Un bon job : Chapitre 1 : A la recherche d'un emploi stable Partie 2

 

Sur le chemin du retour, Marc décide de s'arrêter dans un bar pour se remettre les idées en place, après avoir commandé un café, il se rend dans les toilettes pour remettre sa tenue conforme à un entretien d'embauche. "Pourvu qu'Isabelle ne se doute de rien", pense-t-il en réajustant ses vêtements. Après avoir bu son café et payé sa consommation, Marc repart vers la résidence où il vit avec sa petite amie Isabelle.



Le bâtiment où ils vivent Isabelle est très classique, une grande tour carrée, de douze étages, à raison de huit appartements par étages. Ils vivent dans un grand deux pièces qu'ils ont arrangé à leurs goûts sans vraiment faire de très gros frais. Des papiers peints jeunes et sympathiques, de la moquette épaisse et quelques reproductions aux murs. Dans ces grandes tours, on ne peut pas dire que le voisinage soit désagréable, mais, ils ne connaissent encore personne et n'ont pas réellement le temps de lier connaissance avec leurs voisins. Isabelle travaille sur Paris et passe donc plus d'une heure par jour dans les transports en communs, elle ne rentre jamais de bonne heure le soir.

Marc, après avoir garé sa voiture sur le parking de l'immeuble, entre dans le bâtiment et appel l'ascenseur. Un couple de son âge entre à sa suite et se poste derrière lui, pour attendre l'ascenseur. Lorsque la porte coulisse, il laisse passer le couple devant lui, entre dans la cabine, attend que la jeune femme appuie sur l'étage de sa destination, puis, sélectionne à son tour le huitième étage. Au deuxième arrêt, le jeune homme, sort de la cabine et se dirige vers son appartement tout en cherchant ses clefs au fond de sa poche.



Une fois rentré chez lui, après s'être débarrassé de sa veste et de ses chaussures, va embrasser Isabelle qui l'accueille on ne peut plus froidement.

- Trouves-tu que c'est une heure pour passer un entretien d'embauche ?

- Je n'y suis pour rien, la directrice qui m'a reçu devait être très occupée, nous avons été dérangés souvent et avons été obligés de reprendre plusieurs fois l'entretien, après, j'ai dû passer un test psychotechnique et une étude graphologique. Répond le jeune homme peu sûr de lui.

- Et alors, tu as le résultat quand ? Continue Isabelle, d'un ton courroucé

- Je commence dès lundi. Se vante Marc en exhibant son contrat de travail de S.E.A.

Après une brève lecture du document, la jeune femme sourit à son compagnon, se lève et l'embrasse tendrement.

- Tu parles d'un salaire ! Ajoute-t-elle. On va pouvoir en mettre de côté, tous les mois, n'est-ce pas ?

- On verra... Si t'es sage…

Réplique le compagnon sur le ton de la plaisanterie, puis il enlace sa petite amie, elle lui rend son baiser.

- Je t'aime, lui souffle-t-il à l'oreille. Tu as déjà dîné ?

- Oui, je me suis fait un petit en-cas en arrivant, et toi ?

- En fait, je n'ai pas faim, je suis tellement heureux d'avoir décroché ce job !

Le jeune homme, dont le corps est collé à celui de sa partenaire, a soudain très envie de sa petite nénette.

Elle est toujours vêtue de sa robe bleue à fleurs, qu'elle portait au bureau, cet après-midi, elle sent le parfum, que Marc lui a offert, pour son anniversaire. La peau de ses bras à demi-nus est d'une délicatesse infinie. Le long baiser fougueux lui coupe le souffle et déclenche en elle une douce chaleur, qui l'envahit lentement. Après le stress de sa journée de travail et l'attente anxieuse, qu'elle vient de vivre, elle ressent une envie de faire l'amour avec cet homme, qu'elle aime passionnément.

Il la prend tendrement par le cou et l'emmène dans la chambre à coucher. La chaîne HI-FI emplit l'appartement des majestueux accords de guitare de Carlos Santana, la musique, aux rythmes sud-américains, ajoute à la suavité de l'instant.

La chambre légèrement éclairée, par le clair de lune, est petite. En son centre, trône le lit du jeune couple, une armoire, dans le même style moderne, est accolée au mur du fond, à côté de la fenêtre. Seule, la coiffeuse dépareille, elle vient de la grand-mère d'Isabelle. Dans un coin, à côté du lit, traînent les peignoirs de bain, des deux jeunes tourtereaux.

Marc, debout à côté du lit, et tout en embrassant, avec flamme, sa jeune amie, entreprend de lui retirer sa robe en faisant glisser lentement la fermeture Éclair dans son dos.

Celle-ci se laisse faire avec volupté et se concentre au baiser qui l'enflamme. La fermeture glisse doucement, dévoilant de plus en plus le dos rayé, par les brettelles du soutien-gorge.

Le compagnon, devenu un expert dans les systèmes à glissières, dégage le corps de la belle de sa gangue de tissu. La robe tombe doucement par terre, il s'attaque maintenant aux crochets de la fermeture du soutien-gorge, qui semble lui résister un instant et cède enfin. Pour éviter de casser l'instant présent, il retient les deux morceaux de coton élastiques qui ne demandent qu'à reprendre leurs tailles originelles.

Isabelle, ne restant pas inactive, retire la chemise de son copain qu'elle vient de déboutonner. Elle s'attaque ensuite à la braguette, dont la boursouflure marque l'envie de Marc. Une fois la braguette ouverte, elle dégage la verge de l'homme, avec un soin extrême. Elle prend la grosse bite dans sa main chaude pour la dorloter. Elle ressent, à travers la peau, les saccades du sang dont la queue est pleine. Un léger frisson parcourt son corps, elle a envie de cette belle chose dans sa bouche. Le doux massage de ses seins que l’homme est en train d'opérer, lui procure un énorme bonheur, "quel génie des caresses", pense-t-elle.

Les doigts d'une main se jouant des tétons, l'autre main tenant le sein droit comme pour en estimer le poids, il, se régale du contact de cette peau douce et tendre. Se souvenant que la culotte d'Isabelle est toujours en place, il fait courir sa main, sur le corps de femme offerte au plaisir, pour dégager les fesses pleines et rebondies, fermes et tendres, tout à la fois. Une fois les fesses dégagées, une légère impulsion fait tomber la culotte toute seule sur les chevilles de la belle.

Isabelle dégage ses chevilles de la fragile étoffe par deux petits pas de danseuse. La sensation de chaleur interne, dans l'air ambiant un rien frais, provoque de nouveaux frissons chez la jeune femme, l'instant lui échauffe de plus en plus les sens. Dans un mouvement un peu énervé, elle défait le pantalon et le caleçon.

C'est au tour de Marc à se retrouver avec le froc sur les pieds, celui-ci venant de vivre des moments plus difficiles, ne s'en émeut pas le moins du monde.

Isabelle entame une série de petits baisers alternés avec de petits coups de langues experts, tout d'abord sur le torse de son compagnon, puis sur le ventre, pour s'approcher de la toison du pubis. Enlaçant les cuisses de Marc avec ses mains frêles, elle s'accroupit en écartant les genoux de façon à les avoir de part et d'autre des jambes droites et jointives de l'homme. La bouche en face de cette bite appétissante et gonflée de vie, elle ressent l'appel de la chair et une envie irrésistible d'avoir en elle ce précieux membre. Elle sait que, plus elle s'applique dans ses caresses préliminaires, plus son homme sera vigoureux et plus intense sera son plaisir. Connaissant parfaitement les goûts de son amant, elle lève les yeux, croisant le regard du jeune homme, et commence à titiller le gland avec le bout de sa charmante langue.

- T'es vraiment une bonne gorette, laisse-t-il tomber, qui n'en est pas moins comblée.

- T'aimes ça, mon chéri ? Tu aimes me voir te sucer, n'est-ce pas ?

Répond la jeune femelle en chaleur, et hop, elle avale le plus long morceau de chair possible. Elle imprime un mouvement de balancier aux hanches de Marc, pour que cette grosse pine entre et sorte de sa bouche, sans qu'elle ne soit obligée de bouger beaucoup sa tête.

Lui, ayant pris le mouvement initialement imposé, se délecte de la pipe d'enfer que réalise sa compagne. Il adore sentir la langue caresser le dessous de sa queue, en même temps que celle-ci pénètre, tout au fond de la gorge féminine. Il sait combien sa tendre amie aime les caresses sur son clitoris, aussi, n'est-il pas surpris d'apercevoir l'autre main d'Isabelle en train de gigoter, entre les cuisses de cette cochonne.

La jeune femme aime à prendre les couilles de son mec dans sa main, le contact doux de la peau tendre, la joie de transgresser un interdit et le sentiment de tenir la source de la vie, lui procure une gigantesque félicité, elle sent le parfum du paradis. Elle sait que plus loin, dans sa gorge, va le membre viril, plus la satisfaction est forte chez son ami.

Étant une adepte passionnée de l'onanisme, elle se réjouit avec son doigt qui bricole son petit bouton d'amour avec dextérité. La longue expérience de la masturbation à la pension lui permet de s'envoyer en l'air toute seule, quand besoin est. De plus, grâce à son expérience des hommes, elle sait tout l'émoi qu'elle crée chez son partenaire. Elle adore ressentir l'excitation d'un homme dont elle tient les attributs virils, c'est une véritable sensation de puissance, et, quoique très chatte, elle adore penser au plaisir qu'elle suscite chez l'autre. Les doigts d'Isabelle s'activent maintenant fébrilement sur le clitoris, elle sent ses muscles vaginaux se détendre comme pour ouvrir le passage au pieu qu'elle suce avec ferveur. Sa grotte intime est inondée de désir, il lui semble que sa cyprine remonte le long de ses poils pubiens, par un phénomène de capillarité. Elle adore écarter ses grandes lèvres avec son index et son annulaire, pour dégager complètement son bouton et le frictionner avec le bout de son majeur, ce faisant, elle entrouvre ses petites lèvres d'où s'échappent ses senteurs féminines, qui excitent tant Marc.

Marc ressent une envie terrible d'éjaculer dans cette bouche si douce, il se retient néanmoins, sachant que sa compagne attend autre chose de lui.

- Hum... Que c'est bon, dit-il dans un souffle.

- Han, han, répond la belle sans cesser sa turlutte.

Les jambes de Marc se mettent à trembler faiblement, il a envie de prendre vigoureusement cette petite, "ce hors d'œuvre a suffisamment duré" pense-t-il.

La jeune femme, s'apercevant de la volonté de son compagnon dans son regard, se dégage de cette trique, un dernier petit coup de langue, comme pour essuyer cette bite toute mouillée de salive, et Isabelle s'assoit sur le bord du lit, les jambes écartées, dans une invitation obscène.

Lui, dont l'envie de baiser sa copine ne s'est pas estompée, se met à genoux, la moquette épaisse amortit le contact. Sachant faire durer le plaisir, Marc, embrasse encore une fois sa douce amie tendrement, puis descend sa langue sur le cou, la gorge, pour atteindre enfin le sein gauche, qu'il suce avidement, comme pour en faire sortir le lait.

La jolie compagne, un tantinet agacée, continue sa branlette.

- Prends-moi, dit-elle d'une voix rauque, tout en prenant de sa main libre le sexe cramoisi et le guidant vers l'entrée de sa chatte. Elle frotte le bout du gland contre ses petites lèvres entrouvertes.

L’homme, d'un coup de rein sec, pénètre la jeune femme. Son pénis, lubrifié par la salive et par la mouille abondamment présente dans cette cavité, glisse sans frottement dans ce tunnel de chair chaud. Après deux ou trois aller-retour, il retire sa queue d'un coup sec, il sait la frustration instantanée, qu'il provoque chez la fille.

- Branle-toi encore un peu, lui ordonne-t-il en se levant pour faire le tour du lit.

La jeune femme, très énervée, le regarde marcher dans la pièce en exécutant la manœuvre demandée.

Une fois allongé de tout son long sur le dos, il invite Isabelle à venir s'asseoir sur sa bite dressée vers le plafond.

- Salaud, toujours moi qui fais tout le boulot !

Râle-t-elle de plaisir, se régalant par avance, de la pénétration profonde, qu'elle subira dans cette position.

Elle se lève donc et marche sur le lit, qui s'enfonce à l'endroit de ses pas. Elle le regarde dans les yeux, puis fait volte-face et s’accroupit sur le sexe érigé, en présentant aux yeux de l'homme ses fesses et son dos.

Marc passe ses mains derrière la tête avec un sourire narquois, "Tu veux me faire voir ton cul, attend un peu", pense-t-il. Il laisse la belle s'emparer de son pieu et le guider à nouveau dans la chatte baveuse.

Cette fois, le membre raide rentre tout au fond du vagin de la belle, qui laisse un cri lui échapper.

L'empalement est maximum, Isabelle, ressentant les vibrations de l'engin qui vient buter contre sa matrice, est au septième ciel. Elle fait un gros effort pour entamer de lents mouvements de montée et descente sur cette côlonne. L'exercice lui tire dans les muscles des cuisses, elle est soulagée de sentir les deux mains du jeune homme sous ses fesses, qui ménagent ses peines. Cette grosse pine lui vrille complètement tout le bas ventre, à chaque fois que le dard vient en butée, elle sent ses grandes lèvres venir lécher les couilles de son homme.

L’homme, dont les efforts sont récompensés par un bonheur indicible, se délecte de la vue de ce cul qui monte et qui descend. Il sait que la cochonne ne va pas tarder à se peloter les nichons, comme elle aime à le faire habituellement. Il attend ce moment en écartant les deux fesses de la mignonne, à l'aide de ses pouces.

La jolie jeune femme commence à produire de petits cris, annonciateurs d'une jouissance plus grande encore. Une grosse queue au fond de sa chatte, son anus dilatée, c'en est de trop. Isabelle, qui idolâtre les caresses au plus haut point, ne peut s'empêcher de prendre ses seins dans ses mains pour les serrer très fort. Elle les malaxe, les triture de la plus belle manière, les presser, pour finir par pincer les tétons et tirer dessus à s'en faire délicieusement mal.

C'est le moment que choisi Marc pour glisser subrepticement son index dans le petit trou du cul rose de la belle jeune femme, à la sollicitation, le sphincter se dilate immédiatement laissant le passage libre pour ce coquin de doigt. Il Imprime à son petit membre, le même mouvement de bas en haut, et de haut en bas, que la belle opère sur sa queue. Il connaît parfaitement l'effet produit, aussi ne s'étonne-t-il pas de la montée en volume des cris de sa compagne.

Cette dernière devient comme folle à cet attouchement rectal, se savoir fouillée par un doigt expert dans son intimité la plus totale, sans retenue, la projette dans un état proche de l'hypnose. Elle sent monter en elle, par vagues successives, le plaisir le plus complet. Elle s'abandonne entièrement à son homme. Elle se sent tour à tour putain, esclave, chienne, maîtresse, croqueuse d'homme, salie, heureuse. Elle ne vit plus que pour cette bite et ce doigt qui entrent et sortent d'elle, en cadence. Elle voudrait n'être plus que son vagin et ne vivre que pour le plaisir, de longs spasmes violents secouent son corps, le plaisir l'envahit tout entière, elle ne sait plus qui elle est, ni où elle est. La violence de la jouissance, lui ravage sauvagement le ventre, oublié la douleur dans ses cuisses et ses mollets, elle redouble de puissance pour se faire ramoner la chatte, elle tire sur ses tétons à s'arracher des cris de douleurs pour contrebalancer cet orgasme qui devient insupportable de bonheur.

Marc se régale la bite de ce fourreau chaud et mouillé, il sait dans quel état il met sa partenaire de jeu, il a le sentiment de posséder la terre entière et oublie les durs moments qu'il a vécus quelques heures auparavant. Il sait cette petite toute dévouée à lui, il en use, en abuse avec suavité, prend possession des lieux. L'écoulement de cyprine brûlante sur ses couilles le fait frissonner. Il commence à se demander s’il tiendra longtemps à ce régime-là.

S'envoyant en l'air comme une folle, Isabelle n'a plus aucune notion de temps, elle s'époumone maintenant copieusement.

À tel point que le jeune homme se dit : "C'est vraiment une cantatrice, cette salope ! Elle va encore réveiller tout le quartier".

L'intensité du plaisir qu'elle éprouve lui déforme les traits, qu'elle a pourtant si fins d'habitude. Lorsque le sperme sous pression vient heurter le fond de sa matrice et inonder presque entièrement sa moule, la jeune femme pousse un cri plus terrible encore, elle se laisse complètement empaler sur le pieu dégoulinant de foutre, de profondes convulsions la prennent toute entière.

Marc lâche toute sa purée dans un râle d'ours, ce coup-ci, il est totalement parti, plus rien n'existe, il flotte dans un univers tiède et bien veillant, l'ampleur de l'orgasme le laisse comme sans vie, seule sa respiration trahit le monde réel.

Isabelle tombe sur le côté de son homme, elle n'a plus la moindre force en elle, les convulsions s'amenuisent petit à petit, laissant place à la sensation d'être pleine d'un mélange chaud de cyprine et de jus d'homme.

Ils restent un long moment ainsi, couchés côte à côte, perdus dans leurs rêves de bonheur, ne pouvant plus dire un mot, goûtant cet état second.



Le week-end se passa très tranquillement, Isabelle assumant les tâches domestiques, Marc plongé dans la lecture de quelques romans de science-fiction, dont il raffole. Le samedi matin fut consacré aux courses de la semaine comme habituellement et le dimanche matin au marché. Bien que le temps parut figé, le week-end se termina tout de même.



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