Un bon job : Chapitre 8 : Séance de minitel rose Partie 2
Le jeune homme sort de sous le bureau, et se remet debout le plus vite possible. Ensuite, il se place à la tête de la rousse, toujours sur le dos, les jambes retenues dans ses mains.
Marie-France pose un genou à terre entre les cuisses de la rousse. De sa main libre, elle appuie sur l'intérieur de la cuisse droite, puis de la cuisse gauche pour que la rousse écarte encore plus ses jambes. Une fois qu'elle est satisfaite du résultat qu'elle vient d'obtenir, Marie-France se recule un peu. Et quand elle estime être en parfaite position, pour ce qu'elle veut montrer à son jeune employé, elle commence par faire tomber la ceinture relativement doucement, bien à plat sur la chatte de sa standardiste.
Sylvie ouvre les yeux de surprise et regarde sa patronne dans un grand regard triste et suppliant.
- Baisse les yeux, chienne ! Aboie la directrice sadique, en guise d'explication.
La rousse referme ses grands yeux verts. Le cuir a produit un drôle de bruit au contact de la vulve ouverte et humidifiée de cyprine et cela a amorti quelque peu le choc. Néanmoins, la pauvre fille gémit toujours, mais plus pour la douleur occasionnée par les pinces crocodiles sur ses nichons que pour la claque du cuir sur la chatte.
La blonde relève son pseudo-fouet, le fait un peu tournoyer en l'air, puis le rabat, beaucoup plus fermement cette fois, sur la moule offerte. Un claquement sec se fait entendre maintenant.
Le bruit sourd sort Marc de sa torpeur. Il a machinalement enregistré tous les gestes de sa patronne, mais flotte comme dans un rêve. Et il pense que vraiment, c'est un drôle de job qu'il a obtenu là !
Sylvie a un soubresaut accompagné d'une profonde aspiration, qui stoppent un instant ses gémissements, lors du coup suivant. Cette fois son clitoris est meurtri et elle en souffre. Dès le soubresaut passé, elle recommence à geindre comme une chienne maltraitée.
Marie-France, se piquant maintenant au jeu, relève encore son fouet et entame une série de petites tapes qui claquent sur l'intérieur des cuisses de sa standardiste. Puis, revenant à elle, elle interrompt son manège, déroule la ceinture et la tend à son jeune employé en lui disant fermement :
- Tu attends que je te donne mon feu vert, c'est compris ?
- Oui, oui Marie-France, répond alors le jeune homme, complètement aux ordres de sa patronne et attrapant la ceinture que lui tend cette dernière.
La belle blonde retourne à son fauteuil, elle a toujours ses fesses à l'air et ses jambes gainées de soie. Mais les torrides moments qui viennent de s'écouler l'ont mis dans un état d'excitation peu commun. Aussi, avant de s'asseoir à nouveau, elle retire son chemisier, dégageant ainsi, ses seins libres de toute entrave. Ensuite, elle se remet à tapoter sur son clavier pendant de longues minutes qui figent ses collaborateurs dans une attente infernale.
Durant ce temps-là, la belle Sylvie se calme un peu. Elle commence à s'habituer aux pinces sur ses nichons, la brûlure sur ses fesses s'estompe et celle de sa chatte se calme aussi. Néanmoins, elle tremble tout de même de peur, pour la suite des événements. Car elle n'a qu'une confiance limitée, dans son jeune collègue, ne le connaissant pas encore suffisamment. Pourtant, le fait d'être ainsi offerte à sa patronne, pour qui elle a de profonds sentiments, a quelque chose de vraiment étrange, et très excitant. De même, et bien qu'elle soit lesbienne, elle aime être prêtée à son jeune collègue, et elle a très envie de faire plus ample connaissance avec lui.
Marc reste debout de façon stoïque, il joue machinalement avec la ceinture qu'il a en main. Son regard va de sa patronne dépoitraillée à sa collègue humiliée. Il admire les marques qu'il a faites sur les nichons de la rousse, les pinces crocodiles qui se lèvent et s'abaissent au rythme de la respiration de cette belle soumise. L'homme est très excité, son sexe gonflé de désir est coincé dans son caleçon, et il se demande à quel moment il pourra se vider les couilles dans la bouche ou l'anus de cette jolie rousse, à sa disposition. D'un coup, le bruit que fait sa directrice, en fouillant dans un tiroir de son bureau, sort Marc de sa rêverie.
La bouillonnante gérante récupère une pelote de ficelle à rôtie et, sans quitter son écran des yeux, la tend au jeune homme en lui expliquant :
- Tu vas attacher un bout de cette ficelle à une pince et ensuite, tu attacheras l'autre côté de la ficelle, à un poignet de manière à ce que si Sylvie bouge un peu, ou essaye d'allonger un peu ses jambes, la ficelle tire sur la pince. Tu m'as compris ?
- Oui, je vois ce que tu veux dire, répond, tout simplement, le jeune homme.
L'employé zélé s'approche du bureau et s'empare de la pelote, que lui tend sa patronne. Il revient se placer juste au côté gauche de la rousse allongée, pose la ceinture qu'il avait toujours en main, déroule un petit mètre de ficelle et la coupe avec ses dents. Là, il retire la pince sur le téton gauche de la femelle en chaleur.
Sylvie pousse un petit cri lorsque les mâchoires de la pince s'ouvrent et délivrent son appendice.
Marc attache soigneusement un bout de la ficelle à la pince. Ensuite, il replace le méchant gadget sur le téton endolori.
La rousse se tortille de douleur, la première fois, ce fut dur, mais là, ses nerfs étant à fleur de peau, la morsure des mâchoires d'acier sont encore plus cinglantes. Elle serre les dents pour éviter de crier, car elle sait que si elle crie trop, elle recevra encore une autre correction.
Ensuite, l'homme entoure précautionneusement le poignet gauche de la belle rousse avec l'autre bout de la ficelle. Il règle la tension du fils entre le poignet et la pince, et finit par faire un nœud serré au poignet. Puis il annonce fièrement à l'attention de sa directrice :
- Et d'un !
Marie-France jette un coup d'œil en levant un peu le cul de son fauteuil. Elle vérifie, d'un œil expert, le travail de son employé, puis repose son cul nu. Elle reprend ses explications sur son clavier à l'attention de son mystérieux interlocuteur.
Sylvie est dans une position très inconfortable, elle essaye bien de déplier un peu sa jambe gauche, mais tout de suite la pince la ramène à la raison, pas moyen de bouger sans que la pince lui tire le sein, de façon très douloureuse.
Marc se relève et vient se placer de l'autre côté de la belle rousse. Là, il recommence la même manœuvre que précédemment, il retire tout d'abord la pince du sein droit.
Encore une fois, le mamelon meurtri se relâche douloureusement pour la pauvre standardiste. Tout en serrant les dents, elle prend une profonde inspiration, dans une grimace qui la défigure.
L'homme attache fermement la pince à une extrémité de la ficelle qu'il vient à nouveau de débiter à l'aide de ses dents, puis repose la pince sur le mamelon érigé.
De nouveau la jolie rousse aspire profondément un grand bol d'air. De nouvelles larmes coulent de ses yeux fermés. Ses tétons torturés lui font un mal de chien, pourtant, elle prend bien soin de ne pas crier, elle y met même un point d'honneur.
Marc attache ensuite l'autre extrémité de la ficelle autour du poignet droit de la rousse, règle la tension du fils, puis fait un double nœud. Une fois l'opération terminée, il se remet debout et annonce, sur le ton du travailleur satisfait de sa tâche :
- Voilà, c'est fait, Marie-France.
- Très bien mon petit, je viens vérifier si tu as bien travaillé alors, répond la belle blonde, en se levant de son fauteuil.
Elle s'approche de la standardiste entravée, se penche, teste les fils et la tenue des pinces, vérifie encore l'ouverture de la chatte, et de l'introduction du plug. Elle termine en donnant une pichenette sur le bouton d'amour, de sa proie.
La belle Sylvie grimace encore. Elle recommence à gémir doucement comme pour amadouer sa directrice, en espérant que cette bizarre séance prendra bientôt fin. Mais comme elle se trompe la pauvre chérie !
L'homme se tient debout aux côtés de la soumise, il arbore un sourire fier, content de montrer à sa patronne, qu'il apprend vite et bien. Il repense aux moments qu'il a passés avec la blonde, dans sa demeure de Normandie et de la façon, dont il s'en est sorti avec la bonniche.
- Parfait Marc, complimente simplement la directrice sadique.
Puis, elle retourne s'asseoir, sans autre forme de procès. À nouveau, elle tape sur son clavier quelques messages secrets, à nouveau, elle semble se désintéresser de ce qui se passe dans son propre bureau, mais les apparences sont trompeuses. Discrètement, elle suit de temps à autre des yeux, son jeune employé, pour voir comment celui-ci réagi à cette attente forcée. Elle a bien remarqué la bosse dans le pantalon du jeune homme, et se doute bien aussi, que ce dernier doit commencer à avoir une furieuse envie de mettre sa bite au chaud. Mais elle aime trop infliger ce genre de torture mentale, pour arrêter le jeu maintenant.
De longues minutes s'écoulent encore.
Marc détaille d'un regard perçant l'anatomie exhibée de la jolie standardiste rousse à ses pieds. Il imagine sa bite lui perforer le cul dans cette position impudique. Il se voit également en train de la gifler de sa queue raide, ou encore, lui faire boire tout son foutre chaud.
Sylvie, toujours les yeux clos, attend dans la crainte, la suite de la matinée, elle ressent ses seins douloureux, le feu de sa chatte et de ses cuisses battues, toutes rougies encore, malgré le temps passé. Elle commence à être ankylosée dans cette posture. Une idée lui traverse l'esprit, que se passerait-il si quelqu'un venait à entrer ?
Tout à coup, la blonde directrice relève le nez de sur son écran, et dit d'une voix forte :
- Marc, tu vas lui fouetter le cul avec ta ceinture, maintenant.
Sans répondre, le jeune homme se penche et ramasse l'objet demandé. Comme il a appris à le faire, il enroule la ceinture autour de sa main. Il vient ensuite entourer la tète de la standardiste avec ses pieds et se penche bien en avant. Là, après quelques secondes de cogitation, il lève enfin sa ceinture et l'abat férocement sur le haut des cuisses tendues.
Le premier claquement sec, qui résonne dans la pièce, avertit la directrice. Elle se soulève un peu et se penche par-dessus son Minitel, pour voir là où tombent les coups. Elle regarde son jeune amant s'en donner visiblement à cœur joie, avec la gousse rousse.
Marc prend le rythme de donner un coup toutes les vingt secondes, et s'y tient. Il fait tomber la ceinture alternativement sur le haut d'une cuisse puis sur l'autre. Il affiche un sourire malin, et il est très concentré sur son occupation.
Les tout premiers coups sont encore supportables pour Sylvie. Mais, au fur et à mesure que le cuir fouette le même endroit, la douleur devient de plus en plus forte. Et, après quatre ou cinq coups, elle ne peut plus s'empêcher de pousser de petits cris de chienne blessée, à chaque nouvelle claque. Au bout d'un instant, elle commence à demander pitié à sa maîtresse et à son tortionnaire.
- Ferme ta gueule, salope, donne pour toute réponse, la patronne.
L'homme, agacé que cette chienne ne s'adresse pas à lui, tout en gardant le même rythme, appuie encore plus ses mouvements. Les claquements, qui résonnent dans la pièce, se font plus secs et plus sonores. Il prend un réel plaisir, maintenant, à fouetter la pauvre fille soumise et offerte.
De longues minutes s'écoulent comme ça, entrecoupées de claquements, de gémissements et du cliquetis des touches du Minitel. D'un coup, Marie-France relève la tête et ordonne :
- Stop maintenant, Marc.
Le jeune homme s'arrête immédiatement alors qu'il venait de lever encore une fois sa ceinture. Il se remet debout entièrement, puis se porte sur le côté de la rousse, tout en déroulant sa ceinture. Il semble être ailleurs, transporté par on ne sait quel véhicule, hors du temps et de l'espace.
La jolie directrice se lève de son fauteuil, se déplace et vient s'accroupir sur le visage de sa standardiste, face à son bureau. Telle qu'elle est, elle peut voir les gros seins toujours tendus, grâce aux pinces.
Sylvie ouvre ses grands yeux verts et s'aperçoit que sa maîtresse est toute mouillée. La douleur sur le haut de ses fesses est encore trop cuisante pour qu'elle cesse de pleurer, toutefois, elle espère que les coups vont arrêter de pleuvoir, maintenant.
Une fois qu'elle estime être parfaitement en place, la patronne lubrique ordonne :
- Lèche-moi la chatte salope ! Et toi, Marc, tu vas lui faire le cul avec son plug.
- Oui patronne, répond machinalement le jeune homme, en sortant brutalement de son état de rêverie avancé.
La rousse soumise oublie un peu ses malheurs, avec cette chatte odorante et juteuse posée juste sur sa bouche. Elle sort sa langue et commence à lécher ce fruit bien mûr, comme il lui a été demandé précédemment. Elle démarre en buvant la cyprine qui coule doucement, reflétant l'excitation de la blonde.
Le jeune homme vient se placer entre les cuisses repliées de la jolie rousse. Là, dans un geste précis, il s'assoit en tailleur. Place ses mains sous les fesses de sa collègue, et aide cette dernière à soulever encore plus son cul. Une fois qu'elle a le dos plus arrondi, et donc l'anus pluggé plus à disposition, il prend la base du jouet de caoutchouc et commence à tirer dessus pour le faire ressortir.
Voyant son employé agir, une idée ingénieuse lui vient, et elle décrète d’un coup :
- Pas comme ça, avec tes dents…
Marc, sachant que son seul salue est l’obéissance, s’exécute en attrapant la base du jouet en latex avec sa bouche ouverte, toute dent dehors.
Marie-France, la chatte avide de caresses, se délecte de cette langue qui vient laper son jus de femelle en chaleur, en caressant tout partout sa vulve ouverte. D'un œil expert, elle surveille aussi le travail de son employé en attendant qu'il retire le plug de l'anus, qui doit maintenant s'être resserré sur la base du genre de godemichet et qui devrait donc avoir quelques difficultés pour ressortir.
Sylvie sent que son sphincter est encore mis à l'épreuve, qu'il recommence à être distendu, mais cette fois, de par l'intérieur. Elle boit avec grand plaisir le jus de femelle, qui suinte de la moule rasée au-dessus de sa bouche. Dans la position où elle est maintenant, le plug qui commence à ressortir vient de lui dilater le petit trou. Un cri sort de sa gorge, tout de suite étouffé dans la chatte de sa patronne.
Une fois qu'il a ressorti le jouet, Marc, admirant l'ouverture béante de l'anus, reprenant le plug en main, vérifie qu’il est toujours bien lubrifié. S'en étant assuré, le jeune homme replonge l'objet luisant dans les entrailles de la jolie rousse.
Cette fois, la belle standardiste ne se plaint plus de l'introduction contre-nature, au contraire même, cela lui semble bien plus plaisant maintenant. Elle continue de laper la moule de sa patronne et de boire toute cette cyprine chaude qui en coule.
Le jeune homme accélère le rythme des allées et venues du jouet dans le cul de la jolie rousse. Il jette un coup d'œil complice à sa patronne pour s'assurer que ce qu'il est en train de faire, correspond bien aux vœux de celle-ci. De la façon dont le jouet entre et sort des entrailles de la standardiste, Marc se dit qu'elle doit tout de même être assez habituée à ce genre de jeu.
Marie-France, contente de l'attitude de ses employés, se relève tout à coup sans prévenir personne et dit, tout en se rendant à sa place :
- Très bien mon lapin, continu comme ça jusqu'à nouvel ordre.
Et elle s'assoit à nouveau et se remet au clavier pour taper son compte rendu.
Sylvie se retrouve d'un coup avec la langue pendante sans plus rien à lécher. Elle a pourtant encore toute la bouche pleine de cette douce cyprine dont elle se régale à chaque fois. Et puis, le plug qui lui lime le cul commence à lui donner beaucoup de plaisir, elle en profite pour commencer à gémir. Mais cette fois, de plaisir.
L'homme se pique au jeu et commence à bourrer sauvagement le cul de la belle standardiste. Les petits cris, qu’il lui arrache, à coup de jouet, le font bander. Et dans la position où il est, cela n'est pas vraiment agréable, car sa bite est toujours coincée dans le pantalon.
À ce moment, sans lever ses yeux bleus du Minitel, la directrice lubrique ordonne sèchement :
- Arrête maintenant, Marc.
- Bien patronne, répond le jeune homme. Puis, il enchaîne sur le même ton, dommage tout de même, car je commençais à m'amuser, moi !
Sylvie apprécie ce moment de calme, elle a le feu au cul, le sphincter complètement ouvert. Mais elle est contente de pouvoir enfin reprendre un peu son souffle. Surtout, que les coups de boutoirs de son collègue commençaient à la fatiguer, dans la position inconfortable où elle est encore. Et, alors qu'elle se détend un peu, les pinces, toujours solidaires, par la ficelle, de ses poignets, se rappellent à elle en tirant sur les tétons, car elle a malencontreusement laissé ses jambes se détendre quelque peu.
Marc se déplie et se relève doucement, comme dans un rêve. Il ne peut détacher ses yeux de Sylvie, cette jolie jeune femme soumise, à ses pieds. D'étranges lueurs passent dans son regard. Il passe de longues secondes ainsi, toutes sortes d'idées se bousculent dans son crâne, quand tout à coup, il entend la voix de sa patronne ordonner :
- Retire-lui les pinces et laisse-la se détendre un peu maintenant.
À ces mots, la belle standardiste se réjouit de la fin de son calvaire, elle imagine, en une seconde, que maintenant de longs moments plus câlins, vont venir pour calmer ses douleurs.
- Tout de suite Marie-France, rétorque le jeune homme en émergeant de son état d'hypnose.
Puis, il se déplace et vient se mettre à côté de la jolie jeune femme. Là, il pose un genou à terre, et entreprend de retirer les deux pinces. La première qu'il enlève arrache un petit cri à Sylvie. Pour la deuxième, ça se passe beaucoup plus doucement.
Quand les mâchoires de métal s'ouvrent et libèrent ses tétons, la belle employée ne peut retenir un petit cri, sous la douleur que provoque la détente du mamelon. Heureusement, cette petite douleur s'estompe très vite, et elle en profite pour allonger ses jambes et les reposer par terre, tout en laissant ses poignets, pour que son collègue puisse défaire les ficelles.
Très délicatement, Marc défait les nœuds des ficelles. Une fois qu'il a fini, il passe sa main droite sur le ventre plat de la pauvre rousse et la caresse tendrement, en lui adressant un joli sourire de compassion.
Marie-France suit toute la scène en se penchant par-dessus son Minitel. De temps à autre, elle vérifie qu'elle n'a pas encore de réponse, pour la suite des événements sur son écran. Sa chatte la démange toujours, est maintenant elle se dit qu'elle pourrait aussi attendre avec une petite langue sur le minou. Alors, d'une voix rauque, qui trahit son excitation, la directrice salace dit à sa belle employée :
- Viens sous le bureau, me bouffer la chatte, salope.
- Tout de suite maîtresse, répond la jolie jeune femme en s'appuyant sur ses coudes pour se relever.
Elle reste à quatre pattes et se rend sous le bureau comme une petite chienne bien dressée. Là, elle vient se placer entre les jolies jambes gainées de soie de sa maîtresse. Puis, sortant sa langue rose, vient goûter à cette chatte odorante, dont elle raffole.
Marc arbore un sourire malicieux en voyant ainsi se déplacer sa collègue. Il sait qu'elle est lesbienne et qu'elle adore la moule de leur patronne, mais tout de même ! Après de telles tortures, retourner si vite pour donner du plaisir à sa maîtresse, lui semble quelque peu déplacé.
La belle directrice affiche très vite sur son visage le plaisir qu'elle ressent. Cette jolie chienne rousse, qui lui lape la moule, lui ferait presque oublier son correspondant télématique. Mais pour le moment, cette langue délicieuse lui calme un peu le feu qui brûle.
Sylvie se sent rassérénée avec la chatte de sa folle maîtresse en bouche. C'est un peu comme quand elle était toute petite et qu’elle suçait doucement son pouce. Sa langue va de l’intérieur de la grotte féminine jusqu’aux abords du clitoris, quant elle ne passe pas sous le petit membre pour le câliner.
L’employé, quasiment modèle, lui, se caresse légèrement, et le plus discrètement possible, le sexe, à travers l’étoffe de son pantalon.
Se jetant en arrière dans son fauteuil patronal, la jolie blonde s’offre à ces caresses saphiques prodiguées avec tant de soin, et même d’amour. Quand elle reçoit un tel hommage, elle en aurait presque le remord de ce qu’elle fait vivre à son amie. Mais cette amie est soumise, donc elle doit bien la traiter en tant que telle. Cependant, elle garde un œil sur le minitel, et se rapproche quand elle voit qu’elle a un nouveau message.
- Stop ! Arrête, espèce de gouine lubrique, exige la jolie patronne de sa standardiste.
Le message est un regret, "dommage que vous n’ayez pas de piment sous la main". La folle directrice répond aussi sec :
- Si ! Bien sûr !
Quelques secondes s’égrainent encore avant un nouveau message. Là, elle ordonne encore à sa copine de se retirer de sous le bureau, puis à son employé de venir tout près d’elle.
Marc se déplace et vient mettre son oreille à côté de la bouche de la blonde.
Dans un souffle, faisant très attention que sa soumise ne puisse pas entendre, elle glisse à l’oreille subalterne :
- Va chercher le bandeau dans le tiroir du meuble, sous la télé. Puis, bande les yeux de Sylvie. Ensuite, tu iras dans le frigo, en faisant le moins de bruit possible, et tu prendras le piment antillais qui s’y trouve. Tu frottes bien tes doigts dessus. Moi, je vais te faire de la place sur le bureau. Tu allongeras ma soumise, et tu commenceras par lui bouffer la chatte, jusqu’à ce qu’elle gémisse. Là, tu continueras en lui faisant un doigt, enfin plusieurs, pour te les essuyer dans et sur sa chatte.
D’un signe de tête, le jeune acquiesce et va tout de suite au meuble télé récupérer le fameux bandeau.
Pendant ce temps, Marie-France ordonne encore à son employée :
- Ferme les yeux, pour ce qui va suivre, pas besoin que tu aies les yeux ouverts.
La jolie rousse obtempère et clôt ses jolis yeux. Elle reste là, debout, les bras le long du corps, à attendre ce que sa diablesse de patronne a encore inventé.
L’homme est revenu et se place à côté de la standardiste, puis, délicatement, lui pose le bandeau sur les yeux.
- Ça va, c'est pas trop serré ?
- Non, ça va.
- Tu ne vois rien ?
- Non, de toute façon, j’ai les yeux fermés, et je ne peux pas les ouvrir.
- Parfait ! S’écrit alors Marc.
Alors que sa directrice termine de faire de la place sur son immense bureau, il guide la jeune femme en la tenant par la main, et vient la placer juste sur le côté du meuble disponible. Là, d’une voix douce et dans un geste lent, il annonce :
- Je vais t’allonger sur le bureau de Marie-France.
Très vite ensuite, la jolie gouine se retrouve allongée sur le bois, dur, mais pas froid, les jambes écartées, et elle se rend compte que le jeune homme vient lui lécher la chatte.
Après toutes ces turpitudes, et avec ses sentiments emmêlés, entre l’amour, la haine, la peur et l’envie. Elle apprécie tout particulièrement, cette chaude et douce langue qui vient lui rendre hommage.
La patronne lubrique se régale du spectacle, et en profite pour faire son compte-rendu. Quand elle entend sa salariée gémir de plaisir, elle attire l’attention du jeune homme :
- Marc…
Le jeune se recule un tout petit peu, et vient continuer ses caresses avec ses doigts enduit de piment.
Les débuts sont agréables pour la pauvre jeune femme, elle apprécie la douceur de ces doigts agiles. Elle est encore surprise de ce que ce monsieur sait faire. Il faut dire que bien des mâles qu’elle a connus, étaient pour le moins des rustres, et sexuellement, très égoïstes, à ne s’occuper que de leur plaisir, sans savoir comment faire jouir une fille. Et seules les femmes lui avaient redonné le goût du plaisir et des joutes sexuelles, comme sa boss par exemple.
- Ça va ma belle ? Demande benoîtement la perverse dirigeante, d’une voix tout miel.
Plus que la question, encore, c'est le ton qui interpelle la pauvre gouine, qui commence à sentir une douce chaleur envahir son vagin et tout son sexe.
- Oui…
- Bien, continu alors, Marc.
Le jeune, sentant devenir aussi pervers que sa patronne, continue donc à tripoter doucement cette douce moule offerte. Il prend bien soin d’aller partout, dans tous les coins et les recoins, en s’essuyant les doigts du mieux qu’il peut.
Cette fois, c'est tout de même plus qu’une simple chaleur qui progresse, c'est un début de brûlure, aussi la pauvrette interroge :
- Qu’est-ce que tu m’as mis ?
Avant que son collègue n’ait eu le temps de répondre, la gérante pousse un petit cri :
- Hop ! À toi de le deviner, ma toute belle...
En quelques instants, la brûlure devient insupportable, et la rousse se met à pleurer, puis à hurler.
Heureusement qu’il n’y a pas de voisins, et que le bureau est très bien insonorisé. De plus, personne ne s’aviserait de monter pour frapper à la porte sans en être dûment invité. Même si le bâtiment était en feu, il est peu probable que qui conque viendrait frapper à la porte de la directrice.
Pour le moment, ce n’est pas le bâtiment, mais la chatte de la jeune femme qui brûle. Comble du raffinement, le fait qu’elle soit excitée et qu’elle mouille, diffuse d’autant plus la capsaïcine dans toute la zone. Maintenant, elle crie et bat des jambes, sans parler de sa tête qui va d’un côté à l’autre.
Marie-France consigne tout ça méticuleusement sur son appareil à l’attention de son mystérieux correspondant.
Le jeune employé affiche un sourire sadique, en ne quittant pas des yeux sa jolie collègue. À un moment, il s’aperçoit qu’un liquide, légèrement jaunâtre, s’écoule de ce sexe brûlant.
- Mais ! Elle pisse sur ton bureau !
- Ha ! Eh bien, elle nettoiera avec sa langue, alors…
C'est avec un grand plaisir, visiblement, que la folle patronne renseigne son correspondant, et, excitée comme elle est, ordonne à son subalterne de passer sous le bureau. Elle, elle se recule pour offrir la chatte détrempée. Elle passe ses jambes sur les accoudoirs, de part et d’autre de son assise.
Aussitôt, Marc, stimulé par le spectacle, par l’ambiance, et même par les cris de sa collègue, se jette littéralement sous le bureau et vient lécher ce fruit juteux et odorant. Il défait sa braguette, et sort son sexe pour le tripoter.
La perverse femme lui attrape la tête et vient la plaquer sur sa vulve. Au point où elle en est, elle sent qu’elle risque de partir bien vite. Elle se laisse aller, et bientôt un premier orgasme lui ravage le ventre. Mais elle en veut plus.
Saoule de stupre et de vice, le jeune homme fouille tout le vagin de sa langue habile. Et dans le feu de l’action, alors qu’il a, lui aussi, une grosse envie de baiser, se sert de ses doigts pour cajoler le clitoris, puis pour les introduire dans la caverne de l’amour.
Après un deuxième orgasme, tout aussi violent et puissant, pendant qu’elle reprend son souffle, tout en en voulant encore et toujours plus, la blonde commence à sentir une bonne chaleur venant de son sexe. Instantanément, elle repousse le jeune.
- Tu y as mis les doigts ! Quel con ! Dégage salopard, je ne veux plus te voir !
Se rendant compte de son geste, le pauvre salarié, se retire prestement, il se remet debout et sort de la pièce sans demander son reste, de peur de représailles.
Très vite, la gérante, furieuse, commence la danse de saint gui, espérant pouvoir calmer la brûlure. Mais rien n’y fait.
Comprenant la situation, la pauvre rousse, dont la brûlure la travaille toujours autant, se lève et vient prendre sa patronne dans ses bras.
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