Un bon job : Chapitre 2 : Première surprise Partie 1
Ce lundi matin là, Marc, se rend au siège de S.E.A. pour embaucher. Le temps est beau et la température agréable. Après avoir garé sa vieille voiture le long du trottoir, il se dirige vers la porte d'entrée vitrée de l'immeuble. Connaissant déjà les lieux, mais très intrigué par le déroulement de cette première journée, il vérifie l'heure à sa montre, "pas le jour à arriver en retard", se dit-il, entre dans le hall d'accueil et demande à la belle standardiste déjà en poste.
- Bonjour mademoiselle, j'ai rendez-vous à huit heures précise avec la directrice, dit Marc.
- Elle est déjà arrivée et vous attends me semble-t-il, répond Sylvie, la jolie standardiste, qui a, tout au plus, vingt-cinq ans.
- Au fait, je m'appelle Marc, nous sommes collègues à présent. Puis-je vous demander votre nom ? Ose Marc, très attiré par cette belle et grande rousse aux yeux verts.
- Enchantée, moi, c'est Sylvie. Vous commencez ce matin ? Demande la jeune femme.
- Oui, j'ai rencontré notre patronne vendredi soir et je débute aujourd'hui. A tendance à se vanter le jeune homme.
- Oh, très bien Marc, suis-moi, propose-t-elle avec un léger sourire en coin. Elle connaît parfaitement sa patronne et sait ce qui doit l'intéresser chez ce jeune mec blond. Elle aussi, a passé un essai, un vendredi soir, elle en garde un délicieux souvenir, qu'elle remet d'ailleurs à jour, de temps à autre, avec Marie-France.
Le jeune homme suit la standardiste dans l'escalier, le même déhanchement que la première fois produit, chez lui, la même émotion. La jeune hôtesse est vêtue d'une robe sous le genou, mais fendue derrière, le nouvel employé remarque la bande de chair claire au-dessus des bas blancs. "C'est à se demander si elle ne le fait pas exprès", présume l’homme, ne pouvant pas détacher son regard de sous cette robe.
Arrivé au troisième étage, l'hôtesse frappe à la porte de la direction.
- Entrez. Répond la belle directrice quadragénaire.
Sylvie, en se dérobant du passage, laisse entrer Marc et referme la porte derrière lui.
Le jeune homme ne sait pas quelle attitude adopter devant Marie-France après ce qui s'est passé le vendredi précédent. Il est accueilli par un salut franc et doux. Il s'approche pour se placer devant le bureau, mais la femme se lève et vient l'embrasser tendrement.
- Je suis très contente de te recruter, ton essai m'a laissé un beau souvenir, d'ailleurs, ce week-end, j'aurais aimé que tu sois là. Enfin, ces deux jours se sont bien passés pour toi ? Interroge la charmante blonde.
- Oui, merci, rien de spécial, mais bien.
La belle directrice blonde est vêtue d'une robe légère couleur saumon, suffisamment chaude pour la saison, elle porte de délicieux escarpins bordeaux, ses jambes sont gainées de Nylon ton chair. Elle est très séduisante dans sa tenue, mais Marc éprouve un très léger malaise, quelque chose de stricte émane de cette femme.
La patronne retourne à son bureau et s’assoit en prenant la parole.
- Tu m'as ramené ton dossier, Marc ?
- Oui, oui, le voici, dit-il en tendant son contrat de travail, dûment rempli.
- Parfait, annonce la patronne, après quelques instants passés à analyser le document. Rien à ajouter ?
- Non, je ne vois pas... Qui me formera dans un premier temps ?
- Mais moi, mon petit chéri ! Laisse tomber la femme sur un ton sec et ne permettant pas d'objection.
- Tu es prêt à prendre ta première leçon ?
- Absolument patronne, acquiesce Marc en crânant un peu. Il est persuadé d'avoir tapé dans l'œil de Marie-France et est très confiant dans ses possibilités.
- Parfait, voici un dossier de consultation.
Dit-elle en tendant une chemise cartonnée.
- Va t'asseoir dans le sofa, en face de moi et prends-en connaissance.
- Merci, ajoute-t-il en prenant le dossier en main.
Le nouvel employé se dirige vers le canapé, comme il lui a été indiqué, pose le dossier sur la petite table basse, retire sa veste et s’assoit. De là, il a une vue imprenable sous le bureau de sa patronne.
Celle-ci le regarde s'installer et remarque son regard bas, aussitôt, elle soulève ses fesses de son fauteuil, remonte sa robe et écarte les cuisses.
Marc se sent rougir, mais ne peut détacher sa vue du spectacle qui lui est offert, Marie-France ne porte pas de culotte ! L'homme est pris d'une érection immédiatement.
- Allez, au travail mon garçon, lance-t-elle au jeune homme, tu as droit à un coup d'œil de temps en temps, pour te stimuler, mais pas plus. Ajoute-t-elle sur le ton du commandement.
L’employé prend connaissance des différentes pièces du dossier, tout cela est nouveau pour lui. Bientôt, emporté dans sa soif de comprendre et d'apprendre, il ne fait plus attention à rien d'autre qu'à son travail. Une bonne heure s'écoule ainsi.
- Passionnant ? Éclate une voix près de lui.
Le jeune homme émerge de son dossier comme s’il venait de se réveiller. Il a les yeux hagards, surpris dans sa lecture, il regarde bizarrement sa patronne qui est tout près de lui.
Cette dernière a le haut de la robe déboutonné, laissant apparaître sa poitrine ferme dont les tétons pointent. Elle a un pied posé sur la table basse, la cuisse écartée, la robe tirée vers l'arrière et se masturbe en regardant le jeune homme ébahi.
- Ça te fait bander ? Demande-t-elle abruptement.
- Oui, oui, bien sûr, répond Marc, dont la voix déraille quelque peu.
- Alors fait voir !
Le jeune homme abasourdit se lève machinalement, défait sa ceinture et sa braguette, descend son pantalon, en même temps que son caleçon, à mi-cuisses, laissant apparaître son sexe dans un état de semi-érection.
- C'est tout ! Tu peux mieux faire mon salaud...
Il est complètement catastrophé à ces mots, il voudrait bien faire plaisir, mais il a été tellement surpris que voilà !
- Regarde-moi me branler le clito. Jette Marie-France sur un ton courroucé, tu ne vas pas me faire regretter de t'avoir embauché, au moins ?
- Excusez-moi, patronne ! Dit-il en baissant les yeux, comme s’il avait honte.
- Passe pour cette fois, mais je te veux disponible à tout moment. Allez, regarde ma belle chatte.
La perverse directrice se masturbe en passant à toute vitesse son majeur gauche sur son bouton d'amour, elle a un regard froid où passent, de temps à autre, des éclairs lubriques, elle fixe la bite du jeune homme. Quand elle est excitée, rien ne l'agace plus qu'un homme placide, et là, celui-ci ne parait pas très enthousiasme, à première vue.
Marc, les bras ballants, regarde cette femme, si douce une heure auparavant, se branler comme une vulgaire putain de bas étage. Il a du mal à se faire aux changements soudain de la belle. Complètement décontenancé, il ressent l'appel de la chair, sa bite se durcit à vue d'œil, il a maintenant une vraie grosse envie de cette salope offerte.
- Ah, voilà mieux ! Dit la femme les dents serrées dont on ne peut dire si c'est de plaisir ou de fureur.
L’employé bande maintenant comme un taureau, sa queue fière, se dresse le long de son ventre, son pantalon est tombé sur ses chevilles pendant les quelques minutes, qu'a duré le cinéma de la belle.
Marie-France, arrêtant sa branlette frénétique, repose son pied par terre, ce qui a pour effet de refermer immédiatement le bas de sa robe et s’accroupit devant le bel outil, pour le prendre dans sa bouche. Les deux mains serrées sur ses seins, elle prend l'extrémité du sexe raide dans sa bouche. Elle joue de lui avec sa langue, comme si elle roulait une pelle. Puis, elle le pince entre ses lèvres, pour le maintenir, et passe le bout de sa langue, sur l'ouverture de la pine.
La réaction du jeune homme ne se fait pas attendre, il pousse un "oh" de surprise.
La jolie blonde commence à sucer longuement son apprenti. Elle avale la queue jusqu'à en avoir un petit haut le cœur, on a l'impression qu'elle cherche à avoir dans sa bouche, la bite et les couilles de Marc.
"Quelle gourmande", pense ce dernier, tout en se régalant de la bonne pipe, que lui taille sa patronne.
La directrice adore sucer à fond des engins de ce volume, qui plus est, l'odeur du jeune homme l'excite complètement. Elle a une envie subite de la manger, aussi, donne-t-elle un petit coup de dents sur la queue raide.
L’homme crie, non de douleur à proprement parler, mais de surprise, elle reprend alors sa sucions divine.
Marie-France, une vraie pro de la turlutte, adore se triturer ses nichons tout en ayant une bonne grosse queue dans la bouche. Elle n'a jamais trouvé personne pour lui peloter les roberts, comme elle sait faire. Ses seins lui procurent une jouissance indicible de volupté, tour à tour, elle les malaxe à souhait, les maltraite délicieusement, cherche à les aplatir, les écrase, les soulage. Elle peut jouir rien qu'en s'occupant de cette partie de son anatomie.
Marc pousse de petits râles de plaisir, jamais encore, il ne s'est fait tailler une pipe de la sorte. Sa verge est prête à exploser de bonheur, il doit lutter contre lui-même pour ne pas éjaculer dans cette bouche chaude. Il commence à comprendre que cette femme ne dirige pas seulement au travail, mais aussi dans la vie de tous les jours, il sent chez elle, une maîtresse née.
- Oh, tu vas me faire jouir ! Se plaint l'homme, dans un râle de bonheur.
- Han, han ! Acquiesce Marie-France de la tête tout en continuant de plus belle sa pipe effrénée.
Marc prend la tête de la belle, qui s'agite, dans ses mains, comme pour l'aider. D'un coup, sa queue crache tout le sperme chaud.
Tout en gardant le gland baveux dans sa bouche, la vicieuse patronne relève sa tête, ce qui a pour effet de tordre un peu la queue, précédemment raide comme la justice, et fixe l'homme de ses yeux bleus. Elle apprécie de voir un homme à sa merci. Très maîtresse d'elle-même, la directrice avale tout le sirop de corps d'homme, qu'elle a en bouche, se relève, toise le jeune homme, ouvre à nouveau le bas de sa robe et l’interpelle.
- Voilà ce que tu as fait ! Dit-elle en exhibant l'intérieur de ses cuisses, où ruisselle sa cyprine, et elle ajoute :
- Viens me nettoyer ça maintenant.
Le jeune employé, sans mot dire, s'accroupit à son tour et lèche les cuisses où coule cette sauce odorante, d'abords la cuisse droite, puis la gauche sont ainsi nettoyées.
D'un coup et changeant brutalement pour un ton bienveillant, la dirigeante s'adresse à Marc.
- Parfait… Dit-elle en laissant retomber le bas de sa robe et tout en reboutonnant le haut.
- As-tu des questions à poser sur ce dossier ?
L’homme, très surpris du changement de situation, reste là, à demi-nu.
- Oui, j'ai noté quelques points que je ne comprends pas, indique-t-il sans savoir quelle attitude prendre.
- Eh bien, rhabille-toi. Répond doucement sa patronne, voyons tout cela de plus près.
La directrice fait preuve d'une douceur infinie avec son apprenti pour lui expliquer toutes les arcanes des affaires qu'elle traite. Le jeune homme, maintenant remis de ses émotions et rhabillé, écoute attentivement les conseils et instructions de sa belle blonde. Lui laissant le temps d'assimiler, Marie-France, retourne à son bureau et reprend sa tâche première.
"J'ai compris", pense le jeune employé, perdu dans ses pensées lubriques, "dès qu'elle a bu sa ration de sperme, elle est calmée, c'est bon à savoir, ça !"
Le travail reprend, comme si de rien n'était.
Vers dix heures, de petits coups discrets sur la porte font sursauter Marc, la directrice qui vient, elle aussi, de levé les yeux, fait entrer l'hôtesse d'accueil, dans le bureau.
- Deux cafés ? Demande-t-elle dans un sourire doux.
- Oui pour moi, tu en veux Marc ? Répond Marie-France.
- Bien volontiers. Fait le jeune homme en repoussant les pièces du dossier posées devant lui.
- Tu le prends avec nous, Sylvie ? Demande encore la patronne.
- Avec plaisir, Madame.
La jeune beauté se dirige directement vers le canapé où se trouve le nouvel employé, pose le plateau contenant le café, le sucre et les tasses sur la table basse. Elle attend debout, que son employeuse vienne la rejoindre.
- Merci, chérie, fait celle-ci en lui donnant une petite tape complice sur le cul.
- Tu es très en beauté, ma chérie ce matin, continue-t-elle joviale, en la prenant par les mains et s'en écartant un peu pour l'admirer. Oui, oui, très belle.
Le petit nouveau, qui n'a pas perdu une miette de cet étrange manège, sent l'excitation lui revenir.
Ils boivent, tous trois, leur café en discutant de choses et d'autres. Après un petit quart d'heure passé ensemble, Sylvie se relève et les quitte en leur souhaitant une bonne matinée.
- Craquante cette petite nénette, hein ?
Lance la directrice qui a bien remarqué les yeux de l’employé qui se baladait dans le décolleté de la standardiste, pendant la pause.
- Oh oui, et même plus ! Répond le jeune homme, soudain gêné, que sa patronne ait remarqué qu'il matait la belle rousse.
- Tu te la ferait bien, non ?
Demande-t-elle encore, en s'enfonçant dans le fauteuil qu'elle occupe.
- Non, non, il n'y a que toi qui compte, ment, mais mal, Marc.
- Alors tâches de me baiser comme une reine, petit vicieux.
Laisse-t-elle tomber d'un ton sec, tout en projetant ses fesses vers le bord du siège et en relevant sa robe pour montrer sa chatte.
Le jeune homme, dont la surprise n'est plus aussi totale que les premières fois, se lève, prend le temps de retirer ses vêtements.
Durant son strip-tease, la belle ne reste pas inactive, elle recommence à se masturber en le regardant se dénuder.
Marc, qui ne perd rien au spectacle de cette cochonne, qui s'astique le bourgeon, bande déjà comme un âne. Une fois dévêtu, l'idée de se faire pomper le nœud lui vient à l'esprit, aussi, s'avance-t-il vers le côté du fauteuil, la bite à la main, pour présenter son orgueilleux engin, à la belle femelle en chaleur.
- Que fais-tu là ? Interroge durement la patronne.
- Heu ! Tu ne veux pas me sucer ? Répond interrogativement le jeune homme.
- Et puis quoi encore ? Cent balles peut-être ! Dit la femme en perdant patience. Tu bandes correctement, alors viens me prendre, trou du cul !
Un peu penaud, il vient se placer devant la chauffeuse et se met à genoux.
Pendant toute la scène, la belle n'a cessé de se cajoler le pistil.
L'homme, une fois bien caler sur ses genoux, présente son sexe devant l'entrée de la chatte déjà ouverte. D'un coup de reins sec, il enfonce aussi loin que possible son organe dans la chatte détrempée et bouillante.
Marie-France, les yeux plissés, pousse un long soupir qui emplie la pièce, elle ressent complètement le puissant ramonage qui lui est fait, "quelle queue d'enfer", pense-t-elle en commençant à prendre son pied, sa matrice est pleine de jus chaud, aussi la sensation de n'être plus qu'une moule offerte est très forte.
Marc commence doucement ses mouvements de va-et-vient, il connaît déjà bien les pièges de cette cochonne en furie, il sait qu'il doit détourner son attention, s’il ne veut pas partir comme un débutant. Pour ce faire, il empoigne les deux seins à sa portée.
- Hummm !
Roucoule la belle, autant elle est concentrée sur son travail quand il le faut, autant elle a besoin de se faire remplir le con par une grosse bite bien dure, pour évacuer la tension nerveuse et la pression écrasante des responsabilités. Pour l'instant, sa chatte, complètement fourrée par ce gros mandrin, lui fait perdre la tête. Les mains douces de l'homme sur ses seins gonflés, ajoutent encore à son plaisir. Le suave, mais néanmoins efficace, mouvement de piston que réalise l'engin dans son vagin, comprime ses muqueuses à chaque fin de course, elle a l'impression qu'une pression infernale règne dans sa chatte brûlante et qu'elle va exploser.
Le jeune, appliqué à malaxer les deux mamelles comme il a vu le faire précédemment par leur propriétaire, commence à sentir la montée de sa lave du plus profond de lui-même. Pour se contrôler, il essaye de chasser toutes les pensées lubriques qui vadrouillent dans son cerveau suractivé. Rien n'y fait, il contemple alors le visage déformé de sa belle patronne en train de s'envoyer en l'air.
Marie-France, dont le rythme lent du mouvement commence à l'agacer, se met à jouer des hanches. Elle fait rouler tout son bassin dans un mouvement lascif, au début, qui devient rapidement plus brutal. Elle projette ses hanches de bas en haut, avec violence, ce qui a pour effet de coincer la grosse queue en biais, par moment, et ce qui redouble la sensation de pression qu'éprouve déjà la belle.
Marc a compris le piège, à chaque fois que le bassin est en position basse, sa bite se coince entre l'entrée de la grotte féminine et la paroi intérieure du vagin, il est obligé de forcer alors comme une bête et il a l'impression que son sperme est à chaque fois aspiré un peu plus. Énervé par cette pratique fourbe, il se met à marteler le sexe de sa partenaire à grands coups. Après quelques coups plus brutaux que les autres, il revient à un rythme moins soutenu, ne forçant que légèrement à chaque coincement.
La directrice qui compte bien se faire mettre à fond, engueule son jeune amant :
- Plus fort, idiot !
Il s'exécute à l'injective, recommence son martèlement, retire sa bite de plus en plus loin, puis l'enfonce de plus en plus profondément avec une vigueur exceptionnelle. À ce rythme-là, il ne peut pas tenir longtemps, et ce qui devait arriver, arrive.
- Houuu !
Lâche l’homme, sa queue va exploser. Son sexe produit une éruption de sperme brûlant, plusieurs grandes saccades de foutre sont projetées au fond de la matrice.
- Ouiii ! Remplie-moi bien ! Ouais ! Crie la belle en récoltant tout le jus. Vas-y, fais-moi partir. Ajoute-t-elle, alors qu'elle est déjà dans un autre monde.
Sous la violence de la jouissance, Marc s'écroule sur le corps, sévèrement secoué de spasmes, de sa patronne.
Elle en profite pour le serrer puissamment dans ses bras et l'embrasser fougueusement.
Le souffle coupé, ils restent là, de longs instants. D'un coup, Marie-France, reprenant ses esprits, interpelle le jeune homme :
- Allez, hop, nettoyage !
Le jeune employé, s'habituant vite au changement de sa patronne, se redresse, les jambes coupées par le plaisir. Il est contraint de s'asseoir par terre. Là, cherchant son souffle, il penche sa tête au-dessus de l'endroit si accueillant quelques instants plus tôt et recommence à lécher l’entrecuisse gluant.
- Les grandes lèvres aussi, lui intime sa directrice avec un sourire narquois.
Il s'exécute prudemment d'abords, puis sent les deux mains de la belle sur sa tête, qui lui plaque la bouche sur la chatte entrouverte. Il est maintenant obligé de recueillir la cyprine chaude mêlée à un peu de son propre sperme, il s'applique à tout nettoyer de son mieux, pour faire plaisir à sa patronne.
D'un coup, Marie-France, repousse fermement la tête qu'elle tenait entre ses mains.
- Allez, au boulot garnement. Annonce-t-elle au jeune homme sur un ton prévenant, puis elle ajoute : La dernière ligne droite avant midi !
L'homme se rhabille, les yeux baissés, sans voir sa patronne qui en fait de même. Quand il est prêt, il s’aperçoit qu'il est seul devant le sofa,
Marie-France, est déjà à sa place, replongée dans son ouvrage, il se remet au sien.
Vers onze heures trente, l'arrivée de Sylvie le distrait un instant, la directrice demande à la jeune femme de présenter la société au nouvel arrivant.
Le premier étage de l'immeuble est composé d'un grand couloir central, donnant sur plusieurs bureaux spacieux. Chaque bureau est équipé de trois ou quatre ordinateurs individuels, devant lesquels sont postés des hommes et des femmes. Il apprend que cet étage est consacré au développement de matériels électroniques, le chef de ce service lui est présenté, c'est un homme d'une cinquantaine d'années, paraissant assez sympathique.
Le deuxième plateau est arrangé de façon tout à fait différente, trois couloirs zigzaguent à cet étage et les bureaux ne sont pas vitrés. Il s'agit ici, des bureaux des chargés d'affaires et d'un bureau d'études pour l'activité automatisme de l'entreprise.
Sylvie fait pénétrer le jeune recru dans le bureau deux cent huit en lui annonçant que c'est son bureau. Après les présentations de rigueur avec ses nouveaux collègues, Marc est ramené au troisième où se situent les services administratifs qu'il visite également.
Après cette rapide présentation des lieux, l'hôtesse abandonne le nouvel employé qui retourne vers le bureau de sa directrice, ayant reçu l'autorisation de rentrer dans celui-ci, il regagne sa place et continue le travail entreprit.
A douze heures trente, Marie-France s'interrompt et s'adresse au jeune homme :
- Et si nous allions déjeuner ? Qu'en dis-tu Marc ?
- Très bonne idée, répond celui-ci, dont la matinée lui a creusé l'estomac.
- Alors allons-y, Sylvie doit déjà nous attendre.
Tous trois sortent de l'immeuble par le parking à bord du gros 4X4 de la directrice. Au bout de dix minutes, Marie-France se gare juste devant un petit restaurant, le trio entre dans l'établissement.
Le repas délicieux se passe bien, agrémenté des conversations tournant autour du travail de chacun, une fois l'addition réglée par la dirigeante, celle-ci fait presser le mouvement.
- J'ai rendez-vous à quinze heures à Orléans avec Georges, chez lui, alors dépêchons-nous, s'il vous plaît. Annonce Marie-France.
- Ah oui, le petit brun à lunettes qui est passé jeudi dernier ? Interroge Sylvie.
- Oui tout à fait, un bon client qu'il faut soigner, d'ailleurs Marc m'accompagnera cet après-midi, répond Marie-France en faisant un clin d'œil appuyé à la jolie standardiste.
Le retour se passe tranquillement, le jeune homme attend dans la voiture que sa patronne aille chercher les documents pour son client et Sylvie se rend son poste. Peu après, la voiture se dirige vers l'autoroute à vive allure.
- À ce train là, nous seront drôlement en avance à Orléans, dit Marc à la belle femme.
- Je sais, nous ferons une pause avant la sortie, laisse-t-elle tomber laconiquement.
La voiture file sur le long ruban gris d'asphalte, après la barrière de péage, l’homme se risque à une question :
- Tu aimes bien la campagne ?
- Bien sûr, j'ai même une charmante maisonnette en Normandie, je t'y emmènerais à l'occasion.
- Moi aussi, j'aime sortir de la région parisienne, continue le jeune homme pour meubler la conversation.
Le véhicule décélère soudainement à l'approche d'une aire de repos, puis s'engage sur la bretelle pour aller stopper à l’abri des arbres, loin des regards.
- Bien, fait la conductrice en arrêtant le moteur.
Elle recule le siège à fond, baisse le dossier en position couchette, s'allonge en remontant aussi haut que possible sa robe et ordonne :
- Viens me lécher !
Le jeune homme commence par embrasser sa belle patronne tendrement, comme pour la remercier pour cette pause.
Mais celle-ci le repousse et lui dit d'un ton dur :
- On n'a pas toute la journée, dépêche-toi donc !
Le grand gamin s'exécute alors et vient écarter les grandes lèvres avec son pouce et son majeur gauche, ensuite il approche sa tête de la chatte exhibée, sort sa langue et commence à jouer avec le pistil déjà raidi de la belle, d'abords doucement, puis de plus en plus vite.
La belle, les mains crispées sur les bords du siège, a une jambe coincée sous le corps du jeune homme et un pied sur le tableau de bord. Bien que le véhicule soit haut, de dehors, ce qui se passe dans la voiture, ne doit pas laisser indifférent. La preuve, à dix mètres de là, un homme n'en perd pas une miette. Marie-France n'en a cure, elle se laisse aller, guidée dans son plaisir par les passages répétés de cette langue sur son bouton. Sa chatte s'humidifie de plus en plus et emplie le véhicule de cette odeur caractéristique de jus de femelle.
Marc, toujours très excité par cette belle moule, se prend au jeu à fond. Il lèche bien toute la chair exposée en revenant toujours au clito, car il sait tout le bonheur qu'il procure à sa propriétaire. La chatte suinte maintenant abondamment, il en profite pour venir lubrifier son pouce droit. Il mordille de temps à autre le clito, arrachant ainsi et à chaque fois, un petit cri aigu à sa patronne. Une fois son pouce tout enduit de cyprine, il le dirige contre l'anus de la belle et exerce une pression constante contre le sphincter qui se détend tout doucement.
Marie-France affectionne tout particulièrement que l'on s'occupe de ses deux trous de concert. De son petit trou du cul accueillant, elle tire autant de plaisir qu'il est possible, de plus, le fait que ce soit contre-nature l'excite encore d’avantage. Pour le moment, la menteuse qui s'occupe de son clitoris conjugué avec la pénétration anal, la fait décoller.
Déjà dans une position inconfortable, il est maintenant gêné par l'érection qui le gagne. Stimulé par les effluves suaves qui s'échappent de cette belle chatte, il redouble le traitement linguistique qu'il opérait jusqu'alors. De son pouce, il encule avec frénésie sa belle patronne qui l'encourage de ses cris. Il décide soudainement de fouiller ce sexe féminin offert avec sa langue, il pénètre donc la cavité féminine, en écartant au passage les petites lèvres de la belle. L'intérieur est plein de jus délicieux comme un fruit mûr. Il compose, avec le bout de sa langue, une symphonie de plaisir sur la paroi ondulée. La cyprine coule doucement sur son menton. Il en profite pour se délecter de cette substance liquide présente à profusion.
Marie-France est aux anges. Elle voudrait passer sa vie ainsi, à se faire lécher le beignet et ramoner son gros intestin, elle miaule de joie, s'abandonne aux plaisirs que lui procurent ses entrailles. Cette langue, en train de fouiner au plus intime d'elle-même, la rend folle. Elle la sent tantôt à droite, tantôt à gauche, en bas, en haut, toujours en mouvement, activant tous les nerfs de sa matrice les uns après les autres, écartant les chairs sur son passage qui mettent une douceur infinie à reprendre leurs places.
La patronne se sent envahie par cette râpeuse insatiable, le pouce de son employé lui vrille tout le bas de son dos, le sphincter se dilate de plus en plus, laissant le doigt s'enhardir toujours plus loin, elle a l'impression que son côlon rugueux n'est plus qu'un terrain de cross sur lequel passent des milliers de motos en folie. Elle a l'entrée du troufignon tellement distendue qu'un cylindre deux fois plus gros passerait aisément, et même plus !
Marc ne se maîtrise plus du tout et labour sauvagement l'anus de la belle qui crie maintenant à plein poumon, de plus, il fouille tout le vagin de sa langue experte, pénètre le con juteux, aspire la cyprine, repasse la frontière des petites lèvres pour mieux se désaltérer de toute la bonne mouille que cette femelle dissipe avec bonheur, entre et sort sa râpeuse de la gangue de chair chaude, en un mot, la baise avec sa bouche. Il se rend compte du bonheur qu'il dispense à la blonde avec son gros doigt et en profite excessivement, ce faisant, il bande comme un taureau et sent le besoin de libérer sa bite prête à exploser.
Se doutant de l'émoi qu'elle provoque chez son jeune employé, Marie-France, s'imagine la grosse queue dure, emprisonné dans les différentes couches de tissus, qui doit être toute congestionnée. Le mal de chien que doit ressentir l'homme n'est pas fait pour déplaire à la belle, sa joie n'en est que plus intense. Elle est devant un cruel dilemme, autoriser le garçon à la prendre par-derrière, tout au fond de ses entrailles, ou, le laisser avec son envie, il n'en sera que plus vigoureux ultérieurement. Elle finit par choisir la deuxième solution et ordonne à son amant :
- Mets-moi deux doigts dans le cul…
Marc, se doutant de la volonté de sa patronne, retire son pouce, laissant l'anus ouvert en grand et glisse son index et son majeur dans l'orifice béant. Une fois ses doigts enfoncés de moitié, il les écarte pour dilater encore plus le sphincter, qui n'oppose qu'une faible résistance, à l'écartèlement qu'il subit. Le trou du cul de la jolie blonde est maintenant si grand ouvert, que l'on pourrait y glisser un manche de pioche, sans être vraiment sûr de toucher les bords !
Marie-France crie de joie et de douleur mêlées, elle ne sait plus si elle doit rire ou pleurer du traitement que son anus reçoit, elle a les nerfs à fleur de peau, donne des coups de rein pour se faire pénétrer encore plus loin et plus fort. Elle sent un léger courant d'air frais qui lui emplit les entrailles à chaque fois que les doigts ressortent de ses intestins. Le plaisir est si fort, qu'à un moment, elle craint de déféquer sur les doigts ravageurs et sur le siège. Aussi, reprenant ses esprits à toute vitesse, ordonne-t-elle :
- Arrête, salaud !
Le jeune homme, bandant comme un fou, s'est pris au jeu et ne compte pas laisser les choses s'arrêter ainsi, aussi continue-t-il de plus belle.
- Stop, j'ai dit ! S’exclame la maîtresse femme, en faisant un gros effort pour se relever.
- Et maintenant, nettoyage, ajoute-t-elle d'un ton méchant.
- Mais ! Et moi, tu ne vas pas me laisser comme ça, tout de même ! Se plaint l’homme.
- Si, nettoyage maintenant, reprend-elle, de plus en plus durement.
- Bien patronne ! Se laisse finalement convaincre Marc.
Comme à l'accoutumée, il se met à lécher la chair rose du sexe de la belle, puis, une fois cette zone nettoyée de toute trace de cyprine, il lèche entre les fesses de sa patronne pour récupérer le reste de mouille féminine. Pour cette fois, le haut des cuisses n'a pas besoin des mêmes soins.
- J'ai fait quelque chose qui t'a déplu ? Se hasarde le jeune, après que sa patronne se soit rhabillée et remise en position pour conduire.
- Non mon petit chéri. Le rassure-t-elle devant la mine paniquée de son employé.
- C'était très bien, mais maintenant, au boulot ! Continue-t-elle d'un ton aimable et bienveillant.
- Mais j'ai très envie de toi, moi, je bande comme un âne, tu ne peux pas me faire ça !
- Plus tard, j'ai dit ! Annonce-t-elle sur un ton menaçant.
Et, revenant à de meilleurs sentiments, elle continue en apercevant la braguette de son amant :
- Le travail avant tout, et, lorsque je serai avec Georges, tu auras un petit souvenir de moi avec cette belle érection.
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