Un bon job : Chapitre 1 : A la recherche d'un emploi stable Partie 1

 

Depuis peu au chômage, Marc, un grand garçon blond, recherche activement un nouveau boulot. Bien sûr, sa jeune concubine, Isabelle a une bonne situation, mais l’homme, après une première expérience ratée, se sent diminué et a besoin de se prouver à lui-même qu'il est capable d'assumer ses responsabilités. Cette expérience malheureuse lui a tout de même appris que la vie demande des concessions.



Ce matin, Marc, se rend à un rendez-vous qu'il a obtenu hier suite à une annonce parue dans le journal. Bien que sa formation initiale ne l'ait pas préparé au poste de dessinateur industriel qu'il convoite, il est prêt à plus d'un effort pour obtenir ce poste qui lui semble une très bonne opportunité. Le cœur serré, le sang battant à ses tempes, il s'arrête devant un petit immeuble cossu de trois étages. L'immeuble dépareille des petites maisons tranquilles du quartier, le sigle, dont les trois lettres rouges, S.E.A., sur fond bleu d'azur, ressortent juste ce qu'il faut, et donne au jeune homme, une impression de sérieux, mais pas d'austérité. Derrière la porte vitrée à double battant légèrement fumée, se devine un hall d’où émane une douce lumière chaude.

Après une profonde aspiration, le jeune pousse la porte d'entrée et se retrouve devant le bureau de l'hôtesse d'accueil. Sylvie, tel est le prénom inscrit sur le carton à bordures dorées, posé devant la jolie jeune femme rousse aux yeux d'un vert lumineux. La voie suave de la belle hôtesse adresse un bonjour courtois à Marc tandis que la jeune femme est toujours penchée et remplit un formulaire. Le jeune homme manque de s'étrangler en rendant le salut et croit défaillir lorsque son interlocutrice relève la tête, permettant une vue plongeante dans un décolleté, qui fait semblant de cacher le galbe des seins cuivrés, de la belle. Sylvie regarde ce nouvel arrivant en prenant nonchalamment son sein droit dans sa main gauche, délicatement accoudée sur le bureau de bois, recouvert d'une feuille de cuir.

- Que puis-je pour votre service, monsieur ?

- J'ai rendez-vous avec madame Pérrot, suite à l'annonce que vous avez passé hier.

Répond Marc dont le regard perdu entre les deux collines de chair s'est fait surprendre par la standardiste, qui a l'air de s'en amuser.

- Oui, je vais vous conduire au bureau de madame Pérrot, vous me suivez ?

Sur ce, Sylvie se lève en faisant tourner son siège et dévoile de longues jambes gainées de soie noire. Le jeune, troublé par la silhouette de l'hôtesse, accuse un léger retard à la suivre. L'idée, que quel que soit le boulot, le fait de voir tous les matins une telle beauté, vaut largement un bon salaire, lui traverse l'esprit. Puis, se reprenant, il se met en marche vers l'escalier que commence à gravir la jeune hôtesse avec un délicat déhanchement naturel. L'ascension de cet escalier qui n'en finit pas, est un vrai calvaire pour Marc qui voit le bourrelet que fait la jarretelle sur la jupe mi-courte, un peu serrée, de Sylvie.

Arrivé au troisième étage, l'hôtesse stoppe devant une porte de bois précieux, puis frappe énergiquement trois coups.

- Entrez ! Filtre une voix chaude et impérative.

Sylvie fait tourner la poignée et s'efface pour laisser entrer l’impétrant en ajoutant :

- Voilà, la personne que vous attendiez, patronne.

L’homme entre dans le vaste bureau mansardé. Un sofa en tissus beige occupe le fond de la pièce sous une lucarne par où arrive la lumière du jour. Un meuble regroupant téléviseur, magnétoscope et chaîne HI-FI est installé contre le mur. Les enceintes, posées à mi-hauteur, diffusent une douce musique que Marc reconnaît instantanément, "Tiens, du Santana" pense-t-il tout en se retournant vers le grand bureau ministériel d'acajou. Sa vue embrasse toute la pièce dont les murs sont recouverts de moquette murale crème. Quelques tableaux post-modernes sont accrochés çà et là. Il découvre une femme portant sa quarantaine telle une impératrice romaine, qui dégage un charme imposant. Son visage avenant n'empêche pas le candidat de comprendre tout de suite, que cette femme est la maîtresse des lieux et entend le rester sans partage. En s'avançant vers le bureau pour saluer cette belle directrice, le jeune sent le subtil parfum qui flotte tout autour du bureau.

Lorsque Marie-France se lève pour lui tendre une poignée de main franche, Marc découvre une femme en tailleur bleu roi dont la veste entrouverte laisse deviner qu'elle ne porte pas de soutien-gorge sous son léger chemisier blanc translucide.

- Bonjour, Madame, dit le requérant, complètement troublé.

- Bonjour, Monsieur, accordez-moi cinq minutes pour me permettre de finir ce dossier. Asseyez-vous dans le canapé, je vais faire diligence. Répondit la directrice en serrant fermement la main tendue.

Au contact des deux paumes, Marc sent le rouge lui monter au visage. Pour se reprendre, il tourne les talons et va s'asseoir dans le canapé moelleux.

La directrice se remet au travail.

Le jeune homme, très intrigué par cette femme, promène ses yeux dans toute la pièce, comme s'il en prenait possession. D'un coup, sa vue se stoppe sous le bureau, il lui semble discerné le haut d'un bas attaché par une jarretelle. Il fait le point de sa vision et découvre également un petit morceau de dentelle qui doit appartenir à une jolie culotte.

La directrice, sachant parfaitement ce que le candidat regarde, bouge ses jambes de manière à améliorer encore le point de vue du jeune homme.

Ce dernier, ne se doutant pas du jeu, fixe le morceau de chaire claire de la cuisse au-dessus du bas et se délecte de la vision de la culotte d’où s’échappent quelques rares poils blonds.

Marc a le souffle court, le temps ne compte plus, il ne peut détacher son regard et se trouve dans un état second lorsque Marie-France lui demande de venir s'asseoir sur le siège devant le bureau.

Après une courte lecture du CV, la directrice s'adresse au jeune homme :

- À quel salaire prétendez-vous ?

- Eh bien, quel job voulez-vous me confier ?

- Mais que savez-vous donc faire ?

- Je suis prêt à tout !

- Je dois me concerter avec notre responsable du personnel, revenez me voir ce soir à dix-neuf heures trente.

- Bien, Madame, j'espère que ma candidature retiendra votre attention. À ce soir donc, bonne journée, Madame.

- À tout à l'heure.

Marc ressort de l'immeuble en ayant encore en tête la vision troublante de cette femme d'âge mûr, si belle et paressant si jeune. À quelques pas de là, il entre dans un bar pour tuer les heures qui le sépare de son prochain rendez-vous. Tout en jouant au flipper, il ne peut s'empêcher de fantasmer sur cette femme belle, mais assez autoritaire, somme toute. Il est très excité à l'idée de la revoir tout à l'heure, mais également tendu, car il sait qu'il joue son avenir professionnel, et que la partie sera très serrée. Il connait bien ses capacités techniques, mais, là où il s'est trompé, lors de sa dernière mission, c'est sur la gestion psychologique de ces rapports avec ses collègues. Il sait qu'il doit faire un gros effort dans ces relations et mettre de côté ces pulsions, qui le font démarrer au quart de tour.



À dix-neuf heures vingt-cinq, Marc ressort du bar et retourne à l'immeuble de S.E.A., il pousse la porte vitrée, mais ne voyant personne à l'accueil, il décide de monter directement au troisième étage. Il frappe deux coups secs, attend la réponse, la gorge nouée, les cinq petites secondes sans réponse lui paraissent des heures.

- Entrez. Entend-il à travers le bois de la porte.

Le candidat ouvre la porte et aperçoit Marie-France assise dans le fauteuil devant le canapé, sur la petite table basse sont posés, une bouteille d'un whisky douze ans d'âge, deux verres et un seau à glace. Elle est toujours vêtue de la même façon, la veste de son tailleur est largement ouverte et les deux boutons du haut de son chemisier sont dégrafés. Elle est profondément enfoncée dans le fauteuil, ses jambes, longues et fines, croisées très haut, elle laisse entrevoir le décor de la partie haute de ses bas.

- Prenez place en face de moi. Lance-t-elle.

Il s’assoit, fait bien attention de la regarder dans les yeux, ces yeux d'un bleu lumineux qui semblent le toiser, le jauger et, même, le juger. Un dossier épais, rouge, est posé sur l'accoudoir du fauteuil, Marc lit a l'envers "PERSONNELS. Il se sent déshabillé du regard par cette femme, L'inspection visuelle par la directrice est complète, il se sent fouillé, presque violé.

Après trois ou quatre minutes de cette analyse, elle ouvre son dossier et prend la parole.

- J'ai deux postes à pourvoir, je ne vous cache pas que vos diplômes et votre maigre expérience ne m'encourage pas à vous confier un poste à responsabilité.

- Ma force réside dans mon adaptabilité, vous savez. Je pense pouvoir tout apprendre et ferai le maximum pour me former aux taches que vous voudrez bien me confier, même si je dois travailler les week-ends. Je vous l'ai dit, je suis prêt à tout, pour avoir le poste.

- Oui, c'est-ce que j'ai bien compris ce matin, c'est d'ailleurs ce qui m'intéresse.

Lui répond-elle du tac au tac en fronçant les sourcils. Puis, elle ajoute :

- Vous prendrez bien un verre de ce délicat whisky ?

Sans lui laisser le temps de répondre, Marie-France verse le breuvage dans les deux verres. Elle en tend un à son interlocuteur qui s'en saisit en la remerciant et prend le deuxième. Ensuite, elle se recale confortablement dans son fauteuil en croisant ses jambes. Portant son verre à ses lèvres pulpeuses, elle jette une œillade au jeune homme, bois une gorgée, repose son bras sur l'accoudoir, fixe Marc, puis lui administre :

- Prêt à tout, c'est ça ?

- Oui, oui, Madame, répond-il en la regardant décroiser ses longues jambes et écarter ses cuisses, ce qui pour effet de remonter la jupe droite de son tailleur jusqu'à découvrir la bande de chair rose. Et en fin, la culotte de dentelle blanche finement ciselée.

- Parfait ! Alors viens me lécher la chatte !

Elle jette sa jambe droite par-dessus l'accoudoir du fauteuil.

Le jeune homme croit défaillir à cette injonction, tout va très vite dans sa tête, cette femme est belle, désirable, qu'a-t-il à perdre de s'exécuter ? Il sent le sang affluer à ces joues, mais aussi des picotements au creux de ses reins. Un très court instant bloqué, il se lève maintenant comme un automate. Son sexe se gonfle de désir, il repose son verre sur la table basse et se laisse tomber à genoux entre les cuisses de la belle patronne. En s'approchant, son délicat parfum lui emplie le nez de saveurs sucrées et cuivrées. La culotte n'est pas immaculée telle qu'il avait cru le voir, mais auréolée d'une légère tache, qui rend la dentelle moins translucide, juste au niveau du sexe.

Marie-France jette sa deuxième jambe par-dessus l'autre accoudoir, si bien que Marc se trouve dans l'impossibilité de lui retirer sa culotte.

Elle s'en aperçoit au regard perdu, qu’il lui lance, la tête entre ses genoux.

- Tu as le droit de la tirer sur le côté ! Dit-elle dans un sourire ou se mêle douceur et fermeté.

Le candidat exécute le mouvement et découvre une belle chatte finement dessinée, offerte au plaisir, luisante de cyprine. "Cette femelle mouille depuis un bon moment", pense-t-il. Il écarte délicatement de ses pouces les grandes lèvres pour dégager le clitoris gonflé d'envie. Il approche sa bouche entrouverte, la langue, légèrement sortie, de ce bouton d'amour offert. Il s'enivre du subtil mélange d'odeurs ou se mêle les vapeurs d'une essence rare, une odeur très légèrement aigrelette de transpiration fraîche et les effluves vaginales que dégagent cette fente.

Marc passe doucement sa langue autour du bouton ressemblant à un petit sexe en érection, la chaire, d'un rose très pâle, est d'une douceur suave.

La patronne prend la tête de l’homme dans ses mains comme pour lui intimer l'ordre de ne plus l'agacer, mais de lécher son clitoris.

L’impétrant, qui, bien que jeune, a déjà une longue expérience des femmes, pince délicatement le bouton turgescent entre ses lèvres et commence un doux mouvement de succion. La dépression qu'il crée dans sa bouche va crescendo, la tenaille de ses lèvres qui enserre le clitoris se ressert un peu plus à chaque instant.

Ce qui a pour effet de déclencher un petit soupir de la belle.

- Oui ! C'est ça… Lâche-t-elle dans un souffle. Continue comme ça, mon salaud, c'est exquis.

Marc, complètement engoncé dans sa tenue, plaque sa bouche sur la fente juteuse et joue de sa langue sur le clitoris gonflé comme il jouerait avec une langue dans un long baiser fougueux. Dégageant ses bras, il en profite pour retirer sa veste, qui tombe silencieusement sur la moquette. Il dénoue sa cravate. Sa respiration haletante donne un souffle qui court sur le ventre de la jolie blonde.

Elle commence à penser que ce jeune homme fera une bonne recrue. Cette petite langue, en train de malaxer son bouton d'amour, l’excite énormément. Elle lâche la tête du jeune homme pour dégrafer son chemisier. Une fois le dernier bouton défait, elle s'arque boute, doucement, pour retirer le reste de tissu encore prisonnier de sa jupe.

Marc, prenant ce mouvement pour une invitation, fait glisser sa bouche vers l'entrée de la grotte féminine et passe sa langue entre les petites lèvres comme pour s'abreuver à cette source de jouvence. En posant sa main délicatement, sur la partie du ventre qui est à nu, il en profite pour caresser doucement de son pouce le clitoris tout rougi par le traitement qu'il a subi précédemment. Puis, profitant que Marie-France trousse un peu plus sa jupe, il glisse son autre main sous les fesses rebondies, tendres et fermes de la belle. Ses deux mains bien occupées, sa langue fouillant l'entrée de la vaste cavité vaginale, le jeune regarde les yeux mi-clos de cette femme qui annoncent la montée du plaisir féminin. Il commence à sentir un léger malaise provoqué par la douleur de son sexe durcissant de plus en plus, prisonnier de ce caleçon un peu trop juste et aggraver par sa position à quatre pattes.

La belle se délecte de cette langue farfouillant au plus profond de son intimité, qui passe, entre, ressort, entre à nouveau, tourne, vire, semble chercher un chemin, fait demi-tour, la fouille de fond en comble. Dans un râle venu du fin fond de son plaisir, elle lâche :

- Je mouille comme une folle ! Bois tout… Bois tout, que rien ne soit perdu !

Marc, s'appliquant à ne pas décevoir cette femme, dont il espère bien tirer bénéfice, redouble d'attention à son ouvrage. Le jus de femme coule dans sa gorge, mêlé à sa propre salive, c'est un véritable nectar. Il se sent tout barbouillé de cette cyprine tiède, qui maintenant coule à flots. Il ressort un instant sa langue de cette vulve brûlante, pour lécher délicatement la fine membrane musculaire séparant le sexe et l'anus. Il en profite pour branler le clitoris avec le bout de son nez.

Cette action déclenche un vrai raz-de-marée chez la jolie femme, à priori, elle goûte, au plus haut point, cette caresse subtile.

Marc jette un coup d'œil vers Marie-France pour admirer le résultat de ses caresses et la voit, la poitrine tendue vers le plafond, en train de pincer et tirer ses tétons bruns, comme pour les allonger, le galbe des seins inversé. Il profite de la liberté de sa main droite, pour actionner la fermeture Éclair de son pantalon, déboutonner son caleçon et sortir sa bite cramoisie, d'avoir été si longtemps emprisonnée. Son sexe raide et chaud vibre d'excitation, l’homme ressent des à-coups dans sa queue, comme des petites éjaculations, il a l'impression qu'elle va exploser.

La femme se met à crier :

- OOOOOoooouuuuiii !

Puis, d'un coup, ouvre en grand ses yeux bleus, fixe le jeune homme intensément et lui ordonne :

- Encule-moi avec ta langue, salaud !

Le jeune, ne pouvant se défaire de l'emprise que cette femme exerce sur lui , prend les fesses de la belle à pleines mains, les tirent vers lui, culbute un peu plus la directrice, écarte les deux collines rebondies à l'aide de ses pouces et glisse sa langue dans cette vallée humide et odorante. Une sorte d'angoisse se dessine sur son visage, mais, tellement pris de court par les événements, il exécute tous les ordres, tel un robot. Son expérience des femmes est déjà longue, mais là, il perd le contrôle de la situation. Le cerveau vide, ou presque, se donnant tout à son ouvrage, Marc décrit des cercles concentriques, de plus en plus serrés, avec sa langue sur l'anus rugueux. Il n'ose pas entrer son appendice dans ce trou du cul, la jolie femme le ressent et le rappel à l'ordre :

- Alors, ça vient, oui ?

L’impétrant, se sentant toisé, applique la pointe de sa langue au milieu du cercle marron, il sent deux mains lui appuyer sur sa tête, le sphincter se dilate instantanément à la sollicitation. Complètement perdu maintenant, il encule cette cochonne le plus profondément possible, à s'en faire mal.

La salope est ravie, de petits gémissements indiquent le bonheur qu'elle ressent, elle pense que ce gamin, qui pourrait être son fils, est parfait pour le poste qu'elle imagine déjà. "Prêt à tout", songe-t-elle, on verra bien jusqu'où cet animal est prêt à aller.

Le jeune homme s'applique à cette caresse, qu'il n'a jamais, ne serait-ce qu'imaginé. Il fouille le petit trou de partout, sort son outil, joue avec l'élasticité du sphincter, retourne fourrer sa langue dans la chatte baveuse, revient dans le cul, retourne sucer le clitoris, replonge sa langue dans l'anus tout ouvert, la ressort, applique un mouvement de va-et-vient dans le petit trou, la langue bien tendue. Il continue ce manège, jusqu'à entendre la belle se pâmer.

Cette cochonne se branle le clitoris de son majeur droit, pendant que du gauche, elle se poignarde la chatte, et tout ça, alors que Marc est en train de l'enculer de sa langue !

C'est vraiment une femme tac-au-tac, celle avec laquelle on a deux chances : l'une au tirage, l'autre au grattage.

"Que c'est bon, que c'est bon !" Se dit-elle, elle adore avoir ses deux trous remplis, qui plus est, elle est vraiment experte dans la branlette, longue expérience des soirées seules. Tous ces amuses-gueule l'excitent au plus haut point, elle sent le besoin d'un mandrin plus gros pour l'usiner. Sa connaissance du sexe fort, lui indique qu'il lui faut s'occuper de cet homme avant qu'il ne parte tout seul, "ce serait vraiment gâcher", pense-t-elle, aussi, toujours dans un ton ne permettant pas la désobéissance, lance-t-elle :

- Suffit !

L'homme, complètement surpris, arrête immédiatement ses caresses. Il reste abasourdi par l'ordre sec.

- Baise-moi, maintenant, s'écrie-elle, avec une voix plus bouleversée qu'elle ne l'aurait voulu.

Marc, essayant de se remettre de ces émotions, redresse son dos, empoigne les cuisses de la dame, juste au-dessus des bas, et tire à lui cette chatte dont il a une envie folle. Il dépose délicatement le fessier de la belle sur le tissu du canapé, écarte ses genoux pour que sa bite raide arrive en regard de l'ouverture vaginale. Il repose la jambe droite gainée de soie sur l'accoudoir, attrape la cheville gauche et plaque cette jambe le long de son torse, là, guidant la queue de sa main libre, pénètre doucement la grotte brûlante. Se retrouvant dans une station bien mieux connue de lui, entame un lancinant va-et-vient, dont il connaît l'effet dévastateur. Le monde chavire dans sa tête, et, bien qu'habituellement très maître de son physique, il ressent cette fois la morsure de la chaleur sur son sexe.

Marie-France est aux anges, non seulement ce jeune homme, docile, l’a divinement léché, mais encore, il la prend avec une douceur extrême qui a pour effet de lui faire perdre le cours de ses idées. Elle ressent avec bonheur les vibrations de cette grosse queue qui lui vrille tout le bas de son anatomie et remonte aux creux de ses reins. Excitée comme elle est, le mouvement rectiligne de ce pieu, lui arrache de petits cris aigus. Elle a l'impression qu'elle va exploser, lorsque les couilles de l'homme viennent en contact avec ses fesses, lorsqu’il enfonce sa bite, non plus en ligne droite, mais de côté. Elle hurle de joie, s'abandonne complètement au plaisir pendant de longues minutes, qui lui paraissent des heures. Le volume supplémentaire qui entre et sort d'elle, la comble, tous ses nerfs sont à vifs et lui remontent des sensations folles. Elle voudrait que cela ne finisse jamais. Quand le gros mandrin entre, elle sent son vagin se dilater, quand il ressort, le vide laissé lui semble frais, puis, quand ses muqueuses se rétractent à nouveau, l'impression devient magique.

Marc, voulant retenir ces instants le plus longtemps possible, essaye de ne pas emballer le rythme de ses coups de reins. Mais, la vue de cette femme en train de prendre son pied, lui monte à la tête, de plus, les cris de la belle lui indiquent que son bonheur n'est pas feint. Oubliant toute retenue, le jeune homme s'en donne à cœur joie, il prend cette belle salope, de plus en plus fort et de plus en plus vite, le plaisir qu'il ressent ne cesse de croître, pour lui aussi l'explosion est proche.

Des idées folles traversent la tête de Marie-France, elle voudrait que cette grosse bite aille toujours plus loin dans son corps, elle la voudrait dans sa bouche, mais aussi, et en même temps, dans sa chatte ainsi que dans ses boyaux. Elle a subitement une envie terrible de sperme, elle en voudrait des litres et des litres. Reconnaissant les premières secousses annonciatrices de l'éjaculation, elle veut boire tout le sperme du jeune homme, aussi, faisant un effort terrible sur elle-même, elle empoigne les flancs du jeune, le repousse d'un coup sec, comme pour se sevrer de ses coups de boutoir magiques, et se cale les fesses au fond du fauteuil.

- Debout !

Ordonne-t-elle à Marc, qui n'a pas compris du tout la manœuvre et reste, une fois de plus, complètement abasourdi, mais exécute le rétablissement demandé.

La jolie patronne se saisit de l'organe viril, fièrement dressé, de sa main droite, prend les deux couilles dans l'autre, attire à elle l'ensemble et avale goulûment la bite raide, toute enduite de sa propre cyprine. Elle se délecte du goût de la grosse sucette chaude et gluante, elle avale la bite aussi loin que possible, tout en malaxant délicatement les gonades de l'homme.

Il sent qu'il ne pourra plus tenir longtemps, le flot de la précieuse semence. Puis, très vite ensuite, le jeune éjacule en longues saccades, dans un râle bestial. Tout son corps est secoué de spasmes incontrôlables, le plaisir est à son apogée.

Marie-France reçoit tout le délicat jus d'homme dans sa bouche. Elle émet, en même temps, un flot de mouille, dont une partie s'échappe de sa chatte entrouverte et coule sur le tissu du fauteuil. Elle garde le doux nectar en bouche et en avale d'infime quantité de temps à autre, de manière à se régaler, le plus longtemps possible, du goût doucereux de noisette.

Marc, les valseuses totalement vidées, a les jambes qui tremblent légèrement. Il se penche en avant, pour baiser les lèvres mi-closes de la belle.

Celle-ci capture la tête du jeune homme, en l'enlaçant de ses deux bras, ouvre sa bouche, et pénètre la bouche de l'homme avec sa langue.

Le jeune homme, ne comprenant plus rien de ce qui se passe ce soir, embrasse profondément la jolie patronne.

Marie-France se saoule de ce baiser où ce mêle le sperme et la salive de son amant du moment, ainsi que ses propres effluves féminines.

Ils restent là, un long moment, à s'embrasser, reprenant leurs souffles après cette chevauchée fantastique.

Tout à coup, la dirigeante, repousse le candidat. Elle retire entièrement son chemisier, se met debout, ajuste sa jupe, reboutonne son tailleur en un rien de temps. Puis, elle se rassoit et fixe Marc, debout devant elle, le pantalon et le caleçon sur les chevilles, les yeux grand ouverts, où ce lit un étonnement sans nom.

- Rhabille-toi ! Lance-t-elle.

L’impétrant s'exécute, et se rassoit à son tour. Il ne comprend décidément rien à cette soirée. Ne sachant que faire de ses mains, il reprend son verre et le porte à ces lèvres en attendant la suite des événements.

Marie-France, dont la transformation par rapport aux minutes précédentes est saisissante, prend la parole avec un air grave.

- Voilà ma proposition, deux cent mille francs par an, et tu es à ma disposition, quand j'en ai besoin, la journée, et la nuit, si je le désire, le Week-end si besoin. Oui ou non ?

- Oui, comme il te plaira… Répond Marc impulsivement.

- Oui Madame, ou encore patronne, et puis je ne t'autorise pas à me tutoyer ! Nous n’avons pas élevé les cochons ensemble, que je sache !

- Bien, patronne ! Répond alors le jeune candidat..

Marie-France se saisit du dossier rouge qui a glissé par terre, l'ouvre, s'empare d'une feuille dactylographiée et la tend.

Le jeune homme la récupère et lit l'entête, "CONTRAT DE TRAVAIL", la plie soigneusement en quatre et la range dans sa poche.

- À me rendre lundi matin à huit heures, signée, précise encore la belle directrice.

- Et maintenant, l'essai est terminé, alors bonne nuit. Ajoute-t-elle sur un ton ferme.

Marc termine d'un trait son whisky, repose le verre sur la table basse, fait trois pas vers le fauteuil de la directrice, se penche et fait une bise sur la bouche de la belle.

Celle-ci, n'appréciant visiblement pas ce geste intime, lui rétorque :

- Ça, jamais devant le personnel, monsieur.

La nouvelle recrue sort de la pièce en saluant respectueusement sa nouvelle patronne.

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