Un bon job : Chapitre 4 : Soirée mondaine Partie 1
Au bout d'une semaine, Marc a déjà beaucoup appris sur son job et sur les deux gouines, folles de luxure et cochonnes au possible. Chaque jour, il est appelé par sa patronne pour diverses raisons qu'il ne connaît jamais à l'avance. Tantôt vraiment pour le service, tantôt pour contenter sa charmante directrice, la baiser, la sodomiser, la lécher ou toute autre idée que celle-ci émet. Par contre, il n'a pas eu le loisir de revoir Sylvie en aparté et ça, ça lui manque énormément. Au combien il aimerait conter fleurette à cette belle rousse excitante à souhaits.
En ce vendredi après midi, il n'est pas étonné d'entendre la sonnerie de son téléphone le déranger en pleine méditation. Il reconnaît d'emblée la voix suave de son employeuse.
- Tu peux monter, s'il te plaît Marc, dit celle-ci d'un ton enjoué.
- Mais bien sûr, chère patronne ! Répond-il en se levant avant de raccrocher.
Marc monte à l'étage et frappe au bureau de sa gérante, à l'invitation, il entre dans celui-ci, referme la porte et vérifie, d'un rapide coup d'œil, qu'il n'y a pas de personnes supplémentaires dans la pièce.
Marie-France lève le nez du courrier qu'elle est en train de rédiger, elle s'adresse à Marc d'un ton aimable.
- Tu es libre ce soir ?
- Ce soir ! Mais c'est vendredi, je devais partir à la campagne ! Répond le jeune homme interloqué.
- Hé bien, tu iras une autre fois... Ce soir, tu es libre et tu sors avec moi. Rendez-vous à huit heures dans mon bureau, allez, retourne au boulot.
Le ton est devenu ferme et incisif.
Le jeune collaborateur ressort, retourne à son bureau en se demandant ce qu'il va bien pouvoir inventer pour justifier de devoir rester à la boite pour bosser. Il cogite un peu, puis appel sa copine Isabelle.
- Bon, j'ai une galère ce soir ! On a un gros dossier à finir, après un casse-croûte vite fait, on doit se remettre à bosser. Je ne rentrerai pas avant deux ou trois heures du matin. Nous partirons demain à la campagne.
- Bon, hé bien si tu es obligé... Dis donc, ta boite te fait travailler, hein ! Dit la jeune femme, puis elle ajoute, bonne soirée alors, à demain.
- À tout à l'heure, Isabelle.
Le jeune homme raccroche, soulagé que sa compagne ait si facilement gober le bobard.
À dix-neuf heures quarante-cinq, il téléphone à sa directrice :
- Patronne, c'est moi, Marc. Il est presque vingt heures, je peux monter ?
- Oui, monte, je me prépare là.
Le jeune employé se rend compte qu'il est seul sur le plateau de bureaux, à l'étage supérieur, aucunes lumière non plus, pas un signe de vie. Il passe donc au dernier étage, là où seul trône le bureau de la direction. Il frappe à la porte du bureau, plus par formalité qu'autre chose, et entre directement.
Sa patronne a laissé la porte de son cabinet de toilette entrouverte et lui dit :
- Vas-y, entre, j'en ai pour une seconde.
Le jeune homme intrigué traverse le local, pousse la porte et voit Marie-France assise sur le bidet, les jambes grandement écartées, en train d'introduire doucement les boules de geishas dans sa chatte.
- Petit vicieux ! Ça t'amuse de me regarder ? Interroge la belle blonde.
- Oh oui, toujours beaucoup, tu sais !
Répond-il, un peu dérouté. Puis, il la voit se relever, elle ne porte ni culotte, ni soutien-gorge. Elle passe une robe ample rouge, avec des fleurs noires pour motifs, rajuste ses bas, enfile ses escarpin et demande à l'homme de manœuvrer la fermeture Éclair pour fermer la robe.
Le blondinet s'exécute.
- Tu es vraiment charmante ! Flatte-t-il la belle.
- Merci mon mignon, ce soir, je te présente à un couple d'amis hypers sympas. Laisse-moi te regarder.
Elle détaille son employé du haut en bas.
- Pour ce soir, tu n'as pas besoin de cravate, retire-la.
Marc s'exécute encore une fois en retirant sa belle cravate de soie.
Elle se rapproche de son amant, lui ouvre la braguette, descend le pantalon et poursuit, toujours sur le même ton impérieux :
- Je ne porte pas de culotte, tu ne dois pas avoir de caleçon.
Et elle fait glisser le sous-vêtement jusqu'aux chevilles de l'homme.
Marc retire donc son pantalon pour pouvoir enlever le caleçon, puis se rhabille.
- Hé bien voilà, comme ça tu es parfait !
Le couple descend au sous-sol et s'installe dans la voiture de Marie-France. Dans cet espace clos, il remarque le doux parfum de la belle.
- Hum… Tu sens délicieusement bon !
Elle lui donne une petite tape amicale sur la cuisse et démarre.
Le 4X4 emprunte le périphérique, puis se dirige vers le huitième arrondissement. La belle arrive devant le portail vert d'un bel hôtel particulier transformé en immeuble d'habitation. Elle demande à son employé d'aller sonner au numéro quatre. À l'Interphone, une voix questionne.
- Qui c'est ?
- Marie-France et Marc de S.E.A.
- Ah oui, bonjour, nous vous attendions, montez.
La communication est coupée et la grille s'ouvre automatiquement. La patronne gare son véhicule sous le porche, coupe le moteur et descend de la voiture pour rejoindre son ami. Elle lui prend la main et lui intime :
- Suis-moi et ne t'affole pas de ce que tu verras.
Ils entrent dans l'immeuble, prennent l'ascenseur vétuste, mais charmant et montent au quatrième. Sur le palier, il n'y a qu'une porte.
Marie-France presse la sonnette, une ravissante brunette vient ouvrir la porte, après quelques secondes, en souriant.
- Bonjour chérie, dit-elle, en faisant un bisou sur la bouche de la blonde.
- Bonjour toi ! Je te présente Marc, répond jovialement la directrice.
- Entrez tous les deux.
Le couple suit l'hôtesse qui les mène dans un ravissant et luxueux salon richement agencé de meubles précieux. Dans cette grande pièce, deux canapés, en cuir vert, se font face, un homme est assis, qui se lève à l'entrée de ces convives.
- Bonjour, je suis Antoine, dit l'homme en saluant Marc, puis embrasse Marie-France tendrement.
- Mais ne restez pas debout, venez vous asseoir.
Propose l'hôte en guidant les deux personnes vers les canapés. Il dirige Marc vers le sofa de droite, celui-ci s'installe confortablement, Antoine vient s'asseoir à côté de lui.
Pendant ce temps, l'hôtesse guide son amie pour l'installer à côté d'elle sur l'autre sofa.
- Un petit coup de champagne ? Demande l'homme à la cantonade.
- Oui, lui est-il répondu, par les deux femmes en cœur.
Christine se lève, sort un instant de la pièce et revient avec quatre coupes à champagne, un seau à glace et une bouteille de vin, le tout sur un charmant plateau d'argent. Elle dépose l'ensemble sur une table basse qui sépare les deux canapés.
Antoine s'empare de la bouteille, fait sauter le bouchon et remplit les verres. Il distribue les coupes, lorsque chacun est servi, tous lèvent leur verre et trinquent.
- À la nôtre, à cette soirée passionnante.
- À la nôtre. Répondent les autres personnes en cœur.
Pour entamer la discussion, Antoine s'adresse à Marie-France en lui disant.
- Tiens, au fait, j'ai trouvé, chez mon loueur de cassettes, un film
dont tu me diras des nouvelles.
- Ah bon, fait celle-ci, tout à coup intéressée.
- Ah oui, vraiment, je vais te le montrer.
Continue l'homme, il se lève, met en route son équipement audiovisuel, engage une cassette et vient se rasseoir.
Après le brouillard neigeux sur l'écran, l'avertissement habituel défile, puis un fond bleu apparaît, accompagné d'une musique entraînante que diffusent des haut-parleurs cachés. Le générique s'égraine doucement, alors le titre apparaît enfin : Couples impudiques. Le film commence alors.
Marc était loin de se douter qu'il venait voir un film X chez les amis de sa patronne. Étant lui-même mateur, il ne se plaint pas du tout du programme.
Au bout de vingt minutes, l'histoire peut se résumer ainsi : Deux couples, dont les femmes sont lesbiennes et les hommes bisexuels, font l'amour à quatre, sans retenu. On a bien du mal, parfois, à savoir qui baise qui. Le jeune homme a les yeux rivés sur le tube cathodique. Il ne fait pas attention au manège auquel se livrent Marie-France et Christine, par contre, son hôte, lui, ne regarde plus le film, qu'il connaît déjà, mais se régale du spectacle des deux femmes.
Celles-ci s'embrassent amoureusement, la main de la blonde dans le chemisier de sa copine, qui elle-même, à sa main sous la robe de son invitée.
D'un coup de coude, Antoine attire l'attention du jeune, et d'un geste de la tête lui indique le jeu des deux femmes.
Il est très surpris, non pas que sa gouine de patronne ne fasse des infidélités à la standardiste de la société, mais qu'elle aille si vite en besogne.
Les deux gousses s'embrassent toujours tendrement, elles commencent maintenant à se dévêtir mutuellement. La blonde retire le chemisier de son amie, pendant que la brune s'attaque à la fermeture Éclair.
Marie-France cajole doucement les deux seins encore enfermés dans leur prison de tissu blanc, puis dégrafe le soutien-gorge en défaisant la fermeture entre les deux collines de chair. Une fois les beaux seins ronds libérés, elle se penche en avant, sur la poitrine de sa copine et prend en bouche un téton et le tette avidement.
La brunette se redresse, offrant ainsi, encore mieux, sa poitrine et déclare :
- Vas-y mon bébé ! Bois tout mon lait...
La jolie femme mûre, dont les mots la troublent encore plus, continue de téter le sein. Ce faisant, elle fait jouer la fermeture à glissière de la jupe de sa partenaire et tente de retirer le vêtement.
Christine, comprenant la manœuvre, s'arc-boute sur le sofa, permettant ainsi à la blonde de dégager la jupe et de la faire glisser vers le sol.
La directrice, vivement encouragée par sa réussite, s'attaque alors à retirer la petite culotte de dentelles, la bouche toujours vissée sur le mamelon gauche de son amie.
Voici maintenant, Christine nue, à l'exception de ses bas.
Marie-France, arrêtant un instant de s'occuper des mamelles de la belle, se redresse légèrement et lui dit d'une voix douce.
- À toi de me déshabiller.
La jolie brune se lève, approche de la belle blonde, lui prend délicatement un bras, retire une manche, l'autre manche. elle attrape le délicat tissu à la hauteur des hanches et fait glisser la robe, sous le corps plantureux de la femme, qui l'aide à son tour.
Une fois la robe retirée, la belle directrice n'est plus vêtue que son porte-jarretelles et de ses bas. Marie-France ouvre lentement ses cuisses devant sa complice qui aperçoit le fin cordon blanc sortir de la chatte.
- Tu as un tampon ? Interroge douloureusement Christine.
- Non, Ce sont des boules de geishas, mais tu vas voir, Marc va venir les enlever, il est expert. Et s'adressant d'un ton sec à son employé, lui ordonne :
- Viens retirer mes boules, comme tu sais si bien le faire.
Le jeune homme mal à l'aise devant ses hôtes s'exécute néanmoins, il s'approche de sa patronne, s'agenouille et tire doucement sur le filin. La première boule apparaît et sort de la chatte ouverte, toute luisante de cyprine. La deuxième apparaît un instant plus tard, elle ressort dans le même état que la première.
Marie-France fait un clin d'œil à son amie toujours debout près d'elle, regarde le jeune homme et lui intime.
- Suce-les maintenant !
L'homme très mal à l'aise jette un regard perdu à sa directrice.
Celle-ci reprend plus durement encore.
- Allez, vas-y, prends-les en bouche.
Marc finit par exécuter l'ordre.
Puis, elle ajoute à l'attention de ses hôtes.
- N'est-il pas beau, mon jeune animal de compagnie ?
- Si ! Répond la brune, et de plus très docile ! Maîtresse, tu nous gâtes !
- Oui, oui, nous allons voir ça…
Puis, fixant la brunette d'un regard étrange, la maîtresse ajoute :
- Allez, puisque nous y sommes, j'ai la chatte en fusion, viens donc me la lécher.
Christine s'agenouille pendant que le jeune homme se relève, place son visage entre les cuisses douces et sort sa langue pour lécher le fruit juteux ainsi offert. Elle entame ses caresses en lapant doucement la mouille abondante présente entre les grandes lèvres de sa compagne, elle soigne particulièrement bien sa maîtresse blonde qu'elle idolâtre. Elle pose tendrement ses mains sur les hanches amies, pour les flatter délicatement dans un doux mouvement alternatif de montée jusqu'à toucher les seins chauds, avec ses pouces, puis de descente vers le bassin.
À ces attouchements, Marie-France réagit par de petits gémissements qui trahissent son émoi, elle fait un gros effort pour ne pas sombrer dans l'extase et interpelle Antoine.
- Elle est toujours aussi douce et soumise ta belle femelle !
- Elle te plaît, hein, répond l'homme, savourant l'effet des caresses de son épouse sur la jolie blondinette.
En fait, Christine est très docile, elle fait toujours ce que son époux lui ordonne et même, entreprend souvent d'aller au-delà. Aussi, Antoine n'est-il pas complètement surpris, quand d'un coup, arrêtant ses caresses, elle tourne sa tête vers lui et interroge :
- Ce soir, je n'obéis qu'à maîtresse ?
Le mari la regarde fixement et acquiesce d'un signe de tête.
Christine regarde alors la femme blonde et dit d'une voix docile :
- Ce soir, maîtresse, je t'obéis aveuglément ! Demande et tu seras servi.
- Parfait, répond celle-ci, essaye donc t'éteindre le feu qui brûle mon vagin !
Marc suit la scène, toujours avec les boules de geishas en bouche, se demande qu'est-ce qui va bien pouvoir arriver et où est-il tombé ?
La brune replonge son visage dans l'entre-cuisses et se remet à laper joyeusement la chair tendre du sexe blond.
Marie-France regarde son jeune employé et lui dit :
- Sont-elles bonnes mes boules, mon petit ?
Celui-ci acquiesce d'un mouvement de tête, le regard toujours hagard.
- Elle te plaît cette petite brune ? Continue-t-elle, elle est bonne, non ?
Le jeune homme approuve encore une fois.
- As-tu envie d’elle ?
Le jeune employé, après avoir sorti les boules de sa bouche, avance un timide :
- Oui patronne !
Ensuite, Marie-France continue encore :
- Ne t'inquiète pas, je vais te la prêter.
Antoine regarde goguenard le trio, il adresse un sourire à la belle blonde qui lui dit :
- Ta femme est une vraie gouine ! Si je ne la savais pas mariée avec toi, je la draguerais volontiers...
Elle attrape les cheveux bruns, tire dessus de manière à relever la tête et lui dit :
- Hein que t'es une gouine, toi !
- Oui, maîtresse, répond l'hôtesse dans un regard doux.
- Ce soir, j'ai envie de t'enculer ! Continue la femme mûre, Mais comme ta chatte et ton trou du cul sont tellement élargis, à force de prendre des coups de bites de tout le monde, j'ai amené mon employé pour qu'il te remplisse la chatte de sa grosse queue, pendant que je te sodomiserai. Tu n'as jamais essayé ça ?
- Oh non maîtresse, implore la brune, pas les deux en même temps, je vais trop souffrir !
- Mais non, tu es si ouverte, que tu pourrais te faire prendre en sandwich par un cheval et un âne ! Dit la perverse directrice, un sourire salace aux lèvres. Et puis, ça fera très plaisir à ton mari de voir ça ! N'est-ce pas Antoine ?
- Mais bien sûr, ma chère Marie-France, répond l'homme dans un grand sourire complice.
Sur ce, la blonde repositionne la tête brune entre ses cuisses pour que son esclave reprenne sa succion.
- C'est bien tes petits coups de langue, mais suce le clito, il est tout dur !
Reprend la patronne, du ton ferme, approprié à la situation, en ramenant ses talons sur le sofa et en écartant au maximum ses longues jambes.
La brunette dégage le clitoris de deux doigts habiles et vient prendre en bouche, le petit morceau de chair, comme si elle devait tailler une pipe.
À cette succion, la jolie blonde cambre davantage les reins et lance un cri dans une grimace qui lui déforme le visage.
L'esclave s'applique et fait tout son possible, pour contenter sa belle maîtresse blonde, qui s'écrie :
- Oh oui, comme ça... Mets un doigt, vite !
La douce soumise arrête de caresser le flanc droit, et vient, de sa main gauche, introduire son majeur tout doucement au fond du sexe blond.
Marie-France attrape à nouveau les cheveux de sa partenaire, tire dessus, la fixe droit dans les yeux et lui ordonne :
- Goûte mon jus !
Cette dernière ressort son doigt et le suce maintenant de la même manière, que précédemment pour le clitoris, à la différence près, que l'organe est, cette fois, plus long. Elle imite une fellation parfaite.
- C'est bon ? Demande la directrice d'un air vicieux.
- Oh oui, maîtresse, délicieux ! Répond Christine, la bouche encombrée de la moitié du majeur.
- Tu mouilles bien en ce moment ?
- Oui, maîtresse.
- Eh bien, tu vas tester les goûts de nos deux chattes...
Pour ce faire, la gousse, s'accroupit en écartant ses genoux, introduit son autre majeur dans sa propre moule, le fait tournoyer à l'intérieur pour mieux l'enduire, le retire et l'engage, à la place de l'autre, dans sa bouche chaude. Elle se concentre sur les saveurs que dégage le doigt.
- Oh maîtresse, c'est toi la meilleure ! Annonce-t-elle enfin, après analyse.
La blonde regarde, amusée, Christine. Puis lui ordonne :
- Et maintenant, fais goûter Marc, je veux son avis !
Tout en disant ceci, elle offre à nouveau son bas ventre.
La douce gouine plonge son doigt dans la chatte béante, exécute quelques moulinets dedans, ressort, s'accroupit de nouveau. Elle exécute la même manœuvre, dans son propre minou, avec l'autre majeur et tend les deux doigts au jeune homme.
Celui-ci les suce l'un après l'autre, doucement et examine la différence de goût et indique :
- Je préfère ce goût-là !
- Tu vois, lui aussi se prononce pour ta cyprine ! Proclame Christine, en dévisageant sa maîtresse.
Marie-France sourit doucement, regarde sa gouine d'esclave et lui demande :
- Moi aussi je peux goûter ton jus de femme ?
La belle brunette replonge son doigt dans sa chatte, fouille cette dernière, ressort l'organe et l'offre à sa copine.
- Je n'en suis pas tout à fait convaincue, déclare la belle blonde, après un instant de réflexion. Ton odeur est vraiment délicieuse aussi, ne te dévalorise pas comme ça !
Puis la jolie femme mûre se recale confortablement dans le sofa, replie sa jambe droite, le talon contre ses fesses, commence à s'astiquer le clito et apostrophe son employé :
- Tu vas me soigner cette chienne en chaleur, tu vas bien lui lécher la moule, et ensuite, tu lui laveras le trou du cul avec ta langue.
- Bien patronne, répond ce dernier, en retirant son veston et le laissant tomber sur le sol.
Il prend la petite brune par les hanches, l'installe à genoux sur le siège du canapé, écartent les cuisses et commence à lui lécher la chatte.
- Tu me la prépares, tu ne la fais pas jouir, hein ! Précise la directrice blonde à son employé, en le regardant faire et en s'astiquant le bouton frénétiquement.
- Je veux que tu lui ouvres bien la chatte avec ta langue, le moment venu, tu t'occuperas de son trou du cul ! Stipule-t-elle encore une fois.
Dans cette position, de toute façon, il ne peut pas atteindre le clitoris avec sa menteuse, il entreprend donc d'écarter entre ses pouces les grandes lèvres et d'insinuer sa langue rose, sur les chairs ainsi mises à nu.
Marie-France en profite pour peloter les nichons de la belle chose brune.
- Ah ! Tu as de belles mamelles, ma cochonne !
Lance-t-elle à sa soumise, en continuant de lui triturer les roberts, les comparants l'un à l'autre, pinçant la base du téton et le tirant vers le bas, comme si elle voulait en extraire du lait.
À ces caresses un peu brutales, Christine pousse un petit cri :
- Outch !
- C'est sensible là ? Interroge la directrice.
- Ah oui maîtresse, ça fait un peu mal.
- Mais tu vas t'y habituer...
La blonde pince à nouveau, mais plus fort cette fois, la base du mamelon.
La brunette émet à nouveau un cri, cette fois un peu plus fort.
- Mais souffre en silence salope ! Lui ordonne Marie-France, et elle exécute à nouveau le même geste, avec encore plus de vigueur.
Cette fois, la petite esclave ne dit mot et retient ses plaintes.
- Parfait, tu vois quand tu veux… Et elle lui donne une grande claque sonore sur le cul, Marc te lèche bien, chienne ?
- Oui maîtresse.
- Il est assez expert ! Reconnaît la directrice, puis elle ajoute à l'attention du besogneux, Marc, mouille-lui les fesses.
Le jeune applique alors le nouvel ordre, il ne sait pas trop où il en est, ni ce qu'il doit penser de tout ça. Il entre et sort sa langue plusieurs de sa bouche pour pouvoir déposer un maximum de salive sur le sphincter, puis l'étale doucement, pousse doucement sa langue dans le petit trou serré, dilate au passage le sphincter et enfin, en enduit l'intérieur du conduit anal.
Christine doit être coutumière du fait, car elle réagit en bougeant doucement son bassin en cadence avec la musique du film. Cette caresse est faite pour elle.
- Tu sens Christine, il t'encule bien avec sa langue, n'est-ce pas ? Reprend la patronne d'un ton plus doux. C'est moi qui lui ai tout enseigné ! D'ailleurs, il fait comme moi, il ne porte pas de slip... Je vais te faire voir. Debout jeune homme.
Marc se redresse, il est franchement gêné.
- Baisses ton froc, ordonne la blonde.
L'employé jette un regard éperdu à sa maîtresse, puis à l'hôtesse, enfin, oubliant complètement Antoine, il défait sa braguette, fait glisser son pantalon sur ses chevilles et reste planté au milieu de la pièce.
- Alors, qu'est-ce que je te disais, comme moi, pas de slip ! Argumente Marie-France.
Christine sourit doucement, de savoir cet homme sans sous-vêtement, elle ressent des picotements aux creux de ses reins, "se promène-t-il ainsi souvent?", se demande la belle brune, qui ne pensait pas qu'un homme puisse faire comme elle. Elle adore se balader en ville, nue sous sa jupe, et espère toujours être remarquée, par une femme ou un homme, qui apprécierait sa nudité obscène et en profiterait sur le champ. Même au plus fort de l'hiver, elle aime à se traîner dans les magasins, une jupe mi-longue, des bas autofixant et la chatte au contact de l'air froid. La morsure du froid lui procure une sensation inhabituelle, faite d'un mélange de douleur et d'excitation. Elle imagine toujours que certaines personnes remarquent ce qu'elle endure. En rentrant chez elle, ces journées-là, elle fonce dans la salle de bain et se frotte la moule avec de l'eau de Cologne, après les morsures du froid, les brûlures de l'alcool, finissent de l'excitée, et elle termine immanquablement par une séance de "doigt madame".
Elle reste ainsi, songeuse.
Marc, lui, ne sait plus quoi faire, très mal à l'aise, il reste planté devant les deux femelles, l'intonation de la voix de sa patronne le rappel à l'ordre.
- Alors ! Tu rêves ? Vas-tu me lécher cette chienne ?
- Excuse-moi, patronne, dit l’employé.
Il retire ses mocassins sans se baisser, dégage ses pieds du pantalon et reprend sa place. Là, il réintroduit sa langue au plus profond des intestins de la belle brune et recommence à fouiller le trou du cul.
- Il te lave bien le cul, hein salope ! Dit encore la directrice à sa copine. Roule-lui une pelle, à cette chienne. Continue la belle blonde en s'adressant cette fois à son complice.
Marc aide sa camarade de débauche à se retourner et lui roule un palot à faire mouiller une centenaire ! Les langues se mêlent, Christine goûte maintenant les effluves de ses entrailles, loin d'en être dégoûtée, elle se prend au jeu et entreprend de sucer la langue de son nouvel ami.
L’homme se laisse faire et apprécie cette action reposante pour sa mâchoire. "cette petite doit être une super suceuse", pense-t-il. Oh combien, il aimerait que Christine s'occupe de son sexe gonflé et dur ! La sentir ainsi mimer une pipe lui donne des frissons. "Quelle soirée", se dit-il encore. Il en profite pour caresser doucement le magnifique galbe des seins de l'hôtesse. Il sent la peau douce vibrée sous ses doigts et admire la rugosité des mamelons, ainsi que la fermeté des deux obus pointés vers lui. Très excité, il donne une petite pichenette sur le téton gauche, la belle grimace un court instant, ne dit mot, le mamelon vibre et reprend sa position.
Marie-France est toujours avec un doigt frénétique qui amuse son clito. Elle se régale de voir le couple debout devant elle, elle admire, en connaisseuse, les fesses rebondies et fermes de la belle gousse, puis elle ordonne :
- Allez hop ! Tu vas me piner cette pute en chaleur.
- Avec un réel plaisir, Madame la directrice, acquiesce le jeune homme.
Il attrape la créature par les épaules, la force à se lever et la dirige vers le sofa. Là, il l'aide à se mettre à genoux sur l'assise, empoigne fermement les hanches, la force à se cabrer le plus possible. Il appuie sur les reins de sa main droite pour lui faire garder la pause, prend sa bite de l'autre main et la guide vers le sexe ruisselant de mouille tiède et odorante. D'un puissant coup de rein, il pénètre la belle chatte sans ménagement, ne s'arrêtant que lorsque son ventre vient buter sur les fesses rebondies.
- Oh... Oh t'es bonne, salope ! S'écrie Marc en jetant un regard concupiscent à sa patronne.
- Ne te l'avais-je pas dit ? S'étonne la blonde, le doigt toujours en train d'actionner le démarreur de ses émotions.
Il commence à limer la belle brune qui s'en réjouit.
Après cinq bonnes minutes de ce traitement, Marie-France intervient à nouveau :
- Vous m'excitez, bande de dégueulasses ! Marc, viens t'allonger sur le canapé à ma place, vite !
Le jeune homme, dont les jambes flageolent quelque peu, est bien heureux de la proposition, il se retire de la chatte brûlante et vient se coucher sur le canapé, tel que le lui a demandé sa patronne.
- Toi, salope, couche-toi là-dessus, continue Marie-France en désignant à sa gouine d'esclave le membre viril dressé vers le plafond.
Sans aucun commentaire, la brunette vient s'asseoir sur le corps du jeune homme, elle introduit le pieu vivant dans sa moule béante, et, d'un coup de bassin expert, le fait parvenir au fond de sa matrice. Elle remue son cul d'avant en arrière à trois reprises, au rythme que lui imposait l'homme, quelques instants plus tôt.
Mais c'est sans compter sur la jolie blonde lubrique, celle-ci passe derrière la jeune femme et l'oblige à s'allonger sur le corps de l'homme d'un geste précis et brutal.
- Écarte-tes fesses, que je vérifie que ton trou du cul soit bien propre, allez !
En disant cela, Marie-France se penche pour inspecter l'anus que Christine lui exhibe en prenant ses fesses à pleines mains et les espaçant l'une de l'autre.
- Très bien, je vais te le goder, ton anus, ma chérie ! Précise encore la blonde.
Elle se penche sur le côté du sofa, ouvre un petit coffre en bois placé là, en ressort un godemichet à lanières et un tube de vaseline. Elle enduit amoureusement l'ustensile d'une bonne couche de graisse. Elle admire un instant son travail, puis dirige le jouet vers le fond de la vallée culière offerte à ses caprices. Elle fait pénétrer le cylindre doucement dans l'anus, qui se dilate au passage, elle pousse jusqu'à provoquer une vive réaction de la belle brune, qui crie :
- Arrête maîtresse, je t'en supplie !
Christine ne sait plus se contrôler, la brûlure dans ses tripes est affreusement douloureuse, elle croit qu'elle va tomber dans les pommes, tellement elle souffre, mais il n'en est rien.
À ces cris, Marie-France retire vivement le god dans un geste brusque, le masque de l'énervement apparaît sur son visage.
- Tais-toi ! Tu le mérites ou non ce qui t'arrive ? Interroge durement la femme responsable de cette douleur.
- Si, maîtresse, pardonne-moi, je t'en prie, se lamente la brune, puis elle insiste encore, fais-moi mal si tel est ton bon plaisir, maîtresse !
- Ah, tout de même ! Dit la belle blonde en souriant.
Elle réintroduit le god sans ménagement dans l'orifice encore ouvert par le précédent passage de l'engin, des larmes coulent sur le fin visage de Christine, qui les rattrape de sa langue. Ce coup-ci, Marie-France enfonce les vingt centimètres de l'objet dans les boyaux de son esclave féminine.
Marc, dont la queue est toujours en position et qui n'a pas bougé pour préserver sa partenaire, sent le passage du godemichet contre sa bite à travers la paroi des intestins. Pour lui, ce n'est plus une découverte cette sensation, il la connaît déjà !
Le morceau de plastique planté dans le cul de Christine fait sourire la directrice, elle admire son œuvre pendant un court instant, puis, saisissant à nouveau le jouet, le retire énergiquement et s'exclame :
- Parfait, le chemin est ouvert ! À nous deux, chienne !
Elle attache les sangles autour de sa taille, serre bien fort les attaches de plastique et teste la rigidité de l'ensemble. Après une dernière mise au point, elle dégage les jambes du jeune homme et vient se positionner au cul de la brunette. Là, avec dextérité, elle amène le gland synthétique, puis annonce d'une voix qui trahit sa très grande excitation :
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