Un bon job : Chapitre 6 : Week-end a la campagne Partie 2
Ce samedi matin, quand Marc se réveille, il se trouve seul dans le grand lit de sa maîtresse. Il essaye de se souvenir de tout ce qui s'est passé la veille au soir, mais n'y parvient pas tout de suite. Il reste allongé, à guetter les bruits de la maison, comme pour retrouver des sons familiers. Pour faire surface, il promène son regard dans toute la pièce, elle est très bien meublée et agencée, trouve-t-il. Un détail accroche pourtant son regard, toutes les portes de la grande armoire face au lit possèdent une clef, toutes sauf une. Ce détail anodin le fait cependant beaucoup cogiter. Il remarque le réveil sur la table de nuit la plus éloignée de lui et y lit neuf heures cinquante. Presque dix heures pense-t-il, et cela le ramène à la soirée passée, et au fait que la bonne doit venir à dix heures.
Il se remémore tous les détails du corps de cette femme qu'il a fouettée, et se souvient qu'elle doit venir montrer à sa maîtresse qu'elle ne s'est pas lavée hier. Cette idée finit de le réveiller, et il se lève.
C'est nu comme un ver qu'il arrive dans la cuisine où Marie-France prend son petit déjeuner. Elle est déjà habillée, d'une robe courte et légère en coton, dont les motifs à fleurs font très campagnards.
Elle propose à son jeune invité de mangé quelque chose, celui-ci accepte et se met à table.
C'est dans la cuisine, Marc nu et sa patronne court vêtue, que Sophie les découvre en entrant dans la pièce. Elle n'a pas sonné, car elle a les clefs de l'entrée de service. Elle salue l'assistance d'un bonjour timide, mais en abaissant la tête dans un signe de soumission et reste prostrée là.
Instantanément, Marie-France change d'expression, elle toise sa soubrette, et lui ordonne froidement :
- À poil, vite salope.
La bonne se déshabille très rapidement, ne portant pas de sous-vêtement, elle n’en va que plus vite. Dès qu'elle se trouve nue, elle avance vers sa patronne, les yeux baissés, les bras pendants, et stoppe à deux pas de cette dernière. Puis, d'une voix fluette, annonce humblement :
- J'ai fait ce que tu m'as dit chérie.
- Penche-toi en avant, que j'examine ton cul de salope ! Commande Marie-France d'un ton courroucé.
La belle blonde se lève, fait le tour de sa bonniche, s'accroupit pour avoir les yeux au niveau de l'anus béant, puis elle impose encore :
- Écarte-tes fesses, tu ne crois quand même pas que je vais te toucher ! Sale comme tu es.
La bonne, très soumise, exécute l'ordre, elle écarte ses fesses à deux mains et reste comme ça.
La patronne lubrique commente ce qu'elle voit, un trou béant dont le pourtour est tout maculé de taches blanches et brunâtres. Sur le haut des cuisses, une traînée de foutre et d'excrément, a séché. Elle apostrophe son jeune employé et lui dit :
- Tu vois, cette salope m'obéit au doigt et à l'œil !
- Oui, je vois ça, elle ne rechigne jamais à exécuter tes ordres ?
- Si, ça arrive, mais la punition qu'elle subit alors la remet très vite dans le droit chemin. Là, Marie-France rit doucement à la pensée des sévices qu'elle aime à infliger à sa bonne.
- T'as vu dans quel état tu es ? Demande la blonde à sa soubrette.
- Mais, maîtresse… Sophie n'a pas le temps de continuer, elle est immédiatement coupée par sa patronne.
- Tais-toi pétasse. Va plutôt prendre une douche, tu pues ! Dit Marie-France, sachant parfaitement qu'elle est à l'origine du problème.
La soubrette sort de la pièce, toute nue, les yeux toujours fixés sur le sol devant elle.
Les deux complices, dans la cuisine, l'entendent, peu de temps après, faire couler l'eau de la douche.
Marie-France s'adresse au jeune homme, son attitude a de nouveau complètement changée, d'un ton bienveillant pour dire :
- Dès que tu as fini, on va aller s'installer sur le canapé, d'accord ?
- Oui, bien sûr, je finis mon bol.
Marc boit d'un trait son reste de café, repose le récipient sur la table, et annonce :
- Je vais me laver les dents et je te rejoins.
- OK, mais n'en profite pas pour mater cette gouine sous sa douche, hein...
- Dommage.
Le jeune homme se rend dans la salle de bain et se brosse les dents. En fait, il ne peut pas voir la bonne sous la douche, un rideau de bain la masquant complètement. Lorsqu'il termine, Sophie est, elle, toujours en train de se frotter, et, c'est toujours nu comme au premier jour, qu'il va rejoindre sa directrice dans le salon, près de la cheminée éteinte. Il s'assied et commence par poser sa main chaude, sur la cuisse gauche de la belle femme. De là où est posée sa main, il sent, à travers le coton, la jarretelle qui retient le bas. Il sait que sa patronne adore s'exhiber en porte-jarretelles et bas, cela lui va comme un gant. Et ça le met toujours dans un état d'excitation maximum.
La belle, très heureuse du contact, contemple son bel employé et dit d'une voix très douce :
- Ce matin, j'ai envie d'une femme. Ne perds pas patience, ton tour viendra bien.
Marc est un peu déçu, il pensait pouvoir recommencer la folle soirée précédente, mais il comprend que ce ne va pas être le cas. Sachant pertinemment qu'il aura un spectacle de qualité, il attend la suite des événements.
Peu de temps après, Sophie descend et vient les rejoindre. Elle aussi est toute nue, mais maintenant, elle embaume la pièce, un léger frisson parcourt son corps, non pas qu'elle ait froid, mais elle s'habitue au changement de température.
- Viens près de moi, ma toute belle, lui lance Marie-France, en tapotant sur le cuir du canapé, pour lui désigner la place qu'elle lui a réservée, tout à côté d'elle. Mais séparé de l'homme qui semble intimider, toujours autant, la soubrette.
La bonne vient donc s'asseoir à côté de sa maîtresse. Dès qu'elle est installée, elle pose sa tête sur l'épaule de cette dernière. Elle a compris, au ton doux de sa patronne, que ce matin, ce sont les câlins qui sont demandés et qu'elle ne risque pas de punition. Elle prend délicatement le bras de sa maîtresse et caresse de son pouce la peau tendre.
Pour laisser plus de place au couple de gouines, Marc se relève et va s'asseoir dans un fauteuil, juste en face du canapé. Pour que son geste soit parfaitement bien interprété, il explique :
- Je vous laisse toute la place mes belles ! Et, d'ici, je vois mieux ce que vous manigancez.
- Salaud, va, tu veux te rincer l'œil comme tu es fait là ! Dit la belle blonde d'un ton enjoué.
- On ne peut rien te cacher, répond encore l'homme, dont les yeux se promène sur les deux femmes.
Marie-France, qui aime par-dessus tout s'exhiber, s'empresse de tourner la tête vers sa soubrette et de l'embrasser tendrement. Dès que les deux langues se mêlent, la directrice ne peut s'empêcher de peloter les nichons de sa partenaire. Elle les presse, les malaxe.
Sophie se donne entièrement à sa patronne, elle se laisse caresser les seins sans broncher, attendant que sa copine vienne lui les sucer, ses tétons.
Mais au lieu de ça, sa maîtresse se redresse et lui dit doucement :
- Viens me téter mon bébé.
La bonne se redresse à son tour et entreprend de dénuder son amie. Très experte dans ce genre de sport, elle ne met pas longtemps pour arriver à ses fins, d'autant plus que la blonde l'aide. Dès que c'est fini, elle s'allonge, pose délicatement sa tête sur les cuisses de sa patronne.
Celle-ci se penche pour permettre à sa copine de venir la sucer. Elle offre généreusement son sein droit en le pinçant légèrement à la base du mamelon. De sa main libre, elle effleure le ventre chaud de sa bonne, très tendrement, d'un mouvement rotatif qui va en s'élargissant.
Sophie, tout à fait à l'aise maintenant, prend dans sa bouche le téton offert et se met à le sucer avidement. Sa langue joue avec la pointe de chair brune qui s'allonge sous la dépression qu'elle exerce. Un de ses plus beaux souvenirs est, quand elle avait vingt-cinq ans, elle avait une amie. Bien que celle-ci soit mariée, elles se voyaient souvent et passaient de longues après-midi à se gouiner. Un jour, cette amie est tombée enceinte, elles n'ont rien changé à leurs habitudes et ont continué à se voir. C'est au septième mois de grossesse, que Sophie, navrée de voir son amie souffrir de ses gros seins lourds, avait entrepris de la soulager, en buvant le lait maternel. Depuis ce jour, elle voudrait toujours pouvoir boire cette délicate substance.
La directrice se pâme sous cette succion, elle sait pourtant combien sa bonne sait la faire décoller quand elle se fait sucer de la sorte, mais à chaque fois, c'est pareil, elle s'étonne de l'effet et mouille abondamment. N'oubliant pas complètement où elle est, elle s'adresse à son jeune employé et lui demande gentiment :
- Ça te plaît mon lapin ?
- Oh oui, vous me faites bander toutes les deux !
- Eh bien, pourquoi ne te branles-tu pas, alors ?
- J'attendais que tu me le demandes, dit franchement Marc, en fixant sa patronne et dirigeant sa main droite vers son sexe.
La belle blonde, stimulée par sa bonne, engage ses doigts fins dans la vulve entrouverte à sa portée. Elle dégage doucement le clitoris et se met à passer son majeur dessus. D'abord très modérément, puis de plus en plus vite. Elle attend les réactions de la soubrette, qui ne sauraient tarder.
En effet, Sophie se cambre pour mieux présenter sa chatte aux caresses de sa maîtresse, elle émet de petits gémissements étouffés en perdant un peu le contrôle de sa langue. Elle adore se faire masser le clito de cette façon, elle voudrait que le doigt ne s'arrête jamais.
Marie-France insiste sur le bouton d'amour de sa partenaire, puis, sans crier gare, elle enfonce son doigt dans la moule, à présent bien ouverte, pour le ressortir presque aussitôt. Elle revient sur le clito, son doigt tout englué de cyprine, glisse aisément sur la pointe de chair durcie. Elle regarde maintenant cette femme docile qui la tète et se dit qu'elle irait bien lui fourrer sa langue dans la chatte.
La bonne est très surprise à l'introduction du doigt dans sa grotte intime, le premier moment d'émotion passé, elle regrette que le membre ressorte si vite de ses entrailles, cela lui laisse comme un vide. Elle reprend le cours de ses idées et, en se dégageant du sein, vient prendre le deuxième en bouche. Cette fois, elle se contente de jouer de sa langue sur le téton dur. Elle n'a qu'une hâte, c'est que sa patronne se décide enfin, à venir lui lécher son abricot.
- Je t'ai réservée une surprise, dit la blonde d'un coup.
Elle aide sa partenaire à se rasseoir, et lui montre son sexe complètement et parfaitement rasé en disant :
- Ça te plaît ma chérie ?
La bonne ne répond pas tout de suite, elle admire ce sexe, que pas un poil disgracieux ne vient gâcher. Elle est surprise, mais ne le fait pas voir, puis elle ajoute :
- Tu es très belle comme ça !
- Merci. Un de ces jours, je te ferai la même chose, tu veux ?
- Oui, oui, tu sais bien que j'accepte toujours tout, de toi !
Marc, dans son coin, ne perd rien de la scène. Il bande comme un taureau et se demande quand est-ce qu'il pourra enfin intervenir, le manège des deux gousses l'excitent complètement.
- Allonge-toi et mets-toi à l'aise, demande maintenant la blonde à sa soubrette, en se levant du canapé.
La bonne s'allonge de tout son long, une jambe repliée contre le dossier du sofa et l'autre pendant sur le côté. Elle fixe intensément sa patronne, en se caressant les seins, dans un geste obscène, qui ne manque pas d'exciter cette dernière.
La blonde s'approche doucement de sa bonniche, lui flatte la cuisse, puis vient s'installer aussi confortablement que possible entre les deux jambes. Elle se penche, la langue tirée et la pose délicatement sur les chairs tendres de la vulve. Dans un premier temps, elle effleure la peau douce, du bout de sa menteuse. Elle hume le subtil parfum qui émane de l'endroit, puis applique toute sa bouche autour du clitoris, comme pour en prendre possession. Là, elle aspire très fort, pour allonger encore le morceau de chair.
Au premier contact de cette divine langue sur son sexe, Sophie cligne des yeux, elle raffole de ce type d'hommages à sa féminité. Elle pense que, seule une autre femme peut la cajoler ainsi. Elle imagine les hommes beaucoup trop rustres pour de telles délicatesses. Toujours est-il, qu'elle commence à jouir dès les premiers assauts de sa maîtresse. Elle sent de tout petits coups de dents sur son bouton et pousse de tout petits cris aigus en cadence.
Tout cela agace le jeune homme de plus en plus, il commence à se masturber doucement, comprenant que sa directrice a décidé de faire jouir la soubrette, il pense pouvoir bientôt rejoindre les deux femelles en chaleurs. Mais pour le moment, il est bon pour la veuve poignet !
La belle blonde décide alors de fouiller cette chatte à grands coups de langue, elle libère le clitoris, et promène sa langue sur les grandes lèvres, elle tourne, vire, s'insinue partout, guettant à chaque fois les réactions de sa bonne. Puis, tout à coup, elle plaque sa bouche sur les petites lèvres, entrouvre sa bouche et sort sa langue comme le ferait un diable de sa boite. Elle sonde la matrice aussi loin qu'elle peut, elle frotte son membre sur les parties bosselées, à l'entrée du vagin, provoquant, encore une fois, des soubresauts chez sa partenaire.
Sophie ne sait plus où elle est, elle ne pense plus du tout au jeune homme, si dur la veille au soir, qui la regarde. La langue de sa patronne qui lui vrille la matrice, la mène tout droit au septième ciel. Elle pince ses paupières, respire très vite et commence un long voyage au pays du plaisir.
Marie-France comprend que sa copine décolle, alors, comme pour améliorer encore le procédé, elle redouble d'ardeur avec sa langue. Elle en profite également pour glisser son index dans le trou du cul. Là, elle s'amuse à limer tout l'intérieur du côlon en faisant tourner sa main.
La pratique ne met pas longtemps pour produire de vives réactions chez la petite bonne. Celle-ci se cabre, pour offrir, de manière plus provocante encore, tout son anus à sa patronne. Sa respiration bruyante a laissé place à de petits couinements doux. Le plaisir a, sur elle, les mêmes effets qu'une drogue, il lui semble qu'elle ne pourrait plus se passer de toutes ces caresses.
La belle blonde se rend très bien compte de l'état où se trouve sa soubrette, elle sait, par expérience, qu'à ce moment précis, elle peut tout lui demander et que rien ne lui sera refusé. Pourtant, ce matin, sûrement à cause de la chaude soirée passée, elle ne cherche pas à abuser de sa copine, bien au contraire, elle n'a qu'un but en tête, la faire jouir, pour que sa partenaire lui rende la pareille après. Elle boit avidement toute la mouille qui coule à flot après avoir envahi tout le vagin. Elle se délecte de cette substance sirupeuse que, seule, une femme peut dispenser.
Sophie n'en peut vraiment plus, elle n'arrive plus à reprendre son souffle correctement, elle a l'impression qu'elle va mourir de plaisir ! Elle cherche à le faire savoir, mais les mots restent bloqués dans sa gorge. Elle se démène comme une belle diablesse. À cet instant, elle est incapable de remarquer que le jeune homme s'est approché d'elle et lui pelote les seins.
La blonde sourit doucement à son employé, elle le voit en train de caresser les seins de son amie et en ressent une sorte de jalousie. Elle discerne également la bite tendue, qui bouge au rythme des mouvements des mains du jeune homme. Elle se dit qu'elle a réellement besoin, que l'on s'occupe de sa chatte en feu. Elle s'arrête d'un coup, donne une petite tape sur les fesses de sa soubrette et lui dit :
- Je suis sûre que tu as envie de me lécher la chatte, hein cochonne !
- Oui, oui, maîtresse, viens me donner ton sexe que je te rende tes politesses.
Marie-France ne met pas beaucoup de temps pour venir se mettre à quatre pattes au-dessus de sa bonne, une fois installée, elle reprend possession de la chatte offerte. Elle sent avec bonheur une langue s'insinuer dans sa moule inondée et brûlante.
Marc n'a eu que le temps de se repousser pour laisser la place à sa directrice, dès qu'elle est installée, il revient se placer à côté des deux femelles lubriques et s'amuse à caresser les seins de l'une, puis de l'autre, en alternant régulièrement.
Sophie a enfin réussi à reprendre son souffle, mais l'effet est de courte durée, elle recommence à gémir dès que sa patronne lui remet sa langue dans sa chatte. Pour faire bonne mesure, elle s'applique à fouiller le sexe rasé à sa portée. Elle y plonge sa langue et y exécute toutes sortes de mouvements désordonnés, qui produisent, chez la blonde, de petits soubresauts irréguliers.
Cette fois, c'est la directrice qui n'en peut plus, excitée comme elle est, elle a un besoin urgent d'une grosse bite dans sa moule. C'est d'une voix haletante, qu'elle s'adresse à son jeune ami :
- Viens me baiser salaud...
Marc ne se fait pas prier, il se place au-dessus de la tête de la bonniche, et introduit, sans autre préavis, sa bite raide dans la chatte précédemment occupée par une langue.
La bonne n'apprécie pas du tout ces manières, mais au point où elle en est, elle ne peut que subir tellement ses forces sont vaincues par le bonheur que lui dissipe sa maîtresse. Néanmoins, pour prouver sa reconnaissance, elle fait contre mauvaise fortune bon cœur, et, d'un geste doux, vient cajoler le bouton d'amour de la blonde. Le va-et-vient des couilles devant ses yeux lui donne le tournis, prise par la séance, elle se surprend à tendre sa langue pour chercher le contact avec ce pieu rose.
Le jeune homme y va de toutes ses forces, d'avoir attendu en regardant les deux femelles se gouiner, lui a donné une furieuse envie de baiser, et c'est cette envie qu'il essaye d'assouvir, en limant comme un démon.
Le rapide et efficace ramonage que subit Marie-France, lui procure une joie intense et elle s'applique d'autant plus à faire gémir la petite bonne sous les assauts répétés de sa langue agile. Elle essaye de baiser cette salope de bonniche avec autant de vigueur que le jeune homme la baise elle-même. Pour ce faire, elle projette sa langue avec force dans la chatte luisante, puis la ressort avec la même énergie, et recommence.
Le goût de la cyprine de sa maîtresse sur cette grosse queue laisse une impression salace à Sophie. Elle s'étonne même à prendre plaisir à lécher ce membre viril et masculin. Les allers et venus de la langue de la blonde dans son vagin lui font perdre tout sens des réalités. Elle a l'impression de flotter sur un nuage.
À ce rythme, et compte tenu de l'excitation, que lui ont procuré les deux belles salopes, Marc a toutes les peines du monde à se retenir. Il sent son plaisir monté en même temps qu'il se sent à la limite d'éjaculer. Il fait des efforts terribles pour empêcher son foutre gluant de s'échapper de sa bite, mais peine perdue. Il se sent partir et râle, à la seconde même, où son premier jet de sperme, envahit le vagin de sa patronne.
- Jute sur ma chatte, lui crie la belle blonde comme prise de folie.
Marc se retire prestement et balance encore quelques jets puissants qui viennent polluer toute la vulve. Quelques gouttes tombent sur le visage de la bonne qui fait une grimace à ce contact. Il enserre sa queue d'une main vivace et secoue tout son membre comme pour l'essorer, son râle devient plus grave à mesure qu'il se vide les couilles.
Marie-France glisse rapidement son index et son majeur dans le con de sa partenaire, en profite pour faire pénétrer l'annulaire dans le rectum de celle-ci, commence à bouger ses trois doigts frénétiquement et lance à l'attention de sa bonne :
- Lèche-moi la chatte, vite, vite, vite !
La soubrette exécute immédiatement l'ordre de sa maîtresse. Sans réfléchir, elle lape le sperme gluant et encore tout chaud, ses coups de langue sont si efficaces, que la blonde mouille encore plus abondamment, et, c'est un mélange visqueux qui s'échappe maintenant de l'ouverture béante et odorante. Sophie se surprend à prendre goût à ce délicieux mélange, bien qu'elle ait en horreur les hommes et tout ce qui s'y rapporte. Pour le moment, elle se saoule de la substance.
Marc en profite pour offrir sa queue déjà moins raide à la bonniche. Après un premier refus, du moins lui semble-t-il, il sent la langue de la bonne caresser sa bite, en fait, elle nettoie tout le membre. Appréciant comme il se doit, cette généreuse léchouille, il avance encore un peu pour se faire lécher les couilles. "cette nénette est vraiment une experte avec sa menteuse", pense-t-il.
Marie-France, ne sentant plus la langue agile sur sa chatte, se doute du manège qui se déroule derrière elle. Excitée comme elle est, elle n'a aucune patience et dit :
- Laisse donc cette bite tranquille ! Et lèche-moi le minou, salope...
- Oh, t'es dure avec moi, s'écrie le jeune homme, comprenant que son tour est passé.
La bonne reprend ses occupations premières et enfuit maintenant sa langue dans le con parfumé de la blonde, qui s'en réjouit en poussant de petits cris de chienne en chaleur.
Devenant presque folle sous le massage interne que lui procure sa soubrette, Marie-France, les doigts toujours en place, écarte son index de son majeur pour dilater le vagin de sa copine. Ceci ne va pas sans mal, mais, enfin, elle y arrive tout de même. Provoquant ainsi, chez sa partenaire, des mouvements du bassin désordonnés.
La bonne se tord sous le traitement que la blonde lui inflige, tout ça fait beaucoup, pour sa petite moule qui a plus l'habitude des coups de langue subtils, que de ce genre de pénétration. Néanmoins, bonne fille, elle continue à boire toute la cyprine que fournit le sexe, sur lequel elle a plaqué sa bouche gourmande.
Après un bon quart d'heure de jeu, Marie-France, commençant à être rassasiée, se relève et vient embrasser tendrement sa soubrette, pour la remercier des moments forts agréables, qu'elle vient de vivre.
Les deux femmes se serrent l'une à l'autre et se roulent une pelle d'enfer.
C'est une pelle d’enfer, parce que ça tend la bite du jeune homme.
La bonne a tout le tour de sa bouche luisant et enduit de mouille. Elle sent la chaude langue de sa partenaire, venir au contact de la sienne, en bougeant dans tous les sens. D'un coup, elle se sent moins enlacer, l'instant d'après elle comprend, sa patronne vient de lui glisser un doigt malin dans la chatte.
Pendant tout ce temps, Marc s'est régalé du spectacle que lui offraient les deux gousses. Très vite, il a de nouveau ressenti une furieuse envie de baiser et l’érection, qu’il affiche, le démontre. Il se rapproche des deux femelles lubriques, assises, qui s'embrasse et vient leur proposer doucement sa bite toute raide.
Marie-France, de sa main libre, s'empare de la queue tendue et continue de la branler.
Peu de temps après, le jeune homme donnant des signes de jouissance, elle la partage avec sa soubrette. Chacune donnant de petits coups de langue sur le sexe gonflé et prêt à exploser à nouveau. Quand elle sent que l'homme va jouir, elle enfourne le membre chaud dans sa bouche, le suce trois ou quatre fois, tout en continuant à le masturber. Puis, c'est l'éjaculation puissante dont les gros jets s'écrasent contre son palais.
Marc jouit dans un concert de râles sourds, à le voir ainsi, on n'a pas du tout l'impression qu'il a déjà éjaculé peu de temps auparavant ! Il balance toute sa camelote dans la bouche chaude et accueillante de sa directrice, et ça, ça lui plaît vraiment.
Dès qu'elle ne reçoit plus la précieuse semence, la blonde se tourne vers sa partenaire en laissant de côté la bite en train de mollir doucement, et plaque sa bouche sur celle de sa bonne. Sa langue tout engluée force l'ouverture de l'orifice de Sophie, qui se doute bien de ce qui l'attend. Dès qu'elle a réussi à ouvrir la bouche de sa gouine de bonne, elle recrache une bonne partie du foutre dans la cavité buccale amie. Une partie ressort et coule légèrement sur son menton.
La bonniche a l'impression qu'elle va s'étrangler, tout ce sperme épais s'infiltrant partout dans sa bouche lui donne des hauts le cœur, mais, toujours aussi soumise, elle fait un gros effort pour ne pas le montrer et tente d'avaler une bonne rasade de la substance.
Maintenant, la blonde recommence à rouler une pelle endiablée à sa partenaire de jeu. Elle est tout excitée par le goût du foutre de son employé, et, trouvant ce jeu des plus salaces, se réjouit du tour pendable qu'elle joue à sa bonne, et, c'est la bouche, toute dégoulinante de foutre, qu'elle lui demande, d'un ton lubrique, après s'être reculée quelque peu :
- Alors, tu aimes cette sauce, hein cochonne ?
- Ç’a un drôle de goût maîtresse ! Je préfère tes effluves de femme.
- Ce qui te manque, c'est d'aller plus souvent au mâle ! Ça te ferait du bien de te prendre une vraie bite dans le cul, de temps à autre.
- Mais tu sais bien que je n'aime que toi chérie, si tu me le demandes, je veux bien te faire plaisir, comme hier soir, à ce moment, elle jette un regard à Marc, puis reprend : Mais autrement, je n'ai aucune envie de voir un homme, ils me dégoûtent tous !
- Dis donc, salope, tu n'avais pas franchement l'air dégoûtée quand Marc t'a enculé, hier !
- Oui, tu avais plutôt l'air d'y prendre du plaisir, insiste le jeune homme, d'un ton arrogant.
- Oui, avoue timidement la soubrette en rougissant et en baissant les yeux.
- Allez, va nous faire un café et ensuite, tu prépareras le déjeuner.
Sur ces mots, la bonne se retourne et sort de la pièce.
Le jeune employé suit des yeux le cul de la soubrette qui se dandine quant elle marche.
Sa directrice s'en aperçoit et lui dit d'un ton enjoué :
- T'as envie de la bourrer, salaud va !
- Je crois bien que oui, surtout quand elle affirme ne pas aimer les hommes, au vu de la séance d'hier soir, j'en doute...
- Ne t'inquiète pas, je te la prêterai à nouveau tout à l'heure.
Le reste de la journée se passa beaucoup plus tranquillement, la bonniche nue, vacant à ses tâches ménagères, Marc et Marie-France allant faire un tour en ville pour se promener. Durant le voyage du retour, Marie-France raconta à son employé qu'elle avait surprise sa bonne et sa standardiste en train de se gouiner, une fois qu'elle avait invitée cette dernière, à passer le week-end avec elle.
Vers dix-huit heures, le couple rentre enfin de son périple. Dès qu'elle s'est mise à son aise, la blonde commence à râler et à faire des remarques désobligeantes sur la tenue de sa maison.
Aux éclats de voix, la bonniche accourt pour qu'on lui montre ce qu'elle a mal réalisé. A peine est-elle devant sa maîtresse qu'elle reçoit une gifle cinglante.
La patronne se fâche et lui dit dans un cri phénoménal :
- Mais qu'as-tu fait pendant notre absence, tu t'es masturbée, ma parole !
- Non maîtresse, pleurniche la bonne en essuyant une larme qui coule sur sa joue rougie, mais j'ai reçu un appel de Sylvie et on a papoté.
- C'est bien ce que je disais salope, tu t'es gouinée par téléphone avec l'autre pétasse ! Attends, je vais chercher le martinet et tu vas voir, espèce de pute.
La blonde furax se précipite dans la cuisine et y décroche l'objet. Elle revient complètement folle de rage, et ordonne toujours en criant :
- Penche-toi en avant, sale chienne.
La bonne se plie en deux, le cul présenté à sa maîtresse, les mains sur les genoux, attendant de recevoir sa punition.
Marie-France fait tourner le petit fouet en l'air, ceci provoque un sifflement strident qui effraie encore plus la soubrette. D'un coup sec, elle abat les lanières sur le postérieur de la pauvre femme qui se met à hurler de douleur.
Le coup a été porté avec une grande brutalité.
Marc est très surpris par l'attitude de sa directrice, lorsqu'ils sont rentrés, elle était très calme et avait le sourire aux lèvres. Il pense qu'il devrait se méfier des changements soudains de cette femme, il en a eu déjà quelques exemples probants et se dit que cette hargne pourrait, un jour, se retourner contre lui, aussi ne fait-il rien qui puisse énerver la blonde Marie-France.
La pauvre bonniche pleure à chaudes larmes, La morsure du fouet sur la peau tendre de ses fesses, se fait cruellement ressentir. Elle se sait coupable de s'être masturbée au téléphone avec sa copine Sylvie, qu'elle revoit bien souvent en cachette de sa patronne, mais là, elle trouve cette dernière vraiment très dure ce soir.
La blonde, dans un geste précis, s'apprête à corriger à nouveau sa bonne, mais avant de la soigner par la douleur, elle lui lance :
- T'es véritablement qu'une pute, mais ne t'inquiètes pas, ta salope de copine va s'en prendre une aussi ! Et là, elle abat le martinet avec une force nouvelle.
Le coup fait hurler la pauvre soubrette soumise, même Marc en est mal à l'aise. Ne connaissant que peu la femme battue, il ne sait pas que celle-ci est une véritable chienne en chaleur, toujours prête à se faire lécher ou à se masturber.
Les larmes coulent sur la moquette où elles sont très vite absorbées.
Cette fois, la bonne ne feint pas la douleur, et ce n'est pas pour jouer qu'elle se laisse ainsi traiter. Elle sait parfaitement que, dans l'état d'énervement où se trouve sa patronne, tout geste de rébellion serait immanquablement maté, aussi préfère-t-elle encore subir ces sévices, qu'une avalanche de gifles et de coups de pieds donnés sans discernement.
La directrice est très contrariée, elle se doute depuis un moment que sa bonne et sa standardiste complote derrière son dos, et ça, elle ne peut pas l'accepter. Autant, elle aime voir les deux femmes faire l'amour devant elle, autant elle ne supporte pas l'idée qu'elles puissent se rencontrer et s'aimer hors de sa présence. Alors, pour la troisième fois, elle flagelle le cul de sa bonniche avec énergie.
À chaque coup, Sophie hurle plus fort, elle ne pense pas mériter une punition si dure pour une petite branlette au téléphone ! Ses fesses sont maintenant toutes rouges et striées, le cuir de son postérieur la brûle comme si elle venait de s'asseoir sur un fourneau.
Le jeune homme ne sait plus quoi penser de tout ça. La brutalité dont fait preuve sa directrice, le gène beaucoup, mais il sent qu'il commence à bander et se demande si tout ça est bien normal.
- Continues à la battre, cette salope ne mérite que ça, ordonne la blonde à son employé en lui tendant l'objet de torture. Et n'aie pas peur de la martyriser, de toute façon, je vais chercher quelque chose qui la calmera un moment.
- Si tu veux patronne, s'entend dire Marc, presque contre sa volonté, en prenant le martinet et en le levant, pour prendre son élan.
La directrice sort prestement de la pièce.
Le jeune homme n'a le temps de battre la bonne que cinq ou six fois, que déjà sa patronne revient.
Elle a en main deux objets assez particuliers. Ils sont constitués d'une clochette montée sur un ressort serré, le tout accroché à une pince en acier dont la mâchoire semble acérée.
Marc reconnaît immédiatement les instruments, ce sont des clochettes que l'on accroche au bout des cannes, à la pêche, pour signaler une touche. Il s'en est déjà servi lorsqu'il allait en rivière avec ses potes, pour pêcher le sandre et le brochet. Pour s'être amusé avec de tels appareils, il sait parfaitement que la pince mord très fort.
- Debout, salope ! Crie Marie-France à l'attention de sa bonniche toujours pliée en deux.
La pauvrette se redresse et voit les deux pinces dans les doigts de sa maîtresse, comprenant très rapidement ce qui va lui arriver, elle ne peut s'empêcher de dire, d'un ton plaintif, en faisant un pas en arrière et avec un regard apeuré :
- Non, pas ça, pardon maîtresse, je ne le ferai plus, pas les pinces !
- Ta gueule connasse, répond juste la blonde, elle a le regard lubrique des mauvais jours.
La première clochette est placée, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, sur le mamelon droit de la soubrette.
Celle-ci pousse un hurlement de douleur et d'effroi lorsque la mâchoire d'acier se referme. Dans un premier temps, la morsure de la pince est telle, qu'elle manque de tomber, ses jambes flageolent et elle ressent un léger frisson parcourir tout son corps.
Un sourire étrange envahit le visage patronal. Elle recule d'un pas et contemple les nichons de sa soubrette ainsi équipée, d'une pichenette, elle fait tinter la clochette, ce qui fait pousser un cri à la bonniche et dit d'une voix dure et sèche :
- Si tu bouges, ça sonne et je te fous une de ces volées, dont tu te souviendras, tu vas voir, je vais t'apprendre à te gouiner, sans mon autorisation.
Marc vient rejoindre sa patronne devant la bonne punie, il admire le travail de celle-ci, le martinet toujours en main.
La blonde s'en rend compte et lui intime :
- Fouette son ventre de putain...
Le jeune employé tend son bras sur la droite, exécute un geste rotatif qui amène les lanières à toutes volées sur le ventre nue de la bonne.
Celle-ci pousse un nouveau cri, la douleur la fait reculer, et ce faisant, elle fait tinter la clochette. Sa patronne en profite pour la gifler de toutes ses forces. Elle se retrouve maintenant les fesses et le ventre striés par le fouet et la joue droite portant les marques des cinq doigts de sa maîtresse.
- Alors, sale pute, tu bouges encore et c'est Marc qui te bastonne, compris ?
- Oui, oui, maîtresse, pleurniche-t-elle, elle ne sait plus quelle partie de son corps la fait la plus souffrir.
- Maintenant, couche-toi par terre, ordonne la blonde lubrique.
Sophie s'exécute et s'allonge sur le sol, dès qu'elle est couchée de tout son long, sa patronne reprend, toujours sur le même ton :
- Relève tes jambes, salope.
La bonne fait un nouvel effort et met ses jambes en l'air.
Sa posture amuse le jeune homme, il sourit et dit à sa directrice :
- Tu ne lui installes pas l'autre pince ?
- Si, mais tu vas voir où...
La patronne s'empare des deux chevilles, plie les jambes de sa bonne en lui écartant les genoux si bien que la femme se retrouve avec la vulve grande ouverte.
- Tu m'as compris, hein ! Ne bouge plus maintenant, dit encore la blonde salace.
Cette fois, Sophie se méfie, et bien que sa position soit des plus inconfortables, elle tend son cou pour voir ce que manigance sa maîtresse. Elle aperçoit deux doigts en train de lui dégager son clitoris sans ménagement, elle n'ose pas se plaindre, de peur d'avoir encore à essuyer la colère de sa patronne. D'un seul coup, elle sent une morsure froide, la douleur est très intense. Elle ne peut s'empêcher de crier, la deuxième mâchoire d'acier froid vient de se refermer sur son bouton d'amour !
- Voilà, laisse laconiquement tomber la directrice en regardant son employé.
- Dis donc, ça doit faire horriblement mal, là, non ? Demande Marc.
- Mais que crois-tu donc ? Tu penses que je veux la câliner, cette salope ? Elle n'a que ce qu'elle mérite ! Répond Marie-France, d'un ton suffisant. Puis, elle ajoute, je vais lui dilater le cul maintenant.
La directrice repart dans la cuisine, on peut entendre qu'elle ouvre et ferme plusieurs portes de placard, et elle reparaît. Elle porte une petite bouteille de vin vide et la bouteille d'huile d'olive. La bouteille de vin ne porte aucune étiquette, elle parait neuve, et seul, l'intérieur semble porté quelques traces du contenu initial.
La soubrette tient ses cuisses avec ses mains, elle est dans une position aussi inconfortable que possible, mais ne veut pas le faire voir à sa patronne. La douleur provoquée, par les deux pinces, lui est à la limite du supportable, mais, soumise et résignée comme elle est, elle se contente de pleurer.
La blonde fait couler de l'huile dans le creux de sa main, elle en enduit le goulot froid de la fillette en verre, puis en verse un bon décilitre dans la fillette vert foncé. Elle regarde le liquide visqueux collé aux parois internes de la bouteille. Elle jette un regard sur sa bonniche. Puis, lui refile un coup de pied dans les côtes en lui disant d'un ton hargneux :
- Plus en arrière, tes cuisses, pouffiasse.
La soubrette tire encore sur ses bras pour ramener ses cuisses en arrière, ce faisant, elle soulève son postérieur du sol. La morsure de son mamelon s'estompe un peu, mais celle de son clito est toujours bien vivante, dans cette nouvelle position, elle écarte encore plus ses grandes lèvres, dégageant ainsi le clitoris maltraité.
La patronne s'agenouille devant sa bonne et lui pose ses mains sur le haut des cuisses. Elle appuie fortement sur les cuissots, provocant ainsi un cri de douleur chez son esclave. Elle porte ensuite ses mains sous le cul de la malheureuse et écarte les fesses rebondies à l'aide de ses pouces.
Marc se demande ce qui va se passer, il a toujours en main le martinet et décide de s'en servir, plus pour montrer qu'il est présent qu'autre chose. Il lève l'outil et abat les lanières à toute volée sur les cuisses de Sophie.
Cette dernière pousse un nouveau cri, elle ne s'attendait pas du tout à ce que le jeune homme la frappe, et la surprise est totale.
Marie-France se réjouit de l'initiative de son compagnon et l'en félicite :
- Très bien Marc, cette pute ne mérite que ça ! Tu vas m'aider à lui foutre cette fillette dans l'oignon pour lui défoncer son cul de putain.
- Non, pitié maîtresse, c'est beaucoup trop gros pour moi, pitié maîtresse, pitié ! S'écrie la soubrette malmenée.
- Ta gueule connasse ! Répond durement la blonde, puis elle se tourne vers son employé et lui dit doucement, viens m'aider mon chéri, et elle se pousse sur le côté pour laisser de la place.
Marc se met sur les genoux à côté de sa directrice et soutient les fesses de Sophie.
La belle blonde s'empare de la petite bouteille, et vient placer le goulot contre l'anus de sa bonne, et, dans un geste sec et dénué de tendresse, l'enfonce de trois à quatre centimètres dans le rectum.
Sophie pousse un nouveau cri de douleur, la morsure de la pince est toujours bien réelle sur son clito, mais là, elle sent son anus être forcé par un gros objet froid et dur. Elle se sent honteuse devant sa maîtresse et l'ami de celle-ci, elle voudrait pouvoir aller se cacher et ne plus être exhibée de la sorte, pourtant, ce n'est pas ce qui se passe.
La belle blonde se régale de cette nouvelle torture qu'elle applique à sa soubrette. Elle produit un nouvel effort et enfonce de ce fait encore la bouteille de trois centimètres.
La bonne n'en peut vraiment plus, elle essaye de se tordre pour faire ressortir la fillette de son anus, mais elle est maintenue par Marc. Son anus est complètement éclaté par le haut de la petite bouteille, qui va en s’évasant. Son sphincter distendu la fait horriblement souffrir.
De là où elle est, Marie-France voit parfaitement l'intérieur de l'anus, à travers les parois de la bouteille. Consciencieusement, elle fait tourner la fillette sur elle-même et l'introduit toujours plus loin dans les tripes de sa soubrette. Elle se régale de voir Sophie avec l'anus totalement dilaté par l'ustensile et souffrir de la sorte.
Marc n'en peut plus, il bande comme un âne et a une furieuse envie de baiser sa patronne. Il se recule un peu et vient soulever la jupe mi-longue de sa directrice.
Celle-ci, très excitée par le traitement qu'elle inflige à sa bonniche, apprécie de sentir les mains chaudes, de son jeune employé, venir lui caresser les fesses et elle s'exclame :
- Oui, viens vite m'enculer mon amour, vite, je n'en peux plus !
Le jeune homme défait prestement son pantalon et sort sa queue en érection, de son caleçon. Il la guide vers le petit trou ouvert de sa directrice lubrique et l'encule d'un bon coup de rein, sans autre forme de procès.
Marie-France s'envoie en l'air immédiatement, les sévices qu'elle fait subir à sa salope de bonne lui ont mis le feu au cul, de se prendre un bon coup de bite par là, lui déchaîne ses pulsions sadiques et elle enfonce de toutes ses forces la bouteille dans l'anus, déjà fort maltraité, de sa bonne.
Sophie crie de plus belle. cette fois, elle a la fillette à moitié entrée dans le rectum, son sphincter fait huit centimètres de diamètre et la douleur de cet écartèlement lui fait bouger la tête dans tous les sens. Elle hurle, les douleurs de son mamelon, de son clito et de son anus lui font presque perdre raison. Avec un reste de forces, elle implore sa maîtresse :
- Pitié, pitié, arrête maîtresse, je vais mourir !
La blonde n'écoute même pas les suppliques, trop heureuse qu'elle est, de se faire ramoner ; par son bel étalon.
Le jeune homme, non plus, n'écoute pas la bonniche, il lime sa directrice avec une hargne sans vergogne et se régale de ce trou du cul chaud. Il laboure le postérieur de sa directrice à toute force, l'instant lui parait être hors du temps, sa tête prête à exploser.
Marie-France ressent un feu intérieur, qui lui brûle les entrailles, elle ferme ses grands yeux bleus et se concentre sur la petite bouteille, qu'elle fait maintenant entrer et sortir de l'anus de sa pauvre soubrette, qui hurle toujours autant. Elle devient folle de lubricité en remuant la fillette dans les entrailles chaudes de la blonde sur le dos. Les yeux fermés, elle imagine la douleur que procure son ramonage sur le cul de la bonniche, et ceci ajoute encore au plaisir qu'elle ressent de ses propres entrailles.
La bonne faillit, elle manque de s'évanouir, aux assauts répétés de sa patronne. L'air lui manque pour hurler sa douleur, elle est à bout de souffle et oublie quelque peu la douleur, procurée par les pinces.
D'un coup sec, Marie-France retire la bouteille du cul de sa bonne. Le sphincter distendu reste béant, la blonde lubrique se délecte de ce spectacle. Elle glisse son majeur dans l'orifice comme pour inspecter le trou odorant. Elle s'assure que le côlon est bien rempli d'huile que la bouteille a laissé couler, la matière visqueuse et chaude, enduit tout son doigt. Et c'est ce doigt tout dégoulinant qu'elle vient frotter sur son clitoris gonflé. Elle sent la bite dure de Marc limer son anus, ce qui commence à la faire râler doucement.
Le jeune homme n'en peut plus d'enculer sa belle directrice, de plus, les cris de la soubrette le mettent dans un état second, indescriptible. Il crie que l'éjaculation libératrice arrive à grands pas.
À ces mots, la blonde fait un bond en avant pour se dés empaler et lance à son jeune employé :
- Je veux que tu éjacules sur son visage, dit-elle, en montrant sa bonne, d'un petit mouvement de menton.
- Bien sûr, ma belle, répond simplement Marc.
Il prend sa bite dans sa main droite, se relève et vient s'agenouiller à côté de la tête de Sophie.
Deux ou trois frictions de son membre dressé, lui arrache de gros jets de foutre chaud, qui se répandent sur le visage larmoyant de la soubrette.
Celle-ci, la bouche pincée, ferme les yeux. Une giclée entre dans sa narine, mais maltraitée et souffrante comme elle est, elle ne le sent même pas, et renifle de façon vulgaire.
- Lave cette belle queue avec ta langue de chienne, crie Marie-France à l'attention de sa bonniche.
Puis, estimant que Sophie n'exécute pas assez vite son ordre, la blonde salace donne une grande claque sonore sur les fesses.
La bonne ouvre les yeux sous le coup, et, estimant qu'elle se doit d'agir très vite, ouvre la bouche et happe le membre viril à sa portée. Sa salive se mêle alors à quelques gouttes de sperme qui reste et aux particules d'immondices qui polluent la bite déjà moins raide.
Doucement, la blonde s'est rapprochée du jeune homme, elle prend la bite d'une main tendre, mais ferme et la retire de la bouche de son esclave femelle. À la place du membre, elle introduit maintenant son doigt tout enduit d'un mélange d'huile et d'excrément qui vient des entrailles de la soubrette soumise. Puis, avec un regard vicieux et malin, lance à l'adresse de cette dernière :
- Lave ça, maintenant, salope !
La bonne, bien que dégoûté de toute cette soirée, ne peut faire autrement que de lécher le doigt enfouit dans sa bouche. Le goût amer lui donne de petits hauts le cœur, mais soumise comme elle est, elle exécute l'ordre de sa maîtresse.
D'un coup, sans crier gare, Marie-France retire prestement son doigt de la bouche avide, attrape les pinces et les enlève sans ménagement, et, tout en se relevant, ordonne d'un ton sec et sans appel à sa bonniche :
- Maintenant, tire-toi salope. Et rappelle-toi que je ne te paye pas pur que tu te branles pendant tes heures de travail !
Sophie se relève péniblement, tout en pleurs, honteuse de tout ce qu'elle accepte de sa patronne, et toujours souffrante de ce qu'elle vient de subir. Une fois debout, de son anus encore très dilaté, coule une substance marron, tiède et visqueuse, qui vient polluer ses cuisses. Elle sent l'huile s'échapper de son cul et redoute d'être obligée de marcher, sachant parfaitement que le phénomène ne fera qu'amplifier. Et la désagréable sensation d'être si sale, ajoute encore à son émoi. Effectivement, elle a aussi du foutre dans les cheveux qui est en train de sécher.
- Rentre chez toi sans te laver, salope, lance Marie-France en riant sadiquement. Je veux que les gens du village voient à quel point, tu es une sale truie.
- Mais maîtresses… Commence la soubrette.
- Pas de "mais" qui tienne, rentre comme ça, sans culotte. Puis, après une pause de quelques secondes, la blonde reprend sur un ton encore plus lubrique : J'espère même que tu te feras violer un de ces jours, tu n'es qu'une traînée et ne mérite que ça, salope !
Sur ces derniers mots, la bonniche sort de la pièce en pleurant.
Marie-France sait que son ordre sera suivi. D'imaginer Sophie sur son vélo sans culotte avec les cuisses enduites de cette substance brunâtre la ravie et fini de la combler pour cette soirée.
Le dimanche se passa tranquillement, le couple illégitime finit son week-end au lit, aimablement, tendrement, passant le plus clair du temps à faire de longs câlins, mais aussi quelques bonnes parties de cochon-cochonne.
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