Le tatouage
Lilou est une femme de trente-huit ans. Mère de trois filles, veuve depuis peu, qui, financièrement, ne s’en sort pas. Feu son mari, avec qui la vie était devenue insupportable. avait eu la mauvaise idée de se tuer dans un accident de la route, en étant alcoolisé. Résultat, aucun remboursement de la voiture ni des frais concernant le défunt. Ajouté à une situation déjà compliquée auparavant et on a le tableau bien noir de la situation.
Sans être grosse, elle avait toutefois une bonne panse, dû à son alcoolisme, mais comme elle avait également de gros nichons, l’ensemble restait à peu près harmonieux. De longues jambes musclézs soutenaient un cul ferme.
Bien que ne vivant que d'un petit chômage et de l’aide épisodique de ses parents, elle pouvait se laisser aller à son vice premier qu’était l'alcool. Elle sortait pratiquement tous les soirs dans un night-club de campagne, où elle avait ses habitudes. Les patrons la connaissaient, savaient qu'elle était capable de faire un strip-tease en fin de soirée. Aussi, ils la laissaient picoler, sachant que, bien souvent, des mecs payaient ses additions, pour pouvoir la baiser, à la fin, sur le parking. En hiver, plutôt à l'intérieur des voitures, en été plutôt sur les capots ou dans les coffres. Parce que Lilou, il faut bien le reconnaître, était également nymphomane.
Bientôt, elle commença à être obligée de gérer ses frasques, car la plus grande de ses filles, commençait à sortir, elle aussi, dans le même endroit. Et comme dans la région, il n'y avait pas pléthore de night-club, les deux femmes se retrouvent certains soirs.
Lilou eut par ailleurs l'idée de draguer un peu sur internet. Comme le sexe classique devenait par trop routinier, elle avait choisi de jeter son dévolu sur les sites à connotation sadomasochiste. Ainsi, un soir, elle fit la connaissance de ce dominateur, grand, charismatique, sympathique et à son écoute. Comme le courant passait fort bien entre eux, très vite, une rencontre fut prévue et elle se rendit chez cet homme.
Elle a une bonne heure de route, qu’elle parcourt tout en s'imaginant aller vers son destin et en mouillant le fond de sa jupe, jusqu'au tissu du siège.
La relation commence très fort, beaucoup de sexe et pas mal de domination. Très vite, elle se retrouve à être présenté à des couples ou des groupes d'hommes, dans des lieux souvent insolites. Bref, une vie de soumise commence.
Un soir, alors qu'elle arrive de chez elle en voiture, dès qu'elle fut entrée dans l'appartement de son maître et qu'elle s’est mise dans la tenue, que celui-ci exigeait d'elle. À savoir des mules, des bas, un petit tablier de soubrette noir et rien d'autre, elle entend :
- Je t'ai inscrit sur un site de soumise, où toutes les salopes, comme toi, sont référencées. J'ai reçu ton code, tu seras désormais : S112.
Une soirée photos, durant laquelle elle se plie à toutes les positions et attitudes, que son maître lui demande. L'homme lui a écrit, au marqueur rouge, son nom sur le mont de Vénus.
Le week-end fut à nouveau consacré au sexe et à la soumission. Une sortie chez un couple dominant, où elle fut attachée nue à un arbre, mise à quatre pattes sur la pelouse, godée, pluggée, baisée en train de lécher la chatte de la dominatrice. Bref, utilisée, week-end très éreintant, mais aussi très sexe.
Le vendredi suivant, alors qu'elle arrive vers quinze heures chez son maître, il lui ordonne :
- Nous allons quelque part, où tu devras être une bonne soumise. Donc, ni culotte, ni soutien-gorge, un petit chemisier, une jupette pas trop longue, des bas et des escarpins. Une veste très légère, de toute façon, il ne fait pas froid.
Ainsi équipé et sans savoir où exactement où elle est conduite, le couple se rend au rendez-vous. Elle se pose de nombreuses questions quant au lieu, aux gens et à ce qu’elle va devoir exécuter. Mais, bonne fille, elle garde tout ça pour elle.
Bientôt, la voiture stoppe devant la boutique d'un tatoueur. Le maître descend et vient prendre S112 par la main. Une fois entré dans la boutique, le couple attend que le commerçant vienne les accueillir. Dans le hall d’entrée qui sert de salle d’attente, le dominant annonce, en parlant très fort, à la femelle :
- Tu m'as dit que tu avais envie d'avoir un tatouage, donc je vais accéder à ta requête. Je vais te faire tatouer ton nom sur ton corps.
Elle ne comprend pas concrètement de quoi il s'agit, mais se laisse faire, trop curieuse de la suite à venir. Comme l’artisan apparaît, le , après lui avoir serré la main, lui déclare :
- Comme je t'en ai parlé au téléphone, voici la soumise sur laquelle je veux faire graver S112. Mais un "S" et un "2" stylisés, qui représente une forme de serpent. Pour que tout le monde sache, quelle vipère elle peut être. Est-ce possible ?
- Oui, j’ai réfléchi à ta demande et j'ai deux ou trois croquis à te faire voir.
- Parfait.
Puis, soulevant la jupette de sa soumise, le maître déclare encore :
- Je veux le tatouage là, sur le mont de Vénus.
- Je vois que madame est déjà épilée, donc ça ne pose aucun problème.
- Je vais te laisser pour que tu puisses étudier sur pièce. Surtout, dès que tu en as envie, fais-toi sucer. Cette pute est la reine de la pipe. À la fin, tu pourras en profiter, mais uniquement par l’anus.
- Ha bon ! Elle n’aime pas se faire baiser la moule ?
- Non, sa chatte est réservée pour ce soir, pour d'autres aventures. Est-ce que cela te convient ?
- Parfaitement, autrement dit, madame va payer en nature une partie de mes prestations.
- Voilà, et pour ce qui est du reste à payer, nous nous verrons tous les deux. Le prix ne la regarde pas.
Le tatoueur prend la soumise par la main et l'emmène dans le salon où il opère habituellement. Là, il l'allonge sur la table. Ensuite, il ouvre sa braguette, sort sa queue, vient au niveau de la tête et lui dit :
- Avant de commencer, donne-moi un petit acompte. Tu vas me sucer.
Alors qu'il engouffre sa bite dans la bouche accueillante, la nana veut le branler en même temps et amène sa main gauche pour attraper le chibre. Mais l'homme n'est pas de cet avis et il impose :
- Une pipe sans les mains, pas une branlette.
Aussi, elle laisse retomber sa main pendant que l'homme défait le chemisier de façon à ce qu'elle soit torse nu. Effectivement, la grosse pute suce divinement bien et, peu de temps après, l'homme éjacule dans un grognement en inondant les amygdales de son sperme chaud et gluant. Après, seulement, il se met à son art.
La machine qui ronronne plante, plante et replante sa minuscule aiguille d’acier dans l’épiderme, en injectant une dose infime d’encre dessous. Durant les premières minutes, passé l’appréhension de la piqûre, la douleur est faible. Comparable à une griffure un peu violente. Mais plus ça va, plus la présence d’encre donne une sensation de brûlure. Tout d’abord légère, mais l’intensité monte crescendo.
Alors que l’artiste se concentre pour dessiner au mieux les serpents qui forment le "S" et le "2", il renifle cette odeur de moule chaude, qui luit de cyprine.
- Ha ! C'est bien, ça te fait mouiller, le temps passera plus vite comme ça.
Le tatouage se fait sur une zone assez sensible. Et surtout, bien peu habitué à être exposée aux aléas de la vie. La chatte est en général plutôt protégée, même chez cette folle de bites, si les lèvres en voient passer de toutes sortes, le mont de venus est, lui, jamais visiter, ou presque. Aussi, maintenant que ça fait une bonne heure que le type s’escrime sur son œuvre, la belle commence à couiner, mais pas de plaisir.
- Tu veux que nous fassions une petite pause ?
- Oui, j’aimerais bien !
- Tu as raison, fumer une petite clope me fera du bien.
- Moi aussi, j’en veux bien une…
- Non, pour toi, ce sera plutôt une pipe.
Et l’homme, après avoir reposé son outillage, ouvre sa braguette et laisse glisser son jeans avec son slip le long de ses cuisses dures. De sa main droite, il attrape sa queue mole et la porte aux lèvres de sa cliente.
Bonne fille, S112 gobe le membre pour le faire durcir. Cette pine sent le foutre et la transpiration fraîche, tout pour exciter cette salope à jus.
Le commerçant profite de cet intermède pour s’emparer de son paquet de cigarettes, posé sur sa desserte, juste à côté de lui. Il sort une clope et la porte à ses lèvres. Puis, en reposant le paquet, prend le briquet et allume son bonbon à cancer. Après avoir tiré une grosse bouffée, il propose :
- Un petit tatoue brûlant sur les roberts ?
- Hum, hum...
Si la réponse n’est pas clairement articulée, elle n’en reste pas moins intelligible.
L’artiste termine rapidement sa sèche et se concentre sur le calumet de la paix que lui travaille la rousse. Sans un mot, il attrape la tête et enfonce, le plus loin possible, sa queue raide dedans. Puis, dans une forme de grognement, il délivre son foutre chaud et épais, au fond de la glotte, noyant ainsi les amygdales.
Une rasade de sperme, voilà un petit remontant qui fait du bien par là où il descend. Lilou affiche un grand sourire et, une fois sa bouche libérée, affirme :
- Voilà, je suis prête pour la suite…
Pendant quelques instants, le type se demande à quelle suite elle pense, mais bien vite le professionnalisme revient et il reprend son œuvre.
Un bon quart d’heure plus tard, à nouveau, la sensation de brûlure revient. Si elle s’est habituée un tant soit peu aux piqûres, la douleur s’amplifie de plus en plus. Cette torture dure encore une heure environs, quand l’homme annonce :
- Voilà madame, j’en ai terminé, mais il faudra revenir dans deux à trois semaines, pour les premières retouches.
Maintenant que les opérations sont finies, le type, en sueur, aide la femme à se relever de la table. puis alors qu'elle va pour refermer son chemisier, il la plie en deux sur la table et lui ordonne :
- Écarte-moi tes fesses, que je te pète la rondelle, pétasse.
Tout de suite, la femelle, les nichons contre le Skaï chaud de la table, prend ses miches à deux mains et ouvre sa vallée culière. Elle n’a aucun doute sur ce qui va lui arriver. Elle a l'habitude de se faire sodomiser, ainsi ce n'est pas une manœuvre qui l'inquiète. Et puis, son maître à donner l’autorisation, elle ne peut donc que subir, tout en le remerciant au fond d’elle-même.
Le commerçant sort à nouveau sa queue de son pantalon, se masturbe une seconde ou deux, se penche pour cracher sur la rondelle marron. Ensuite, il vient plaquer son gland contre l'œil de bronze et pousse un grand coup, pour faire rentrer tout son chibre dans le rectum.
- Ouille !
S'écrit la belle, c'est plus par surprise, que réellement douloureux. Puis, elle subit les assauts rapides et saccadés du tatoueur.
Le mec, qui connaît déjà la salope, pour en avoir discuté en détail avec son maître, ne met pas un temps infini pour balancer la purée et lui enduire les intestins, de son jus de couilles. Une fois qu'il a fini, il se redresse, s’empare de son téléphone portable, prépare la fonction appareil photos et, de sa main libre, écarte une nouvelle fois les fesses. Il prend quelques clichés du trou qui fuit. Un liquide visqueux en sort doucement avant de couler sur les cuisses. Une fois fait, il aide la femelle à se remettre debout et à se retourner. Quand il l'a devant lui, il commence par regarder les tétons et lui dire :
- Tes tétines sont faites pour porter des anneaux, crois-moi.
Lilou trésaille, pourvu que ce diable d’homme ne glisse pas l’idée dans l’oreille de son maître.
Puis, soulevant la jupe qui était retombée, il vérifie les petites lèvres et dit encore :
- Pareil pour tes lèvres, tu serais très jolie avec une paire d'anneaux. Va attendre ton maître dans la salle d'attente.
Alors que la femelle commence à boutonner son chemisier, le commerçant lui impose encore :
- Non, non, avec le chemisier grand ouvert, tu n'as pas à cacher tes mamelles de pute. De même, quand tu seras assise, ne croise pas les guibolles. Reste les pattes écartées et remontes ta jupette, que mes clients puissent voir ta chatte.
Encourager son côté exhibitionniste est une bonne chose, elle adore montrer ses parties intimes très souvent. Mais là, elle ne gère plus rien et se retrouve apeurée de ne pas savoir qui pourrait entrer.
À peine un quart d'heure plus tard, le maître entre dans la boutique. Il admire le tableau de sa pétasse débraillée, puis, soulevant totalement la jupe, le travail de l’artiste.
- Bien, ma salope, ça s'est bien passé ?
- C'est douloureux !
- Faut souffrir pour être belle, mademoiselle S112 !
Il autorise alors sa soumise à se rhabiller. Il se rend dans le bureau du commerçant, pour discuter avec lui et, très certainement, payer le tatouage, dont il tire une bonne remise, vu que sa salope à payer une bonne partie en nature.
Après un repas dans un petit restaurant chinois, le couple se rend dans une belle demeure à la campagne et là, S112 fait sensation avec son tatouage. Elle est pelotée, tripotée, prise en main par des hommes, par des femmes. Bref, elle est la reine de la soirée.
Trois semaines plus tard, tandis que le tatouage orne maintenant joliment la peau au-dessus de la chatte de la soumise, l'homme lui refait mettre une tenue sensiblement équivalente à la première fois. Il l'emmène en voiture et arrive devant la boutique. Alors que S112 s'attend à ce que lui avait annoncé le commerçant, ou au pire un autre tatouage, le maître la confie au tatoueur, après lui avoir posé un bandeau sur les yeux.
- On fait comme on a dit, j'ai une course à faire, je reviens vous voir dans une petite heure, ça te va ?
- Oui, oui, aucun problème, ce sera fait.
Alors qu'elle ne voit rien, elle est conduite, à nouveau, à la table d'opération, sur laquelle elle a déjà passé quelque temps. Cette fois, il semble qu'il y ait des systèmes, comme sur les tables gynécologiques, pour lui maintenir les jambes. Une fois qu'elle a les cuisses bien écartées et attachées, l'homme commence à s'occuper de lui tripoter clitoris.
Très vite, Lilou s'envole et commence à chanter doucement. L'homme a les doigts doux et agiles. Et bientôt, elle sent quelque chose de froid contre ses lèvres. puis d'un coup, une douleur fulgurante lui fait comprendre qu’on vient de lui percer la petite lèvre droite.
- Mais, qu'est-ce que vous faites ?
- Laisse-toi faire, je te pose des anneaux, comme ton maître me l'a demandé.
- Salaud !
- Comment tu parles de ton maître ! tu veux que je lui signale, quand il reviendra, de la façon dont tu parles de lui ?
La fausse rousse éclate alors en sanglot. La douleur est si vive qu'elle finit par pousser une plainte horrible.
Tout de suite, l’artisan pulvérise, sur la lèvre, un produit qui donne une sensation de froid intense, calmant instantanément la douleur. Cela dit, comme bien souvent, la mémoire de la souffrance perdure. Alors que la femelle se calme, le commerçant, en se levant de son siège, vient à la hauteur de son visage. Et, en ouvrant sa braguette pour sortir sa bite qui se développe déjà, annonce :
- Voici ta récompense pour ton premier anneau.
Et, sans laisser le temps à la salope de réagir, il lui enfourne sa queue dans le bec.
Tout de suite, Lilou se met à pomper. Quelque part, d’avoir une pine dans le gosier, la rassure inconsciemment, un peu comme les jeunes enfants quand ils mettent le pouce dans la bouche.
Très vite, le type décharge en longues saccades chaudes. L’épaisse substance s’étale au fond de la gorge.
Ressortant sa queue prestement, pour l’enfermer dans son froc, le mec avoue encore :
Je pense que tu es une prostituée, même si ton mac ne m’en a rien dit, pour sucer de la sorte, il faut du métier.
- Non, Monsieur, je suis juste une soumise, pas une pro !
- Si tu le dis.
Le commerçant ne semble pas du tout convaincu, mais il allume une cigarette en se rasseyant sur son siège. Après quelques minutes de repos, il pulvérise, une nouvelle fois, du produit sur l'autre lèvre et avec des gestes précis et rapides, vient percer la deuxième babine.
À nouveau, Lilou pousse un cri strident.
Une nouvelle pulvérisation la calme et pour faire bonne mesure, l’homme fait deux pulvérisations, une sur chaque tétine.
Cette fois, la rousse pousse un grognement de mécontentement, trouvant injuste que ses tétons soient maltraités.
- Voilà, ton maître m'a demandé de te percer les lèvres et de te poser des anneaux. Alors, je vais te poser des anneaux assez gros, que tu devras bouger deux à trois fois par jour, avec de la vaseline, et suivre la cicatrisation.
- Si tes lèvres deviennent douloureuses, si tu as des saignements ou des suintements, va voir rapidement un médecin. C'est que tu fais une infection et qu'il faudrait prendre des antibiotiques. Sinon aucun souci, tu gardes ça pendant un mois et, à la fin de laps de temps, il te ramènera chez moi, pour que je te les retire. La suite ne m'appartient plus.
- Mais je vais être embêtée pour marcher maintenant !
- Non, tu vas voir…
Et là, l’artisan lui tend la main pour qu'elle s'assieye puis l'aide à se remettre droite. Une fois qu'elle est debout, alors qu'elle a les jambes arquées, n'osant pas serrer les genoux, il lui ordonne :
- Vas-y, marche, tu vas très vite voir que ça ne nuit pas pour se déplacer.
Après quelques pas, elle commence à se plaindre et à dire qu’elle est gênée pour marcher.
L'homme prend une compresse, qu'il lui glisse entre les grandes lèvres, puis les petites et dit à la belle :
- Veux-tu que je te mette un pansement sur la chatte ?
Pensant que ce n'est pas du tout le moment de faire la maline, elle refuse gentiment cette fois. Elle reprend l’exercice et commence à marcher de plus en plus normalement. Elle fait plusieurs fois l’aller-retour de la salle de travail jusqu'à l'entrée de la boutique. Quand elle parvient à être tout à fait à l'aise, elle entend :
- Tu comprends maintenant pourquoi on ne peut que t'enculer ? Et pendant un mois, tu ne l'auras que dans le cul.
Bien qu'elle fasse un peu la gueule, la soumise baisse les yeux.
Le type la prend par la main et l'emmène dans la salle d'attente à l'entrée. Là, il ferme à clé la porte extérieure. Il baisse son froc et son caleçon, puis s’assoit sur la banquette en Skaï et lui intime l’ordre :
- Viens t'asseoir sur ma queue, grosse salope.
Sachant que son maître veut qu'elle obéisse, elle fait tout de suite ce qui lui est demandé et vient s’empaler sur cette bite bien raide. Alors que le tatoueur la fait monter et descendre sur sa pine. La pauvre femme, durement malmenée, émet une série de pets sonores et, malheureusement, odorants.
- Tu es vraiment une dégueulasse ! Comme ça, tu pètes quand on t'encule, toi !
Il la pousse en avant et lui ordonne encore :
- Mets-toi debout et vient me sucer.
La pétasse rousse se redresse dans un premier temps, puis, s’accroupit entre les cuisses puissantes de l'homme. Elle prend la bite, légèrement polluée, dans la main, la frictionne, de façon à la nettoyer en quelque sorte. Puis, alors qu'elle sent des mains qui emprisonnent sa tête, elle se penche encore plus avant et enfourne cette queue dans sa bouche. Elle ne pompe pas plus que deux minutes, quand elle ressent les jets chauds de foutre qui viennent s’écraser contre sa glotte.
Le commerçant prend tout son temps pour se vider les couilles en laissant ses mains tenir la tête rousse en attendant qu’il débande. Quand il estime le moment venu, il s’adresse à la pauvre soumise :
- C'est bon, tu es une bonne pute ! Allez maintenant, tu t'assois là et tu attends ton maître.
Puis le type se lève, déverrouille la porte d'entrée et finit par s'éloigner vers la salle, où il opère habituellement.
Quelques minutes plus tard, comme si tout ça avait été parfaitement synchronisé, le maître arrive et emmène sa soumise.
CORRECTIONS
Durant tout le mois qui suit, S112 n'est utilisé que par l’anus. Ni sa chatte ni son clitoris ne sont touchés, sauf quand elle décide de se masturber et qu'elle se tripote, elle-même, le démarreur à plaisir.
Un mois plus tard, elle est, une nouvelle fois, emmenée chez son tatoueur-perceur. À nouveau, elle est allongée sur la table avec les jambes emprisonnées, dans le dispositif prévu à cet effet.
L’artisan retire, très délicatement, les anneaux primitifs, pour lui poser des anneaux en or, que son maître lui a choisi. Ceux-ci sont bien plus grands et notamment plus lourds.
Le dominateur est à côté et prend des photos de toute l'opération. Puis, une fois que les nouvelles boucles sont enfin posées, il sort de sa poche une petite boîte qui contient un petit cadenas en acier inoxydable, gravé S112.
La belle est détachée, remise debout, fait quelques pas, pour se rendre compte qu'elle n'est gênée en rien, avec les nouveaux anneaux. Puis, son maître la fait s'asseoir sur le bord de la table de travail, lui pose le cadenas. Là, il lui demande à nouveau de marcher.
Cette fois, le cadenas est tout de même un petit peu gênant. Mais, à chaque pas, il tire légèrement sur les lèvres, provoquant une petite douleur. Toutefois, ce tiraillement résonne aussi dans le clitoris et la sensation est très bizarre, un mélange de petites douleurs et comme de petites décharges électriques dans son clitoris. Et bientôt, ça vibre dans toute sa vulve, jusqu’à son anus.
À partir de ce jour, le dominant laisse le cadenas en place en permanence. Il ne le retire, que quand il décide que sa soumise doit servir sexuellement, lors de soirée ou de visite de visite de sex-shop, pour être mise à l'abattage. Content de la soumission de S112, heureux qu’elle écoute parfaitement, il décide de lui payer un voyage en Grèce. Il choisit un séjour tout compris, vol, hôtel et restauration.
Le jour J, à l’aéroport, après l'enregistrement des bagages, vient le moment de passer sous les portiques de détection. Comme la soumise porte, maintenant vingt-quatre heures sur vingt-quatre, son cadenas, elle n'y pense plus vraiment. Néanmoins, quand elle passe sous le portique, l'appareil détecte le morceau métallique. Une femme, qui fait partie du service de sécurité, s'approche, passe son espèce de détecteur manuel autour du corps. Et, finalement, elle finit par s’apercevoir, que c'est au niveau de l'entrejambe, qu'il y a l'écho.
l’officier féminin l'emmène dans une pièce attenante. Là, elle lui demande ce qu’elle cache sous sa robe.
Lilou ne porte plus de dessous depuis fort longtemps, c'est donc son minou glabre qu’elle montre en soulevant son vêtement. Son cadenas étire les petites lèvres qui dépassent, à présent, largement des grandes.
- Plus haut la robe, que je puisse voir ce qui est noté au-dessus de votre sexe, s'il vous plaît.
La rousse relève encore davantage sa robe et dévoile son Tatouage coloré.
- Qu’est-il inscrit, je vous prie ?
- S112 Madame.
- Est-ce le code d’un gang ?
- Non, Madame, c'est mon numéro de soumise.
- Ha… Une soumise… Ça tombe bien, j'aime les salopes comme toi ! Alors, pour te laisser passer, tu vas commencer par lécher ma chatte...
Commentaires
Enregistrer un commentaire