Une superstitieuse : Le parapluie à l’intérieur
Faustine, avez bien apprécié cette nouvelle collègue, Dominique, qui, non seulement, avait de vraies bonnes idées pour le business. Mais aussi, un certain répondant vis-à-vis de la hiérarchie, alors même qu'elle était encore dans la période d'essai. Elle avait bien sympathisé avec cette grande femme brune, au visage peut-être un peu dur, mais encore magnifiquement harmonieux. Aussi, très vite, elle l’avait invité à venir passer le dimanche avec elle.
Donc, ce dimanche matin, en rentrant du marché, la blonde se met aux fourneaux et concocte des coquilles Saint-Jacques à la crème, pour le repas qu'elle offre à Dominique. Le temps est vraiment pluvieux. Et, même si le marché est à deux pas du logement, elle rentre avec les pieds mouillés et le parapluie détrempé. Elle laisse le parapluie dans la baignoire, change ses bas et sèche ses pieds après. Elle enfile une paire de bas blancs, qui vont bien avec cette jolie robe bleue.
C'est à midi pile, que la sonnette retentit, et que Dominique se présente à la porte d'entrée. Et après une bise confraternelle, les deux femmes se retrouvent dans le salon, pour prendre l'apéritif et entamé de longues discussions.
Une demi-heure plus tard, l'hôtesse et sa convive passent à table et dégustent les mets préparés par la jolie blonde.
- Tu es un véritable cordon-bleu, franchement, ce fut succulent.
- Merci, j'aime manger, donc j'aime cuisiner.
- Oui, je vois que tu es une gastronome, parce que tu as une silhouette fine. Tu ne dois pas être boulimique.
- Non, j'aime les bonnes choses, mais pas en grosse quantité, voilà.
- Même pour les orgasmes ?
Et la brune éclate de rire à sa question indiscrète.
- Là… Si ! Tu as raison !
Plus tard, les deux femelles se retrouvent au salon pour prendre le café et continuer à discuter.
Le sujet abordé et bien entendu le travail, l'ambiance, ce qu'il faudrait faire pour l'améliorer. Et bien vite, Faustine se rend compte que la femme, en face d'elle, d’une petite dizaine d'années son aînée, à des idées très directes, pour un management très directif.
l’hôtesse boit littéralement les paroles de son invitée, et elle est très touchée, voire intriguée, par cette personne dominante.
Alors que Dominique est parti aux toilettes, qui se trouve dans la salle de bain, voyant le parapluie replié dans la baignoire, elle s'en empare, le déplie pour qu'il sèche mieux et qu'il ne moisisse pas. Puis, quand elle revient au salon, elle l'annonce à la jeune femme :
- J'ai ouvert ton parapluie, pour qu'il sèche. Sinon, il va moisir et le moisi, ce n'est jamais bon dans une maison !
- Mais, un parapluie ouvert dans une maison, ça porte malheur ! S'écrit alors la blonde.
- Mais, ma chère, l'humidité, ce n'est même pas que ça porte malheur, ça rend malade. Donc ne sois pas si superstitieuse et réfléchie un peu.
Le ton de la brune est ferme, c'est le moins que l'on puisse dire. Le sourcil froncé, le regard perçant, indique que la femme n'accepte pas qu'on remette en question ces décisions et, encore moins, ces directives.
La discussion reprend et, très vite, tourne sur les hommes. Leur manque d’authenticité, d’honnêteté, leur attitude fuyante bien souvent. Le débat glisse alors sur la sexualité, et Faustine, avoue qu'elle aime le sexe du mâle.
- Et si un mec te propose quelque chose qui ne te plaît pas, comment réagis-tu ? Demande alors Dominique.
Se souvenant de la soirée récente au chalet, avec l’affreux bonhomme. Et le petit matin, avec le chasseur, qui s'ensuivit. La blonde avoue qu’il lui arrive d'obéir, peut-être un peu rapidement, à la volonté d'un homme.
- Tant qu’il y aura de femmes, comme toi, qui accepte n'importe quoi, il y aura des types qui abusent !
- Oui, je sais, je suis un petit peu fautive…
- Oui, et à mon avis, tu mérites une bonne fessée, pour ce genre de choses. Je vois que tu te souviens de quelque chose de très récent. Raconte-moi un peu ça.
Là, commence alors un monologue de Faustine. Elle raconte ce qu’y s'est passé au chalet, le sale bonhomme et ses injures. Puis, la voiture qui refuse de démarrer et le chasseur, qui pour l'aider, l'a insultée, rabaissée, souillée.
À la fin du récit, la brune se lève, croise les bras, plante son regard dans les yeux bleus qui s’humidifie, et lui dit :
- Je te plains, mais tu es fautive ! Tant qu’il y aura des salopes, comme toi, qui acceptent tout et n'importe quoi, il y aura des mâles qui en profitent. Donc, s'ils sont à blâmer, toi, tu devrais être punie pour ta conduite et tes prises de risques.
En souriant son invitée, l'hôtesse répond sur un ton un petit peu étrange :
- Tu ne voudrais tout de même pas me donner une fessée ?
- Reconnais-tu que tu la mérites ?
- Oui, quelque part, tu as raison…
Le regard de la jeune femme devient fuyant. Le ton de sa douce voix exprime des questionnements internes, voire une remise en question.
Là, Dominique tend une main, que la blonde saisie, et lui l'imprime un mouvement, pour qu'elle se mette debout. Une fois que les deux femmes sont debout, la brune enlace l'hôtesse, puis l'embrasse fougueusement, en lui tenant la tête. Après le baiser, elle prend un tout petit peu de recul et lui annonce :
- Voilà pour te consoler, maintenant, je vais te punir !
Et, joignant le geste à la parole, elle commence par une claque sonore sur la cuisse droite de sa partenaire.
Prenant la claque pour une plaisanterie, l'hôtesse, avant de se jeter de nouveau au coup de son invitée, lui susurre à l'oreille :
- Oui, je suis une vilaine fille, je mérite une grosse fessée...
- Je vais m'occuper de ça. Déclare alors Dominique, d'une voix très bizarre.
Et, tandis qu'elle se rassoit sur le canapé, tire à elle la jolie blonde. Mais elle s'arrange de telle façon, pour que sa partenaire finisse en travers de ses genoux. Là, elle remonte la robe, découvrant les fesses nues, car la blonde ne porte pas souvent de culotte. Elle commence à lui asséner une fessée. Elle tient ses mains droites et très fermes, et claque les fesses un peu molles, mais jolies durant une dizaine de coups.
Faustine pouce de petits cris. Elle crie, pleure et rit en même temps, c'est très bizarre. C'est alors qu’elle sent cette main, qui fut si cinglante sur ses fesses, s’insinuer entre le haut de ses cuisses et venir flatter sa vulve. puis, flatter son clitoris. Elle attrape la main gauche libre, de la femme, sur laquelle elle est allongée en travers des cuisses et la serre très fort.
Dominique est une experte, de ce jeu de glace et de feu. Elle sait également comment donner du plaisir à une femme. Et maintenant, câline la vulve, avec la paume de sa main, et le clitoris avec son majeur. Sans délai, elle arrive à ses fins et fait jouir la jolie collègue, toujours allongée sur ses genoux.
L'orgasme, que ressent alors l’hôtesse, est très particulier. Elle a les fesses qui la brûlent, mais jouit intensément des caresses sur son bouton. Elle ne se comprend pas vraiment, mais se laisse faire, curieuse de savoir comment les choses vont évoluer.
- Je vois avec plaisir que tu aimes les femmes !
- Oui... Non... Je ne sais pas réellement en fait...
- En tout cas, moi, je comprends que tu n'es pas farouche, et que les lesbiennes ne te gênent pas, voire t'excitent.
- Oui j'ai eu quelques expériences...
- Et là, tu viens d'avoir un orgasme, donné par une nana, non ?
- Si… Oui.
- Bien, remets-toi debout.
Alors que l’hôtesse se remet debout, devant son aînée, elle entend :
- Penche-toi en avant et tiens tes chevilles.
Curieuse, docile, elle obtempère et prend la position désirée. Là, elle attrape ses fines chevilles et les serre. Tout comme elle serre les dents, car la position est bien peu confortable.
La brune se lève alors d'un bon, se dirige dans la cuisine, fouille dans un tiroir. Elle revient avec une spatule en bois, assez longue, de six centimètres pour la partie la plus large. Dans le salon, elle se plante juste derrière les fesses de la belle blonde, lui remonte la robe haut sur les reins, et lui ordonne d'une voix dure :
- Je vais te punir pour t’être laissé manœuvrer par ce chasseur. Maintenant, tu comptes.
Elle assène le premier coup sec avec la spatule, qui produit, instantanément, une belle marque rouge sur la fesse gauche.
- Ça fait mal !
- Une punition n'est pas faite pour te chatouiller, ni te donner du plaisir… Tant que tu ne comptes pas les coups que je te donne, la punition n’est pas commencée.
Comprenant que son invitée ne plaisante pas vraiment, la jeune femme ajoute encore :
- Un.
- Bien, tu comprends enfin, alors on continue.
Ensuite, ce sont neuf coups de spatule qui tombent, tantôt sur la fesse gauche, tantôt sur la droite, de la pauvre Faustine. À chaque fois, elle égraine le chiffre des heurts, qu'elle a reçu.
Après la dixième tape, Dominique, reposant la pièce de bois sur la table basse, aide sa nouvelle amie à se redresser. puis, elle questionne :
- Ton repas était très bon, et j'ai bien l'impression que tu as utilisé du gingembre, je me trompe ?
- Non, c'est vrai, j'aime bien utiliser ce condiment.
- Parfait, je suis heureuse que tu aimes cette racine alors... Il t'en reste ?
- Oh oui, un beau morceau, pourquoi ?
- Tu vas le voir... Allons dans la cuisine, tu vas me donner un couteau et le morceau de gingembre, qui te reste.
Une fois dans la pièce, la maîtresse de maison sort un couteau et le reste du légume. Il y en a un beau morceau, effectivement.
Dominique s’assied à la table et se met à éplucher grossièrement la racine. En fait, elle est en train de tailler dans le morceau, une sorte de petit gode. La forme ne laisse place à aucun doute. Quand c'est fait, elle se tourne vers son hôtesse et lui demande :
- Tu sais ce que c'est, j'imagine ?
- Non, pas vraiment. Je ne comprends pas ce que tu veux faire, avec ce morceau de gingembre...
- Ça se nomme un doigt de fée. Viens à côté de moi.
Un peu surprise, mais toujours très obéissante, Faustine s'approche de sa collègue et reste figée comme une statue.
- Maintenant, tourne-toi et penche-toi en avant.
Une fois qu'elle est en position, la blonde sent qu'on lui écarte les fesses. puis, elle ressent l’introduction, dans son anus, de ce que son invitée a nommé, un doigt de fée. Non seulement, ses fesses la brûlent toujours, suite aux coups de spatule, mais à présent, en plus, c'est son anus. Il chauffe de plus en plus, au fur et à mesure, que le temps passe.
Dominique la toise du regard, l’aide à se redresser, puis lui déclare :
- Puisque tu aimes le gingembre, tu vas être servie. Tu vas garder ce morceau de gingembre, dans ton cul. Ça va peut-être t'aider, la prochaine fois, à ne pas accepter tout et n'importe quoi, d'un homme !
l’hôtesse ouvre les yeux en grand, autant d'étonnement, que pour se plaindre de la brûlure que lui procure le gingembre. Mais elle n’a pas le temps de prononcer une syllabe, qu’elle entend à nouveau :
- Maintenant, tu vas me montrer ta poitrine. J’aime bien ta jolie robe, mais je veux voir tes nichons.
Et encore une fois, la blonde, qui me saurait dire pourquoi, obéit aux injonctions de cette femme si étrange. Aussi, elle déboutonne sa robe et sort, précautionneusement, ses seins qui sont encore emprisonnés, dans leur gangue de dentelle.
Une fois de plus, Dominique se lève d'un bon, et vient délicatement retirer le soutien-gorge. puis, tenant le sous-vêtement en main, recule de deux pas, fixe la poitrine de sa collègue et lui dit :
- Tu as vraiment une très belle poitrine ! C'est dommage de laisser gâcher ça par des sagouins...
Sur ce, elle se penche en avant, vient téter le sein gauche, puis le sein droit. Le tout, en glissant une main aventureuse dans l'entrejambe et venant, à nouveau, flatter le clitoris.
- Ça te fait mouiller, que je te lèche, ma salope !
- Ah oui ! j'avoue que c'est très très excitant.
Instantanément, Dominique la reprend d'une voiture d'une voix dure et dit :
- Ah oui, j'avoue, maîtresse !
Quel est donc ce nouveau jeu, Faustine ne comprend pas trop, mais peu importe, cette femme sait lui faire du bien. Aussi, pour être conciliante, elle reprend la phrase :
- Oui, j'avoue maîtresse, que ce que tu me fais est très excitant.
La brune suçote le téton, passant, de temps à autre, sa langue tout autour. alors que de sa main gauche, elle, vient pincer le téton droit, qu’elle sert de plus en plus fort.
La jolie blonde ne sait plus où elle en est. Entre ces doigts agiles qui s’agitent sur son clitoris, qui le procurent les ondes de plaisir. Cette bouche douce et suave, qui s'occupe de son téton gauche, avec un bonheur indicible. Et le traitement doux-amer de son droit, qui lui fait mal, mais qui l'excite aussi terriblement. À nouveau, elle a un orgasme foudroyant, qui la laisse haletante.
- Tu aimes ça, qu'on s'occupe de tes mamelles, ma salope ?
- Ce ne sont pas des mamelles ! ce sont des seins...
À ce moment, Dominique, lâche le sein, dont elle s'occupait, et vient coller une claque, sur la joue de la blonde, en lui criant :
- Maîtresse ! Tu dois m'appeler maîtresse, salope.
Totalement déboussolé par l’attitude nouvelle de sa collègue et par la gifle violente, qu'elle vient de ressentir, comme mue par un automatisme, elle lâche :
- Les seins, maîtresse.
- Nous sommes des mammifères, les mammifères ont des mamelles. Donc, je recommence, aimes-tu que l'on s'occupe de tes mamelles ?
- Oui maîtresse.
- Bien, tiens-toi droite, je vais m'en occuper.
Relâchant la jeune femme, la brune en fait le tour, vient s'installer derrière elle et passe ses bras sous les bras de sa soumise. Là, elle empoigne fermement les belles et lourdes mamelles et, d'un coup, les presse fortement.
Faustine pousse un cri de surprise et de douleur mêlées.
À ce moment, la dominante commence un savant massage des seins, cette fois-ci, bien plus doux.
Pendant dix minutes, la blonde se fait malaxer, tripoter, peloter les boîtes à lait. Les caresses sont exceptionnellement agréables. Sa grotte intime s’enflamme et son liquide de femelle coule, de long de ses cuisses. Elle sent un nouvel orgasme monter.
Dominique, qui connaît parfaitement le corps féminin, ressent aussi l'orgasme, qui arrive chez sa partenaire. À ce moment, elle en profite pour pincer les deux tétons, en même temps. Mais cette fois, moins violemment que précédemment. Là, elle tourne le téton gauche dans le sens horaire et le téton droit dans l'autre sens, puis inverse le mouvement. Alors que les tétons sont prisonniers de ses pouces et ses index, le reste des doigts continuent un savant traitement de la peau douce, des nichons.
Cette fois, la blonde a un puissant plaisir qui arrive d’un seul coup. Ses jambes se mettent à trembler, ses bras aussi, elle tombe légèrement en arrière, retenu par le corps de sa maîtresse.
Celle-ci laisse sa soumise aller au bout de son voyage au septième ciel, tout en continuant ses subtils pincements et triturations, des deux tétons.
Au bout de cinq minutes, la femelle réussit à contrôler le tremblement de ses jambes, se redresse un petit peu, ouvre ses grands yeux bleus et demande à sa nouvelle amie :
- Mais tu es magicienne ! Je n'arrête pas de jouir, dans tes bras, comment fais-tu ?
Pour toute réponse, la brune pince très fermement les tétons. arrachant un cri à sa jeune collègue, qui, tout de suite, se reprend et balbutie :
- Maîtresse !
- Voilà qui est mieux, ma salope, si tu ne veux pas trop souffrir, n'oublie jamais mon titre.
Dominique, s’apercevant que sa soumise peu tenir debout toute seule, se dégage d’elle, en fait le tour, plante son regard dans les yeux bleus et lui demande :
- Comme toutes les femmes, tu as certainement des bougies, des cierges. Merci d'aller les chercher.
Toujours aussi curieuse, mais également toujours aussi subordonnée, elle répond :
- Oui, dans le grand meuble. Elle sort de la cuisine, fait les quelques pas qui l’en séparent et revient avec un paquet d'une quinzaine de bougies blanches rondes. Elle tend le paquet, encore fermé, à sa nouvelle amie, en lui demandant :
- Tiens… Mais que veux-tu faire, avec ses bougies ?
La première action de la brune, c'est de claquer la joue droite de l'hôtesse d'une main, alors que de l'autre, elle récupère le paquet de cierges.
- Maîtresse ! Crie tout de suite la blonde.
- C'est mieux ! Bon, allons dans ta chambre.
Ainsi, les deux femmes se rendent dans la chambre, au bout du couloir principal. Les volets sont mi-clos et la pénombre fait régner une ambiance agréable et douce.
- Retire ta jolie robe et allonge-toi.
Ordonne alors la maîtresse. Le ton de la voix, n'autorise aucune contestation.
Aussi, Faustine, obtempère et fait glisser sa robe au sol. Elle s'allonge au milieu de son lit. Elle est pratiquement nue, à l'exception de ces bas et de ses escarpins, qu’elle garde aux pieds.
La brune s’installe sur le lit, à hauteur des genoux. D'un geste lent et précis, elle entraîne la blonde à replier, d'abord la jambe droite, puis la jambe gauche. Et enfin, dans un subtil mouvement, elle s'allonge sur la jambe droite et pousse sur la cuisse gauche, de façon à ce que sa soumise soit bien écartée. Là, d'un coup de dents rageur, elle décachette le paquet de bougies, le pose entre les cuisses, s’empare d’un premier cierge et le glisse doucement dans le vagin chaud, qui ruisselle, déjà, des plaisirs futurs.
Elle utilise sa main droite, bien moins gauche, et profite de sa main gauche, pour la placer sur le monde Vénus, et se servir de son pouce pour flatter le clitoris, qui est ainsi découvert.
- Décontracte-toi, je vais tester la souplesse de ton vagin. Ne t'inquiète pas, je sais faire.
Faustine ne répond absolument rien. Elle se laisse faire, goûte au plaisir que lui procure le pouce, ainsi que celui inconnu, d'avoir une bougie dans la chatte.
Dominique n'en reste pas là. Elle saisit une deuxième bougie, qu'elle fait pénétrer délicatement dans le vagin. S'ensuit une troisième, quatrième, cinquième et sixième bougie. Elle les fait pénétrer lentement, avec soin, précautionneusement. Son objectif est d’élargir, au maximum, l’entrée de ce vagin, si accueillant.
Cette sensation de se faire ouvrir la chatte est très particulière. Ça se passe tout en douceur, ça force un tout petit peu, mais rien douloureux. Par contre, la sensation de plaisir, vient de son clitoris, mais pas encore par cette dilatation importante.
Au moment d’introduire une septième bougie, la dominante récupère sa main gauche et glisse ce nouveau cierge au milieu de ceux déjà en place. Elle fait de même pour toutes les autres bougies, toujours très doucement, toujours méticuleusement, sachant parfaitement ce qu'elle fait et jusqu'où elle peut aller.
Bien qu’elle se rende compte que son vagin va en s’élargissant de plus en plus, la jeune femelle ne ressent aucune douleur, bien au contraire, cela devient de plus en plus agréable.
Fière d’avoir introduit les seize cierges dans la matrice féminine, Dominique se recule un peu, attrape la nuque de la blonde, lui tire la tête vers le haut et lui intime l'ordre :
- Tiens, regarde comment ta chatte peut s'ouvrir...
Faustine reste interdite, jamais, elle n'aurait pensé que son sexe puisse accueillir un si gros volume. L’ensemble lui paraît incroyable, bien plus gros que le plus gros des sexes qu’elle a pris jusqu’à présent, du moins le pense-t-elle.
La brune approche son visage de ce sexe et vient humer les effluves qui s’en dégagent.
- Tu sens ce délicieux fumet, d’une chatte qui a envie de jouir ?
- Oui… Maîtresse.
- Maintenant, tu vas pousser sur tes muscles, de façon à faire ressortir les bougies, ordonne-t-elle encore.
Sentant la main chaude se reposer sur le bas de son ventre, et le pouce revenir cajoler son clitoris, Faustine pousse sur les muscles de son sexe, pour faire ressortir la botte de cierges. Finalement, c'est assez facilement, qu'elle expulse les seize bougies. Alors, elle sent son vagin se refermer tout doucement. Ça lui procure un plaisir incroyable et nouveau.
À ce moment, voyant les yeux mi-clos de sa conquête, Dominique en profite pour amener sa main droite, les quatre doigts et le pouce formant un cône, dans le vagin. Elle fait entrer progressivement sa main dans la grotte féminine de sa collègue. Quand le membre est totalement à l'intérieur du vagin, elle ferme le poing, fait quelques mouvements de va-et-vient, tourne encore son poignet de façon à ce qu’il repousse les chairs internes. Puis, alors qu’elle procure un savant massage du clitoris, elle ouvre et ferme le poing rapidement.
La jeune femme commence à tourner sa tête de droite à gauche et pousser de petits cris, en relation avec les mouvements du poing dans sa matrice. Cette fois, c'est tout le bas de son corps qui lui envoie les ondes de plaisir, comme de petites décharges électriques, qui, loin d'être désagréables, lui parcourent tout le corps et la bouleversent.
La dominante se laisse maintenant entièrement aller à sa perversité. Elle n'arrête pas d'ouvrir et de fermer le poing, de tourner son poing fermé ou ouvert, de le faire entrer et ressortir, de ce vagin dégoulinant cyprine. Ce qui a pour effet de l'exciter énormément. Elle finit par serrer le poing, le ressortir brusquement.
Puis, contrôlant la fermeture des lèvres, pousse assez fortement, pour le faire rentrer, tout aussi brusquement. Elle joue à ce petit jeu une dizaine de fois, et, alors qu'elle entend, à travers sa propre excitation, la blonde crier son plaisir, elle retire le poing une dernière fois. Elle se lève d’un bond du lit, fait glisser son pantalon, retire ses escarpins avec les pieds, fait glisser sa culotte en dentelle au sol. Ensuite, regardant sa jeune collègue, lui annonce :
- J'ai pu m'apercevoir au boulot, que tu étais un peu lèche-cul, donc maintenant, tu vas me mettre ta jolie langue dans le trou de mon cul...
Dans les nuages, ne comprenant pas exactement ce qui se passe, Faustine ne répond rien.
Leste comme un félin, la brune se met debout sur le lit et vient s’accroupir au-dessus de la blonde tête. Elle écarte ses fesses à deux mains et une fois bien en place, ordonne :
- Mets ta langue dans mon cul, salope ! Donne du plaisir à ta maîtresse, maintenant...
Toujours parfaitement obéissante, l’hôtesse sort sa langue et commence à lécher l’œil de bronze. Elle s'applique à passer sa langue tout autour du muscle fripé. Bien qu'elle se concentre sur la manœuvre, elle entend alors :
- Mets ta langue dans le trou, soumise !
S'écrit alors la maîtresse, d'une voix qui déraille, trahissant ainsi son excitation de plus en plus intense.
- Branle-toi, pétasse
L'hôtesse, ne se fait pas prier, elle s’astique le bouton avec frénésie. Tout ce qui se passe cet après-midi et totalement insensé, mais tellement excitant. Elle sent qu'un nouvel orgasme, qui arrive à grands pas.
- Durci ta langue et rentre-la dans mon trou du cul, chienne.
Foncièrement chamboulée par ces insultes, la jeune femme finit par exécuter l'ordre, elle durcit sa langue et la rentre le plus loin possible, dans cet anus odorant.
- Tu peux y aller, pouffiasse, je fais toujours un lavement, quand je vais chez des lèches-cul...
Mais Faustine ne fait plus partie de ce monde, et n’entend plus les insultes. Elle enfonce encore sa langue, le plus loin possible, dans l'anus. Puis, d'un coup, elle jouit, en criant dans le trou du cul de sa maîtresse.
Cette dernière, qui se masturbe également joyeusement, part en même temps dans un orgasme terrible. Cependant, elle ne peut plus rien gérer et lâche un pet sur le visage de sa soumise. Bientôt, alors qu'elle se caresse toujours et que son orgasme la secoue de partout, elle s’affale en arrière, contre la tête du lit. Les cuisses tout autour de la tête blonde, le souffle très court, les jambes tremblantes.
De son côté, Faustine tremble également de tout son corps. Elle ne fait même pas attention, qu'elle vient de se faire péter au nez, tellement son orgasme est puissant. Il l’a emmené loin dans la débauche.
Les deux femelles mettent un bon quart d'heure, avant de reprendre un petit peu leur esprit. la première à refaire surface, est la maîtresse, qui lâche avec un ton méchant :
- Voilà ce qui arrive aux lèche-culs, ils se font péter au nez...
En reprenant conscience à son tour, la pauvre blonde se dit que vraiment, un parapluie ouvert dans une maison, porte malheur ! Et elle se met à pleurer sur son sort.
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