Une heure avec Sonia (2019)
Je dois dire qu'à trente-sept ans, j'ai toujours rêvé de me faire une « mémé » vicieuse, voire perverse ! Mon éducation très stricte, mes études chez les pères, ne m’ont fait que refouler cette envie, qui en même temps, augmentait en intensité. Marié très jeune, je suis passé de maman à madame sans réellement m'en rendre compte. Un travail passionnant, mais aussi totalement prenant, ne me permettait aucune escapade, carrière, enfants, me retenaient prisonnier dans une prison dorée.
Cassure nette, refus de finir comme j'avais commencé, j'ai voulu vivre à fond ma vie, en commençant par vivre mes fantasmes !
Je décidais donc de me « taper une vieille pute », parce que les vieilles m'ont toujours excité et que j'ai toujours été attiré par les putes. Je contactais ainsi Sonia, après l'avoir trouvée sur un site d'annonces d’escortes.
Dès mon arrivée, je fus totalement ébloui par sa tenue, autant vestimentaire que physique. Elle se tenait en retrait de la porte grande ouverte, sur le couloir tout en longueur, de l'immeuble, une jambe légèrement repliée, une main sur la hanche, en nuisette transparente, qui laissait largement admirer, ses grosses mamelles tombantes et son porte-jarretelles avec ses bas.
- Entre, ne reste pas dehors, me dit-elle d'une voix douce.
J'entrais et dès qu'elle eut refermé la porte, je commençais à lui prendre ses grosses mamelles à pleine main, et je l'attirais à moi pour lui rouler une grosse pelle. Sa bouche était fraîche et douce, et je sentis sa main tripoter mon gros sexe qui grandissait bien vite.
Quand nous avons séparé nos bouches, encore avides d'autres baisers fougueux, et tout en continuant à lui pétrir ses gros nichons, bien lourds, à travers le tissu de la nuisette, elle me dit gentiment :
₋ Moi aussi, j'ai très envie de ta grosse queue, mais on va tout de même commencer par le commencement...
Je sortis les six billets de vingt convenus au téléphone qu'elle rangea, puis elle me fit entrer dans la pièce où régnait une ambiance sympa, bougie, air parfumé, des jouets sur la table basse, et le grand clic-clac déplié.
Elle retira sa nuisette et nous nous embrassâmes à nouveau. La peau de ses lourdes mamelles était douce au toucher, j'en profitais tout de suite pour glisser une main sur son mont de vénus, un doigt inquisiteur m'indiqua aussitôt que la femme était très excitée. Un autre doigt me confirma, quant à lui, que Sonia n'était pas menteuse et devait aimer se faire sodomiser à la facilité qu'avait mon doigt de fouiller ses entrailles.
- Je te propose un petit massage pour te détendre, pour commencer, ça te dit ?
- Oui, je veux bien, répondis-je, car excité comme je l'étais, j'avais grand peur de partir trop vite et de gâcher ce moment, que j'espérais d’exception.
- Bien alors pose tes vêtements sur ce fauteuil, si tu veux bien et allonge-toi sur le lit, je vais chauffer mes mains.
Elle sortit de la pièce et j'entendis l'eau couler dans la salle de bain toute proche. Une fois nu, je m'allongeais sur le ventre et attendis la suite des éventements.
Très vite, les mains tièdes de la femme prirent possession de ma peau et avec une grande douceur, elle massa tout mon dos, mes épaules, mes jambes. Je sentis qu'elle montait sur le lit et venait à califourchon sur mes cuisses, elle reprit son massage doux et j’étais vraiment bien.
Puis c'est avec ses seins qu'elle me massa, étrange sensation, vraiment érotisant en tout cas. Je ressentais les tétons durs parcourir mon corps jusqu'entre mes fesses qu'elle écarta précautionneusement. Je sentais ses doigts s’immisçaient et venir flatter mon anus, je n'aurais jamais cru ça possible, ni possible de ressentir des vagues de plaisirs à ces caresses inconnues. Puis, elle me dit :
- Retourne-toi doucement...
C'est avec bonheur que je me retournais avec une bien belle érection. Mon sexe était disproportionné par rapport à mes potes de sport, je le voyais bien en prenant la douche commune. Je me pensais même anormal ou quelque chose d'approchant.
Ma femme, qui avait eu de l'expérience, elle (à mon divorce, j'appris qu'elle n'avait pas arrêté de me tromper, mais que, disait-elle, elle ne pouvait pas faire autrement, quatre ou cinq rapports toutes les semaines ne lui suffisant absolument pas!), adorait mon sexe pour sa longueur et son épaisseur, m’assurait-elle. Même après le divorce, elle me relançait régulièrement afin que je vienne lui faire l'amour.
Sonia, elle, me complimenta pour mon beau sexe, droit comme un I, la toison pubienne coupée court, seuls les poils de mes bourses étaient totalement absents. Et après une nouvelle séance de doux massages cette fois avec la possibilité de voir cette femme tout à son art, ce qui me raidit encore la queue, si tenté que cela fut possible.
Bientôt Sonia plaça mon sexe entre ses seins et commença une très douce cravate de notaire qui décalotta le gland tout en douceur, un vrai régal !
- Bel engin, me glissa-t-elle dans le creux de l'oreille.
- Merci ! Mais belle experte pour le faire se dresser de la sorte, répondis-je dans la foulée.
Visiblement excitée, elle goba mon sexe d'une bouche avide, elle entourait mon membre de sa langue dans sa bouche, et aspirait juste ce qu'il faut pour être délicieux.
Ce traitement dura quelques petites minutes, mais mon envie et mon excitation montaient tant que je ne pus faire autre chose, que de la repousser en lui disant :
- J'ai envie de te prendre en levrette.
Docilement, elle se mit à genoux sur le bord du lit, se baissa et se mit sur ses coudes en attendant la suite des événements. Je restais quelques instants à contempler ce gros cul de femme mûre, dodu, sa rondelle brune entrouverte, ce qui laisse à penser qu'elle se fait souvent enculer, les grandes lèvres et les petites lèvres qui dépassent un peu, que du bonheur.
Mais n'étant pas là pour faire un tableau, je mis le préservatif qu'elle m'avait donné avant de s'agenouiller. Puis, j'enfournais ma queue toute dure, doucement, dans la chatte offerte. Ça rentrait comme dans du beurre, c'était chaud, doux. Je commençais mes allers-retours en y allant progressivement de plus en plus fort. J'arrachais bientôt des cris de jouissance de la belle. Ça m'électrisait, ça me passait partout, tant et si bien que j'en oubliai les bonnes manières et me laissa aller à ma jouissance.
- Vieille salope ! Tu m'as fait jouir trop vite !
Quel plaisir de pouvoir parler ainsi crûment à cette femme, ce simple fait me redonna quelque peu de la vigueur.
- Oui dommage j'étais bien partie ! Tu me laisses comme ça, sur ma faim !
- Attends, je reprends mon souffle, viens plutôt me sucer la pine.
Il était rare que je parle de la sorte, aussi, je me lâchais sur ce sujet. Bientôt, Sonia se retrouva assise au bord du lit et me retira le préservatif plein de ma jouissance. Et, alors qu'elle allait jeter l'ustensile, je lui demandais de me le donner. Je fis un nœud au bout et le posais sur la table basse à côté de moi.
- Viens sucer ma bite, grosse salope, ordonnais-je encore à Sonia.
Vraiment, elle suce divinement bien, et en peu de temps, je fus à nouveau prêt. Il faut dire, que les femmes avec qui j'avais couché, avaient toujours beaucoup apprécié, que je puisse vite remettre le couvert.
- Allez, en position, que je t'encule.
Dire cela de cette façon si inhabituelle me donnait encore plus d'érection, quelque part, j'étais heureux de pouvoir dire les choses telles que je les pensais, sans avoir ce carcan de l'éducation et des bonnes manières, qui bloquent si souvent les élans.
Sonia se remit dans la même position, mais cette fois, très vite, elle posa sa tête sur le drap, pour venir écarter ses grosses fesses avec ses mains, m'offrant ainsi totalement son anus.
Je guidais alors mon membre et le plaçais juste à l'entrée de l'anus, puis d'un coup de rein, j'enfonçais le tiers de mon sexe, dans ce cul qui s'ouvrait, pour me laisser passer.
La pute poussa un cri, puis m’ordonna :
- Doucement ! J’ai l’habitude, mais n’oublie pas que tu es très gros, tout de même !
J’acquiesçais, puis poussais encore un peu plus loin mon vit, dans ce ventre chaud. Je dis encore :
- Tiens, prends ça dans le cul, vieille pute...
En guise de réponse, je n'obtins qu'un râle, mais pas de mécontentement, cette fois. Non, un râle de bonheur visiblement. Cette salope aimait à se faire sodomiser, une vraie sodomite, à n'en pas douter.
Cette fois, je n’allais pas trop vite en besogne, j'alternais grands coups de reins rapides, avec des mouvements plus lents et plus doux, j’écoutais le souffle et les bruits de ma partenaire, je prenais un soin infini à l'amener au bord de l'orgasme, pour ensuite, ne pas la laisser jouir. Ce petit jeu dura un bon moment, mais il arriva un point où la nature reprit ses droits. Et je finis par jouir, non sans avoir laissé jouir Sonia qui criait maintenant vraiment fort, qu’allaient dire les voisins !
Mes jambes tremblaient quand j'ai joui et je m’affalais quelque peu sur le dos de cette femme, qui venait de me donner une nouvelle fois du plaisir, et qui, visiblement, en avait eu aussi !
Je retirais alors ma capote, fis à nouveau un nœud comme précédemment, puis posais ce deuxième préservatif usagé à côté du premier.
- Eh bien dis donc ! Toi au moins, tu aimes ça la sodomie !
- Quel cul ! Tu n'as pas volé ton surnom « d'anus de velours » !
On reprenait notre souffle, et Sonia me proposa un café que nous bûmes tranquillement en discutant de tout et de rien, assis sur le bord du clic-clac qui faisait office de lit.
Les gros seins de Sonia m'étaient exposés, là, à quelques centimètres, juste séparés par le mince tissu transparent de sa nuisette qu'elle avait enfilée à la hâte, en se levant. J'en profitais pour la peloter sans vergogne, puis je l'embrassais fougueusement, tout en continuant à malaxer ses lourds obus. Je sentais mon sexe redevenir dur, aussi, je lui susurrais :
- Suce-moi vieille chienne, suce-moi, comme tu sais si bien faire...
Je n'eus pas besoin de la prier longtemps ! Elle suçait vraiment bien, et quelle excitation, de pouvoir parler aussi crûment à une femme, qui aurait pu être ma mère. Je bandais de nouveau à fond et j'avais une furieuse envie d'enculer cette vieille garce vénale, aussi j'en profitais pour lui lancer encore :
- Quelle bonne vieille pute tu fais ! Toi au moins, tu connais ton métier et tu aimes ça la bite !
- J'adore, me confia-t-elle alors dans un souffle.
- Ne me fais pas jouir tout de suite, je veux te prendre le cul vieille morue ! Je m’enhardissais à être de plus en plus vulgaire et ça me faisait bander d'autant plus.
Sans se faire prier, Sonia se mit debout, en même temps que moi, et vint sur le bord du lit à quatre pattes pour que je la sodomise en levrette. Mais moi, j'avais une autre envie, aussi, je ne la laissais pas finir de s'installer et lui dit :
- Non, mets-toi sur le dos, les jambes bien relevées en arrière, je veux te voir avec ma queue dans ton cul...
Une fois qu'elle fut sur le dos, je l'aidais à tenir ses jambes bien en arrière, chatte bien ouverte, par mon passage quelque temps auparavant, j'écartais ses grosses fesses et plaçais mon gland contre l'anus, qui semblait s'ouvrir doucement.
- Pas sans capote ! Me précisa-t-elle avant que je ne prenne possession de son cul.
- Ha bon ! Tu n'aimes pas le foutre ?
- Si, mais pas avec des amants de passage, qu'avec des amants en qui j'ai une totale confiance.
Je me résolvais alors à enfiler un latex, mais, ne pouvant prendre cette salope à cru, je décidais de ne m'occuper, que de mon plaisir et non plus du sien. Je replaçais donc mon gland contre le sphincter puis, d'une poussée permanente, sans être brutale, j'introduisis mon membre tout au fond de ce cul, qui visiblement servait régulièrement.
Un petit rictus sur le visage de Sonia, qui fut remplacé rapidement, par un sourire de contentement, dès que je commençais à limer.
- Branle-toi le clito, ordonnais-je encore.
Je farcissais le cul de cette mémé dévergondée, en imaginant toutes les bites, qu'elle devait se prendre dans le cul, dans un mois ! Elle commençait à jouir, sous les assauts de mon sexe gonflé de désirs vicieux. Son anus était, tout compte fait, encore bien serré. J'avais même connu des femmes, plus jeunes, avec un sphincter plus détendu, que le sien. Quel tableau, cette vieille chienne en chaleur en train de s'astiquer le clito, comme une folle, pendant que je lui limais le cul, comme un démon !
Comme je voyais que la salope était prête à jouir, je décidais de jouer un petit jeu bien pervers, aussi, je ressortis ma queue entièrement. La vieille ouvrit ses yeux, comme pour me demander ce qui se passait, puis, avant qu'elle n'ait eu le temps de dire quoique se fut, je réintroduisis ma queue d'un coup jusqu'au fond, faisais quelques allers-retours, puis ressortis à nouveau mon sexe de l'anus, qui restait ouvert.
Elle restait les yeux fermés, et à chaque fois que j'introduisais mon membre dur dans ses entrailles, elle fronçait les sourcils, puis se détendait dès que je commençais mes mouvements de va-et-vient. Bientôt, elle commença à jouir en poussant de petits cris, qui devinrent de plus en plus forts.
Incroyable ! Je faisais jouir une vraie putain ! Et pas une débutante, une vieille pute, avec du métier, je n'en revenais pas.
Bien qu'elle jouît sans vergogne, cette salope n'avait pas tout à fait perdu la tête semble-t-il. Elle actionnait son sphincter, pour qu'il me comprime la bite, puis le relâchait, ou bien cette vieille chienne avait un sacré savoir-faire, ou alors, elle aimait réellement la sodomie et savait comment faire pour se donner du plaisir, tout en en donnant à son partenaire !
Je finis tout de même par jouir. Chose étonnante, j'avais l'impression d'avoir éjaculé autant de foutre que la première fois ! Je retirais la capote et fis comme précédemment, un nœud pour éviter que le foutre s'écoule et la posais à côté des autres capotes.
J'en profitais pour jeter un rapide coup d’œil à ma montre, il me restait un bon quart d'heure, puisque j'avais payé pour une heure, aussi, je demandais à Sonia :
- J'ai bien apprécié ton massage en arrivant, puis-je en avoir un autre avant de partir ?
- Bien entendu, me répondit-elle en se relevant doucement, pendant toute l'heure, tu fais ce que tu as envie, dans les limites de mes possibilités, tout de même !
- Ouais ! Que je te remplisse le cul de mon foutre, ça tu ne veux pas...
- Non !
Je m'allongeais sur le ventre de tout mon long et Sonia me massa, cela me fit un bien fou, après cette chevauchée fantastique et éreintante.
J'étais bien là, allongé, à me faire masser doucement, pour un peu, je me serais endormi, si je ne m'étais laissé aller à la rêverie.
En me relevant, et avant de partir, je demandais encore à Sonia :
- Tu as de la ficelle s'il te plaît.
Elle m'apporta une fine ficelle de cuisine, ça convenait parfaitement.
J'attachais alors une capote à la ficelle, puis la deuxième et enfin, la troisième. Je finissais par couper assez long de fils pour faire une sorte de collier. Une fois terminé, je le tendis à Sonia en lui expliquant :
- J'ai discuté avec ton homme, et je lui ai dit que je t'offrirai un collier ! Il s'attend donc ce soir à te voir arriver avec ce collier de putain, avec mes capotes usagées en pendentif...
Et je mettais ce collier improvisé autour du cou de Sonia.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin, aussi après un long baiser suave, non sans avoir encore flatté ses grosses mamelles de pute, je pris congé de cette perverse mémère en me promettant bien de revenir au plus tôt.
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