Un bon job : Chapitre 2 : Première surprise Partie 2
Elle démarre la voiture et reprend la bretelle de sortie sans mot dire.
Dix minutes plus tard, la voiture sort de l'autoroute et empreinte une route de campagne. Peu de temps après, Marc découvre une grande usine devant laquelle Marie-France se gare.
- Attends-moi ici, je dois rencontrer Georges pour mettre au point les derniers détails de l'automatisation de sa nouvelle chaîne de production, ce ne sera pas long.
L’employé attend donc dans la voiture et, en effet, à peine le jeune homme a-t-il commencé à écouter la radio que déjà, sa patronne ressort du bâtiment, accompagnée d'un petit homme brun à lunette, un peu dégarni, devant avoir la quarantaine. Marie-France remonte en voiture, pendant que l'homme prend la sienne et démarre.
- Nous allons chez lui, tous ses documents sont là-bas", précise la directrice à son collaborateur, qui n'avait rien demandé.
Un petit quart d'heure de route et voici les deux voitures qui se suivent, entrer dans une belle propriété. Au bout du chemin, se dresse une grande demeure blanche. La maison est construite en U, l'entrée se trouve perchée au-dessus d'un escalier, d'une dizaine de marches larges.
Marie-France se tourne vers le jeune homme et lui annonce froidement :
- Bon, je vais aller me faire reluire le conduit, qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour avoir cette affaire !
Il en reste bouche bée.
Une fois les deux véhicules stoppés, la directrice descend et rejoint son client avec lequel elle engage une discussion dont Marc ne peut rien discerner. Les deux personnes empruntent le majestueux escalier et disparaissent dans la villa. Le nouvel employé ne comprend pas encore toute la subtilité des affaires semble-t-il, néanmoins, il reste à bord de la voiture un long moment en silence.
Au bout d'une vingtaine de minutes, il ressent le besoin de se dégourdir les jambes. Son sexe, toujours enfermé, ne lui fait plus mal, mais il a besoin d'uriner. Il descend donc du 4X4, et cherche un endroit pour pisser tranquillement. Il passe sur le côté de la maison et soulage sa vessie sur un buisson dense. Une fois ses besoins comblés, il retourne vers le véhicule. Chemin faisant, il aperçoit des ombres dans une pièce fortement éclairée. Il s'approche d'une des fenêtres de la pièce et jette un coup d'œil furtif, prenant bien soin de ne pas être vu. Le spectacle qui s'offre à ses yeux est surprenant, sa belle patronne, nue à l'exception d'un tablier de serveuse, qu’il ne lui connaissait pas, de son porte-jarretelles et de ses bas, est en train de sucer l'homme debout devant elle. En regardant plus attentivement, il s’aperçoit que la belle a un bras derrière son dos et son majeur dans le cul. Elle y va de bon cœur la salope ! Elle branle l'homme avec vigueur, la moitié de la queue dans sa bouche. Elle se glisse maintenant un deuxième doigt dans l'anus et agrandit le petit trou marron.
Marc n'en revient pas. "Ah, c'est pour ça qu'elle m'a fait tout son cinoche", pense-t-il, "mais quelle chienne !" En effet, Marie-France se prépare à recevoir son client au plus profond de ses entrailles, en dilatant son sphincter au maximum, elle adore se faire enculer, mais préfère tout de même y être bien préparée. Le sexe de l'homme grossi à chaque aspiration et promet d'être d'un beau diamètre, une fois bien en forme.
L'homme se régale de cette bonne pipeuse qu'est la patronne de S.E.A. Il la sait cochonne à souhait, et, suite à son appel d'offre, sait qu'elle fera tout son possible pour obtenir le marché, et même plus ! Il commence un mouvement de balancier comme pour baiser cette bouche accueillante.
La belle sent cette délicieuse douleur anale, lui annonçant que le passage sous ses reins est grand ouvert. Elle connaît les mecs, ils ne se sentent plus, quand ils viennent d'enculer une petite nana, et que ne ferait-elle pas pour avoir ce marché ? Elle pompe de plus belle, la grosse queue rose, l'homme se parfume les couilles, c'est sûr ! Elle se remémore les instants divins qu'elle vient de passer avec Marc et ferme les yeux pour les revoir, comme elle voudrait la langue de son jeune employé au fond de sa chatte !
- Encule-moi, mon amour !
Demande-t-elle à Georges, qui s'imagine qu'elle pense à lui, en fait, elle voudrait tant que son nouveau collaborateur soit là pour la sodomiser.
- Qu'est-ce qu'elle est belle, ta grosse queue, ajoute-t-elle dans un miaulement de félin et cependant, toujours dans le même esprit.
Georges ne se sent plus de joie à ces mots, aide la jolie blonde à se relever, l'embrasse tendrement en lui glissant son majeur dans le rectum.
- Tu mouilles du cul, toi ! Tu aimes te faire défoncer le petit trou, hein chérie ? Lui murmure-t-il en l'allongeant sur la table de la salle à manger.
- Oh oui, mets-moi toute ta grosse bite dans mon petit cul ! Susurre-t-elle encore.
L'homme prend un soin infini pour la mettre à plat ventre sur le bois froid, ensuite, il écarte les fesses rebondies d'une main et guide son pénis raide, vers le sphincter, de l'autre.
Marie-France ferme les yeux et goûte le contact du gland contre son anus distendu, elle imagine la belle grosse bite rose de son ami Marc, ses pensées se tournent vers le jeune homme. Le mandrin dur rentre délicatement dans ses entrailles, bien que le sphincter soit très dilaté, il n'en est pas de même pour tout l'intérieur du conduit anal, celui-ci s'écarte doucement et laisse néanmoins passer le pieu de chair. Elle a l'impression que son cul va éclater, une fois la bite tout au fond d'elle, elle expulse l'air de ses poumons dans un soupir bestial.
Georges, très concentré durant toute l'opération, souffle également, le petit trou du cul est si serré qu'il pense un instant avoir la queue dans un étau dont les mors seraient chauffés à blanc. Quelle sensation de bonheur de prendre possession du cul d'une si jolie blonde ! S'enivrant de la posture, un sourire lui monte aux lèvres, il commence à ressortir, toujours doucement, son outil à faire rêver les femmes, du côlon de sa partenaire. Il est debout, droit comme un "I", les jambes serrées, cramponnant les hanches de la belle à pleines mains.
Elle, cassée sur la table en bois, a les deux jambes bien écartées, le cul tendu vers son amant, les bras en croix et les seins écrasés par son propre poids.
Marc ne perd pas une miette du spectacle, voir sa patronne se faire sodomiser déclenche en lui des sentiments troubles, comme il aimerait être là, la bite plantée au fond du trou du cul offert, comme il haït cet homme qui prend sa place, après tout, c'est sa patronne. Mais en même temps, il adore se dire que sa patronne est une putain qui se prostitue pour la boîte !
Marie-France se détend à sentir l'énorme manche ressortir de ses intestins et aspire une profonde goulée d'air frais. Le vide, laissé au fond d'elle-même par le passage du gros pieu, ne se comble pas instantanément, il lui laisse une sensation de manque. Une fois l'engin presque entièrement dégagé, elle le sent reprendre position et revenir tout au fond d'elle-même. La deuxième pénétration est, cette fois, moins lente et plus vigoureuse, et lui arrache un cri, quand le corps de l'homme vient en butée contre ses fesses. À ce moment, il lui semble que le pic raide et dur est planté dans ses reins et que son ventre va exploser. L'afflux de sang à son cerveau lui déroule un voile rouge devant les yeux, elle décolle.
Georges, enculant la belle de son mieux, a un drôle de sentiment de puissance qui s'impose à lui, la sensation de tenaille est, cette fois, moins forte sur son sexe. Ce n'est pas son coup d'essai avec Marie-France, mais ce soir, elle le surprend de la plus belle façon qui soit. Jamais il n'avait imaginé enculer une petite aussi profondément. Il a envie maintenant de lui ravagé le cul à grands coups de pine et les cris qu'elle pousse, l'encourage d'autant. Il ressort alors, d'un coup sec, son gourdin vivant et le renfonce énergiquement, il commence à exercer un mouvement de va-et-vient de grande amplitude, sans ménagement, il bourre le cul de la belle directrice qui crie à pleine voix à chaque pénétration.
Marc, fasciné par ce qui se passe à l'intérieur de la pièce, est de plus en plus excité de voir sa directrice se faire prendre comme une chienne. Il la voit cramponner le bord de la table, pour ne pas être propulsé au milieu de celle-ci à chaque coup de boutoir. Les genoux de la jeune femme sont repliés de manière à protéger les cuisses du contact du bord coupant de la table, ses pieds ne touchent plus le sol. L'homme la sodomise sauvagement. L’employé perçoit les cris aigus à travers les vitres, celles-ci en tremblent d'ailleurs. Dans un mouvement disgracieux, il tire le tissu de son pantalon et de son caleçon, en rentrant le ventre, pour dégager l'espace autours de son sexe en pleine érection.
Les grands coups sourds se répercutent dans tout le corps de Marie-France. Tout son être est secoué à chaque fois que Georges arrive en butée, le ventre et les seins de la femme glissent à chaque occasion sur le bois dur, seuls, les tétons, moins glissants que le reste de la peau tendre, sont malmenés dans ces actions, ils sont tout congestionnés et provoquent une bonne brûlure à la jeune femme. Celle-ci n'en a cure, le traitement rectal qu'il lui est appliqué est tout autrement douloureux.
Bonne salope, elle n'en bouge pas moins son bassin en cadence en espérant écourter la séance, pour le mener plus vite à l'éjaculation. Elle ne connaissait pas une telle violence à Georges.
- Oooh OOOooouuuuiii ! Tu m'encules comme un dieu ! Ment-elle à l'homme.
Celui-ci, prenant les paroles pour une invitation pressante, redouble de vigueur dans ses mouvements.
- T'aimes ça te faire ramoner le cul, hein, salope ! Ajoute le bonhomme cramoisi d'excitation, avec les dents serrées, sentant sa sous-traitante soumise. J'vais t'le remplir ton cul, va ! Continue-t-il.
- Je jouis, ouiii ! Crie la belle, prenant réellement son pied.
Ce coup-ci, la douleur s'estompe pour laisser la place à une joie indicible. Elle projette son cul vers le ventre de l'homme avec frénésie, tout son rectum n'est plus qu'une mine de bonheur dont elle use et abuse avec délectation.
- J'vais te balancer toute la purée, salope ! Reprend Georges, les dents encore plus serrées, dans un état proche de l'extase.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il éjacule en longs jets puissants, la substance crémeuse se répand dans les boyaux de la belle dont la jouissance explose complètement.
Marie-France sent le liquide épais s'insinuer dans ses tripes, elle se sent pleine de foutre chaud, elle a l'impression que les puissantes saccades ont refoulées ses excréments aux confins de ses boyaux, en les tassant. Elle ressent le poids de l'homme qui vient de se vautrer sur son dos et respire bruyamment. Une drôle d'alchimie est en train de se produire dans son ventre, le sperme dissous doucement la merde présente dans les tripes, la réaction produit des gaz, en petite quantité, qui dilatent, çà et là, les parois de l'intestin. La belle ressent des bouillonnements dans son ventre et c'est délicieux !
- Ah que c'est bon, s'épanche Georges en s'adressant autant à lui-même qu'à la jeune femme.
- Oh oui mon chéri, tu m'as fait jouir comme personne, mon amour !
Commente la jolie blonde dont il ne faudrait pas le vérifier sur son visage. Après trois profondes aspiration, elle continue :
- Choisis mon entreprise pour tes travaux, je pourrais être là plus souvent comme ça. Et je pourrais bien m'occuper de ton gros sexe qui me donne tant de bonheur, miaule-t-elle.
- Je ferais tout pour que tu emportes le marché, c'est promis, je saurais confiner les velléités de mon conseil d'administration.
Se vante encore Georges. Tout en discutant, il se relève et se rhabille comme il le ferait avec une péripatéticienne.
- Où sont tes toilettes ? Demande Marie-France, qui craint des fuites par son anus encore béant.
- Deuxième à droite, dans le couloir. Pourquoi, tu n'es plus étanche ? Interroge, goguenard, le bonhomme.
- Connard ! Pense la belle en se dirigeant vers les toilettes.
Marie-France entre dans la salle de bain et s'enferme à clefs, se dirige vers le trône, puis s’assoit sur la lunette en bois en écartant les cuisses au maximum. Elle repense à son jeune employé qui doit se morfondre dans la voiture, en fermant les yeux, elle revoit le visage idyllique du jeune homme, un doux sentiment l'envahit. Les tripes pleines de semence, la tête d'amour, la jeune femme commence à se peloter les seins comme elle sait si bien le faire. Elle soigne ses tétons si durement traités auparavant, les sensations douces qui montent de son ventre se faisant plus présentent, elle conduit son index droit sur son clitoris, jaloux de ne pas avoir participé à la fête.
Elle s'astique le bouton avec ferveur, ce faisant, elle perçoit des mouvements et des agitations dans ses intestins, une matière épaisse et chaude descend le long tube dans son ventre. Elle voudrait bien retenir toute cette sauce en elle, mais, son anus grand ouvert et le conduit intestinal dilaté, l'en empêche. Un liquide gluant et brun suinte de son orifice rectal en échauffant les chairs avec lesquels il est en contact, ce qui fait tressaillir la belle de plaisir. Elle frotte son clito de plus belle et salive de luxure, elle a l'impression d'uriner par son trou du cul, de plus, sa chatte, qui n'a pas mis de temps à se détremper, laisse également échapper de la mouille toute chaude et odorante.
Elle n'en peut plus et étouffe un cri de jouissance, elle écarte ses petites lèvres pour essayer de laisser couler autant de son jus de femelle que son petit trou laisse passer de sperme et de merde mêlés. Elle se vide littéralement, ce qui, après s'être sentie pleine de foutre, lui procure autant de plaisir. Elle pousse pour se vidanger plus complètement les intestins, ce qui produit le crépitement sourd des gaz de fermentation qui s'échappent. Elle mouille, pète, chie, se vide de partout, ne sait plus si c'est son cul ou sa moule qui lui procure le plus de plaisir, elle en bave de plaisir. Son anus est tellement dilaté que les excréments sont expulsés en vrac et éclaboussent, en touchant l'eau, ses cuisses et ses fesses. La jouissance est si forte qu'elle tombe en avant sur la moquette épaisse, elle reste là, dans un état second, un bon moment.
Des coups secs, frappés à la porte, lui font reprendre conscience du moment et du lieu.
- Ça va ? S’enquit Georges. Tout va bien ? Poursuit-il encore.
- Oui, oui, ne t'inquiète pas mon chéri, répond la belle menteuse.
- OK, je te sers un verre ?
- Non, pas ce soir, j'ai de la route. De plus, mon nouveau chargé d'affaires m'attend dans la voiture, s'excuse-t-elle.
Elle ressort de la pièce, toujours à demi-nue, embrasse doucement Georges et va se rhabiller dans la salle à manger. Marie-France prend congé de son hôte assez rapidement et retourne à la voiture. En montant dans le véhicule, elle est accueillie par le regard froid de son jeune employé. Celui-ci ne lui adresse pas la parole, pendant une bonne demi-heure de voyage. Puis tout d'un coup, il commence.
- C'est pour ça que tu avais besoin de moi, pour te préparer, te chauffer, comme une pute ?
- Suffit, jeune con !
Répond-elle d'un ton impérieux en comprenant qu'il avait suivi les ébats. Puis, elle continue plus courtoisement :
- Les affaires sont suffisamment dures comme ça, n'en rajoute pas ! D'un seul coup, très chatte, elle poursuit : J'aurais tellement voulu que tu sois là, que ce soit toi qui me prennes, tu sais !
- C'est vrai ? Interroge Marc déjà adouci.
- Mais bien sûr, couillons ! Acquiesce-t-elle amoureusement. On va se prendre un petit verre en arrivant, et, si tu es sage, je te prouverai que je ne te mens pas.
Vers dix-neuf-heures trente, la voiture se gare devant l'immeuble de S.E.A. Les deux personnes entrent dans le bâtiment vide et sans lumière. Une fois dans son bureau, Marie-France se jette dans le canapé et demande à Marc de lui servir un verre, de son excellent whisky, et de venir s'asseoir à côté d'elle.
Le jeune homme s'exécute bien volontiers et rejoint sa patronne dans le sofa. Elle l'enserre tendrement dans ses bras et lui susurre à l'oreille :
- Lave-moi des sévices que m'a fait subir ce porc, et elle l'embrasse fougueusement.
Marc, ragaillardi de cette confidence, déboutonne entièrement la robe de sa patronne qui se retrouve seulement vêtue de son porte-jarretelles et de ses bas, assise sur sa robe ouverte. Il prend délicatement le sein gauche de la belle dans sa main et porte sa bouche sur le téton déjà raidi. Il suce doucement l'appendice, ce qui suscite un vif intérêt de sa directrice.
Marie-France ne reste pas à rien faire, elle aide le jeune à retirer sa chemise, puis fait jouer la braguette de l'homme ravi. Elle l'aide encore à retirer pantalon et caleçon, puis caresse doucement la queue déjà conséquente. Elle perçoit la douceur du sexe bien que la peau soit tendue, prête à craquer, elle jette sa tête en arrière pour mieux goûter la délicate succion de son sein, elle en profite pour malaxer l'autre.
- Je vais récompenser tes efforts de cet après-midi, Marc, ça te plairait de me sodomiser ? Lui confie-t-elle.
- Oh oui, Marie-France, tu en as vraiment envie ? Questionne-t-il encore.
- Bien sûr, nigaud, sinon… Elle laisse le jeune homme perplexe, puis ajoute, donne-moi ta belle bite que je te suce bien.
L’employé ne se fait pas prier, il abandonne son ouvrage et se cale confortablement dans le siège.
La jeune femme se penche et avale d'un trait le sexe offert, puis commence une pipe de très haute facture.
Il apprécie cette bouche suave et chaude. Pour être plus à son aise, il s'allonge sur le sofa, emprisonnant ainsi sa maîtresse entre ses jambes longues et musclées. Dans cette position, il voit son sexe, gorgé de sang, disparaître dans la bouche de la charmante pipeuse, puis réapparaître tout luisant de salive. Sa queue gonflée de plaisirs inassouvis est prête à exploser.
Marie-France s'en rend compte, arrête sa profonde succion et dit d'un ton doux :
- J'arrête, sinon tu vas partir tout de suite !
Ce faisant, elle se redresse sur ses genoux, fixe Marc dans les yeux et se met à caresser ses nichons.
- Tu aimes quand j'me pelote ? Interroge-t-elle le jeune homme, qui visiblement se réjouit du spectacle.
- J'adore, tu veux dire, je suis sûr que tu pourrais passer ta langue sur tes tétons si tu faisais un effort.
À ces mots, la belle soulève ses seins et penche la tête à droite pour lécher son appendice dur, puis à gauche pour faire la même opération sur l'autre sein. Très experte, elle fait rouler le bout du téton sous sa langue habile, elle joue avec ses deux seins d'une manière originale.
Le jeune employé a une envie terrible de la peau douce de cette femme. La voir se bricoler ainsi, le met dans un état pas possible, il bande comme un fou !
Marie-France, se prenant au jeu, continue par prendre le sein droit de ses deux mains, l’une pour le soulever aussi haut que possible, l'autre pour pincer la tache brune ou né le mamelon. Elle porte celui-ci à ses lèvres et le suce délicatement, en veillant bien à être parfaitement vue de l'homme. Elle fait un clin d’œil complice à Marc, celui-ci ne se sent plus de joie, "quand même, je produis chez elle un drôle d'effet", pense-t-il.
La belle aspire son petit bout brunâtre, tant et si bien que ce dernier s'allonge et double de taille. La sensation de cet étirement procure une délicieuse douleur à la belle, elle vibre de bonheur.
L’homme, n'en pouvant plus d'être excité par cette chienne en chaleur, qui lui dévoile ses penchants les plus secrets, a une envie terrible de lui coller ses vingt centimètres de viande ferme, tout au fond du cul. La voir comme ça, le rend presque jaloux à nouveau, ça le démange tant, qu'il se redresse et vient embrasser le ventre doux de la belle, la tête inclinée pour ne pas perdre son point de vue.
Leurs regards complices se croisent et semblent échanger des tas de choses vicieuses.
À bientôt quarante ans, la directrice est passée maîtresse dans l'art de l'amour, mais son expérience la rend d'autant plus exigeante avec ses amants.
Marc a encore beaucoup à apprendre, au contact de cette femme, bien qu'il ne soit plus un novice, elle le surprend pourtant encore à chaque fois, ou presque.
Pour le moment, elle a pincé le mamelon entre ses dents, les lèvres retroussées, les mains à hauteur de ses épaules, les coudes repliés et étire son sein avec vigueur tout en le fixant, d'un regard qui en dit long sur ses intentions.
Le jeune homme, qui ne perd pas de vue, les yeux malicieux de sa belle patronne, lui glisse une main vers sa toison claire, le contact du poil soyeux le ravi. Il ressent une folle envie de mordiller le clitoris qu'il imagine gonflé et raidi. Il s'en ouvre à la belle :
- Donne-moi ton clito, que je le mange !
- Vas-y, petit vicieux, répond Marie-France. Viens manger mon minou !
Et elle descend du sofa, passe sur le côté de celui-ci, et enjambe la tête de l'homme pour lui présenter sa chatte déjà entrouverte et humide. Une fois sa croupe offerte, elle se penche en avant, approche sa bouche du sexe dressé et passe sa langue tout autour.
Marc attrape les fesses de la belle à pleines mains et tend son cou pour amener son visage au plus près de la chatte accueillante. Il insinue sa langue entre les grandes lèvres ouvertes et lèche la chair tendre à sa portée. Puis, fait glisser son organe sur le bord du coquillage nacré et atteint le bouton d'amour de sa directrice chérie. Là, il entreprend un massage lent et doux du clitoris.
La belle pousse un gros soupir d'encouragement. Elle pousse sur le côté le gros vit et lèche les couilles de l'homme qui tressaillent sous la caresse. Elle entreprend de mettre en bouche une des noix à sa portée. La bite plaquée contre son cou, elle suce avidement les bourses du jeune homme. Elle ressent le doux massage de son clito et mouille de plus en plus. Sa chatte est bientôt entièrement inondée, Marie-France libère les couilles du jeune homme et lui demande tout à trac :
- Lèche-moi le cul, salaud…
Puis, elle reprend le gros sexe au fond de sa gorge, comme pour le garder au chaud.
Marc ne se fait pas prier, il commence à prendre au goût aux feuilles de rose, il s'attaque alors à la pastille brune qui n'est toujours pas fermée hermétiquement. Il lèche l'anus, vérifie l'élasticité du sphincter en appuyant sur celui-ci avec sa langue. Le petit trou, qui a pris l'habitude de laisser entrer pas mal de monde ces temps-ci, s'ouvre tout seul. Il a sûrement le sésame de cette entrée !
- Viens m'enculer, viens m'enculer !
Il s’aperçoit soudain que sa belle directrice n'arrête pas de répéter ses mots. Il la repousse donc vers ses pieds et se dégage du corps au-dessus de lui, ce qui facilite sa progression. Il se met à genoux derrière la belle et contemple le dos fin et les fesses rebondies, qui bougent, de droite à gauche, lentement.
Marie-France est à quatre pattes, elle bouge son cul doucement en signe d'invitation pour son jeune ami, après cette dure journée, elle a vraiment besoin d'une bonne bite dans ses entrailles, mais cette fois pour le fun. Elle ferme les yeux et essaye d'imaginer la vision que peut avoir l'homme derrière elle. Étant très attentive à l'image qu'elle reflète d'elle-même, elle se doute bien que la vue doit être charmante. Elle se concentre un instant et essaye de commander l'ouverture des muscles de son rectum, pour préparer, encore mieux, le passage du gros pieu de son amant.
Le jeune homme n'en peut vraiment plus, d'une main, il guide son outil vers l'entrée anale. Une fois l'engin en place, une petite pression de l'homme suffit à faire ouvrir entièrement le sphincter et entrer presque complètement la bite dans le fourreau chaud.
- Oh ! Comme t'es serrée, gémit Marc. C'est vraiment trop !
- Oui ! Défonce-moi... Oui ! Grogne la belle dans une grimace ou se mêle plaisir et douleur. À moitié folle, elle poursuit en criant :
- Vas-y, défonce-moi bien… Salaud ! Vas-y.
Marc ne se fait pas prier et laboure le cul à grands coups de queue vigoureux. Il culbute la belle de toutes ses forces, l'étau rectal qui lui sert la pine, le rend comme fou. Il ouvre plus grand la vallée culière avec ses pouces, en espérant pénétrer plus profondément encore. Il assène de grands coups de boutoirs à sa partenaire, qui crie. Puis, changeant soudainement de rythme, il annonce d'une voix rauque :
- J'en peux plus, j'vais partir, j'vais jouir !
À ces mots, Marie-France, comprenant que ce n'est pas une menace en l'air, s'échappe de l'étreinte contre-nature et se retourne prestement. Elle happe la queue d'un coup de langue magistral et pompe le gros nœud violacé. La bite a un très léger parfum d'oignon, ça ne l'en excite que plus.
Marc, ne se maîtrisant plus du tout, ne peut empêcher sa bite de cracher un gros flot de foutre dans la bouche de sa patronne, celle-ci n'arrête par pour autant de pomper et, le phénomène recommence à quatre reprises. Une fois la queue moins raide et les couilles complètement vidées de leur substance, elle retire le pieu de chair de sa bouche et relève la tête vers son amant souriant. Dans un regard malicieux, elle entrouvre sa bouche pour laisser Marc admirer sa semence. Elle déglutit lentement et fait bien attention de n'avaler que de toutes petites gorgées de la précieuse denrée. Elle fait passer sa langue sur ses lèvres pour en étaler une petite dose, elle se régale de tout ce bon foutre chaud et épais, exactement la consistance et la saveur qu'elle espérait. C'est une vraie friandise !
Marc n'en revient pas, cette salope aime vraiment le sperme, ce n'est pas possible autrement ! Il la regarde faire sans dire un mot, il se sent d'un coup très fatigué, la journée a été pleine de surprises, lui semble-t-il. Mais, est-il vraiment au bout de toutes les surprises ?

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