Un bon job : Chapitre 5 : Souvenir de pension Partie 1
Ce vendredi à dix heures, quand le téléphone sonne, Marc s'attend à entendre son premier client lui signifier que le marché, sur lequel il a passé trois longues semaines à préparer sa réponse, lui est adjugé officiellement. Eh bien, non, c'est sa patronne qui l'appel pour l'inviter à prendre le café. Il accepte avec joie, passe un petit coup de fil à la standardiste pour lui demander de rediriger ses communications et monte à l'étage.
Marie-France et Marc, dans le canapé, prennent un café en discutant des affaires en cours. Le jeune employé est très fier d'annoncer ce matin que le premier appel d'offre, auquel il ait répondu, soit incessamment signé. Sa directrice le félicite chaudement en lui disant :
- Bravo jeune homme, et quand arroses-tu ça ?
- Ce soir même ! Si tu le peux, je t'invite à dîner Marie-France. Je te dois beaucoup d'ailleurs.
- Mais il me semblait que tu ne vivais pas seul, je me trompe ?
- Effectivement, je vis en concubinage. Je lui en ai parlé, bien sûr, certains sujets seront tabous, tels que le fameux vendredi soir chez Antoine !
- Ah bon ! Et bien soit, et à quelle heure dois-je venir ?
- Viens pour dix-huit heures trente, de toute façon, Isabelle sera là bien avant, pour le cas où j'aurais du retard.
Sur ce, le téléphone sonne, la directrice se lève, se dirige vers son bureau en disant à son employé:
- Les affaires reprennent ! À ce soir Marc.
- OK, à ce soir, et l’homme sort de la pièce et retourne travailler.
Vers quinze heures, Marc reçoit le coup de fil tant attendu, il se rend en plein Paris, pour recevoir la merveilleuse signification.
Sur le coup de dix-sept heures, Marie-France, dont la journée a été plutôt chargée, décide de clore là, sa semaine. Elle range ses affaires, va se refaire une beauté, dans le cabinet attenant à son bureau et se rend au sous-sol. Au moment de démarrer, elle se souvient avoir promis à Marc de venir dîner et de n'arriver que vers dix-neuf heures. Pour avoir déjà raccompagné son nouvel employé, elle sait qu'il ne lui faut pas plus de dix minutes pour s'y rendre. Tant pis, elle est partie, elle sera en avance.
Sur le chemin, elle s'arrête acheter un gros bouquets de fleurs pour l'amie du jeune homme qu'elle ne connaît pas. Ensuite, elle se rend à l'adresse connue et se gare sur le parking au pied de l'immeuble.
Après avoir sonné, elle est accueillie par une belle jeune fille, aux cheveux châtains, aux yeux d'un noir de jais.
- Bonjour, je suis Marie-France, la patronne de votre ami, veuillez m'excuser, je suis très en avance. Mais j'ai préféré monter plutôt que de rester dans ma voiture, je ne vous dérange pas au moins ? Dit la blonde d'une voix douce, tout en détaillant la petite brune.
- Non, non, pas du tout. Mais entrez, je vous en prie. Et Isabelle, d'un geste gracieux, invite la blonde à passer le seuil de la porte.
Une fois dans l'entrée, l'hôtesse referme la porte, passe devant la blonde et lui demande :
- Vous voulez me donner votre veste ?
- Merci beaucoup. Voici ce bouquet pour vous, j'espère que vous aimez les fleurs ? Demande la directrice en offrant la gerbe qui lui a coûté une vraie petite fortune.
- Oh oui, merci bien, je vais les mettre dans un vase, je vous en prie, mettez-vous à l'aise, Marc ne doit pas tarder.
Tandis que la jeune femme va en cuisine, s'occuper de ses fleurs, la belle blonde retire sa veste et réajuste son fin chemisier pour que ses seins libres puissent se deviner sans se voir. Ensuite, elle inspecte les lieux d'un regard inquisiteur, puis s'adresse à Isabelle :
- Vous êtes bien installés ici !
- Oui, c'est pas très grand, mais sympa.
- Vous faites quoi dans la vie, si ce n'est pas indiscret ?
- Je suis secrétaire, je fais de l'intérim, j'espère bien être embauchée prochainement.
- Et ça fait longtemps que vous travaillez ?
- Non, depuis septembre, je viens d'avoir mon bac et c'est mon premier boulot.
- Ah, très bien. Et vous êtes de la région ?
- De fontainebleau, mais j'étais en pension à Orléans.
- Ah bon, moi aussi, j'ai fait mes études en pension !
Sur ces mots, la jeune femme revient, les bras encombrés d'un gros vase contenant les fleurs, un subtil parfum envahit l'entrée de l'appartement.
Elle sort de la cuisine, regarde Marie-France plantée dans l'entrée et dit :
- Mais entrez, je vous en prie, ne restez pas là.
Elle pousse doucement la porte du salon avec le pied, entre, installe le vase sur la table au centre de la pièce. Elle revient ensuite vers son invitée et la débarrasse de sa veste.
Marie-France s'arrange pour que ses mains touchent celles de la jeune femme. Elle tente, dans le regard de cette dernière, à identifier les sensations ressenties par ce premier attouchement. Rien, elle ne remarque rien, en tout cas aucune méfiance ou retenue. La jeune femme n'a pas cherché à esquiver le contact.
Elle pose délicatement le vêtement sur le perroquet dans le vestibule et revient. En voyant la patronne de son ami toujours debout, elle s'approche et lui dit doucement :
- Vous n'allez pas rester debout toute la soirée ? Faites comme chez vous, asseyez-vous.
- Oui, merci, répond-elle et va se placer devant le bout du canapé, près du mur.
Là, elle replie sa jupe sous ses fesses et s'assoit. La première chose qu'elle fait est d'allonger sa jambe droite et de venir passer l'autre par-dessus. De cette manière, elle exhibe ses cuisses où on peut apercevoir le liseré de dentelle de ses bas. Elle guette les réactions de la jeune femme.
Isabelle s'est assise également, à l'autre bout du sofa, dans une attitude de réserve. Elle ne sait pas par où commencer, vraiment. Marc est terrible, il invite et n'est pas là ! Pour meubler, elle demande d'une voix suave :
- Voulez-vous boire quelque chose ?
- Un verre d'eau s'il vous plaît, Mademoiselle.
- Je vais vous chercher ça tout de suite.
La belle jeunette se lève et ne s’aperçoit pas que des yeux malicieux courent sur les courbes de son corps qui ondulent au rythme de sa démarche. Elle sort de la pièce et revient pourvu d'un grand verre, remplit au trois quarts d'eau fraîche. Elle le tend à la blonde et se rassoit.
Marie-France trempe ses lèvres dans le verre et se désaltère de la moitié du contenu. Pendant qu'elle a le verre à la bouche, elle en profite pour détailler, de plus près, la belle jeune femme assise en face. Son regard souligne le galbe des seins et descend pour admirer les jolies cuisses nues. La jupe courte de la jeune, laisse la blonde voir parfaitement le velouté de la peau. Une fois rafraîchie, elle poursuit la conversation d'un ton anodin.
- Je garde de très bons souvenirs de la période où j'étais pensionnaire, à Bordeaux d'ailleurs, et vous ?
- Oui, sommes toutes, j'ai beaucoup bûché, mais les copines étaient si chouettes, qu'il m'arrive de regretter ces moments.
- Oui, et puis entre filles, on se comprend mieux ! Ajoute Marie-France, une lueur étincelante passant dans ses yeux.
- Oui ! Isabelle est devenue rêveuse, son regard semble s'envoler vers d'autres cieux, passés ceux-là.
- Moi j'avais une très bonne amie que je ne quittais jamais, nous faisions tout ensemble, jamais l'une sans l'autre. Thérèse qu'elle se nommait, je ne l'ai plus revue après, c'est bête, non ? Le ton de la blonde c'est fait miel.
- Moi, c'est pareil, je ne revois plus Chantal, on se téléphone souvent, mais elle vit à Marseille et poursuit ses études. J'espère bien pouvoir la revoir un jour !
- Si vous étiez très liée, je vous le souhaite de tout cœur. C'est dommage de perdre de vue, un être que l'on aime.
- Oh oui, dommage ! admit la brune, dans un gros soupir très explicite.
Isabelle se souvient des moments follement excitants. Elle passait ses soirées en de longues et suaves caresses. De temps à autre, elle dormait avec sa copine, enlacé l'une à l'autre, peau contre peau, seins contre seins, la chaleur de l'une réchauffant l'autre. Elle se remémore les longs baisers tendres, la bouche de son amie sur sa poitrine, les petits coups de langue sur ses chairs intimes. Perdue dans ses pensées, elle adopte, inconsciemment, une attitude beaucoup plus ouverte, à l'égard de la femme en face d'elle.
Marie-France se rend compte qu'elle vient de provoquer, une des réactions qu'elle souhaitait chez la jeune fille. Elle la voit ouvrir ses bras, et comprend que son interlocutrice est en train de se souvenir de très bonnes choses. Elle en saisit l'occasion pour se rapprocher de la belle.
Peine perdue ! L'entrée de Marc est annoncée par un bruit de clefs dans la serrure.
Il reste quelque temps dans le vestibule à se dévêtir et entre dans le salon. Il embrasse prestement sa jeune compagne et se vautre entre les deux femmes.
- Dis Marc, qu'as-tu prévu ce soir, demande gentiment Isabelle.
- Oh flûte ! Il faut que j'aille en course, c'est ça ? S'inquiète le jeune homme dont le planning de la soirée a été chamboulé.
- Eh bien disons que si tu n'y vas pas, c'est nouilles et pâtes, ce soir !
- OK, Mesdames, veuillez m'excuser une petite heure.
Il se lève, va dans le réfrigérateur faire un rapide point de ses besoins et repart.
Les deux femmes restent seules, la blonde est impatiente de reprendre la conversation en tête-à-tête avec la petite brune, qui lui fait très envie. Elle reprend donc là où elle en était, d'un ton mélancolique.
- Où en étions-nous, toutes les deux ?
- Ha oui, moi, je ne sais absolument pas ce qu'est devenue ma tendre amie. Même encore aujourd'hui, je repense souvent à elle. Il m'arrive même parfois d’en pleurer.
- Oh !
Fait Isabelle, bouleversée par les confessions de cette belle blonde, elle compatit et adresse un joli sourire à cette femme, dont elle se sent proche. Puis, elle ajoute, encline à la confidence :
- Vous devez beaucoup l'avoir aimée, je me trompe ?
- Oui, c'est le moins que l'on puisse dire ! Je me surprends, de temps à autre, à rechercher, dans les personnes que je rencontre, l'amour que j'éprouvais jadis.
En disant cela, Marie-France se rapproche encore un peu de la jeune fille. Elle lui adresse un grand et beau sourire, un rien, nostalgique. Elle sent que son histoire ne laisse pas indifférente la jeune hôtesse, stimulée par l'attitude de compassion de son interlocutrice, elle en profite pour s'emparer de la main droite de la jeune brune et continue :
- Vous me comprenez, n'est-ce pas ?
- Je pense ressentir les mêmes choses, parfois.
Isabelle laisse sa main dans les mains douces et chaudes de la belle blonde. Cette femme, qui pourrait être sa mère, est si charmante, qu'elle ne se sent pas le courage de la repousser. Et puis, entre femmes, il existe une grande solidarité naturelle.
Marie-France est très excitée, sa nouvelle amie semble se laisser faire, elle sent sa poitrine se gonfler de désir et ses tétons se durcirent. Elle entreprend de caresser le dos de la main qu'elle tient, avec son pouce et guette les réactions de la jeune hôtesse.
Les deux femmes se regardent tendrement, la suite du dialogue passe par les yeux des deux belles. Elles communient dans le charme de l'instant.
Marie-France avance tout doucement son visage d'Isabelle, maintenant, celle-ci se rapproche également. Les deux bouchent ne sont plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre, c'est le moment où la blonde enlace la brune et vient visser sa bouche sur celle de sa nouvelle complice.
La jeune brune se laisse embrasser, elle accueille la langue amie qui s'introduit en elle, s'abandonne aux douces caresses prodiguées par des mains expertes sur ses flancs, elle sent le souffle court de la belle blonde qui coule sur sa nuque. N'étant pas égoïste de nature, elle passe sa main sur le cou de sa partenaire et la descend vers la naissance des seins. Elle insinue sa menotte dans le chemisier entrouvert et goûte au velouté de la peau tendre de son amie. Elle palpe la première mamelle à sa portée, très précautionneusement, très délicatement. Les seins lourds de la blonde sont un vrai ravissement.
Marie-France, tout en embrasant fougueusement la belle brune, s'enivre de cette main qui lui pelote le sein gauche, elle le sent bouger sous la pression des doigts agiles, le très léger déplacement de ses glandes mammaires, sous les palpations, lui procure, d'un seul coup, des bouffés de chaleurs intenses. Elle sent sa chatte s'humidifier.
Isabelle est déboussolée, le souvenir des tendres moments consacrés, en pension, à faire l'amour avec sa copine, lui a enflammé les sens. Elle apprécie les caresses de cette belle blonde et est excitée, tant par celles-ci que par les réminiscences de son passé proche. Elle tend sa poitrine pour sentir le contact de ses seins avec ceux de son invitée à travers les fins tissus.
La belle directrice s’enhardit à défaire les boutons de son chemisier. Une fois ses seins libérés, d'une voix très attendrissante, dégage sa bouche de celle de la jolie brune et s'adresse à elle :
- Viens me téter mon bébé…
Et d'une main ferme, capture la nuque et soulage la tête de son hôtesse pour que celle-ci se retrouve confortablement, la bouche sur la mamelle offerte, à téter.
La blonde penche son visage en avant pour admirer la fine bouche en action. De sa main libre, elle prend son sein par le dessous et le comprime comme pour mieux nourrir cette jeune femelle. Elle aime à laisser libre cours à son instinct maternel car, très souvent, elle provoque un vif émoi chez sa partenaire et cela permet, dès le début des relations intimes avec une nouvelle conquête, de se positionner en dominante. Elle sait que, si sa proie ce plie à se premier désir, la suite sera beaucoup plus aisée. En l'occurrence, elle pense que l'apprentie lesbienne soumise Isabelle passe avec brio ce premier examen.
La belle brune tète avidement ce sein gonflé. Pleins de souvenirs lui reviennent à la mémoire, ceux de pension, mais aussi d'indicibles sensations de situations vécues, il y a fort longtemps. Elle aimerait goûter le lait de cette femme si douce et maternelle. Elle étreint son amie doucement, laisse sa tête brune se poser délicatement sur les cuisses de la belle, et, pour être plus à son aise, allonge ses belles jambes sur le canapé.
Le mouvement, exécuté par la petite nénette, attendrit Marie-France. elle lâche la nuque fine de sa copine et en profite pour caresser tranquillement tout le corps à sa portée. Elle passe une main légère sur les seins toujours emprisonnés dans l'étoffe fine, puis descend vers le ventre, dégage le T-shirt de la jupe d'Isabelle pour venir, cette fois, en contact avec l'épiderme chaud et velouté de l'abdomen.
- Tu a un grain de peau si fin ! S'étonne la blonde, tout en laissant ses doigts effleurés la peau satinée.
Le corps de le jeune femme tressaille sous les attouchements. Isabelle perd la tête à vouloir tirer du lait de ce sein qu'elle a en bouche, le sentir malaxé par sa propriétaire pour qu'elle s'y nourrice, la rend folle de bonheur. Elle voudrait que le temps s'arrête.
Marie-France continue ses investigations, elle cajole le haut des cuisses tendres et remonte innocemment la jupette toujours plus haut. Lorsque ses doigts viennent en contact avec le coton de la culotte bleue, que porte la brune, elle insinue son majeur sous le tissus et caresse précautionneusement la vulve sans l'entrouvrir. Elle discerne le soyeux des poils, sur sous ses doigts, ce contact l'excite énormément.
Le doux parfum de la blonde et les caresses prodiguées, attisent l'excitation d'Isabelle. Elle prend le deuxième sein à sa portée, l'enserre de ses doigts et triture le téton entre son pouce et son index. Elle sent la belle blonde se redresser, lui indiquant qu'elle apprécie particulièrement ce type de flatteries. Le doigt qui se promène sur son abricot fendu, l'excite davantage, elle le voudrait plus envahisseur encore.
- Tes caresses me font mouiller, ma chérie, annonce Marie-France, tout en sentant le sexe, de sa jeune amie, suinter également.
La voix suave de la patronne de son compagnon, donne des envies beaucoup plus précises à Isabelle. Elle lâche le sein qu'elle câlinait doucement, attrape le poignet sur son ventre et presse la main amie, contre son sexe. Elle écarte ses jambes pour mieux offrir son minou humide, qui s'entrouvre tout seul. Le passage du doigt expérimenté sur son clitoris lui donne des sensations d'une violence extrême, elle est au nirvana !
Marie-France apprécie particulièrement l'initiative de la jeune fille et, très excitée, laisse tomber, d'une voix un rien moins douce :
- Tu aimes ça, hein !
- hum… Se contente de râler la jolie brune.
La directrice branle énergiquement le bouton d'amour de sa copine en appréciant toujours la lente et forte, succion que celle-ci exerce sur sa mamelle.
- Retire ta culotte, chérie, dit la belle blonde sur un ton doux, mais néanmoins sans contestation possible.
Isabelle exécute un mouvement pour détacher ses fesses du sofa et permettre, d'une main, de dégager le slip devenu gênant. Elle est aidée en ça par son invitée, et bientôt, la culotte bleue se retrouve sur la moquette épaisse. Elle en profite pour replier sa jambe gauche sur le canapé et laisser l'autre pendre dans le vide.
La patronne glisse son doigt fin dans la caverne intime de la brune, elle le laisse visiter les lieux et apprécier les bourrelets internes, de l'endroit chaud et inondé de jus de femelle. Elle entend le très léger clapotis que fait son doigt à chaque changement de place.
- J'ai très, très envie de ta chatte, ma belle ! Annonce Marie-France, le souffle court et les yeux brillants.
_ Oh oui, viens ! Se décide à dire la brunette en laissant là, le sein qu'elle tenait précédemment, en bouche.
La blonde se laisse glisser sur le côté, elle profite du mouvement pour goûter la peau douce de la cuisse gauche de sa nouvelle conquête. Puis, d'un mouvement bien composé, elle vient placer son visage au-dessus du pubis et respire les douces effluves s'en dégageant. Enfin, elle vient coller sa bouche pulpeuse sur la zone tant convoitée.
Isabelle passe sa langue dans le nombril à sa portée, elle passe ses mains sur le corps de sa nouvelle partenaire comme pour la remercier du bonheur qu'elle lui dispense.
Les pans du chemisier font régner une paisible atmosphère autour du ventre de la belle blonde.
Tout semble doux à Isabelle, la lumière filtrée par le tissu, la chaleur corporelle et l'odeur nacrée qui se dégage du ventre accueillant. Elle peut apprécier la vue des deux seins dont les mamelons touchent à sa peau.
Marie-France, très énervée par le goût sucré-salé de ce fruit défendu, plonge sa langue dans l'endroit chaud et le fouille le plus loin possible. La cyprine de la brune à une odeur particulière et enivrante, la femelle lubrique s'en délecte et en prend le plus possible en bouche, comme pour la goûter. La sensation qu'elle éprouve à cet instant lui fait perdre la tête, elle éjecte un fin filet de salive dans la chatte brune pour imiter une petite éjaculation et découvrir la réaction de son amie.
Celle-ci ne se fait pas attendre, la belle Isabelle aspire une brève bouffée d'air en propulsant son bassin en avant comme pour mieux recevoir les caresses de sa partenaire. Elle passe ses mains sur la jupe, au-dessus de sa tête et la remonte au maximum. Elle s’aperçoit que la directrice ne porte pas de culotte, très excitée par ce phénomène, elle vient plaquer sa bouche sur la vulve ouverte qui se rapproche de son visage par l'écartement des cuisses et le cambrage des reins qu'exécute la belle blonde.
Marie-France est aux anges, "cette petite salope est une vraie gouine", pense-t-elle, "j'ai bien fait d'engager son mec, quel couple lubrique !" Pour tester les réactions de la garce qu'elle lèche. Elle entreprend de lui glisser un doigt dans le cul, sans autre forme de procès.
Un doigt dans l'anus ! Voilà qui n'est pas fait pour déplaire à cette brune en chaleur, elle se souvient s'être fait sodomiser pour la première fois, par sa copine Chantal, en pension, ç’avait pris un temps fou, mais quel plaisir à l'arrivée. Elle adore que l'on s'occupe de ses deux trous de concert.
La belle directrice sonde la chatte brune de sa langue experte, elle frôle le clitoris enflé de son menton, de temps à autre, et exécute de petits moulinets dans l'anus de sa nouvelle amie avec son index. Le sphincter entoure le doigt et le serre, Marie-France adore un petit cul aussi étroit que celui-là, elle imagine par avance tout le plaisir qu'elle aura à le dilater.
Isabelle, enivrée par les effluves de l'abricot fendu qu'elle lèche, tient à rendre la politesse, elle écarte les grandes lèvres à l'aide de ses pouces et passe sa langue sur tout le sexe exposé. Elle remonte le bout de sa langue sur la fine membrane séparant le con du cul, et flatte toute cette zone sensible. Elle sent que ses caresses prennent sur sa partenaire, en effet, celle-ci cambre encore les reins, pour se prêter à cette divine langue, qui lui procure une joie intense. C'est le moment qu'elle choisit pour soigner l'anus très ouvert de la belle blonde. Elle effleure les bords du petit trou largement accueillant, le titille par de tout petits coups de langue, fait, comme si par timidité, elle n'osait pas entrer dans l'anus de la jolie femme mûre.
Prise d'une envie subite d'aller plus loin avec cette jeunesse, qui répond au quart de tour à ses sollicitations, Marie-France introduit délicatement deux doigts de sa main libre dans la moule de sa nouvelle amie. Sans forcer, elle les enfonce lentement, ses longs doigts envahissent ainsi la chatte inondée. Quand sa main arrive en butée, elle disjoint ses doigts et cherche à les écarter au maximum.
Isabelle n'en revient pas, les doigts magiques de cette femme la rendent folle. Elle sent l'intérieur de son sexe se détendre et doubler de volume, de la place ainsi laisser libre, lui remonte des sensations jusqu'à lors inconnues. Le tiraillement des chairs, enflamme tout son bassin, elle ne sait plus quelles zones lui procurent le plus de plaisir.
La directrice mordille le clitoris, ce qui fait gémir de plaisir sa conquête, elle entreprend maintenant de sortir ses doigts toujours désunis, elle recule sa main et sent ses ongles s'accrocher un peu aux parois de la matrice. Cette opération fait crier la jeune femme, ce qui excite encore plus Marie-France.
La petite brune cherche son souffle, elle ne se remet pas encore de l'émotion étrange qu'elle vient de ressentir, elle a l'impression de s'être fait griffer l'intérieur de son vagin. Pendant une seconde, elle ne pourrait dire si elle a joui intensément ou, si elle a souffert. Ces émotions sont vraiment singulières ! Elle veut que tout s'arrête, mais son corps en redemande.
- Tu aimes, ma chérie ? Demande la belle blonde d'une voix étouffée.
Isabelle ne sait plus parler, en guise de réponse, elle se contente de gémir doucement, Pour mieux se faire comprendre, elle donne un léger coup de rein de manière à ce que Marie-France continue.
- T'aimes ça ! Hein cochonne… Ajoute encore la directrice, sa voix trahit son excitation. Après une courte pause, elle conclut, prends ça ma belle !
Et, joignant le geste à la parole, elle joint ses trois plus grands doigts et les enfonce prestement dans la moule qui est restée entrouverte.
Isabelle, surprise de la pénétration, ne peut retenir un petit cri. Elle sent sa chatte totalement envahie. Ayant perdu le cours des choses, elle veut partager le bonheur que lui offre la belle blonde et se remet à lécher l'anus. Pour faire bonne mesure, elle plonge sa douce langue dans le boyau et en fouille les moindres recoins.
Une langue chaude dans ses tripes, voilà qui promet ! "De mieux en mieux", pense la femme lubrique, pour qui ce type de caresse en dit long. Un appendice qui lui fouille le cul a le don de la faire grimper au septième ciel, donc, elle part ! Elle s'époumone, tout à coup, elle relève la tête et crie son bonheur au monde entier.
- Vas-y, salope, bourre-moi le cul avec ta langue !
La brune, très contente de sentir sa partenaire jouir, fait tourner sa langue dans toute la zone à sa portée, elle la sort, la rentre, la fait aller à droite, puis à gauche, la retire encore, pour mieux la renfoncer. Elle mime un palot dans l'anus béant. À un moment, elle sent quelque liquide couler sur son menton au contact du sexe ouvert, elle cesse de jouer avec le petit trou, et vient laper tout le jus que produit la femelle blonde. Elle se régale du goût spécifique de ce nectar.
Tout cela n'est pas de l'avis de Marie-France, elle file une claque sonore sur la fesse droite de sa proie et dit d'un ton dur :
- Mon cul ! Occupe-toi de mon trou du cul, pétasse...
Isabelle est excitée autant par les paroles, qui lui sont adressées, que par les doigts au fond de sa chatte. Obéissante, elle se remet à s'occuper de l'anus odorant. Elle retourne dans les entrailles de la blonde avec sa langue et s'en accapare.
La perverse gouine joue à écarteler le vagin dont elle a pris possession, elle fait tourner sa main d'un quart de tour pour détendre les petites lèvres, toujours assez serrées, et remue ses doigts à l'intérieur de la matrice. Elle sent ses doigts s'engluer de cyprine.
Les grandes manœuvres dans son sexe, procure à la belle brune, une liesse intense. Follement excitée, elle s'entend dire :
Oui, chérie... C'est délicieux... prends-moi encore !
La directrice, comme folle, introduit alors, sans ménagement, deux doigts de l'autre main dans le rectum de la petite gourmande. Le sphincter laisse passer les deux appendices en les comprimant l'un contre l'autre.
La blonde entend soudain le bruit caractéristique des clefs dans la serrure, elle reprend de plus belle les traitements qu'elle administre à sa jeune complice.
Isabelle, complètement partie, n'entend pas son compagnon entrer dans l'appartement. Absorbée comme elle l'est par les différents mouvements des corps qui l'envahissent, elle n'entend pas plus la belle directrice dire à son compagnon :
- Quelle salope, ta gonzesse, et une vraie gouine avec ça !
- Tu m'avais promis… Commence à se plaindre le jeune homme, mais il n'a pas le temps d'en dire plus, Marie-France l'interrompt et lui ordonne :
- Assieds-toi sur la table et branle-toi.
- Mais...
- Allez, je te dis !
Le collaborateur s'exécute alors, il s'assoit sur la table basse, contemple le couple lesbien, baisse son froc et sort sa pine.
De là où elle est, Isabelle ne peut pas apercevoir son compagnon, de plus elle a les yeux fermés, et, est trop occupée pour s'intéresser à ce qui se passe ailleurs.
La belle patronne observe son jeune employé qui a déjà la queue à l'air, lui sourit doucement et redouble d'ardeur pour astiquer le con et le cul dont elle a la charge. Elle fait un clin d'œil au jeune homme pour l'inviter à participer à cette petite sauterie impromptue.
Celui-ci, dans un élan de générosité, approche sa main du chemisier qui masque les seins gonflés de la blonde, s'insinue en dessous et presse la première mamelle rencontrée.
- Tu les aimes mes nichons, salaud ! S'écrie la blonde.
- Beaucoup ! Acquiesce-t-il, en manquant de s'étrangler.
La voix de son compagnon a, sur Isabelle, l'effet d'une bombe. Elle écarquille les yeux et voit la tête de son copain émerger entre les fesses de la belle patronne. Surprise dans sa folie lubrique, elle arrête ses caresses et tente de s'expliquer.
- Oh mon amour, ce n'est pas ce que tu crois !
Pour ne pas laisser le temps à Isabelle de s'expliquer, Marie-France fourrage sauvagement le minou de la brune, elle y met tout son savoir-faire de dame tire-bouchon, et, réussie à refaire pâmer la belle jeune gouine.
Celle-ci essaye encore d'articuler :
- Marc, ah… Je... Oh… Je… Oh oui !
Elle ne voit pas, par contre, que son ami a déjà une bonne gaule. Ne connaissant pas les relations entre son compagnon et la vicieuse directrice, elle ne peut imaginer, un instant, que l'homme puisse tirer parti de la situation.
Marc, lui, se régale de voir sa copine se faire baiser par sa salope de patronne, il apprécie, à sa juste valeur, le pittoresque de la situation. Il était loin de se douter que sa compagne puisse être lesbienne, il va falloir qu'il explore cette facette, mais pour l'instant, il a une envie folle de se faire sucer par sa directrice, aussi présente-t-il son engin de belle dimension à cette dernière.
- Va t'asseoir, je t'ai dit ! Ordonne la blonde à la vue de la grosse bite, pour le moment, elle a d'autres chattes à fouetter !
Marc obéit docilement et retourne poser son cul nu sur la table basse. De là, il a une vue imprenable sur la séance des deux gouines et, peut même profiter des odeurs que produisent les deux corps en mouvements. Le tableau l'excite tant qu'il n'a aucun effort à faire pour se masturber. Néanmoins, il préférerait être en train de limer une des deux salopes offertes.
La patronne salace ne se laisse pas distraire par le jeune homme, elle reprend ses activités et ramone maintenant frénétiquement le côlon de sa belle proie. Elle assène de grands et longs coups de lime avec ses doigts. Elle renifle les odeurs corporelles et internes qui se dégagent à chaque sortie de ses doigts. Les traces marron clair qui collent à ces derniers, lui indique que la brune ne peut plus se contenir, ceci a le don de la mettre dans tous ses états.
Isabelle se laisse aller, tout son corps n'est plus qu'un immense brasier enflammé par les flatteries de la jolie blonde. Trop fatiguée par tant de bonheur intense, elle ne sait plus quelle partie de son corps lui procure le plus de sensations, elle jouit, c'est tout. Sa tête est retombée sur le sofa, elle n'a plus la force de faire quoi que ce soit, seuls, ses nerfs font bouger ses membres.
Le jeune homme ne peut plus se retenir, voir sa compagne se faire reluire par une autre femme l'a tant embrasé qu'il pourrait jouir sans se masturber. Il se lève dans un dernier effort et vient devant sa patronne en lui annonçant tout de go :
- Je vais jouir, prends-moi dans ta bouche.
La belle directrice attrape la queue, prête à exploser, dans sa main droite enduite de mouille, elle fait avancer l'homme plus près d'elle et elle astique deux ou trois fois le bâton de chair.
C'est l'explosion, la première giclée est pour la bouche ouverte de Marie-France, elle reçoit le liquide épais et chaud au fond de sa gorge. Elle tire fortement sur la bite pour faire descendre le jeune homme plus près de sa copine, les giclées suivantes sont, cette fois, pour le sexe ouvert de la belle Isabelle. Tout en branlant énergiquement son employé, elle dit :
- Vas-y, balance toute ta camelote, mon petit lapin. Asperge-moi cette enculée, vas-y, mouille-lui la chatte !
Bientôt, le sexe est noyé sous le foutre crémeux. La patronne se penche et vient laper le sirop de corps d'homme sur la vulve qui lui sert de coupe.
Le contact de la semence masculine, réveille un tantinet la belle brune, elle sent une langue venir lui laver la chatte, alors que les aller-et-venues, dans son postérieur, n'ont pas cessé un instant. Ces sensations la font repartir de plus belle et elle hurle de bonheur.
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