La prof examinée 02 (2010 -2023)

 

En regardant sa montre, la directrice s'aperçoit qu'il est déjà plus de onze heures. Arrêtant ses caresses savantes, elle réfléchit un instant, puis finit par dire :

- Vous avez raison mon cher Ernest, j'ai encore quelques papiers à signer avant le déjeuner, nous reprendrons donc cet après-midi, avec cette salope en chaleur

- Je vais laisser le spéculum en place, de toute manière, elle a sans doute bien l'habitude d'avoir l'anus ouvert, ça ne devrait donc pas la gêner, outre mesure.

Instantanément dégrisée par les paroles qu'elle vient d'entendre, malgré le brouillard de son plaisir, Marie-Claire comprend que ses deux tortionnaires veulent la laisser attachée. D'une voix pâteuse, dû à sa bouche sèche, elle implore encore, mais sans grande conviction, quant à l'issue de la matinée :

- Mais ! Vous n'allez pas me laisser là, pendant tout ce temps !

- Ernest, Faites-moi taire cette garce !

Sans répondre, l'homme se relève et se dirige vers l'armoire à pharmacie près de son bureau.

- Mais ça ne va pas ! Vous êtes des malades ! Détachez-moi tout de suite ou sinon...

- Sinon quoi, connasse ? Tonne d'un coup la voix dure de la directrice

- Sinon je hurle !

- Essaye seulement une seconde, ma petite garce, et tu verras alors ce qu'il en coûte de se rebiffer, contre sa maîtresse...

- Au secours... Commence à crier la jolie blonde.

Très vite, la vieille femme fait le tour du fauteuil, vient asséner une terrible gifle, qui résonne dans toute la pièce, à tel point que le docteur se retourne, pour voir ce qu'il se passe. En attrapant l'extrémité du sein droit, entre son pouce et son index gauche et en vrillant le téton avec force, Monique poursuit de sa voix féroce :

- Tu vas me payer ta petite rébellion minable, pauvre salope soumise, que tu es...

- Aie... C'est maintenant un grand cri de douleur, qui déchire l'atmosphère de la pièce.

- Prends déjà ça en acompte, petite putain en rut... Et avec les paroles, la directrice donne une grande claque de sa main droite, sur la vulve, en visant spécialement le clitoris.

Marie-Claire pousse un nouveau cri de douleur, tant son bouton d'amour, sensibilisé par les différents traitements, qu'il a déjà subi dans la matinée, est devenu un centre de douleur intense.

- Et si tu ne t'assagis pas, nous t'enfermerons à la cave, avec les rats...

Pendant ce temps, Ernest a pris une petite fiole d'opiacé et un verre. Il ouvre le flacon et verse un peu d'un liquide épais et brun, dans le récipient, puis, referme la fiole pour la ranger. Avant de revenir vers le fauteuil, il passe par le lavabo, tire un peu d'eau fraîche au robinet, en verse dans le verre et referme le robinet.

À nouveau, la jolie blonde pleure à chaudes larmes. La douleur, la peur, un fort sentiment d'injustice, tout se mélange dans sa tête.

Le médecin vient vers le fauteuil, en remuant le verre. Il soulève la tête de la jeune femelle, doucement, et porte le bord du verre, à ses lèvres.

Marie-Claire boit le contenu du verre d'un trait, tant sa soif est grande et sa bouche desséchée. Malgré le goût étrange du breuvage, elle apprécie la fraîcheur du liquide et se calme quelque peu.

- Voilà une bonne salope qui va être mignonne et attendre, bien sagement, notre retour, n'est-ce pas ma petite pute ? Cette fois, la voix de la directrice est douce et une pointe de tendresse pourrait même, y être décelée.

- Par pitié Madame, détachez-moi, je ferais tout ce que vous voulez, mais détachez-moi, je vous en conjure.

- Première leçon ma salope, une bonne soumise doit savoir endurer sans se plaindre. Tu resteras donc attachée, tant que je n'en aurais pas décidé autrement.

- Mais madame, qu'ai-je donc fait, pour mériter ça ?

- Tu vas avoir tout le temps de réfléchir à la question... Puis, se tournant vers le médecin, la directrice lubrique ordonne :

Ernest, Mettez quelque chose sur elle, je ne voudrai pas d'une pute grippée.

L'homme retourne vers son armoire, pour chercher une couverture.

Le produit commence déjà à faire effet, sur la pauvre blonde, en calmant son esprit torturé. Elle se sent maintenant plus détendue, plus tranquille, les douleurs qu'elle a ressenties plus tôt, lui paraissent soudainement bien loin, comme si elle entrait dans un nuage de coton.

Monique surveille de près les réactions de la jeune femme. Elle voit son visage se décrisper et le teint changer, presque imperceptiblement, de coloration. Elle en profite pour se pencher en avant et lui susurrer, d'une voix douce :

- Voilà, calme-toi, tu vas te reposer et penser à moi…

Marie-Claire se sent bien, à présent. Le produit qu'elle vient d'ingurgiter, lui brouille totalement l'esprit, mais l'apaise également.

La directrice vient plaquer sa bouche, sur celle de la jeune femme, qui s'offre maintenant, totalement, au baiser fougueux de sa patronne. La femme âgée en profite pour caresser, fermement, et malaxer le sein droit sous elle, de sa main gauche, et de l'autre main, elle cherche le clitoris, pour aller le titiller.

Cette fois, la jolie blonde apprécie entièrement, ce baiser et ces caresses. Entre cette main qui lui presse le sein droit et cette autre qui lui envahit la vulve, elle ne sait plus, d'où vient au juste, les ondes de plaisirs qui traversent son corps, mais elle sent monter en elle, un orgasme puissant. Sa chatte se trouve de nouveau, totalement humidifiée.

Le docteur revient avec la couverture et ne perd pas une miette du spectacle, qui lui est offert, à présent. Il en profite même pour glisser une main experte, sous la jupe du tailleur de sa patronne, pour lui flatter le haut des cuisses, à la lisière des bas, et constater qu'une fois de plus, elle ne porte pas de culotte.

Monique, tout en appuyant encore son baiser, en fouillant de sa langue experte la cavité buccale, astique frénétiquement le clitoris de la captive. Au souffle court de la jeune femme, elle sent que l'orgasme n'est pas loin.

Très habilement, le pervers médecin caresse la rondelle brune du sphincter, sachant parfaitement, que sa patronne est des plus sensible, au niveau de l'anus, et que, ce faisant, ajouté à l'excitation dans laquelle elle est déjà, grâce à la petite séance, avec cette jolie jeune femme, il va très vite la faire mouiller et l'amener au bord de l'extase.

Marie-Claire se laisse totalement faire, son ravissement monte à grande vitesse, elle sent qu'elle est prête à exploser de plaisir. Sans réussir à se contrôler, elle essaye de rendre le baiser à cette femme, qui lui procure un tel bien être, mais ce qui monte en elle, est bien trop intense, pour qu'elle puisse assurer, la cohésion de ses gestes.

Très experte, la folle directrice amène la belle juste au bord de l'orgasme, puis, d'un geste brusque, se relève et cesse, immédiatement, toute caresse.

- Oh... Non... Ne me laissez pas comme ça... J'ai besoin de jouir maintenant...

- Ernest, occupez-vous de calmer cette petite pute en chaleur, avant que nous allions déjeuner, voulez-vous.

Le terrible médecin, retirant à son tour son index qui venait d'investir l'anus de la directrice, vient se placer entre les cuisses de la jeune femme, puis, d'un geste précis, déboutonne le bas de sa blouse, en remonte les pans, et défait sa ceinture.

Marie-Claire est toujours dans une sorte de transe. Elle se trémousse et remue ses fesses, comme pour mieux s'offrir et recevoir à nouveau les hommages, qui l'ont tant excitée. Elle jette un regard éperdu à sa patronne et implore encore :

- S'il vous plaît, ne me laissez pas dans cet état... Faites-moi jouir, je vous en prie...

Maintenant, Ernest, tient sa ceinture enroulée autour de sa main droite, ne laissant qu'une vingtaine de centimètres de cuir libre. Il lève la lanière de cuir et l'abat violemment, sur la vulve exposée devant lui.

Un cri strident déchire la pièce. La pauvre blonde vient de hurler sous la morsure, de ses chairs intimes, par le cuir. Après avoir fermé vivement ses yeux sous la douleur, elle essaye de les ouvrir à nouveau, mais déjà une deuxième douleur vient la faire hurler de plus bel.

L'homme lève une fois de plus son bras menaçant, arrête son mouvement, fixe le visage fermé de la jolie blonde, puis s'écrit :

- Tu as encore besoin, que je te fasse jouir ou tu vas te tenir tranquille, maintenant ?

- Laissez mon cher, intervient alors la directrice, d'un ton sans appel. Nous allons aller déjeuner et verrons tout à l'heure, ce que cette petite pute a dans le ventre.

Ernest, bien que déçu, laisse retomber son bras le long de son corps. Puis, après deux ou trois secondes de réflexion, il s'écarte du fauteuil et remet sa ceinture dans ses passants.

La folle directrice lance un regard mauvais sur la pauvre jeune femme, puis se tourne vers son collaborateur et ordonne encore :

- Tout compte fait, bâillonnez-la, s'il vous plaît, Ernest, on ne sait jamais qui peut passer dans le couloir.

Une fois de plus, l'homme se dirige vers la grande armoire, fouille dedans pendant quelques secondes, puis revient muni d'un bâillon en cuir avec une boule en caoutchouc. Il se poste devant la jeune femme, qui l'implore de son regard triste, puis, d'un geste précis et sûr, il applique le bâillon. À la fin de l'opération, il se tourne vers sa patronne et annonce fièrement :

- Voilà qui est fait, nous pouvons aller déjeuner, me semble-t-il.



Le déjeuner à la cantine de l’établissement est frugal, de plus nos deux compères n’ont qu’une idée en tête, retourner auprès de leur captive, et continuer cette gentille petite séance.

Les voici de retour dans le labo du docteur. Ils s'aperçoivent que la blonde s'est endormie. Son sommeil est tranquille, elle respire profondément, son corps se soulève au rythme de sa respiration.

Bien qu’elle soit à l’origine de l’état de profonde somnolence, dans lequel se trouve la jeune femme, cela ne plaît guère, à la maîtresse des lieux.

- Allez, on se réveille, fini de dormir maintenant, tu n'es pas là pour dormir ! Où te crois-tu ?

Avec les opiacés qu'on lui a administrés, Marie-Claire a beaucoup de mal à sortir de sa léthargie. Et surtout, elle ne comprend plus du tout, ni où elle est, ni ce qu’elle y fait.

- Une telle attitude demande correction, annonce fièrement le toubib.

Oui, vous avez raison ! Il semble que cette petite grue n'en fasse qu'à sa tête ! Et ça ne me plaît pas du tout. La patronne ici, c'est moi !

- Et la république, alors, c'est qui ? Demande le médecin en riant.

Elle s’empare alors de la cravache, qui est sur la tablette, qui sert de desserte, à son collègue médecin. Elle vient l’agiter sous le nez de la blonde.

- Alors comme ça on se tape une petite sieste pendant que ses collègues sont en plein labeur. Et elle claque un grand coup de cravache sur les deux seins en même temps.

La pauvre Marie-Claire pousse un cri effroyable...

Pendant ce temps, le bon docteur prépare sa potion magique. Il a repris sa fiole d’opiacé, en verse une bonne rasade dans le verre, fait couler de l'eau du robinet, jusqu’à ce qu’elle soit bien fraîche, et il remplit un demi-verre.

La folle patronne profite de ce temps-là, pour se déplacer et vient entre les cuisses de la blonde. Elle assène quelques sérieux coups de cravache sur la vulve, en visant, à chaque fois, le clitoris.

Marie-Claire pousse des cris d’orfraie à chaque fois que le cuir frappe sa vulve. À nouveau, son clitoris la brûle terriblement. Elle pleure à chaudes larmes, elle ne comprend pas pourquoi, tant de haine à son égard.

- Je vais t'apprendre moi, salope, à dormir pendant les heures de cours !

Le regard lubrique parcourt le joli corps de la jeune femme. Elle aimerait que cette jolie plante devienne, d’elle-même, sa complice, mais elle sait qu’avec son visage de mamie, elle a bien peu de chance que cela n’arrive, aussi échafaude-t-elle un plan, pour l’avoir à sa merci, dans sa tête.

En attendant que les opiacés ne fassent leur effet, Ernest se rapproche de la directrice. Il l’enlace avec ses bras. Ils s'embrassent passionnément et Ernest commence à avoir les mains qui se promènent sur le corps de la femme mûre.

Après ce moment de détente tendre, ayant envie d'aller plus loin, le vicieux toubib commence à déboutonner le chemisier de sa patronne.

Mais, celle-ci le stoppe :

- Pas tout de suite, Chéri. Attends un peu, nous prendrons du bon temps en fin de journée, comme d’habitude. Regarde plutôt dans quel état se trouve notre petite protégée.

Suite à un examen minutieux, le médecin se redresse et annonce :

- Ça y est, elle est complètement dans le schwarz.

- Elle ne peut plus nous entendre ni rien comprendre ?

- Non… Là, elle est vraiment dans les vapes

Parfait, si elle ne peut plus nous entendre, détache-moi cette salope et allonge-la-moi par terre, que je me fasse lécher, elle m'excite trop cette petite connasse.

L'homme commence par retirer la couverture, qu'il avait placée par-dessus la femme. Place cette couverture sur le sol dur et froid de son labo. Après, il détache consciencieusement la blonde et la prend dans ses bras musclés, pour aller la déposer sur la couverture, par terre.

L'abominable directrice défait sa jupe. Le sexe et les fesses à l'air, vient encadrer la tête de sa collaboratrice, avec ses pieds. Puis, elle s’accroupit

- Allez ma salope, tu vas lécher la chatte de ta patronne, toute façon tu es une broute minou, non ?

La jeune femme, comme dans un rêve, ne peut faire autre chose, que de sortir sa langue et l’introduire dans le vagin à sa portée. Elle lèche, sans en avoir réellement conscience, ce fruit mûr et juteux.

- C'est ça, ma pétasse, la prochaine fois, je n'aurais peut-être pas besoin de te droguer. Sur ce, elle bouge son bassin de telle façon à ce que ce soit son anus qui soit en face de la bouche gourmande.

- Lèche-moi le cul.

Une fois de plus, Marie-Claire, sort sa langue, lèche l'anus et finit par introduire son membre dans le trou étoilé.

Très étonnant, elle adore ça ! Souvent, c'est son ami et amant, le bon docteur, qui s'occupe de lui faire une feuille de rose. Mais là, cette jolie blonde, qui lui vrille la rondelle de belles manières, l’emmène aux portes de la félicité. C'est un plaisir dont elle se délecte.

- Alors, que penses-tu de cette petite grue ? Demande la femme à son ami.

- Elle devrait être très douée, quand elle ne sera plus dans son paradis artificiel.

- Mais rassure-toi mon chéri, elle n'est pas aussi douée que toi, et de toute façon, il lui manque l’outil qui fait rêver les femmes, que tu es seul, à posséder.

Ernest, flatté, sourit, c'est vrai qu’il est équipé de matériel peu commun.

- Je te propose qu'on la laisse rentrer chez elle. On va la rhabiller un petit peu mais pas totalement, et on la laisse à l'arrêt de bus, qu'en penses-tu ?

- Très bonne idée, admet Ernest, j'aimerais une petite souris, pour voir comment ça va se passer, quand elle rentrera !

Aussitôt dit, aussitôt fait, voici le couple pervers qui aide la blonde à se remettre assise sur une chaise. Puis, l'équipe de ses vêtements, mais la jupe mal fermée et son chemisier bien entrouvert.

Monique attrape la blonde par les cheveux. Elle colle son visage à quelques centimètres et lui dit :

- Demain, petite pute, tu viens sans culotte, sans soutif, un chemisier fin, une jupe au-dessus du genou et des escarpins. Tu porteras des bas jarretières, pas de porte-jarretelles… Tu m'as bien compris, conasse ?

La blonde acquiesce.

Ernest prend le soutien-gorge et la culotte pour les mettre dans la poubelle. Ensuite, il lui passe son imperméable sur les épaules.

Et alors que la perfide patronne sort et retourne à son bureau, pour gérer son institut. Le libidineux docteur prend Marie-Claire par le bras et la guide jusqu'à l'arrêt de bus. Là, il l’assoit sur le banc et lui dit :

- Tu peux rentrer chez toi maintenant ta journée est terminée, ma chérie.

Dans le bus qui arrive, toujours à moitié dans les vapes, la jeune femme titube et va s'asseoir à l’arrière. Trois jeunes viennent s'asseoir à côté d’elle. Les sales gosses de cité se moquent d'elle et la pelote.

Marie-Claire ne semble pas s’en rendre compte et se laisse faire docilement.

Arrivée en bas de chez elle, elle descend du bus, toujours en titubant, et monte à son appartement. Un voisin la rencontre, se demande bien ce que peut avoir, cette jolie voisine, aujourd'hui.

Elle déverrouille la porte, l'ouvre, entre, la claque derrière elle. Elle va s'écrouler sur le sofa dans le salon, juste à côté.

Sur le coup de vingt-trois heures, la pauvre femme sort d eson coma et des brumes éthérées. Elle se lève et se fait, tout de suite, un café très serré. En passant, sur la table de la cuisine, elle voit un petit billet.

À la lecture du petit mot, Marie-Claire, se rend compte que, le feu qui couvait entre elle et son compagnon, depuis déjà quelques semaines, vient de s'embraser ! En effet, l'homme lui annonce qu'il la quitte et qu'il va vivre, en attendant un nouveau logement, chez sa meilleure amie.

Marie-Claire court aux toilettes et vomit. Elle revient, avale le café qu'elle a fait. Puis, elle va s'allonger sur son lit pour pleurer. Ce n’est que vers une heure du matin, qu’elle finit par s'endormir.



Le lendemain matin, la pauvre blonde se demande si elle a vraiment vécu tout ça ou si ce n'est qu'un affreux cauchemar ? Entre sa journée à l'Institut et le mot de son copain, c'est beaucoup ! Elle se souvient, toutefois, des mots de sa directrice qui lui intime l'ordre de venir sans soutien-gorge, sans culotte, avec des bas, mais pas de porte-jarretelles. Ainsi qu’un chemisier assez fin.

Mu par une énergie qu'elle ne connaît pas, elle prend une douche, s'habille comme ordonné. Ensuite, elle descend et va prendre le bus pour être à l'école vers neuf heures, comme habituellement.

En arrivant dans la salle des profs, deux de ses collègues la regardent d'une façon étonnante, inhabituelle. Puis, ouvrant son placard, elle voit le petit mot qu'il lui enjoint de rejoindre le bureau de la directrice, dans les plus brefs délais.

Tout affaire cessante, la pauvre jeune femme, se demande bien quels tourments elle va pouvoir vivre encore, aujourd'hui. Cependant, quelque chose à changer. Le départ de son conjoint, fait qu’elle a besoin, bien plus qu'avant encore, de ce boulot, pour payer ce cher appartement, et sa vie qui, sans être luxueuse, est tout de même fort confortable.

Elle traverse la cour d'un bon pas, entre dans les locaux administratifs et se plante devant la porte de la direction. Là, elle frappe deux coups et entend :

- Entrez.

Elle n'a pas le temps de dire grand-chose, à part bonjour, que déjà sa patronne s'est mise debout et vient à sa hauteur. Là, d'une main experte, elle dégage l’imperméable de la blonde et tâte les seins, à travers le tissu du chemisier. Puis, de l’autre main inquisitrice, descend au niveau des genoux, passe la main sous la jupe, remonte le long des cuisses et vérifie qu'il n’y a pas la présence d’une culotte. C'est alors qu'elle s'écrit :

- C'est très bien, ma petite salope. Tu as fait exactement ce que je t'ai demandé, nous allons pouvoir passer à la phase deux, de ton éducation.

- Mais ! Et mes élèves ? Et mes cours ? Je ne peux pas les assumer comme ça !

- Nous avons prévu une remplaçante, ne t'inquiète donc pas de tes élèves, aujourd'hui, tu as autre chose à faire.

Marie-Claire reste interloquée.

- Assieds-toi sur ce prie-Dieu.

En effet, un tableau représentant le Christ est accroché au mur, sous lequel est installée cette sorte de siège à l’assise basse, comme dans les églises.

Se demandant bien à quelle sauce elle va être mangée, la jeune femme, va s'asseoir sur l’objet désigné.

La folle directrice vient se planter devant la jeune blonde. Pose un pied, enfermé dans un très bel escarpin, sur la chaise, juste à côté. Elle remonte sa robe, découvrant ainsi sa chatte lisse au-dessus de ses jolies jambes gainées de soie. Puis, elle ordonne :

- Lèche-moi la chatte… De toute façon, tu aimes ça, lécher les chattes.

- Mais madame…

- Il n'y a pas de : mais madame ! Tu me lèches, c'est tout.

- Mais non, madame, ça va pas…

- Écoute, c'est ou ça, ou la porte. Tu choisis !

Se souvenant de ses besoins financiers, la pauvre s'exécute et s’applique à bien lécher la chatte odorante de sa patronne.

- Mieux que ça, applique-toi.

La jeune femme passe sa langue sur toute la vulve, s'arrête quelques instants sur le clitoris, puis titille les petites lèvres. Cette chatte sent bon le parfum.

- Je veux ta langue dans mon vagin, allez, dépêche-toi un peu.

À nouveau, Marie-Claire obéit et introduit sa langue dans le vagin chaud. Elle fait des ronds, un peu comme si elle cherchait une langue, lors d’un baiser lascif.

Monique se laisse aller à ces agapes sexuelles. Très vite, excitée comme elle est, elle se met à gémir.

La blonde prend les hanches en main et appuie encore plus sa pénétration. Sentant sa partenaire forcée, qui ondule du basin, elle souffle dans l’organe féminin. Cela provoque ainsi de longs frissons qui parcourent le corps de Monique.

À ce moment, la grise patronne a un orgasme fulgurant, qui la tétanise totalement.

Marie-Claire en profite pour retirer sa langue et reprendre son souffle.

- Encore, salope…

La séance de léchouille dure un bon quart d'heure, puis, sans crier gare, la femme mûre se retire, baisse sa robe, se réajuste un peu, et ordonne encore :

- Maintenant tu vas aller voir le docteur. Il a une folle envie de t’enculer et je lui ai dit qu’aujourd'hui, il y aurait droit.

Non pas le toubib ! Oh non !

Mais si ! En plus c'est un spécialiste de la sodomie, allez file.



En traversant la cour pour se rendre à l’infirmerie, bien des idées traversent l’esprit de la pauvre blonde. Pourquoi accepte-t-elle tout ça ? Bien sûr, elle a, comme tout le monde, besoin d’argent pour vivre, mais tout de même, cette soumission, lui ressemble-t-elle réellement ?

Bientôt la jolie blonde arrive devant la porte du laboratoire.

Elle frappe à la lourde porte et entend :

- Entrez

L'homme bourru, est assis à son bureau où il trône tel un potentat de l'ancien temps. Il daigne lever les yeux sur sa visiteuse, après quelques secondes. Il annonce alors :

- Nous savons tous deux, qui vous envoie et pourquoi vous êtes là.

L'homme désigne le siège à examen gynécologique, sur lequel, la veille, la pauvre blonde avait passé des heures de supplice. Mais là, il semble que le fauteuil ait changé de configuration et soit un tantinet plus accueillant.

- Enlève ta jupe et va t'asseoir sur le fauteuil.

Il ouvre sa blouse blanche, défait sa ceinture, ouvre sa braguette et descend son pantalon et son caleçon. Il retire l'ensemble, tout en gardant ses chaussures. Il arbore un fier sexe, épais et long, qui effraie tout de suite, la pauvre blondinette.

- Mais je ne vais jamais pouvoir prendre ça !

- T'inquiète pas ma petite Chérie, plus c'est gros, mieux ça passe. Tu vas voir.

Ernest est déjà à moitié en érection. il se tripote l’engin tout en venant entre les cuisses roses et dodues, juste ce qu’il faut, de la jeune femme. Là, il l'aide à poser ses jambes sur les supports, prévus à cet effet. Puis, il attrape rapidement son tabouret, le positionne de manière à pouvoir avoir le visage au niveau du sexe blond et commence à lécher la jeune chatte. Quand il se rend compte, que la jeune femme mouille abondamment, attrapant les cuisses, il les repousse un peu vers le haut et se met à lécher l'anus, jusqu'à y enfoncer sa langue.

- Oh, s'exclame la belle

En même temps qu'il lèche cet anus qui sent légèrement l’oignon, il s'astique le manche de façon à être bien en érection. Quand il estime que l'anus est suffisamment assoupli, il s'empare d'un tube de crème hydratante sur la desserte. L’ouvre et en met une noix sur son index gauche. Ensuite, il vient finir de travailler l'anus avec la crème.

- Je vous en prie Monsieur, j'ai vraiment très peur ! Votre sexe est beaucoup trop gros.

- Mais non ma belle, ça force un tout petit peu à l'entrée, mais très vite, tu en deviendras folle, comme ta patronne.

On se rend compte, alors, que le drôle de médecin et sa folle directrice, sont en fait très, très complices.

- Préfères-tu que je te pose un bandeau sur les yeux ?

- Oh non je préfère voir ce qui va se passer.

- Bien, alors tiens-toi bien au bord du siège, je vais prendre possession de ton joli petit trou.

La pauvre blonde serre les dents. Elle s’agrippe de toutes ses forces aux parties métalliques du fauteuil. Elle est crispée au possible

L'homme s'en aperçoit et lui dit :

- Non, non, décontracte-toi, ça ne fera pas mal, je te l'assure

- Peut-être, mais ça n'empêche pas, que j'ai très très, peur et que je n'arrive pas du tout à me détendre.

- Attends, je vais te donner un verre, ça ira beaucoup mieux après.

Le fabuleux toubib retourne à son bureau, ouvre un tiroir, sort un verre et une bouteille de whisky. Il revient auprès de sa desserte, se sert de la petite fiole au liquide brunâtre, en verse un petit peu dans le verre, puis, verse du whisky. Ensuite, il se retourne vers le fauteuil et très gentiment, il tend le récipient à la jolie femme.

- Bois ça, ça va te détendre.

Bien que Marie-Claire sache pertinemment qu'elle est en train de se faire droguer, elle se redresse et boit le verre d’un trait. Puis, se laissant retomber en arrière doucement, comme pour gagner du temps et rend le récipient au docteur.

L'homme lui reprend et le repose sur la desserte.

- Voilà, maintenant tu comptes jusqu'à trois.

La jeune femme compte doucement jusqu'à trois. Elle commence à sentir son cerveau se déconnecter du corps, et se sent de plus en plus décontractée.

Le toubib se rend compte de l'état de la belle et il revient entre les douces cuisses. Il guide le gland de son sexe contre la pastille brune et appuie progressivement de manière à dilater le muscle, jusqu'à ce que ce qu'il avale tout le gland. Là, il s'adresse à la jeune blonde :

- Voilà c'est rentré, tu vois, c'est pas douloureux !

Elle s’étonne, elle-même, que son sphincter ait pu laisser passer, une si grosse pine !

Bien entendu, l’opiacé qu’elle a ingurgité, arrange bien les choses. Un, elle est détendue, deux, elle est anesthésiée, et trois, elle commence à voyager dans ce paradis dit artificiel.

L’homme continu sa pression sur son membre viril et le fait progresser dans le boyau féminin. Même si la progression est lente, il arrive un moment où l’énorme pine est tout au fond de l’anus.

Marie-Claire couine doucement, elle ne saurait dire qui, de la drogue ou du sexe, lui procure le plus de plaisir.

Ernest profite de l’instant pour sortir son appareil photos de sa poche, et faire quelques clichés. Ensuite, toujours très doucement, il recule sa queue jusqu’à la faire ressortir. Là encore, il en profite pour photographier cet anus grand ouvert.

Les yeux mi-clos, la jeune blonde attend, sans impatience, la suite des évènements.

L’homme plonge à nouveau son énorme pieu de chair dans les entrailles offert à sa concupiscence.

La pénétration arrache un cri de surprise à Marie-Claire.

- Oui, si tu réclames, je vais t’en donner !

Et l’homme se met à limer copieusement et de plus en plus vite ce petit cul serré, si appétissant.

Malgré son voyage dans les limbes, elle ressent maintenant des sensations toujours plus agréables. Elle se laisse aller au plaisir, d’abord en gémissant doucement, puis, allant crescendo, en criant, de plus en plus fort, son plaisir.

Ernest ne se retient plus et donne alors de sérieux coups de rein. Mais l’homme avait trop envie de cette jeune et belle femme, et, la nature aidant, il ne peut réfréner son propre orgasme, et fini par juter en plantant sa queue le plus loin possible.

Il reste la pine au fond du fourreau de chair, un bon moment. Ses jambes, tout comme celles de la femme, tremblent. Et c'est un coup de téléphone qui le fait revenir à la réalité. Il retourne à son bureau et décroche le combiné.

- Oui ?

- Alors, Ernest, tu nous as ouvert les chakras de cette petite conne ?

- Oui, elle est encore un peu dans les nuages, mais oui, c'est fait.

- Merci de ta précieuse aide.

- De rien, ce fut un plaisir

- Bien, tu me renvoies mon esclave, j’ai quelques petites choses encore à faire, pour son éducation.

- D’accord. Et il raccroche.

- Allez, ma belle, tu es attendue chez notre patronne. Il aide Marie-Claire à descendre du fauteuil, lui ramasse sa jupe et l’aide encore à se rhabiller, puis la met gentiment à la porte.

Titubant, dans un état de semi-conscience, Marie-Claire traverse la grande cour, quand elle tombe sur un de ses collègues, qui lui dit :

- Ha ! Tu as eu droit à la potion de notre bon toubib ? Puis, ayant poussé le vice jusqu’à glisser sa main sous la jupe, en inspectant l’anus, encore béant, de ses doigts, il ajoute :

- Ha ! Il t’a aussi ouvert l’esprit sur les choses de la vie !



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