Un bon job : Chapitre 7 : Partie en famille Partie 2

 

Annie se cambre pour pouvoir encore mieux creuser son dos. Le mandrin qui lui usine le cul va de plus en plus vite, et elle ne peut plus retenir ses cris violents. Prise d'une sorte de folie de sexe, elle s'oublie complètement et enfonce son quatrième doigt dans le cul de la blonde en furie. Puis, après quelques manœuvres, elle ressort ses doigts et forme un cône avec les cinq cette fois. Toujours violemment secouée par les coups de boutoirs de son jeune et dynamique amant, elle positionne, tant bien que mal, sa main sur l'orifice anal et introduit les doigts de toutes ses forces.

- Aïe ! S'écrie la blonde en recevant la main dans ses entrailles.

Elle se fait littéralement écarteler ! La douleur qu'elle vient de ressentir lui fait oublier la violente brûlure du clitoris. Le premier moment passé, elle tire sur ses chevilles, pour s'ouvrir encore d'avantage à cette main amie, qui vient prendre possession de ses boyaux, en lui ouvrant tout grand son anus.

Le jeune homme ahane, le train de son plaisir arrive à destination. D'un coup, sans avoir le temps de prévenir qui que ce soit, il donne un dernier coup de rein, plante sa bite le plus loin possible, dans le cul de la brune, et éjacule en longues saccades chaudes, dans un râle démoniaque.

La vieille, recevant la précieuse semence, hurle de plaisir en même temps que son amant. Elle sent le jus envahir l'intérieur de son cul dilaté. Le foutre chaud emplit toute la cavité de l'intestin, procurant une joie sans nom à la jolie brune.

- Ho ! Que c'est bon, affirme sans détours, Annie.

- M'en parle pas ! Répond le jeune homme, comme si on le questionnait.

Marie-France, follement excitée, se dégage de sa mère, pousse son jeune employé et attrape les fesses charnues de sa maman.

- Viens t'asseoir sur moi maman, dit-elle d'un ton saccadé, mais ferme néanmoins.

Annie se laisse attirer par sa fille sans broncher, elle est au septième ciel et ne se rend plus très bien compte, de ce qui se passe en ce moment.

La blonde lubrique se couche à même le sol, et installe les fesses de sa mère au-dessus de son visage. De ces pouces, elle écarte le fessier et applique sa langue sur l'anus encore tout ouvert et gluant.

La brune sent le foutre se diriger lentement vers la sortie, il colle aux parois de l'intestin. La chaude langue qui commence à fouiller ses entrailles lui arrache de petits cris, sa respiration s'accélère.

Marc pense que sa patronne n'est jamais rassasiée, il l'observe en venant se placer à côté d'elle. Là, il s'agenouille entre ses cuisses et les cuisses de la brune et viens lécher le clito détremper et brûlant de la belle blonde.

Annie prend appui sur la tête du jeune homme, elle ressent une douleur dans ses cuisses. La position qu'elle occupe lui est assez inconfortable, mais le travail de la langue de sa fille, dans son rectum, lui fait rester encore comme ça. La vieille brune jouit violemment dans un concert de cris évocateurs.

Marie-France est comme prise de folie salace. La succion exercée par son employé lui calme à nouveau un peu le feu, qui brûle son bouton d'amour. Le sperme qu'elle récolte dans l'anus maternel, l'excite follement et lui donne envie de se faire défoncer le cul à son tour.

La brune est morte de fatigue, ses cuisses lui font un mal de chien. Elle se penche en avant, retirant ainsi l'os de la bouche de sa chienne de fille, et se relève difficilement tellement elle a joui. Elle se rapproche du canapé, s'y laisse tomber lourdement et ferme ses grands yeux comme pour revoir les scènes qui viennent de se dérouler.

- Marc, interpelle la blonde, toujours aussi excitée.

- Oui, répond laconiquement ce dernier, en relevant la tête.

- Sois un ange et va me chercher le god, dans ma table de nuit.

- Tout de suite patronne, dit simplement le jeune homme, en se relevant.

Marie-France a du foutre autour de sa belle bouche gourmande, en attendant le retour du jeune homme, elle se pourlèche les babines de ce précieux nectar, si difficilement récolté auparavant. Elle profite également de ce court répit pour aller flatter son clito bouillant, mais cette fois, elle utilise le majeur de son autre main, celle qui n’a pas touché au piment, ne voulant pas recommencer à l'enflammer.

Le jeune employé revient avec l'objet du désir. Il le tend gentiment à la blonde, qui le saisit en fixant l'homme d'un regard libidineux, puis elle dit dans un souffle :

- Va t'asseoir maintenant, je vais me finir toute seule.

Marc se retourne et va s'installer dans le canapé aux côtés de la brune qui le regarde s'approcher avec des yeux de louve affamée. Lui aussi commence à ressentir une grande fatigue, dû, autant à l'intense activité physique qu'à l'étrangeté de cette bizarre soirée. Tout en regardant sa blonde directrice se passer lascivement le god sur tout le corps, et en sentant la chaleur d'Annie qui est venue se coller à lui, il explore les méandres de sa pensée. Beaucoup de question lui viennent en tête : Comment peut-il être si excité par cet inceste ? Cette relation contre-nature ? Serait-il aussi pervers que sa perverse patronne ? Et finalement, maintenant qu’il a goûté à ces perversions, comment fera-t-il pour les retrouver, les revivre ?

La folle blonde, prenant bien soin d'être observée par ses deux invités, introduit sans ménagement l'outil à rêves, dans sa chatte détrempée. Dans un sourire malicieux, elle se ramone la moule avec ferveur, elle s'astique le téton brûlant de son autre main. On a l'impression que le godemichet entre, à chaque fois, toujours plus profondément dans cette chatte baveuse. Une abondante cyprine enduit l'objet maintenant. Et une drôle de mousse légère s’accroche aux lèvres si subtilement agitées.

Annie, les sens ravivés par la scène, se surprend à introduire son majeur dans sa moule béante et toujours détrempée. Malgré la fatigue, elle se sent encore très excitée par le spectacle que lui offre sa fille. De son autre main, elle vient chercher le sexe de son compagnon de jeu assis à côté d'elle. Elle s'en empare et le caresse aimablement.

Marie-France vient de ressortir le god de sa chatte, toujours par terre, elle se plie en deux, elle amène ses chevilles à côté de ses oreilles. De sa main droite alerte, elle écarte ses fesses du mieux qu'elle peut, puis, l'autre main tenant toujours fermement le vibro, elle place ce dernier contre son anus et dit :

- Regardez bien, je m'encule comme une bonne salope en chaleur que je suis.

Elle s'assure que les deux autres la matent bien, et enfonce, sans autre forme de procès, le beau god, huilée de sa cyprine, dans son anus. Le jouet pénètre très aisément dans le conduit chaud, écartant au passage l'ouverture, et distendant instantanément le sphincter habitué. La belle blonde s'empale jusqu'à ce que le bout de l'objet vienne au raz de son cul. Durant la pénétration de l'engin, elle pousse un long râle de satisfaction.

- Gourmande va ! S'écrie la brune Annie, en voyant sa douce fille s'envoyer en l'air.

- J'adore ça, tu sais maman ! Réplique la blonde d'une voix suave.

Puis, elle lâche son god, et dit sur le même ton :

- Regarde, maintenant, il va ressortir tout seul…

Contractant les muscles de son ventre, Marie-France pousse sur l'objet présent dans ses entrailles, celui-ci, effectivement, ressort doucement. Le chemin inverse procure autant de joie à la blonde salace, elle pousse le même râle que précédemment. Le jouet, une fois sortie pratiquement entièrement, finit par tomber sur la moquette, tachant légèrement celle-ci.

- Ça te plaît maman chérie ? Demande la folle blondinette, avec un regard provocateur.

- Attends ! Je vais t'aider, ma belle petite, dit Annie, en se levant du sofa.

Elle vient se placer au cul de sa fille, ramasse l'objet visqueux, le porte à ses lèvres, l'embrasse affectueusement, l'introduit dans sa bouche pour le mouiller de sa salive, tout en fixant les yeux bleus de sa petite, d'un regard intense. Durant un court moment, elle imite une pipe volcanique, puis ressort le god de sa bouche. Pendant qu'elle apporte l'objet du désir contre le sphincter, elle sort doucement sa langue et la passe sur ses lèvres brillantes.

Marie-France regarde sa mère intensément, son excitation est telle, que ses jambes flageolent un peu, son clitoris la brûle toujours, mais c'est son anus qui occupe le centre de ses pensées. L'idée de se faire goder par sa génitrice, la met dans un état second.

Annie positionne le vibromasseur dans l'anus offert, le fait entrer de trois à quatre centimètres. De l'autre main, elle le met en route, puis applique sa paume contre le bout de l'objet luisant. Elle attend ainsi quelques secondes, puis, sans dire un mot, pousse progressivement, mais sûrement, sur le bout du jouet. Le godemichet entre à nouveau sans peine dans le rectum de la blonde qui crie de bonheur.

Marc se lève à son tour et vient s'asseoir en tailleur à côté de la brune. De là, il est au premier rang pour observer le jeu des deux femmes.

La blonde libidineuse se languit, elle pousse de petits cris, qui marquent son excitation et le bonheur qu'elle ressent. Le long cylindre de métal tiède prend possession de sa cavité anale, l'emplit, détend le côlon.

La mère, puissamment énervée par cette soirée pleine de lubricités, ne se retient plus du tout. Elle fait entrer le jouet entièrement dans l'anus de sa fille. Pour les deux derniers centimètres, elle est obligée de lâcher sa prise, et c'est d'un doigt tendu qu'elle appuie sur le reste du cylindre encore à l'air. Ce n'est que quand le sphincter commence à se refermer sur le jouet qu'elle arrête sa pression. Elle contemple son œuvre et dit d'une voix forte :

- Ça y est ! Tu as tout ton god dans le cul maintenant, t'aimes ça, hein ?

- Oh que c'est bon maman ! Répond Marie-France, d'une voix cassée par la joie de savoir ses entrailles pleines.

- T'es vraiment une belle salope, mon ange, dit la brune en donnant une claque sonore sur la fesse droite de sa fille qui se trémousse sous le coup.

- J'y crois pas ! Quelle chienne ta fille ! Souffle Marc, complètement stupéfait par l'attitude outrancière de sa patronne et la complicité paillarde de la mère. Il a l'impression d'être avec deux extraterrestres. Jamais, même dans les pires films X qu’il avait pu voir, il n’avait vu pareille perversion, autant de stupre, un telle intensité dans le vice.

Encore une fois, la blonde Marie-France pousse comme pour déféquer. Mais cette fois, le god étant si bien enfoncé, elle doit produire un gros effort pour qu'il commence à ressortir de l'intestin, prisonnier qu'il est du sphincter, qui s'est refermé en partie. L'anus s'ouvre par l'intérieur, produisant une sensation très différente à la blonde qui gémit.

Annie et Marc regardent le jouet ressortir doucement. Il faut admettre que le spectacle vaut son pesant de cacahuètes.

Le jeune homme profite de l'instant pour venir flatter le sein gauche de la brune, se tourne vers elle et lui murmure à l'oreille :

- J'ai encore envie de toi, Annie !

- Viens me remettre ta belle queue dans ma chatte mon adorable petit cochon rose, répond la mère, de plus en plus excitée par cette soirée incroyable.

Marc aide sa partenaire à s'allonger à même le sol, puis, sans précaution particulière, il vient se placer entre les cuisses ouvertes de la belle femme mûre et enfonce sa queue raide dans la chatte détrempée. L'excitation est telle, qu’en quelques aller-retours, le jeune homme jouit à nouveau.

Cette rapide éjaculation est néanmoins suffisante pour contenter une nouvelle fois la libidineuse brune. Chaude comme elle est, elle se régale de ses quelques coups de bite qui lui ramone la chatte et du jus d'homme qui s'insinue dans les recoins de son sexe. De plus, la fatigue étant de plus en plus présente, elle est heureuse que le coït ne dure pas trop longtemps.

Marc, cette fois complètement vidé, s'écroule mollement sur le corps de sa partenaire qui ne fait rien pour le repousser.

La pièce se vide progressivement des cris et gémissement, laissant la place au jazz. Les trois personnes reprennent leur souffle tranquillement, simplement allongé sur le sol. Ce n'est que bien plus tard, semblant émerger doucement, que le trio infernal reprend ses esprits. Marc est le premier à se relever et à se rhabiller tranquillement. Les deux femelles restent encore allongées sur le sol jusqu'à son départ de l'appartement.



Le vendredi suivant, dans l'après-midi, la directrice convoque son employé. Une fois dans le bureau, elle lui annonce tout de go que, pour le week-end à venir, elle a invité sa sœur et qu'elle veut voir, comment cette dernière s'occupe des hommes.

Marc est estomaqué ! Il sait pourtant sa patronne folle de sexe, mais la réalité, si abruptement dévoilée, lui explose à la figure d'une façon étrange. C'est comme dans un rêve qu'il s'entend répondre :

- OK, pas de problème, je vais m'arranger.

- Il y aura aussi ma folle maman, tu as bien apprécié ses caresses l'autre soir, non ?

- Ho oui ! Dit le jeune homme d'un ton rêveur en levant les yeux au ciel. Les images de cette folle soirée lui reviennent instantanément en mémoire. La seule évocation de ces instants de délire, lui donne un début d'érection.

- Eh bien, on va voir si sœurette est aussi chienne que maman, alors, termine Marie-France en baissant son regard vers ses dossiers et se remettant à travailler.

Le jeune employé reste quelques instants comme ça, sans rien dire ni faire, juste plongée dans sa rêverie. Puis, revenant difficilement à lui, se retourne et sort de la pièce.



Vers dix-neuf heures, Marc sonne à la porte de l'appartement de sa directrice. La porte s'ouvre et il découvre sa chère directrice dans une très belle robe de soirée noire, fendue, comme il se doit, très haut. Elle porte également de longs gants noirs qui lui remonte à mi-bras. Le jeune homme se sent un petit peu décalé, son costume n'est pas aussi élégant que la robe, il en rougit.

- Rentre, ne reste pas comme ça, dit la blonde, en invitant son jeune employé à passer le seuil de la porte.

- Tu es charmante dans cette robe, mais j'ai peur que mon costume ne soit pas à la hauteur de ta toilette ! Avoue benoîtement le jeune homme en franchissant la porte.

- Ne t'inquiète pas, tu es très bien comme ça, le rassure la belle blonde en lui faisant un clin d'œil complice.

Marc suit sa patronne dans son appartement, ils entrent dans le grand salon. L'homme aperçoit Annie assise dans le canapé à côté d'une autre brune, la quarantaine, qui ressemble assez à sa directrice, il en déduit qu'il s'agit là de Sonia, la sœur. Tout en s'avançant vers le sofa pour aller saluer les deux belles, il déshabille des yeux cette petite nouvelle.

- Bonsoir mon chou, s'exclame la mère avec un large sourire coquin, j'espère que tu es en grande forme !

- Bonsoir Annie, oui, je te remercie et suis en très grande forme, quand je te vois. Répond l'homme de façon énigmatique, et en adressant à son tour un large sourire.

- Bonsoir, moi, je suis Sonia.

- Bonsoir Sonia, enchanté de faire votre connaissance, avoue simplement le jeune homme.

- Moi de même, mais nous pourrions peut-être nous tutoyer, non ? Lance la petite brune en fixant l'homme d'un œil malicieux.

- Oui, bien sûr, comment refuser une telle requête ! Répond joyeusement Marc, d'une voix câline.

- Alors viens t'asseoir à côté de moi, que nous fassions un peu connaissance tous les deux. Tout en disant cela, Sonia tapote sur le canapé de sa main gauche, montrant la place libre entre elle et sa mère.

L'homme ne se fait pas prier et vient s'installer entre les deux brunes. Avant de se poser sur le sofa, il enlève sa veste et la tend à sa directrice.

Celle-ci s'en empare et ressort de la pièce, pour aller l'accrocher sur le porte-manteau, dans l'entrée.

- Alors Sonia, n'est-il pas mignon, ce petit jeune, que nous a déniché ta sœur ? Interroge la mère d'une voix plus cassée qu'elle ne le voudrait.

- Si, tout à fait, très mignon même, maman. Et maintenant, j'imagine encore mieux le récit de ta soirée !

Marc rougit d'un coup jusqu'à la pointe des cheveux. L'idée qu'Annie ait déjà raconté en détail la soirée folle, qu'ils ont passée ensemble, le choque. Décidément, il n'est pas au bout de ses surprises avec ses femmes lubriques. Le dialogue entre les deux femelles le met mal à l'aise, mais l'excite aussi en même temps.

- Et tu verras, enchaîne Annie, l'œil allumé par le désir. Il possède la langue la plus douce qu'il m'ait été donné de rencontrer chez un homme, et il sait merveilleusement s'en servir !

- Tu me mets l'eau à la bouche maman ! Dit Sonia en se trémoussant quelque peu.

- Tu es sûre que c'est à la bouche, demande la mère en riant à moitié.

Les deux femmes se mettent à glousser de la fine plaisanterie. Ce faisant, elles se débrouillent pour entrouvrir leurs robes, de manière à commencer à dévoiler leurs jambes, tout en suivant le regard du jeune homme, pour s'assurer que leurs gestes sont bien compris.

Le jeune employé ne sait plus très bien où donner de la tête. Il la tourne de droite à gauche, puis de gauche à droite et admire les cuisses gainées de soie, que les deux femmes exhibent pour lui.

C'est à ce moment-là que Marie-France fait son entrée dans la pièce. Elle apporte un plateau où est posée une bouteille de vieux whisky et quatre verres larges. Elle dépose l'ensemble sur une petite table basse de salon, qu'elle tire ensuite pour la placer entre le canapé et son fauteuil. Puis, dans un geste très féminin, elle s'installe dans le fauteuil avec un grand sourire et dit d'une voix chaude :

- Et si nous portions un toast à cette soirée ?

- Très bonne idée ! Lance le jeune homme, voyant là, un moyen de s'échapper, quelques instants, de l'emprise des deux femelles en chaleur.

Marie-France se penche en avant, laissant pratiquement s'enfuir ses deux beaux seins de la robe, prend la bouteille délicatement, la débouche, et verse une bonne rasade de l'estimable nectar dans chaque récipient.

- Eh bien buvons ! Lance-t-elle à la cantonade, alors qu'elle a déjà pris un verre en main et s'est remise dans le fond de son fauteuil.

Les trois convives ramassent leurs verres à leur tour et attendent le feu vert de leur hôtesse pour boire.

- À nos amours ! Lance la belle Marie-France et porte le verre à ses lèvres pulpeuses.

- À nos amours, répètent les trois convives.

La blonde s'arrange pour laisser couler un peu de whisky à côté de ses lèvres. Un fin ruisseau d'alcool descend le long de son cou et disparaît dans le décolleté de sa robe. Elle pousse un petit cri de surprise.

- Quelle maladroite ! Voilà que je retombe en enfance et que je ne sais plus boire maintenant, dit-elle d'un ton enjoué. Puis, elle reprend, avec une flamme dans les yeux : Marc, viens m'essuyer, je te prie.

Le jeune employé modèle se lève comme un robot et vient se placer en face de sa patronne, les mains sur les accoudoirs, le buste penché en avant.

La belle se recule dans son fauteuil et jette sa tête en arrière pour offrir sa gorge. Puis d'une main adroite, elle déboutonne le haut de sa robe et l'ouvre avec soin.

Marc se penche encore d'avantage et vient appliquer précautionneusement sa langue sur la naissance du cou. Là, il commence à remonter. La peau douce du cou glisse sous sa langue. L'alcool lui brûle très légèrement le bout de sa menteuse.

Marie-France frisonne sous le passage de cette langue bien chaude. Elle sent le liquide continuer à couler sur son ventre et se diriger tout droit vers son sexe déjà trempé.

Les deux femmes dans le canapé ne perdent pas une miette du spectacle qui leur est offert. Sonia se hasarde à dire d'une voix, ne masquant que très mal l'excitation qui l'envahit :

- Je ne te savais pas si cochonne, petite sœur !

Une fois arrivé sous le menton de sa patronne, l'homme redescend doucement sa langue vers la gorge. Il arrive entre les deux seins gonflés, s'attarde quelque peu sur les galbes magnifiques, lapant tout le jus, goûtant la douceur de la peau tendre.

Marie-France en profite pour aller encore plus loin dans son déshabillage savant. Elle défait tous les boutons restants. Comme à son habitude, elle ne porte pas de culotte et exhibe ainsi sa chatte rasée. Le fin filet de whisky coule et atteint maintenant la commissure des lèvres sexuelles de la belle blonde.

Le jeune homme continue son chemin avec sa langue. Il arrive à la hauteur du nombril où stagnent quelques gouttes du breuvage écossais. Il s'y attarde un peu, histoire de bien nettoyer le puits de chair, puis continue sa descente avec sa langue. Ce faisant, il applique son index sur le petit lac que forme le whisky juste au-dessus des lèvres de la belle, là, dans une savante manœuvre, il enduit légèrement son doigt de la liqueur, et, quand une goutte pointe au bout de son index, le place délicatement sur le clitoris de sa patronne.

La blonde profite de l'occupation de son jeune compagnon pour continuer de verser tout doucement de l'alcool entre ses deux beaux seins pour alimenter le fin ruisseau. Chaque goutte de liquide qui tombe sur sa peau lui procure un nouveau frisson, dont elle se délecte. Le doigt qui vient de se poser sur son clitoris la surprend quelque peu, d'abord la fraîcheur du liquide sur le bouton d'amour la fait tressaillir. Puis, elle commence à ressentir une très légère chaleur, qui augmente, avant de devenir une brûlure légère, dû à la réaction de l'alcool fort, sur ses chairs tendres.

Marc se régale à double titre, il a l'impression que la peau satinée fond sous la langue, et le whisky est vraiment très tourbé, il a un goût merveilleux. Dans un demi-rêve, il entend :

- Bois à ma source de jouvence, mon chéri.

La voix de sa patronne tinte subtilement à ses oreilles, ajoutant encore à son excitation naissante.

- Tu vois comme elle est ta frangine, dit Annie à son autre fille, Elle se fait faire minette devant nous, sans nous demander si nous aimerions participer à son jeu !

- Oui, tu as raison maman, honneur aux invitées que diable ! Rétorque la brune Sonia, très agacée.

- Pour ma part, j'ai la chatte détrempée rien qu'à regarder ce beau jeune homme, dont je connais les talents linguistiques, poursuit la vieille brune très énervée, elle aussi, par ce spectacle. Puis en relevant sa jupe sans ménagement, mettant ainsi à l'air sa moule épilée, elle ajoute encore dans un souffle : J'en peux plus moi !

Et, dans un geste indiscret, sans retenue, elle commence à dégager son clitoris de ses grandes lèvres d'un doigt exercé et le masse précautionneusement. Excitée comme elle est, elle ne s'inquiète pas de la présence de sa plus jeune fille à ses côtés, elle est entièrement captivée par ses sens en éruption et le spectacle que lui offre le couple illégitime.

Sonia est véritablement très surprise ! Elle sait avoir hérité de sa mère une nature plus que volcanique, aimant l'amour plus que tout au monde, sans tabou, aussi bien les hommes que les femmes d'ailleurs. Mais là ! C'en est vraiment beaucoup d'un coup. Sa sœur en train de se faire brouter le gazon, qu'elle a d'ailleurs rasé, par un bel Adonis, et sa propre mère en train de s'astiquer le bouton à la vue de ce spectacle. Décidément, quelle famille !

Marc arrive maintenant à la commissure des lèvres de cette chatte odorante et dénuée de poil. De deux doigts, il écarte les grandes babines et insinue sa langue entre les chairs ainsi misent à nu. Le mélange du goût de la cyprine et du whisky est un breuvage délicat pour le jeune homme, il en use et abuse sans fard.

- Lèche bien, mon salaud, s'écrie la blonde, prise de démangeaisons produites par l'alcool, qui coule maintenant goutte à goutte et s'insinue dans la vulve chaude.

En passant sa langue dans toute la chatte trempée, le jeune homme disperse aussi le liquide alcoolique et en enduit toutes les chairs tendres.

Tout ce manège agace férocement la belle blonde. L'alcool lui réchauffe la chatte, qui n'en avait pas vraiment besoin d'ailleurs. Gourmande comme elle est, elle profite du moment pour boire à nouveau une rasade du délicieux vieux whisky et ne laisse dans le verre que quelques centilitres.

- Attends, je vais t'offrir l'apéro dans ma chatte mon lapin... Dit-elle à son jeune employé. Puis, d'une main ferme, elle dégage la tête de Marc de son sexe. Écarte ses petites lèvres et enfonce directement deux doigts dans sa chatte. La moule, tellement habituée à recevoir de la visite, s'ouvre sans peine. Une fois les deux doigts enfoncés de moitié, elle porte le verre à leurs hauteur et verse, à leurs creux, la boisson.

L'homme regarde avec assiduité la scène. Il aperçoit parfaitement le fin filet de liquide qui suit les doigts et s'insinue dans le sexe béant. Il reste ainsi à regarder jusqu'à ce que le verre soit complètement vide, c'est à ce moment qu'il entend :

- Allonge-toi par terre, vite !

Le jeune homme exécute la manœuvre en un clin d'œil. Il est maintenant étendu de tout son long sur le sol, jambes serrées, les bras le long du corps, les yeux rivés sur le plafond blanc.

Marie-France retire ses doigts de sa moule, pince ses petites lèvres comme pour sceller hermétiquement son sexe et se met debout. Elle sent la brûlure du whisky qui enflamme littéralement tout son vagin. Comme si elle devait éteindre un incendie, elle sent sa mouille suinter abondamment des parois internes de sa chatte. Elle vient se placer à l'aplomb de la bouche du jeune homme, puis s'accroupit dans un geste lent, prenant bien soin de garder ses petites lèvres jointes du mieux qu'elle peut.

Marc voit les fesses de sa patronne se rapprocher de son visage doucement. Il attend avec délectation le moment où il pourra pénétrer ce sexe promis, de sa langue agile, pour se saouler des goûts mélangés. Le cul de sa patronne se rapproche de plus en plus, il a l'impression que son sexe grossit à la même vitesse.

La blonde est maintenant en place, sa moule toujours serrée à trois centimètres de la bouche de son jeune employé. Elle retire prestement ses doigts.

Le jeune homme soulève très vite sa tête et vient plaquer sa bouche sur la vulve ainsi libérée. En un instant, il ouvre en grand sa bouche, sort énergiquement sa langue et l’enfouit dans la moule qui lui est présentée. Un jus clair et suave suinte, il n'en perd pas une goutte et le garde en bouche pour mieux le déguster.

La directrice lubrique attend dans cette posture indécente que son sexe se vide complètement du mélange. Durant tout le temps où elle se fait fouiller la chatte, par la langue de son jeune protégé, elle râle doucement, pousse de petits gémissements de félin.

Les deux autres femelles ne perdent pas une miette de l'étonnant spectacle du couple bizarre, leurs regards vont du sexe du jeune homme en pleine érection, coincé dans le pantalon, à la chatte épilée qui déverse tout son contenu dans la bouche suave de l'homme. Elles en profitent pour faire encore quelques commentaires salaces, sur leur vicieuse parente et son jeune employé, si zélé.

- Tu vois ma chérie, je ne t'avais pas menti ! Exulte la belle Annie.

- Oui, je vois ça maman, répond Sonia. L'impudeur de ma sœur me surprendra vraiment toujours, pourtant ce n'est pas la première fois que je la vois s'exhiber, mais là, devant nous, et surtout devant toi, je n'en reviens pas !

Marie-France, entendant les commentaires de sa sœur, lève les yeux vers celle-ci, lui sourit doucement, et se laisse aller à dire dans un semi-rire :

- Allons, ne fais donc pas ta mijaurée, je te connais, et les séances que nous avons eues avec ton ex-ami, n'étais pas non plus des jeux pour enfants…

Marc à la tête dans les étoiles, il ne suit pas du tout le dialogue de cette famille si vicieuse, trop pris qu'il est, pour l'instant, de s'occuper de la moule de sa patronne et de goûter ce délicieux apéritif, qui promet pour la suite de la soirée.

- Alors ? C'est bon ? S'enquit Marie-France, à l'attention de son jeune ami.

- Oui, super ! Je ne connaissais pas, mais je crois que je pourrais prendre une bonne cuite à faire le gourmand de cette façon-là ! Répond Marc, la bouche encore à demi pleine.

En guise de reproche, la blonde se relève et dit :

- On ne va pas gâcher tout ce merveilleux whisky, tout de même ! Puis, elle remet rapidement ses vêtements en place et retourne s'asseoir comme si de rien n'était, laissant ainsi le jeune homme très déconcerté.

Marc se lève à son tour, jette un rapide coup d'œil aux deux invitées, leur sourit aimablement, se tourne vers sa patronne, lui adresse un clin d'œil et dit d'une voix un peu courte :

- Eh bien maintenant, je vais goûter vraiment ton whisky !

Avant de se rasseoir, en passant près de la table basse, il reprend son verre. Il ne sait trop quoi penser de cette soirée, elle lui semble avoir commencé sous les meilleurs auspices, mais l'attitude de sa patronne le laisse perplexe. Il remarque néanmoins qu’Annie se masturbe toujours, et de belles manières encore.

D'ailleurs, la grande brune s'en donne à cœur joie. Son majeur frictionne énergiquement son clitoris gonflé de désir et ses lèvres suavement ouvertes soulignent le plaisir qu'elle ressent, ainsi que l'envie qui la gagne. Elle expose impunément sa chatte, elle aussi rasée, à la vue de tous, la jupe impudiquement relevée.

Marc s'assoit entre les deux femmes. Il a les yeux rivés sur le manège de la vieille brune qui se donne du plaisir. Sa main gauche tenant son verre d'apéritif, il profite que sa main droite soit libre pour commencer à dégrafer le chemisier de la mère de sa patronne. C'est à ce moment qu'il sent une main venir presser son sexe à travers l'étoffe de son pantalon.

Marie-France a la chatte en fusion, le reste de nectar alcoolisé attaque les chairs sensibles de sa chatte. Elle se met prestement debout, puis d'un geste auguste, retire très vite sa robe déjà complètement déboutonnée et se retrouve en bas et porte-jarretelles. Ensuite, elle se glisse à nouveau dans le fauteuil, une jambe sur chaque accoudoir, les fesses très en avant et passe sa main droite à plat sur son sexe en feu.

La belle Sonia, excitée par le tableau que montre sa sœur, ainsi que par la masturbation frénétique de sa mère, s'emploie maintenant à ouvrir la braguette du jeune homme assis à sa gauche. Le sexe gonflé perturbe d'ailleurs quelque peu son geste, mais elle sent que l'homme y met du sien, en soulevant ses fesses.

Marc commence à devenir expert en ouverture de chemisier. Il finit de défaire le vêtement de sa brune voisine sans coup férir, pousse sur les côtés les pans du vêtement et entreprend de retirer maintenant le soutien-gorge, de la vieille cochonne, offerte à ses mains expertes. La fermeture avant du sous-vêtement s'ouvre à la première sollicitation de l'homme. Marc remonte le filet de dentelle avec armature sur le cou de la brune et admire les beaux gros seins de sa partenaire de jeux.

- Tu m'excites, petit cochon va ! S’écrie la vieille chaude.

- Mais c'est fait pour, ma chérie, répond le jeune homme, d'une voix un peu étouffé par son excitation propre.

- Je mouille ! Admet finalement Sonia.

Alors, d'un seul mouvement, elle se met debout, et, très vite, retire sans fioritures ses vêtements, qui tombent sur le sol, comme des feuilles mortes sous le vent d'automne. Elle se retourne, regarde sa petite sœur et lui sourit en lui disant doucement :

- Les chats ne faisant pas des chiens, en regardant maman, je comprends maintenant d'où vient notre tempérament si fougueux !

- Plutôt que de raconter notre vie, viens donc me lécher la chatte salope ! Dit brutalement la blonde lubrique, dont le sexe est en feu.

- T'aimes ça garce, hein ! Lui répond sur le même ton la belle Sonia.

- Viens, j'en peux plus là ! Et puis, de voir maman se faire peloter de la sorte, par ce jeune goret, me met en transe.

- J'arrive petite sœur chérie. Finit par déclarer la brunette, en s'approchant de Marie-France.

Sonia vient s'agenouiller près du fauteuil, le nez au raz de la chatte détrempée de sa sœur. Elle attrape délicatement le poignet droit de sa frangine et repousse cette main gênante, pour aller la poser sur le sein droit, de la blonde immobile et attentive à la suite des événements. La folle brunette incestueuse plaque maintenant sa bouche entrouverte sur le sexe dégoulinant de sa sœurette, et sort sa langue pour commencer à venir agacer les chairs tendres offertes.

Marc se penche sur sa vieille voisine et vient lui embrasser le sein droit, tout délicatement. Il hume cette peau encore douce et encore assez ferme. Puis, il prend goulûment le téton, du sein offert, en bouche et entreprend une longue succion.

La vieille brune est à moitié avachie sur le canapé, dans cette position, elle peut voir le cul de sa grande fille agenouillée bouger dans tous les sens. Elle imagine aisément les petits coups de langue, de sa fille brune, sur le clito de son autre fille blonde. Puis son regard se porte sur ce jeune homme qui s'occupe si bien de son sein.

- Fous-toi à poils mon salaud, dit-elle d'un coup au jeune mec.

Pendant que Marc se remet debout doucement en titubant presque, la vieille brune reprend de plus belle sa masturbation. Son clitoris gonflé de désir est hypersensible à la caresse, et ce sont des ondes de bonheur qui font tressaillir ce corps de vieille chienne en chaleur.

Tout en se déshabillant, l'homme regarde avec attention sa partenaire se branler frénétiquement. Il ne perd pas une minute pour se mettre nu, sachant que là, plus personne ne s'occupe de lui, et il ne veut pas rester trop longtemps hors-jeu. Aussi, dès la deuxième chaussette retirée, et en s'agenouillant entre les cuisses de sa partenaire, il annonce :

- Oh que j'ai envie de te bouffer ta chatte juteuse.

- Viens tout de suite, mon beau ! S’écrie Annie, en retirant sa main, pour laisser le champ libre, à son jeune compagnon.

Marc plonge la tète vers cette chatte odorante et s'empare immédiatement du clitoris rougi entre ses lèvres avides, de donner du plaisir. Une fois en place, il serre le plus fort possible ses lèvres et commence à bouger lentement sa tête de droite à gauche. Puis de plus en plus vite, le mouvement court, mais rapide semble produire son effet sur la brune qui râle maintenant.

- Qu'est-ce qu'il m'agace, le beau cul de ma Sonia ! S’écrie subitement, et sans qu'il n'y ait aucun rapport, la vieille garce à l'attention de son jeune partenaire.

Marc Arrête momentanément le travail de sa bouche sur le sexe de la brune pour se retourner et regarder. Néanmoins, pour éviter que sa partenaire ne soit dans l'attente, il plonge son majeur droit dans l'orifice odorant et gluant.

- Va enculer Sonia, mon salaud, tu en meurs d'envie, complète Annie avec un sourire salace.

Les deux gouines, occupées comme elles le sont, ne portent aucune attention au manège du couple sur le canapé.

Sonia se régale de la chatte lisse de sa petite sœur. Chatte mouillée et odorante, qui lui procure le souvenir de tendres moments passés avec sa sœur et son propre ami, quelques années auparavant.

Marie-France, la chatte toujours en feu à cause de l'alcool, est aux anges, elle se délecte des petits coups de langue de son experte frangine sur toute sa vulve.

Le jeune homme se lève donc à l'invitation de sa partenaire de jeu, et va se placer à genoux derrière la belle brune qui est, elle aussi, agenouillée et très occupée. La queue de l'homme est raide comme la justice. Il la prend de sa main droite et vient flatter le petit trou brun de Sonia, en posant également sa main gauche sur la fesse gauche de cette belle femme, qui ne cesse de bouger son cul sous ses yeux.

- Attends une seconde Marc, s’écrie Annie, en se levant très vite et se dirigeant vers la cuisine.

Le jeune homme continue de flatter cette croupe à sa portée, pendant que les deux femelles lubriques continuent, elles, leur jeu de filles.

Très vite, la vieille brune revient de la cuisine. Elle rapporte une petite bouteille d'huile de cuisine et vient se placer juste à côté de l'homme en érection. Là, elle débouche la petite fiole, et verse doucement quelques gouttes d'huile sur le sphincter de sa grande fille. Le liquide épais se répand dans la vallée culière et commence à s'insinuer dans l'anus offert. Quelques gouttes suintent, sur la chatte entrouverte et déjà très mouillée de cyprine.

Marc passe sa bite raide dans la vallée ouverte et enduit ainsi délicatement son sexe de l'huile présente. Puis, d'un geste précis, applique son gland sur le sphincter, la brune Sonia ayant arrêté son mouvement de hanche en sentant les préparatifs de sa mère.

Annie dépose la bouteille par terre et vient se coller aux côtés du jeune homme, elle laisse sa main droite flatter les fesses de l'homme, puis, appuie sur celles-ci, comme pour inviter l'homme à prendre sa fille, sans plus attendre.

La belle Sonia cambre ses reins et offre sa croupe à cette queue, qu'elle ne voit pas, mais qu'elle sent entre ses fesses et qui l'excite. Énervée par cette folle soirée si incongrue, elle ne peut plus rien faire, que de se laisser aller à la jouissance. Et de dire qu'elle a envie d'une bonne bite dans ses entrailles, n'est qu'un doux euphémisme.

Encourager par la main chaude sur ces fesses, le jeune homme pénètre, d'un coup de rein franc, ce cul ouvert. Puis il appuie sa manœuvre jusqu'à ce que sa queue soit entièrement enfoncée dans le chaud conduit, bien graissé.

Annie ne perd rien du spectacle, et en profite pour venir caresser les couilles du jeune mec, qui encule si bien sa grande fille. Elle suit le lent mouvement de va-et-vient, qui fait entrer et sortir cette grosse queue, dans l'anus dilaté.

La brune Sonia à le souffle court, elle aspire par le nez, et rejette l'air par sa bouche toujours plaquée sur la chatte de sa sœur. Elle gémit sous les assauts de l'homme qui ramone son cul de belles manières, mais sans grands égards. Elle aime se sentir prise de cette façon, elle aime ce sentiment d'impuissance, face à l'homme qui la chevauche, elle aime se sentir femelle soumise à la volonté du mâle.

La belle Marie-France a l'impression que sa grande sœur lui gonfle le ventre de son souffle, mais cette sensation la ravie tout à fait et pleinement. Elle en profite pour lâcher ses cuisses et attrape ses seins à pleine main pour les malaxer sans vergogne. Elle sent l'air chaud et humide entrer dans sa chatte en feu, et ressortir à chaque aspiration de sa sœurette.

Marc se prend au jeu, et commence maintenant, excité comme il est, à donner de furieux coups de boutoirs. Le petit trou de sa partenaire semble bien avoir l'habitude de recevoir des invités, car l'homme n'a aucun mal à limer ce cul, et il lui semble même, que sans huile, cela aurait été tout aussi facile.

La mère des filles en profite pour aller taquiner le clitoris de sa grande, après avoir lâché les couilles de l'homme, elle s'en prend maintenant sans retenue au bouton d'amour mouillé de cyprine et d'huile. Elle a l'impression que l'organe cherche à s'évader de ses doigts, aussi entreprend-elle, de caresser toute la vulve.

L'homme ne se retient pas le moins du monde. Il sodomise sauvagement la brune Sonia maintenant, mais il sent bien aussi, qu'il ne tiendra pas éternellement à ce rythme. Les prémices de la jouissance commencent à marquer son visage.

Annie s'aperçoit, que le jeune étalon est au bout de sa chevauchée, et qu'il ne va pas tarder à rugir. Elle se pousse un peu sur le côté en abandonnant le sexe de sa fille. Puis délègue sa main droite pour enserrer la base de la bite tendue qui continue ses allées et venues. Elle murmure dans l'oreille de Marc :

- Je veux boire ton foutre chaud, tu vas jouir dans ma bouche, mon mignon.

L'homme se retire prestement de l'anus chaud et accueillant. D'un geste sûr et rapide, il se recule en prenant appuie sur les hanches de son enculée de partenaire, s'assoit sur ses talons, le membre toujours en érection et prêt à cracher son venin.

- Pousse ton cul Sonia ! S’écrie la vieille mangeuse de foutre, t'en as assez eu comme ça.

Puis joignant le geste à la parole, Annie pousse sa grande fille sur le côté et vient engouffrer le pieu de chair, dans sa bouche avide. Là, en deux coups de langue et trois mouvements de main, elle fait jouir le jeune homme dans un concert de jurons.

Marc ne s'entend même pas crier. Il sent son foutre chaud sous pression sortir de sa bite par saccades. Ses yeux se ferment sous la violence du plaisir. Il décharge toute sa purée dans la bouche tiède de la vieille salope en chaleur. Ses idées se mélangent dans sa tête, il ne sait plus trop où il est, mais il est bien.

- Partages un peu maman, s'il te plaît ! Lance Marie-France comme un cri de désespoir, car elle a suivi, de loin, tout le manège de sa mère coquine.

La mère se relève, vient se placer tout à côté de la tête de sa plus jeune fille, lui attrape la base de la mâchoire et d'une main ferme, applique une pression pour ouvrir cette bouche, se penche encore plus en avant pour n'être plus qu'à vingt centimètres au-dessus de la bouche ouverte. Puis, elle laisse couler de ses lèvres un fin filet de sperme et de salive mêlé.

Les deux femmes savourent ce jus, pendant de longs instants, laissant de côté le jeune homme et la belle brune, qui a bien du mal à retrouver ses esprits.

Puis, d'un coup, comme piquée par quelques insectes bizarres, Marie-France se relève et jette à la cantonade :

- Et si nous passions à table, cet apéritif m'a vraiment mis en appétit !



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une heure avec Sonia (2019)

Mamie se prostitue : le mac (2024)

Au service de Monsieur (2015-2023)

Punition au sex-shop (2002)

La boite à blacks (2019)

Train de nuit 01 (2002)

Christine ou les malheurs de la maturité (2023)

La prof examinée 01 (2010)

Un bon job : Chapitre 8 : Séance de minitel rose Partie 2

La prof examinée 02 (2010 -2023)