Un bon job : Chapitre 3 : Ah! les femmes Partie 1
Ce matin-là, Marc arrive à son bureau de bonne humeur. Il a passé une soirée merveilleuse la veille. Après avoir fait un tour dans les bureaux près du sien pour saluer ses collègues, il se met à l'analyse du dossier de la veille. Il commence à avoir une petite idée de l'affaire et décide de rédiger le canevas de la réponse au brouillon. Le temps passe ainsi.
Vers neuf heures, l'envie de café lui faisant relever la tête, il se dit qu'il n'a pas vu sa patronne ce matin et entreprend d'aller la saluer. Devant la porte du bureau directorial, il frappe trois fois sur le bois dur.
Une voix impérieuse lui répond :
- Je suis occupée, qui est-ce ?
Le jeune homme, en s'excusant, répond :
- Moi Marc.
La porte s'entrouvre après quelques instants et reste comme ça, intrigué, il la pousse pour entrer dans le local. En entrant, il voit la table de sa directrice vide. Il contourne la porte, la referme et aperçoit Marie-France et Sylvie, à moitié nues, en train de s'embrasser.
Sa patronne pelote les nichons de la belle standardiste qui a l'air de s'en régaler.
Le jeune homme reste planté au milieu de la pièce, les yeux écarquillés, ne sachant plus que faire, ni que dire.
- Assieds-toi, ordonne sa patronne. Tu ne bouges pas, tu as compris ? Continue-t-elle d'un ton dur.
- Oui, hasarde timidement Marc.
Marie-France reprend son œuvre, elle contient le recul de Sylvie qui est très gênée de la présence de l'homme.
- Ne t'inquiète pas pour Marc, il est au courant de tout. Rassure la directrice dans un mensonge flagrant.
Elles sont debout toutes les deux, Marie-France a défait sa robe violette, elle ne porte toujours pas de culotte, mais pas de soutien-gorge non plus.
La standardiste a son chemisier blanc ouvert, sa jupe à demi remontée, qui laisse apparaître le haut de ses bas, elle n'a plus de soutien-gorge à cet instant.
Serrées l'une contre l'autre, elles se roulent une pelle magistrale, les lèvres jointes, les quatre mains se promenant de façon désordonnée.
Marc peut apercevoir les doigts de sa directrice, tirer sur le mamelon droit de l'hôtesse, qui ne reste pas indifférente à la caresse et semble onduler, pour suivre les détours de son téton.
- Comme tu as la peau douce. Annonce Marie-France, qui passe maintenant sa main, dans les poils soyeux du pubis de la femme rousse.
- Comme tu sens bon.
Répond celle-ci. Elle dégage un peu son visage et commence une série de petits bisous dans le cou de sa patronne. Elle saurait faire pâmer une religieuse ! Ensuite, elle descend, toujours avec sa langue, sur le haut du torse de la belle, puis passe sa bavarde tout autour des seins de la directrice et décrit des ronds concentriques, dont le centre est représenté par le téton. Elle laisse filer une de ses mains vers le sexe de la belle gérante et caresse le ventre doux et chaud, de ses longs doigts fins.
- Viens me téter, chérie. Demande la jolie blonde d'une fois charmante, en tendant sa poitrine vers cette bouche avide.
- Viens boire à mon sein mon bébé ! Continue-t-elle. Elle soulage sa mamelle, dans un geste maternel, pour mieux la présenter à sa partenaire.
Sylvie tette doucement, elle voudrait tant faire plaisir à sa patronne et boire le lait maternel, mais pour l'instant, rien ne vient. Elle aspire alors plus fort et finit par obtenir une toute petite goutte d'un liquide blanchâtre et aigrelet. Cette gouttelette l'encourage, ainsi que les réactions du corps de Marie-France, à continuer de plus belle. Elle suce maintenant avidement la protubérance de chair.
- Oui, oui, oui, tette ma petite chérie…
Ne cesse de répéter la belle femme, elle a la tête relevée et les yeux étroitement fermés. Elle ressent d'un coup l'index de sa standardiste qui s'insinue entre ses grandes lèvres, l'attouchement délicat la bouleverse. La belle directrice ne sait plus quoi faire de ses mains, depuis que son amie a dégagé son corps pour lui lécher les seins, prise de court, elle lui caresse doucement les cheveux.
- Je t'aime ma chérie…
Dit d'un coup la jolie rousse à sa maîtresse en arrêtant sa succion.
- J'ai une folle envie de ton corps sur le mien, ma douce ! continue-t-elle d'un ton langoureux.
- Oh moi aussi, ma chatte, laisse-moi te déshabiller, mon amour.
Sans attendre la réponse, Marie-France retire précautionneusement le léger chemisier, puis s'attaque à la jupe toujours repliée. Sans perdre de temps, elle ôte également la petite culotte de soie de la belle rousse, qui se laisse faire docilement. Dans le même mouvement, Marie-France se dégage de sa robe et la laisse négligemment tomber sur le sol. Ensuite, elle prend la main de sa douce amie et emmène celle-ci sur le canapé où elle l'installe gentiment.
Sylvie laisse sa maîtresse s'occuper d'elle.
Celle-ci passe ses mains sur tout le corps de son employée, elle caresse, butine, lèche, frôle, touche le corps souple. Elle sent la douceur qui émane de la jeune femme.
La jolie standardiste, ne voulant pas être égoïste, surenchérit aux caresses qu'elle reçoit, elle profite d'un mouvement de sa patronne pour se coucher sur elle, là, elle se met à caresser la chatte de sa maîtresse, elle ouvre le joli coquillage de ses doigts fins. Elle exécute un subtil doigté qui fait tressaillir Marie-France. Lorsque le minou de sa gouine de directrice est complètement détrempée, Sylvie exécute un retournement soudain pour venir frotter son sexe sur le clitoris raidi de la blonde.
Elles sont maintenant assisses l'une en face de l'autre, chatte contre chatte, Sylvie cramponne tendrement la jambe de sa partenaire et embrasse la douce cheville à sa portée. Elles se frottent le clitoris à grands coups de hanches, mêlant ainsi leur cyprine respective, les deux dames tire-bouchons se baisent l'une l'autre.
La vicieuse gérante, perdant un instant toutes notions de lieux, ouvre les yeux pour se dessaouler, elle aperçoit Marc assis dans le fauteuil en face d'elle.
- Branle-toi ! Lance-t-elle au jeune homme.
Ce dernier, soumis aux caprices de sa patronne, exécute l'ordre solennel. Il se lève, baisse son froc et son slip, se rassoit et touche sa queue raide.
Sylvie le voyant, ne peut s'empêcher de rire doucement.
Les deux garces se réjouissent mutuellement un long moment. D'un coup, Marie-France se lève, comme prise d'une envie de pisser. Elle ouvre un tiroir qui se situe dans le meuble de télévision, sous le magnétoscope, et sort un god équipé de lanières de plastique blanc. Elle s’affuble de l'ustensile, en passant la ceinture autour de sa taille fine et la deuxième lanière entre ses fesses, pour l'attacher dans son dos. Elle va se planter, raide debout devant Sylvie et lui demande :
- Suce-moi, ma chérie !
La standardiste s'exécute avec joie, elle commence par lécher le godemichet rose, l'enduit de salive, le caresse de ses mains frêles, attrape la paire de couilles factice dans sa petite main, et amène la queue en latex dans sa bouche suave, en entamant une pipe à réveiller un mort. Elle avale la bite le plus loin, qu'il lui est humainement possible, elle s'en donne à cœur joie !
Pendant ce temps, Marc se branle doucement, très excité de voir, à quelques mètres de lui, deux femmes faire l'amour sans retenue. Il enduit régulièrement la paume de sa main de salive et s'astique le chibre.
L’hôtesse finit par se lasser de la pipe, qu'elle réalise pourtant avec brio. Sa mâchoire, ouverte en permanence, pour laisser le god passer, lui fait un peu mal. Elle invite sa patronne à venir la prendre doucement en se repositionnant sur le siège et tendant son bassin vers le bord du sofa, les jambes bien écartées.
Marie-France s'agenouille entre les cuisses douces de la belle rouquine, et commence à faire jouer le bout du paf synthétique sur le clitoris de sa belle partenaire. D'abords par attouchements, puis en écartant les grandes lèvres par de petits mouvements transversaux, pour isoler le bouton d'amour. Elle frotte ensuite énergiquement le bouton rose avec son outil et regarde le corps s'arque-bouter, comme pour mieux s'offrir.
La jolie gousse rousse se pâme littéralement, ses seins se gonflent de plaisir, ses mamelons durcissent encore. De plus, voir un homme se masturber devant ses yeux, lui procure des sensations nouvelles et inconnues. Elle est entièrement sous le charme de sa patronne et se laisse emporter par les caresses que lui administre celle-ci.
La directrice, très excitée par le résultat du traitement qu'elle opère, veut, d'un coup, aller plus loin avec sa douce amie. Elle guide donc le godemichet vers l'entrée du sexe roux, et, une fois le god en place, d'un tout petit déhanchement, introduit l'engin dans la grotte féminine. L'appareil enfoncé, Marie-France en profite pour attraper le sein droit de la standardiste et le malaxer doucement, mais fermement. Elle fait bien attention de ne pas toucher le mamelon brun.
Sylvie se tord lascivement dans tous les sens, elle projette son ventre en avant, pour aider sa maîtresse à la prendre le plus profondément possible. Le contact du plastique rugueux et un peu froid contre sa matrice la fait mouiller, sa chatte se remplie doucement de suc. Tout d'un coup, elle a l'impression que ses zones érogènes, massées par le long cylindre, s'enflamment, elle ressent ce violent incendie dans tout le ventre, et même dans ses cuisses. Le gros tube rose de plastique, n'a aucun mal à pénétrer la belle rousse. Tout ce passe comme si elle avait une certaine habitude à recevoir le jouet.
Marc est toujours en train de s'astiquer le mandrin.
Marie-France baise son employée sauvagement.
Une fois que les deux femmes en ont fini, la perverse directrice s’assoit sur le canapé et ordonne à Marc de venir lui lécher le god.
Il se lève, approche du sofa, s'agenouille et commence à prendre le jouet de latex dans ses mains en souriant.
- Allez, suce-moi ça ! Ordonne la belle patronne.
le jeune homme prend donc l'engin en bouche et se régale des effluves du sexe de la belle rousse, qui restent sur la pine synthétique.
Marie-France ordonne à sa petite amie de retourner à son poste de travail. Ensuite, la blonde engueule l’employé en lui disant :
- Mais tu ne sais pas tailler une pipe, c'est pas possible ça !
Le jeune homme fait des efforts surhumains pour contenter sa maîtresse, il y met tout son cœur.
La belle lui demande de prendre les couilles en plastique dans sa main et de lui glisser un doigt sur le clitoris.
Le couple change de position et exécute un soixante-neuf. Elle est allongée dessous, lui dessus qui suce la fausse bite, elle lui lèche le gland, les couilles, passe la langue sur les fesses, sur son anus.
Marc n'est pas très content et le fait savoir d'un grognement bestial, accompagné d'un :
- Oh ben non ! Eh...
Elle lui répond :
- M'emmerde pas connard ! Qui c'est qui commande ici ?
Et elle continue de lécher le trou du cul masculin. Ensuite, elle passe sa langue sur la bite raide et enfonce son majeur dans le cul du jeune employé.
Finalement, la pénétration de ce doigt n'est pas douloureuse, ni désagréable. Il se laisse donc faire tout en continuant de sucer la bite factice.
Puis, soudain, la belle cochonne lui file une grosse tape sur la fesse droite et lui ordonne :
- Bouge-pas !
Elle se dégage du corps du jeune homme, celui-ci, croyant sa délivrance proche, l'aide en levant son coude, puis sa jambe. La directrice lubrique réitère son ordre :
- Surtout, tu ne bouges pas…
Elle vient se mettre derrière lui à quatre pattes, attrape le tube de vaseline posé sur le haut du canapé, en enduit doucement le faux pénis et guide la queue de plastique vers l'anus de son amant.
Celui-ci comprenant soudain, l'envie folle de sa patronne, s'écrie :
- Oh non, pas ça !
La maîtresse femme claque à nouveau le cul du jeune homme, lui ordonne de se taire, puis guide d'une main experte le gros sexe contre l'anus masculin et dit d'un ton bizarre :
- Ah ! Tu aimes bien m'enculer, hein salaud. Et moi, il ne faudrait surtout pas que je te fasse quoi que ce soit ! Alors, tu vas voir, mon petit lapin…
Et elle pousse, d'un coup de rein furieux, sur l’engin et pénètre de deux centimètres le garçon.
Celui-ci, plus surpris que ressentant une douleur, s’écrie pourtant :
- Aïe !
Mais, somme toute, il n'a pas eu mal. C'est essentiellement la surprise, et peut-être aussi l’acte contre-nature, qui le font réagir.
Marie-France ne force pas plus, ressort un peu l'outil et recommence son mouvement pour enfoncer le pieu plus loin que la première fois, d'un bon centimètre et demi.
La chienne lubrique sourit et dit d'un ton sarcastique :
- Tu aurais le cul rasé, tu serais aussi bon à enculer, que cette salope de Sylvie.
L’homme s'effondre sur ses coudes et, honteux, pleure doucement.
La salope s'en donne à cœur joie, elle lui laboure le cul, sans aller vraiment très profondément.
Marc a l'impression de se faire prendre par un autre homme, et cette idée lui donne des hauts le cœur.
- Pourquoi suis-je puni ? Sanglote-t-il
- Mais tu n'es pas puni, tu es mon jouet, nuance ! Répond la belle salope.
- Tu es prêt à tout, hé bien voilà. Et tu n'as pas tout vu encore, Monsieur aime le pognon, et bien alors, il faut le gagner mon garçon… Renchérit-elle en continuant sa sodomisation.
L’employé, malgré tout, ressent une honte affreuse, si quelqu'un entrait et le voyait ! Il ne s'en remettrait pas, il n'en bande pas moins du reste. Il n'y a vraiment que son orgueil qui soit blessé, car pour le reste, il y prendrait même un certain plaisir !
Après dix minutes de ce traitement, la blonde se lasse de sa position contre-nature, elle ressort donc la bite factice de l'anus du jeune homme, défait les sangles et jette négligemment le god dans un coin de la pièce.
Marie-France, s'apercevant de l'érection fantastique de son amant, se met en tête de le sucer. Elle ordonne donc à Marc de s'asseoir, ce que fait l'homme avec plaisir. Elle attrape ensuite la queue chaude et se la fourre dans la bouche.
À peine a-t-elle commencé à pomper le sexe que le jeune râle de bonheur, il a une perception très bizarre, entre le sperme sous pression progressant à grande vitesse dans ses canaux et le trou béant de son anus, il ne connaît pas cette sensation. Il n'en peut plus et jouit dans la bouche de sa patronne.
La directrice fait semblant d'avaler goulûment le foutre chaud, mais n'en fait rien, elle garde le précieux liquide en bouche. Elle se relève, vient plaquer sa bouche contre celle du jeune homme, et force les lèvres avec sa langue.
Marc se retrouve avec la bouche à moitié pleine de son propre sperme.
La belle gorette, obligée d'avaler sa ration par un rire sarcastique, se couche sur le côté.
L’amant, toujours détenteur de sa semence, vient au-dessus du visage de sa maîtresse et dépose la substance crémeuse sur les lèvres closes de la belle.
Marie-France, toujours gourmande de sperme, ne prend pas mal l'attitude de son employé et se pourlèche les babines avec délectation et attire le jeune à elle. Comblée par cette matinée surprenante, elle enserre l'homme tendrement.
Celui-ci, très éprouvé, apprécie ce moment câlin.
Ils restent là un long moment à retrouver leur souffle.
Marie-France, apercevant d'un coup l'horloge murale, se lève, commence à se vêtir et engage Marc à en faire autant. Il est midi moins dix quand ils sont enfin totalement présentables.
Un petit coup de fil au standard, et voilà nos trois personnages partit déjeuner.
Après un repas ensemble à la brasserie, peu loin de l'immeuble, Marie-France, Sylvie et Marc, reprennent chacun leur boulot respectif.
L’employé passe l'après-midi à potasser sur son dossier, préparer sa réponse le plus finement possible pour prouver à sa patronne qu'il est une bonne recrue.
Vers cinq heures, le téléphone retentit, fait sursauter l'homme qui émerge de sa concentration. Il décroche le combiné et reconnaît instantanément la voix de sa directrice.
- Ça va Marc, ça se passe bien ?
- Oui, merci. Répond évasivement le collaborateur.
- Rejoins-nous, on fait un break !
Le jeune homme accepte bien volontiers, monte au dernier étage, frappe trois coups à la porte de bois, c'est à peine s’il attend l'accord et entre dans le bureau. Là, il voit Marie-France assise à sa table, les jambes visiblement écartées, et Sylvie, la tête entre les cuisses de la belle blonde.
- Viens mon petit lapin ! Dit la patronne. Ma copine me fait plein de bonnes choses, mais par contre, je ne peux pas m'occuper d'elle. Fais-lui donc une petite langue, comme tu sais si bien le faire...
Marc, une fois de plus, sous l'autorité de la blonde, s'agenouille sans réfléchir derrière le postérieur de la belle rousse, lui relève la jupe et entreprend de lui retirer sa petite culotte.
Sylvie aide le jeune homme, et peu de temps après, se retrouve à quatre pattes, les jambes bien écartées, les fesses nues, les cuisses gainées de ses bas auto-fixant.
L'homme admire le magnifique cul de la jeune femme.
- T'as vraiment un beau cul, ma belle, dit-il à sa collègue.
Pour mieux contempler le spectacle, il se glisse sur le dos, la tête entre les cuisses de l'hôtesse, il remarque avec bonheur que la belle s'est déjà bien astiquée le bouton et que sa chatte est déjà tout ouverte. Il s'attaque alors avec sa langue au clitoris raide, le prend en bouche et exerce une longue succion qui déclenche des mouvements de rein chez sa partenaire. Bien que ne voyant pas sa directrice, Marc l'entend gémir doucement et se doute du traitement que Sylvie lui inflige. Il avait déjà remarqué ce matin, que sa belle patronne était, on ne peut plus sensible, aux caresses saphiques.
Marie-France couine, pousse de petits cris aigus.
De là où il est, l’employé lève les yeux et peut voir entre les seins tombants, la langue de Sylvie fouiller le sexe de sa patronne. Visiblement, elle cajole, de son pousse, le démarreur à plaisir de la blonde. La vision lui donnant des idées, il décide d'appliquer le même massage à sa partenaire, il passe donc sa langue dans la chatte, exécute d'amples tourbillons, applique sa main sur le ventre et lui masse le bouton doucement.
- Oh que c'est bon, lâche la vicieuse gérante, puis, sans égoïsme, prend les joues de son amie dans ses mains et lui adresse un :
Il suce bien, Marc, non ?
La belle rousse acquiesce, sans arrêter de lécher sa maîtresse.
Marc a une gaule terrible, il a vraiment envie de cette jolie jeune femme. Qu'est-ce qu'elle est belle, elle a un corps fantastique, un corps de nymphette, de beaux seins lourds, il 'a qu'une furieuse envie, la prendre, la posséder, en disposer.
Pendant ce temps, Sylvie, encouragée par les tressaillements du corps de sa patronne, redouble d'attention dans ses caresses bucco-génitales. Elle abandonne un instant le clitoris, pour joindre son index et son majeur et les glissent doucement et délicatement dans la grotte féminine, mouillée, douce et chaude de la blonde.
Celle-ci émet un profond soupir de joie.
Sylvie suce le clito et enfonce deux doigts dans le sexe de sa patronne.
Marc, ne voyant pas précisément ce qui ce passe, mais devinant néanmoins grâce aux sons qu'il perçoit et aux bribes d'images qu'il peut capter, n'en peut plus. Toujours allongé sur le dos, il mordille le bouton d’amour de la rousse en même temps qu'il se sépare de ses vêtements. Sa cravate défaite, son pantalon et son slip enlevés, il change prestement sa position de mécanicien affairé, pour celle du pécheur en pénitence, c'est-à-dire à genoux.
Il prend sa queue dans sa main droite et guide son organe viril vers le sexe béant de la standardiste.
Sylvie, bien que lesbienne, n'a rien contre ce genre de pénétration, et, pour encourager ce jeune homme qu'elle trouve mignon à souhait, creuse son dos pour offrir encore mieux sa chatte.
L’homme la prend doucement, de là, il voit Marie-France, la tête jetée en arrière, la bouche entrouverte, un filet de salive dégoulinant aux commissures, qui, visiblement, se réjouit du traitement que lui administre sa collaboratrice zélée.
La petite chatte rousse est beaucoup plus serrée que celle de la blonde, plus mûre, Marc se régale de cette gangue de chair chaude et vibrante, apparemment, la belle rousse adore se faire prendre en levrette et il sent d'un coup, les longs doigts fins sur ses couilles.
A priori, Sylvie, vient se branler le clito et caresser de temps à autre les burnes du jeune homme.
Marc ne se sent plus de joie. Maintenant, il ramone la chatte de sa jolie collègue en matant son tout petit cul. "Elle est vraiment d'enfer cette souris, un petit cul, une bonne grosse paire de roberts fermes, et en plus, elle est bonne de chez bonne", pense l'homme en pleine extase.
L’hôtesse, excitée d'être prise comme une chienne, continue de baiser la moule de sa patronne avec ses deux doigts, elle a toujours en bouche le clito raide de la blonde et le suce exagérément.
Le jeune homme ne sait pas exactement ce que fait Sylvie à sa directrice, mais à la vue de l'attitude de celle-ci, il comprend qu'elle ressent un bonheur intense, et que la rouquine doit être vraiment experte.
Marie-France se mord les lèvres, tantôt cramponne la table, tantôt passe sa main dans ses cheveux, tantôt se pelote les seins à travers le fin tissu de son chemisier. Elle a sinistrée tout le dessus du bureau, comme si un cyclone était passé par là.
L'homme sourit en comprenant que plus rien ne retient sa belle patronne.
La jolie blonde qui décolle complètement, s'adresse à sa gouine vicieuse de copine :
- Vas-y, Sylvie, prends-moi ma chérie, baise-moi bien !
La rousse continue le traitement en redoublant de vigueur.
Marc n'en peut plus de cette chatte rousse, de plus, la standardiste bouge ses fesses tant et si bien que l'homme perd le contrôle de la situation, il la cramponne virilement et la pénètre sauvagement, essayant d'aller toujours plus loin dans la matrice. Le sexe roux suinte maintenant abondamment en dégageant des effluves sucrées salées dont le jeune homme s'emplit les poumons. Une odeur de rut flotte dans toute la pièce.
La belle rouquine, non contente d'avoir deux doigts dans la chaude chatte de sa maîtresse, détache son annulaire pour caresser l'anus de la blonde, elle sait sa directrice gourmande de ce genre de chose et, bien sûr, elle adore contenter sa patronne. À chaque fois que celle-ci joui, l'hôtesse reçoit, en retour, tout un flot de bonheur, elle aussi rentre en transe comme par un phénomène de résonance.
Les deux gouines se comprennent au quart de tour, pas besoin de longues explications, ni de longs discours, un geste, une caresse, une œillade, et crac, les voilà parties.
La belle Sylvie, bien que lesbienne, n'en est pas moins femme et ressent monter le plaisir du creux de ses reins, que lui procure cette bite de belle taille, entrant et sortant, avec élan de sa chatte. "Cet homme est un fin baiseur", pense-t-elle, le plaisir qu'il lui procure, ne la trompe pas.
Marc se régale de ce fourreau de chair serré, chaud et tendre. Cela fait déjà quelque temps qu'il n'a pas éprouvé de pareilles sensations. Effectivement, sa copine Isabelle, est beaucoup plus dilatée, que cette petite rousse, qui ne doit pas servir très souvent de cette manière. Par contre, il sent bien qu'elle n'est absolument pas contre le fait de ce faire ramoner le vagin, et qu'elle apprécie particulièrement cela. Bien que la bouche de la standardiste soit toujours plaquée sur le sexe blond, il l'entend émettre de petits gémissements étouffés.
La rouquine se tord d'une drôle de manière, incroyable comme elle ondule du postérieur. "C'est certainement une vraie sportive", se dit le jeune, "comment elle bouge son cul, la salope". La sensation d'étau est telle, que l'homme ne peut plus se retenir et sent son foutre monter de ses couilles. Il se retire prestement du doux minou, prend sa queue glissante de cyprine à pleine main, l'astique encore une fois, puis éjacule en longs jets de foutre chauds sur le dos de sa partenaire. Le sperme épais se répand sur tout le dos de la belle. Il jouit dans un grognement sourd.
Marie-France ouvre les yeux, en fait, elle a très peu suivi la scène, elle est relativement surprise de voir son amant dans cette position, et comprend d'un coup ce qui s'est passé. Folle de rage qu'il se soit tapé sa nénette à elle, sans son autorisation, elle se met en colère et crie après le jeune employé.
- Salaud, tu n'as pas honte ?
Ensuite, toujours en fureur, elle s'adresse à sa standardiste qui est toujours pourtant en train de la bricoler avec amour.
- Et toi salope, ça t'amuse de te faire baiser par ce petit con ? je ne te suffis plus, peut-être ? Et d'abords, tu te feras prendre par Marc, quand je l'aurai décidé ! Allez, tire-toi, pétasse.
La rouquine ne sait que dire, très peinée, elle sort de sous le bureau, essaye encore une fois d'amadouer sa patronne, mais sans succès, remet sa toilette et sort rapidement de la pièce, en sanglotant doucement.
l’employé n'en revient pas.
- Et toi connard, tu es content de toi, mon salaud ?
Interroge durement la directrice. Elle reprend d'un ton agressif :
- Retourne au travail, et que je ne te vois pas tourner autour de ma copine ! Sans mon autorisation, tu n'y touches plus, compris ?
- Oui patronne, acquiesce le jeune homme.
- Si j’apprends quoi que ce soit, je te vire sur le champ, aller casse-toi maintenant.
Marc, tout penaud, récupère ses vêtements, se rhabille vite et sort sans un regard, ni un mot. Il redescend à son bureau et essaye de comprendre Marie-France.
Restée seule, Marie-France, dont la colère est de courte durée, reste sur sa faim. Elle les a renvoyés, d'accord, mais ses plaisirs restent inassouvis, elle se lève et va se jeter dans le sofa. Elle prend la télécommande, allume télévision et magnétoscope, appuie sur la touche lecture de l’appareil. L'image apparaît bientôt sur l'écran, on comprend tout de suite le type de film qui passe, on peut voir à l'image, deux couples faire l'amour sans retenu.
Marie-France regarde passivement le film pendant cinq minutes, puis se relève, ouvre le même tiroir que ce matin, sort un vibromasseur, elle tourne le commutateur et vérifie le bon fonctionnement de son appareil. Elle retourne se caler confortablement dans le canapé. Là, émoustillée par l'action à l'écran, elle met l'engin en route et s'en caresse le clitoris.
La belle directrice défait les boutons de son chemisier pour extraire ses seins gonflés, ceci fait, elle malaxe de sa main libre les atouts que lui a fournis la nature. Le vrombissement du jouet en plastique provoque quelques parasites à la télévision, la belle n'en a cure et s'astique correctement son clito. Elle passe le tube vibrant sur toute sa chatte, s'immisce entre les grandes lèvres pour les écarter, puis entre les petites, pour ouvrir le passage à l'appareil vibrant.
Marie-France se récure maintenant complètement le vagin de belle manière, Les trépidations de l'outil sur ses chairs intimes, lui remontent des émotions folles. Elle mouille à nouveau énormément, son jus de femelle remplit l'intérieur du sexe et enduit le jouet. À ce train-là, elle s'envoie en l'air très vite. Bientôt, elle abandonne l'engin planté dans sa chatte, celui-ci, vibrant sans faillir, continue son massage interne. La belle se pelote les nichons vigoureusement et entre en transe. L'extase est à son comble, la cyprine s'échappe doucement, de par les vibrations, de son sexe grand ouvert, et tache légèrement le tissu du sofa.
La fresque composée par la femme sur son canapé est incroyable, la blonde en porte-jarretelles et bas, chemisier débraillé, se broie les seins pendant qu'un vibromasseur, planté dans sa chatte béante, produit un doux ronronnement.
La séance dure un bon moment, jusqu'à ce que le godemichet électrique soit expulsé de la chatte en fusion. L'outil, dégoulinant de mouille, tombe entre les fesses de la belle. Celle-ci ouvre les yeux, émerge de son délire et arrête le jouet. Elle va le ranger à sa place et récupère deux boules de geishas, qu'elle s'empresse de mettre en place au fond de son vagin. Seule la ficelle, en matière synthétique blanche, descendant le long de la cuisse, trahit la présence de ce nouvel instrument.
Marie-France coupe la télé et le magnéto, réajuste son chemisier, ramasse sa jupe et la passe. Une fois sa tenue bien agencée, elle retourne à son poste de travail et se remet à son ouvrage.
Vers dix-huit heures, le téléphone de la blonde retentit. C'est Sylvie qui vient prendre des nouvelles de sa patronne, comme une chienne vient chercher une caresse pour se faire pardonner d'avoir renversé un bibelot.
La directrice, complètement absorbé par son travail, ne se souvient plus des mots durs qu'elle a eu pour sa standardiste. Elle répond aimablement et invite la jeune rousse à venir la rejoindre dans son bureau.
Là, les deux femmes conversent et se racontent leur journée, la gérante est très intéressée d'apprendre quel client à appelé, qui est venu rencontrer qui et quelles sont les nouvelles affaires arrivées. Après un tour d'horizon complet, la patronne décide que sa journée de travail a suffisamment durée, les deux femmes vont s'installer dans le canapé et conversent maintenant de tout autre sujet.
- Ça va Marc ? Se hasarde Sylvie.
- Oui, je le pense, il ne m'a pas appelé, c'est que tout doit bien se passer. On va le faire monter.
La directrice retourne à son bureau, décroche le combiné du téléphone et appelle le jeune homme.
- Tout va bien Marc ? Se renseigne-t-elle auprès de l'intéressé.
- Super, patronne ! Je peux monter te montrer la réponse que j'ai préparée ? S'enquit-il, heureux de faire voir son ouvrage.
- Oh non, pas ce soir, demain. Mais monte nous rejoindre, je suis avec Sylvie.
- OK, j'arrive !
L'homme, après avoir raccroché, range ses affaires et quitte son bureau. Cette fois très a l'aise, il frappe machinalement à la porte, mais entre sans attendre l'invitation. Il rejoint les deux belles, et s'installe dans le grand canapé, entre les deux femmes ravies.
Chacun, à son tour, raconte son après-midi.
La directrice s'ouvre à ces collaborateurs, des difficultés qu'elle rencontre sur un tout nouveau projet qu'elle analyse et étudie. Elle est passionnée par les problèmes techniques, qui lui sont posés.
Une bonne demi-heure passe ainsi, les deux jeunes écoutent attentivement leur patronne, qui semble leur donner un cours appliqué.
D'un coup, comme seule Marie-France sait faire, elle change d'attitude, regarde bizarrement les deux jeunes gens en souriant malicieusement.
- Et maintenant, place aux jeux ! S'écrie-elle d'une voix qui déraille. Retire ta veste, Sylvie. Puis, elle continue en s'adressant à Marc, cette fois, Toi, debout, à poils, je veux te voir nu.
Le jeune homme et la jeune fille s'exécutent de concert.
Sylvie a le chemisier collé à son dos par le sperme de cet après-midi, qui a figé.
Marie-France s'en aperçoit et lui lance.
- Il t'en a foutu une sacrée giclée, ton chemisier est collé à ta peau ! Enlève-le donc.
Encore une fois, la jeune femme exécute l'ordre donné. Elle se retrouve en soutien-gorge devant l'homme, maintenant tout nu.
- Le soutif aussi, alors !
Marie-France semble être très excitée d'un seul coup.
Personne n'a remarqué que depuis peu, la belle directrice bougeait ses jambes de droite à gauche. Dans ce geste, les boules de geishas, toujours en place, massaient délicatement la matrice de la blonde.
- Tu as vraiment de beaux nichons, ma puce ! Continue la patronne en les prenant en mains et les palpant doucement.
- Oh que c'est bon... Tes mains chaudes ! Miaule la gouine rousse.
- Vas-tu prendre en bouche cette queue et la faire bander... Tu ne vois pas que Monsieur attend, non ?
Sylvie obtempère instantanément. Elle prend en main la belle bite, la cajole, et, dans un geste obscène, avale entièrement le membre encore flasque qui commence à se raidir. Elle joue, dans sa bouche, avec cette queue encore souple comme si c'était une langue. À la différence, que de temps à autre, elle l'emmène au fond de sa gorge en déglutissant.
Marc, un peu usé par les séances de la journée, admire sa partenaire qui s'occupe si gentiment de sa pine. Il ne sent absolument pas le contact dur des dents de la belle, bien au contraire, son sexe est emprisonné dans un endroit doux et chaud, et les caresses prodiguées par la langue experte, lui remonte des sensations nouvelles et douces. Il prend tendrement, la tête rousse dans ses mains, et caresse doucement les cheveux soyeux, puis, il commence à onduler du bassin en tenant la tête toujours bien en place.
Marie-France, dont personne ne semble s'occuper, est venue s'asseoir sur le bord du sofa, pour mieux voir sa copine pomper le jeune homme. Elle a entrepris d'ôter sa robe violette, qui lui va si bien, pourtant. Elle met un temps infini pour défaire les boutons. Une fois la robe entièrement déboutonnée, elle retire ses bras des manches et reste assise, sur le délicat tissu. Ensuite, tout en observant attentivement les deux jeunes gens, elle recommence à bouger ses jambes doucement pour mettre en mouvement, au fond de son vagin, les boules dont elle est affublée.
Un observateur assidu pourrait comprendre la situation par la vision du fin fils blanc.
Sylvie, très excitée par le beau jeune homme qu'elle est en train de sucer et dont la bite réagit activement à sa prestation, décide de se mettre à son aise. Sans arrêter sa pipe, elle se laisse glisser du sofa pour se retrouver à genoux. Là, elle fait glisser la fermeture Éclair de sa jupe, la fait coulisser le long de ses cuisses, et enlève sa culotte de soie. Une fois ses vêtements au sol, elle se rassoit à sa place et dégage ses chevilles des attributs devenus gênants. Elle n'est plus vêtue que de ses bas fumés, elle se concentre à nouveau sur le sexe de l'homme qui grossit de secondes en secondes. Elle se régale du doux membre, mais ce dernier devient néanmoins un peu embarrassant par les proportions qu'il prend.
Marc est aussi très excité de voir cette ravissante rousse le sucer si bien, la caresse est on ne peut plus efficace et douce. Visiblement, la belle y met tout son cœur. Le jeune homme, qui n'a pas perdu une bribe du petit strip-tease, que vient d'exécuter Sylvie, distingue les poils pubiens roux de la belle. Les gros seins de la standardiste bougent au rythme des allées et venues de la bouche sur sa queue, ils sont tels deux cônes fièrement tendus vers les genoux de l’homme. Ce dernier ébauche un plan pour pouvoir la fourrer à l'insu de sa patronne.
Pour l'instant, il donne plutôt quelques signes de faiblesse, en effet, Marie-France s’aperçoit du plaisir que ressent l'homme et imagine la jouissance de celui-ci proche. La directrice se lève, s'approche du meuble de télé qui fait également bar et prend un gros verre à whisky. Elle revient s'asseoir à côté de sa petite amie et scrute les réactions du jeune. Quand elle pense que le moment est venu, elle pousse doucement la rousse et lui dit :
- Laisse-moi la place… Allez, pousse-toi un peu… Gourmande va !
Sylvie régurgite prestement la queue raide et se pousse sur le côté, pas question de s'opposer à sa patronne, elle le sait bien d'ailleurs.
Marie-France s'empare de la grosse bite, approche le verre, penché, devant, branle copieusement l'homme qui, si surpris du changement de cavalière, n'a pas protesté. Elle serre fort le vit gonflé, l'astique énergiquement, tant et si bien que l'homme éjacule d'un coup au fond du récipient. Elle continu de traire ce sexe dur, pour récupérer jusqu'à la dernière goutte du précieux nectar.
- Vas-y, donne-moi tout ton foutre crémeux mon chéri, dit-elle au jeune homme, qui fait ce qu'il peut.
- Ah ! Gémit le jeune homme. Que c'est bon, ma douce, continue-t-il après un long râle de bonheur, la tête renversée vers l'arrière.
La directrice presse les couilles de son jeune employé comme pour en soutirer encore quelques gouttes, estimant avoir récupéré toute la semence de l'homme, elle approche le verre de ses yeux, et, très experte, juge le contenu satisfaisant. Le gobelet contient à peine un centimètre de sperme blanchâtre.
- Ma chérie, je vais te faire un cocktail "cordome", dit-elle en regardant la belle rousse.
- C'est quoi ça ? Interroge Sylvie, se doutant d'un coup salace là-dessous.
- T'inquiètes pas ma douce, tu verras, c'est très bon. Et, là-dessus, Marie-France se lève et retourne au bar, pour en sortir une bouteille de champagne, qu'elle pose sur la table basse. Puis, sort également trois flûtes, qu'elle dispose à côté de la bouteille.
Marc, toujours debout et qui a suivi toute la scène, entreprend de s'asseoir. Il se cale confortablement à côté de la belle rousse et l'embrasse tendrement.
- Tu as été divine, lui glisse-t-il à l'oreille.
- Merci, beau blondinet, rétorque celle-ci, en lui faisant un clin d'œil complice.
- Ça va les tourtereaux ? Questionne la directrice d'un air agacé.
- Mais bien sûr ma chérie... Plaisante le jeune homme, en s'adressant à sa patronne sans toute fois la regarder.
La jolie blonde, sentant que le court des choses lui échappe insidieusement, prépare le breuvage dont elle a parlé plus tôt. Ceci fait, elle présente un verre à Sylvie, prend le sien, verse seulement du champagne dans le verre de Marc, et se rassoit dans le canapé. Là, elle passe tendrement son bras derrière le dos de Sylvie.
- À la nôtre ! Dit-elle en levant son verre.
- À nos femmes, à nos chevaux et à ceux qui les montent. Proclame gaiement Marc.
L'apéritif ne semble pas être du goût de tout le monde, en effet, la belle rousse fait la moue devant son verre.
Marie-France, la serrant encore un peu plus, la rassure.
- Vas-y, bois, tu vas voir, le foutre donne un goût particulier au champagne. Il n'y a rien de mauvais dans ton verre, ne t'inquiète pas !
La belle rousse s'exécute alors, d'une part rassurée par sa maîtresse et, aussi, très excitée de boire le sperme du beau jeune homme. Le goût du foutre et les bulles du champagne font un mélange des plus subtils, la belle s'en délecte.
De voir sa petite copine boire son cocktail, la femme mûre mouille de partout. Les boules de geishas dans son ventre ne sont sûrement pas étrangères au phénomène.
Ses deux convives consomment leur apéritif sans remarquer que leur patronne n'arrête pas de se tortiller les fesses. À chaque mouvement, Marie-France ressent les déplacements des deux boules qui excitent les parois de sa matrice. D'un coup, n'y tenant plus, elle écarte ses cuisses en grand, fait glisser ses fesses vers le bord du sofa et interpelle son amie rousse.
- Regarde, ma chérie.
Et elle tire doucement sur le fin cordon qui pend entre ses cuisses jusqu'à faire sortir une boule de sa chatte.
- Qu'est-ce que c'est ? Interroge Sylvie, en se penchant vers la chatte blonde et très intriguée par le nouvel appareil de sa maîtresse.
- Des boules de geishas, j'en ai encore une au fond de mon minou. Tu veux voir ?
Continue la blonde. L'entrée de sa moule, un instant dilatée pour laisser passer la boule blanche, se referme lentement, lui procurant des sensations d'une grande douceur.
- Oui, bien sûr.
La jolie rousse pose sa main chaude juste au-dessus du sexe de sa patronne et attend la suite des événements, les yeux grands ouverts.
Marc se penche également pour ne pas rater le spectacle.
- Regarde !
La belle blonde continue à tirer sur le fils. La deuxième boule apparaît maintenant à l'orée du sexe.
- C'est drôlement bon, tu sais, ma chérie, raconte encore Marie-France à son amie, d'une voix qui laisse préjuger de la justesse de ses propos.
Une fois les deux boules sorties, la blonde jette un regard amoureux à sa copine et lui dit :
- Remets-les moi, ma puce.
- Avec joie.
S'écrie l'hôtesse de plus en plus excitée. Elle prend les deux boules dans sa main libre, les soupèse un instant, les fait glisser entre ses doigts sans mal, puisqu'elles sont toutes enduites de mouille et présente la première bille devant l'orifice.
- Tu me dis si je te fais mal, ma douce chérie.
Adresse-t-elle à sa patronne en chaleur. Puis, prenant de l'assurance, elle enfile doucement la boule blanche dans la chatte juteuse de sa directrice lubrique.
Commentaires
Enregistrer un commentaire