Un bon job : Chapitre 6 : Week-end a la campagne Partie 1

 

En ce très beau mercredi matin, Marc ne s'attend pas à être appelé dès son arrivée par sa patronne, c'est pourtant ce qui se passe, et, sans avoir eu le temps de se dévêtir, il monte voir la belle directrice blonde.

Celle-ci l'accueille très gentiment et lui demande s’il est prêt à passer le week-end prochain, avec elle, dans sa résidence secondaire, à la campagne.

- Tu pourrais amener ta copine Isabelle, ce serait sympa, non ? Ajoute-t-elle, en se souvenant des dons exceptionnels de la petite garce.

- Non, pas ce week-end, elle doit aller chez sa tante.

- Dommage, poursuit la belle blonde en rêvant.

Puis, elle se reprend et se met d'accord avec son employé, pour partir dès le vendredi soir à dix-sept heures.



Le reste de la semaine se passe tranquillement.



Le vendredi matin, Marc arrive au bureau avec un gros sac de sport, contenant ses vêtements de rechange pour passer les deux jours avec sa patronne. Lorsque, la veille au soir, il a évoqué, où il allait passer le week-end, il a ressenti une forte jalousie de la part de sa compagne. Il a parfaitement compris que la prochaine fois, il ne serait pas question de partir seul, et c'est dans cet état d'esprit, qu'il commence sa journée de travail.

La fin de la journée venue, son téléphone sonne, c'est Marie-France qui lui demande s’il est prêt à partir. Il acquiesce et se rend à la voiture.

La directrice l'y rejoint.



Passé les bouchons, la voiture file à vive allure sur l'autoroute vers la Normandie. Le ciel est radieux et Marie-France se laisse aller aux confidences.

- J'adore la Normandie, même en hiver, j'aime cette région et ses habitants rudes. Ils sont durs comme ça, mais ont le cœur chaud.

- Ha bon, fait Marc, je ne connais pas suffisamment pour en parler, mais, vue depuis la banlieue, ç’a l'air plutôt mort, non ?

- On se fait une fausse image de cette région, si tu savais ! La belle blonde se tait un instant pour se concentrer sur la conduite.

- Tu m'intrigues, éclaire-moi donc, demande le jeune homme réellement troublé.

Après quelques minutes de conduite délicate, où Marc n'a pas dit mot, sa patronne s'exprime enfin.

- Eh bien, il y a un peu plus d'un mois, j'ai été obligée d'appeler un serrurier. J'avais cassé ma clef dans la serrure de la porte d'entrée. Le mec est venu très vite, en un clin d'œil, m'a dépanné. Je lui ai offert l'apéritif, car il était déjà sept heures du soir. Et nous nous sommes installés dans le canapé que tu verras tout à l'heure. Ce fameux vendredi, j'avais encore égaré ma culotte. À ces mots, elle se tourne vers le collaborateur pour lui faire un sourire complice. Puis, elle continue, à moins que ce soit cette cochonne de Sylvie qui me l'ait piqué ! Toujours est-il que le bonhomme s'en est aperçu et ne s'est pas gêné pour me le dire franchement. Je lui ai répondu que je pouvais très vite aller en passer une, si ça le dérangeait.

Elle jette un œil sur son passager, pour voir comment il se comporte.

Marc est très détendu et accroché à ses lèvres, il s'imagine tout à fait la scène.

La blonde reprend son récit :

- Tu parles qu'il ne voulait pas que j'en mette une ! Il s'est levé et a baisé son froc en me disant, et ma bite, elle te plaît ? J'étais très surprise, mais son énorme brakmar a eu raison de ma retenue naturelle.

Le jeune homme sourit franchement et regarde sa patronne qui a, elle, les yeux rivés sur la route qui défile. "Sa retenue naturelle", pense-t-il, "c'est le bouquet !"

La belle continue sa narration.

- Je me suis donc mise à le sucer. Heureusement qu'il venait de laver ses mains, parce que comme peloteur, il se posait là ! Il m'a déshabillé en un rien de temps, m'a couché sur la table basse et m'a ramoné pendant je ne sais pas combien de temps. Ça, pour être une grosse queue, c'était une grosse queue. Quand il est parti, je n'ai pas pu me relever, je suis restée au moins une heure allongée !

- Tant que ça ? Interroge le jeune homme perplexe, connaissant sa patronne et surtout l'endurance dont elle sait faire preuve.

- Oui, oui, vraiment. Je ne me suis jamais farcie un tel engin !

Marie-France met son clignotant et prend la bretelle de sortie. Après le péage, la voiture s'engage sur une petite route bordée de platanes, peu après, elle arrive dans un charmant petit village, la directrice se gare devant la boulangerie et annonce qu'elle va chercher du pain, pour le soir même. Une fois revenue, elle redémarre et sort du village. Le chemin communal qu'elle emprunte alors, la conduit, après quatre kilomètres, devant un grand portail en bois, dont elle télécommande l'ouverture.

Marc est très surpris, il s'imaginait une belle maison de campagne, mais là, c'est plutôt un manoir, une très grande bâtisse à colombage, typique de la région et superbement entretenue.

La voiture s'arrête devant l'escalier imposant qui donne sur une grande terrasse, les deux personnages descendent, prennent leurs effets et gravissent l'escalier. La porte d'entrée n'est pas condamnée, la belle blonde entre, suivit de son employé et appel sa femme de ménage :

- Sophie, tu es où ?

- J'arrive chérie, je suis dans ta chambre, répond une voix venant effectivement de l'étage.

Marc comprend tout de suite, au ton de la réponse, que sa patronne doit avoir des relations beaucoup plus intimes avec sa servante, que de simples relations d'employeur à employée. Il ne s'en offusque pas, et attend de voir descendre cette fameuse Sophie.

Marie-France pose sa valise sur le sol et se dirige vers la cuisine, invitant l'homme à la suivre.

Marc commente la beauté et la grandeur de la belle demeure quand, tout d'un coup une soubrette entre dans la pièce et s'arrête sur le seuil, interloquée.

- Excuse-moi, je te croyais seule, Marie-France. Tu ne m'avais pas prévenu de la présence de Monsieur.

- C'est un intime, n'aie pas peur.

- Je n'ai préparé que ta chambre, tu veux que je prépare également la chambre d'amis ?

- Non, non, ça ira très bien comme ça ! Au fait, en parlant d'ami, j'espère que tu ne portes pas de culotte cette fois-ci ?

- heu... Sophie se bloque, ne connaissant pas cet homme, elle ne veut pas faire état de ses relations particulières, avec sa maîtresse, devant un inconnu.

- Eh bien ! As-tu perdu ta langue ? Fais-moi voir ça, dépêche-toi de relever ta jupette.

- Mais chérie...

- Alors ! Cette fois, le ton est devenu incisif et la directrice se plante au milieu de la cuisine, les poings serrés sur les hanches, le regard dur.

La servante rougit, elle est même écarlate, se montrer devant un homme, quelle horreur ! Le ton de sa patronne sonne à ses oreilles, elle ne sait pas quelle attitude adopter.

- Vas-tu relever ta jupe, connasse ! Maintenant, femme mûre perd complètement patience, elle n'a pas l'intention de laisser cette femme lui répondre ou lui désobéir.

Marc est très gêné par la scène qui se déroule sous ses yeux, il voudrait pouvoir s'éclipser.

- Faut-il vraiment que je prenne le martinet ? Demande une dernière fois la patronne blonde à sa soubrette, en regardant vers le mur, où est accroché l'objet.

- Oh non, Maîtresse, pas ça, pas ça ! Et la femme commence à relever sa jupe, mais si lentement que, lorsque ses bas sont entièrement visibles, son employeuse la reprend encore une fois.

- Allez, dépêche-toi donc ! Remontes la complètement et plus vite que ça.

- Bien Maîtresse, mais le Monsieur peut-il se retourner ?

- Et puis quoi encore ?

Sophie exécute alors le mouvement demandé, toujours plus rouge, elle a réellement honte de s'exhiber de cette manière, et devant un homme, qui plus est. Elle dévoile un sexe totalement rasé et montre qu'elle a suivi la volonté de sa patronne, en ne mettant rien sous sa jupe.

De là où il est placé, Marc ne voit vraiment que les fesses de la femme, elles sont rebondies et semblent molles. La femme est bien en chair sans être véritablement grosse, il remarque qu'elle doit avoir aussi la quarantaine. Il se dit que sans qu'elle soit précisément belle, elle a un certain charme et l'ensemble laisse une bonne impression.

Après avoir détaillé le bas de l'anatomie de sa servante, Marie-France se sent ragaillardie et décide d'aller plus loin.

- Parfait ! Fait-elle, très contente de voir que ses ordres sont suivis à la lettre. Puis, elle ajoute : Maintenant, mets-toi à poils !

- Mais… Commence à répondre l'impertinente femme de chambre qui n'a pas le temps de finir, coupée dans sa phrase par l'injonction de sa patronne.

- Allez, a poils et sans discutions !

Sophie entame donc un subtil effeuillage qu'elle espère excitant pour sa maîtresse.

Mais celle-ci n'en a cure, elle montre des signes d'impatience et ordonne encore :

- Allez, dépêche-toi, salope.

La soubrette se presse davantage, elle sait que si elle met sa patronne en colère, il lui en cuira. Bientôt, elle ne porte plus que ses bas noirs auto-fixant, au moment de les retirer, elle entend :

- Stop ! Reste comme ça.

La maîtresse des lieux est toujours dans la même posture, campée sur ses jambes légèrement écartées et les poings sur les hanches. Dans un regard lubrique, qu'elle adresse à Marc, elle dit :

- Tu vas la fouetter cette chienne, elle n'écoute jamais du premier coup. Aussi, je veux que tu lui marques ses gros nichons de pute !

Le jeune homme ne sait que dire, il reste là, ne comprenant pas ce que sa directrice recherche exactement. Il la voit se retourner et attraper le martinet pendu au mur par un clou.

La blonde décroche le petit fouet et le lance à son jeune employé, qui le saisit au vol, plus par réflexe, que par envie de s'en servir. Elle vérifie, dans le regard médusé de l'homme, que celui-ci est complètement désorienté et ordonne à sa domestique :

- Le dos sur la table, vite ! Et, voyant que la bonne ne réagit pas assez vite à son goût, elle crie encore, Alors !

La servante, sans un mot, vient s'allonger sur la table en bois de la cuisine, le froid, plus la surprise de toutes ces choses inhabituelles, la rendent mal à l'aise. Néanmoins, elle exécute l'ordre et reste sans bouger sur la table.

- À toi de jouer, Marc, dit la belle directrice, qui semble très excitée de la situation.

- C'est que… Balbutie le jeune homme, je n'ai jamais fouetté qui que ce soit !

- Mais tu vas apprendre mon chéri ! Pendant qu'elle parle, la jolie blonde dégrafe son chemisier. Vas-y, ne me fais pas languir, sinon...

- Oui, oui, bien sûr, patronne. Le jeune sait qu'il a intérêt à faire ce qui lui est demandé.

Il s'approche de la table, lève le martinet, fixe la femme dans les yeux. Essayant de lui faire comprendre, qu'il est contraint à de tels actes, il abat mollement les lanières de cuir sur la poitrine de la soubrette qu'il ne connaît pas.

Celle-ci reçoit le coup sans broncher. La douleur est pratiquement inexistante, et cela la rassure.

Marie-France se rend compte que le jeune homme veut épargner son esclave, cela la met dans une rage indescriptible, aussi lance-t-elle, à l'attention de son employé, une furieuse menace :

- Applique-toi, sinon, c'est elle qui te fouettera, et laisse-moi te dire, comme elle hait les hommes, qu'elle ne sera pas aussi indulgente avec toi !

Marc relève à nouveau l'objet, cette fois bien plus haut que tout à l'heure, et fait cingler les lanières dans l'air avant qu'elles ne s'abattent violemment sur les seins dénudés.

Cette fois, la domestique crie pour de bon, elle porte les stigmates de sa douleur. Ses seins laiteux sont rayés de boursouflures rouges, qu'ont laissées les lanières. Au lieu de cacher sa poitrine, elle s'empare des bords de la table et les serre puissamment.

- Bien ! Tu as enfin compris, jeune sot ! Commente la belle blonde, qui vient de retirer son chemisier et s'attaque à la fermeture de sa jupe droite.

Marc est plus excité qu'il ne voudrait l'admettre, de cette première expérience. Il s'apprête maintenant à renouveler son geste et lève bien haut le martinet, comme pour bien le faire voir à la bonne. Il savoure la peur qu'il suscite et qu'il lit dans les yeux de la femme allongée. Cette fois, de toutes ses forces, il fouette la malheureuse.

Le bruit, si particulier, du cuir sec sur le corps souple de la femme, résonne dans toute la pièce, personne ne parle, seul, Sophie, gémit des brûlantes morsures qui lui sont infligées. Sa poitrine est zébrée de rouge, ses seins la font souffrir le martyre, le plus douloureux est encore le mamelon, que vient de toucher l'homme.

À présent, Marie-France est nue à l'exception de son porte-jarretelles et de ses bas, elle se régale du spectacle en se malaxant la poitrine et triturant ses tétons. Elle s'aperçoit qui lui est encore plus agréable d'ordonner une flagellation, que de la pratiquer. La situation la fait mouiller abondamment. Elle sent, avec joie, que son jus de femelle lubrique s'échappe, de sa chatte détrempée.

Marc se surprend à bander, est-ce le nouveau sport, qu'il vient de découvrir, ou la présence de sa folle patronne, en train de se caresser les seins, qui lui procure cet état ? Il est bien incapable de répondre, toujours est-il, que son pantalon commence à le gêner sérieusement. Il récidive encore son geste, toisant la femme soumise, le bras tendu vers le plafond, il se délecte de ce nouveau jeu.

Les lanières s'abattent encore sur la poitrine meurtrie, cette fois, la soubrette pousse un hurlement qui déchire l'air et les tympans de ses tortionnaires.

Marie-France intervient brutalement et dit au jeune homme, dont elle est très contente :

- Ne me la détruis pas non plus ! Et, en ouvrant une porte du placard près d'elle, ajoute : Je vais te récompenser, tu peux l'enculer ! Elle sort une bouteille d'huile d'olives et se relève.

- Non, non, pas ça, pas un homme, maîtresse, je t'en supplie, pas un homme, pleure la bonne.

- Retourne-toi, sale chienne. Je vais t'apprendre à me résister devant mes amis. De toute façon, tu n'es qu'une grosse gouine, de te faire couvrir, ça arrangera ton teint pâle de gousse. Puis, elle ajoute, toujours très durement pour sa bonne : Je ne vois vraiment pas pourquoi tu fais tant de manière ! Imagine-toi que c'est mon god, que tu prends dans le cul... Si ça peut t'aider.

Elle s'approche de sa servante, lui colle une grande claque sur la cuisse et lui ordonne :

- Alors, tu te tournes ? Si ça ne va pas assez vite, je te préviens, tu te feras enculer à sec, et là, tu pourras toujours me supplier.

La domestique fait un effort pour se mettre sur ses coudes, puis se retourne, en prenant bien soins de ne pas poser sa poitrine sur la table.

Marie-France s'en aperçoit et tire les jambes de son esclave pour qu'elle ait les fesses au bord de la table en bois.

Dans la manœuvre, Sophie, surprise, ne peut se tenir dans la position qu'elle a choisie et, en glissant sur le bois, se retrouve avec les seins qui frottent sur la table durant le déplacement, elle pousse un nouveau cri.

- Silence, salope ! Restes allongée, tonne la belle directrice en ouvrant la bouteille d'huile.

Elle donne encore une forte claque sur la fesse droite de sa bonne, puis sans aucun ménagement, écarte les fesses molles et rebondies. Elle maintient d'une main l'écartèlement et verse l'équivalent d'une bonne cuillerée d'huile qui tombe juste un tout petit peu plus haut que l'anus.

La matière se répand très vite dans la vallée flasque, la majeure partie s'insinue dans l'anus ouvert, le reste fini sur la table après avoir lubrifié la chatte de la soubrette.

À ce contact, elle fait un léger soubresaut, le froid de l'huile sur son cul, alors que sa poitrine la brûle, lui procure une certaine joie. Elle adore quand sa patronne l'encule, même avec le plus gros god qu'elle possède.

Marie-France joint ses cinq doigts pour former un cône, le passe sur le sexe de son esclave pour bien enduire l'extrémité de sa main de matière grasse, et vient la placer sur le sphincter. Là, toujours sans égard pour sa domestique, la blonde enfonce peu profondément son membre ainsi formé pour dilater au maximum l'anus. Elle jette un regard libidineux à son jeune ami Marc et lui dit :

- Déshabille-toi, elle est presque prête.

L'homme retire prestement ses fringues. Une fois nu, il vient caresser les flancs de sa directrice en lui faisant un bisou dans le cou. Sa verge est fièrement dressée devant lui, la soirée, bien que ne faisant que commencer, l'excite un maximum, son cœur bat à tout rompre dans son thorax. Il a une furieuse envie de sodomiser cette gousse, pour la punir ? Pour la convertir ? Il ne saurait répondre précisément. Toujours est-il, qu'il remonte ses mains sur le corps doux de sa belle patronne et vient lui peloter les seins.

Celle-ci, appréciant la caresse à sa juste valeur, ressort ses doigts gluants de l'anus de sa bonne, elle remarque que le sphincter ne se re-contracte pas beaucoup maintenant qu'il est dégagé de toute entrave. Elle se dérobe à son employé et vient se mettre sur le côté de la table, elle prend les fesses à deux mains, les écarte à nouveau et dit :

- Vas-y, bourre-lui le cul ! Et rappelle-toi, toutes les crasses qu'elle peut faire aux mecs, elle les fait avec sadisme, alors pas de pitié pour cette sale pute ! Elle s'adresse ensuite à sa soubrette et lui ordonne : Toi, viens branler mon clito en feu, salope.

- Tiens, prends ça, gouinasse, dit Marc en enculant la domestique allongée, d'un puissant coup de reins.

Il fait un réel effort pour la pénétrer le plus profondément possible, les entrailles sont bien lubrifiées et la grosse bite glisse facilement en élargissant tout l'intérieur du postérieur.

Sophie pousse un cri, plus de surprise que de douleur réelle, elle a l'habitude de recevoir des tas de choses dans l'oignon, mais de savoir que c'est un mâle qui la prend, la rend folle de rage, elle se rappelle lorsqu'elle était obligée de faire son devoir conjugal, comme disait élégamment son ex-époux, et qu'elle subissait un long ramonage, sans tendresse, de celui qui aurait dû la chérir. Depuis son divorce, elle haït vraiment les hommes, cependant, elle aime leurs attributs, même en plastique, et c'est donc, dans un état d'esprit complètement controversé, qu'elle est actuellement.

Marie-France se rapproche de la tête de sa bonne et lui redemande en la prenant par le bras pour guider sa main vers son sexe :

- Alors, tu me l'astiques mon bouton ou quoi ?

La domestique cherche un instant l'appendice de chair, puis une fois son doigt dessus, le cajole doucement. Le ramonage de ses boyaux va bon train, elle ne sait plus si elle doit s'en réjouir, effectivement, ça lui plaît réellement de se faire sodomiser, ou, si elle doit tout faire pour se retenir de jouir. La douleur de ses seins se réveille de temps à autre, quand ils frottent sur le bois, mais ceci n'est pas pour lui déplaire complètement.

La blonde lubrique admire son bel étalon qui lime le cul de sa bonne. Elle maintient toujours le poignet de cette dernière et se régale du doigt bricolant son clitoris. Le souffle court de son compagnon l'excite, elle aime le voir prendre son pied, de plus, elle est très contente de le voir enfiler sa bonniche. Cette salope n'aime pas les hommes, eh bien, elle est servie ! Se dit la directrice.

Elle commence à avoir envi du gros pieu dans ses tripes, mais, comme elle veut voir sa servante repartir tout à l'heure avec les tripes engluées de foutre, elle ne veut pas déranger le jeune homme. Alors, elle relâche une fesse, rapatrie sa main droite et se glisse le majeur dans le cul et fouille ses propres entrailles, juste bien comme elle adore.

Marc ahane comme un beau diable, il est excité plus parce que cette femme se refuse aux hommes et par l'ambiance de la soirée que par la sodomisation en elle-même. L'intérieur du postérieur de la bonne est glissant et distendu, il n'exerce aucune pression importante sur la queue qui entre et sort régulièrement, néanmoins, le jeune homme sent qu'il ne va pas tarder à lâcher toute sa purée.

Sophie, toujours folle de rage contre sa maîtresse et cet homme sadique qui lui laboure le cul, ne peut s'empêcher de pousser de petits cris, elle ne se contrôle plus et la jouissance l'envahit contre son gré. En fait, le plaisir est décuplé par la douleur qu'elle a ressentie plus tôt, ses sentiments de haine et d'amour se mélangent complètement, elle serait bien incapable de pouvoir donner une explication logique de tout ceci.

À la tête de son employé, la directrice comprend qu'il va éjaculer, pour être bien sûre qu'il répande son sperme dans les tripes de sa soubrette, elle lui dit :

- Jutes dans son cul, vas-y, serre-toi d'elle comme vide couilles !

À cette injonction, Marc ne peut plus se retenir et jouit tout au fond des intestins de la bonne. Les puissants jets de foutre, que crache sa queue, inondent les boyaux, la jouissance est si forte, que, les jambes coupées, il s'affale sur le dos de la domestique.

Celle-ci râle de bonheur, le sperme chaud chatouille ses entrailles, elle le sent s'insinuer partout. Le poids de l'homme ravive ses douleurs dans les seins, le mélange de deux sensations lui procure une joie plus grande encore. Elle reste là, sans force, son doigt toujours sur le clitoris de sa patronne, mue, comme par automatisme.

Après quelques instants, l'homme reprend ses esprits et se relève, sa queue, moins raide, sort toute seule du chaud fourreau. Il contemple sa directrice qui s'envoie en l'air grâce à une savante masturbation, dont elle a le secret. Il jette un œil sur la soubrette et se rend compte qu'elle descend doucement, des contrées du plaisir.

Marie-France ouvre ses yeux en grand et ordonne, d'un ton tonitruant, à sa domestique :

- Mets-toi debout, salope.

Sophie se redresse, pose ses pieds sur le sol et rétablit son équilibre. Une fois debout, elle fait un pas en arrière et se tourne vers sa maîtresse en attendant la suite des événements.

La belle blonde admire la poitrine zébrée de rouge, elle examine le corps de sa soubrette, puis exige de nouveau :

- Écarte un peu tes jambes.

La bonne lève son pied gauche et le repose vingt centimètres plus loin.

La directrice vérifie, d'un œil expert, que l'intérieur des cuisses est pollué de fins filets d'huile, enfin, elle ajoute encore :

- Écarte-toi les fesses, je veux voir le sperme couler de ton cul de putain.

Sophie, docile et soumise, attrapes ses fesses à pleines mains, se cambre en avant et désunit les deux parties de son postérieur. L'effet attendu par Marie-France n'est pas long à venir et la bonne sent un liquide, épais et gluant, s'échapper de son côlon. La sensation la met mal à l'aise, elle a subitement peur de déféquer !

- Tu n'es plus étanche ? S'inquiète la patronne dans un sourire salace qui peut faire craindre le pire.

- Oh maîtresse, j'ai peur d'être obligée d'aller aux toilettes.

- Reste là, boite à bites, si tu chies par terre, je te ferai nettoyer le sol avec la langue !

La docile soubrette reste donc là, plantée sur ses deux jambes, légèrement penchée en avant, les fesses espacées. Sa maîtresse passe derrière elle, pour vérifier que tout se passe comme elle l'a prévu. Sophie est complètement mal à l'aise, l'odeur qui commence à emplir la pièce ne lui laisse rien n'entrevoir de bon pour elle.

La blonde directrice passe un doigt sur le trou béant, ce qui provoque un frisson chez la bonne, et se l'enduit de la matière odorante qui suinte de l'orifice. Elle le porte à son nez, hume l'émanation, puis, d'un geste précis et rapide, vient se placer en face de sa domestique, le doigt badigeonné de la substance au niveau des lèvres de la femme soumise.

- Suce, ordonne-t-elle d'un ton sec et impérieux.

La docile soubrette avance ses lèvres et happe le doigt, une fois l'organe en bouche, elle le suce et en fait le tour de sa langue agile.

- Tu vois, du vrai foutre mélangé à tes propres sucs, ce n'est pas si mauvais que ça, si ? Demande encore Marie-France, un regard froid et dur toisant sa bonniche.

- hum… Fait simplement Sophie. Effectivement, elle est toute tourneboulée par le goût bizarre, mais pas écœurée.

Marc se demande, quand même un peu ; où il est tombé, et dire qu'il a failli amener Isabelle ! Une chance qu'elle n'ait pas pu venir. Il ne comprend encore pas, le plaisir malsain, qu'il a ressenti, lorsqu'il fouettait cette pauvre domestique. En tout état de cause, il a vraiment apprécié ces instants, où il n'était plus tout à fait lui-même.

La directrice, lassé par ce jeu, retire prestement son doigt de la bouche goulue et déclare d'un seul coup :

- Maintenant, rentre chez toi. Je ne veux pas que tu te laves, ni que tu mettes une culotte cette nuit. Demain matin, à dix heures, tu viendras te présenter devant moi et je vérifierai si tu m'as écouté.

- Bien maîtresse, dit simplement la bonne.

Elle ramasse ses effets et sort de la pièce pour se vêtir. Très vite, ensuite, elle quitte la demeure.

Marie-France et Marc, restés seuls, se sourient gentiment, la directrice semble maintenant apaisée, elle propose à son jeune employé, dont elle est très contente, de passer à table, pour le dîner cette fois.

Pour ne pas être en reste, Marc se déshabille complètement. Et c'est totalement nus, que les deux compagnons prennent leur repas. La douce chaleur ambiante produit par le grand feu de bois aide à laisser libre cours à leurs opinions sur toutes sortes de sujets. À la fin du repas, La patronne propose de prendre le café devant la cheminée, et c'est là, que cette soirée commence vraiment.

Elle apporte deux mazagrans fumants, une délicieuse odeur flotte à son approche.

- Ils sont déjà sucrés, précise-t-elle à l'intention de son invité.

Le jeune homme goûte le nectar et félicite sa patronne sur le choix de la mouture.

La blonde boit vite son breuvage, repose l'accessoire sur le rebord de la cheminée, puis, en se levant doucement, interpelle Marc.

- Viens avec moi, et elle l'aide à se relever à son tour.

La belle blonde se dirige à l'étage, au lieu de rentrer dans la chambre, elle continue et pousse la porte du cabinet de toilette.

La pièce est spacieuse, très, pour ce type d'endroit, qui sert rarement de salle de danse. Il y a là, une grande baignoire, une vasque intégrée dans un superbe meuble en chêne surmontée d'un robinet de cuivre, un bidet, tout le mobilier est de style rustique, en chêne. La lumière, bien que très forte, est dissipée par plusieurs petites lampes halogènes installées dans le plafond. La pièce est agencée avec beaucoup de goût, elle respire le propre et le luxe.

Marie-France lâche la main de son employé et va s'asseoir sur le bidet, en prenant bien soin d'écarter ses cuisses, le plus possible. Son visage change alors et dans ses yeux semble passer des éclairs libidineux. Elle attrape ses seins, les presse en se cambrant sur le bidet, comme pour mieux les présenter à l'homme qui l'accompagne et dit d'une voix brisée :

- Viens me branler le clitoris pendant que je pisse...

Marc ne s'attendait pas du tout à une telle demande, dans un premier temps, il reste cloué au sol, le regard perdu.

La belle blonde, se rendant compte que ses propos abrupts ont bloqués son jeune ami, prend une attitude plus lascive encore, en lâchant son sein droit et en venant dégager son bouton d'amour de deux doigts. Elle le regarde en souriant pour le remettre en confiance et commence à se masturber.

Le jeune homme, nu comme un ver, est très excité par la désinvolture de sa patronne. Une érection naissante laisse entrevoir qu'il n'est pas étranger à l'invitation. Enfin, il fait les quelques pas qui le sépare de sa directrice.

- Viens, dit simplement la belle blonde d'une voix qui trahit son excitation.

Marc pose un genou à terre et avance sa dextre vers le démarreur d'émotions de la jolie femme. Il remplace de sa main, celle déjà en place et caresse de son pouce le clito tout gonflé.

La belle replace sa main sous son nichon droit et reprend le massage commencé plus tôt. Très peu de temps plus tard, un fin filet d'urine s'échappe de son sexe et fait un léger clapotis au fond de la cuvette. Le tout lui fait fermer les yeux et entrouvrir la bouche suavement.

Le jeune homme s'applique, il met tout son cœur dans la branlette qu'il fait à sa belle directrice. L'attitude de celle-ci lui montre que ses caresses produisent l'effet recherché. Il adore la voir dans cet état, il aime tant quand elle devient cochonne, et là, il se régale.

Marie-France se laisse complètement aller. L'odeur doucereuse de l'urine tiède emplit la salle de bain, la main chaude de son compagnon sur le bas de son ventre lui procure une délicieuse volupté. De pisser pendant qu'on lui branle le clitoris la met dans un état pas possible, elle émet de drôles de petits sons qui traduisent parfaitement son état.

Marc n'avait jamais été aussi loin avec une femme, et l'instant le trouble tout à fait, il se sent prêt à tout pour cette femelle lubrique, et, sans pouvoir dire qu'il l'aime vraiment, est très heureux d'être en sa compagnie ce soir. Avec Marie-France, aucune peur de l'inconnu, juste l'excitation de la découverte de choses extraordinaires.

La belle blonde se surélève de la cuvette, aidée en cela par son jeune employé, et fait maintenant un effort pour vider complètement sa vessie. Le bruit de l'urine contre la paroi de porcelaine devient plus fort, elle aime quand on la regarde faire ses besoins naturels. Elle attend de s'être vidangée entièrement, puis se lève, passe une jambe au-dessus du bidet, s'allonge par terre sur l'épaisse moquette, attrape ses cuisses, les relève en les soutenant et ordonne à Marc :

- Viens me nettoyer la chatte !

Le jeune homme attrape le rouleau de papier hygiénique, en découpe deux ou trois feuilles et s'approche de sa directrice. Celle-ci, voyant faire l'homme, s’empresse de préciser :

- Non, avec ta langue, je veux que tu me laves avec ta douce langue, mon chéri.

Cette fois, l'employé rougit pour de bon, il ne comprend pas vraiment les désirs de sa patronne et l'interroge :

- Avec ma langue ? Mais tes poils sont tout mouillés ! Tu as encore de la pisse !

- Et alors, viens, je te dis, nettoie-moi !

Marc est dégoûté à cette idée, il voudrait refuser, mais quelque chose l'en retient, il ne sait pas pourquoi, mais il sent diffusément qu'il ne serait pas judicieux de repousser l'ordre. C'est dans cet état d'esprit qu'il vient se placer entre les cuisses relevées de la belle, il prend son temps pour s'installer, comme si cela pouvait changer le cours des événements. L'odeur qui se dégage de la moule de sa patronne vient remplir ses narines et cela ne lui est pas agréable. Pourtant, une force le pousse à s'approcher toujours plus près de la vulve mouillée.

Marie-France s'impatiente, elle voudrait déjà sentir la langue chaude lui caresser le minou. Elle sait sa demande bizarre et ne veut pas trop choquer l'homme, pour l'instant, néanmoins cette attente l'énerve, elle décide alors de passer à l'action et plaque la tête de son compagnon sur son sexe d'une main ferme.

Le jeune homme comprend qu'il n'est plus temps de différer ses obligations. Résigné, il sort sa langue et lèche une toute petite fois la moule ouverte. Le goût est très mauvais ! L'odeur âcre qui se dégage, lui donne un début de nausée, malgré cela, il recommence, cette fois sa caresse est plus appuyée.

- Oui, c'est ça, lèche-moi bien, l'encourage la belle directrice, hyper excitée.

Heureux de faire plaisir, l'homme s'applique à nettoyer parfaitement toute la zone souillée. Il commence à s'habituer aux fortes effluves et en est un peu enivrée. Jamais il ne se serait douté pouvoir faire ça.

Quand la blonde estime le travail bien réalisé, elle retire sa main et apostrophe son employé.

- Viens-me rouler une pelle, petit salaud, va !

Marc n'est plus tout à fait maître de lui, c'est presque comme un automate qu'il vient embrasser sa folle patronne. Sa langue mène un combat infernal avec celle de Marie-France.

D'un coup, cette dernière se dégage et revient sucer la langue pendante de l'homme. Le mélange des goûts lui procure un intense plaisir. Elle est maintenant en équilibre sur ses coudes et voudrait bien quelque chose de plus consistant dans le corps. Elle se rassoit et demande d'un coup à son jeune employé :

- Branle-toi ! Je veux boire tout ton foutre.

Marc se soumet aux exigences de sa patronne, et, toujours à la manière d'un robot humain, se lèche la paume de sa main droite. Il l'enduit du plus de salive possible, puis commence à s'astiquer le nœud.

La belle blonde ne reste pas inactive, de voir un homme se masturber lui donne toujours des idées saugrenues, elle délègue son majeur droit pour aller câliner son clitoris, celui-ci est hyper sensible et lui procure, dès le premier attouchement, une joie immense.

L'homme bande déjà très fort, de voir sa directrice se câliner le bouton, lui remonte encore plus le moral. Il est déjà presque au bord de l'éjaculation par la bizarrerie de cette soirée. Alors, de contempler sa maîtresse, ne fait qu'accélérer les choses.

Elle regarde avidement son jeune ami se branler, elle a hâte de récolter toute la précieuse semence dans sa bouche. Ce soir, elle se sent capable de boire des litres de sperme tiède, elle en a une envie irrésistible et veut s'en saouler. Quand elle aperçoit, aux grimaces que fait Marc, que le jeune homme va jouir, elle lui commande :

- Mets-toi debout, vite, viens me désaltérer !

L'homme se lève, déjà quelques fines gouttelettes pointent sur le bout de sa queue, il enserre sa grosse bite comme pour l'étrangler, se dirige vers la bouche ouverte et enfourne son mandrin dans cette dernière.

Marie-France n'a que le temps de refermer son bec, de longs et puissants jets de foutre lui remplissent la bouche. Elle manque de s'étouffer, ne voulant pas avaler goulûment toute la matière. Elle essaye de jouer avec le gros tuyau, mais n'y parvient pas, sa bouche est vraiment trop pleine.

Marc jouit dans un grognement d'ours mal léché, le plaisir est si important qu'il en oublie avec qui il est et où il est. Il se surprend alors à crier :

- Vas-y salope, avales tout...

La belle directrice n'a pas l'habitude de s'entendre rudoyer de la sorte, mais cette injective déclenche une réaction surprenante de sa part, elle lève les yeux, fixe l'homme, avale une bonne gorgée du précieux nectar, puis entrouvre la bouche pour montrer sa récolte. Elle fait légèrement déborder l'épais liquide qui coule sur son menton et sort délicatement sa langue maculée de foutre.

L'homme adopte une attitude de mâle dominant, mais la belle se relève, lui entoure le coup de ses bras et plaque sa bouche sur la sienne. Elle force le jeune homme à ouvrir sa bouche à l'aide de sa langue et y dépose le sperme visqueux. Un rapide coup de langue sur ses lèvres, puis elle ajoute d'un ton impérieux :

- Viens me mettre ça dans le cul, vite, je n'en peux plus, vite !

En disant cela, elle s'est mise sur les genoux, les seins à terre, les mains emprisonnant ses fesses dures et les écartelant. Elle réitère son ordre :

- Allez, viens me fourrer le cul.

Marc s'agenouille devant le postérieur de la belle blonde et, en ouvrant doucement la bouche, fait couler son sirop dans l'anus béant. Il prend tout son temps et l'allonge de sa salive. Le liquide gluant entre progressivement dans le trou, ensuite, il s'insinue dans les moindres recoins des boyaux de la belle.

- Oh, oui… Fait-elle dans un râle animal.

Elle reçoit toute la semence et la sent se diluer dans ces propres sécrétions anales. Elle cambre encore plus ses reins pour mieux la faire couler, elle se délecte de se sentir ainsi souillée.

Elle reste dans cette posture un long moment à l'écoute de son corps, elle voudrait que le sablier du temps s'enraye. Et c'est plus de vingt minutes plus tard qu'elle reprend lentement ses esprits et ressent ses muscles endoloris par la pause trop longue.

Marc est resté, durant tout ce temps, à reprendre son souffle, puis à rêvasser. Sa patronne est certes dure, mais il est bon d'être à ses côtés. Il est toujours très excité à chaque nouveau jeu pervers que sa directrice vicieuse invente, du moins le pense-t-il, et se demande comment peut-on avoir une imagination si fertile et brillante.

- Debout, jeune homme, lui lance la belle blonde, d'un ton guilleret. On va jouer au coiffeur.

La belle se rétablit prestement et se dirige vers l'armoire de la pièce. Une fois devant, elle ouvre un tiroir et en extrait un coupe-choux et une bombe de mousse à raser. Elle se retourne vers son compagnon et lui dit encore :

- Allez, viens avec moi, tu vas me raser la chatte.

- Te quoi ? Demande l'homme qui n'a pas réellement écouté.

- Me raser la chatte, tu ne vois pas ce que je veux dire ?

- Si, si, mais c'est que je n'ai jamais réalisé pareille opération jusqu'à lors !

- Eh, bien, tu vas apprendre.

La belle tourne les talons et sort de la salle de bain, suivie de près par Marc. Elle descend le grand escalier de bois, entre dans la cuisine pour remplir un bol d'eau très chaude au robinet.

L'employé l'attend dans l'embrasure de la porte, continu de la suivre quand elle ressort et se dirige vers la grande cheminée. Le feu crépite derrière la vitre de l'insert, le bois craque et crache de petits morceaux incandescents.

Marie-France vient s'asseoir sur l'épaisse moquette à quelques pas du foyer.

- Viens à côté de moi, dit la directrice, une fois qu'elle a posé le bol.

Le jeune employé s'approche docilement et s'allonge sur le côté, en appuie sur un coude. La chaleur émanant de la vitre lui réchauffe les pieds. Il contemple les courbes gracieuses de sa patronne.

Celle-ci se couche sur le dos, remonte ses genoux et demande gentiment

- Allez, vas-y, mets de la mousse.

- Bien sûr, dit machinalement le jeune, son regard se perd dans les rougeoiements du feu.

Il avance sa main vers la bombe, fait sauter le capuchon d'un geste précis du pouce et secoue violemment la bouteille d'aluminium. Lorsqu'il estime la manœuvre suffisante, il se redresse et amène la bombe au-dessus du sexe blond. Il n'avait jamais fait réellement attention, mais la blonde a peu de poils, de plus ceux-ci sont très courts. Il imagine aisément que sa patronne se rase la moule assez souvent.

Marie-France devient fainéante, elle, qui s'occupait toujours seule de son corps, la voilà maintenant qui demande à autrui de faire ce qu'elle se faisait habituellement avant. Elle attend de sentir le froid du gel sur cette partie si sensible de son ventre plat.

D'une pression constante sur le bouton, Marc répand la mousse sur la zone à raser, dans un mouvement rotatif, il asperge le ventre régulièrement. Quand il ne voit plus un seul poil, il repose la bombe à ses côtés. Il s'empare du rasoir de barbier et le déplie. La lame reflète le feu, il s'approche doucement du ventre et dépose doucement le fil de l'instrument sur la peau douce. Bien qu'il ne se soit jamais servi de pareil outil, il ne tremble pas du tout, et c'est d'un geste précis qu'il racle la mousse.

Le contact froid de l'objet coupant attise l'envie de la belle blonde, d'avoir sa moule totalement glabre. Elle s'impatiente et le fait savoir en interpellant son jeune ami.

- Qu'attends-tu ? Vas-y, vire-moi tous ces poils !

- Pas de panique, ça vient, répond le jeune homme, très concentré sur son travail.

Le coupe-choux glisse doucement sur la peau lisse. Bientôt toute la partie au-dessus du sexe est dégagée, l'homme s'attaque maintenant aux côtés des lèvres. Là encore, il s'applique de tout son être, pour ne pas blesser sa maîtresse, Le coupant passe dans tous les coins, sabre les poils et décapite le duvet.

Le léger bruit, que fait le rasoir sur la peau tendre, sonne délicatement aux oreilles de la blonde lubrique. Elle aime voir la docilité avec laquelle le jeune homme exécute ses ordres. Ici, elle sent l'homme tendu à sa tâche, inquiet qu'il est de ne pas la blesser. Elle sait désormais qu'elle peut tout exiger de son partenaire, celui-ci ne se rebiffera pas de si tôt.

À présent, elle sent le coupe-choux quitter sa peau, elle imagine déjà le spectacle de sa chatte.

Marc pose l'instrument après l'avoir rincé dans le bol. Il récupère de l'eau toujours très chaude au creux de ses mains assemblés en récipient, quelques gouttes tombent sur la moquette, mais la plus grosse partie arrive à bon port. Il fait couler le liquide par petites dépressions de ses mains.

L'arrivée de l'eau chaude sur la peau froide provoque une vive réaction de la belle blonde. De la chair de poule apparaît sur le ventre doux. Marie-France exprime son contentement d'un léger gémissement, la douce brûlure la rassure sur l'avancement de l'action de son employé. Elle sent un filet d'eau chaude s'engager dans sa vulve en contournant son clitoris. Elle ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse de l'eau.

Le jeune homme masse doucement toute la zone dont il vient de s'occuper, il veut nettoyer toute la surface pour examiner son chef-d’œuvre. Après un contrôle complet, et très fière de sa réussite, il s'adresse à sa patronne :

- C'est fait, tu ressembles à une petite fille comme ça !

- Parfait, je vais vérifier ça tout de suite.

Elle se relève et se dirige à nouveau vers la cuisine, là, elle récupère une petite glace, pose son pied gauche sur une chaise en écartant ses cuisses et s'assure de n'avoir plus aucun duvet. Elle inspecte le travail de l'homme, puis, après quelques instants, le félicite.

- Très bien mon chéri, tu m'as l'air vraiment doué, toi !

- Merci, patronne, répond Marc, très satisfait de sa prestation. En fait, il adore rendre service à sa directrice, et à ses demandes coupables.

Elle s'empresse de répondre, cela l'excite et la stimule :

- Je te plais comme ça ?

- Oui, super, c'est excitant comme tout.

Elle lui fait un clin d'œil complice, monte un pied sur une chaise, s'assoit sur la table en bois de la cuisine et ajoute, d'une voix redevenue salace :

- Viens me lécher l'abricot, alors.

Marc, bien que passablement fatigué par cette folle soirée, vient porter sa bouche au niveau du sexe rasé. Il sort une langue gourmande qu'il amène au contact des chairs offertes. Il retrouve le goût du savon et cela lui donne une sensation étrange de fraîcheur.

La belle blonde n'a pas mis longtemps pour mouiller de nouveau, dès les premiers coups de langue, elle émet un fin filet de jus odorant que Marc s'empresse de récupérer. Dans la position où elle est, elle voit parfaitement son jeune employé et tout ce qu'il lui fait. Elle se régale de cette langue subtile et agile, qui écarte ses lèvres. Elle adore quand son jeune ami s'insinue dans ses chairs intimes.

L'homme joue à prendre les grandes lèvres dans sa bouche et à les étirer en reculant sa tête, aux réactions de sa patronne, il comprend que le geste lui procure une joie certaine. Il en use et abuse donc avec ferveur, teste l'élasticité de la peau douce, cajole la partie de peau tendre entre les lèvres et le début de la cuisse.

Marie-France devient une véritable femelle en chaleur sous les caresses adroites de son employé, elle se laisse aller à pousser de petits cris, elle regarde fixement le jeune homme et lui dit brusquement :

- Branle-toi pendant que tu me lèches ! Vas-y, je veux te voir t'astiquer la queue.

Marc ne demande pas mieux, il arrête un instant sa succion, passe sa main sur la chatte luisante et ouverte, s'enduit la paume de ce lubrifiant naturel et attrape sa bite déjà en érection. La situation l'excite énormément, il se masturbe comme un damné, en sachant qu'il lui faudra quand même quelque temps, avant de jouir, du fait qu'il ait joui précédemment.

Une douce senteur musquée emplit la pièce.

Cette odeur a, sur Marie-France, une action étonnante, elle excite la belle blonde plus qu'à l'accoutumée. Cette dernière a les yeux rivés sur la main de son compagnon, qui emprisonne la grosse pine dure, qu'elle accueillera bientôt. Pour se pâmer, elle recule prestement son cul sur la table, puis lance au jeune homme :

- Prépare-moi le trou du cul, j'ai très envie que tu m'encules !

L'employé laisse sa directrice se retourner sur la table et lui présenter son postérieur, une fois qu'il la considère installée, il applique sa bouche sur l'anus grand ouvert. Il fait un effort pour saliver au maximum, sort sa langue et la fait pénétrer dans la crevasse offerte. Il humidifie tout le conduit, aussi loin qu'il lui est possible.

- J'adore ta langue chéri, lâche la blonde, les dents serrés par le plaisir que lui dissipe l'organe.

Marc y met tout son cœur. Lui aussi adore fourrer sa patronne avec sa menteuse. Il exécute de longs moulinets à l'intérieur du côlon de la belle, connaissant pertinemment les effets induits par ces subtils mouvements.

La blonde n'y tenant plus, s'écrie :

- Encule-moi vite, salaud, vite ! J'en peux plus...

L'homme ne se fait pas prier plus, il se redresse, pointe, de sa queue raide, le centre du sphincter, puis, d'un coup de rein puissant, enfourne sa bite dans le rectum de sa directrice.

- OOOoooouuuuiiiiii… Spoumone à nouveau cette dernière, on sent au ton de sa voix, qu'elle en avait réellement une grosse envie.

Dès les premiers va-et-viens, elle est obligée de se cramponner aux bords de la table. Très vite, elle ressent un immense bonheur.

En effet, le jeune homme s'en donne à cœur joie dans ce petit cul, il lime comme un fou, sans s'occuper de sa partenaire. Pour le moment, l'important pour lui, est le plaisir qu'il prend et non celui qu'il pourrait donner à sa patronne.

La belle blonde se met à beugler dans la maison, encore une chance que celle-ci soit isolée, sinon, tout le village serait très vite au courant de ce qui se passe ici. Elle crie à plein poumon, heureuse qu'elle est du remue-ménage, qui se passe dans ses boyaux. Le bois dur racle son pubis mis à nu précédemment, cette sensation, bien que peu agréable, excite encore un peu plus la blonde lubrique. Sa mouille coule maintenant abondamment sur le plateau de la table, elle la sent même sur ses cuisses.

Marc lui ramone le cul pendant de longues minutes à un rythme très soutenu. C'est tout naturellement que l'éjaculation approche, il le ressent et cherche à retarder le plus possible le moment de l'explosion finale. Néanmoins, il n'en peut plus, cette soirée sauvage le pousse toujours plus loin dans le vice et il s'en délecte !

Marie-France, à bout de souffle, commence à réclamer sa dose de foutre chaud. Elle essaye de suivre le rythme fou que lui impose son employé zélé, mais, dans cette position, elle a bien du mal. Les coups de boutoirs sont si forts, qu'elle ne sait plus où se trouve la bite dure du jeune homme. De toute façon, son cerveau ne réagit plus normalement, il est complètement accaparé par le flot de la jouissance remonté par tous les nerfs de ce corps convulsé.

Le premier jet de sperme chaud inonde complètement l'anus de la belle.

Marc vient de décharger, d'un seul coup, la presque totalité de sa semence. Tout son corps est parcouru de longs spasmes, ses genoux flageolent sous la puissance de l'éjaculation, sa tête lui tourne.

La belle blonde à l'impression que la sauce qui s'insinue partout dans ses tripes, la brûle, elle en devient comme folle et redouble ses cris. Elle attend de prendre bien tout le foutre dans son cul, très sensibilisé par le traitement qu'il vient de subir. Une fois qu'elle sent l'homme prête à s'affaler sur son dos, elle hurle :

- Pousse-toi, vite...

Le jeune homme, essayant de reprendre ses esprits, se décale et reste, les yeux mi-clos, contre le bord de la table à attendre la suite des événements.

- Regarde-moi, allez, regarde-moi ! S'écrie la belle directrice, le regard complètement différent, la voix cassée, à priori très pressée.

Elle s'accroupit très vite devant la table, s'assure que son partenaire la voit bien, puis elle s'enfonce le majeur droit dans son cul dilaté. Après deux ou trois mouvements du doigt dans son postérieur, elle le ressort et se le fourre dans la bouche en fixant le jeune homme. Elle mime même une fellation. Pour ne pas perdre de temps, toujours en équilibre sur ses jambes pliées, elle s'introduit le majeur gauche dans le cul.

Le jeune homme n'en croit pas ses yeux, il sait pourtant sa patronne, on ne peut plus libidineuse, mais là, c'est le bouquet !

Quand elle estime son doigt bien lavé, elle intervertit les deux majeurs et recommence son manège. Elle se régale toujours autant du goût du foutre de son jeune ami. De plus, se sachant contemplée par celui-ci, elle cherche à être la plus provocante possible.

Et ça marche, Marc vient de balancer toute sa camelote pour la deuxième fois de la soirée, après une journée bien remplie, il devrait bien être un peu calmé. Eh bien non, le voilà qui recommence à bander, il semble prêt à reprendre du service.

Marie-France se branle le cul comme une bonne salope, qu'elle est d'ailleurs ! Elle ne manque pas de remarquer la nouvelle érection de son bel étalon, et s'en réjouit. Elle tient à récupérer le maximum de sperme de cette façon, la matière commence néanmoins à figer et c'est maintenant un composé solide, bien que très malléable, qu'elle trouve accroché à ses doigts. Qu'à cela ne tienne, elle se met toujours le doigt enduit dans sa bouche et avale le tout.

Marc, n'y tenant plus, implore doucement sa maîtresse :

- J'ai encore envie de toi ma belle !

- Moi aussi, mon petit lapin, et très ! Répond celle-ci, fixant toujours son jeune ami droit dans les yeux, et elle se relève.

Une fois debout, ce qui n'a pas été sans mal, ses jambes commencent à être endolories par la mauvaise position dans laquelle elle était. Elle prend le dossier d'une chaise à sa portée et la tend à l'homme toujours appuyé sur le bord de la table, en disant :

- Assieds-toi là.

- Merci, dit simplement le jeune employé et il exécute un prompt rétablissement pour venir sur la chaise.

Dès qu'il est installé, Marie-France vient se mettre à califourchon sur les cuisses musclées de l'homme. Elle commence par embrasser fougueusement son employé, puis, en bonne chienne, attrape la grosse bite déjà très dure et dit d'une voix étrange :

- Maintenant, tu vas me baiser, mon beau, et elle guide le pieu de chair dans sa chatte.

Elle se laisse pratiquement empaler sur la queue. L'engin vient buter sur le fond de la matrice, et cela lui fait pousser un cri. Elle reste un moment comme ça, la bite de son collaborateur plantée dans sa moule brûlante et pleine de cyprine.

Marc est trop crevé pour ne pas se laisser faire, néanmoins, il a l'impression que sa queue est emprisonnée dans un four ! Il se demande ce qu'attend sa patronne, il a envie de se laisser aller et de faire le fainéant. Mais, comme c'est parti, cela ne paraît pas gagné.

D'un coup, sans crier gare, Marie-France prend appui sur ses jambes, se soulève, et donc, le pieu ressort presque entièrement de son fourreau, et se laisse choir à nouveau. Cette fois, il semble que le jeune homme apprécie moins ces manières, elle n'en a cure et recommence encore son manège.

Au troisième coup, l'employé laisse échapper un râle qui dénote son désaccord. Maintenant, il ressent une légère souffrance et le fait savoir d'un regard courroucé.

La belle blonde sourit, d'un sourire plutôt malsain d'ailleurs, et recommence encore à se soulever pour mieux venir s'empaler sur la bite de l'homme. Les grands coups de boutoirs qu'elle s'afflige ainsi, lui donnent des sensations bizarres. Sans être désagréables, ces sensations sont suffisamment brutales pour la faire mouiller de plus belle. Elle sent la cyprine s'échapper d'entre ses cuisses et cela la met dans un état d'excitation encore plus grand.

Pour éviter que ce jeu ne dure trop longtemps, Marc enlace sa partenaire et commence, par une rotation savante de son bassin, à la limer plus tranquillement. Au début, il lui semble avoir repris en main, la manœuvre. Mais il déchante très vite, quand sa patronne se débarrasse de ses bras.

"Pas question d'un ramonage à la papa", pense la belle blonde, et elle reprend son attitude première. Elle adore sentir la queue tout au fond de ses entrailles, venir en butée sur la paroi du vagin. De plus, elle sait qu'à ce train-là, elle devrait très vite faire jouir son partenaire, malgré ce qu'il a déjà enduré toute la soirée.

Marc n'en peut de nouveau plus, cinq bonnes minutes de ce traitement, et il sent, que sa chienne de patronne, va le refaire partir. Il bout de ne rien pouvoir faire, pour entraver sa démoniaque directrice. Il subit donc les assauts répétés et se demande si ses couilles ne font pas exploser.

La folle blonde sent qu'elle va arriver à ses fins, elle redouble de puissance dans ses gestes, avec l'espoir de se faire remplir la moule de la même façon, qu'elle s'est fait remplir le cul auparavant. Elle a encore une énorme envie de foutre ! Elle voit avec un bonheur malsain, que son jeune ami n'apprécie guère la situation, et certainement pas, de se faire à moitié violer.

Cette fois, le jeune homme jouit par petites saccades. Ces éjaculations lui sont un peu douloureuses, mais il ne saurait tout arrêter, les impressions qu'il ressent se mélangent dans sa tête et il ne sait plus du tout où il en est.

Cela doit se voir sur son visage, car sa belle directrice l'observe très attentivement.

L'explosion n'est pas au rendez-vous, la blonde se contente à moitié de la prestation, mais, comprenant qu'elle a été fort loin ce soir avec son jeune employé, elle ne fera pas de reproche pour cette fois-ci. Le foutre chaud que déverse l'homme, bien que pas en quantité suffisante, à son goût, lui procure néanmoins une douce joie. La fatigue de toute cette excitation commence à lui peser aussi.

C'est enlacé, que reste le couple illégitime, pendant un très long moment. Plus encore fatigué par l'ambiance de la soirée que par les exercices corporels. Et c'est Marie-France qui donne le top de départ pour aller au lit, le jeune homme ne refuse absolument pas, car dans l'état où il se trouve, il est sûr de passer une nuit calme.

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