et, tout en donnant mes instructions, je sors ma ceinture de cuir des passants. Dès qu'elle est revenue à son mari pour le prendre en bouche, je compte mentalement toutes les secondes. J'arrive à seize quand elle laisse la bite maritale ressortir de sa bouche et qu'elle commence à se déplacer vers moi (Comment ça, tricheur ! je vous assure d'être arrivé à seize !). Aussitôt qu'elle est devant moi, et avant qu'elle n’ait eu le temps de me happer, je laisse tomber :

- Une seconde de trop, attention, le cuir de ma ceinture va te mordre le cul !

Et je donne un coup qui fouette l'air avant de s'abattre sur la fesse droite. Ma soumise émet alors une plainte, mais je la coupe en continuant :

- Allez, suce vorace, et compte bien surtout !

La docile femelle me prend alors en bouche et me pompe avidement.

Tour à tour, nous nous faisons piper par cette chienne dont la bouche chaude est un vrai bonheur. Sa langue est d'une agilité qui démontre tout le plaisir qu'elle se procure elle-même dans cette action et qui prouve sa grande expérience, dans le domaine de la caresse bucco-génitale. Elle fait bien attention de ne jamais dépasser le temps prescrit, en écourtant toujours un peu son action et profitant que je n'ai pas donné de temps minimum. Elle suce divinement bien, ses coups de langue internes sont un ravissement. Elle suce, lèche, titille, se délecte des grosses queues, dont elle peut ainsi profiter.

Mais c'est une maline, et elle profite des pipes qu'elle nous fait pour se bricoler encore le clito. Quelle santé et quelle vicelarde, une vraie folle de bite, toujours en chaleur, toujours à avoir envie d'un coup de queue, d'une langue, d'un doigt ou autre, d'un ramonage, d'un coup de lime.

Néanmoins, après plusieurs passages de la belle devant nous, nous sommes tous quatre dans un état d'érection avancé. Aussi, trouvant qu'il est grand temps de passer à autre chose, je propose à la société :

- Et si on la pinait chacun notre tour en levrette ? Hein ?

À l'approbation des trois autres gorets qui semblent toujours prêts à fourrer une bonne salope, j'ordonne à ma soumise :

- Mets-toi les genoux sur le premier fauteuil, qu'on te bourre la chatte. Et, me tournant vers mon ami Charles, j'ajoute encore, à toi l'honneur de mettre le premier coup !

En appréciant ce geste, me semble-t-il, le mari vient se placer derrière ma soumise, et une fois que cette dernière est correctement installée, lui entre sans autre forme de procès son dard dans la chatte. Après quelques bons allers-et-retours, il annonce à la cantonade :

- Putain ! Elle est bouillante cette pétasse !

Pendant qu'il bourre la chatte qui suinte de tout côté, laissant des traces de cyprine sur les bas, les deux autres hommes sont en train de mettre leur capote. Voyant que Charles perd un peu la notion du temps, en lui donnant une tape amicale sur le cul, je lui dis :

- Laisse-moi un peu la place, s'il te plaît ! T'es vraiment un cochon !

- Pas toi, peut-être ? Me répond-il alors en ressortant du four de chair et en me laissant la place.

Je prends place alors derrière ma soumise, commence à donner quelques bons coups de reins ; pour faire aller mon mandrin bien au fond de sa matrice. Puis, estimant être parvenu à mes fins, je quitte l'endroit l’abandonnant ainsi au suivant.

Pendant plus d'un quart d'heure, nous nous relayons au cul de cette cochonne de Sophie. À chaque nouvelle introduction, elle pousse un petit cri. Puis, une fois qu'elle a, bien au fond, une bonne bite bien raide, elle bouge son beau cul de manière à amplifier encore les mouvements de celui qui la lime. Et, à chaque fois, au bout de quelques courts instants, elle se met à chanter, à couiner, comme une bonne gorette qu'elle est.

Lorsqu'à nouveau arrive mon tour, je décide d'en jouer un bon (de Tours, bien sûr ! Un tour de Tours...). Comme à l'accoutumée, je me place bien derrière ma soumise, prend ma bite à la main, mais cette fois, la guide vers la petite rosette brune. Et là, d'un grand coup de rein, je l'encule en enfonçant mon chibre le plus profondément possible dans ses boyaux.

À ce moment-là, la douce enculée crie :

- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh !

- Parfait, nous passerons alors dès demain au "B" ! Dis-je sur le ton de la plaisanterie.

À la fin, nous avons, Charles et moi, éjaculé de concert dans la bouche de la femelle qui se régalait comme une folle, pendant que les deux autres hommes vidaient leur jus de couilles sur les gros seins de la belle.

Pour ressortir et aller boire un pot chez moi, Sophie a voulu remettre son soutien-gorge en place, mais là, pour la punir (quoique, on soit en droit de se demander si elle n'aime pas un peu ça, maintenant, n'est-ce pas ?), nous ne l’avons autorisée qu'à reboutonner son chemisier et baisser sa jupe.

Nous sommes ressortis du sex-shop avec les yeux un peu hagards. Ma soumise avait des taches sur le haut du chemisier, faites par le sperme qui n'était pas sec sur sa poitrine et encore du foutre sur le coin de la bouche.

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