C'est
souvent dans mes nouvelles que
je m'accroche à mon vécu, à mes expériences. Ici, que j'ai
commencé à écrire tout au début des années 1990, j'ai pris comme
cadre, une entreprise où j'ai travaillé pendant un an et demi.
On
peut la classer
comme
boîte
de merde, sujet du salaire et de la mentalité des quatre patrons.
Mais à côté de ça, j'avais
un job passionnant, puisque je travaillais pour le C.E.A.
et je faisais de la géophysique.
Si
la boîte était nulle, l'ambiance était particulièrement marrante,
le type qui bossait dans le même labo que moi, que je devaisformer,avait
un sens de l'humour très
bien développé et
on se marrait
vraiment beaucoup.
On
faisait aussi pas
mal de conneries. Côté cul, il y avait la femme du premier patron,
officiellement
le gérant, qui
était une petite cochonne sympa, mais je m'en méfiaistout
de même. Et
une grande nana, bien
foutue, dans les quarante ans,
qui était au contrôle qualité, était la maîtresse d'un des
directeurs de Thomson, un
gros client. Et
c’étaient deux sacrées
cochonnes,
on
n’hésitait
pas à leur
tripoter les nichons, quand on était
à la machine à café. Elles
se laissaient faire, pour
exciter les petits jeunes comme nous ! C'était quand même
quelque chose, cette entreprise.
J’ai
pensé écrire encore 2 ou 3 chapitres,
trouvant le livre trop court, mais je n’écris plus de la même
façon, et ça n’aurait pas vraiment bien rendu.
Les
délires avec les piments, mon ex-épouse en fit les frais,
involontairement. Et l’alcool dans la chatte, c’était un soir,
un peu alcoolisé, faisant minette en buvant du cognac.
Pour
le reste, l’imagination
fertile suffit...
Parution tous les lundis en matinée.
Je
vous souhaite bonne lecture… Et plus si affinité.
Je dois dire qu'à trente-sept ans, j'ai toujours rêvé de me faire une « mémé » vicieuse, voire perverse ! Mon éducation très stricte, mes études chez les pères, ne m’ont fait que refouler cette envie, qui en même temps, augmentait en intensité. Marié très jeune, je suis passé de maman à madame sans réellement m'en rendre compte. Un travail passionnant, mais aussi totalement prenant, ne me permettait aucune escapade, carrière , enfants, me retenaient prisonnier dans une prison dorée. Cassure nette, refus de finir comme j'avais commencé, j'ai voulu vivre à fond ma vie, en commençant par vivre mes fantasmes ! Je décidais donc de me « taper une vieille pute », parce que les vieilles m'ont toujours excité et que j'ai toujours été attiré par les putes. Je contactais ainsi Sonia, après l'avoir trouvé e sur un site d'annonces d’escortes. Dès mon arrivée, je fus totalement ébloui par sa tenue, autant vestimentaire que physique. Elle se ten...
La vie continue et Marcelle continue à recevoir , pour cinquante euros, des clients. Mais tous ne veulent pas payer ! Alors, comme elle n'ose pas leur demander le prix de s a prestation à l'avance, certains repartent sans pay er. Parce que faire payer les clients après, toutes les putains le savent, c'est mission impossible ! Ce genre d’ information fait très vite le tout de la population de clients. Surtout qua n d la grande majorité des clients viennent tous du même site de dialogue. Et de plus en plus, la vieille ne cache pas qu’elle se fait baiser et enculer par de beaux petits jeunes, qu’elle garde souvent la nuit, et à qui elle ne demande rien d’autre que du plaisir. Un jour, il y a un client, Maurice , un homme d'une bonne cinquantaine d'années, à qui elle raconte un peu ses malheu rs, et le fait que le s client s ne veulent pas payer. L'homme lui explique - Tu as une mauvaise communication, il faut que les gens sachent que...
Depuis quelque temps déjà, Marc avait le fantasme de voir sa femme au x prise s avec des blacks, bien montés et endurants. Mais cette dernière, peut-être avec quelques relents de racisme, ne voulait pas entendre parler de plan avec des blacks. Pourtant, ce couple, proche de la soixantaine, avait eu une vie bien joyeuse, côté sexe. Ils avaient participé à de nombreuses partouzes, reçut d’autres couples, tout comme ils avaient été souvent invités. Certes, ces dernières années avaient été plus calmes, mais Marc aimait encore exhiber sa compagne, dans les magasins, dans les ruelles le soir, pour une balade nocturne, voir sur les aires d’autoroutes, pour exciter les routiers et autres voyageurs de commerce. Avec la ménopause de cette dernière année, Bérénice avait aussi pris pas mal de poids, mais, si elle possédait désormais un bon gros cul, digne d’une Africaine, justement, elle avait gardé un visage charmant et était toujours affublée de ses grosses mamelles, qui attiraient t...
Marcel et Sandra, couple d'une cinquantaine d'années, avait passé une annonce sur plusieurs sites internet pour faire du service à la personne. Pas qu'ils étaient extrêmement expérimentés, bien que Sandra ait été bonne, puis cuisinière dans sa prime jeunesse et qu'ensuite, elle fut aussi dame de compagnie pour de vieilles femmes . Marcel, quant à lui, sa carrière ne lui avait pas appris à être au service de vieilles personnes, cela dit, il s e sentai t tout à fait apte à aider, écouter, servir des personnes âgées. Et puis, au chômage depuis plusieurs années, tout en espérant retrouver un job à responsabilité, il commençait à se faire à l'idée que cette vie d'ingénieur était derrière lui. L eur petite annonce était la suivante : Elle, fin quarantaine, vicieuse, ronde, est présentée à monsieur de plus de 60 ans pouvant recevoir (chez lui ou à l’hôtel, mais pas dans la nature) pour ménage à l'ancienne (tenue de soubrette très osée), service à ...
En cette fin d'après midi, Charles et sa délicieuse épouse Sophie se rendent au "cap- H orn", sex-shop nouvellement installé à Tours, pour y voir quelques films résolument hards. Une fois payé leurs places, le couple passe la porte donnant accès aux salles en sous-sols, et là, étonnés, ils me tombent dessus, alors que je m'apprêtais à sortir. Mon premier étonnement passé, je souhaite la bienvenue au couple, qui répond à mon "bonjour", puis, je m'adresse à l'homme d'un ton excité : - Alors ? De sortie coquine, une petite envie de se donner quelques idées bien salaces , peut-être ? - En fait, j'ai surpris cette cochonne de Sophie en train de se masturber en rentrant un peu plus tôt de mon boulot, et j'ai décidé de la punir en venant ici l'obliger à le faire devant des mecs qui ne doivent pas être qu’un peu excités par les films qu'ils sont en train de visionner ! - Alors comme ça, tu te branles le clito sans...
Christine est une femme m û re de soixante-cinq ans, veuve, grande mais forte, blonde décolorée, aux beaux yeux bleus. Son mari, Claude, est décédé brutalement un triste soir de septembre, la laissant seule dans cette grande ville, sans amis, ni famille. La relation, plus que fusionnelle, avec son mari n’avait pas donné d’enfant, mais lui avait fait découvrir moult plaisirs, tous plus forts les uns que les autres. Et, depuis deux ans que son cher et tendre s’en était allé, la masturbation ne lui suffisait plus. Elle avait une grande envie de chaire fraîche et jeune, d’aventures pour supporter cette absence si terrible. Toujours entre deux eaux, ses envies de plus en plus pressantes et sa peur de tromp er son défunt, elle se laissait aller à la boisson pour se donner du courage, pour affronter la vie et ses envies. En se laissant aller de de plus en plus souvent dans les bras de Bacchus et dans ce monde onirique des vapeurs suaves, elle finit, un soir de cuite et de cohue, une...
C'est le début des vacances pour Sophie, une jolie fille du nord, qui vient de fêter ses vingt ans. Elle n'est pas très grande avec son mètre soixante-cinq, mais elle est très bien faite. De plus, ses yeux verts allument la convoitise dans le regard des hommes et ça, elle s'en est aperçue déjà, depuis pas mal de temps et on peut même dire, qu'elle en joue assez souvent. C'est la première fois, qu'elle part ainsi en train de nuit , toute seule. Depuis deux ans, elle part en vacances, avec ses copines de fac, mais cette année, elle a choisi l'aventure, l'inconnu. Fille de famille, elle ne part, tout de même pas, en bohémienne. Sa place est déjà réservée dans un club, en bord de Méditerranée, où elle compte bien s'initier à la plongée sous-marine et qui sait, peut-être trouver un beau garçon, à l'accent chantant. Elle est émoustillée par ce voyage solitaire, qu'aucune contrainte ne vient ternir. Cette liberté est telle, qu'elle ne sait...
Marie-Claire est une jeune femme de trente-deux ans, une grande blonde, charmante et gracieuse, qui, après avoir passé quelques années dans des petits boulots, vient de trouver un emploi de professeur de musique dans une institution pour jeune fille. Elle aurait préféré trouver dans un lycée non religieux, car la discipline de la directrice, lui semble aussi dure qu'inappropriée, mais depuis quatre mois qu'elle officie, elle commence à s'habituer aux sautes d'humeurs de sa patronne. Ce qui la g ê ne encore pour le moment, c'est qu'elle a toujours l'impression d'être une petite fille, lorsqu'elle se retrouve en présence de cette femme autoritaire de cinquante-cinq ans. Elle ne comprend pas vraiment le pourquoi des choses, mais toujours est-il que, lorsqu'elle se trouve en présence de sa patronne, elle perd ses moyens et s'exprime souvent, avec un léger bégaiement. C'est en réfléchissant à tout ça, que la belle Marie-Claire ...
Faustine, jeune commerciale dans les produits pharmaceutiques, jolie blonde aux yeux bleus, est éminemment superstitieuse. Elle fait attention à un tas de détails de la vie courante, comme éviter de passer sous une échelle, ne jamais mettre le pain à l'envers sur la table, ne pas travailler le vendredi treize, ne pas renverser de sel dans la maison et plein d'autres petites choses comme ça. Pourtant, sa vie sexuelle est riche. Elle aim e intensément le sexe et se laisser aller à tou te s ses envies, à toute s ce s turpitude s . Un jour de très bon ne heur e , elle rentre d’un night-club , avec un très beau jeune homme. Il ne doi t avoir qu’ à peine vingt ans, il est beau comme le lev é du jour, grand, athlétique. Un grand sourire illumine souvent son visage, une vraie gueule d’ange. Dès qu’elle a re ferm é la porte d'entrée derrière elle, les deux tourtereaux se jettent dans les bras l’un de l’autre et commence un baiser fougueux, qui laisse les ...
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