Un bon job : Chapitre 5 : Souvenir de pension Partie 2
Le jeune homme admire la scène, sa folle patronne en train de boire son sperme, servi dans la chatte de sa copine, quel spectacle ! Il se demande s’il ne rêve pas, pour cela, il secoue sa tête trois fois.
- T'aimes ça le sperme, hein salope !
Marie-France ne répond pas à l'injure et continue à récolter toute la précieuse substance. En fait, à chaque coup de langue, elle étale plus de foutre qu'elle n'en avale et s'amuse à redresser le clitoris pour faire gémir sa nouvelle amie.
La belle hôtesse est comblée par le lavage soigneux qu'opère la blonde. Elle n'a pas remarqué que son amie vient d'arrêter le traitement anal, dont elle était objet. Sa jouissance est si forte, qu'elle est obligée de cramponner les flancs de sa partenaire, car elle a l'impression qu'elle va tomber du sofa.
Marc, épuisé, se laisse tomber à genoux sur l'épaisse moquette, il n'est qu'à vingt centimètres du visage de sa patronne et lui sourit doucement.
Celle-ci a un regard étrange, elle relève la tête, attrape celle du jeune homme et la plaque sur la vulve en disant :
- Lèche ton foutre dans la chatte de ta gouine de gonzesse !
L'homme ne peut faire autrement que d'exécuter l'ordre impérieux. Il lèche donc toute la moule baveuse en y prenant un intense plaisir.
- C'est ton mec qui te lèche maintenant, c'est mieux que moi ? Questionne la directrice d'un ton bizarre.
- Oh, oui, c'est bon ! Dit, en guise de réponse, Isabelle.
- T'es vraiment qu'une pute ! Du moment qu'on s'occupe de tes trous, tu t'en fous de savoir de qui ça vient, hein ! Laisse tomber froidement la directrice.
Estimant s'être suffisamment amusée pour l'instant, Marie-France se dégage du corps de la brune, et une fois debout, dit tout à trac :
- Alors ! Tu nous sers l'apéritif ou quoi ?
Isabelle et Marc se retrouvent, d'un coup, tout penaud, ils ont l'impression de s'être fait surprendre pendant leurs ébats amoureux, par la patronne de Marc. Pourtant, la blonde est toujours avec le chemisier ouvert, laissant ses seins à l'air, et sa jupe repliée sur ses hanches, qui ne cache pas sa fine toison blonde.
Le jeune homme est le premier à se relever, il remet rapidement son caleçon et son pantalon, puis annonce :
- Et que puis-je te servir ?
- As-tu un bon petit whisky ?
- Mais bien sûr, acheté spécialement à ton intention, ce soir.
- OK, puis en se tournant vers sa nouvelle conquête, et toi, que désirs tu ?
Isabelle n'est pas prête à répondre, d'abords, elle a subitement honte et cela lui noue la gorge, ensuite, elle a un mal fou à se remettre de ses émotions. Elle finit par dire, après un long moment :
- Oui, quelque chose de fort, j'en ai besoin pour me remettre les idées en place.
Pendant que le maître de maison va en cuisine pour préparer la collation, Marie-France se rapproche de l'hôtesse, la prend doucement dans ses bras, l'attire à elle, prend sa tête et la plaque contre son sein gauche. Elle cajole tendrement la belle brune et lui murmure à l'oreille :
- Ça va ? Ça t'a plu, ma douce chérie ?
- Oui, tu m'as fait jouir comme personne… En disant cela, Isabelle se reprend et vient embrasser la blonde, d'un baiser fougueux et gratifiant. Puis, elle ajoute, Viens me voir quand tu veux, avec ou sans Marc.
- Ça va mes mignonnes ? Demande Marc d'un ton enjoué, en entrant dans la pièce, avec une bouteille et trois verres.
Marie-France et Isabelle se rhabillent mutuellement, délicatement, elles en profitent pour se caresser comme pour éterniser l'instant présent. Une fois toutes les deux en tenue, Marie-France prend la main de sa copine et la replace dans le canapé, et s'assoit à côté.
Les trois compères devisent gaiement pendant tout le repas, Marc ne s'est pas moqué de sa patronne en prenant un délicieux repas chinois au restaurant près de l'immeuble. Entre les sauces épicées et l'effet du vin rosé, après l'apéritif, les trois amis se laissent aller à raconter leurs vies, enfin, surtout les deux jeunes !
Ainsi, Marie-France apprend que son employé modèle était un élève médiocre, surtout fainéant, que la belle brunette était plus encline à draguer qu'à étudier. Qu'ils sont très portés sur le sexe. Ça, elle s'en doutait déjà, et qu'Isabelle, dès la barrière de la timidité franchit, réagit comme une véritable nymphomane. Tout ce qu'elle apprend, lors de ces discutions à bâtons rompus, elle compte bien le mettre à profit, dès ce soir. Le week-end s'annonce des plus prometteurs !
Pour prendre le café, le trio s'installe à nouveau dans le canapé et, pendant que l'homme va préparer trois expressos, les deux femmes se refont des mamours, en se caressant les cuisses. Chacune appréciant et commentant la douceur de la peau de l'autre, son grain, son bronzage. Dès le retour de Marc, sa compagne lui demande :
- Tu nous mets de la musique mon cœur ?
- OK, et il se dirige vers la chaîne HI-FI et choisi Wish you were here de Pink Floyd. Le Floyd, ça vous convient ?
- Très bien mon amour, répond Isabelle sans laisser s'exprimer sa copine.
Une douce mélodie emplit la pièce, le jeune homme vient se rasseoir pour boire son café chaud et commente le C.D. avec emphase. Il commence à expliquer l'histoire de ce groupe de légende, qui traverse les décennies sans heurts.
Dès qu'elle a avalé son jus, Marie-France se lève et invite son hôtesse à danser.
Les deux femmes se font une petite place au milieu de la pièce en repoussant la table de la salle à manger, puis se mettent à danser un slow langoureux.
Marc ne perd pas une miette du manège. Il regarde attentivement les deux gouines se frotter, d'abords les seins de l'une contre ceux de l'autre. Ensuite, une cuisse vient se placer dans l'entre-jambe, la deuxième femme imite la première, elles sont maintenant très serrées et finissent par se rouler une pelle magistrale.
La main chaude de la blonde vagabonde sous le T-shirt de sa copine à la recherche des seins prometteurs. Elle en captive un et le presse très fort,
Isabelle semble vaciller sous la brusque palpation, mais se rattrape. Pour ne pas être en reste, la brunette dégrafe le chemisier de son amie, elle lui enlève intégralement, laissant les deux seins ronds et gracieux à la vue de tous.
Marie-France lui fait pencher la tête et prendre en bouche son sein gauche, une fois fait, la brune tette avidement la mamelle offerte, en faisant un clin d'œil complice à son ami.
La blonde, aimant toujours autant ce genre de chose, rejette sa tête en arrière et se pâme sous la divine succion.
Isabelle aspire le téton comme pour le détacher du sein, elle a vite compris, que pour cette femme, la douleur est indissociable du plaisir et qu'elle a les seins hypersensibles. Pour corser le tout, elle mordille, sans douceur, l'appendice qu'elle a en bouche, arrachant ainsi un cri à la jolie directrice.
La blonde défait la fermeture Éclair de sa jupe, et, tout en dansant, elle la laisse glisser le long de ses jambes. Comme elle ne porte pas de culotte, elle se retrouve vite nue, à l'exception de ses bas et de son porte-jarretelles. Elle entreprend alors de dévêtir sa jolie proie qui a toujours sa mamelle en bouche. Une fois ce travail exécuté, elle s'arrête de danser et exhibe la minette à son employé en disant :
- Regarde comme elle est belle !
- Je sais ! Merci.
- Alors regarde comme elle est cochonne !
Et joignant le geste à la parole, elle plaque sa main sur le ventre chaud de la belle brune et frotte son clitoris de son majeur.
Isabelle réagit instantanément à l'attouchement en écartant ses genoux et en embrassant sa partenaire aux doigts si agiles. Elle se laisse peloter langoureusement ses deux seins, elle raffole des caresses étranges de la blonde et, surtout, de l'imprévu de celles-ci.
La jolie femme mûre, très habile de ses doigts, écarte les grandes lèvres de sa copine, pour mieux montrer encore le sexe qu'elle cajole. Elle expertise, par ce contact, la douceur de la peau claire des nichons, qui sont mis à sa disposition. Elle se dégage de la bouche de sa copine et commente, à l'attention de Marc :
- Tu dois te régaler avec elle, elle a des seins d'une douceur infinie !
- Oui, oui, et pas seulement avec ses roberts ! Le reste aussi est super... Réplique l'homme en se gonflant les pectoraux.
- Ne fais pas le merle, ou bien, je te la kidnappe et tu seras bon pour la veuve poignet tous les soirs. Ajoute-t-elle sans plaisanter, en effet, avoir chez elle, une semaine ou deux, une petite soubrette, telle que celle-ci, lui plairait bien.
Marie-France emprisonne les poils du pubis de sa conquête dans sa main et tire dessus, pour faire se baisser la belle brune. Elle s'agenouille, suivit dans son déplacement par sa nouvelle camarade, et entreprend d'allonger doucement Isabelle sur la moquette. Elle accompagne tous les mouvements de la brune pour que celle-ci soit installée le mieux possible.
L'hôtesse se laisse conduire docilement par cette femme douce et sévère tout à la fois. Elle la laisse également lui relever la jambe droite et la pousser sur le côté. Le massage de son bouton d'amour reprend de plus belle, elle reste là, à déguster les rapides passages du doigt sur son clito et ne s'occupe de plus rien d'autre.
La directrice contemple le résultat de ses flatteries, Isabelle semble aimer, par-dessus tout, se faire bricoler son petit bouton. Elle appuie encore ses caresses, et, d'un ton sec, s'adresse au jeune homme :
- Va me chercher une pince à linge, vite.
Marc se lève, suit des yeux les doigts de sa patronne, tout en se rendant à la salle de bain. Il en revient presque immédiatement avec l'objet demandé, s'approche des deux femelles et le tend gentiment avec un regard interrogateur.
Marie-France s'en saisit et, après avoir écarté les deux mâchoires de plastique, vient le positionner sur le clito rougi par tant de soins. Lorsqu'elle est sûre du montage, elle relâche doucement les prises pour laisser la pince mordre, très progressivement, le tendre morceau de chair.
Isabelle crie de douleur dans un premier temps, ensuite, elle s'habitue lentement à la présence insolite de l'objet. Elle se demande ce que va bien pouvoir encore inventer la blonde libidineuse. En fait, après quelques minutes d'acclimatation, le pincement de son bouton commence à lui procurer des sensations nouvelles, ni bonnes, ni mauvaises, mais bizarres. Curieuse de la suite que va donner sa copine, à ce premier ébat, elle attend sans broncher.
Le jeune homme reste là, à contempler le sexe de sa compagne agrémenter de la pince. Il ressent un sentiment étrange, à la vue de son amie ainsi maltraiter, il ne pourrait dire si cela le gêne, l'amuse, le dégoûte ou l'excite. Tout ce qu'il devine, c'est que la suite des événements, risque d'être inoubliable.
La directrice regarde intensément sa partenaire et lui demande :
- Il te plaît, ton nouveau bijou chérie ?
- Je ne sais pas trop, déclare la brune, en fait, elle est très gênée par la question, cela commence à lui plaire, en effet, mais de là à l'avouer…
- Tu vas t'y habituer, je veux que tu gardes ta pince pour l'instant.
La blonde vient s'agenouiller au-dessus du charmant visage, elle écarte ses genoux jusqu'à toucher le nez de la jolie brune avec ses fesses, là, elle lui ordonne froidement :
- Maintenant, lèche-moi bien.
Isabelle s'exécute, elle sort sa langue et vient donner des petits coups sur la chatte ouverte et dégoulinante de cyprine.
La belle directrice mouille toujours abondamment, et le liquide ne peut être contenu dans sa matrice tellement il est liquide.
La brunette adore le parfum de femme, elle s'enivre de la douce et délicieuse liqueur, elle essaye de n'en pas perdre une goutte. Malgré cela, elle en sent ruisseler sur sa joue, ce qui l'a fait redoubler de vigueur pour laper le maximum de jus.
Marc ne perd pas un instant du spectacle, pour mieux voir œuvrer son amie, il baisse sa tête. De là, il ne peut être plus près sans déranger ces dames. Il aperçoit cette langue, si souvent sur son propre sexe, butiner la chatte luisante de sa patronne, il la sait très généreuse en se qui concerne ses effluves, et imagine aisément tout le bonheur que reçoit sa compagne.
Lorsque les premiers coups de langue ont rallumé le feu qui consume la matrice de Marie-France, celle-ci se laisse aller à prendre ses seins en mains et à les malaxer comme elle aime tant à le faire. Elle regarde le jeune homme très absorbé par la représentation qu'elle donne avec sa complice et sourit à la pensée de l'envie qui doit tenailler l'homme, condamné à n'être que spectateur pour le moment.
Isabelle a ramené ses mains sur le ventre tiède de sa partenaire et lui prodigue de douces et tendres caresses. Elle lèche joyeusement le sexe blond, dont elle apprécie tout particulièrement les arômes. Ses yeux voient les fesses et le dos de son amie, mais cela ne lui pose pas de problème pour faire ce qu’elle lui a demandé.
D'un coup, la lubrique directrice jette ses bras en arrière, prend appui sur ceux-ci, cambre son dos. elle avance son fessier pour venir placer son petit trou juste en face de la bouche de sa copine et ordonne, dans un souffle, qui trahit son excitation :
- Encule-moi, salope...
Isabelle ne se fait pas prier et enfuit son appendice dans l'anus odorant et dilaté. Elle sonde, d'une langue experte, l'intérieur de la cavité, faisant aller et venir son membre, à toute vitesse.
Ces agissements font tressaillir la blonde, bien que les pénétrations ne soient pas profondes, le rythme soutenu de celles-ci lui tire des gémissements, images d'une jouissance non feinte. Elle sent les mains de sa partenaire, venir écarter ses fesses et l'incursion devenir plus profonde. Pour améliorer encore la manœuvre, elle laisse son cul venir en contact avec le visage de la jolie brune.
L'hôtesse a maintenant la bouche plaquée à l'anus de sa maîtresse, elle le fouille partout, le possède complètement. Elle veut faire jouir le plus possible sa nouvelle amie, pour lui montrer que, malgré son jeune âge, elle aussi est experte dans les jeux de l'amour saphique. Elle ressent toujours le pincement de son clito, loin d'être désagréable, la sensation lui rappel les douces morsures que lui assener jadis sa bonne amie à la pension.
La directrice ne peut plus se retenir et s'affale sur le fin visage de sa conquête. Ses jambes et ses bras sont pris de convulsions, elle ne les maîtrise plus du tout. Elle reste dans cet état un long moment et ne sort de sa torpeur, que lorsque la brune fait entendre de drôles de petits couinements, annonçant son manque d'oxygène. Elle se rend compte qu'elle a joui durant de longues minutes, en guise de remerciements, elle ordonne à sa compagne :
- Mets-toi à quatre pattes.
La jolie brune s'exécute, elle se redresse, se tourne et prend appui sur ses genoux et ses coudes. Dans cette position, elle se met à onduler lascivement du bassin dans une invitation obscène. Durant tout le mouvement, elle a fait très attention à ne pas perdre la pince à linge, donc pour le moment, à chaque vague de son postérieur, la pince prend du retard sur l'action et tiraille à chaque fois, son clito endolori.
Marie-France est venue se placer derrière sa proie et lui exprime à nouveau ses désirs paillards, en disant :
- Écarte tes miches, que je vois ton trou du cul !
Isabelle dégage ses bras, se retrouvant ainsi avec la joue et les seins sur le sol, et vient ouvrir son postérieur pour en faire apprécier l'intérieur à sa maîtresse. Elle se trouve dans une position des plus inconfortable, néanmoins, elle est tellement excitée par cette femme, qu'elle accepte tout ce qu'elle lui demande.
La patronne salace prend son sein droit dans sa main et vient frotter son téton sur le sphincter exposé. Elle titille le muscle de la pointe, de son nichon, toute durcie. Par moment, elle essaye même de l'introduire dans l'étroit endroit. De voir cette chienne brune s'exhiber de la sorte lui donne des idées, les plus libidineuses les unes que les autres. Elle lève les yeux vers Marc et lui commande :
- Va me chercher du beurre, au lieu de rester là, à mater comme un gros salaud !
Le jeune homme se relève et court dans la cuisine, pour prendre dans le réfrigérateur la matière grasse demandée. Il revient du même pas pressé et tend le beurrier ouvert à sa patronne.
Celle-ci l'attrape, sans remerciements pour son employé, pas même un regard, le pose à terre et déclare, en s'adressant à la jeune fille :
- Je vais te beurrer la tartine, mon petit loukoum.
Joignant le geste à la parole, elle détache un bon morceau de la motte et l'introduit doucement dans l'anus présenté. Au contact de la peau chaude, la matière fond lentement, se répandant dans les entrailles de la jolie brunette.
Isabelle trouve cela très amusant, jamais, elle n'avait imaginé se servir du beurre comme cela. La matière grasse en train de s'infiltrer dans ses boyaux lui procure beaucoup de plaisir, elle a l'impression de ressentir chaque particule qui s'insinue dans les méandres de ses tripes.
- Je vais t'enculer, espèce de pute, annonce froidement la directrice.
Pour ce faire, elle enduit les quatre doigts de sa main droite de beurre, fait glisser la matière grasse sur toute la longueur de chaque doigt, reprend un autre morceau pour le mettre à nouveau dans l'anus et introduit doucement son index dans l'œillet marron.
Isabelle est surprise de l'incursion, c'est tout doux et la dilatation de son rectum ne lui procure aucune souffrance, seul le plaisir est présent à cet instant. Les insultes proférées précédemment ajoute encore à la bizarrerie du moment, elle se sent soumise et souillée. Jamais, auparavant, elle n'a eu ce sentiment de n'être plus qu'une chose. Et cette impression de salissure, de dépravation, augmente d’autant plus son excitation et semble doubler son plaisir.
Marie-France rode bien tout le pourtour de l'anus avec son unique doigt, quand elle pense être arrivée à ses fins, elle ressort le doigt, l'accole au majeur et réintroduit les deux doigts joints dans le cul de la belle brune.
Celle-ci, sous la surprise de la grosseur qui pénètre en elle, par-derrière, a tendance à resserrer ses fesses. Une claque vient la rappeler à l'ordre et détend ses muscles. Elle se laisse alors prendre plus profondément, ne ressentant toujours aucune souffrance, malgré l'ouverture supplémentaire de son sphincter.
La blonde s'amuse maintenant à ramoner le conduit de sa partenaire, pour mieux dilater l'anus, elle n'arrête pas de tourner ses doigts dans l'orifice de manière à faire un beau trou rond.
Marc s'étonne de la facilité avec laquelle Marie-France enfonce ses doigts dans les intestins de sa copine, il voit avec bonheur qu'il pourra la sodomiser bien plus souvent qu'il ne le faisait jusqu'à présent.
La directrice ressort une nouvelle fois ses doigts, en joint trois, puis, d'abords tout doucement, les introduit dans le cul offert.
Cette fois, Isabelle semble refuser, elle avance, au fur et à mesure, son bassin vers le sol.
Cette attitude a le don d'exacerber les sens de la belle blonde, elle gifle violemment la fesse gauche et s'écrie :
- Viens là, salope, viens que je t'enfile trois doigts dans ton cul de pétasse !
- Oh non, pas trois, tu vas me déchirer ! Répond la jolie brune, en craignant la souffrance d'un tel morceau dans ses entrailles.
- Ta gueule, chienne, et une seconde tape, beaucoup plus violente, vient affirmer la volonté de la directrice.
Paradoxalement, la claque a détendu la jeune fille, elle se cambre à nouveau et accepte, cette fois, la pénétration anale des trois doigts. La distension de ses muscles fessiers se fait maintenant ressentir, mais de là à parler de douleur, il y a un monde ! Elle laisse donc la patronne de son compagnon se servir de son corps.
Cette dernière, remarquant que son esclave sexuelle revient à de meilleurs sentiments, s'applique à faire entrer doucement ses membres, elle joue de douceur et de bienveillance, estimant que là, elle va bien plus loin que ne l'imaginait sa partenaire. Aussi prend-elle un temps infini pour enfoncer complètement les trois doigts. Une fois qu'ils ne peuvent plus avancer, elle tourne doucement sa main, très lentement, laissant le temps aux chairs malmenées de s'espacer.
La lente rotation des intrus dans son côlon provoque des brûlures dans tout le bas du ventre de la belle brune. Néanmoins, elle se laisse encore faire et ne se plaint pas, seuls quelques gémissements lui échappent parfois. La sensation est de plus en plus étrange, cette fois, faite de plaisirs et de douleurs. Le subtil mélange des deux perceptions antagonistes, lui laisse un goût amer en bouche, mais elle ne veut absolument pas arrêter sa nouvelle maîtresse. Les claques qu'elle a reçues lui font prendre conscience de son état de dépendance, vis-à-vis de cette femme, dure et tendre à la fois.
Marie-France prend tout son temps pour ouvrir en grand le cul qui lui est confié, elle ne veut pas non plus que sa nouvelle amie souffre trop, du moins, pas tout de suite ! À force de persévérance, elle finit par mettre ses trois doigts à l'horizontale dans l'anus qui se fend et s'ouvre tout grand. Elle s'adresse alors à son employé :
- Viens voir, elle pourrait se faire enculer par un cheval, tellement elle se dilate.
Le jeune homme s'approche de sa patronne et regarde, d'un air partagé, l'œuvre qui lui est présentée. Il ne sait pas s’il doit être heureux des supplices qu'endure sa bonne amie ou s’il doit se rebiffer et exiger de cette femme, à moitié folle de luxure, qu'elle arrête sur le champ. Au moment où il va poser une question, Marie-France prend la parole.
- Tu as bien choisi Marc, cette fille est une vraie nymphomane et je suis sûre qu'elle apprécie mes traitements. Puis, s'adressant à Isabelle, elle ajoute, t'aimes ça, hein, cochonne !
- Oui chérie, défonce-moi le cul, vas-y, je suis toute à toi ! Répond la jolie brune, d'une voix étranglée.
Sur ces derniers mots, l'homme comprend que sa compagne savoure ce jeu un peu fou, il se retient donc d'intervenir en faveur de sa copine et se pousse sur le côté pour permettre à sa directrice de continuer.
L’aveu de la belle soumise a attisé le feu lubrique qui ronge la blonde. Elle dégage alors ses doigts en toute hâte, les enduit à nouveau de beurre et approche maintenant sa main tendue et droite vers le cul de la belle brunette. Les deux premiers centimètres pénètrent sans aucune résistance, ensuite, cela devient plus dur, malgré les fesses ouvertes au maximum, par la jeune fille, chez qui on sent l'envie d'aller toujours plus loin, dans son délire de femme docile.
Elle fait pourtant de sérieux effort pour accueillir la main dans ses boyaux, Isabelle, malgré sa bonne volonté, elle éprouve une violente douleur lorsque le petit doigt vient grossir le groupe d'intrus dans son côlon et crie à plein poumon.
- C'est rien, ça va passer, explique gentiment la blonde. Puis, elle continue à exercer une pression de plus en plus forte sur sa main, de manière à la faire entrer entièrement. Que son esclave souffre n'est, cette fois, pas pour lui déplaire complètement. En effet, si cette chienne veut lui appartenir, elle n'est pas contre, mais exige des preuves de sa soumission la plus totale. Elle persiste dans son œuvre, sans se soucier, de trop, de la douleur engendrée.
Isabelle crie à chaque mouvement de la main dans ses intestins, elle pourrait pleurer, mais s'y refuse, elle veut faire montre de la plus grande docilité à l'égard de sa maîtresse, elle accepte donc le supplice avec résignation.
Maintenant que sa main est à moitié enfoncée, la directrice se met à mouvoir ses doigts, pour cajoler, un tant soit peu, la pauvrette devant elle. Les réactions de cette dernière, lui indiquent que les caresses internes soulagent la brune. Elle en profite pour lui ordonner :
- Maintenant, tu vas sucer ton mec, ça occupera toujours ton troisième orifice ! Puis, se tournant vers le jeune homme, ajoute, allez, va te faire pomper le nœud par cette enculée.
- Avec plaisir, répond Marc, mi-figue mi-raisin.
Il se déplace sur les genoux, s'allonge par terre pour être à la hauteur du visage de sa compagne et vient lui offrir son pénis raide en lui répétant :
- Vas-y, suce-moi bien, salope !
Isabelle, n'ayant pas l'habitude d'être traitée de la sorte, regarde bizarrement son ami, elle n'a pas le temps de placer un mot, car la femme blonde secoue sa main dans ses entrailles, comme pour la rappeler à l'ordre. Elle prend donc la grosse pine dans sa bouche et la suce doucement. Dans la position qu'elle occupe, de tailler une pipe, est un vrai calvaire, néanmoins, elle fait un terrible effort et y parvient tout de même.
Ce n'est pas une pipe royale qui lui est administrée, mais en fin, l'instant n'est pas au perfectionnisme et Marc s'en contente. De toute façon, il bande déjà comme un taureau, et, si le traitement se prolonge un peu, il risque de partir dans la bouche de sa copine. Ce serait une grande première d'ailleurs !
- Ça te plaît de te faire écarteler le trou du cul ? Hein salope, interroge durement Marie-France en faisant tourner sa main.
- Hum... Hum... Gémit simplement, en guise de réponse, la jolie brune, la bouche pleine ne lui permet pas d'autre choix.
- Maintenant, je fais te faire décoller sale pute ! Renchérit la blonde d'une voix de démente.
De sa main libre, elle vient attraper la pince à linge en la saisissant par les mâchoires, non pas du côté qui ouvre la pince, mais vraiment sur les mâchoires, et elle presse les deux parties de plastique d'un coup sec et énergique.
Le résultat ne se fait pas attendre, la jeune fille grogne sauvagement en mordant la bite qu'elle a en bouche.
Marc crie à son tour, plus de la surprise que de douleur à proprement parler. Une seconde plus tard, il éjacule puissamment dans la bouche chaude de sa copine.
Les gros jets de sperme emplissent toute la bouche d'Isabelle qui croit étouffer, elle est bien obligée d'avaler le foutre ne pouvant dégager cette queue, car ses mains retiennent toujours ses adorables fesses. Elle avale le sirop sans dégoût, si son ami le lui avait demandé, elle aurait refusé, c'est certain, mais là, dans le feu de l'action, elle boit toute la semence et trouve même le petit goût de noisette agréable.
C'est le moment que choisi la blonde pour étirer le clitoris déjà bien malmené. Prise dans son élan, c'est tout naturellement qu'elle traduit ses pensézs et s'écrie :
- Jouis, chienne, t'en as partout maintenant, sale pétasse, vas-y, prends ton pied...
Pour laisser s'exprimer sa partenaire, dont il a un peu pitié, l'homme retire son sexe gluant de la bouche, si accueillante pourtant, et attrape un sein pour le presser.
Isabelle jouit d'une force peu commune, elle décolle littéralement de la moquette, ne sait plus d'où lui viennent le plaisir et la souffrance, mais elle prend son panard force dix !
Elle reste un très long moment prostrée, ses muscles détendus, plus aucune force pour faire quoi que ce soit. Elle n'a même pas senti que sa maîtresse à retirer sa main de son cul, ni que la pince a disparu de son bouton d'amour. Elle est toujours dans la même position, ne pouvant ni se relever, ni s'allonger complètement. Aussi ne se rend-elle pas compte du fougueux baiser qui uni Marc à sa patronne.
La tension nerveuse de la folle directrice est retombée à l'instant où sa belle esclave atteignait le septième ciel, pour ce soir, elle n'a plus de vice à satisfaire et recherche un moment calme et câlin avec les deux jeunes dont elle a usé et abusé. Elle propose à son employé d'aller se coucher tous les trois ensemble.
Marc, n'y voyant aucune objection, accepte pour lui et sa copine. Pour laisser le temps à cette dernière de reprendre ses esprits et son souffle. Le jeune homme pose délicatement sa tête sur la poitrine de sa patronne qui s'est assise par terre, et tétouille gentiment le premier sein à sa portée.
Isabelle met un temps fou pour se ressaisir, plus d'une demi-heure après les étonnants traitements subits, elle émerge enfin et découvre son compagnon en train de téter sa nouvelle amie. Sans jalousie, aucune, elle vient près du couple impudique et embrasse tendrement sa maîtresse. Plus tard, elle lui avoue :
- Je n'ai jamais ressenti pareille émotion ! Tu es une reine, je t'appartiens désormais et ferais tout pour te rendre heureuse, chérie.
Après une courte pause laissant le temps à la directrice de bien peser tout son propos, elle ajoute :
- Si tu me le demandes, je quitte Marc et viens avec toi.
- Non ! La réponse est franche, mais aussi froide. Puis, d'un ton beaucoup plus conciliant, Marie-France continue, Viens, allons nous coucher tous les trois ensemble.
Le trio se lève et rejoint la chambre pour s'allonger sur le grand lit, Marie-France au milieu, Marc à droite et Isabelle à gauche.
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