Une superstitieuse : le mythomane
Une fois de plus, Faustine se retrouvait seule, ce samedi soir. Elle aurait dû partir en week-end avec son beau marin, mais celui-ci avait décommandé, un peu à la dernière minute. Elle commençait à s'attacher à cet homme, et d'un coup, avait peur qu'il ait trouvé une autre femme, plus jolie, plus jeune, plus agréable, plus chanceuse même peut-être…
Aussi, c'est comme une âme en peine, qu'après une soirée devant sa télévision, et quelques verres de pétillant, pour noyer sa solitude, elle se rend dans la vieille ville. Une fois garée, c'est presque machinalement qu’elle se rend dans son bar préféré.
Elle commande un mojito, d’ailleurs offert par le patron, et goûte à l’ambiance chaleureuse de l’endroit. Au bout du bar, un type paraît captiver son auditoire et ne cesse de parler. Il doit avoir environ vingt-cinq ans, petit brun aux yeux bleu lumineux.
La soirée se passe tranquillement, d’abord le patron vient s’enquérir de sa cliente, puis elle se fait draguer et offrir encore trois mojitos. Finalement, un peu après deux heures du matin, à l’heure légale de la fermeture des bars en ville, elle prend le chemin de son night-club préféré. Une soirée somme toute classique.
Une fois arrivée, après avoir salué la direction, les serveurs et quelques clientes habituées, elle se retrouve en train de danser sur la piste, avec trois autres nanas, esseulées également, semble-t-il. Tandis qu’elle a bien bougé son corps, pendant près d’une demi-heure, elle retourne au comptoir. Là, elle est étonnée qu’un mojito lui soit offert, et par le petit brun aux yeux si remarquables.
Aurélien est jovial, a effectivement beaucoup de conversation, sur tout et tous les sujets. Et en plus, il n’hésite pas à accompagner danser Faustine, quand passent ses morceaux favoris. Et c'est tout naturellement, qu’il lui offre le premier slow de la soirée. La fête bat son plein, la blonde, maintenant ivre, se laisse embrasser. Mieux, elle y met tout son cœur pour rendre la pareille, à ce jeune homme de sa taille. Les six slows de cette première série s’enchaînent, et leurs deux bouches ne se désunissent pas, on les dirait soudées. Les mains se promènent sur le corps de l’autre, le découvre, malgré la couche de tissu.
Comme à son habitude, Faustine porte des bas, un porte-jarretelles fin, mais les mains de son cavalier ne s’y trompent pas. Bien entendu, aucune culotte disgracieuse ne vient ternir ce délicat tableau.
À la fin du dernier slow, Aurélien, devenant bien entreprenant, et ayant compris qu’il avait mis le feu à sa partenaire, lui glisse à l’oreille :
- J’ai une folle envie de toi…
- Moi aussi, a du mai à articuler la pauvre blonde.
- Alors suis-moi...
Et le type prend sa proie par la main et l’emmène dans les toilettes hommes. Une chance, le toilette réservé aux handicapés est libre, il s’y engouffre en attirant la jeune femme, plus âgée que lui d’ailleurs. Il l’embrasse à nouveau, pendant qu’il lui retrousse la robe et met sa chatte à l’air libre.
Faustine n’est pas inactive, elle a très vite ouvert la braguette, défait le bouton du jeans et passé sa main par l’ouverture, pour flatter ce sexe à la virilité naissante. Elle sent la pine enfler de désir, très rapidement.
Là, le type la prend par les épaules et lui imprime un mouvement de rotation. Ensuite, il la plie en avant et vient se coller juste derrière son cul.
Le mouvement rapide fait tourner la tête blonde, elle perd quelque peu l’équilibre et se rattrape aux bords du petit lavabo. D’un coup, elle sent sa chatte, déjà bien mouillée, envahie par cette pine, qui lui fait tant envie. Elle se laisse bercer par les mouvements de va-et-vient, que lui impose son amant du moment.
- Tu as la chatte brûlante…
- J’te fais mal ?
- Non, au contraire, tu m’excites !
Faustine ne peut en dire plus, sa chatte lui envoie des messages de plaisirs incroyables. Elle commence à jouir, et, comme souvent, elle couine de plus en plus fort.
- Vas-y, ma belle, prend ton pied… Ma pine est toute à toi, toute à ton plaisir…
Mais la femme n’entend plus rien et commence à crier son plaisir. Malgré le volume de la musique, qui parvient jusqu’à là, ses cris interpellent les clients, qui sont dans les toilettes, à ce moment-là. Bientôt, alors que ses cris arrivent au paroxysme, elle se met à trembler de tout son corps sous la violence de l’orgasme qu’elle ressent. Ne maîtrisant plus rien, pas plus ses sphincters que le reste, elle se met à pisser. L’urine coule le long de ses bas, mais aussi sur le sexe de son chevalier servant, puis le long de ses cuisses puissantes.
Le mec, se reculant un peu, attrape la nuque délicate de sa partenaire et guide la tête vers de queue dressée et toute enduite de cyprine et d’urine. De cette façon, il contraint la blonde à s'accroupir. Une fois qu'elle est dans la position désirée, il lui glisse sa pine entre les lèvres et ordonne encore :
- Vas-y, suce ma bite, salope, fais-moi jouir à mon tour…
Bien qu'elle soit dans les vapes, Faustine s'occupe consciencieusement de cette bite odorante. Bientôt, elle reçoit, en guise de cadeau, de longs jets de foutre chaud, qui viennent s'écraser contre sa glotte.
Le jeune type maintient la tête de sa proie de façon à avoir sa bite bien au fond et profite de ce moment. Il a bien joui et il se dit : cette jolie salope blonde me paraît être une bonne chienne soumise, je devrais pouvoir m'amuser avec elle.
Après le retour au bar, deux Mojitos pour elle, et deux whiskys coca pour lui plus tard, le couple sort de la boîte, un peu avant qu'elle ne ferme officiellement.
- J'ai trop bu pour conduire. Déclare alors la jeune femme semi-consciente de son état.
- Pas de problème, donne-moi les clés, je n'ai pas de voiture, mais je vais te ramener chez toi.
Une fois ce couple nouvellement formé, installé dans la voiture, la belle tend les clés à son chevalier servant, qui lui sert également de chauffeur. Le véhicule démarre. Durant le trajet, l'homme, qui commence, lui aussi, à être un peu trop alcoolisé pour conduire, se lâche. Il commence par raconter :
- Tu ne sais pas ce qui m'est arrivé avant-hier ?
Pensant à quelque chose de salace, Faustine porte sa main à sa chatte et répond :
- Oh non, mais raconte-moi.
- Eh bien, au dîner, en entrée, j'ai ouvert une boîte de sardines. Eh bien, tiens-toi bien, il y avait un poisson rouge dedans !
- Non ! C'est pas vrai ? Interroge la blonde d'une voix pâteuse.
- Si ! Et je l'ai même mis dans un bocal, avec de l'eau. Et il est encore vivant !
Pratiquement dans un autre monde, la jeune femme ne porte pas plus attention que ça, à ses propos. Au mieux, elle met ça sur le compte de l'alcool.
- Et tu lui donnes quoi à manger de l'huile ?
- Non, je mets des miettes et il adore ça...
Faustine pouffe de rire, d’un rire nerveux qui trahit son excitation contrariée, par une histoire abracadabrante. Mais il poursuit pourtant, toujours de cette voix pâteuse, démontrant son taux d'alcool :
- Il t'en arrive de drôles à toi, dit donc !
- Tu ne crois pas si bien dire. Il y a deux semaines, j'ai été à la chasse avec un de mes potes. Figure-toi, qu'en plein milieu des bois, mon ami a pris une volée de plombs dans les fesses ! Accident de chasse, qu’ils disent.
- Ah ouais, ça arrive encore ça ?
- Ouais... Ben, j'ai pris mon copain sur les épaules et j'ai couru jusqu'à l'hôpital de Chambray, comme on était pas très loin. Et là, le chirurgien ne pouvant retirer tous les plombs, parce qu'il y en avait de trop, il a pris un gros aimant et tous les plombs sont ressortis des fesses de mon pote !
- Ah bon ! Vraiment, il t'arrive de drôles de choses, dans ta vie...
Arrivant sur le parking de la belle, il garde la voiture et ce couple improbable descend et se rend chez la miss.
Dans la chambre, il retire presque prestement la robe de sa compagne, presque à l'arracher d'ailleurs. Lui se met nu tout de suite. Dès qu'elle est allongée, la femelle commence à ronfler. Avec le taux d'alcool qu'elle a dans le sang, on peut le comprendre aisément.
Lui, effectivement moins bourré, reste éveillé. Il en profite pour tripoter les boîtes à lait de la jeune femme, tout en se branlant. Mais, la fatigue accumulée et l'excitation de la soirée, font que, très vite, il jouit dans les cheveux de la blonde et s’essuie le sexe, avec cette crinière féminine. Ensuite, il s'allonge et s'endort profondément.
Le lendemain matin, Faustine se réveille plus tôt, se lève et va faire le café dans la cuisine. Elle est rejointe par son nouvel amant, qui lui fait un bisou sur les lèvres et s’assoit, comme s'il était chez lui.
- De quoi déjeunes-tu le matin ?
- En général de céréales et de fruits, mais j'ai toujours quelques croissants au congélateur.
Après le petit-déjeuner, l’hôtesse veut aller prendre une douche, mais l'homme l'en dissuade, en disant :
- Viens, on va faire un tour au marché et c'est moi qui t'offre le repas de ce midi.
Au bout du compte, elle se débarbouille le visage rapidement, se désodorise sous les bras et se peigne, bien qu'elle ait un peu de mal. Elle ne comprend pas trop pourquoi. Et le couple sort pour le marché.
Aurélien choisit des plats cuisinés, chez le traiteur asiatique. Il ne lésine pas à la dépense d'ailleurs et, rentrant sur le coup de midi, fait réchauffer ses emplettes.
Faustine ouvre une bouteille de Vouvray pétillant brut, qui sert d'apéritif aux deux convives. Finalement, toute la bouteille y passe. Puis à table, elle sort une bouteille de rosé de Côtes de Provence, qui passe y également et elle est obligé d'aller en ouvrir une deuxième. Ensuite, reconnaissante, elle propose au jeune homme d'aller s'installer dans le salon et elle prépare le café.
Si cette soirée lui a fait oublier, un petit peu, son marin coquin, maintenant qu'elle est à nouveau un peu grisée, elle recommence à avoir un léger vague à l'âme. Mais de penser à ce bel homme, dans la force de l'âge, l’excite et lui humidifie la caverne aux mille et un plaisirs. Bientôt, elle rejoint son nouveau compagnon, avec deux tasses de café chaud.
- Tu n'as pas un petit calva ou un petit cognac, pour arroser le café ?
Demande le jeune qui semble très gourmand des produits alcooliques.
Finalement, Faustine sort une bouteille d'Armagnac et, alors qu'ils devisent joyeusement, la conversation tournant assez rapidement sur le sexe, les deux compères jettent un sort à la bouteille d'Armagnac.
Aurélien estime que sa proie est à point. Il se tourne vers elle, l'embrasse et la pelote outrageusement. Puis, lui susurre à l'oreille ;
- Tu es vraiment une bonne salope, on va retourner au lit. J'ai trop envie de toi…
Et voilà ce couple improbable qui est de nouveau dans la chambre, là, le jeune amant installe sa conquête à quatre pattes sur le lit. Il remonte sa jupe, le plus haut sur les reins possible, et s’occupe de son t-shirt, qu’il remonte aussi le plus qu’il peut. Alors, il commence à lui bricoler la chatte et l'anus. Et, il lui demande :
- J'ai envie de pisser, elle est où ta salle de bain, ma chienne ?
Commençant à partir, et déjà passablement bien alcoolisée, elle explique, tant bien que mal, où se situe la pièce recherchée.
- Parfait ma salope. Bricole-toi le clito, je vais pisser et je reviens m'occuper de ton cul.
La blonde est toujours assez obéissante, quand il s'agit de sexe. Et, l'alcool aidant, elle commence à s'astiquer furieusement le clitoris.
Durant ce temps-là, Aurélien est parti dans la salle de bain, il s’empare ainsi de trois pinces à linge, qu'il plonge dans ses poches. Et du rouleau de fil dentaire, qui traîne sur la tablette, au-dessus du lavabo. Ensuite, il retourne dans la chambre. Une fois arrivé, il regarde sa salope, et lui intime l’ordre :
- Pas question de jouir sans moi, donc je t'interdis de jouir. Mais je veux que tu te frottes le clito, plus fort encore.
Sans comprendre quelles sont les raisons, qui poussent son amant à lui imposer de telles choses, toujours obéissante, Faustine fait ce qu'on lui a demandé.
Elle a une folle envie de jouir mais se l'interdit, bien que la pression monte énormément, elle s’astique le bouton très fort, presque à s'en faire mal. À ce moment, elle sent une vive brûlure, sur ses fesses.
Aurélien a défait sa ceinture et vient de claquer les fesses avec celle-ci, en ordonnant encore :
- C'est bien, ma chienne, maintenant redresse-toi.
Surprise et excitée à la fois, la blonde se met sur ses genoux.
Ainsi, l'homme vient lui mettre une pince à linge sur chaque téton. Pour ce faire, il ouvre les mâchoires, pince le sein à la base du téton, et relâche d'un coup sec la pince. Celle-ci vient mordre, violemment, le téton tout gonflé d'excitation. Il réitère l'opération sur le deuxième sein.
Puis, récupérant la bobine de fil dentaire au fond de sa poche, il en déroule une bonne partie, qu'il passe dans le trou que forme le ressort de la pince. Ensuite même opération avec l’autre pince. Enfin, en ayant pris soin de laisser une bonne longueur, fait un nœud de façon à avoir une sorte de cordon, refermé sur lui-même.
- Les pinces me font mal ! Déclare la belle d'une voie pleurnicharde.
- Mais non, tu vas voir, ça va très vite devenir extrêmement excitant. Tu vas avoir un orgasme, dont tu me diras des nouvelles ! Au fait, tu dois avoir des gods, non ?
- Oui, dans le premier tiroir de ma commode.
L'homme s'y rend. Là, il trouve un bandeau dont il s'empare, et un gros godemichet noir, vraiment imposant.
- Vas-y, branle-toi bien. Fais-toi du bien avec ta main…
Reprend encore l’amant, en se rapprochant du lit. Pendant que la femelle, sur les genoux, se bricole le démarreur à plaisir. Il vient lui poser le bandeau sur les yeux. À ce moment, lui prenant la main libre, la fait s'allonger sur le dos, sur le lit.
- Écarte bien tes cuisses et astique-toi bien le bouton.
Une fois de plus, la jeune femme obéit et se masturbe frénétiquement.
- C'est bien ma belle…
Il s'assoit alors sur le lit, tout près d'une jambe repliée, et vient passer le gland du gode sur la vulve détrempée, qui suinte le bonheur.
- C'est magnifique ce que tu mouilles, ma salope. Et je suis sûr que tu es une bonne enculée, n'est-ce pas que tu aimes l'avoir dans le cul ?
- Oh que oui que j'aime ça la sodomie ! j'adore me faire prendre par les fesses !
- Alors, on va tout faire pour que tu sois heureuse à deux cents pour cent.
Aurélien continue à humidifier correctement le bout du gland. Puis, il le positionne contre l'anus frétillant. Là, il ordonne encore, d'une voix bizarre :
- Maintenant, tu peux te laisser jouir, ma salope. Vas-y, astique-toi le clito et prends ton pied…
Cette fois, la blonde n'a plus de frein, et, en quelques secondes, crie son bonheur, car un orgasme foudroyant la comble.
C'est ce moment que choisit l’amant, pour enfoncer, d'un coup sec, le gros jouet dans l'anus, et tirer en même temps sur le cordon, faisant sauter les pinces des tétons.
Alors qu'elle est en plein orgasme, d'un seul coup, cette violente douleur la réveille. Et elle crie, non plus de plaisir, mais de douleur. Quand elle reprend son souffle, elle déclare :
- Tu m'as fait mal, salaud !
Cependant, elle continue à se bricoler le clitoris.
C'est alors le moment que choisit l'homme pour lui demander, d'une drôle de voix :
- Alors, qu'est-ce qui est plus douloureux ? Tes tétons ou ton anus ?
La pauvre femme ne sait que répondre. Elle est dans un monde mystérieux, où plaisirs et douleurs se mélangent intimement. Elle ne sait plus que penser de ce beau jeune homme. Par contre, elle sent que le godemichet lui est introduit profondément dans le rectum. Et que le mec s'amuse à le faire aller et venir de plus en plus vite. Bientôt, elle a encore un autre orgasme, alors même que cet enfoiré vient de lui pincer, violemment, le téton gauche. C'est vraiment une après-midi hors du commun. Rapidement, elle tombe dans une sorte de transe, tremble de tout son être et ne comprend plus rien à rien.
- C'est bien ma salope, tu m'as bien excité, tu vas avoir ta récompense.
Laissant le godemichet bien enfiché dans l'anus, il se remet debout et se déplace pour venir à la hauteur de la tête blonde. Durant le déplacement, il ouvre sa braguette et laisse glisser son jeans à mi-cuisse. Il se masturbe ardemment au-dessus du visage de son hôtesse. Il en profite pour baisser le bandeau sous le menton. En quelques mouvements, il arrive, lui aussi, au plaisir, et éjacule tout son foutre dans les yeux, sur le front et dans les cheveux de la belle.
Faustine ne se rend compte de rien, partie comme elle est partie, dans cet univers si mystérieux.
Le salopard se penche sur sa proie, et lui assène quatre gifles, assez conséquentes, pour qu'elle reprenne ses esprits.
Quand la femme refait surface, elle ouvre les yeux, mais là une surprise de taille l’attend. Le sperme, qui s’insinue dans les yeux, la brûle copieusement.
- Aie ! Ça fait mal…
Très vite, le mec attrape le gode noir, le ressort de l’anus qui reste ouvert, et le glisse aussitôt dans le vagin, qui n’oppose aucune résistance.
- C'est pas grave, ce n'est que du foutre, donc tu n'as rien à craindre. Par contre, maintenant, tu vas encore te branler, mais avec le gode dans la chatte...
Bien qu'elle soit repue, et bien moins excitée, à ce moment-là, autant pour faire plaisir, que par plaisir d'obéir, elle recommence à tripoter le bouton du bonheur. Et, aussi incroyable que ça puisse paraître, rapidement, elle recommence à chanter de joie.
Aurélien, reviens lui placer le bandeau sur les yeux, puis se redresse. Il referme son jean, profite que sa ceinture soit en hors des passants, pour en claquer deux coups sur chaque sein. Ensuite, il repasse la ceinture dans les passants en ordonnant encore :
- Continue à te branler, plus vite, plus fort, ma salope. Fais-toi jouir, je t’autorise...
Alors que la belle repart au pays des mille et un plaisirs, l'homme tourne les talons, sort de la chambre, puis de l'appartement.
Après ce nouvel orgasme, la blonde tombe dans un profond sommeil. Entre l'alcool, l'excitation, les plaisirs, les douleurs, tout concours à ce qu'elle dorme pendant plus de deux heures et demie.
Quand elle se réveille, il est déjà près de dix-sept, et alors qu'elle se souvient des récits de l'homme, dans la voiture cette nuit. Elle se dit : baiser avec un gros mytho (rien à voir avec le célèbre ministre des Affaires étrangères de l'URSS, Andreï Gromyko) ça porte malheur.
Sûrement, car dès le lendemain, elle aura d'importantes brûlures à la chatte, suite à une vaginite copieuse.
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