La restauratrice pervertie : Découverte d’un commerce parallèle

 

Le lendemain matin, de bonne heure, sur le coup de sept heures, les deux femelles se réveillent dans les bras l'une de l'autre. Elles ouvrent l’œil pratiquement en même temps à quelques secondes d’intervalle. Après un câlin, durant lequel les corps, encore chaud de sommeil, se remettent en route ensemble, doucement frôlés, subtilement cajolés, l'hôtesse propose d'aller prendre le petit-déjeuner.

Pendant qu'elle prépare café, tartines, beurre et confiture, la jeune investit la salle de bain, prend une bonne douche et, une fois toute pimpante, rejoint la cuisine. Les deux copines déjeunent tranquillement. Ensuite, c'est la maîtresse de maison qui prend sa douche. Après, elle propose à sa nouvelle amie :

- Si on veut avoir des clients, il faut travailler notre annonce… Allons dans le bureau, je vais te prendre en photo et on va passer quelques annonces, histoire que tu puisses te faire une idée de la chose.

Une fois dans le bureau, l’hôtesse demande à sa nouvelle amie de se mettre nue, le temps qu'elle la prenne en photo. Puis laissons tomber son peignoir, elle vient prendre sa copine par la taille et fait quelques selfies. Là encore, elle évite de prendre les visages.

- Tu crois que ça va intéresser les messieurs, alors qu'ils ne verront pas nos Bouilles ?

- T'inquiète pas, ce qui les intéresse, ce sont nos seins et nos chattes. Nos visages, ils s’en contenteront au dernier moment.

Ensuite, elle s'assoit à son bureau, allume l'ordinateur et montre à la jeune femme, comment passer des annonces, comment travailler les photos. Tout ça les emmène sur le coup d’environs neuf heures. Là, elle met en route son téléphone professionnel. L’annonce passée sur les trois sites habituels de Karine, est :

Femme mûre, avec sa jeune amie, propose des moments hors du temps à messieurs gourmands et épicuriens. Safe-sex de rigueur, fellation gourmande dans une "expérience petite-copine".

Puis Karine récupère son peignoir et file dans la chambre. Là, elle sort son "uniforme".

Sylvie, elle, se rhabille. Elle a, bien entendu, toujours la même tenue. Dès qu’elle est prête, elle va retrouver sa complice dans la chambre.

Cette dernière a mis un porte-jarretelles, assez large, des bas noirs, un chemisier très échancré avec un profond décolleté. Et une jupe plissée courte qui permet, même quand elle est debout, de s’apercevoir qu'elle porte des bas. Pour finir le tout, elle a enfilé ses escarpins bleu nuit, qui lui sont fétiches.

- C'est vrai que les bas, ça donne tout de suite un petit côté Ange Bleu.

- Oui, les hommes adorent les bas. Bien souvent parce que leur épouse ne porte que des collants. Et une femme avec des bas, leur envoie l’image qu’elle est disponible pour eux.

- Je note, la prochaine fois, je tâcherai d’avoir des bas aussi.

- Maintenant, nous n'avons plus qu'à attendre les appels. On va se mettre dans le canapé pour ça, veux-tu un autre café ?

- Plutôt un thé, mais oui, je veux bien.

Les deux amies redescendent dans la cuisine tout en devisant joyeusement. Alors que l’hôtesse prépare deux thés, la rousse la regarde faire et admire ses courbes harmonieuses. Les moments magiques, qu’elle a vécu hier, lui reviennent à l’esprit et dans un élan de sentiments amoureux, elle vient prendre les nichons de la brune à deux mains et lui faire un long baiser dans le cou. Sa langue mouille la fine peau douce, tandis qu’un instant après, son souffle l’évapore, tirant ainsi de doux frissons à la femme mûre qui déclare :

- Arrête coquine, tu vas me faire mouiller ma petite culotte…

- Blagueuse, tu n’en portes pas...

Et aussitôt, elle lâche le sein gauche et envoie sa main sous la jupe plissée à la rencontre de la chatte. Puis elle s’exclame :

- Par contre, tu ne mens pas en disant que je te fais mouiller.

Un premier coup de fil vient mettre fin à ses petites coquineries.

"Bonjour… Alors, nous proposons massage érotico-détente, fellations natures, de l’une, l’autre ou de deux ensemble, rapports et sodomies protégés, là encore, de celle qui te fait envie… Oui, autant de fois que tu veux… Nous faisons un petit spectacle de gouines pendant ta pause, oui… le tout est de prendre rendez-vous, mon cher... D’accord, c'est noté, à tout à l'heure."

Karine coupe la communication et annonce fièrement :

- Voilà, notre premier rendez-vous de pris, quatorze heures.

- Tu le connais ?

- Non, un petit nouveau, à la voix, assez jeune. Mais passons au salon.

Plusieurs appels sont non concluants. Puis, les rendez-vous s’enchaînent. Le premier rendez-vous est pris pour onze heures, ensuite d’autres à douze heures trente, quatorze heures et quinze heures trente. Entre chaque appel, les deux nanas discutent en bonnes copines, bien que souvent les doigts, les langues, se promènent aisément.



Un peu avant onze heures, c'est un coup de sonnette qui retentit, sortant de leur torpeur, nos deux salopes qui étaient sagement assises l'une contre l'autre, chacune perdues dans ses pensées. Ce premier client est un habitué de Karine. Aussi, il n'a pas eu besoin de téléphoner, quand il est arrivé, il connaît parfaitement les lieux et se pointe directement à la porte pour sonner. Dès qu'il rentre, il embrasse la maîtresse des lieux comme du bon pain, puis se reculant, il aperçoit Sylvie et demande :

- La petite nouvelle dont tu me parlais ? Alors comme ça, vous allez bricoler à deux ?

- Oui.

Et, se tournant vers son amie, elle l’appelle :

- Viens ma chérie, je te présente Pascal, c'est un habitué. Tu verras, il est très gentil.

Encore un peu gauche, la jeune femme arrive dans le petit corridor de l'entrée et, presque machinalement, tend la main à l'homme d'âge mûr.

Mais celui-ci, habitué des prostituées, l'attrape par les épaules et la tire à lui doucement, pour lui faire un petit baiser sur les lèvres.

Il va falloir que je m'habitue à ce genre de choses, se dit la rousse. Car même dans les clubs échangistes, quand les gens se rencontrent et, à moins de se connaître intimement déjà bien, c'est plus quatre bises qu'un baiser sur la bouche.

- Tu me surprendras toujours, Karine, ta copine est très jolie.

Et tout en détaillant la jeune rousse d’un regard gourmand, il sort trois billets de cent euros de son portefeuille, et les tend à l’hôtesse.

- Oui et en plus, elle est très coquine, ce qui ne gâte rien, non ?

- Effectivement, et on peut voir la dame plus en détail ?

Alors, sans attendre une réponse qu'il sait être positive, Pascal soulève la jupette et s'émerveille du sexe bien lisse, finement ouvragé.

- Joli !

S'exclame-t-il. Puis, en bon maquignon, il presse le sein droit à travers le fin tissu du chemisier.

- Ça semble très prometteur, tout ça.

Voyant que sa copine est légèrement mal à l'aise de se faire ainsi tripoter, comme si elle n'était qu'une bête, au marché à bestiaux, Karine prend la main de l'homme et le guide dans le salon en lui disant :

- Tu sais où tu peux mettre tes petites affaires…

Très vite, l'homme se retrouve pratiquement nu à l'exception de ses chaussettes. Et, comme à son habitude, il demande les toilettes pour aller se passer le sexe sous l'eau. Puis, quand il réapparaît dans la pièce, alors que l’hôtesse a retiré son chemisier et sa jupe, ne restant qu’en bas et escarpins, il demande :

- Comme ça, vous êtes amies intimes... On peut voir jusqu'où va cette intimité ?

Sans répondre, la brune se tourne vers sa complice, et commence par lui retirer son petit corsage, en prenant le bas du délicat vêtements et en le retirant par la tête. Ensuite, elle ouvre, sur le côté, la jupette et la laisse glisser le long des jolies gambettes de la belle. Là, elle l’attrape par le cou, avec son bras gauche, et vient l'embrasser. Tandis que de sa main libre, elle commence par lui caresser la poitrine, ensuite le ventre, puis le sexe, sans s'occuper de son client.

L'homme est très excité, voir deux femmes en réel, se caresser, s'embrasser, avoir une telle complicité, c'est beaucoup. Bien sûr, il a déjà vu des films de lesbiennes, mais il n'a jamais vécu une relation à trois avec deux nanas. Mais pas, avec deux filles qui sont très bisexuelles. Aussi, il ne veut pas casser l'ambiance et se caresse délicatement la queue. Car il a déjà une belle érection et il ne voudrait pas partir trop vite. Il a bien pris deux cachets de Viagra, à une heure d'intervalle, avant de venir, histoire de ne surtout pas être défaillant. Néanmoins, la nature reste la nature, même si la chimie peut aider.

- Ça va, ma douce ?

Demande l'hôtesse quand elle a cessé le chaud baiser.

- Oui, oui, je suis un peu intimidée, forcément, mon premier client…

Ça n'échappe pas du tout au fameux client, qui se fait une joie de s'exclamer :

- C'est une sorte de virginité alors... C'est ta première fois effectivement, ma jolie ? D'ailleurs, quel est ton prénom ?

- Je m'appelle Sylvie. Oui, c'est la première fois que je me prostitue, c'est bizarre, mais c'est très excitant en même temps.

Et tout en discutant, Pascal se rapproche du duo et, finalement, vient mélanger sa langue, avec celles des deux salopes. Il en profite pour peloter les deux nanas, alors que Karine, elle, s'occupe du clitoris de sa copine, sachant que celle-ci démarre au quart de tour. Mais restant professionnelle, elle s'aperçoit que l'homme arbore une belle gaule et donc, elle lui propose :

- Continue à t'occuper de ma jolie petite copine, moi, je vais te sucer un peu, tu veux ?

- Bien sûr que je veux ! C'est pas honnête de poser une telle question…

Alors, la brune s'accroupit devant le type, le prend en bouche, prend son chibre dans la main droite pour le branler en même temps, mais très légèrement, car elle ne veut pas le faire partir tout de suite. De sa main libre, elle va visiter la moule à côté d’elle et trempe son majeur dans le sexe déjà bouillant et dégoulinant de cyprine. Instantanément, elle trouve le point G, elle commence à le flatter, comme elle sait le faire. À nouveau, sachant que ce genre de caresse est délétère, elle profite de son pouce pour flatter le clitoris de la même manière et en rythme.

Le visiteur en profite pour rouler une grosse pelle à cette jeune prostituée, même si elle n'est plus la perdrix de l'année. Puis, sans se démonter, il repousse délicatement la tête de sa professionnelle préférée et lui dit :

- Attends ma coquine, si je te laisse faire, tu vas m’engloutir mon jus de mâle beaucoup trop vite. J'ai très envie de goûter la chatte de ta copine…

Et Karine, qui a retiré son majeur de la chaude caverne, demande à sa jeune collègue de lui passer les capotes, qu'elle peut atteindre. Une fois qu'elle en a une, elle déchire l'emballage du préservatif et glisse le manteau de latex étanche sur cette pine fièrement dressée. Puis elle demande de sa voix douce :

- Veux-tu que je mette le clic-clac en position lit ?

- Non, non, je veux la prendre en levrette, mais debout.

Attrapant l’épaule de la jeunette, il lui fait comprendre qu’elle doit se retourner. Ensuite, il la pousse délicatement en avant, jusqu’à ce qu’elle pose ses mains sur l’assise du sofa.

Sylvie se laisse faire. D'abord parce qu'elle n'a pas l'expérience, qui lui permettrait d'avoir une autre réaction. Mais aussi, puisqu'elle se dit que si son amie permet à cet homme ce qui est en train de faire, c'est qu'elle a confiance et qu'il n'y a aucun risque. Et, bien entendu, parce qu’après les caresses de sa complice, elle est chaude comme la braise. Bientôt, elle sent de nouveaux doigts fouiller sa matrice.

Karine se remet debout et se recule, laissant le champ libre au gars, pour qu'il puisse venir s'installer derrière la jeune rousse.

Une fois qu'il est en place, Pascal guide sa queue d'une main sûre, jusqu'au minou lisse de la belle, et, avec un soin infini, pénètre le corps de la fille.

- Qu'est-ce qu’elle est douce et chaude, sa chatte ! Mais par contre, c'est un véritable étau, j'ai l'impression qu'elle va me purger à la vitesse grand V.

Toutefois, il commence à limer.

Sylvie, qui se décontracte un peu plus, relâche ses muscles et, tout de suite, sa chatte s’élargit. Et voilà, c'est parti, elle fait son premier client. Cette fois, elle est devenue une vraie putain. L'idée m'excite, autant qu'elle lui fait un peu peur. Ce n'est pas un acte sexuel en lui-même, ça elle en a plus que l'habitude, c'est l'idée de la prostitution qui la travaille encore un peu. Il faudrait qu'elle réussisse à chasser de son esprit, toutes les vilaines images négatives sur ce métier, qu'on dit le plus vieux du monde.

Chez les grecs, le métier de putain était reconnu et les professionnelles très bien considérées. Chez les romains, c'est un peu plus complexe, néanmoins les bordels étaient choses courantes. Les prostituées également. Il y a même une impératrice qui s’adonnait à ce genre de sport. C'est l’Église catholique, religion éminemment sexiste, qui, voulant rétrograder Marie-Madeleine, lui mis tous les péchés du monde sur le dos, et notamment, fit d’elle une pute ! Quelle horreur ! C'est vrai que violer les petits enfants, c'est plus discret….

Pendant ce temps, alors que le bonhomme délègue sa main droite pour aller tâter le nichon de la belle qu'il ne peut pas voir, il se tourne vers l'hôtesse, et lui dit :

- Viens.

Dès qu'elle s'est rapprochée, de sa main gauche cette fois, il vient tripoter les grosses mamelles de la femme mûre et, tirant dessus, il la fait s’approcher encore de lui, pour qu’il puisse l'embrasser. Il roule alors une grosse pelle baveuse à la deuxième prostituée. Quand il cesse son baiser, il reprend encore, avec une voix essoufflée :

- Tripote lui aussi un nichon…

La brune, bonne fille, s’empresse d'aller visiter le ventre de son amie et de remonter jusqu'à ses seins. Là, n'ayant que le nichon gauche à sa portée, elle commence à le palper. Puis, elle se met à pincer le téton comme elle sait faire. Elle le pince, elle le relâche, le repince, mais plus longtemps, le lâche à nouveau, le pince une fois de plus, et ainsi de suite.

Sylvie ne sait trop comment réagir, cette pine joyeuse qui lui travaille le bas du ventre l'amènerait bien vers des sommets de plaisir. Et sa salope de copine qui lui triture le téton avec un savoir-faire, pas classique, pourrait également l'envoyer dans les limbes de la joie.

Quelques instants plus tard, Pascal s'écrit, tout en retirant vivement son sexe de la moule bouillante :

- Viens me sucer la bite…

Alors que la brune s'accroupit à nouveau et commence à vouloir retirer le préservatif, elle entend le type qui lui précise encore :

Non, non, avec la capote, je veux que tu savoures le goût de la chatte de ta copine.

Goûter à sa chatte ! Tu parles, ça fait déjà le deuxième jour qu'elle y goûte... Mais en bonne professionnelle, elle gobe la pine encapsulée et branle le chibre de façon à faire jouir son client. Son autre main est toujours occupée à triturer le téton de sa collègue.

Cette dernière, est arrivé au bord du précipice, et, comme mue par un réflexe sexuel, de deux doigts agiles, elle vient se bricoler le démarreur à plaisir. Alors que le mec grogne et râle en éjaculant dans la capote, la jolie rousse pousse un grand cri et s’affale en avant, les genoux sur le canapé, les cuisses tremblantes, secouer par un orgasme bienfaiteur et libérateur.

- Oh putain ! J'ai fait jouir une pute…

- Mais mon chéri, à chaque fois que tu viens, tu me fais jouir…

- Oui enfin, je voulais dire, j'ai réussi à faire jouir une jeune pute avec ma queue ! Pas toi, avec tous les petits jeux que nous avons en commun.

Pascal flagelle et demande à s'asseoir sur le canapé, ce qui lui est, bien entendu, tout de suite autorisé.

Très maîtresse de maison, Karine demande encore à son client, s’il veut boire quelque chose.

- Oui, je veux bien, un grand verre d'eau s'il te plaît. Ça m'a coupé les pattes.

À ce moment, sa queue étant devenue un peu moins sensible, il retire délicatement le préservatif, en prenant bien soin de ne pas faire couler le foutre.

Dans la seconde, la brune rapporte un grand verre d'eau, le tend à son client.

- Dis-moi, j'ai une idée salace en tête, tu crois que je peux demander à ta copine…

- Elle s'appelle Sylvie, ma copine.

- OK, tu crois que je peux demander à Sylvie, qu'elle prenne la capote dans sa bouche et le mâche comme un chewing-gum ?

- Ah bah ça mon garçon, tu lui demandes à elle, pas à moi.

- Dis-moi, Sylvie, tu accepterais cette capote, qui sort de ta chatte, comme chewing-gum ?

- Vous en avez de drôle, vous ! Oui, ça ne serait pas la première fois, que je suce des capotes…

Et voici le gars qui lui refile la capote et la jolie jeune nana se la met dans la bouche. Il se passe quelques instants où le trio reprend son souffle.

Puis, Karine vient se caler entre les genoux de son client et commence à prendre sa pine en bouche.

- Non, attends, je sais que tu es une merveilleuse suceuse, mais moi, j'aimerais te voir bouffer la chatte de ta copine. Tu m'as dit que c'était possible…

- Oui, oui, c'est compris dans le prix.

- Assieds-toi, ma douce.

Ordonne gentiment la brune à sa copine. Une fois que cela est fait, elle lui écarte doucement les cuisses, l'attrape par les hanches et la tire, pour que ses fesses soient tout au bord du canapé. Et là, elle plonge sa tête en dessous du mont de Vénus et vient titiller le clitoris avec sa langue.

La rousse n'est pas au bout de ses surprises, après à peine quelques secondes de ce traitement lingual, elle commence à avoir des ondes de plaisir qui lui remontent de son ventre. Elle ne peut s'empêcher de fermer les yeux et de poser délicatement ses mains sur la tête, qui lui travaille le bouton d'amour.

Pascal est aux anges, il se régale de ce petit spectacle, en profite d'ailleurs pour s'exprimer :

- Hé bien dis donc, Sylvie, il semble que tu apprécies beaucoup la langue de ta copine.

Mais la jeunette n'est plus vraiment de ce monde et elle ne répond rien, se laissant travailler à la menteuse, elle sent un nouvel orgasme arrivé à grands pas.

Le type comprend, à la respiration saccadée et aux mouvements des yeux, malgré les paupières closes, que la jeune femme est prête à s'envoyer en l'air. Aussi, ne voulant pas rester hors du jeu et alors que la brune a sa langue maintenant dans la chatte chaude, il vient bricoler le clitoris à son tour, de deux doigts agiles et experts.

Pour la petite nouvelle, c'est plus qu'elle ne pouvait en supporter. Entre le fait que ce soit la première fois qu'elle se prostitue, le fait qu'elle jouisse devant un inconnu, ce que lui fait cette femme. Elle se demande d’ailleurs, si elle ne tombe pas un peu amoureuse, de cette nana, avec qui elle a passé une nuit merveilleuse. Tout concours à un orage orgasmique terrible. Le cyclone l'emporte tellement loin, qu'un premier jet d'urine et cyprine, s'échappe de sa chatte.

Tout de suite, Karine se recule. Cependant, elle a déjà en bouche ce liquide composite, qui l’excite. Le goût âcre est étonnant, tout à fait érotique.

Le client, qui comprend bien tout ce qui se passe, plonge alors deux doigts dans le vagin bouillant et le ramone en entrant et sortant très rapidement ces petits membres. Mais également, une fois qu'ils sont dedans, en les écartant et en les bougeant dans tous les sens.

Cette fois, Sylvie ne peut plus rien faire que de se laisser porter par le plaisir intense. Elle jouit en criant, en secouant la tête dans tous les sens, elle crispe ses doigts sur le tissu du canapé.

Quand elle a fini de crier, Pascal cesse son travail du vagin, et un large sourire de satisfaction s'affiche sur sa bouille.

Quant à Karine, elle reste quelques secondes tétanisée par le spectacle de cette jeune femme, dont les traits sont totalement détruits par le bonheur qu'elle vient de vivre. Puis, le métier revenant en force, elle regarde son client satisfait et lui demande :

- Eh bien, je crois que là, nous avons réussi à faire jouir notre petite amie. Qu'en penses-tu ?

- En tout cas, si elle n'a pas eu d'orgasme, c'est bien imité... J'avoue qu'un tel spectacle, dans lequel je suis également acteur, est une bénédiction ! Jamais je n'aurais pu vivre cela avec mon épouse…

- Mais nous sommes justement là pour que tu puisses vivre des choses, que tu ne pourrais pas vivre ailleurs.

- Ah oui, je vois ça. Et elle m'a foutu une de ces gaules, cette petite salope…

- Effectivement, je vois ça. Tu veux lui reprendre la chatte ?

- Non, je veux me finir dans ton anus de velours.

Se déplaçant légèrement sur le côté, la prostituée s’empare d'une capote qui est sur la table basse, ouvre l'emballage, le repose et place le préservatif sur le sexe déjà droit et dur de Pascal. Puis, laissant sa complice sur le côté, elle pose ses reins sur le canapé, remonte ses jambes et attrape ses chevilles pour que ses guibolles soient le plus en arrière possible. Là, en regardant l'homme avec un regard sournois, elle lui déclare :

- Vas-y, fais-toi plaisir… Je sais que tu aimes jouir dans mon gros cul.

L'homme se met à genoux, attrape les cuisses girondes de la professionnelle. Il vient placer son bassin contre les bonnes fesses de la brune. Dans un geste rapide, il guide sa queue contre le sphincter et pousse un grand coup pour la faire rentrer entièrement dans ce cul chaleureux.

- Ce que j'aime chez toi, c'est qu'on peut t'enculer d'un seul coup et que tu l'apprécies…

- Oui, une bonne bite dans mon trou du dimanche... Surtout quand c'est celle d’un gros cochon comme toi, qui sait enculer les salopes.

Avec de tels encouragements, très vite le mec se met à limer ce fion comme un démon.

L’hôtesse, pourtant bien habituée à la manœuvre, commence à ruer elle aussi. Sa respiration s'accélère et elle commence à gémir.

Sa copine s'est mise à quatre pattes sur l'assise du canapé et vient prendre le nichon droit en bouche, alors que de sa main droite, elle commence à caresser le clitoris.

- Quel joli tableau ! Merci les filles, vous me faites bander comme un cerf…

- Ouais, vas-y, éclate-toi dans mon cul. Encule-moi comme la dernière des putes…

Entre les mots magiques de la professionnelle et l'autre jeune salope qui vient gouiner sa collègue. Sans parler de cet étau de chair qui lui masse le chibre, bientôt l'homme ne peut plus se retenir. Alors dans un grand râle, il s'écrit :

- Putain d'enculée, tu me fais cracher une fois de plus ! Mais que c'est bon…

En même temps que son client, Karine jouit également. Elle ne saurait dire si c'est cette sodomie sauvage ou les doigts magiques, de sa nouvelle amie, qui lui font le plus d'effet. Toutefois, elle prend un pied phénoménal en se disant qu'elle a vraiment bien fait de brancher cette jolie salope au restaurant.

Pascal, qui a tout de même cinquante-cinq ans, a du mal à retrouver son souffle, après ce deuxième coït. Mais si le physique atteint les limites que l'âge lui demande, le mental, lui, reste aiguisé. Et bientôt, alors qu'il recommence à trouver son cycle respiratoire normal, il demande, sur le ton d'un ordre :

- Allez mes belles, roulez-vous une pelle d'enfer et tripotez-vous, pour me donner le courage de rentrer chez moi…

Les deux salopes ne se font pas prier, et très vite, c'est un baiser fougueux et des mains qui virevoltent sur les peaux. C'est un concert de gémissements, un florilège de corps qui tressaillent. Et les deux femmes, sans aller jusqu'à l'orgasme, ont tout de même beaucoup de plaisir, à ses caresses saphiques.

Comme à contrecœur, le gars se remet debout et légèrement chancelant va récupérer ses affaires, qu'il a poussé négligemment dans un coin de la pièce, plutôt. Alors que les deux femmes se sont enfin calmées, elles restent assises sur le canapé, l'homme vient se mettre au milieu d'elle, en leur intimant l'ordre de s'écarter, pour lui laisser la place. Là, comme un félin qui aurait retrouvé sa souplesse, il se rhabille tranquillement, tout en profitant de chaque instant, pour peloter l'une ou l'autre des prostituées.

- Mes salopes, quel panard j'ai pris !

- Merci, mais n'hésite pas à mettre un petit mot sur mon blog, c'est toujours bon d'avoir des avis de clients qui sont satisfaits…

- Tu ne perds rien en business, toi.

- Non, ça reste un business. Même si j'aime ce que je fais et que j'y prends énormément de plaisir.

- Oui, je sais, nous en avons déjà parlé. Tu as une philosophie qui me plaît bien. Ça aussi, ça me fait revenir te voir, plutôt que d'aller voir une autre pute.

- Mais tu sais, moi, je ne suis pas comme ta femme, je ne suis pas jalouse. Non seulement, mais en plus, je te propose d'aller voir d'autres professionnelles, un peu comme si tu avais plusieurs maîtresses.

- Quelle salope ! Tu sais très bien qu'en disant ça, je vais revenir toujours vers toi…

- Oui, mais il faut bien que tout le monde vive.

- Que tout le monde vive, je suis d'accord, mais que les putains fassent un boulot correct. Quand on voit des petites putes qui te vendent une heure et qui, au premier jus, te foutent à la porte. Qui répondent au téléphone pendant que tu les baises... Je trouve que c'est quand même au-delà des limites du convenable.

- Oui, j’en ai déjà entendu parler

- Sur ce, mes jolies, j'ai encore maille à partir avec mon patron et il faut que je retourne au chagrin.

De lui-même, il se dirige vers la porte d'entrée, qu’il ouvre et sort.

Karine a tout juste le temps de rattraper la porte, pour la fermer derrière lui. Puis, elle revient dans le salon, se tient debout dans l'entrée, regarde la jolie rousse et lui demande :

- Alors, cette première expérience, c'était comment ?

- C'était merveilleux ! Je te l'ai sûrement déjà dit, mais je ne voyais pas du tout la prostitution comme ça. Là, c'est ludique, c'est jouissif et c'est enrichissant.

- Je te le disais, ma belle, tu vas finir comme moi, à aimer ce métier... On se refait un thé pour patienter ?

- Ah oui, avec plaisir.



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