Au service de Monsieur (2015-2023)

 

Marcel et Sandra, couple d'une cinquantaine d'années, avait passé une annonce sur plusieurs sites internet pour faire du service à la personne. Pas qu'ils étaient extrêmement expérimentés, bien que Sandra ait été bonne, puis cuisinière dans sa prime jeunesse et qu'ensuite, elle fut aussi dame de compagnie pour de vieilles femmes.

Marcel, quant à lui, sa carrière ne lui avait pas appris à être au service de vieilles personnes, cela dit, il se sentait tout à fait apte à aider, écouter, servir des personnes âgées. Et puis, au chômage depuis plusieurs années, tout en espérant retrouver un job à responsabilité, il commençait à se faire à l'idée que cette vie d'ingénieur était derrière lui.

Leur petite annonce était la suivante :



Elle, fin quarantaine, vicieuse, ronde, est présentée à monsieur de plus de 60 ans pouvant recevoir (chez lui ou à l’hôtel, mais pas dans la nature) pour ménage à l'ancienne (tenue de soubrette très osée), service à table (seins nus) ou petits travaux d'aiguilles.

Lui peut aussi servir, mais pas d'obligation

Nous pouvons parfois recevoir sous certaines conditions.

Messieurs plus jeunes, merci de ne pas appeler.

RDV UNIQUEMENT par téléphone vocal, pas de texto. Ne pas laisser de message, pas de réponses aux numéros masqués

Assortie de deux photos :



Les premiers jours, pas de réponse, ils se demandèrent s’ils avaient choisi le bon site, puis, quelques mails arrivèrent, bien entendu avec son cortège de pimpins qui répondent à côté de l'annonce, mais ça, sur internet, ça semble être inévitable !

Ensuite quelques demandes de renseignements de messieurs qui se disent plus âgés, et qui, avec un français correct, semblaient effectivement l’être.

Et enfin, ils reçurent un émail d'un monsieur de soixante-neuf ans, disait-il, qui cherchait un couple pour un extra pour son anniversaire, leur assurait-il encore. Après quelques rapides échanges d’emails pour préciser le rendez-vous, la date, l'heure et le lieu, le monsieur demanda de pouvoir avoir un aperçu des tenues que pouvait porter Sandra pour le service.

Il fit son choix dans un fichier que le couple lui envoya. Tout semblait être clair.

Deux jours avant le rendez-vous, coup de téléphone de Hector De Fontenoi, le vieux monsieur. C'est Marcel qui prend l'appel :

- Bonjour monsieur De Fontenoi.

- Bonjour Marcel, je souhaite savoir si vous aussi, vous avez différentes tenues, si par exemple vous pouvez vous travestir ?

- J'avoue que je ne me suis jamais travesti, Monsieur. J'ai bien des bas de contenions noir, que j'ai dû porter lors de mon opération des varices, mais c'est tout.

- Bien, vous serez en short et bas noirs alors, merci.

Sur cet ordre, l'homme raccroche en laissant Marcel avec une drôle d'impression.



Plusieurs jours plus tard, à l'heure prévue, Marcel et Sandra sont sur la route pour se rendre à leur rendez-vous. Ils en profitent pour s’arrêter dans un petit chemin qui pénètre dans un bois sur le bord de la route. Une fois hors de portée de vue des automobilistes passant sur la petite départementale, ils sortent de la voiture et se préparent pour pouvoir arriver chez Hector De Fontenoi dans la tenue exigée.

Sandra retire donc sa robe pour se retrouver seins nus, en serre taille porte-jarretelles et en bas sur le petit chemin, mules aux pieds, et enfile donc la robe noire « résille », qui ne cache rien de ses gros nichons.

Marcel, quant à lui, retire son jean, son caleçon, il porte déjà en dessous les bas noirs de contention, qui lui ont été imposés. Il enfile son short et remet ses mocassins.

Après vérification de leur tenue respective, ils remontent en voiture et reprennent la départementale pour se rendre à l'adresse indiquée.

Là, ils stoppent devant un grand portail en fer forgé et téléphone à Hector De Fontenoi.

- Je vous ouvre, suivez le chemin et arrêter vous devant le double escalier de ma résidence, je vous y attends, pour vous filmer.

Après avoir raccroché, Marcel, explique à sa femme que le petit film, que veut faire leur client, commencera dès la descente de voiture et qu'elle peut mettre son loup, puisque Hector De Fontenoi avait accepté cette condition, à la réalisation d'un film, pour cette journée si particulière.

Ils arrivent devant l'escalier monumental à double volée, arrêtent le moteur de la voiture, et descendent pour venir se placer devant le capot et attendre les ordres.

- Ne bougez plus, je filme… Maintenant, avancez doucement vers moi… Bien… Montez l'escalier…

Une fois à la hauteur du maître des lieux, Marcel tend la main pour saluer son hôte, celui-ci lui tourne le dos en lui ordonnant :

- Suivez-moi, je vous montre la cuisine, mon majordome vous dira exactement ce qu’il y a à faire. La seule chose, vous devez, vous, toujours être disponible aux caresses et autres flatteries manuelles, voir aux envies lubriques de certains.

L'homme s’arrête devant une grande double porte entrouverte d'où émane de douces odeurs de cuisine raffinée. Il pousse la porte et s'exclame :

- Maurice, voici les gens à conditionner, je compte sur vous pour en faire de bons serviteurs, comme nous en avons déjà parlé.

Puis, sans un regard pour le couple nouvellement arrivé, il tourne les talons et repars dans la grande maison, on ne sait où.

Dès la porte refermée derrière eux, leur entrée dans la cuisine crée de grands éclats de rire de la part de la cuisinière et de son commis. Le majordome, quant à lui, sourit d'un air entendu. Le commis prend à témoins la cuisinière en lui disant :

- Tu as vu ! Le type porte des bas, tu crois que ce sont des chausses comme à la renaissance ?

- Je ne sais pas, mais ça devrait bien plaire à Monsieur Philippe…

Puis le majordome prend la parole :

- Bien les deux putes, nous allons voir comment vous savez faire le service… Servez-moi la collation que va vous donner Martine.

Le couple, conscient de l'enjeu, car au prix où ils doivent être payés, ils ont tout intérêt à faire un service impeccable. Ils se dirigent donc vers la cuisinière qui leur montre une assiette de charcuterie et un verre, ainsi que les couverts et une carafe de vin.

Marcel Prend le verre et la carafe, laissant sa femme prendre l'assiette et les couverts. Puis, il se dirige vers la table devant laquelle est assis le majordome. Sandra Passant la première pour installer l'assiette et les couverts, de façon tout à fait correct d'ailleurs, puis Marcel vient placer le verre devant l'assiette, et remplit de quelques gouttes le verre pour laisser la majordome goûter au divin nectar.

Connaisseur, l'homme en livrée porte le verre à ses lèvres après avoir humé le vin, le goûte et repose le verre sur la table en faisant un signe de tête.

Marcel Remplit alors le verre juste comme il faut, ni trop ni trop peu.

- Bon point pour vous les putes, le service semble convenir, je ferai un autre essai plus tard. Pour l'heure, restez à côté de moi pendant que je prends ma collation.

Tout en dégustant son assiette de charcuterie fine, l'homme commence à passer sa main droite sous la robe de Sandra et lui flatte lle cul.

Elle, impassible, laisse faire comme une bonne fille, qu'elle est toujours au service du plaisir des hommes.

Le majordome reprend le fil de son repas, laissant la femme tranquille. Mais bientôt, de sa main gauche, il entreprend d'aller sous le short de Marcel.

Là encore, celui-ci se laisse faire, n'est-il pas là pour être, tout comme sa femme, une bonne pute très servile ? Cela dit, la main qui lui triture la bite n'est pas douce, sans être douloureux, cette présence est pour le moins gênante.

- Bien la pédale, tu ne portes pas de slip, comme le Maître l'a demandé.

Puis l'homme reprend le cours de son repas léger, et bientôt il finit. S'essuie la bouche, puis se lève et dans l'élan annonce aux deux derniers venus :

- Maintenant on va faire la chambre de Monsieur. Suivez-moi, poursuit-il en se dirigeant vers la porte qu'il ouvre d'un geste ample.

Le trio part et monte au premier étage, un long couloir, quelques portes laissées de côté, puis une porte est ouverte par le majordome qui entre et laisse entrer à sa suite le couple. En premier lieu, il plonge sa main dans la poche de sa livrée et en sort une enveloppe de papier kraft. Il la tend et c'est Sandra qui s’en saisit.

- Vérifiez que le compte y est.

D’un rapide coup d’œil, la brune vérifie le montant et acquiesce d’un signe de tête.

- Parfait, continuons alors.

La pièce est grande, très grande, un bureau, un grand lit à baldaquin, une table basse devant deux fauteuils qui se font face, sur cette table un nombre incalculable de jouets érotiques, des godemichets, des plugs, des œufs vibrants, des vagins en caoutchouc, toute sorte d'appareils, plus bizarres les uns que les autres.

- Voilà, je vous regarde faire le lit de monsieur.

- Il y a des taches, je pense qu'il faut changer les draps, non ? Questionne Sandra.

- Fais voir… Oui ! Des tâches de foutre ! Ça me ferait à moitié bander, ça ! S'exclame le vicieux majordome. Puis, après quelques instants de silence, il poursuit :

- Oui ça me fait bander, Marcel, viens ici, tu vas me sucer.

Un peu interloqué, l'homme met un certain temps avant de se mouvoir et de venir s'agenouiller devant l'homme en livrée, qui, lui, n'a pas perdu de temps et a défait sa braguette.

Marcel prend en bouche la queue qui lui est présentée et commence à faire une pipe comme il sait bien faire. Le majordome sourit et jette un œil à la femme ronde, qui elle, reste debout, comme figée, à regarder le spectacle. Aussi, il ordonne :

- Toi, tu changes les draps salope… Ils sont dans la grande commode, au fond de la pièce.

- Bien… Et elle se dirige vers la commode indiquée.

- Suce-bien, toi, pédale, que le frère de Monsieur soit content de toi…

Marcel ne répond rien et suce du mieux qu'il peut, jouant avec sa langue sur la bite, aspirant parfois plus ou moins, suivant comment il sent les réactions de l'homme. Il masse la queue d'une main, passe sa langue sur le méat, flatte les couilles de l'autre main, alterne une friction vigoureuse de l'organe, avec une friction douce, joue avec sa langue autour du gland, sur toute la hampe. Il fait tout pour faire durcir cette queue.

Tout cela dure quelques minutes, et quand l'homme parvient à avoir une belle érection, il ordonne encore :

- Allez, à genoux devant le lit… Dans l'autre sens… Maintenant, penche-toi sur le lit et tend ton cul.

Revenant du fond de la grande chambre, avec les draps en main, Sandra regarde la scène et s’arrête à quelques mètres des deux hommes.

Le vicieux majordome baisse le short sans prendre le temps d'ouvrir la braguette et le fait glisser le long des cuisses jusqu'à terre. Défait alors le bouton de sa braguette déjà ouverte et d'où sort sa bite, puis fait glisser aussi son pantalon et vient se placer derrière Marcel, lui aussi à genoux. Puis, il ordonne :

- Écarte tes grosses fesses, que je t’encule, la pédale.

Marcel prend ses fesses à pleine main et les écarte, offrant ainsi son anus lisse à son amant du moment.

- Et la capote, s'écrit alors Sandra.

- Non, j'ai les tests de tout le monde chérie, laisse, je t'expliquerai après…

Sans se soucier des échanges verbaux du couple, Guy, tel est le prénom du majordome, place son gland contre l'anus, puis pousse pour faire entrer son sexe dans le cul qui lui est offert. Dans un seul coup de rein, il encule Marcel aussi loin que la nature l'y autorise.

- Tu l'as dans le cul, hein pédale ?

- Oui..

- Tu répondras « Oui Monsieur » quand le Maître te parlera. Toi, la grosse, viens près de moi que je puisse peloter, tes grosses loches de pute…

Pendant que Sandra se rapproche pour venir offrir ses nichons à Guy, celui-ci commence à limer le cul de Marcel avec frénésie, sans douceur, sans fioritures, mais avec énergie.

L'homme subissant les assauts pense plus à la douleur de ses genoux qui rappent par terre à chaque coup de rein du majordome qu'à autre chose. Mais bientôt, l'énergique limage commence à lui procurer du plaisir. Une érection vient compléter le tableau.

Guy, les genoux protégés par l'étoffe du pantalon de sa livrée, ne peine pas le moins du monde, lui. Quand la femme est à sa portée, il lâche la hanche qu'il tenait de sa main droite, pour venir malaxer les gros seins de la femme, qui se laisse totalement faire. Puis, il s'exclame :

- C'est ça le bonheur ! Enculer une lopette cocu pendant que je tripote sa pute de bonne femme… T'as un bon cul, gros porc, et ta femelle à des mamelles bien douces…

Marcel commence à gémir, de plus en plus distinctement, à chaque coup de rein de son enculeur. Il retrouve les sensations des back-rooms qu’il fréquente, et cette ambiance trouble, excitante, de bites et de culs de toute sorte, de pipes qu’il fait, de sodomies qu’il encaisse. Là, il sent l’orgasme arrivé.

Le majordome, tirant sur un sein pour faire pencher la femme vers lui, finit par embrasser cette femme forte, certes, mais si excitante. Mais les meilleurs moments ont une fin et bientôt, n'y tenant plus, il repousse doucement la femme et jouit dans le cul de son mari avec un grand râle de bonheur.

Marcel n'est pas fâché que les coups de boutoirs cessent. Il serre, autant qu'il peut, son anus, comme son premier amant lui a appris jadis, pour compléter au mieux l'orgasme de son enculeur du moment. Il relâche le serrage et recommence, plusieurs fois de suite, comme pour extraire jusqu'à la dernière goutte de foutre, de cette bite qui mollit, mais est encore en lui. Il sait que c'est une sorte d’examen de passage. Il se souvient aussi qu'il n'a pas dit à sa femme, que la soirée serait « barback », sans capote. Seule sa femme sera autorisée à être baisée ou enculée avec un préservatif.

- Ouais, bon, pas mal… T'es gros et moche, mais tu n'as pas le trou du cul trop détendu, tu devrais faire l'affaire…

- C'est quoi cette histoire, chéri, de baiser sans capote ?

- J'ai eu les tests de tout le monde, j'ai donné le mien, et c'est la condition sine qua non, pour avoir la prestation, ma belle. Mais j'ai obtenu, tout de même, que toi, tu puisses être prise avec capote.

- Tu sais que je n'aime pas ça ! Hein !

- Bon suffit les amoureux, vous réglerez vos comptes à la maison, pas ici… Vous avez le lit à faire, ordonne alors Guy pour couper court à toute discussion.

Marcel se remet debout doucement, remonte son short, mais il sent que quelque chose de tiède s'échappe de son anus, il demande alors de l'aide à sa compagne :

- Chérie, je crois que j'ai une fuite, tu voudrais m'essuyer, s'il te plaît.

- NON ! Baisse ton short et fais le lit cul nu, si tu as des coulures sur tes bas de lopette, ça ne sera que plus amusant pour Monsieur ! Exige encore Guy.

L'homme, après une demi seconde d'hésitation, descend son short et le retire, sans enlever ses mocassins. Puis, le couple se met à la tâche et commence par retirer les draps salis du lit.

Une fois le lit fait, le majordome inspecte le travail, puis, content visiblement du résultat, il dit :

- Viens me faire voir ton trou du cul, la pédale…

Marcel s'approche, se retourne devant l'homme et se plie en deux, il prend ses fesses à pleine main et les écarte.

- Eh bien ma salope ! Tu dois avoir l'habitude d'en prendre du foutre, ton cul à tout avalé… Allez la fiote, remets ton short, nous retournons à la cuisine.

Les trois personnes sortent de la chambre et Guy les reconduit à la cuisine. Là, un nouvel arrivant est attablé, non pas en livrée, mais dans une tenue vert bouteille de garde-chasse. Ses bottes sont encore toutes crottées.

- Tient ! Benoît, ta promenade matinale s'est bien passée ?

- Oui, rien vu d’exceptionnel.

- Nous on a du nouveau, les deux putes qui sont là pour le service de ce midi…

- Ah ! La femme a de bons gros nichons ! Tu l'as essayée ?

- Non, aujourd'hui, j'ai essayé la tapette, si tu veux tester la pute, vas-y elle est là pour ça…

L'homme se lève d'un bond et vient chercher Sandra. La prenant par la main, il l'emporte devant la grande table, et là, dans le même geste, il la pousse pour l'allonger sur la table en bois, les jambes dépassant du meuble.

La femme se laisse totalement faire, elle aussi, comme son mari un peu plus tôt. Elle se laisse donc aussi retrousser sa robe très courte, écarte les jambes sans résister, pour permettre à l'homme qui vient de sortir son sexe, de se caler contre elle.

- Attends ! S'exclame Guy, et sortant une capote de sa poche, la tend au garde-chasse.

Celui-ci déchire l'emballage à l'aide de ses dents et enfile prestement, l'objet sur son sexe déjà raide. Puis, d'une main experte, il guide sa queue sur l'entrée de la grotte féminine, et ajoute d'une voix rauque qui trahit son excitation :

- Je vais te ramoner le con, salope, tu m'en diras des nouvelles…

Sandra est contrainte de s'accrocher au bord de la table tant les coups de boutoirs sont brusques, à la limite de la violence. Cela dit, prévoyante comme tout le temps, elle n'a pas oublié de se mettre du lubrifiant dans la chatte avant de partir, aussi l'homme qui la prend s'imagine-t-il, qu'elle mouille d'excitation, alors qu'en fait, tout n'est que chimie !

Benoît, le garde-chasse, ahane très vite, sous les encouragements discrets, mais très crus, de la cuisinière et de son commis, qui ne perdent pas une miette du spectacle qui leur est offert.

Guy et Marcel restent debout, eux aussi, à regarder l'homme baiser à la hussarde.

Très vite, le garde-chasse grogne, tant et si bien qu'en quelques minutes, il pousse un cri rauque et jouit dans la capote en s'écroulant presque, sur la femme qui le subit.

- Voilà, la pute, tu es ouverte pour que Monsieur puisse faire ce qu'il a envie de toi… Tout en disant ces quelques mots, il retire la capote en faisant bien attention à ne rien renverser et demande à Bernadette, la cuisinière :

- Donne-moi trente centimètres de ficelle de cuisine, s'il te plaît. Puis, se retournant vers la femme qu'il vient de prendre sans ménagement, il poursuit, très fier de sa prestation :

- Alors ? Je te l'avais bien dit, que ma bite était magique…

- Oh oui monsieur, répond, fine mouche, Sandra qui a bien fait semblant de prendre son pied, un moment plus tôt. Putain à ses heures, elle sait qu'il faut caresser l'homme dans le sens de son ego, et elle sait aussi parfaitement qu'un homme, pour son ego, bien entendu, aime faire jouir une femme, il a ainsi l'impression de prendre le dessus sur celle-ci. Et aujourd'hui, l'objectif n'est pas de s'amuser, mais de ramener un bon pactole, se sera toujours ça de moins à faire, avec les routiers.

Benoît vient de finir de faire un nœud avec la ficelle et de faire un autre nœud avec la capote sur la ficelle, si bien qu'il tient fièrement, une sorte de pendentif, fait avec la capote pleine de foutre, la ficelle de cuisine en guise de chaînette. Il aide la femme à se relever, et, alors qu'il lui passe le collier improvisé autour du cou, dit :

- Il te manquait un bijou, là, je crois que monsieur sera ravi de ta parure !

Marcel sourit franchement dans son coin, il aime bien voir sa femme ainsi humiliée, dégradée. En même temps, il sait qu'elle, elle s'en moque comme d'une guigne ! Et que, si ça peut faire plaisir, elle le fera de bon cœur, cherchant toujours à mettre le client dans les meilleures dispositions.

- Regardez-moi cette pute, comme elle a un joli collier, s’exclame Benoît en la faisant tourner sur elle-même de manière à ce qu'elle soit face à la cuisinière.

- Jolie décoration de noël ! Dit la cuisinière, en rigolant franchement.

- Bon, c'est pas tout ça, mais il va falloir manger maintenant, les invités ne vont pas trop tarder.



Après un repas rapide et simple, mais toutefois parfaitement cuisiné, le majordome, qui règne à la cuisine en maître, ordonne :

- Allez, au boulot maintenant, que chacun s’attelle à sa tâche. Vous, les deux nouveaux, vous allez me suivre, vous ferez le service, je vais vous montrer pour les apéritifs, pour commencer.

Et se levant, sort de la pièce, suivi du couple, pour se rendre dans la pièce nommée la bibliothèque, même si finalement, assez peu de livres y sont rangés.

Guy montre où se trouve la réserve d'alcool, précise le whisky de son patron, qu’il ne faut servir que, sur sa demande express, les autres alcools et liqueurs qui peuvent être proposés. Puis il montre le meuble bas, dans lequel sont rangés les verres, soucoupes et autres vaisselles dédiées à cette partie du repas.

La sonnette de la porte principale retentit, le majordome sort aussitôt de la pièce et va ouvrir, laissant les deux serviteurs sans consigne particulière.

Quelques instants plus tard, entrent dans la pièce une vieille dame, dans les soixante-dix ans, plutôt bien conservée et encore jolie, et un jeune homme, fin, mais très beau, brun, aux yeux verts lumineux, très jeune, moins de trente ans visiblement, mais avec un regard perçant, qui détaille tout de suite Sandra.

Le maître des lieux ferme la marche. Hector De Fontenoi offre un fauteuil au jeune homme et une place à ses côtés à la vieille dame qui n'est autre que sa cousine germaine. Le jeune homme étant l'amant, officiellement médecin personnel de la dame, mais si lui a fait médecine, Landru était chirurgien.

Assez vite, la vieille femme demande un porto à son cousin, qui lui, ordonne :

- Deux doigts de porto, pour Madame la comtesse.

Tout de suite, Marcel, proche du meuble, ouvre le bar, prend un petit verre à pied, sort le flacon de Porto et en verse une petite quantité. Puis il s’empare d’un petit plateau en argent, pose le verre dessus et vient le présenter à la vieille dame.

Chris, le jeune homme, en profite pour demander :

- Pour moi, ce sera un whisky.

Marcel retourne devant le meuble pour prendre un verre carré et le remplir d'un tiers d’alcool d’Écosse. Ensuite, il ramène, toujours sur la même petit plateau d'argent, le verre au jeune homme.

- Merci, dites aussi à votre femme de venir à côté de moi.

Marcel fait un signe de tête à son épouse, qui a entendu, bien sûr.

Sandra se déplace en ondulant de la croupe. « Allez, encore un jeune trou du cul qui va mettre ses doigts partout, sans faire attention, sans précaution. Pourvus qu’il n’est pas les ongles longs, sinon, je suis encore bonne pour me faire griffer l’intérieur de la boîte à plaisirs, et en avoir pour une semaine, à m’en remettre ». Pense-t-elle durant le court trajet. Et elle vient se mettre tout à côté du profond fauteuil, à portée de main du beau jeune homme.

Là, le jeune homme commence à passer sa main sous la jupe et tripote la chatte lisse avec un air de ne pas y toucher. Après quelques instants de ce manège, et alors que ses doigts visitent l’anus à sa disposition, d’une voix douce, mais ferme, il ordonne encore à Sandra :

- Montre-moi tes gros nichons, tu me sembles avoir un sacré matos, ma vieille.

« Ma vieille ! Je t’en foutrai du "ma vieille", jeune con ! Tu as de la chance que la prestation soit très bien payée ! » se dit la brune mature. Elle se penche alors légèrement en avant et défait les boutons de son chemisier pour exhiber ses gros seins au jeune homme. Son pendentif fait avec la capote pleine, trônant entre ses nichons.

Ses seins sont libres de tout soutien-gorge, aussi le jeune homme les palpe, les soupèse et joue avec.

Puis, d'un coup, la vieille femme s'adresse à son jeune amant et lui dit :

- Mais fais-toi sucer, plutôt que de peloter seulement. Elle ne sert qu’à ça !

À ce moment-là, Hector De Fontenoi ordonne à la serveuse :

- À genoux devant ce beau jeune homme. Ce n’est pas tous les jours que tu dois avoir un si beau mec à travailler, hein vieille pute ?

Si les réflexions humiliantes commencent à l’agacer, Sandra n’en fait rien voir. Elle s’accroupit et entreprend de lui ouvrir la braguette.

Chris ne fait aucun effort, et laisse la femme se débrouiller toute seule.

La brune connaît son affaire, et si son client ne bouge pas, elle sait bien comment faire pour sortir, sans coup férir, la pine de son écrin de tissu. Bientôt, le sexe en train de durcir, est mis à l’air. Là, se penchant en avant, la femme le prend en bouche et commence sa fellation.

Le jeune homme se laisse aller, il déguste, en connaisseur, cette pipe. Il regarde la putain en train d’œuvrer, et se dit que, finalement, ce sont bien les vieilles qui sont le plus douées dans ce genre de sport, même si elles sont bien moins appétissantes. Pour palier à ça, il suffit de fermer les yeux et d’imaginer que c'est miss France qui suce !

Visiblement, la vieille comtesse, très excitée par ce petit spectacle de la bonniche qui pompe son amant, s'adresse, tout à coup à Marcel :

- Ne restez pas planté là, mon ami, venez me lécher pendant que votre femme est occupée avec mon jeune amant.

En même temps, elle se recale dans le fauteuil en se cabrant, de manière à pouvoir remonter totalement sa robe, découvrant de la sorte, sa chatte lisse sans culotte, ainsi que son joli porte-jarretelles qui tient des bas de soie finement travaillés.

Le serviteur amateur vient alors se mettre à genoux, entre les cuisses de la vieille dame indigne. Là, il se penche pour venir humer ce sexe dont les petites lèvres sont plus longues que les grandes. Il prend appuie sur les cuisses. Il est étonné du parfum que dégage la zone.

Hector De Fontenoi, maître des lieux, affiche un large sourire en constatant que ça cousine, même en vieillissant, est toujours aussi vicieuse. Et il se dit que lui aussi, a bien le droit à sa petite gâterie apéritive. Il se lève du sofa.

Marcel, très appliqué à sa tâche, vient passer sa langue sur la vieille chatte. Sa langue écarte les lèvres et il fouille toute la vulve.

Alors que Sandra n’est pas loin de faire exploser de plaisir, le jeune homme brun, le baron, qui a sorti son sexe le temps de venir, se colle à côté de la tête du mignon et elle entend :

- Toi, tu vas en profiter pour me sucer…

Le jeune homme brun ne se fait pas prier et suce tout de suite le cousin de sa maîtresse.

Marcel, collant sa bouche ouverte contre la vulve, en profite pour aller visiter l’intérieur du vagin.

La vieille se régale de cette langue qui la fouille, elle attend que son jeune amant jouisse dans la bouche, de cette putain de bas étage, et sait qu’elle en profitera pour pisser, dans la bouche de son lécheur. L’idée lui plaît et l’excite. Elle se dit que la brûlure de l’alcool du parfum, qu’elle met tous les jours sur sa chatte avant de sortir, vaut bien tous ces plaisirs ultérieurs.

Bientôt, le jeune homme se crispe, serre la pine du baron dans sa main droite et maintient fermement la tête de la pipeuse sur son sexe. Puis, avec la bouche pleine qui lui confère une voix étrange, il annonce :

- Je vais jouir, salope ! Tu es vraiment une putain de suceuse !

la vieille dame devient surexcitée et quand le jeune homme jouit dans la bouche de la serveuse, la vieille a un orgasme, et pisse dans la bouche du serviteur, alors même qu'elle lui tient la tête plaquée sur son sexe. Ensuite, lâchant la tête de l'homme, mais toujours très excitée, la vieille comtesse ordonne à la serveuse :

- Viens embrasser ton mari.

Et le couple, une fois debout et réunit, se roule une pelle devant tout le monde. Le goût de ce baiser est particulier, la bouche de la femme sent le foutre, celle de l’homme, l’urine. Et, les doigts croisés entre eux, se serrant et desserrant, communiquent leur envie de fuir, tout en sachant qu’ils sont là, à ce moment, pour gagner un maximum d’argent.

C'est à ce moment-là, que la sonnette de l'entrée retentit.

Guy, le majordome, sort de la bibliothèque pour aller ouvrir la lourde porte d'entrée.

C'est le frère de Monsieur, Philippe, qui est là. À peine entré, il donne son manteau à la discrétion du majordome, puis attend que ce dernier revienne.

Au retour du majordome, quelques secondes plus tard, Philippe attrape l’homme par le coup et l'embrasse avidement.

Guy adore se faire embrasser par cet homme, certes un peu plus âgé que lui, mais tout de même doux, même si très vicieux.

Dans un souffle, Philippe demande :

- J'ai envie de ma bite dans ta bouche.

Le serviteur s'accroupit, pose un genou au sol et très délicatement, défait la braguette devant ses yeux et sort, avec précaution, cette jolie queue. Que ce bel homme lui donne de tels ordres, excite terriblement Guy, et il adore être traité ainsi, presque comme un objet.

Philippe pose ses mains sur la tête du majordome et enfouit ses doigts dans l’abondante chevelure soyeuse. Il lui applique alors, le rythme qu'il entend vivre. Sentant qu’il risque de ne pas tenir très longtemps, ce coquin de Philippe commande encore :

- Stop ! Je n'ai pas envie de jouir tout de suite, par contre, j’ai envie de ton corps. Alors retourne-toi et baisse ton pantalon.

Le serviteur ne se fait pas prier, lâchant la pine, se retourne, défait le pantalon de sa livrée et le laisse glisser le long de ses jambes. Guy adore ces moment-là, quand il sait qu’il va se faire prendre, ici, dans ce vaste vestibule, comme ça, tout debout. Ça lui rappelle les moments volés au petit séminaire. Il se penche en avant et attend que ce sexe, qu’il vient de mettre en forme, vienne fouiller ses entrailles.

D’un coup de rein précis et doux, monsieur frère fait pénétrer sa verge dans l’anus étoilé. Mais, une fois de plus, Philippe, après avoir limé quelques minutes, ne veut pas jouir tout de suite. Aussi, il se retire de ce doux et moelleux conduit, pour annoncer :

- Si nous allions prendre l'apéritif.

Le majordome remontant rapidement son pantalon passe devant le visiteur et l'introduit dans la bibliothèque.

Bientôt, Hector De Fontenoi commence à grogner et indique au jeune homme, qui le suce, qu’il va jouir. Le vieux baron est toujours très excité de penser qu’il partage le même amant que sa cousine, cousine avec qui, il a d’ailleurs souvent eu des rapports sexuels. De là à parler d’amour...

Jeune homme acquiesce d’un signe de tête et reçoit la semence du cousin de sa maîtresse en bouche. Pas tant qu’il aime ce vieux sperme, mais il sait qu’en faisant tous leurs caprices, ces vieux nobles pervers lui permettrons d’avoir une vie aisée, sans être obligé de trouver un travail ou de se prostituer.

- Tu es vraiment un petit salaud, mais qu'est-ce que tu suces bien ! Et Hector De Fontenoi lui donne une claque affectueuse, en refermant sa braguette. Puis, il retourne s'asseoir à côté de sa cousine.

Le jeune homme rappelle la serveuse et, alors qu'elle se penche en avant, lui tripote les mamelles en lui demandant :

- Toi, tu travailles où habituellement ?

Alors Sandra, sans démonter, de lui répondre :

- Sur le parking de routiers, après le centre commercial, sur la route de Paris, le plus souvent. Mais, parfois, je fais aussi ce genre d’extra dans un petit restaurant. Et il m’arrive de recevoir à la maison.

Philippe, qui est resté debout, depuis qu'il est rentré dans la pièce et après avoir salué de loin, un peu tout le monde, regarde le nouveau serviteur, puis il l’appelle à lui :

- Je veux savoir comment tu suces, alors hop, viens prendre ma pine dans ta bouche.

Marcel vient s’agenouiller devant le nouveau venu, ouvre la braguette du nouvel arrivant et happe le sexe. Très vite, il fait une sorte de moue, car le membre sent la merde.

Ce qui amuse d'ailleurs beaucoup Philippe, qui lui dit :

- Elle a le bon goût du cul de Guy, n'est-ce pas ?

Un signe de la tête en même temps qu'il suce, et l’homme continue sa pipe. Quelle bande de pervers dépravés, pense-t-il. Il ne sait pas de quoi ils sont finalement capables, mais il n’est pas sûr, non plus, de vouloir le savoir, du moins, pas d’expérience.

La pipe dure trois quatre minutes à peine et Philippe ne veut toujours pas jouir trop tôt. Il repousse, sans brutalité, le serviteur et lui dit :

- Merci de m'avoir bien nettoyé la bite, j'espère que maintenant, elle ne sent plus le cul !

À ce moment-là, Marcel se dit : « si je peux te rendre la monnaie de ta pièce, crois bien que je n’hésiterai pas ».

C'est à cette occasion, qu’Hector De Fontenoi, avec un grand sourire, propose de passer à la salle à manger.

Tout ce petit monde termine son verre avant de rejoindre la pièce dans laquelle trône une grande table déjà dressée, avec de petits cartons portant le nom de chaque convive.

Une fois toutes les personnes attablées, les discussions reprennent et vont bon train. Il est d’ailleurs beaucoup question de sexe, de vice et de luxure. Quand les entrées sont servies par le couple nouvellement loué, le silence se fait, chacun goûtant son plat d’asperges tièdes avec une sauce mousseline à la ciboulette.

Le maître des lieux, pour montrer que toutes les petites fantaisies sont les bienvenues, ordonne à Sandra de venir à côté de lui. Et quand elle se présente face à lui, il demande :

- Retourne-toi et penche-toi en avant. Attrape tes chevilles et écarte bien tes jambes.

Là, il remonte la jupe bien haut et, de deux doigts habiles, il écarte les lèvres. De l'autre main, il prend une asperge et vient enduire le légume de la cyprine qui suinte de cette chatte.

La femme mûre se demande bien ce que peut encore inventer ce drôle de baron et elle se dit que, finalement, la révolution avait du bon.

Le bonhomme prend tout son temps pour bien passer le légume, dans toute la vulve, puis, le portant à ses lèvres, déclare d’un ton badin :

- Mes amis, si vous voulez goûter aux asperges sauce femme, n’hésitez pas à demander.

Tout le monde rit de bon cœur, même le majordome et le mari

La comtesse, quant à elle, fait un signe à son jeune amant pour lui intimer l'ordre de venir à ses côtés. Une fois que Chris s’est approché, elle ouvre sa braguette, sort la queue déjà raidie et la porte à sa bouche. Devant tout le monde, elle commence une fellation digne des meilleures professionnelles.

Comme à l’accoutumée, le jeune homme se laisse faire, sachant pertinemment qu’il n’est qu’un jouet de luxe entre les mains de cette femme perverse.

Catherine De Fontenoi suce cette bite qui sent encore un peu le foutre. Elle connaît très bien son jeune amant et sait que très vite, si elle dégrade son corsage, le jeune mignon jouira. Aussi, défait-elle son beau chemisier pour découvrir ses vieilles mamelles encore fort jolies.

Ce qui devait arriver, arrive, et le jeune homme donne les signes d’une éjaculation prochaine.

Là, de sa main libre, elle s’empare de son assiette, et fait gicle le sexe dessus. Puis, se tournant vers son cousin, lui répond :

- Moi je préfère les asperges à la crème de bite, plutôt qu'à la sauce femme. C'est à ce moment-là, lâchant le jeune sexe, qu’elle prend délicatement une asperge entre deux doigts, et qu’elle la passe dans le foutre tiède.

À la fin de l’entrée, alors que Sandra desserre les assiettes et que le majordome et la cuisinière, vêtue d’une très belle tenue de soubrette, viennent pour servir le faisan, le baron demande à Marcel :

- Retire-ton short, on dirait un gamin ! Reste cul nu avec tes bas, ce sera mieux.

Puis il se tourne vers Sandra, jette un regard salace du haut en bas, et commande :

- Toi, tu retires ta jupe et ton chemisier, que tout le monde puisse admirer ton collier de prostituée.

Le couple, sans un mot, se déshabille comme on vient de leur demander, ensuite, ils vont poser leurs vêtements sur une chaise, au coin du grand vaisselier.

- La pute, tu t’occupes de servir le vin, enjoint encore le vieux baron lubrique.

Quand tous les convives sont servies, et avant qu’il ne donne le signal du départ, le vieil original vicieux ordonne encore à Marcel de venir près de lui.

L’homme sait bien qu’il va encore se passer quelque chose de bizarre, mais avec un bref regard échangé avec son épouse, semblant lui dire, pense au fric, l’homme vient où il lui est demandé.

Le maître des lieux s’empare du pilon qui lui a été servi. Il dit encore à son serviteur d’un jour de se pencher en avant et d’écarter ses fesses. C'est à cet instant, que, sans douceur, il introduit le pilon, dans l’anus déjà ouvert, par ce qu’il a subi plus tôt. Ensuite, et alors qu’il affiche un grand sourire, il lui signifie :

- Maintenant, tu fais le poulet.

Si l’humiliation commence à agacer sérieusement le pauvre Marcel, il se ravise, pensant au prix de ses souffrances, plie ses bras, les relève et les claque contre ses flancs, en faisant :

- Cocorico !

Rire général.

- Fais le tour de la table, gentil coq !

Et l'homme fait le tour de la table en battant toujours des coudes contre son flan et faisant cocorico.

Cela amuse beaucoup cette folle assemblée.

Au troisième tour de table, quand le pauvre animal passe à sa hauteur, Philippe l’attrape par la pine et ordonne à son tour :

- Viens me sucer, j’adore le mélange des plaisirs, une bonne chaire, une bonne pipe, voilà bien de quoi contenter ton bon gentilhomme !

L’ambiance est électrique, terriblement excitante, bien que restant amusante. Un subtil amalgame, l’humiliation de ces putains, mâle comme femelle, des situations scabreuses, du sexe et de la luxure, il ne manquerait plus que ce divin marquis pour compléter cet aréopage.

Ensuite, c'est la vieille comtesse qui décide de se faire lécher le con, mais par la salope, pour varier les plaisirs. Elle se cale dans le fond de sa chaise et la pousse bien en arrière, tout en s’adressant à Sandra :

- Toi, la pute, viens me lécher l’abricot…

Et, alors que son mari s’est mis à genoux devant le frère de leur patron, la brune vient se placer devant la vieille femme, s’agenouille, et applique sa bouche contre la vulve offerte. Elle se fait la même réflexion que son mari concernant l’odeur délicieuse de cette chatte, bien que cela soit un tantinet écœurant.

- Mets-toi à quatre pattes, comme une chienne, pour me laper la chatte, s’exclame la vieille comtesse.

Et Sandra obéit et se retrouve le cul légèrement relevé à lécher comme une bonne chienne vicieuse. Si, en général, elle n’est pas contre lécher la moule de ses copines, surtout celle de ses collègues quand elles proposent des plans à eux femmes, aujourd'hui c'est très particulier. C'est la première fois qu’elle lèche une sa vieille chatte, et le parfum que porte cette vieille salope gâche un peu le goût si particulier d’une chatte qui ronronne et transpire de bonheur.

- Alors, elle n’est pas belle la vie, se réjouit le baron.

Chris, reprenant de l’énergie, a de nouveau une grosse envie de jouir, dans un cul, aussi, il se lève et vient derrière la brune. Là, il se dit qu’une pute, de toute façon, c'est fait pour servir de boîte à bite, et que le gros cul de cette traînée, le changera du petit cul de mémé, de sa maîtresse attitrée.

Philippe, quant à lui, excitée par tant de vice et de folie, ne peut se retenir trop longtemps, et finalement, un peu contre son gré, il jouit dans la bouche de son suceur.

Marcel, qui bien que marié, a une bonne connaissance des hommes et de leur plaisir, serre la queue qu’il a en bouche avec ses lèvres et aspire en même temps. Il sait que tant que l’homme est au septième ciel, il peut en jouer, mais quand il sera redescendu sur terre, il devra arrêter sa prestation, toutefois, il veut laisser la sensation, d’être un maître de la pipe, à ce sacré bonhomme. On ne sait jamais, s’il pouvait en faire un client régulier, ce serait tout bénéfice.

En effet, monsieur frère apprécie cette fellation qui ne s’arrête pas brutalement au premier jus, mais qui prolonge son plaisir. Même s’il a eu des milliers de pipes dans sa vie, celle-ci fait partie du haut du panier.

Durant ce temps-là, le jeune mignon s’est mis sur ses genoux, au cul de la grosse brune, et lui a écarté les fesses avec ses deux mains. Il place son chibre contre l’œil de bronze, et d’un grand coup, encule la femme.

Celle-ci pousse un cri, alors même qu’elle a la bouche collée à la vulve de la vieille femme.

- Ha oui ! Crie dans ma chatte, salope, ça fait une étrange sensation, mais c'est agréable.

Comprenant que le message lui est aussi adressé, Chris ressort sa bite, la guide à nouveau contre le sphincter, et encule à nouveau la femme, mais cette fois plus violemment.

Nouveau cri de Sandra.

- Oui ! Encore salope…

Le même phénomène donne le même résultat plusieurs fois de suite, mais si le jeune homme rebande facilement après avoir joui, il ne tient pas longtemps pour autant à ce petit jeu là. Quand il sent monter en lui le jus de couille sous pression, il attrape les cheveux brun devant lui, et force la femme à se retourner, lui colle sa pine en bouche et lui dit :

- Tu prends tout, mais tu n’avales pas, je veux que tu ailles mettre mon sperme dans la chatte de ma chérie !

Et, une fois qu’il s’est vidé les valseuses, toujours en tenant fermement les cheveux, redirige la bouche de la femme, vers le sexe entrouvert de la mémé.

- Allez, recrache-moi tout là-dedans…

Après le faisan, le baron annonce :

- Maintenant, trou normand !

Marcel est mis à contribution pour aller chercher l'alcool de poire, pendant que son épouse se remet debout, l’anus bien ouvert. Elle se promet intérieurement de faire payer, à ce sale gosse, ses saloperies s’il vient un jour la voir, sur son lieu de travail.

Le serviteur du jour, fait le tour de la table et serre une petite dose d'alcool de poire, dans des verres prévus à cet effet. Quand il passe à côté de Philippe, il se fait tricoter les fesses, puis il entend :

- Alors ? Un pilon dans le cul en guise de god, tu en penses quoi ?

L’homme continu de servir, espérant éluder la question. Mais ce diable de frère reprend d’une voix bien plus forte :

- Alors ? Ne trouves-tu pas que le pilon à la place du god est une idée délicieusement perverse ?

- Si, monsieur !

- Bien, tu peux donc remercier mon cher frère.

- Merci, monsieur le baron.

Continuant son tour de table, il arrive à la hauteur de Chris pour servir la poire.

Le jeune homme en profite pour lui tripoter les couilles à la limite de lui écraser.

Et quand il termine par le baron, alors qu’il se penche pour servir, ce dernier lui pince fortement le téton droit, en le regardant des yeux et en lui disant :

- T’es vraiment une bonne fiotte.

La vieille comtesse fait un signe de la tête à Sandra pour la faire venir à elle. Là, après avoir trempé son doigt dans l'alcool, passe le doigt sur le clitoris de la pauvre femme, qui grimace instantanément sous la brûlure de l’alcool. Puis, elle lui dit :

- À ta place, chienne.

Le majordome vient et serre le fromage, puis le dessert. Rien de particulier ne se passe, pendant cette phase du repas. Puis, il revient avec une bouteille de champagne et emplit les coupes avec le précieux breuvage. À la fin, il reste une demi-bouteille de champagne qu’il pose à côté d’Hector De Fontenoi.

Le baron a, d'un seul coup, une idée saugrenue. Il s'adressa la pute et lui ordonne :

- Viens ici et allonge-toi sur la table, devant moi, sur le ventre.

Qu’a bien pu encore inventer ce diable d’homme ? Se demande la pauvre femme mûre. Le clitoris lui chauffe toujours énormément suite au passage du doigt avec de l'alcool, mais elle évite de faire quoi que ce soit qui marquerait la douleur, se disant qu’il valait mieux faire profile bas, pour éviter de revivre les mêmes choses.

Le vicieux baron, écarte les fesses de la brune, s'empare de la bouteille de champagne et amène le boulot contre le sphincter. Puis, après avoir enfoncé d’un bon centimètre le goulot, dans le boyau, secoue la bouteille jusqu'à ce que le liquide soit entièrement entré dans le ventre de la femme mûre. Ensuite, lui claquant le cul violemment, le son réveil justement un peu l'assistance, il lui intime :

- Debout, les jambes écartées.

- Un seau à glace, s'il te plaît Guy.

Le majordome place avec soin le seau à deux mètres de la table, de manière que tout le monde puisse bien voir, puis aide la pauvre femme à s’accroupir et à rester le cul juste au-dessus du seau. Là, il lui annonce :

- Maintenant, on attend que tu te fasses ton lavement, grosse pute.

L’attente ne devrait pas être trop longue, vu que le champagne est bien frais. Effectivement, peu de temps après, on entend des bruits de tuyauterie qui se vide. La pauvre femme expulse le champagne teinté et des crottes dans le seau. Elle a honte, d’être ainsi devant ces gens, à faire ses plus intimes besoins. Seule, la pensée du gain l’empêche de sauver en courant.

Une fois qu’il semble qu'elle ait terminé d’expulser ses excréments, son mari vient l'aider à se relever. Mais là, il s'aperçoit que son épouse est finalement bourrée ! Elle est saoule, l'alcool est passé directement dans le sang, à travers la fine paroi de l’intestin. Sans passer par le filtrage de l'estomac. Et la dame mure commence à tituber sérieusement.

Hector De Fontenoi la regarde, il se moque en précisant :

- Regardez-moi cette vieille pute, elle ne supporte pas l'alcool ! Elle est bourrée par le cul !

Ensuite son visage s’assombrit et son air devient méchant, il ajoute encore :

- Barrez-vous, vous êtes nuls.

Alors que Marcel essaie de récupérer son short et les affaires de son épouse, le baron précise à nouveau :

- Non ! Non, barrez-vous à poil ! J'imagine la touche quand vous arriverez en bas de votre immeuble et que vous allez devoir rentrer dans votre appartement minable... Allez, du vent !

- Mais, monsieur le baron…

- Il n'y a pas de mais, vous êtes et resterez minables ! Vos affaires vous seront envoyées ultérieurement. Et maintenant, dégagez

Accompagné par le majordome, en tenant son épouse, qui ne marche pas droit, ils descendent l'escalier, montent dans la voiture et s’en vont.

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