La restauratrice pervertie : Les risques du métier

 

Un peu avant douze heures trente, alors que le téléphone a pas mal sonné durant la visite de Pascal et pendant la pause thé, le numéro qui s'affiche est celui du rendez-vous. Karine répond et guide l'homme jusqu'au numéro de sa maison, car elle a vu par la fenêtre la voiture du client et le mec en train de téléphoner dedans. Quelques instants plus tard, ça frappe à la porte. La brune déverrouille et ouvre la lourde porte d'entrée et accueil un jeune homme d'une trentaine d'années.

- Bonjour mesdames, jolie ! Peut-on voir la camelote avant ?

- Sylvie, viens voir monsieur…

Et pendant que la jeune rousse se déplace, la maîtresse de maison remonte sa jupe plissée à deux mains et exhibe son minou, peu poilu, mis en valeur par le porte-jarretelles et les bas.

Un sifflement d’admiration et tout de suite le jeune client tend le bras pour venir toucher ce fruit mûr qu’il convoite avidement.

- Tu pourras toucher, et bien plus encore, quand tu m’auras donné mon petit cadeau.

Là, conquit par ce qu’il vient de voir, il sort son porte-monnaie et tend six billets de cinquante euros.

- Merci jeune homme. Sylvie, tu veux montrer ton petit trésor à notre invité ?

Sans se faire prier plus que ça, elle se met à moins de deux mètres du jeune homme, remonte sa jupe et exhibe fièrement sa chatte lisse, comme au premier jour.

- Oh super ! Que c'est joli... Mais toi, tu ne portes pas de bas ?

- Non, pas aujourd'hui ! Mais très fréquemment.

- Ah bon ! Mais il paraît que les femmes mûres portent tout le temps des bas et pratiquement jamais de culotte, c'est exact ça ?

Là, c'est la maîtresse de maison qui reprend la parole et qui déclare :

- En partie, oui, c'est vrai que je ne mets jamais de culotte. Mais je ne suis pas certaine que toutes les femmes fassent comme moi. Cela dit, oui, les dames mûres portent plus facilement des bas que les jeunes, c'est dans notre culture, on va dire, c'est dans nos habitudes.

Et surtout, elle ne veut pas avouer que bien souvent, les bas permettent de masquer de vilaines jambes variqueuses.

- Ah ! Ça, c'est dingue, mais même pour aller faire des courses par exemple ?

- Oui, même pour aller faire des courses.

- Et si je te rencontre, je peux vérifier ce que tu as sous ta robe, pour voir si tu portes bien des bas et pas de culotte ?

- Si tu me le demandes gentiment, quand tu me rencontres, il n’y a pas de problème. Tu pourras effectivement vérifier par toi-même.

- Ça, c'est fou ! Si ma copine mettait aussi des bas, ce serait génial. Et toi, Sylvie, tu portes aussi des bas ?

- Oui, assez souvent, mais plus en automne-hiver, voire printemps, qu'en été. En été, ça tient trop chaud aux gambettes.

- Ah c'est barjot ça ! On ne sait jamais, quand on voit les nanas, ce qu'elle porte en dessous !

- C'est ce qui fait notre charme, nos secrets... Mais si nous passions au salon ?

- Ah oui, aucun problème.

Cette fois, c'est la rousse qui prend le client par la main, le guide dans le salon et lui montre le la chaise, dans le coin, pour qu'il puisse poser ses vêtements.

- Vas-y, déshabille-toi, tu peux poser tes vêtements sur cette chaise, elle est faite pour ça.

Très vite, le jeune mâle se retrouve nu, à l'exception de ses chaussettes, et semble très fier de son outil.

Là, c'est Karine qui propose à sa jeune collègue :

- Et si tu conduisais monsieur à la salle de bain et tu lui faisais la toilette de son petit oiseau ?

- De mon beau rapace !

Le type n'a visiblement pas envie d'avoir un petit oiseau, ni un petit robinet, mais bien un gros chibre.

Ainsi, Sylvie prend la main du jeune homme et l'emmène dans la salle de bain qui est de l'autre côté de la cuisine, sur la droite. Là, elle fait couler l'eau jusqu'à avoir de l'eau tempérée. Puis, se sert d’un gant de toilette, vient une première fois savonner le sexe, qui se dresse de plus en plus. Elle le rince, toujours à l'eau tiède. Elle soupèse alors les couilles du jeune garçon et lui dit :

- Visiblement, nous te faisons de l'effet !

- Oh toi, tu as un petit cul, tu vas voir, tout à l'heure, si je t'attrape…

Le match n'est pas encore lancé que déjà les invectives fusent. De retour devant le canapé, voyant cette fois Karine nue, à l'exception de son porte-jarretelle et de ses bas, qui l’attend. Le jeune homme se jette littéralement au cou de l'hôtesse, et commence à lui rouler une pelle mémorable, tout en lui tripotant les deux nichons.

La rousse, qui entre aussi dans la pièce, se rapproche du couple et caresse doucement les fesses du mec. Elle descend entre les deux globes de chair, entre lesquelles, elle glisse sa main douce, jusqu'à tripoter les boules.

Quand le mâle cesse d'embrasser la femme mûre, il se recule, tout en continuant à lui tripoter les mamelles, et lui avoue :

- J'avais vraiment très envie d'embrasser une vieille.

- Je te remercie pour vieille.

- Tu ne peux pas dire que tu es jeune, tu es quand même assez âgée ! Mais c'est pas grave, je me branle presque tous les soirs, sur des vidéos de mamies, j'adore ça.

Il recommence à lui rouler une pelle, mais cette fois-ci, il lui glisse la main droite au niveau de la chatte. Il fait directement introduire deux doigts, puis trois dans la grotte féminine, inondée de cyprine, qui sert de piscine à ses petits membres fougueux.

Sylvie est très excitée de voir sa copine se faire embrasser et peloter de la sorte, par un jeune gars, qui doit avoir à peu près son âge. Aussi, elle laisse le jeune homme s'amuser avec le corps de la pute mûre. Alors qu’elle s'agenouille devant son sexe, comme une nonne devant une croix. Et, au lieu de se signer, capte le chibre et l'engouffre dans sa bouche chaude.

Une fois que le type s'est bien amusé à tripoter celle qui pourrait être sa mémé, d'une voix rauque, cassée par l'excitation, il déclare encore :

- J'ai envie de te baiser mamie, tu m'excites trop.

- Alors viens mon lapin.

Annonce Karine, tout en se reculant et s'asseyant sur le canapé. Puis, s'adressant à sa collègue, elle lui demande :

- Peux-tu mettre le petit chapeau à ce jeune homme ?

- Tout de suite, ma chérie.

Et elle se retourne vers la table basse, récupère une capote qu’elle décachette. Elle commence à dérouler un tout petit peu l'emballage de latex, puis l’écarte, après avoir passé deux doigts de chaque côté du préservatif. Elle le glisse sur le membre bien raide, du jeune mec.

- Voilà, monsieur est équipé pour la chevauchée.

Willie se place alors à genou entre les cuisses de la brune, sa pine vient immédiatement contre l'ouverture du vagin, sans qu'il ait besoin de le prendre en main, comme s'il était équipée d'une tête autodirectrice. Et, d'un coup de rein puissant, il pénètre profondément la professionnelle mûre. Il lime pendant une petite minute, avant de stopper la manœuvre. Là, il se recule, ressortant sa queue, et annonce :

- Ta chatte est trop bonne ! Et elle est bouillante, je vais jouir trop vite, si je continue. Maintenant, je veux que ta jeune copine vienne s'allonger au-dessus de toi. Que j'ai les deux chattes au-dessus de l'autre, c'est possible ?

- Pour moi, pas de problème. Répond la brune.

- Pour moi non plus.

Indique Sylvie qui vient, à la place du garçon, s'asseoir sur le bas du ventre de sa copine. Elle remonte sa jupe sous ses reins, et ouvre en grand son chemisier. Puis, elle se laisse aller en arrière, tout doucement.

Karine Attrape les mamelles douces de cette cochonne, toute légère, qui vient de s'allonger sur elle.

Le jeune mec, furieusement impétueux, s’empare de son sexe et le guide contre la chatte lisse. Il prend possession de lieux d’un mouvement brusque du bassin, qui désarçonne quelque peu la pauvre rousse.

Là, il lime comme un démon, pendant presque dix minutes. Puis, ralentissant son rythme, il regarde la jeune femme dans les yeux et lui dit :

- La vache ! Toi aussi, tu as eu bouillante !

- Que veux-tu, on est des chaudes de la chatte.

- Ah ouais, je vois ça !

Puis, il recommence à limer avec force et vigueur, à toute vitesse, ce minou tout lisse.

La brune, qui sent les vibrations dans son corps, venant des coups de boutoir, que prend sa jeune collègue, se dit qu'à ce rythme-là, même s'il est fort jeune, le client ne va pas durer longtemps.

Comme s'il l'avait entendu, Willie ralentit le rythme, alors même, que la rousse commençait à s'envoyer en l'air. Pour compenser la vitesse d'exécution, il vient placer le gras du pouce, sur le clitoris et le frictionne en rythme, avec ses allées et venues.

- Putain ! Ça, c'est de la baise de grosses salopes

Pour l'encourager, l'hôtesse déclare :

- Tu aimes ça, mon petit cochon, deux bonnes salopes, n'est-ce pas ?

- Ah oui…

Puis, il se recule un tout petit peu, il sort sa queue de la chatte lisse, d’une main sûre, la glisse vers le sexe plus âgé, qu'il pourfend, à la manière d’un chevalier féodal.

La rousse est un petit peu déstabilisée de cette interruption brutale du coït. Aussi, de la main droite, elle vient s'astiquer, elle-même, le démarreur à plaisir.

Quant à Karine, elle cramponne toujours fermement les nichons de sa copine et subit à son tour les assauts de ce salaud junior.

Là encore, dès qu'il commence, pendant une trentaine de secondes, le jeune lime avec une énergie folle. Ses pénétrations sont très rapides, aurait-il de la famille chez les Léporidés ? Puis, son rythme décroît progressivement alors qu'il tient toujours vigoureusement les cuisses de la femme qui est dessous et lui annonce, avec plein de tact et de poésie :

- Il n’y a pas, une vieille chatte c'est bon et on peut la bourrer plus longtemps, parce que c'est moins serré, là-dedans.

Il continue, à peu près la même durée, puis ressort sa bite.

La rousse qui comprend ce qui se passe, se réjouit à l'idée qu'elle va se prendre le morceau de chair entre les babines. Car, elle n’a qu’une seule envie, atteindre l'orgasme qui lui a été promis.

Finalement, le jeune gars, sans qu'il se soit égaré, guide son gland contre l’œil de bronze de la rousse. Là, sans crier gare, toujours avec cette impétuosité le caractérisant, il viole brutalement le sphincter et envahit le rectum de toute sa queue. Puis, il se remet à limer, peut-être moins rapidement que précédemment, mais tout de même, de façon plutôt énergique.

Là c'est que du bonheur ! La rousse s’astique le clitoris et sent que l'orgasme est proche. Elle couine de plaisir, sans crier, mais on comprend tout de suite qu’elle s’éclate. Mais c'est au moment où elle est presque arrivée au point de retour, que ce goujat décide, une nouvelle fois, de ressortir son zob de son corps.

Ici, dans le mouvement, il guide sa bite dans la chatte de la brune et l’enfourne d'un coup sec.

Karine ne sait pas vraiment d'où sort cette queue. Elle se plaît à croire que le jeune homme revient du minou de sa collègue. Si c'est de son anus, elle risque une vaginite par l’apport de matière fécale dans son vagin, ainsi que des bactéries, qui n'ont pas lieu d'être dans la grotte féminine.

S'arrêtant pour reprendre son souffle, le jeune type demande à l'hôtesse :

- À toi aussi, je peux te la mettre dans le cul, mamie ?

là, la brune comprend ce qui vient de se passer, mais répond machinalement :

- Oui, tu peux m'enculer, c'est compris dans le prix.

Alors Willie ressort son pénis de la moule brûlante, le guide contre la rosette, et, comme précédemment, avec Sylvie, il pénètre le rectum de toute la longueur de sa bite. Seules ses couilles n’ont pas pénétré. Il se met donc à limer à nouveau furieusement, pendant une bonne minute, comme un forcené, puis annonce :

- Je vais juter dans ton cul, mamie…

Et d'un coup, il se retire, arrache la capote dans un geste précipité et se masturbe deux fois, pour finalement éclabousser les deux chattes.

- Ah non !

La brune sait parfaitement, que quelques gouttes de foutre malade peuvent être contaminantes. Aussi, elle se met à crier :

- Non ! tu ne jutes pas sur nos chattes ! Ça va pas non !

- Mais c'est pas dedans…

- Non, on ne met pas une capote, pour après, nous jouir sur la chatte ! Le foutre c'est dans la bouche, sur les nichons ou sur le visage, pas ailleurs ! Je te l'ai dit pourtant.

De se faire ainsi rabrouer, coupe les effets du jeune mec qui s'assoit sur ses talons.

Sylvie, frustré de n'avoir pas pu atteindre l'orgasme, descend doucement du corps de sa copine. Pour elle, se faire asperger de sperme, elle n’y voit pas de mal, ni de danger sanitaire. Il faudra qu'elle en discute avec sa mentor plus tard.

Alors qu'elle se redresse, l'hôtesse fixe d'un regard noir son jeune client et lui annonce.

- C'est fini pour aujourd'hui, là, on a besoin d'aller se laver et toi, tu remballes tes gaules et tu te barres... On ne jute pas comme ça, n'importe où ! Je ne suis ni ta copine, ni ta femme !

- Non, c'est vrai. Mais j'ai l'impression de me taper ma mémé…

- Bah, c'est bien. Habille-toi et dégage.

- Ouais, mais tu m'avais dit qu'on pouvait passer une heure.

- Oui, mais je t'avais parlé aussi de rapports protégés ! Si ça se trouve, ton sperme est pourri, tu es malade et nous allons être contaminées. Et, on risque de contaminer d'autres personnes…

- Ouais, ben moi les cours de médecine…

- Mais les cours de médecine t'emmerdent, mon petit lapin. Tu prends tes cliques, tes claques. Tu te magnes de t'habiller et tu dégages.

Le jeune, furieux, se rhabille avec la même précipitation qu'il avait à baiser peu de temps auparavant. Et, une fois habillé, il essaie encore de négocier :

- Comme tu me mets la porte avant l'heure prévue, tu me rembourses une partie.

- Dégage, connard ! Voilà le remboursement.

Karine s'est précipitée sur la porte d'entrée, qu'elle a déverrouillée et ouverte. Elle attend que le jeune sorte.

Ce dernier, en passant, lui file une grande claque sur le postérieur en lui disant :

- La prochaine fois, je te collerai mon foutre, au fond de ton cul, vieille pute…

Et il s'en va.

- Allons vite prendre une douche avant le prochain.

- Bonne idée ! En plus, ça nous détendra pour la prochaine vacation.

Sylvie, restée jusqu’à là dans le salon, rejoint sa collègue. Elle a une sacrée dégaine avec son chemisier, sans manches, grand ouvert et sa jupette.

Une fois ensemble, Karine la prend par la main et la guide jusque dans la salle de bain, que la copine connaît pourtant déjà. Là, elle se penche pour enlever délicatement la jupe, puis se redresse pour retirer le fin chemisier, elle pose le tout sur la machine à laver, et vient prendre tendrement son amie dans les bras. Après un petit câlin et un gros baiser, la brune s’agenouille devant sa collègue. Une fois en place, elle passe sa main gauche sur le ventre doux, et l’autre bras entre les jolies cuisses. D’un geste impérieux, elle lui impose d'écarter les jambes, tout doucement, mais péremptoirement. Elle caresse alors le clitoris avec son pouce. Ensuite, elle vient masser la vulve du plat de la main. Quand elle estime que toute la zone est bien humide, elle se relève et lui susurre à l’oreille :

- Surtout, ne bouge pas.

Là, elle ouvre un placard et, d’un geste précis, sort une poire à lavement marron clair en caoutchouc. Elle fait couler de l'eau chaude, puis règle la température pour obtenir une eau tiède aux environs trente-cinq à quarante degrés. Elle retourne au placard pour s’emparer d’un flacon de désinfectant liquide au PH neutre. Elle en verse une bonne rasade dans l’évier. Elle remplit alors la vasque un petit peu. Puis, en appuyant plusieurs fois dessus, elle remplit la poire. Ensuite, elle s'accroupit à nouveau et, tandis que de la main gauche, elle écarte les lèvres, de sa main droite, elle pousse la pointe de la poire dans le vagin. Là, elle presse tout d'abord fortement l'outil.

Sylvie pousse un cri, autant de surprise, que de plaisir

Karine ressort la poire rapidement, relâche la pression de façon à faire entraîner de l’air, puis, après s'être relevée, la remplit à nouveau dans la vasque. Elle recommence, une fois de plus, à s'accroupir devant sa copine, la main gauche sur le ventre, elle redonne une forte pression sur l’objet en caoutchouc.

À nouveau, pour Sylvie c'est une surprise. Elle sent le liquide s'insinuer un peu partout, dans les méandres de son sexe. La sensation est douce et elle prend plaisir à cette opération.

Se relevant avec la poire dans la main, la belle fait un bisou sur la bouche à sa copine et la guide dans la douche à proprement parler. Là, elle susurre à nouveau :

- Ne bouge pas, j'arrive.

Elle retourne près de l'évier, par deux fois, injecte également de cette eau mélangée au désinfectant, puis revient à côté de sa copine et ferme le rideau. Elle l’enserre, l'embrasse et lui dit ensuite :

- Laisse tout s’échapper tranquillement, de ton doux minou.

Et, de son côté, elle relâche ses muscles et laisse ses lèvres s'entrouvrir doucement et le liquide s'écouler. Elle demande encore à sa copine :

- Et alors, tu en penses quoi de cette sensation ?

- C'est très particulier, mais c'est très agréable. Là non plus, je ne pensais pas pouvoir m'amuser, un jour, avec un lavement !

- Et encore, là, ce n'est qu'un lavement vaginal…

Puis, de nouveau, Karine enveloppe, de son bras droit, sa nouvelle amie, vient plaquer sa bouche sur la sienne, et lui roule un palot terriblement excitant. De sa main gauche, elle descend au niveau de la vulve pour la passer sous le tout petit filet liquide, qui s'écoule d’entre les lèvres.

Les deux femmes s'embrassent de longues minutes et, quand ce baiser s’arrête, Karine propose une nouvelle fois :

- Alors, on se la prend, cette petite douche ?

- Ah oui, avec grand plaisir.

La brune s'empare de la douchette, et ouvre le robinet d'eau. Elle laisse couler l'eau sur son pied, jusqu'à ce que celle-ci devienne légèrement chaude, tel que régler sur le robinet thermostatique. Ensuite, elle passe le jet d'eau, délicieusement tiède, sur le corps de la rousse. Elle fait bien attention de ne pas lui éclabousser le visage, ni les cheveux, car celle-ci, en passant sa main derrière la tête, à remonter sa crinière pour ne pas la mouiller. Elle s’attarde un peu sur les seins, puis descend sur le ventre, sur le mont de Vénus. Et enfin, bascule la douchette, que le jet soit vers le haut et elle le passe entre les jambes en direction de la vulve.

Sylvie fléchit légèrement sur les genoux, de façon à écarter ses cuisses, pour laisser passer la pomme de douche que dirige son amie. C'est un vrai plaisir, le film gouttelette d'eau qui viennent s'écraser contre son clitoris procure une gentille sensation toute douce. Puis, d'un coup, elle sent que la douchette se rapproche de sa chatte, et enfin que quelques jets insinuent dans les chairs tendres de son vagin. Là encore, ça lui donne des picotements dans le bas du ventre.

- Ça va, ça te plaît ?

- Oh que oui ! Mais attends, tu ne vas pas passer ta journée à me faire jouir, petite coquine. Donne-moi la douchette, que je te rende la pareille.

Trop heureuse de l'aubaine, Karine confie alors la douchette à sa jeune collègue et se laisse faire. L'eau, qui ruisselle sur ses seins, est déjà très agréable. Mais quand le jet descend en direction de son mont de Vénus, là, ça devient un peu plus excitant. La pomme de douche vient contre le clito et masse très doucement le petit organe. La belle commence à s'envoyer en l'air et à perdre le contrôle de la situation. Heureusement, le massage délicat cesse alors et elle sent les jets d'eau tiède dans toute sa vulve. Puis, entre ses lèvres, et enfin, qui s'insinuent également dans son vagin. Elle aussi a fléchi sur ses genoux, de manière à permettre le passage de la pomme de douche.

À ce moment, la rousse colle sa bouche sur celle de l'hôtesse et la force de sa langue vicieuse. Tout en faisant ça, elle a repris le massage doux du clitoris avec la douchette. Elle a très vite compris que ce genre de chose faisait beaucoup de bien à sa copine.

Les deux femmes passent un petit quart d'heure dans ce tendre câlin, à s'embrasser passionnément. Tantôt fougueusement, tantôt plus amoureusement, toujours massées par le jet d’eau tiède, et c'est le téléphone, qui est resté dans la cuisine, qui met fin à ses agapes.

- Allons bon, voilà que le devoir nous appelle… Et je pense que maintenant, nous nous sommes bien contaminées !

Karine coupe l’arrivée d’eau et ouvre le rideau de douche. Elle sort, s’empare d'une grande serviette éponge, en prend une deuxième dans un placard, qu’elle tend à la jeune femme. Puis, elle lui explique encore :

- Si tu as besoin de quoi que ce soit, de crème hydratante, d'une brosse ou autre, tu ne te gênes pas, tu fais comme chez toi, tu te sers.

Puis, une fois sèche, elle se rend dans le salon. Là, elle s’installe sur le sofa pour enfiler ses bas et remettre son porte-jarretelles. Ensuite, elle se relève et remet sa jupe ainsi que son chemisier, tout en le laissant très ouvert pour exhiber ses lourdes mamelles laiteuses.

Durant ce temps, la jolie rousse c'est, elle aussi, habillée et elle vient rejoindre son amie.

Et les deux femmes s’installent à nouveau à côté l’une de l’autre et papotent en attendant l'arrivée du client suivant.



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