Un bon job : Chapitre 7 : Partie en famille Partie 1
C'est vers quatorze heures, revenant de déjeuner, que Marc reçoit un appel de sa directrice, qui l'invite à dîner chez elle, le soir même. Le ton calme et paisible de cette dernière indique au jeune homme que la soirée devrait être très sympathique.
- Je veux que tu viennes dîner chez moi, ce soir, je reçois ma mère, une vieille dame, mais avec un caractère très jeune, tu verras, annonce la blonde.
- Bien, je prends mes dispositions et te confirme ça dans l'après-midi, rétorque l'employé.
Après un coup de fil à sa concubine, pour lui dire qu'il ne rentrera pas dîner le soir, Marc reprend ses activités.
Aux alentours de dix-neuf heures, la belle directrice vient chercher son jeune ami pour le conduire chez elle. Marie-France, après avoir introduit son employé dans son appartement, le présente à sa mère.
Annie est une grande femme brune, encore très belle, une forte poitrine se devine sous son chemisier blanc, qui dissimule, peu, la fine dentelle de son soutien-gorge. Elle porte élégamment une jupe de début de soirée, longue et fendue devant-derrière et sur les côtés. Elle porte très joliment ses cinquante-sept printemps. Du premier coup d'œil, on s’aperçoit d'emblée que cette femme s'est toujours très bien entretenue, et qu'elle doit avoir certains moyens financiers, lui permettant de mettre son corps en valeur. Sa taille est assez fine, elle n'a pas de ventre.
Marc remarque tout de suite qu'elle possède de très belles jambes, sans varices, ni cellulite disgracieuse.
Annie, après avoir serré la main du jeune homme, se tourne vers sa fille et lui dit tout à trac :
- Effectivement, tu ne m'as pas menti, c'est un bel étalon !
- Et un élève surdoué, qui plus est, ma chère maman, répond la belle Marie-France d'un large sourire et en faisant un clin d'œil à cette femme, au regard allumé par la vue du jeune homme, qui rougit aux propos échangés sur son compte.
- Ha bon ! Surdoué en plus ! Insiste encore la belle brune dont le visage est illuminé par les pensées lubriques qui passent dans son esprit.
- Oui, à tel point que j'ai pensé l'appeler "langue agile", poursuit encore la blonde, assez énervée, par les propos qu'elle échange avec sa mère et commençant un petit rire malin.
- Ha ! Tu m'en diras tant ! Rétorque la mère, visiblement excitée par le jeune homme, qu'elle dévore littéralement des yeux.
- Mais allons nous asseoir, nous serons plus à l'aise pour discuter de tout ça, finit par dire Marie-France, d’une voix à moitié étouffée.
Le trio vient s'installer dans le salon, Marie-France s'empare d'un fauteuil laissant sa mère et son amant se positionner dans le canapé. En s'asseyant, la belle blonde fait un gros effort pour ne rien cacher de ses dessous, sa jupe est suffisamment relevée pour laisser apparaître le haut de ses bas, et montrer à son jeune ami qu'elle ne porte pas de culotte.
Marc rougit du spectacle qui lui est ainsi offert, il sait sa patronne très chienne, mais qu'elle le soit devant sa propre mère, le sidère complètement. Il se demande dans quel nouveau piège, il vient de tomber, et n'ose pas croire que cette vieille femme, encore très belle certes, mais néanmoins bien plus âgée que sa patronne, puisse, ne serait-ce que remarquer les jeux loufoques de sa fille. Il est tant absorbé par ses pensées, qu'il ne remarque même pas que sa voisine de canapé est assise d'une manière très équivoque et qu'elle aussi, expose ses cuisses.
Annie se délecte de la perplexité du jeune homme, tout en le fouillant d'un regard inquisiteur, elle poursuit la conversation engagée un peu plus tôt avec sa fille, et dit d'une voix feutrée :
- Langue agile ! J'imagine bien pourquoi un tel surnom, tu dois te régaler avec un pareil homme, ma chérie.
- Je dois dire que je suis très contente du recrutement que j'ai fait, en employant ce beau jeune homme, surenchéri alors la belle Marie-France.
Puis, après un regard droit vers son jeune amant, elle reprend d'une voix mal assurée, à l'attention de sa mère :
- Mais à en juger par ton regard avide, tu me sembles très intéressée par Marc !
- Voyons ma chérie, à part tes flirts à l'école, t'ai-je déjà beaucoup volé tes amants ? Insiste encore Annie.
- Beaucoup, peut-être pas, mais déjà quelques-uns tout de même ! Répond Marie-France dans un rire aigre-doux. Puis, après une profonde aspiration, elle continue en passant à un ton plus décontracté :
- De toutes manières, s’il te fait envie, je te prête Marc, comme ça tu ne seras pas obligée de me le piquer sous mon nez !
Annie part d'un rire franc et sonore, elle regarde un instant sa fille, puis retourne son regard vers le jeune homme, qui n'en croit pas ses oreilles. Elle s'amuse de la mine déconfite du jeune employé qui écarquille les yeux.
- Mais… Commence Marc d'une voix étouffée par la surprise, en fixant sa patronne, droit dans les yeux.
- Attend mon mignon, coupe la blonde d'une voix aimable, mais impérative. Elle n'est pas jolie ma maman ? Et tu sais, c'est elle qui m'a enseigné l'art de l'amour, à travers mes amants, alors ne sois pas inquiet, tout se passera bien, elle est très douce et très attentive.
Durant la courte explication de sa fille, Annie en a profité pour défaire quelque peu son chemisier et passe une main experte dans l'ouverture produite pour se caresser nonchalamment le galbe doux de ses gros seins.
- Je n'en doute pas, répond Marc du tac au tac, mais tu aurais pu m'en parler avant, je suis très mal à l'aise maintenant, cette situation me gêne !
- Alors, laisse-moi te mettre à l'aise mon petit, dit d'un coup Annie, en se levant pour aller mettre de la musique.
Sa démarche est souple et lascive, elle ondule son joli postérieur en continuant de dégrafer son chemisier. Arrivée près de la chaîne, elle se penche délicatement en avant, pour la mettre en route. Puis, s'accroupit, tout en prenant bien soin de montrer ses cuisses au jeune homme, qui n'en revient pas. Baissée comme elle est devant le meuble bas, sa robe s'est largement ouverte et dévoile une longue jambe gainée d'un bas noir. D'une main, elle met en place un disque de Jazz, pendant que de l'autre, elle finit d'ouvrir son chemisier. Une fois le vêtement entièrement ouvert, et en même temps qu'une douce musique commence à emplir la pièce, elle dégrafe par le devant son soutien-gorge en dentelle.
Marc a les yeux rivés sur cette cuisse impunément offerte à son regard bleu. L'excitation de l'instant le gagne, et le temps semble s'être figé.
Annie se relève en faisant un demi-tour sur elle-même, porte ses mains à sa poitrine, comme pour remplacer le sous-vêtement défait, et exhibe ses généreuses mamelles au jeune homme, dans un grand sourire racoleur. Et, au rythme de la musique, elle s'avance vers le canapé, tout en remuant ses seins. Sa démarche se fait encore plus lascive que précédemment. Elle observe attentivement le jeune homme et suit le regard gourmand de celui-ci sur son corps.
Marie-France porte son regard de sa mère à son amant, en s'amusant follement de l'émoi de ce dernier. Elle connaît l'effet que produit cette femme sur les hommes, il est vrai qu'avec le corps qu'elle a toujours eu, cela suscite bien des convoitises, chez le sexe fort. Et c'est en connaisseuse, qu'elle apprécie la lourde poitrine, ferme encore, très joliment terminée par de gros tétons protubérants. Une idée farfelue lui passe par la tête, elle aimerait avoir à sucer ces beaux seins, mordiller ces tétons bruns et raides. Un curieux feu s'empare de sa chatte, et, c'est en faisant un gros effort sur elle-même, qu'elle se retient de glisser une main sous sa jupe.
La grande brune danse maintenant seule au milieu de la pièce, son bassin ondule en cadence, ses mains semblent offrir sa poitrine à quelques bouches avides. Les yeux mi-clos, elle examine attentivement la bosse du pantalon du jeune homme qui enfle. Elle se repaît du rouge qui monte aux joues de l'homme, de son désarroi total.
Marc ne peut quitter des yeux le balai de ces gros seins soutenus par des mains fines, ornées de bagues. Il sent son sexe prisonnier se dresser, une étrange excitation le gagne. Cette femme, plus âgée que sa propre mère, lui met le feu aux poudres. Il aimerait se désaltérer à ces seins lourds et ronds, si délicatement offerts à son regard. Il imagine un lait âcre et sucré, jadis dispensé par ce téton chaud.
Marie-France ne perd rien du spectacle, elle voit avec bonheur, l'effet que produit sa mère sur son jeune employé, et elle se régale du doux ballet des seins maternels. Elle aussi aimerait passer sa langue sur les précieux appendices. Pour conjurer le sort, elle défait maintenant son chemisier rose, et une fois celui-ci complètement ouvert, elle glisse une main habile sur son sein droit, le malaxe, le torture quelque peu, comme bien souvent, elle ne porte pas de soutien-gorge.
- Tu aimes ? Demande Annie, en s'adressant au jeune homme face à elle, dont elle sait parfaitement, qu'il ne perd pas une miette de sa danse.
- Oui, beaucoup, vraiment beaucoup, balbutie Marc d'une voix rauque.
- Tu sais, continue la brune, sans cesser de danser sur la musique, j'aimerais que tu me montres ton sexe, qui doit étouffer dans ton pantalon.
L'employé jette un regard interrogatif à sa patronne, le sourire qu'il reçoit en retour lui indique, qu'il a l'entier consentement, de cette dernière. Aussi, dans un geste lent, il ouvre sa braguette, tout en reportant sa vue sur la danseuse.
Annie profite de l'instant pour abandonner son sein gauche et porter sa main sur le fermoir de sa jupe fendue. Elle fait glisser la tirette, dégrafe doucement le bouton, et laisse sa jupe tomber tranquillement sur le sol. Puis, d'un pas léger, dégage ses pieds du tissu et repousse, d'un geste doux, le morceau d’étoffe, vers le canapé.
"Tient", se dit Marc, "ce doit être de famille que de ne pas porter de culotte". Son regard se pose sur la fine toison brune bouclée qui forme un triangle parfait juste au-dessus de la commissure des lèvres. Tout en profitant de cette vision si imprévue, il se cambre pour retirer son pantalon, ayant enlevé auparavant ses mocassins avec ses pieds.
La blonde directrice admire les fesses rondes et fermes de sa maman, de son poste d'observation, elle voit parfaitement la chute de rein maternelle. À son tour, le feu de l'excitation, la gagne toute entière, et elle ressent une vive brûlure à l'entrée de sa chatte. Elle décide alors de retirer sa jupe, et s'y emploie doucement.
Annie ne perd pas une miette de l'effeuillage du jeune homme. Elle le voit maintenant en caleçon qui retire prestement sa cravate, puis sa chemise. Une fois qu'il est torse nu, elle s'approche du canapé, s'agenouille entre les cuisses de l'homme et vient promener sa langue sur le ventre chaud dénudé. Elle commence par honorer le nombril masculin en passant sa langue autour du puits de chair. Ce faisant, elle agrippe le caleçon à deux mains et entreprend de le faire glisser progressivement. Pour aider le jeune homme à se redresser, elle porte sa bouche sur le téton de celui-ci, et commence une délicate succion.
Marc se cambre dans le canapé, de manière à soulever ses fesses du tissu. Il admire la chevelure épaisse sous ses yeux, et goûte au paradis quand il sent l'étoffe du sous-vêtement glisser sur ses cuisses, libérant ainsi son sexe en pleine érection. Il ferme d'un coup ses yeux, quand il sent son sexe enfourné dans une bouche tiède et douce, la caresse le surprend.
La brune avale goulûment le gros membre en pleine érection, elle le fait aller le plus loin possible dans sa gorge, et réussit néanmoins è sortir un peu sa langue pour venir flatter les couilles du jeune homme. Le pieu de chair emplit toute sa bouche, la faisant abondamment saliver. Elle commence alors un long mouvement de va-et-vient sur cette bite tendue, et crée une dépression en aspirant l'air contenue dans sa bouche.
Le jeune homme sent son sexe prisonnier de cette bouche avide, par contre, il se réjouit de la douceur de cette caresse, "pour une pipe, c'est une pipe" se dit-il. Un mince filet de salive coule sur la base de sa bite et sur ses couilles.
Marie-France est maintenant les fesses à l'air, les jambes écartées, une cuisse indolemment posé sur l'accoudoir. De sa main droite, elle a écarté ses grandes lèvres entre l'index et l'annulaire, son majeur, quant à lui, masse délicatement le clitoris gonflé. Elle regarde intensément le cul de sa mère, qui ondule en cadence avec la musique. Elle imagine ce que doit ressentir sa maman avec ce pieu de chair vibrant, chaud et doux dans la bouche, elle en salive à son tour.
Annie pompe avidement le jeune homme. D'une main, elle caresse le ventre musclé, de l'autre, elle flatte les fesses de l'homme. Elle apprécie cette peau douce et tiède sous ses doigts. Il y a comme quelque chose d'électrique au contact de ces deux épidermes, et cette sensation ajoute encore à l'excitation de la brune lubrique. Doucement, elle recule sa tête pour permettre à sa langue de glisser sur toute la queue tendue, puis, arrivé au gland, elle avance à nouveau, et s'enfonce la bite tout au fond de sa gorge. Le bruit de succion qu'elle produit, lui met le feu au sens.
Le jeune homme est très excité par cette superbe fellation, la sensation produite par cette bouche savante lui procure de longs frissons qui lui parcourent l'échine, la douceur des mains de cette femme sur son corps lui rappelle la douceur des mains de sa patronne, son esprit se brouille sous les caresses. Il ferme les yeux sous les vagues de bonheur qui le submergent.
La brune s'enhardit alors de promener son doigt sur l'anus du jeune homme, D'abord très délicatement, elle effleure le sphincter tout en appuyant la caresse de son autre main, sur les flancs de Marc, qui commence à râler doucement. Ensuite, voyant que son doigt inquisiteur n'est finalement pas le mal venu, elle se laisse aller à pousser plus loin le jeu, en testant l'élasticité du muscle.
Le jeune employé ne sait plus où il est, ni avec qui d'ailleurs. Il s'abandonne entièrement aux caresses expertes de la vieille salope. Son esprit est complètement voué aux plaisirs de la chair, il ne se rend même pas compte de ses râles rauques.
Annie, pompant toujours le gros dard goulûment, décide d'aller encore plus loin avec sa jeune proie, elle fait glisser son majeur dans l'anus chaud et doux. Elle estime, à juste raison d'ailleurs, que ce bel homme n'a jamais reçu pareille caresse auparavant, aussi fait-elle graduellement aller-et-venir son doigt dans les intestins vierges. La vieille cochonne, qui a une longue expérience des hommes, se rend compte que son bel amant ne va pas tarder à jouir, aussi, continue-t-elle encore de plus belle. L'idée de récolter une grande rasade de sperme tiède, ne fait que l'exciter encore d'avantage. Un tas de souvenirs, plus salaces les uns que les autres, assaillent son esprit. prise d'une sorte de frénésie érotique, elle s'imagine rajeunir.
La blonde Marie-France, connaissant bien sa mère, se doute, aux visibles plaisirs que prend son employé, des outrages que lui inflige cette vieille salope en chaleur qu'est sa maman. Elle se réjouit de voir son jeune compagnon prendre un pied gigantesque. Ceci dit, ça n'arrange en rien son émoi personnel, et elle sent une envie furieuse de se faire prendre, qui la gagne.
Marc ne sait pas ce qui lui arrive, bien sûr, il sait que la brune est en train de lui bourrer le cul de son doigt, mais, alors même qu'il se serait cru honteux en pareille circonstance, il se surprend à prendre un énorme plaisir à cette pénétration contre-nature. Il ondule du bassin au rythme des mouvements du doigt dans ses entrailles. Il sent qu'il va bientôt éjaculer, mais ne trouve pas la force de prévenir sa partenaire. En fait, c'est d'un plaisir très égoïste qu'il veut se contenter, et de jouir dans cette bouche si accueillante, lui semble bien être le meilleur choix possible.
D'un coup, la vieille chienne s'empare du gros mandrin de la main qui lui servait à prodiguer des caresses subtiles juste l'instant d'avant. Elle garde le gland bien en bouche, aspire encore plus fort, tout en masturbant le pieu de chair pour faire monter la semence juteuse. Elle est bien décidée à se régaler du précieux nectar.
Le résultat de ce traitement ne se fait pas attendre, en quelques instants, le jeune homme se cabre comme un étalon, et, dans un râle trahissant son orgasme, laisse filer de gros jets de sperme chaud qui viennent s'écraser contre le palais de la vieille brune.
Annie n'arrête pas pour autant son manège, bien qu'elle sente l'épais jus lui emplir la bouche et couler dans la gorge, elle continue de branler frénétiquement le jeune homme en poussant de petits cris étouffés qui marque sa joie.
Marc n'en finit pas d'éjaculer, il a l'impression que cette salope va lui vider les couilles pour un mois au moins !
La bouche remplie de foutre épais, Annie continue de se régaler de cette bite qui perd un tant soit peu de sa dureté originelle, néanmoins, le violent massage qu'elle prodigue empêche Marc de débander d'un coup.
Avec les dernières gouttes de sperme, Marc se surprend à avoir encore très envie de baiser, Le bout de sa bite bien au chaud dans cette bouche, la branlette que lui administre cette cochonne lui donne des idées dingues. Il a envie maintenant de prendre sauvagement cette salope brune. Aussi, passe-t-il ses mains sous les aisselles de sa partenaire et la tire-t-il à lui.
Annie se laisse aller vers son jeune amant du moment. Elle se déplie doucement, se laissant guider par le jeune homme. Puis, sans prévenir, se relève complètement et vient plaquer sa bouche sur celle de l'homme.
Marc n'a que le temps de la surprise. Déjà, une langue vient forcer l'ouverture de ses lèvres et s'insinue dans sa bouche, cherchant le contact avec sa propre langue.
C'est la bouche encore à moitié pleine de foutre qu’Annie vient embrasser l'employé de sa fille. Et c'est avec une habilité diabolique qu'elle réinjecte du jus de bite dans la bouche du jeune homme. La seule pensée que ce monsieur va boire du sperme la fait mouiller de plus bel. Elle roule une pelle furieuse au jeune homme, qui n'arrive pas à se défaire de ce démon femelle. Uns sorte de succube !
La situation excite encore d'avantage Marc. Il sent sa queue prête à reprendre du service, aussi la guide-t-il vers l'entrée de la chatte de sa partenaire de jeu.
Une envie irrésistible de se faire prendre broie maintenant les reins de la vieille chienne en chaleur qu'est devenue Annie. D'une main habile, elle aide son jeune ami à placer sa bite dans sa chatte détrempée. Dès que le sexe est placé correctement, d'un mouvement du bassin violent, la brune s'empale sur le mandrin dur.
L'employé sent sa queue raide entrer sans peine dans le vagin. La température interne lui brûle presque la bite, mais très vite, il sent la vieille monter et descendre sur sa queue.
- Mets-moi un doigt dans le cul ! Crie Annie, dès qu'elle a détaché sa bouche de celle de son ami.
Les cris de sa mère ont sorti la blonde des profondeurs où l'avait conduit une masturbation énergique. Elle ouvre grand ses yeux bleus délicieux, et s'apercevant que son employé tarde à exécuter la demande pressante de sa maman, elle se lève et vient elle-même enculer sa génitrice, d'un doigt malicieux.
Annie ne se rend pas compte instantanément, que c'est sa fille, qui lui a glissé un doigt dans le rectum. Elle goûte avec bonheur, le passage de cette belle bite dans sa chatte. Elle sent ses chairs intimes se détendre à la sortie de l'engin, puis être compressées lors d'une nouvelle entrée de la grosse queue. Elle en profite pour venir se caresser le clito comme elle sait si bien le faire, quand elle est esseulée.
Marie-France est comme folle, d'enculer sa propre mère avec son majeur, voilà bien une expérience qu'elle n'a jamais osée. Pourtant, très souvent, elle a rêvé de se gouiner avec cette belle salope qu'est sa maman, mais jamais, elle n'aurait imaginé, que ce fut possible. Néanmoins, pour le moment, c'est dans un état second qu'elle trouducute sa chienne de mère, et c'est malgré elle qu'elle prononce d'une voix bizarre :
- Tu le sens bien mon doigt, maman ?
Annie est tellement excitée et prise par le jeu, qu'elle ne reconnait même pas la voix de sa fille, dans un râle, elle demande encore :
- Mets-y deux doigts maintenant ! Éclate mon cul de chienne.
La directrice ne se fait pas prier plus longtemps, elle glisse sans ménagement son index en plus du doigt déjà présent dans le cul maternel.
Le sphincter n'oppose aucune résistance au passage des doigts. On voit bien que la belle brune aime se faire prendre par le trou du dimanche, et que ce dernier est plus que rodé, au passage d'engins de toutes sortes et de toutes tailles.
Marie-France, folle d'excitation, lime consciencieusement l'anus de sa maman, se rendant compte que le petit trou ne demande que ça, elle s'avise à faire pénétrer son annulaire en plus. Les trois doigts dilatent franchement l'orifice. La blonde sent que sa mouille s'échappe de sa chatte. Elle profite de sa main libre pour venir peloter le sein droit de la brune qui se fait reluire.
Partie comme elle est, Annie ne s'offusque pas de cette main chaude sur son nichon, bien au contraire, cette caresse supplémentaire lui va à ravir. Pourtant, dans un éclair de lucidité, elle se rend compte que son jeune ami lui tient les cuisses, aussi comprend-elle immédiatement qui est en train de la sodomiser. Cette idée la refait partir de plus bel encore.
- Vas-y ma fille, crie d'un coup la brune, dans un état indescriptible.
- T'aimes ça maman, hein ? S'entend dire la blonde, follement excitée par ce nouveau jeu, si imprévu.
- Oui, encule-moi encore, chérie, répond la mère incestueuse.
Marc, comprenant soudainement la situation, devient rouge d'excitation. Il savait sa patronne très chienne, mais alors là, ça dépasse son imagination ! De savoir cette femme enculée par sa propre fille, le met dans un état de délire, il s'entend dire d'un coup :
- Vas-y salope, bourre bien le cul de ta mère !
Ces mots, prononcés par son amant, accentuent encore la frénésie de la blonde. Maintenant sans retenue, elle force pour faire pénétrer ses doigts toujours plus loin. Les cris de sa génitrice la rendent folle de lubricité. Elle broie littéralement les seins de son aïeule, emportée comme elle est par la magie du moment.
Excité comme il est, et contre toute attente, Marc ne tarde pas à éjaculer à nouveau, surprenant ainsi sa partenaire.
- Déjà ? Se plaint celle-ci, déçue de prendre ce sperme chaud, et plus liquide que la première fois, au fond de sa chatte.
Le jeune homme rougit, mais l'excitation était telle qu'il ne pouvait se retenir.
- Laisse-moi venir boire ce sperme ! S'écrie Marie-France, en comprenant la situation.
La conjoncture est tellement imprévue et excitante, que la brune se retire prestement de la bite qui commence à mollir, et se jette sur le canapé, les cuisses en l'air, qu'elle maintient de ses mains.
Sans réfléchir, la directrice blonde se précipite sur ce sexe encore béant et y enfourne sa langue. Le goût du jus de femelle mélangé au sperme lui procure une sensation indéfinissable. Jamais elle n'aurait osé penser lécher sa propre mère, de le faire ce soir la rend folle de joie. Déjà petite fille, Marie-France trouvait sa maman très jolie, et ce sentiment ne l'a pas quitté durant toutes ces années. Simplement en vieillissant à son tour, elle avait toujours été frustrée que cette action lui soit totalement impossible, aussi, ce soir, elle se délecte de la chatte, par laquelle elle est sortie, quelque quarante ans plus tôt.
Annie croit devenir folle, elle savait sa fille bisexuelle, tout comme elle-même d'ailleurs, mais ne la savait pas si experte pour faire perdre la tête à une autre femme. Qui plus est, le fait qu'elle se gouine maintenant avec sa fille, lui procure une sensation plus qu'étrange, extraordinaire, mélange de honte, de refoulement et de bonheur intense. Elle se rappelle avoir toujours été très excitée quand les amants de sa fille lui racontaient leurs exploits avec cette dernière. Mais là ! L'intensité de l'émotion est sans commune mesure.
Marc, écroulé sur le canapé, n'en crois pas ses yeux. Un inceste ! Et de deux femmes encore ! Et, bien que vidé, il se penche pour venir prendre le sein droit de sa voisine dans sa bouche, de la sorte, il est aux premières loges pour observer sa patronne en train de fouiller, de sa langue, la chatte de sa mère.
Marie-France s'applique à faire tourner sa menteuse tout au fond de ce vagin brûlant. Les effluves qui émanent de ce trou, la saoule aussi sûrement qu'un grand whisky. Elle en profite pour glisser, à nouveau, deux doigts dans le côlon maternel, qui lui est ainsi offert.
Annie se demande si sa fille ne l'a pas volontairement provoqué ce soir, elle se dit qu'elle tâchera de savoir depuis quand, sa fille lui voue un amour de cette sorte. Les deux doigts qui s'infiltrent dans ses entrailles lui tirent un cri de volupté. Elle ne sait plus ce qui se passe au juste dans le bas de son ventre, mais les vagues de bonheur qui l'envahissent, sont, elles, bien réelles. D'ailleurs de se faire brouter la chatte en se faisant enculer à toujours été son plus grand plaisir. La succion de son téton par ce beau jeune homme ne la laisse pas non plus indifférente, elle se souvient quand elle donnait le sein à ses filles. Son esprit se brouille entre les tendres souvenirs et l'excitation du moment de ces jeux interdits.
La directrice, folle d'excitation, s'en donne à cœur joie. Elle abandonne un instant la brûlante chatte pour s'occuper du clitoris turgescent. Elle le happe et commence à le sucer comme elle le ferait d'un sexe d'homme. Elle lève un peu ses grands yeux bleus et croise le regard allumé de son employé, qui a le sein de sa mère en bouche. Elle lui fait un clin d'œil, puis, prise à nouveau par les vagues de son imagination fertile, referme les yeux pour se concentrer sur le bouton d'amour. D'un petit coup de dent sec, elle mordille le clito.
La réaction de la brune ne se fait pas attendre, elle pousse un petit cri de surprise. Annie, le souffle court, commence à jouir dans un concert de sons rauques et inarticulés. Toutes ces caresses, ajoutées à l'insolite de la situation, c'en est vraiment de trop. Maintenant, la douce morsure sur son clitoris lui décuple encore sa jouissance. Elle finit dans un grand cri, puis se met à hurler de plaisir, une vraie cantatrice.
Marc sent son sexe se redresser encore une fois. Ne voulant pas casser la magie de ces instants, il s'occupe lui-même de sa queue en se masturbant doucement.
Annie jouit violemment en déchargeant son jus de femelle dans la bouche de la blonde qui vient de reprendre possession du vagin maternel.
La directrice lubrique récupère toute la précieuse émission dans sa bouche, elle sent également le foutre de son employé mélangé à la cyprine abondante. Elle lape le précieux jus, comme si sa vie future en dépendait. Elle enfouit sa langue au plus profond de la chatte noyée, puis rapatrie toutes les substances, qu'elle a pu ainsi recueillir, dans sa bouche. Bien que le goût lui soit familier, l'étrangeté de la situation lui fait croire à quelques nouveaux plaisirs.
Le manège de Marie-France dure assez longtemps. Puis, sa mère commence à se calmer un peu, c'est à ce moment que l'homme commence à donner des signes de son propre plaisir.
- Donne ! Crie la blonde comme une folle, en se rendant compte de l'état de son jeune amant.
Marc ne se fait pas prier, il laisse sa patronne s'emparer de son chibre. Dès que la pine est dans la bouche de la blonde, de puissants jets de foutre s'en échappent. L'homme s'abandonne dans un grand grognement doublé d’un sourire béat.
Marie-France garde en bouche toute la semence de l'homme. D'une main experte, elle astique encore la queue quelques instants, pour en extirper jusqu'à la dernière goutte. Une fois qu'elle estime avoir tout récolté, elle se relève et vient se mettre sur sa mère. Ayant bien observé que sa maman était amatrice de sperme, elle vient placer sa bouche en face de la bouche maternelle, puis sort doucement sa langue engluée comme pour l'offrir.
Annie, appréciant l'offre, qui lui est faite, sort à son tour sa menteuse et les deux femmes commencent à s'embrasser, toutes langues sorties.
Quelques secondes plus tard, elles se roulent maintenant une pelle endiablée. Elles se serrent l'une contre l'autre, de toutes leurs forces, comme pour conjurer le temps qui passe. La brune sent les tétons de sa fille contre ses propres seins, cela la comble de bonheur et la remplit de sensations, jusqu’alors inconnues, presque incongrues.
Marc se laisse s'enfoncer mollement dans le canapé. Il ne garde que son sens de la vue en éveil, ne voulant, pour rien au monde, manquer ce spectacle, si rare, que lui offre sa patronne.
Les deux femmes restent un long moment à se prodiguer, l'une à l'autre, de tendres et douces caresses, la blonde sur le corps de la brune, s'embrassant fougueusement de temps à autre. Le temps semble s'être arrêté.
Le contraste entre les baisers fougueux, que se prodiguent les deux femelles, et la tendresse qui s’ensuit, interpelle le jeune homme. L’inceste, il en avait entendu parler, mais de le voir en réel, de le vivre, même par procuration, voilà bien une expérience qu’il n’est pas prés d’oublier.
Une bonne heure plus tard, en se désaccouplant de sa mère, Marie-France propose de se restaurer. Les deux autres acquiescent, non pas qu'une réelle faim les tenaille, mais qu'ils pensent que le moment est venu de changer de posture.
La douce température qui règne dans l'appartement, permet à tout ce petit monde de rester nu. C'est donc nu que le jeune homme dîne ce soir. Les deux femelles, quant à elles, ont gardé leurs bas et porte-jarretelles. La table vite dressée, la directrice réchauffe au micro-ondes les plats chinois qu'elle a pris avant de rentrer.
À table, personne n'ose entamer une discussion de banalité. Ils ont encore tous en tête, la magie du moment passé. Les plaisirs découverts, les sensations vécues.
L'entrée se compose d'une salade chinoise et de nems accompagnés d'une sauce assez épicée. Marie-France, toujours excitante, porte subtilement un premier rouleau frit à sa bouche, et, sans le croquer, le lèche voluptueusement. Le regard du jeune employé s'allume instantanément, Annie sourit en regardant le manège de sa fille, qui n'en finit pas de la surprendre.
Plutôt que de tremper le nem dans la sauce pimentée, la blonde y plonge son doigt et vient le porter délicatement à sa bouche. La force du piment, réveille en elle, un nouveau désir, mais elle fait son possible pour n'en rien laisser paraître. Elle suce lascivement son index, puis, pour calmer le feu dans sa bouche, attaque le nem de la même manière.
- Méfie-toi Marie-France, prévient gentiment le jeune homme, le piment est vraiment très fort.
- Oui, je m'en rends compte, acquiesce la blonde, dans une grimace très explicite.
- Fais attention à ton estomac ma chérie, ajoute encore Annie.
Quand arrive le canard laqué, la maîtresse des lieux, apporte sur la table, outre le riz et les épices, trois piments frais, tous verts, petits et fripés. Pour mettre ses convives en confiance, elle se sert quelques morceaux de canard déjà découpés, puis s'empare, sans précaution, du piment. Elle frotte le fruit vert sur la viande sans ménager sa peine, et repose enfin l'épice.
- Attention, je connais ces piments, ils sont incontestablement très forts, miss ! S'écrie Marc en souriant de l'audace de sa patronne.
- Ne t'inquiète pas pour moi, j'adore les choses fortes. Tu ne l'as pas encore compris jeune homme ? Répond prestement la blonde.
- Si, bien sûr, mais tout de même, ces épices ne nous sont pas si familières, poursuit encore Marc.
En guise de réponse, Marie-France prend un morceau de viande avec les baguettes, et le porte à sa bouche. La force du piment la surprend beaucoup, elle n'imaginait pas, que de les frotter seulement, donnerait autant de piquant aux mets. Néanmoins, très fière d'elle-même, elle ne veut rien laisser paraître de la brûlure qui enflamme son palais. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle mâche consciencieusement, en essayant de faire le plus joli sourire qu'elle puisse pour le moment.
- Ça brûle, hein ! S'exclame la brune, en riant des efforts de sa fille.
- Oui, je dois avouer que c'est vraiment bien plus fort, que ce à quoi je m'attendais ! Déclare la directrice, en faisant mine de se ventiler la bouche.
Après cet incident, le reste du repas se passe beaucoup plus tranquillement, et à la fin, l'hôtesse propose d'aller prendre le café dans le salon, ce que tout le monde accepte bien volontiers.
Marc et Annie se replacent à nouveau dans le canapé pendant que l'hôtesse blonde sert le café sur la table basse. Ensuite, elle vient se vautrer dans son fauteuil.
- Ce que vous pouvez être excitant tous les deux comme ça ! S'exclame Marie-France, terriblement chaude, déjà.
- Mais tu es très belle aussi ma petite, dit Annie dans un sourire aigre-doux qui cache très mal sa propre excitation et son grand émoi.
- Et comment trouves-tu notre jeune invité ? Demande alors la directrice.
- Mais il est très bien ce petit ! Répond vivement la brune, toute émoustillée. De plus, il se prête si gentiment à nos caprices, que c’en est touchant !
En guise de remerciement, le jeune homme se penche vers sa voisine et l'embrasse fougueusement en attrapant un sein lourd et en le malaxant puissamment.
L'attitude de son jeune employé laisse prévoir une chaude soirée. La blonde, dont une folle envie de s'astiquer le bouton, la tenait en haleine, tout au long du repas, en profite pour glisser son index sur son clitoris. Elle commence alors à masser, tout doucement, son appendice turgescent.
Annie abandonne complètement sa bouche au jeune homme, qui lui fait tant envie. Elle adore la façon dont son nouvel amant lui broie son nichon. Elle sent ses organes en mouvement sous la pression de la main chaude, ce massage interne et externe la fait mouiller tout de suite.
Après une longue branlette de son clito, Marie-France sent une brûlure qui, au lieu de s'apaiser, comme habituellement, enfle en permanence. Bien qu'elle se soit lavée les mains après le repas, le feu du piment est encore présent sur son index, et maintenant le voilà qui lui brûle, violemment, son bouton d'amour. La morsure des particules de piment est très cinglante, elle s'infiltre lentement dans les chairs de la blonde qui ne comprend pas le phénomène.
- Ça me brûle le clito ! Finit-elle par crier, dans une grande grimace explicite.
- Tu te masturbes avec les doigts qui ont pris le piment tout à l'heure ? Demande le jeune homme, commençant à comprendre ce qui se passe et en s'étant dégagé, quelque peu, de l'étreinte de sa partenaire.
- Mais je me suis lavée les mains ! Continue encore la blonde enflammée, en se tortillant de belle manière, sur son fauteuil.
- Oui, je sais, ça m'est arrivé une fois, et même après plusieurs lavages, le feu reste sur les doigts.
- Je vais me passer de l'eau, annonce enfin la directrice, dont la brûlure s'amplifie d'instant en instant.
- Surtout pas ! Ne fais pas ça, tu auras alors toute la chatte en feu, explique le jeune homme en voyant sa patronne se lever.
- Mais je n'en peux plus moi ! Que dois-je faire pour calmer ça ? Demande alors la blonde, dans une grimace qui reflète sa souffrance.
- Rien, attends que ça passe, désolé, c'est la seule solution, explique encore Marc, avec un sourire bizarre.
- Salaud va ! Dit Marie-France en s'asseyant à nouveau.
Elle se cale dans le fauteuil, les jambes grandes ouvertes de manière à dégager son clitoris sans y toucher. Mais, malheureusement, la brûlure, sans se calmer, la tenaille toujours. Pour tâcher de penser à autre chose et oublier un peu sa souffrance, la directrice blonde pince son téton gauche entre ses doigts. Encore une fois, elle a oublié la présence des particules de piments sur ses appendices, et se triture son mamelon de la meilleure manière qui soit, pour oublier ce feu qui lui ronge la moule.
Annie, excitée comme elle est, s'est emparé à nouveau de son jeune amant et l'embrasse fougueusement. Le long baiser échangé lui attise encore plus une furieuse envie de se faire sodomiser, par ce bel étalon. Elle entame alors un mouvement qui doit la conduire à la position horizontale sur le jeune homme.
Marc se laisse faire par la belle brune. Dans la manœuvre, conduite par sa partenaire, il profite pour jeter un œil sur sa patronne et se régale de la position insolite que cette dernière a adoptée. Rapidement, il se retrouve sur le dos, son amie sur lui, écrasant ses gros seins contre son torse. La chaleur de ce corps, ajouté au spectacle de sa patronne qui se tord de douleur, le met en érection.
La blonde lubrique émet des plaintes en permanence maintenant. Le feu qui lui dévore le clito ne se calme toujours pas d'un iota, et en plus, elle commence à ressentir une vive douleur sur son téton droit. C'est dans un concert de jurons, bien peu féminin d'ailleurs, qu'elle annonce à la cantonade ce qui lui arrive.
- Viens là, ma pauvre chérie, maman va te soigner, dit d'un coup la brune, en se dégageant un peu de l'étreinte de son amant, émue par la souffrance, non feinte, de sa fille.
Annie se lève alors du canapé, elle guide sa fille et l'aide à s'installer dans le sofa profond. Une fois la blonde allongée dans le canapé, elle s'empare des fines et belles jambes de sa fille, s'agenouille entre, ouvre doucement sa bouche en regardant fixement les yeux bleus de la blonde, sort doucement sa langue dans un sourire figé et vient caresser le clitoris rougit de sa langue tiède et douce. Au premier contact avec l'appendice de chair de sa fille, la brune tressaille violemment. Elle se demande où elle trouve la force de faire pareille chose à sa propre fille, mais, en même temps, cette situation a le don de l'exciter incroyablement.
Le jeune homme a pris la tête de sa patronne entre ses mains, et la cajole tendrement, compatissant.
Le contact de la langue maternelle sur son clitoris en feu, apaise quelque peu la douleur, Marie-France regarde sa maman s'occuper de son minou. L'image de sa propre mère lui léchant la moule, lui bouscule l'esprit, et elle ne saurait dire qui, de l'idée lubrique ou de la caresse précise, lui fait le plus de bien.
La brune fait tourner sa menteuse autour du clitoris gonflé et rougit, de temps à autre, elle titille le bouton d'amour du bout de sa langue, donnant de petits coups précis. Puis, elle applique sa langue entièrement sur la commissure des lèvres, et lape le jus de femelle émis par la chatte détrempée intérieurement. Elle perçoit maintenant les râles de la blonde où se mêle le plaisir à la douleur. En d'autres moments, elle pince le clito entre ses lèvres chaudes, et tire dessus délicatement. L'effet du piment est si présent, qu’Annie commence à sentir une légère brûlure sur sa langue. Elle imagine aisément la douleur qu'endure sa pauvre petite.
Marie-France attrape ses chevilles pour soulager ses jambes repliées en l'air. La douleur et le plaisir mêlés lui excitent tous ses sens, son esprit chavire dans un vice sans nom, et, presque malgré elle, elle ordonne à son jeune employé :
- Marc, baise ma maman, elle le mérite bien.
- Avec plaisir ! Répond prestement le jeune homme, en se levant du canapé et en venant se placer derrière la brune.
Celle-ci, sans cesser de lécher l'abricot fendu et juteux, dont elle s'occupe depuis un quart d'heure, déplie ses jambes et se met à quatre pattes. Elle porte une main à son postérieur, et sans mot dire, écarte du mieux qu'elle peut ses fesses, dévoilant ainsi impudiquement son œil de bronze.
Le jeune homme comprend aussitôt l'invitation. Il se met à genoux entre les jambes de la vieille et dépose, pour commencer, un chaste baiser sur le sphincter offert. S'enhardissant rapidement, il commence maintenant à lécher le tour du trou du cul, en prenant les fesses rebondies dans ses mains.
Annie pousse un petit cri de plaisir, lorsque qu'elle sent une langue tiède, qui lui agace l'anus. La douceur des mains chaudes du jeune homme, sur le velours de la peau de ses fesses, attisent encore un peu plus, son envie folle de se faire sodomiser. De plus, le picotement qu'elle ressent sur sa langue ajoute encore à la folie de cette soirée incroyable. Estimant s'être déjà bien occupé du clitoris, toujours rouge et gonflé, elle entame une série de cercles sur la chatte gluante de sa fille, qui la mène droit à l'entrée du sexe offert. Très excitée, elle enfouit doucement sa langue dans l'orifice odorant.
Marie-France n'en revient pas, elle se laisse gamahucher ainsi, sans aucune retenue, comme elle le ferait avec une amie de longue date, de qui elle n'attend plus aucune surprise. Retirant encore davantage sur ses chevilles pour remonter un peu ses fesses, elle finit par dire, d'une voix étrange et étouffée :
- Encule-moi avec ton doigt, maman.
La brune est comme dans un rêve, à la demande de sa fille, presque machinalement, elle vient placer sa main libre sous son cul, puis, délicatement, elle laisse son doigt glisser progressivement dans l'anus. Le sphincter n'oppose aucune résistance au passage du membre. Annie comprend que sa fille a une grande habitude de ce genre de chose, et que cette entrée est utilisée plus souvent qu'à son tour. Elle introduit très doucement son doigt aussi loin que possible, arrachant ainsi un profond soupir de la blonde qui apprécie visiblement. Une fois le doigt tout au fond du rectum, la mère commence une légère rotation du poignet pour faire tourner le membre. Elle fouille maintenant le vagin d'une langue experte, s'abreuvant, au passage, du jus de femelle qui suinte des parois interne.
Marc s'applique maintenant à sodomiser sa partenaire avec sa langue qu'il raidît du mieux qu'il peut. Il salive abondamment et enduit l'anus de manière à le préparer à recevoir sa queue déjà raide. Il a entendu la demande de sa patronne, et se dit que cette dernière est vraiment une fieffée salope. Néanmoins, tout cela l'excite encore davantage et le stimule dans son ouvrage du moment. Le sphincter, qu'il ouvre à chaque rentrée de son membre, n'oppose pas de résistance. Le muscle est complètement détendu par des années de pratique.
La folle blonde s'envoie en l'air avec sa mère, quel spectacle pour le jeune employé. La situation est des plus étrange, une mère en train de se gouiner avec sa fille ! Il y a quelque chose de magique dans les moments qui passent, et les trois membres, de cette incroyable assemblée, sont excités comme ils n'oseraient pas l'avouer, mais le plaisir est à son comble.
Marie-France sent le doigt dans son boyau se démener de belles manières. Le remplissage de son côlon par l’appendice maternel lui donne de grands frissons, qui courent sur sa peau tendre. Elle sent le doigt se plier de temps à autre et, par là même, lui distendre encore plus les entrailles. Cette sensation lui procure une joie sans nom et lui fait pousser de petits cris aigus.
Le jeune homme n'en peut plus d'attendre, il se redresse sur ses genoux. Prend sa bite à plein main et la guide jusqu’au sphincter. D'un coup de rein doux, il fait pénétrer le gland dans l'anus de la vieille, qui ne peut s'empêcher de pousser un profond râle de satisfaction. Il savoure la prise de possession de l'endroit chaud, qu'il a si bien mouillé et enduit de sa salive. Puis, toujours très doucement, se cambre pour faire entrer son sexe entièrement dans le boyau glissant.
Annie sent la bite entrée dans son côlon. Bien qu'elle ait une grande habitude de se faire enculer, c'est toujours avec un immense bonheur qu'elle sent une queue, bien raide, venir lui bourrer le cul. Pour aider son jeune amant, elle remue ses fesses, ce qui a pour effet d'améliorer la pénétration. Quand elle sent que la grosse matraque de chair est tout au fond de ses entrailles, elle resserre ses fesses de toute la force de ses cuisses.
Marc pousse un "ho" de surprise. Il a l'impression que sa bite est prise dans un étau, bien que ce dernier soit de muscles, la pression n'en est pas moins efficace. Prenant les hanches de la vieille à pleine main, il entreprend alors un mouvement de recul lent. De toutes manières, le cul serré ne laisse pas repartir aussi facilement le pieu de chair du jeune homme, et il est obligé de forcer pour se dégager.
Une fois la bite pratiquement entièrement ressortie, Annie donne un grand coup de rein en arrière pour que la grosse matraque rentre à nouveau et se replace au plus loin dans ses entrailles. Elle n'en oublie pas pour autant sa fille, et astique maintenant sauvagement l'anus de cette dernière. Estimant que le sphincter est assez large, sans crier gare, elle introduit un deuxième doigt dans l'anus et pousse sa main le plus loin possible.
Marie-France est assez surprise de la manœuvre, mais cela lui plaît de se faire écarteler le cul, aussi, pour montrer sa reconnaissance, elle donne un bon coup de rein. Elle sent la langue fouiller toute sa chatte, aller et venir, sortir, entrer. Quand sa mère plaque sa bouche sur ses lèvres sexuelles, elle est au paradis. De plus, la succion exécutée par l'experte maman, lui assèche presque complètement toute la moule. Excitée comme elle est, la blonde lubrique ne met pas beaucoup de temps à remouiller comme une chienne en chaleur.
La vieille brune commence à crier sous les assauts du jeune homme, qui lui lime maintenant le cul copieusement. Elle est obligée de stopper son occupation principale sur le sexe de sa fille, pour reprendre un peu son souffle. D'une voix tressaillante, elle crie :
- Vas-y… Oui ! Bourre-moi le cul, salaud !
- Encule-bien ma maman, mon chou, ajoute encore la directrice.
Marc ne pense plus à rien d'autre qu'à ce cul qu'il est en train d'ouvrager. Ni trop serré, ni trop lâche, le boyau laisse passer la queue tout en la serrant suffisamment, pour que le jeune homme sente monter son jus de couille.
La brune crie de plus en plus fort, elle n'en continue pas moins de s'occuper de l'anus de sa fille. Prise par la montée du plaisir, elle se laisse aller à mettre un troisième doigt dans le cul offert.
Marie-France à toujours le clitoris en feu, mais les trois doigts qui lui fouillent le rectum lui font un peu oublier la douleur. Elle sent son sphincter complètement écartelé par leur passage. Cette sensation lui procure une joie folle. un bref instant, elle se rappelle que c'est sa mère, qui la sodomise de la sorte, et cela ajoute encore à sa jouissance.
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