Mamie cynophile
Marc et Agnès, après avoir longuement discuté sur le net, avaient fini par se rencontrer.
Elle, une grosse salope de soixante-treize ans, ronde et Gironde, fausse blonde, à la chatte rasée, pour éviter d'avoir des poils gris. Elle était assez timide, et avait quelques maux pour s'ouvrir aux hommes. Elle avait beaucoup souffert, par des mecs peu scrupuleux, qui avaient abusé d'elle, de sa gentillesse et de son confort. Elle avait parfois trouvé réconfort auprès de la gent féminine, mais elle n’était pas vraiment lesbienne.
Lui, un gros porc grand et gras, qui avait été jadis bel homme, mais qui, vieillissant, souffrez d'un diabète important qui lui avait enlevé toute possibilité d'érection. Il avait eu une vie très mouvementée côté cœur, encore que là, on pourrait plutôt dire côté cul. Si au début de sa vie, il avait beaucoup trompé son épouse, puis ses compagnes, avec la maturité, il avait trouvé des partenaires dans le milieu libertin, donc plus besoin de les tromper. Entre deux relations longues, lui aussi avait tâté de la bisexualité, et il faut bien reconnaître, qu’il avait pris goût aux ambiances de back-rooms et autres saunas masculins. Amis en vieillissant, il n’avait plus eu que le seul rôle passif.
Les deux compères réussissaient tout de même à bien s’amuser sexuellement. Par des caresses vicieuses et perverse, des jeux parfois bizarres, souvent étranges, et des perversités avec bien peu de limite.
Un peu fatigué des gods en plastique et des légumes, pour donner du plaisir à son amie, un jour, Marc lui propose une partie à trois.
Agnès, bien que timide, ayant vécu ce genre de chose dans un passé fort lointain, et qu'elle accepterait bien volontiers, mais qu'elle ne voyait pas comment ça pourrait se passer !
- Rassure-toi, quand mon complice arrivera, tu ne le verras pas, car je te banderai les yeux avant.
- Ça me fait peur, mais avec les yeux bandés et si tu me tiens la main. Je veux bien essayer...
Quelques jours plus tard, alors qu'Agnès ne s'y attend pas du tout, Marc arrive et lui dit tout de go :
- Va t’habiller sexy… Le jour est enfin arrivé. Après, je vais te bander les yeux.
La femme, mi-figue mi-raisin, va tout de même retirer sa robe et mettre des bas et un porte-jarretelles. Le fin porte-jarretelles, avec un élastique très fort, Marque la grosse panse. Les attaches en dentelles des jarretelles ne collent pas à la peau, mais dessinent une sorte de pont, entre la panse et le haut des cuisses. La blonde attache chaque jarretelle, en coinçant dans la pince, un peu du bas. Elle se redresse pour permettre à son ami d'admirer le spectacle. Sa chatte encadrée par les jarretelles, comme une sorte de petit théâtre.
Quand le couple est de retour dans la grande pièce, qui sert de salle à manger et de salon, l'homme lui pose un bandeau sur les yeux et s'assure qu'elle ne voit pas à travers. Puis, il la laisse debout au milieu de la pièce et va ouvrir la porte, derrière laquelle son pote Didier se tient.
L’hôte, sans un mot, portant son index devant sa bouche, perpendiculaire à ses lèvres, le mène devant la femelle et l'autorise à la tripoter en lui disant :
- Je te présente Agnès, une sacrée salope, ni vu, ni connu !
Tout de suite, le nouvel arrivant jette ses mains en avant et vient palper les gros nichons offerts.
- Oui, je vois, j'aime nichons mous… Mais si doux.
Il pelote les mamelles pendant encore quelques secondes, puis délègue une main pour tâter la vulve, elle aussi à l’air.
- Sa chatte est détrempée ! Elle vient de se pisser dessus ?
- Non, elle est très excitée.
Alors l’homme s’enduit le majeur de cyprine, en le passant entre les grandes lèvres très ouvertes, comme souvent chez les grosses, ensuite, force la bouche de la femelle et disant :
- Suce… Puisque ce n’est pas de la pisse.
La fausse blonde ne se fait pas prier et se met à sucer ce doigt goûteux comme si c’était une bonne pine. Quelque part, dans sa tête, ses tocs s’estompent, notamment cette satanée agoraphobie, qui la fait tellement souffrir de ne plus voir personne, ou presque. Là, bien à l’abri, dans ses yeux clos (merci Bernard), elle goutte le plaisir retrouvé de la pluralité masculine.
- Voilà, maintenant, je te propose de passer dans la chambre, pour les choses sérieuses.
Marc prend alors sa compagne par la main, et lui donne l’impulsion pour aller dans la pièce voisine. Et, même si elle se déplace aisément dans le noir, il la guide tout en douceur. Il est suivi de près par Didier, qui n'arrête pas de peloter le gros cul, qui se dandine devant lui.
Une fois dans la pièce, l’amant met les volets sur projection, puis propose à son pote :
- Mets-toi nu et allonge-toi sur le dos.
Dès que le nouvel arrivant est dans la position proposée, après s’être très vite déshabillé, l’hôte guide sa partenaire pour qu'elle finisse assise sur le ventre de l'homme. Et, il l’aide encore pour qu’elle s'allonge, son dos contre le ventre de l'inconnu, qu'elle n'a jamais vu.
- T'inquiète pas, Didier, je vais guider ta pine dans le trou du cul chaud. Tu vas voir, c'est un régal, son pétard.
Joignant le geste à la parole, Marc s’empare délicatement du zob de son complice et le guide juste contre le sphincter qui frétille déjà.
L'homme et la femme se laissent faire et bientôt, la pine glisse doucement dans le rectum. Le visiteur ne veut pas être brusque, son copain lui a expliqué que sa compagne est tout de même assez timide, et qu'elle n'a jamais eu ce type de relation.
- Alors ?
- C'est vrai qu’elle est confortable du cul ! Elle a dû prendre des kilomètres de bites dans le fion ! C'est pas possible…
- Tu ne crois pas si bien dire !
- Hein, ma vieille truie adorée, tu en as pris dans le cul, non ?
- Ho oui ! Et j’adore ça…
Tout cela n’empêche pas le nouvel amant de bien limer ce cul gras et confortable. Ça glisse tout seul, sûrement que la salope s’est enduite le conduit avec du lubrifiant. Ses mains ne restent pas inactivent, il pétrit les grosses mamelles avec vigueur.
Agnès est au paradis, cette pine vigoureuse, ces mains fortes, tout concourt à son plaisir. D’ailleurs, elle commence à l’exprimer de plus en plus tapageusement.
Marc se déplace pour venir prendre son caméscope sur sa table de nuit.
- Rassure-toi, le film n’est que pour notre archive personnelle, il ne sera pas sur le net.
- D’accord, mais j’en veux une copie, s'il te plaît.
Ensuite, l’hôte va allumer la lumière du plafonnier, et il commence à filmer, en faisant le tour du couple qui copule. Après deux minutes de plans généraux, il vient faire un gros plan sur la queue dans le gros cul.
La belle ronronne toujours au rythme des allés et venus dans son rectum. Ayant encore eu la colique le matin même, elle sait pourquoi la sodomie est si aisée, d’ailleurs, cette lubrification naturelle, même si sale, l’excite toujours beaucoup.
- Parfait ma belle, on voit bien ton gros cul de sale truie, t’es géniale !
Sur ces bonnes paroles, Marc va poser son appareil sur la commode, tout en l’orientant vers le couple et en le laissant tourner. Il sort de la pièce en lâchant, d’une voix devenue étrange :
- Je reviens tout de suite.
En ouvrant la porte du cellier, il caresse le gros molosse, dans les tons fauves, musclé. Ce n’est pas un chien de race, mais il est très affectueux et toujours prêt à rendre service à sa propriétaire. L’amant sait pertinemment que la maîtresse de maison se fait régulièrement lécher l'abricot, par cet animal. Elle lui a même avoué, qu'il arrivait qu'elle se mette à genoux et que son chien la couvre, verrouille, lui remplisse le vagin. Elle reçoit alors ce mélange si particulier de sperme liquide et d’urine de la bête.
Il se munit de quelques croquettes et attire la bête avec lui. Tout en marchant, il écrase quatre croquettes entre les doigts de sa main droite. Il entre dans la chambre, et là, il se dirige vers le couple. Il glisse sa main droite entre les cuisses rondes, qui bougent toujours en cadence, et tripote la vulve de sa compagne avec ses doigts, qui sentent fort la nourriture de l’animal.
L’odeur attire le clébard, qui vient tout de suite lécher le coquillage de sa maîtresse.
Cette dernière est toujours dans les vocalises du bonheur. Elle sent qu’un orgasme terrible est en préparation. De plus, maintenant, la langue magique, de son compagnon à poils longs, vient lui laper subtilement toute la vulve, un double bonheur. De plus, savoir que le lubrifiant naturel, n’est autre que ses propres excréments, sans que son enculeur ne s’en rende compte, ajoute encore à son état proche de l’explosion.
- Alors mon ami, il est bon le cul de ma salope ? Pas trop serré ?
- Ah oui, c'est un plaisir de l'enculer, ta copine ! Et on voit qu’elle aime ça, elle en redemande !
Elle est grasse du fion et des mamelles, mais c'est de l’ambroisie pour le vice. Dis-le que tu es une grosse enculée, ma Chérie.
Alors qu’elle commence à confirmer son état de grosse enculée, arrive un violent orgasme, qui lui fait pousser un long cri et la fait trembler de tout son corps. C'est étonnant de voir sa masse trembler, comme du pudding anglais.
Marc la laisse aller au bout de son plaisir. Il comprend que celui-ci est des plus intense. Il attend donc que les tremblements se calment, tout comme son pote d’ailleurs. Puis, s’adressant à la grosse femelle, il questionne :
- Tu sens qui te lèche le bonbon, là ?
- Oui ! C'est mon bon Dagobert !
- Oui ! Oui, et ton chien doit même lécher la pine de Didier !
Lui, qui jusqu’à présent s’était essentiellement occupé du plaisir de la dame, est, bien malgré lui, excité à l’idée qu’un clebs lui lèche les joyeuses. Il a bien senti cet anus, plutôt large, se resserrer sur sa queue, quand la vieille a crié son bonheur. Et, à présent, il sent le sphincter se relâcher progressivement. Il apprécie la sodomie, car justement, en général, le muscle est plus costaud, il sert plus fort sa queue, surtout que celle-ci est de bonne taille, sans être gigantesque.
Elle adore se faire triturer les boîtes à lait, par des mains douces, mais puissantes. Là, elle est comblée de ce côté-là. Son amant du moment semble savoir exactement quel est le bon moment pour lui pincer les tétines. Pour éviter d’écraser son bienfaiteur, maintenant qu’elle a repris ses esprits, elle prend appuie sur ses jambes et ses bras.
Marc a repris son rôle de metteur en scène, mais laisse les choses évoluer sans intervenir.
Didier commence à amplifier, à nouveau, ses mouvements. Il lime copieusement ce gros cul doux, souple, mais peu serré. Il se fait un cinéma dans sa tête sur le chien léchant cette chatte odorante. À présent, il commence à perdre le contrôle et à bourrer ce fion comme un salaud.
Visiblement, Dagobert aussi donne des signes d’excitation intense. Il passe sa langue sur toute la vulve détrempée, mais aussi sur le ventre rond, sur le sexe de l’homme et sur ses couilles. Parfois, il s’éloigne un peu de ce théâtre aux saveurs, mais très vite, après avoir tourné sur lui-même, il revient à sa priorité, sa friandise.
À nouveau, également, la vieille se met à aspirer fortement, puis, à chanter. Elle n’en revient pas, mais elle sent qu’un nouvel orgasme arrive à grands pas. Les coups de langue sur son minou lui donnent des frissons, et cette pine, qui lui vrille les entrailles, la met en transe.
- Ha oui ! Encore… Défonce-moi l’cul !
- Tiens… Prends ça, grosse salope...
Même le clébard s’y met en poussant de petits cris stridents. Lui aussi donne des signes d’une grosse envie de se vider les couille dans la mamie.
Et voilà que mémé par dans les étoiles. Le décollage est foudroyant, et ses cris surpassent, en intensité, le décollage de la fusée Ariane ! Comme la première fois, elle tremble de partout.
Cependant, Marc a une autre idée pour la suite de l'après-midi. Aussi, il prend le chien par son harnais et le fait de sortir de la pièce. En refermant la porte, il dit à son ami :
- Vas-y, donne-t’en à cœur joie dans ce trou du cul si accueillant. Tu peux lui engluer le pot, elle adore le foutre.
Toujours en train de crier, Agnès donne de furieux coups de cul, pour, effectivement, recueillir tout le jus de couilles de cette bite si efficace. Elle ne connaît pas le propriétaire de cette queue admirable et elle apprécie justement de ne pas le connaître.
Maintenant, s’en est trop pour Didier, il ne peut plus se retenir. Surtout que l’anus de la vieille vient de se resserrer sous le coup de l’orgasme. C'est donc dans cet étau de chair, dans un cri de loup en chasse, qu’il éjacule en de courts jets puissants. Son corps se raidit au possible, il s’arque-boute sur lui-même.
Après avoir enfermé Dagobert dans le cellier, Marc passe par le salon quand il entend son pote hurler. Aussi ouvre-t-il la porte de la chambre et s’y introduit-il sans bruit. Là, contemplant le tableau, il attend patiemment.
Quand les deux protagonistes reprennent leur souffle, le vieil homme aide sa compagne à se remettre debout. Une fois fait, il aide également son pote à se relever. Prenant la main de la belle, il sort de la pièce en la guidant. Ils se retrouvent tous trois dans le salon. Là, il lâche à main chaude de son amie et lui impose :
- Reste debout, que ton amant du jour puisse t’admirer. Pour le moment, il a surtout vu ta nuque !
Il propose le canapé, en face de la blonde, à son pote. Lui va chercher une bouteille de champagne au frigo.
En revenant et posant trois verres et la bouteille sur la table basse, il reprend sa copine par la main, la fait tourner d’un demi-tour et l’aide à se pencher en avant en lui disant :
- Penche-toi bien en avant, les jambes écartées, tu attrapes tes chevilles.
Malgré sa corpulence, la vielle femme s’exécute. Cette position lui écarte la vulve et ses grosses fesses. Un mince filet d’un jus translucide commence à couler de sa chatte. Mais bientôt, c'est de son anus béant que sort un jus marron clair.
- J’aime quand elle fuit des trous comme ça ! Ça signifie qu’elle a eu beaucoup de plaisir !
- Tu m’étonnes ! Et elle tient toujours mieux sur le dos qu’une biquette sur ses cornes !
- Ouais, tu as vu, c'est une affaire !
- C'est rien de le dire, et l’age ne change rien à l’affaire, justement.
- Vous êtes de gros cochons, tous les deux !
Quelques secondes lus tard, Marc reprend encore la main de sa complice et la guide pour qu’elle s’asseye dans le fauteuil en face du sofa. Ensuite, il ouvre la bouteille de champagne et sert trois coupes.
Les trois compères commencent par commenter le délicieux breuvage tout pétillant de vitalité et finissent par deviser joyeusement sur les plaisirs de la chair. Puis, alors que rien ne le laissait présager, Marc propose à son ami :
- Ça te plairait un petit spectacle, d'un bon chien, qui baise une bonne chienne ?
- Tu demanderais à un malade s’il veut la santé !
- Bande de gros porcs, vous voulez que mon Dagobert me baise devant vous ! Et bien qu'à cela tienne…
Marc se lève et va chercher l’animal. Il suit son maître, en remuant la queue, tout joyeux, comme s’il savait qu’il allait baiser sa chère maîtresse. Arrivé dans le salon, l’hôte vient aider sa compagne à se lever du fauteuil, la guide et l’installe à genoux devant le canapé, les coudes sur l'assise.
Tout de suite, Dagobert vient mettre sa truffe au-dessus des grosses fesses de la vieille dame. Très vite, il commence par lécher la vulve et la vallée cuillère en même temps. L’odeur du cul merdique, du foutre et celles qui persistent des croquettes, semblent le rendre fou. Bientôt, il développe un sexe large et long, bien raide.
Si les genoux de la femelle sont un peu douloureux, sur le sol dur, elle apprécie, néanmoins, ces coups de langue bestiale.
- Alors ? Tu en penses quoi ?
- C'est super excitant !
Puis, s’adressant à la femme, demande d’une drôle de voix :
- Tu aimes ça, hein salope ?
Avec une voix tout aussi remarquable, Agnès marmonne :
- Oh oui ! J’adore...
Le chien, très excité, passe sa langue de la vulve à l'anus et de l'anus à la vulve. Il lui arrive même parfois de lécher le haut des cuisses, pour récupérer la cyprine, qui s’écoule abondement. Bientôt, il a une grosse érection. Il devient de plus en plus excité et tourne sur lui-même, revenant régulièrement donner un grand coup de langue.
À chaque fois qu’elle se fait laper le coquillage, l’hôtesse pousse un petit cri aigu.
Tout d'un coup, Dagobert se met en position pour la saillie. Il passe ses pattes avant, sur le dos de la femme. Il sautille et réalise des gestes désordonnés du bassin, a priori, en espérant que sa pine rentre dans cette moule odorante.
À ce moment, Marc vient à la rescousse et tenant les reins de l’animal, d'une main ferme. De l'autre, il guide le sexe canin vers l'entrée du vagin.
D'un coup le clebs rentre sa bite dans le sexe de la femelle. Là encore, il donne une série de coups désordonnés, si bien que son sexe ressort. Mais très vite, il se remet en position et recommence. Cette fois, le sexe rentre tout seul, au bout de deux ou trois coups de rein hasardeux.
Mamie est follement excitée. Elle adore quand elle sent cette pine qui rentre un peu, comme si elle subissait un viol. Elle ne sait pas ce qu'elle aime le plus, dans cette relation bestiale. Si son plaisir n'est que sexuel et dû à la pine de cette brave bête. Ou alors, si une partie perverse d'elle-même, apprécie de devenir une chienne lubrique, au propre comme au figuré. Quand elle est dans cet état d'excitation, souvent, elle repense à son défunt mari. Un gros cochon, qui lui avait donné tant de plaisir, tout au long de sa vie maritale. Il lui avait fait découvrir des tas de jeux incroyables, pervers, vicieux, ludiques et même parfois un peu douloureux. Ce brave mari était parti bien trop tôt. Il était tombé raide mort, alors qu'elle le suçait, après une grosse sodomie.
Le clébard pilonne brutalement le vagin de la salope. Mais, ces mouvements désordonnés font qu'il ressort, qu’il rentre, qu’il ressort encore. Bientôt, à force de ce petit jeu, il s'enfonce plus profondément, jusqu'à ce que la base de son sexe gonfle à l’intérieur du vagin détrempé. Là, il reste comme figé pendant dix minutes. Durant tout ce temps, il éjacule et pisse en même temps.
Agnès est comme figée, elle respire faiblement et sent son vagin se remplir. Son esprit bat la campagne.
Bientôt, la base du sexe se dégonfle et le chien ressort sa bite de l’antre féminin. Il n’est toujours pas calmé, continue à sauter partout et à venir lécher la foune de sa maîtresse.
Rapidement, la garce se redresse et se penche sur le côté, puis se met sur le dos, et appelle Dagobert. Il vient se faire caresser. La bête en profite pour venir encore laper le visage. Agnès sort alors sa langue, comme si elle voulait rouler une pelle à l’animal. Ce qui finit par se faire. C'est un spectacle particulier, que cette grosse femme en train de jouer vicieusement de la langue, avec le meilleur ami de l’homme !
Marc voit sa compagne, aux prises avec la bête, qui commence à s’essouffler. Il a un peu de mal à récupérer le chien. Toutefois, il l'attrape par son harnais, l'emmène dans la cuisine. Là, il ferme la porte.
Tranquille, la femelle est encore en train de reprendre son souffle, après cet après-midi si torride, elle a passé beaucoup de temps à crier son plaisir.
- Cette salope avec son chien, m’a foutu une gaule ! Je me ferais bien sucer maintenant, déclare Didier, d'une voix d'une voix rauque.
- Je pense qu'elle te doit bien ça ! Puis se tournant vers sa partenaire, Marc demande encore :
- Qu'en penses-tu ?
Tout en respirant fortement et en recherchant désespérément de l'oxygène frais, la blonde souffle un "oui" étouffé.
D'un bon, l’invité se lève, montrant sa queue raide, comme un rat qui va aux pommes, et vient se mettre sur le côté de la vieille femme et lui enfourne sa pine dans la bouche.
La fellation ne dure pas très longtemps, car l'homme, même s'il a déjà joui dans l'après-midi, et de nouveau très excité par le spectacle qu’il vient de voir. Bientôt, dans un grognement digne d’un ours et qui l’on a piqué son pot de miel, il laisse partir de puissants jets chauds, au fond de la gorge, de sa coéquipière.
- Comme elle est bonne, ta salope !
- Je confirme ! Comme quoi, tu vois, c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe… Elle adore le cul, elle est un peu timide, assez âgée, mais rien n'est parfait.
Puis se tournant vers sa partenaire, il lui demande encore :
- Aimerais-tu voir ce nouvel amant ?
- Oh non ! J’aurais trop honte ! S'il te plaît, ne touche pas mon bandeau...
L'après-midi se meurt tranquillement et, après encore un verre ce délicieux nectar, Didier prend congé de ses hôtes.
Une fois la porte d’entrée refermée et Marc de retour dans le salon, alors que la femme porte toujours son bandeau, sans lui retirer, il questionne :
- Alors Agnès, tu en as pensé quoi, de cette petite après-midi ?
C'est incroyable le plaisir que j'ai eu ! Je ne pensais pas cela encore possible à mon âge ! Et en plus, qu'un homme me voit, en train de baiser avec mon chien ! Ça m'a mis le feu à la chatte, tu ne peux pas t'imaginer.
- Bien, c'est donc une expérience à réitérer, n'est-ce pas ?
- Ah oui mon amour ! Cette fois, je suis follement amoureuse de toi.
- Et de Dagobert aussi, j'imagine ?
Elle acquiesce d'un signe de tête. Et, aussi étrange que cela puisse paraître, elle admet être, également, amoureuse de son chien, même si c'est le meilleur ami de l’homme, c'est aussi un très bon amant de la femme !
- Parfait, j'avoue que de te voir rouler des pelles à ton clebs, ça m'a excité terriblement.
- Moi aussi ! Je ne l'avais jamais fait jusqu'à présent, il n'a pas forcément bonne haleine. Mais, c'est super excitant, je trouve.
- Lui as-tu déjà fait une grosse pipe, jusqu'à ce qu'il te jouisse dans la bouche ?
- Ah non, ça jamais...
- Nous verrons cela un autre jour donc. En attendant et même si je ne peux plus bander, tu m'as tellement excité, que je voudrais que tu suces ma bite molle.
La vieille salope, toujours habillée uniquement de ses bas et de son porte-jarretelles, avec son bandeau sur les yeux, attend fébrilement, assise dans le canapé.
Son compagnon a retiré son pantalon, et, comme il ne porte jamais de caleçon, se retrouve la bite à l'heure. Il vient au bord du sofa, se penche entre les grosses cuisses ouvertes et offre sa vieille nouille à sucer par cette bouche, qui prend tant de choses disparates.
Mamie gobe ce membre mou et essaie de lui redonner vigueur. Mais, au bout d'un quart d'heure, il faut bien se rendre à l'évidence, cette vieille bite n’aura plus d’érection.
Toutefois, Marc apprécie de se faire sucer, même si au fond de lui, il est un peu honteux de ne plus pouvoir bander.
- J'ai envie de te faire un lavement à la pisse...
La vieille femme est un peu surprise de la déclaration de son amant. Mais, après cette fin de journée, elle est prête à peu près tout et n'importe quoi. Aussi lâche-t-elle un petit "oui".
Marc se rend alors dans la cuisine, non sans avoir passé une main douce dans les cheveux de sa compagne et lui avoir demandé de ne pas bouger. Une fois dans la pièce, il récupère un entonnoir, et revient dans le salon.
- Vas-y mets-toi à quatre pattes.
La vieille blonde exécute l'ordre et se remet à quatre pattes par terre, devant le sofa.
- La tête dans les mains, que ça fasse bien remonter ton cul.
Là encore, l'ordre est suivi des faits.
- Bien, ne bouge pas, je vais te mettre l'entonnoir dans le cul.
Et joignant le geste la parole, l'homme insère entonnoir dans l’anus dilaté de la mémé. Toutefois, l'objet ne tient pas en place, aussi impose-t-il encore :
- Tiens-moi l’entonnoir, je vais te pisser dans le cul.
Bien entendu, Agnès obtempère et délègue sa main droite pour tenir l'objet, bien en place dans son fondement.
Là, l'homme se positionne de part et d'autre des jambes de la mamie, fléchit sur les jambes, et guide sa vieille pine en face de l'objet en plastique. Une fois en place, il ouvre les vannes et un jet jaune clair, doré, chaud entre dans le corps la femme mûre.
- C'est dingue ! Mais j'ai l'impression que c'est un lavement classique, avec de l'eau à l’exacte bonne température !
- C'est un peu ça... Il ne faut pas oublier que l'urine n'est jamais constituée que de quatre-vingt-quinze pour cent d'eau et de cinq pour cent de déchets seulement. Donc là, c'est bien une grande quantité d'eau, que tu te prends dans le cul.
- Oui, tu as sûrement raison d'un point de vue physiologique, mais l'idée, que tu me pisses dans le cul, m'excite, c'est fou ! Je peux me branler en même temps ?
- Oui, vas-y, je t'en prie. Bricole-toi le démarreur à plaisir, j'ai d'ailleurs presque fini.
Et cette fois, la tête sur le sol, c'est avec la main gauche, qu'elle vient tripoter son clitoris. Très vite, elle donne des signes de jouissance et elle commence à ronronner comme une vieille chatte.
- Vas-y, fais-toi plaisir. Je ne peux pas te coller mon sperme dans les entrailles, mais tu as quand même, un peu de ma sauce avec ma pisse.
Ces mots excitent encore plus Agnès. Et bientôt, elle a un orgasme terrible et se met à crier. Ce faisant, elle ne contrôle plus du tout son sphincter, qui est déjà assez large, et un jet d'urine, mêlé à ses excréments, sort, avec pression, de son anus.
- Vas-y, ma cochonne, fais-toi plaisir... Tu es en train de chier de la pisse, tu te rends compte, à ton âge...
Dans un dernier sursaut, la vieille s'écroule au sol. Sa main toujours sur sa vulve. De ses fesses, continue à suinter ce petit liquide brunâtre. Elle tremble de tout son être et n’arrive pas à reprendre son souffle.
- Alors là ! Si ça, ce n'est pas un orgasme, je me demande bien ce que c'est ! S'exclame son vieil amant.
Ceci dit, il l’aide à se relever et à aller s’asseoir dans un des fauteuils. Là, il la regarde reprendre son souffle difficilement, avec son bandeau toujours sur les yeux. Cela prend tout de même un gros quart d'heure.
- Oh putain, j'ai cru mourir...
- Tu ne devais pas en être loin, vu tes réactions !
- Il faut absolument qu'on refasse ça, un de ces quatre...
- J'avoue que ce qui m'exciterait le plus au monde, c'est de te voir faire la truie impudique, devant ce beau coiffeur. Tu sais, celui qui plonge toujours son regard dans tes décolletés, sans vergogne. Et qui te suit quand il te voit en ville.
- Tu es fou ! Je n'oserai jamais.
Commentaires
Enregistrer un commentaire