Mamie se prostitue : le mac (2024)

 

La vie continue et Marcelle continue à recevoir, pour cinquante euros, des clients. Mais tous ne veulent pas payer ! Alors, comme elle n'ose pas leur demander le prix de sa prestation à l'avance, certains repartent sans payer. Parce que faire payer les clients après, toutes les putains le savent, c'est mission impossible !

Ce genre d’information fait très vite le tout de la population de clients. Surtout quand la grande majorité des clients viennent tous du même site de dialogue.

Et de plus en plus, la vieille ne cache pas qu’elle se fait baiser et enculer par de beaux petits jeunes, qu’elle garde souvent la nuit, et à qui elle ne demande rien d’autre que du plaisir.



Un jour, il y a un client, Maurice, un homme d'une bonne cinquantaine d'années, à qui elle raconte un peu ses malheurs, et le fait que les clients ne veulent pas payer. L'homme lui explique

- Tu as une mauvaise communication, il faut que les gens sachent que c'est une prestation payante.

- Je sais, il faudrait que je passe une annonce, mais je ne sais pas où.

- Pour les annonces, je connais quelques sites, qui permettraient ce genre de chose, mais il faudra du matériel, j'entends par là, des photos, des vidéos.

- Il faut tourner les vidéos ?

- Oui, bien entendu, il faut que les hommes aient envie de venir, donc les exciter. Pour ça, je peux t'aider, j’ai ce qu'il faut pour tourner quelques petites vidéos.

- Mais les mecs vont se branler sur les vidéos, et ne viendront pas !

- Détrompe-toi, au contraire, si le soir, ils sont excités à se branler, le lendemain, ils auront encore plus envie de te sauter.

- D’accord, mais on va me connaître.

- Parce que dans le village, tu crois que personne ne sait que tu te prostitues ?

- Oui, c'est vrai ce que tu dis... Je n'aimerais pas que mon ex-mari ait la preuve que je me prostitue ! Déjà, il est au courant par mon petit-fils, mais il n’y a aucune preuve.

- Ben ! Et alors ?

- Il m’a promis de me tuer s’il avait la preuve que son ex-femme était une pute…

- C'est pas un problème, nous te ferons porter un masque.

- Oui, mais qui va m’aider dans tout ça ? Je ne sais pas trop me servir d’internet, ni de mon ordi !

- Je veux bien t’aider et te faire gagner de l'argent, mais déjà, tu commences par mettre tes prestations à cent-cinquante euros, et non plus à cinquante. Ensuite, tu t'habilles comme une pute, bas et porte-jarretelles.

- Ça coûte une fortune !

- Même si ça coûte, ça rapportera beaucoup par la suite. Moi, je me charge de toute ta communication et même, pour éviter tout problème, je resterai planqué dans ta cuisine quand tu recevras. Ça te va ?

- Je ne verrai jamais aucun client ! À ce prix-là…

- Mais si, tu verras, je vais t'apprendre à demander gentiment, mais fermement, et surtout à demander avant même que tu ne demandes à ce que les messieurs retirent leurs chaussures. Ainsi, s’ils ne veulent pas payer, ils ne rentreront pas.

- Facile à dire !

- De toute façon, moi, je serai dans la cuisine. Si le mec commence à faire des histoires, je sors de la cuisine et ne t'inquiète pas, les clients, ils ont peur des Macros.

- Tu veux devenir mon Macro ?

- Non, mais faire croire que je suis ton mac, pour que tu ne sois pas ennuyé par tes clients, ça oui.

- C'est tout ? Tu veux combien ?

- Je prendrai trente pour cent. Maurice scrute le visage de la vieille femme pour essayer de voir comment est reçue sa demande.

- Trente pour cent ?

- Oui… Mais là où tu devais avoir du mal à gagner mille euros par mois, je te propose d'en gagner entre six et huit mille.

- Mais c'est trop cher ! Ils ne payeront jamais cent-cinquante pour me sauter.

- Ce n'est pas à toi de dire ce que les clients veulent ou pas ! L'important c'est qu’ils payent. Et comme les mecs ne trouvent pas de pute en ce moment, avec les lois à la con. Ils sont prêts à mettre la main au porte-monnaie.

- Oui, mais tout de même !

- Et puis, rien ne t'empêche, pour certains clients qui le plaisent, de faire la prestation à cent balles. Mais c'est plus facile de passer cent-cinquante balles à cent balles que le contraire !

- Oui, c'est vrai ! C'est pas faux.



Le lundi suivant, Maurice arrive sur le coup de neuf heures et, sortant son ordinateur, montre les annonces qu'il a passées pour la vieille. Il n'a pas chômé, il a ouvert un compte dans quatre sites qui parlent, peu ou prou, de prostitution. Il a mis en avant le fait que Marcelle était une femme mûre et très expérimentée, qu'elle acceptait les rapports non protégés, si le client venait avec un test de séronégativité.

Ensuite, il lui annonce :

- Maintenant, pour agrémenter tout ça, il va falloir qu'on fasse quelques photos et deux ou trois petites vidéos. J'ai, dans ma voiture, des godemichets et autres plugs, ça peut servir.

- Ah oui, bonne idée.

- As-tu acheté ce que je t'ai demandé ? Des bas, un porte-jarretelles, voire un redresse seins ?

Mamie lui demande de la suivre dans la chambre. Là, elle fouille dans son armoire, ressort une paire de bas rouge et un porte-jarretelles de la même couleur.

- Vas-y habille-toi, je vais faire quelques photos.

La vieille s’assoit sur le lit, enfile ses bas en relevant bien haut ses cuisses, ce qui ouvre en grand son vagin. Puis, se remet debout, passe son petit porte-jarretelles, accroche les bas.

Durant tout l'habillage, l’homme prend des photos.

- Continue, il faut avoir un maximum de matériel pour pouvoir faire le meilleur tri possible. Ensuite, il annonce :

- Je vais mettre les meilleures photos en ligne, avec les annonces. Tu veux que je te floute le visage ou je te laisse comme ça ?

- Comme tu veux.

- Non, pas comme je veux ! Mais comme tu veux, toi ! C'est toi qui as peur que ton ex-mari vienne te faire la peau, s'il apprend que tu es devenu une vieille pute.

- Oui, alors le mieux, c'est de me flouter, tu as raison.

Là-dessus, l'homme redescend, prend son ordinateur portable qui est dans le salon et l'emporte dans la cuisine où il s'installe. Il fait les modifications des annonces.

Dans la matinée, le téléphone sonne et la vieille répond, alors qu'elle passe son temps sur le chat, dans sa chambre, avec son téléphone. Et un rendez-vous vers onze heures.

Maurice, toujours sur son ordinateur, se fait également une feuille de calcul Excel, pour noter les rendez-vous. Puis, il appelle la vieille et lui dit :

Descends et viens répondre au téléphone dans le salon, que je puisse entendre et noter tes rendez-vous.

Bonne fille, elle exécute ce qui vient de lui être demandé.



Effectivement, un peu avant onze heures, la sonnette retentit. Mamie se lève de son canapé et vient fermer la porte de la cuisine.

Mais là, l'homme lui demande de laisser légèrement entrouvert, de manière à ce qui puisse entendre ce qui se passe. Mémère exécute ce qu'il lui a été demandé, ouvre son peignoir, comme habituellement, pour montrer ses vieilles mamelles et va ouvrir la porte.

Dès que le client est entré, elle commence, de sa voix acide, à lui dire :

- Retire tes chaussures, je n'ai pas envie de refaire le ménage dans toute la maison.

L'homme s’exécute, puis tend trois billets de cinquante. Ensuite, il suit la vieille.

Maurice, entend la vieille prendre son pied. Un peu plus tard, il entend les deux personnes redescendre de la chambre, traverser une partie du salon. Le client enfiler ses chaussures, ouvrir la porte et sortir.

Une fois la porte refermée, il se lève et il va voir mamie

- Je t'ai dit qu'il fallait que tu demandes le prix, dès que le mec arrive.

- Oui, mais…

- Tu fais ce que je te dis, c'est tout.

- Oui ; mais non, moi, je n'aime pas demander !

À ce moment, l'homme lui refile une grande claque sonore sur la joue.

La vieille femme, ouvre des yeux tous ronds, puis se met à pleurer.

- Tu vas suivre mes instructions ! Si tu veux que ça se passe bien. Tu veux gagner du fric, très bien, alors fais ce que je te dis.

Après avoir copieusement reniflé, et pensant au pognon qu’elle est en train de gagner, Marcelle se dit qu’il vaut pieux écoute ce mec et profiter encore un peu de lui. Il sera toujours grand temps de le virer.

- Autre chose, arrête de faire chier les mecs avec les godasses. Tu leur demandeS gentiment d'enlever leurs chaussures, si tu veux. Mais tu ne fais pas tout un cinéma, comme quoi, tu as fait le ménage ! Tu es une vieille feignasse et le ménage, tu ne le fais jamais ! Alors c'est bon.

Mamie pique un phare, le rouge lui monte aux joues, oui, c'est vrai que le ménage… Elle a passé sa vie à le faire pour son ex, elle ne va tout de même pas continuer alors qu’elle est enfin libre !

- En attendant, tu as un autre rendez-vous à midi.

La vieille pleure, elle n’aime pas recevoir de claque, même si c’était monnaie courante avec son ex-mari, mais surtout, elle n’aime pas du tout qu’on lui fasse remarquer qu’elle n’est qu’une feignasse, elle le sait, mais ne veut pas l’admettre.

- Mais à midi, c'est l’heure de manger ! On mange quand, alors ? Si j'ai rendez-vous à midi.

- Attends, tu auras du pognon ! Je te rappelle, cent-cinquante balles, alors tu ne vas pas m'emmerder avec ton heure de repas ! Tu boufferas après ! On est là pour faire de la caillasse.

Comme prévu, à midi, la sonnette retentit à nouveau. Repoussant la porte de la cuisine, l'homme se tient en retrait.

La vieille se lève de son canapé, ouvre son peignoir pour montrer ses vieilles mamelles et va ouvrir la porte d’entrée.

L'homme la regarde et commence à lui dire :

- Ouais, tu n’es pas toute première fraîcheur... Tu veux combien ?

La vieille rougit et balbutie doucement :

- Cent-cinquante euros.

- Non ! je veux bien payer cinquante, mais pas plus.

Marcelle ne sait pas trop que faire et finalement laisse entrer le type. Elle commence par lui demander d'enlever ses chaussures, mais pour une fois, un peu plus aimablement, puis l'emmène dans la chambre.

Dix minutes plus tard, le gars redescend en premier, met ses chaussures, ouvre la porte, sort en laissant la porte ouverte.

Marcelle descend un tout petit peu plus tard et vient fermer la porte.

Maurice est debout dans l'encadrement de la porte de la cuisine, la regarde et lui refile une drôle de claque dans la gueule.

Cette fois, la vieille se casse la figure par terre.

- Tu es conne ou quoi, toi ? on est là pour faire du fric et toi, tu acceptes n'importe quoi ! Cinquante balles ! Et pourquoi pas gratuit encore ? Je te préviens, je prends mes cinquante euros sur cette prestation, tant pis pour toi si ça ne te rapporte rien, vieille connasse !

La vieille femme a un peu de mal à se relever. En pleurant à nouveau, elle va s’asseoir dans le canapé et recommence à chatter avec sa copine virtuelle, elle explique ses misères.

Dans cette première journée, la vieille aura fait cinq clients à cent-cinquante balles et un à cinquante. Le dernier client passant vers vingt-deux heures. Après ce dernier client, Maurice passe sa main dans les cheveux de mamie et lui annonce :

- Ta première journée est terminée, on va aller se coucher, on ne l'a pas volé.

Là-dessus, il prend la vieille par la main et l’emmène dans la chambre. Le lit est défait, mais pas trop en bataille, une odeur de cul flotte dans la pièce, mais c'est supportable.

- Allez, au lit mamie.

C'est vite fait pour Marcelle qui a passé sa journée nue. Maurice, quant à lui, ne met pas de temps à se déshabiller, et se jette sur le lit en ouvrant le drap, dans lequel la vieille s’est emmitouflée, en grand. il se tourne vers la femme et lui dit :

- Allez, la dernière pipe de la journée, pour ton homme.

Mamie, sûrement heureuse d'avoir quelqu'un qui dort avec elle, vient se mettre sur les genoux et suce son nouvel ami, jusqu'à le faire rapidement jouir.

- Y a pas à dire, tu es une vraie pro, surtout de la pipe.



Le lendemain, la journée se passe un peu mieux, dans le sens où mamie ne fait plus trop de réflexions sur les obligations concernant les chaussures.

Mais le deuxième client demande à utiliser salle de bain.

Et là, ses vieux démons reviennent et elle lui dit que l'accès à la salle de bain n’est pas possible. Toujours avec le même prétexte, de ne pas vouloir refaire, sans arrêt, le ménage.

L'homme, peut-être fâché, ne la baise pas, mais l'encule violemment, sans aucun ménagement, alors même qu'il est monté comme un âne.

Quand il est reparti, Maurice sort de la cuisine en colère, attrape mamie par le bras durement, et lui colle une gifle violente. Il lui annonce :

- Maintenant, tu m'emmerdes avec tes histoires de ménage ! Tu feras le ménage quand je te le dirai. En attendant, tu gagnes du fric, non ? Là, tu m’énerves, va t’asseoir dans ton canapé.

La vioque retourne dans son sofa en reniflant bruyamment. Elle se remet sur son site de dialogue, mais bientôt :

- J'ai l'impression d'avoir de la diarrhée.

Et, tout de suite après, elle se lève et se précipite aux toilettes. Elle y passe un petit peu de temps, effectivement, elle a de la diarrhée et bientôt son anus l’irrite, puis très vite, la brûle.

Maurice est arrivé, dans la foulée, voir ce qui se passe et lui demande :

- Que se passe-t-il ?

- C'est le dernier client, il m’a fait mal à l’anus !

- Ha ! Celui à qui tu as refusé la salle de bain ?

- Oui…

- Ha ! Il s’est vengé !

- Oui… Et là, ça me brûle ! Je ne veux plus recevoir aujourd’hui.

- Si ! Tu ne vas pas non plus, jouer avec mon fric ! Tu as d’autres rendez-vous, alors descends avec ta pommade pour les brûlures.

L’homme tourne les talons et va attendre dans le canapé.

Quelques minutes plus tard, mémère descend à son tour, arrive devant le sofa, tend son tube de pommade.

- Bien, retourne-toi et penche-toi bien en avant.

Comme la vieille femme ne se penche pas assez, l’homme se lève, vient lui appuyer sur la tête, et ordonne encore,

- Penche-toi plus et écarte tes jambes.

Cette fois, la position de mamie lui convient, il demande lors, tout en ouvrant le tube de crème apaisante :

- Écarte tes fesses avec tes mains, que je vois ton trou du dimanche.

Une nouvelle fois, mémé obéit et attrape ses fesses molles à pleines mains pour les écarter.

- Je ne peux pas trop, ça me tire sur le trou, et ça me brûle.

- Ça t’apprendra à être gentille avec les clients… Allez, écarte bien.

Et comme la vieille montre son anus d’un rouge vif, il poursuit :

- Ha oui ! Tu as pris cher ! Ça va faire froid, attention.

Et il applique un peu de pommade directement avec le tube. Puis lisse le produit, et masse délicatement la zone.

- Ça va ?

- Oui… Répond la vieille d’une toute petite voix qui en dit long sur sa douleur.

Il en applique une deuxième couche, toujours tout doucement et précautionneusement. Puis enfonce le pas de vis jusqu’au collet dans l’anus et appuie. Le baume envahit cette fois le rectum. À ce moment, il plonge son doit dans l’anus et en masse l’intérieur, toujours très doucement. Quand il ressort le bout de son doigt, il le voit polluer, alors il va le mettre dans la bouche de la vieille.

- Nettoie-moi ça.

Après quelques coups de langue, en recrachant le doigt, la vieille s’insurge :

- C'est dégueulasse, la pommade !

Maurice se fait la réflexion sur le fait que la vieille soit tarée ! Elle se plaint du goût de la pommade, mais pas de l’odeur de merde, c'est très étrange.

Une bonne claque sur le cul vient finir la séance de massage anal, Maurice est obligé de retenir sa complice qui allait se vautrer par terre. Puis, il lui dit :

- En place, ton client doit arriver d’ici un gros quart d’heure.



Plusieurs clients se suivent, et, bien entendu, ils n’en veulent qu’au trou qui pète de l’ancêtre. Après le sixième, mémé vient voir son mec, sa démarche est très curieuse et prêterait presque à rire. Elle implore :

- J’ai trop mal, je n’en peux plus, j’ai le cul arraché, qui me brûle, pire que si je m’étais assise sur un barbecue !

- Allez, courage, le dernier pour ce soir va arriver. Rien ne t’empêche de tricher, et de la prendre dans ta chatte.

Recommençant à pleurer, elle retourne, toujours avec cette démarche stupide, mais qui montre sa douleur, à son poste de veille.

- Ne pleure pas, c'est mauvais pour le business ! Prends sur toi,



Quand le dernier client est dans la chambre, Maurice entend la conversation.

- Tu veux être gentil, j’ai très mal au cul, l’anus me brûle c'est une horreur, tu veux bien me prendre par le vagin ?

- T’es marrant, toi ! À ce prix-là, je viens d’abord pour ton cul.

- S'il te plaît, sois mignon.

- Bon d’accord, mais fais-moi voir ton fion.

La mémé doit s’allonger sur le dos, Maurice entend le lit grincer. Et elle doit ensuite remonter ses jambes bien haut pour montrer sa turbine à chocolat.

- Ha ouais ! Il est vachement rouge ! Et bien ouvert, tu te fais enculer par les taureaux des paysans du coin ?

Elle ne répond rien, l’ide de se faire enculer par un taureau l’exciterait-elle ?

- Ouais, je ne vais pas aller dans ce cul, je n’aimerais pas chopper une merde !

Tiens, se dit Maurice, en plus le mec a de l’humour. Pendant quelques minutes, il n’entend que le grincement du lit, puis il reconnaît le chant de sa pute qui doit être en train de s’envoyer copieusement en l’air. Jusqu’au moment où il entend un grand cri, suivi de plusieurs suppliques, du bruit des talons de la vieille sur le parquet, et d’une sorte de cavalcade. Le client s’excuse :

- Pardon ! Je ne l’ai pas fait exprès, c'est un accident

Maurice entend la vieille pute pleurer, g émir, crier de douleur, pleurer à nouveau, avant que de crier à nouveau. Là, il se demande s’il doit sortir, mais les pas rapides dans l’escalier lui font comprendre que le mec se sauve. Il n’est pas sûr que le mec ait payé, mais il ne veut pas découvrir son poste de surveillance.

La porte d’entrée s’ouvre et se claque tout de suite après.

Maurice sort de sa cachette et se dirige vers l’escalier quand il voit mamie descendre en clopinant.

- Tu as eu mal !

- Le salaud, il me la mise dans le cul !

- Il a payé au moins ?

Silence coupable de la vioque, puis d’une petite voix étouffée, elle avoue :

- Non…

À nouveau, elle prend une grande claque dans la gueule et se retrouve au sol.

- Non seulement tu te fais esquinter, mais en plus, tu ne demandes pas ton dû !

- Pardon…

- Pas grave, je note tout de même les cinquante balles que tu me dois.

La vieille pleure, autant de la douleur à la joue qui la brûle, que de celle de son anus, lui aussi brûlant.

- Allez, va t’habiller et te coiffer, je t’emmène au resto.

La vieille femme est heureuse d’être invité, comprend-elle au moins que de toute façon, c'est son cul qui paye, rien n’est moins sûr, elle ne sait pas vraiment compter, et, à part ce qu’elle a en main, pour le reste, c'est nébuleux. Mais tout de même, elle se rend compte du chiffre d'affaires qui grimpe, qui grimpe et ça l'excite, au moins autant qu'une bonne bite dans le cul.



En revenant du petit routier, qui est, ma foi, fort acceptable comme petit resto, le couple va se coucher. Mémé passe à la salle de bain pour prendre de la crème apaisante, et s’en fait badigeonner l’anus.

Une fois de plus, l’homme donne son doigt qui a massé l’intérieur du trou à sucer, et une fois encore, la vieille ne se plaint que, du goût du baume.

Une fois que mamie est allongée, l'homme réclame sa pipe. Et assez vite, il jute dans la vieille bouche. Il attire mémère à lui, l’allonge devant lui et se cale dans son dos.



Toute la semaine se passe ainsi maintenant mamie ne fait plus de réflexion ni sur les chaussures ni sur le nettoyage et finalement le samedi, elle fait le grand nettoyage sous les ordres de son mac, ce dernier fait les comptes.

La vieille a fait quatre-mille-deux-cinquante euros avec son cul. Et lui, prenant cinquante euros sur chaque rendez-vous, récupère mille-cinq-cents euros au titre de sa participation.

Maurice montre ses calculs et réclame son dû, et bien sûr, Marcelle, avare comme elle est, rechigne.

L’homme, peu patient sur ce sujet, commence par lui filer une grande claque et mamie, en pleurant, va chercher les sous dans sa chambre. En revenant, elle entend :

- C'est tout de même un monde qu’il faille en passer par les coups pour que tu écoutes !

- C'est mon cul qui…

- Ferme ta grande gueule ! Avant ma venue, tu ne faisais pas mille balles par mois, là en une semaine, tu aurais eu cinq mille boules, si tu m’avais écouté dès le début.

- Oui, mais c'est moi qui…

- Ta gueule ! Je fais de toi une bonne pute assez riche, alors écrase, et continue ton ménage.

- C'est pas juste…

Bon, finalement, ta grande gueule va servir, viens ici.

Et l’homme défait sa braguette, sort sa bite encore flasque, attrape le bras de mémé, la fait se mettre à genoux devant lui, et lui enfourne sa pine sans ménagement.

Quelque part, avoir une bite à sucer, ça réconforte mamie, sucer, c'est ce qu’elle sait faire de mieux, avant même que de servir de trou à plaisir aux hommes. Elle sait sa dépendance aux mecs et, si elle n’en a pas totalement conscience, sent confusément qu’elle leur est inférieure, et qu’elle se doit de leur obéir, pour être en toute plénitude.

Maurice jouit après une petite demi-heure de pipe dont le vioque a le secret. Puis, l’aidant à se relever, il approche son nez de la vieille bouche, et dit enfin :

- Hum ! Tu sens bon la putain…



Le dimanche commence doucement, deux clients sont finalement prévus, mais uniquement dans l’après-midi, aussi, sur le coup de dix heures, après que Maurice ait pris sa douche, il annonce :

- Aujourd'hui, tu vas devenir une actrice porno. Alors fille à la douche et reviens en tenue de travail.

Pendant la douche de mémère, Maurice s'habille et va chercher, dans sa voiture, les jouets qu'il a apportés ainsi que son caméscope. Dans la chambre, il installe le pied et son appareil dessus et fait la mise au point en visant le lit encore vide pour le moment.

Mamie entre dans la chambre totalement nue et s’habille devant son homme, sans aucune gêne, ni timidité. Elle s’assoit, enfile ses bas rouges, se lève pour mettre son petit porte-jarretelles, se rassoit, attache ses bas.

Durant toute l’opération, Maurice prend des photos, en appuyant bien, sur les défauts du corps de la vioque, sachant que pas mal de mecs se régalent de pouvoir baiser une vieille moche, mais lubrique. Quand mamie est habillée en pute, il la fait s’allonger sur le lit, dans le sens normal, sur le dos.

Marcelle est assez dubitative et se demande bien comment ça va se passer, quand elle voit que son homme met un sac vert de sport sur le lit.

Ouvrant le sac, qui est hors du champ de la caméra, il en ressort plusieurs godemichets de toutes tailles et quelques plugs, là encore de toutes tailles. Mais le sac ne semble pas vide pour autant. Il s’empare d’un plug de bonne taille, qui fait dans les six centimètres de diamètre, dans la partie la plus large, et commence à branler le clitoris de la vieille. Ensuite, il lui travaille la chatte avec le jouet.

Quand mamie commence à donner des signes de jouissance, elle entend :

- Retourne-toi et mets-toi à quatre pattes.

Comme toujours, mamie obéit et se retrouve à quatre pattes sur le lit, son cul orienté vers le caméscope.

- Allez, montre-toi… Fais comme quand tu étais gamine, tripote-toi le clito.

Maurice, de son côté, lui travaille la chatte avec le plug qu’il fait entrer et sortir de la vieille moule qui suinte la cyprine.

Bientôt, mamie a un premier orgasme. Ces vieilles jambes tremblent et elle est secouée de spasmes.

C'est à ce moment que l'homme en profite pour lui planter le plug dans l'anus.

Elle pousse un grand au moment de l'introduction, car celle-ci est plutôt douloureuse.

Le mac lui donne une grande claque sur le cul et lui dit :

- Si tu gueules encore, ce sont des coups de ceinture sur le cul, que tu auras, et là, tu auras de quoi pleurer !

Mamie, sachant que son mec ne rigole pas, recommence à se masturber pour obéir, mais aussi pour essayer d’oublier la vive douleur qu’elle a ressentie, mais qui se calme maintenant que le jouet est ancré dans son cul.

Depuis toutes ces années, elle sait se donner du plaisir et ne tarde pas à voir un gros orgasmes, toute la zone de son clitoris à son anus n’est plus qu’une immense source de Plaisir.

Maurice est content de sa pute, elle vient de jouir bruyamment, ce qui devrait donner une bien belle vidéo, lubrique à souhait, d’une mémé qui se branle devant tout le monde !

- C'est bien ! Il faut qu'on t'entende jouir fort !

- Oh ! Je n’ai pas eu à me forcer !

- C'est parfait, une vielle pute moche doit aimer le cul, c'est bon pour le commerce…

- T’es pas gentil !

- Ha ! Tu te trouves belle ?

- Non, mais on est comme on est…

- Du moment que tu me rapportes du fric, tu peux bien être moche comme un cul d’ours…

- Ho !

- Allez, trêve de bavardage, tu m’as excité, vient me vider les couilles… Je ferai le montage plus tard.

Le mac monte sur le lit, et, à genoux, vient donner sa pine à sucer.

Mémère, toujours heureuse de sucer une bite, s’en empare et fait une pipe digne d’une princesse.

L’homme s’amuse à sortir et entrer le gros plug dans le vieux pot, et finit par jouir en de longues saccades. Quand i a fini, il commente encore :

- Ça fait du bien ! Tu es une vieille folle de bite, avoue-le.

- Oui, j’aime trop le cul.

Maurice sait parfaitement que le caméscope continue à enregistrer la scène, de même qu’il a pris soin de laisser son visage hors du champ, il pourra toujours dire que c'est un client qui a été filmé. Maintenant que la séance de cinéma est terminée, il aide mamie à se remettre sur pied. Puis, avec une bonne claque sur le cul flasque, il annonce :

- Tu vas rester tout le week-end avec le plug, que tu n’aies plus de difficultés avec les mecs très bien montés.

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