La restauratrice pervertie : Les clients se suivent mais ne se ressemblent pas
Le temps s’écoule doucement, jusqu'à ce qu'un coup de fil sorte les deux nanas de leurs échanges.
- Oui, allô, tu es dans la rue ?
Tout en disant cela, Karine se lève et va à la fenêtre de la salle de bain, pour vérifier que le véhicule du monsieur se trouve bien près de chez elle.
- Oui, je suis dans la voiture verte.
- Oui, je te vois, tu peux venir.
Elle voit encore l'homme garer son véhicule, puis sortir de celui-ci. Quelques instants plus tard, il sonne à la porte.
- Entrez, je vous en prie.
Une fois que le type est entré dans le hall, il détaille la femme de cinquante-huit ans et émet un petit sifflement d'admiration.
- C'est joli, ça, ma chère.
- Oui, et vous y aurez droit, une fois qu'on aura passé le petit péage.
- Bien entendu, mais vous me disiez être deux ?
- Oui, bien sûr, Sylvie, tu peux venir nous rejoindre, s'il te plaît.
Et depuis le salon, on entend :
- Tout de suite, ma chérie.
Deux secondes plus tard, la voici qui apparaît dans l’encadrement de la porte. Elle est visiblement plus jeune, dévisage le nouvel arrivant du haut de ses trente et quelques années.
Le gars sort son portefeuille, de sa petite veste légère, prend trois billets de cent euros, qu'il tend à la maîtresse de maison.
- Parfait mesdames.
Dit-il tout en plongeant sa main droite dans le décolleté de la brune et commençant par lui tâter les nichons comme un maquignon tâte une vache. De beaux seins, pas trop arrogants, mais pour une femme mûre, ils sont encore très bien.
- On ne va peut-être pas rester dans l'entrée !
- Non, non, viens…
Et à nouveau, la brune prend le bonhomme par la main pour le guider dans le salon. C'est surtout histoire d'occuper, d'une autre façon, cette dextre qui était venue la tripoter outrageusement.
- Voilà jeune homme, c'est ici que nous recevons.
- Jeune homme, c'est très honorifique, mais peu réaliste, je le crains. Moi, c'est Bernard.
- Alors, je suis Karine et ma copine Sylvie.
- Bien, donc mes chéries, le temps que je me déshabille, vous allez commencer par vous brouter le gazon, toutes les deux. Si vous me faites bien bander, ça vous soulagera d'une pipe !
- Très bien, tes affaires, tu peux les mettre sur cette chaise.
Puis, elle prend la main de son amie, la fait s'allonger en travers du canapé, et vient se coller au-dessus d'elle, têtes bêches.
Dès qu'elle a le sexe odorant de sa copine, Sylvie attrape les cuisses et de ses pouces alertes, ouvre la vulve en grand, de façon à ce que sa langue puisse accéder au clitoris et au vagin. Par ailleurs, elle écarte le plus possible ses jambes, bien que d'un côté, le mouvement soit contrecarré par le dossier du canapé.
C'est avec gourmandise, que la brune se jette dans la bataille et commence par plaquer sa bouche ouverte sur la vulve. Là, elle aspire les sucs féminins puis de sa menteuse experte, vient investir la chatte déjà ouverte.
- Visiblement, vous aimez ça ! J'espère que vous aimez aussi la bite et que ce n'est pas qu'un gagne-pain.
- Mais non, c'est bien un plaisir, que de prendre de la pine dans le ventre.
Acquiesce Karine, alors qu'elle commence déjà à ronronner comme une chatte sous les assauts de sa jeune collègue.
Je vois que déjà vous aimez vous gougnotter. J’en suis ravi, j'ai une mauvaise expérience, il y a peu, avec deux connasses qui voulaient me faire croire qu’elles étaient goudous, tandis qu'il n’en était rien. Je n'aime pas qu'on me raconte des conneries ! Là, je vois avec joie, qu'au moins, vous aimez vous bouffer la chatte.
Les deux femelles, sachant que tout le temps qu'elles passent entre elles, à se faire du bien, ce sera ça de moins à supporter avec le client. Car à cet instant, elles ne savent pas si l'homme est un bon coup ou un gros con. Aussi, toute inhibition bue, s’en donnant à cœur-joie, elles n’ont de cesse, que de faire jouir l’une l’autre.
Bernard se déshabille tranquillement, tout en venant régulièrement flatter le corps des deux femmes. Il n'y va pas comme un gros bœuf, mais avec une certaine douceur et, semble-t-il, un certain savoir-faire. Quand la rousse commence à râler de plaisir, tout doucement, l'homme vient derrière elle, lui glisse son majeur dans l'anus et l’encourage :
- Vas-y, fais-toi plaisir, ma belle, prends ton pied. On est là pour s'éclater.
Elle est un petit peu surprise de ce doigt inquisiteur, qui vient la visiter. Toutefois, elle se retrouve dans un état d'esprit nouveau et compte bien se laisser aller au plaisir.
Alors qu’il remue son doigt dans le rectum chaud et serré, il demande encore !
- Dis-moi, tu aimes te faire trouducuter ?
Mais Sylvie ne prête pas attention à ce propos, prise comme elle est, par une envie de jouir irrésistible.
- Alors, jeune fille ? Tu aimes l’anal ?
Le gars a un ton particulier, pas agressif, pas insultant, ni déshonorant, juste particulier. Mais on sent qu'il a en lui, un certain charisme et un caractère dominant, qui en impose, sans lever la voix inutilement.
Faisant un effort pour retarder la montée de cet orgasme qu’elle sent si proche, la jeune pute réussit à articuler :
Ho oui ! J’adore ça…
Voilà bien une réponse qui ne déplaît pas. Maintenant qu'il a le doigt profondément enfoncé dans l'anus, il commence à le faire aller et venir tout en le bougeant toujours dans tous les sens, manière à donner le plus de plaisir à cette jolie prostituée. Effectivement son plus grand plaisir, ce sont des femmes dont le sexe est leur métier.
- Alors, petite salope, tu apprécies mon doigt ?
- Ah oui !
- Parfait ! alors fais un peu pareil à ta copine, mets-lui un doigt dans le cul.
Et, sans qu'elle sache dire pourquoi, tout de suite, elle obéit à l'injonction de ce client un peu particulier, mais pas désagréable du tout.
C'est alors Karine qui se met à râler doucement, sous les assauts des doigts de sa collègue.
Bernard s'adresse aussitôt à la brune et lui demande, toujours sur un ton n'acceptant pas de tergiversation :
- Et toi, tu l'aimes, le doigt de ta copine, dans ton cul ?
la réponse est moins claire, car on répond avec sa bouche collée contre le vagin chaud.
- Oui, oui, j'adore ça…
C'est très bien, mes petites salopes, vous êtes bien obéissantes.
Une fois que l'homme est totalement nu, lui, sans chaussettes, il vient s'agenouiller entre les deux têtes féminines. Là, il déclare :
- Bien mes belles, il est important pour moi que vous preniez beaucoup de plaisir toutes les deux.
Mais c'est à peine si les deux femelles écoute tant elles commencent à être prises l'une par l'autre, dans leur délice saphique.
Sans que personne lui demande rien, alors qu'elle a son index dans le rectum de sa collègue, Sylvie décide de mettre un deuxième doigt dans cet anus chaud et serré.
Sentant que son amie vient lui écarter encore plus la rondelle, Karine décide de ne pas en rester là. Et fait de même en introduisant un deuxième doigt.
Voici donc nos deux salopes qui s'enculent, à qui mieux-mieux, avec les doigts. Visiblement, ça plaît énormément au client.
- Je vous permets d'aller jusqu'à l'orgasme, je vous offre ce plaisir.
Finalement, c'est la plus jeune des deux, qui s'envole la première et, alors que sa copine plus âgée lui glisse un troisième doigt dans l'anus, elle part. Un jet de cyprine s'échappe de son vagin pour venir désaltérer la consœur. Elle gueule et on comprend tout de suite, que son orgasme n'est pas feint. immédiatement après, ses jambes se mettent à trembler, remontant jusqu’au creux de ses reins, faisant alors trembler également les fesses musclées.
Bernard attend qu'elle revienne un peu des étoiles et, quand il s'aperçoit que la respiration redevient moins saccadée, il annonce :
- Bravo, tu as gagné, c'est toi que je vais sodomiser.
Il s'est aperçu qu'il y avait des capotes sur la table basse aussi, il s’empare d'un préservatif, le décachette et l'enfile sur son sexe déjà raide. Là, faisant attention de ne pas blesser la brune avec sa jambe droite, il vient s’installer au cul de la rousse, guide sa queue. Puis, une fois l'anus libéré des doigts amis, il enfonce son sexe dans le rectum.
- Ah oui, tu as un bon cul, ma chère. J'avoue que j'aime les enculées et que, si tu n'es pas le meilleur trou du cul que j'ai connu, tu es tout de même dans le top dix.
Puis, lentement, mais sûrement, il commence de longs mouvements de va-et-vient, plutôt doux, pour prendre bien possession de la femelle, dont les fesses tremblotent encore un peu.
À ce moment, Karine ne sait pas trop quelle attitude adopter, quand elle entend :
- Oui, continue à la brouter, pendant que je l'encule.
L'instant est un peu magique, c'est un peu comme si elle avait attendu cette autorisation, pour continuer à s'occuper de sa chère amie.
L'homme comble toujours le gros intestin de la rousse, avec cette forme de douceur particulière. On sent qu'il n'est pas là pour faire du mal, mais on peut se demander s’il cherche vraiment son plaisir physique ou si celui-ci est plus empreint de cérébralité.
Le client est remarquablement endurant, ce qui n'est pas pour déplaire à Karine, qui apprécie qu'un mec prenne son temps.
Visiblement très fier de lui, le type s'amuse maintenant à accélérer puis freiner ses mouvements, cherchant ostensiblement à donner du plaisir à cette jolie ponette rousse.
Les changements de rythme, ainsi que le mouvement du bassin de l'homme permettant d'aller dans tous les petits coins, amène assez rapidement Sylvie à avoir à nouveau du plaisir.
Le client, très maître de lui, s'adresse alors à la jeune femme :
- C'est très bien, laisse-toi aller, prends ton pied... L'important, c'est le plaisir, le reste n'a pas d'importance à mes yeux.
Ouais pas d'importance... C'est le plaisir qui compte, mais le plaisir de qui ? Et comment ? Et quel genre ? Peu importe, au point où elle en est, le cerveau est plutôt court-circuité. Bientôt, la jolie jeune femme s'envole, une nouvelle fois, au pays des plaisirs chauds. C'est un sacré plaisir, composé de cette queue, qui visiblement sait usiner un anus, et de la langue vicieuse, qui s’insinue un peu partout dans sa vulve, sur son clitoris et dans son vagin.
L'orgasme de sa partenaire stimule également fortement le type, qui finit par s'écrier :
- Je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps !
Il attend que la belle entame son voyage de retour des étoiles, pour sortir prestement sa queue de cet antre bouillant, arrache le manteau de latex et enfuit son vit, en forçant le passage, dans la bouche de la brune. Là, il lui annonce :
- Désolé, mais toi, tu n'auras que les miettes du festin...
Et dans un grognement sourd, les yeux fermés, il éjacule dans la bouche chaleureuse de la pute mature. À la dernière goutte, il impose encore :
- N’avale pas, va embrasser ta consœur.
Si la brune a l'habitude des baisers indiens, il n'en est pas de même pour sa jeune collègue.
Aussi, c'est avec des yeux écarquillés que la rousse, toujours allongé sur le dos, voit son amie venir l'embrasser. Elle accueille avec bonheur ce baiser, mais se rend compte qu'il est chargé de foutre. C'est une sensation bizarre si elle a déjà souvent avalé du sperme, là, c'est la première fois que c'est une femme qui lui envoie une dose de jus de couille dans la bouche ! Toutefois, la main qui palpe son sein, la rassure totalement et elle prend plaisir à se baiser.
C'est avec un air hagard que Karine se redresse ensuite, fixe son client comme si elle demandait, du regard, de quoi sera faite la suite de la séance.
Tout ceci n'a pas duré une demi-heure. Et maintenant que Bernard vient de se vider les couilles dans la bouche de la brune, il s'exclame :
- Malheureusement, mes chéries, la nature ne me permet pas de vous honorer une fois de plus. Cependant, ça ne nous empêche pas de nous amuser…
Et il regarde la jeune prostituée et lui dit :
- Ne bouge pas ma belle, je m'occupe de toi tout de suite.
Il se recule et se rend sur la chaise où sont ses vêtements, là, il fouille dans une de ses poches de veste et en sort un œuf vibrant. Il sort également son téléphone. Ce dernier est un téléphone à clapet, bien plus petit qu'un smartphone, il ne prend pas beaucoup de place et pour téléphoner, il faut le déplier. Revenons au-dessus de la table basse, il s’empare d’une première capote, dont il défait l'emballage pour y glisser l'œuf. puis d'un deuxième préservatif pour emballer, cette fois, son petit téléphone. Il se tourne vers l'hôtesse et lui demande avec un sourire étrange :
- Tu voudrais prendre ton téléphone et du lubrifiant s'il te plaît.
Notre héroïne s'absente une toute petite seconde, pour aller chercher son téléphone qu'elle a laissé sur la table de la cuisine, puis elle revient, se doutant bien de ce que ce coquin a envie de faire.
Il profite de ce court intermède pour déposer ses petits jouets sur le sofa. Ensuite, il s'assoit au cul de Sylvie, s'appuie contre sa jambe droite qui est contre le dossier du canapé. Et, tenant la cuisse gauche, l'oblige à la remonter au-dessus de son ventre. Là, très délicatement, il la maintient avec son bras droit et de sa main gauche, il vient jouer avec l'anus.
La brune revient et lui tend le lubrifiant, mais pas son smartphone.
D'une main experte, il défait le bouchon, soulève l'opercule et passe le petit flacon entre les fesses, en appuyant légèrement dessus. Ensuite, il rend l'objet à sa propriétaire, reprend l’œuf qu'il avait posé précédemment sur l’assise du sofa, le passe entre les fesses.
La jolie rousse est apaisée et cette caresse lui détend encore le sphincter. Déjà, les doigts dans son rectum lui ont fait beaucoup de bien et maintenant, elle sent cet objet oblong, qui force délicatement son œil de bronze. Tout d'un coup, le jouet s'enfonce dans ses entrailles, comme s'il était vivement propulsé.
- C'est bien, ma jolie, à présent, je vais donner manger à ton petit minou...
Cette fois, c'est sans lubrifiant, qu'il vient passer son téléphone emmailloté de latex, entre les grandes lèvres de la belle. Puis, il le pose sur son clitoris. Tourne la tête vers l'autre prostituée et lui demande gentiment :
- Merci de me passer un petit coup de fil.
Toujours très joueuse, Karine s’empresse de composer le dernier numéro qui l’a appelé pour faire sonner le téléphone de son client. Mais aucun son ne sort de l'appareil, par contre, il vibre furieusement sur le clitoris, arrachant un grand cri à la jeune femelle.
Là, il profite du moment, pour glisser son appareil entre les petites lèvres et le fait pénétrer dans le vagin.
- Merci, tu peux couper la communication.
Elle ne sait pas exactement pourquoi, mais l’hôtesse obéit instantanément, sûrement curieuse de la suite des événements.
Relâchant son étreinte sur la cuisse de la jeune femme, il se relève et lui intime l'ordre de ne pas bouger. Il retourne à sa veste, fouille à nouveau dans ses poches et en ressort une petite télécommande. Il revient et appuie sur le petit jouet plusieurs fois. L'œuf émet une série de vibrations prédéterminées que l'on peut entendre, si on y fait très attention.
La rousse pousse, de nouveau, un petit cri de surprise, mais pas que, les vibrations qui lui vrillent les intestins sont aussi très agréables.
Là, l'homme se tourne vers la maîtresse de maison et lui propose :
- J'aimerais te voir à califourchon sur son visage. Qu'elle puisse te lécher, mais toi, tu n'auras pas le droit de la toucher. Par contre, tu peux jouer avec le téléphone, pour la stimuler. Moi, de mon côté, je ferai de même pour des vibrations dans son anus.
La femme mûre obtempère sans un mot, et vient poser son genou droit à côté de l'épaule de son amie, puis son autre genou de l'autre côté de la tête. Elle laisse descendre son bassin jusqu'à être en contact avec le visage.
Tout ceci est très nouveau pour Sylvie, mais, curieuse de nature et très joueuse, elle laisse cette chatte s'approcher de sa bouche. Puis, se sert de sa râpeuse pour venir titiller l'entrée du vagin de sa copine.
C'est à ce moment, que le client décide de remettre en route l'œuf dans le rectum. Il n'a pas appuyé le même nombre de fois sur le bouton, si bien que la séquence de vibrations est maintenant assez différente. Elle monte crescendo, s'arrête une demi-seconde, redémarre, puis elle remonte encore crescendo, bref, c'est assez composé comme mouvement.
Une nouvelle fois, la jeune femme pousse un petit cri, mais cette fois assourdit par le sexe. Après quelques secondes, elle continue à laper la chatte odorante.
Bernard profite alors pour dire, toujours sur un ton directif, à la femme mûre :
- Vas-y, passe un petit coup de fil à ta copine…
Elle prend son smartphone et compose le numéro du client. Se faisant, elle descend encore sur ses cuisses. Cette fois, sa vulve écrase la bouche amie.
À nouveau, Sylvie pousse un cri, mais en plus, elle se régale de cette moule goûteuse dont sa menteuse explore l'entrée et un peu plus.
- Je vous laisse vous amuser cinq minutes à votre guise, puis nous passerons à la suite.
Effectivement, pendant cinq bonnes minutes, les deux femmes se réjouissent comme des petites folles. Le plaisir pour Karine est double, cette langue qui fouille l'entrée de son vagin avec dextérité. Mais aussi le plaisir pervers et trouble de passer régulièrement un coup de fil pour surprendre sa partenaire.
Quant à Sylvie, le plaisir est triple. Non seulement elle se régale de la chatte de sa copine, qu'elle connaît maintenant bien, mais les vibrations, dont le rythme change constamment, parcourent tout son bassin et remonte le long de sa colonne vertébrale. Alors que les appels, de ce diabolique téléphone, résonnent dans son clitoris, quand sa complice lui passe un coup de fil.
Lorsqu'il estime que le moment est venu, le gars vient à côté de la brune et lui demande :
- Tu peux me prêter ton téléphone, s'il te plaît.
Tout de suite, elle obéit. Et, bien que l'homme soit un client, et que la séance soit tout de même une séance de travail, elle commence à bien aimer ce qu'elle est en train de vivre.
Le mec s’empare du téléphone et, avant de s'amuser à passer un coup de fil, pour faire sursauter la rousse, ordonne aux deux femmes :
- Maintenant mesdames, on se bricole le clitoris. Mais pas question de jouir avant que je ne vous y aie autorisé…
Sans chercher à comprendre, les deux amies délèguent chacune une main sur son bouton d’amour et commencent à se masturber. Chacune à sa façon, bien entendu.
Bernard passe de longues minutes à les voir se tortiller. Dès qu'il voit qu'une arrive au bord de l'orgasme, si c'est la brune, il donne une grande claque sur les fesses. Si c'est la rousse, il lui donne une claque sur le clitoris et tout de suite après, il lui fait vibrer son téléphone dans la matrice. En fait, il leur bloque le plaisir, tout en les laissant juste au bord du gouffre.
Visiblement le type s’y entend à son affaire, il semble qu'il sache parfaitement comment réagit une femme, comment arrive le plaisir, comment stopper. Pendant dix minutes, les deux femmes sont ainsi au bord de l'orgasme, de plus en plus énervées, de plus en plus excitées. Venant s’agenouiller en bout du canapé, l'homme, alors qu'il fait vibrer son appareil, pour la énième fois, dans l’anus de la rousse, vient de mettre le smartphone de la brune sur la position appareil photo. Il ordonne :
- Maintenant, c'est bon. Allez-y, prenez votre pied.
Et là, il fait une série de photos, des deux putes en chaleur qui n'ont plus qu'une idée en tête, l'orgasme. Quelques secondes plus tard, ce sont les cris de plaisir des deux femelles, qui remplissent toute la maisonnée.
Quand la brune, n’en peut plus de cet orgasme ravageur, elle finit par s’étaler de tout son long sur le ventre de son amie.
Dans un réflexe, la jeune pute tend ses jambes tremblantes et se retrouve totalement allongée sur le sofa, sa copine sur elle.
Le client met fin à la communication avec son téléphone. Il s’empresse également de couper les vibrations de l'œuf. Il se recule, prend encore quelques photos, des deux nanas repues et, visiblement, vidées. Puis, alors qu'elles reprennent lentement leur souffle, l'homme se rhabille tranquillement dans son coin. Et, tandis que les deux femelles sortent tout juste de leur transe, les yeux troublés, il s'adresse à la brune, en lui demandant, toujours avec un ton très directif :
- Tu me rends mes petits jouets, s'il te plaît ?
Karine a Bien du mal à ressortir le téléphone du vagin qui le comprime toujours. Elle est obligée de donner quelques petites claques sur le clitoris pour détendre la rousse, afin de faire ressortir l'objet. Puis, lui écartant les cuisses, elle attrape la base du préservatif pour faire ressortir l'œuf. Comme elle n'arrive pas vraiment, elle demande à sa copine :
- Vas-y, pousse un peu, s'il te plaît.
Dans un état de semi-coma, Sylvie pousse comme pour déféquer et l'œuf sort. Ce faisant, elle laisse également échapper un chapelet de pets.
Bernard récupère son téléphone, mais au lieu de jeter le préservatif, il force la bouche de la brune avec.
- Tiens voilà un petit bonbon, qui a le goût de la chatte de ta copine.
Ensuite, il récupère son œuf vibrant en retournant totalement la capote et en la jetant négligemment sur la table basse. Puis, tandis que les femelles sont à peine remises de leurs émotions, il leur déclare :
- Bien, je me suis régalé, je reviendrai vous voir, mesdames. Continuez à vous occuper de vous, je retrouverai mon chemin aisément.
Et là-dessus, alors que la brune n'a pas eu le temps de se lever, il tourne les talons, ouvre la porte d'entrée, sort en la refermant derrière lui.
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