Jeunes salauds versus vieilles enculées

 

Quelle soirée se dit Mike. Bien sûr, il avait merdé en allant coucher avec cette voisine d'un jour, qu’était la mère de cette ancêtre qui occupait l’appartement d’à côté. Mais jamais, il n'aurait pensé que la bonne-femme raconte ses frasques à sa régulière. Résultats, soirée pourrie, engueulade et maintenant, il était à la porte de ce qu'il considérait comme étant chez lui. Le voici dans un bar à se taper une bière pour réfléchir.

Ne cherchons trop que faire, il décide d'aller au "boîtier", une boîte de nuit réputée pour ses femmes âgées, qui viennent chercher des petits jeunes. Il se dit qu'il aura peut-être l'occasion de trouver le gîte et le couvert, moyennant une partie de trou madame.

Dans la boîte, il reste au bar pendant une petite demi-heure, à observer ce qui se passe autour de lui. Effectivement, pas mal d'hommes assez jeunes qui dansent avec des femmes plus proches de la soixantaine qu'autre chose. Quand passe un morceau, qui lui plaît, il va sur la piste et commence à danser.

Une femme, dans les soixante, soixante-cinq ans, lui fait des grands sourires. Bientôt, c'est la série de slows qui commence. Il prend la mémé par la main et danse en slow avec elle. Alors qu'il essaye d'engager la conversation, la dame lui fait comprendre qu'elle a du mal à entendre, avec la musique ambiante, qui est tout de même assez forte. Et là, tandis qu’il ne s'y attend pas, la vieille tourne la tête et vient l'embrasser goulûment.

Alors qu’il promène ses membres sur le corps, la mamie, elle, s'occupe de lui faire glisser la fermeture Éclair de la braguette et de mettre sa main dedans.

Instantanément, le jeune homme bande et bien que surpris, prends-la dextre de l'ancêtre, et l'emmène, vers ce qui semble être les toilettes. Là, il y a un grand espace avec un canapé, deux portes, les toilettes pour hommes d'un côté, les toilettes pour femmes de l'autre. La troisième porte est pour les handicapés. Sachant le lieu généralement plus vaste, et ici, plus discret, c'est cette porte qu'il décide de franchir avec sa conquête. Dès que le couple est à l'intérieur de la petite pièce, Mike se retourne et verrouille la porte d'entrée, il entend :

- Tu préfères fermer ! Bah, tant pis.

À ce moment, le jeune comprend qu’il a affaire à une sacrée vieille chienne enragée. Ça le stimule pour aller bien plus loin et bien plus vite. Alors qu'il lui roule encore une pelle magistrale, il défait les boutons du chemisier, et bientôt, met à l’air les vieilles mamelles, libres de toute entrave de sous-vêtement.

La mémé est vêtue d’un chemisier blanc à jabot avec les bras en dentelle, coincé dans sa jupe mi-longue. Il est à présent pendant et n'est plus retenu que par la jupe Elle porte une jupe grise qui descend jusqu’au-dessus du genou, des bas noirs et des escarpins à boucle dorée, noirs eux aussi. Les vieux nichons tombent lourdement en étirant la fine peau qui les attache encore au corps.

Le jeune salaud en profite pour les malaxer, ce qui l’excite encore davantage. Puis il se penche et vient prendre le téton gauche dans sa bouche.

- T’aime ça, mes tétés ?

Seul un borborygme guttural répond à la question. Il continue sa succion comme s’il s’agissait d’une cane en sucre d’orge de Noël. Son autre paluche va se promener sous la jupe ample, pour découvrir des bas et, plus haut, une vulve lisse dépourvue, elle aussi, de sous-vêtement.

Mais ces amuses-gueule ne peuvent durer trop longtemps, la vieille commence à donner des signes d’impatience. Elle a envie, besoin même, d’un petit quelque chose dans le ventre. Elle mouille copieusement et ses lèvres semblent s’ouvrir d’elles-mêmes.

Il pousse alors doucement sa conquête en arrière, jusqu’à ce qu’elle ait ses fesses contre le rebord du lavabo. Une fois la position atteinte, il remonte la jupe, histoire de mettre à l’air libre la chatte lisse. Ensuite, il défait le bouton de son pantalon et laisse choir le froc avec son caleçon qui descend mollement le long des cuisses puissantes et libère sa queue raide, comme celle d’un rat qui va aux pommes. Il applique l’engin contre l’entrée de la grotte féminine, entre les petites lèvres luisantes de la promesse de plaisir.

- Oui, baise-moi comme une vieille chienne.

Alors, sans fioritures, le jeune plante sa pine dans le ventre de la mémé. Il se met à lui limer la moule avec vigueur, sans retenue, avec juste une grosse envie de jouir. L’instant est magique, et il se dit que les vieilles sont trop faciles, bien plus que les jeunes pétasses de son âge.

Elle mouille tellement, que du jus de chatte s'échappe du minou et coule sur la peau des cuisses un peu fripée, puis le long des bas. Cette rivière ne tarit pas, au contraire, ce sont les grandes eaux. Et dire que certaines femmes âgées se plaignent de sécheresse vaginale, pense la vieille salope en chaleur.

- Tu aimes ça, te faire piner, hein, vieille salope !

- Oui, je suis une vieille truie. Baise-moi avec ta jeune bite, fais-moi grimper au rideau, petit salaud.

Stimuler par cet aveu de dépravée, il redouble de vigueur et baise de façon furieuse cette vieille cramouille.

De son côté, la mémé se met à crier son plaisir. Sa chatte est ravagée par les coups de boutoir, et tout son corps usé, par des années de débauche, est parcouru de décharges électriques, qui sont autant d'ondes de plaisir intense. Bientôt un orgasme terrible vient la cueillir et elle pousse un grand cri, qui finit dans en une longue plainte aiguë.

Lui, dans ce tourbillon de stupre, ne fait aucune délicatesse et jute tout son venin, dans cette boîte à bites surannée. Il remplit de son sperme cette mémé et s’affale ensuite contre elle, qui tombe légèrement en arrière, les épaules contre la glace au-dessus de l'évier.

Au bout de quelques instants, mamie, la voix étrange, la bouche sèche, annonce :

- Merci mon jeune ami, c'était très bon, mais maintenant, il faut que tu me laisses, que je me rafraîchisse... À tout de suite.

Mike a tout juste le temps de remonter à la hâte son jean, de remettre sa bite dedans et de le fermer. Il n’a pas vraiment le loisir de remettre ses vêtements en forme. Presque poussé dehors, il se retrouve devant la porte des toilettes handicapées, alors que la porte se referme sur lui. Comme il l’entend se reverrouiller, il décide de retourner au bar, en attendant que la mémé ressorte des toilettes.

Tandis qu'il l’attendait, il voit la femme revenir des toilettes, et, sans un geste pour lui, se diriger vers une table où un vieux monsieur est vautré dans un fauteuil. Là, elle se penche sur l'homme, l'embrasse visiblement, et s’assoit à ses côtés.

Ça doit se voir que le jeune mec est dépité, car un type, à côté de lui, lui tape sur l'épaule et engage la conversation :

- T'inquiète pas, elle fait le coup à plein de jeunes. Elle va se faire tirer dans les chiottes, et quand elle revient, elle retourne auprès de son mari.

Merde, moi qui pensais trouver une mamie pour le gîte et le couvert, au moins quelques jours, c'est raté ! pense-t-il alors. Puis, il se tourne vers le gars et, en lui souriant et lui répond :

- Salut, moi, c'est Mike. Merci du tuyau...

- De rien, par contre, j'espère pour toi que tu as bâché, parce que comme piège à sida, la vieille radasse se pose là.

- Oui, ment-il d'une voix mal assurée.

Détaillant son correspondant, il lui propose de boire un verre.

Les deux mecs trinquent et boivent un coup ensemble. Ils se mettent à discuter de la raison de leur présence en ces lieux et ce qui les attire pour chercher les vieilles salopes.

Rudolph explique que c'est un gros cochon et qu'il adore les anciennes qui n'ont peur de rien dans le cul. Emporté par son élan, il admet qu’il adore ces vieux pots qui sucent après la baise, voire après la sodomie. Ces enculées du temps jadis, qui acceptent qu’on leur pisse dessus, voire bien pire, du moment qu’elles ont encore des orgasmes.

Mike finit par dire que, s'il aime les vieilles pour un peu les mêmes raisons. Il explique aussi qu’il cherche une couverture pays, comme on dit sur les chantiers. Il aurait bien apprécié de trouver à se faire héberger, au moins pour la nuit.

La soirée se passe tranquillement, les deux nouveaux amis discutent à bâtons rompus et boivent des coups. Bientôt, les lumières blanches de la boîte se rallument donnant le top de départ.

Rudolph propose à son nouveau pote de se revoir le lendemain, vers dix heures, au bar du château. Par contre, pour cette nuit il ne peut rien faire pour lui, vivant chez sa mère, qui, de plus, à tendance à recevoir la nuit des messieurs. C'est une ancienne prostituée, qui tapine encore, histoire de mettre du beurre dans les épinards, pas pour suivre la recette de Marlon Brando, avec le beurre.

Mike, se demandant tout de même si le mec n’est pas un peu mytho, accepte la proposition. Pour lui, cette nuit, ce sera dormir dans la voiture…



Si Mike a mal dormi, ce n'est pas pour autant, qu'il ne s'est réveillé de bonheur. Aujourd'hui, il a décidé qu'il n'irait pas au boulot. De toute façon, aller bosser sans avoir pris une douche, ni un petit déjeuner, ne lui paraissait pas possible. Il a téléphoné au bureau et c'est fait porter malade. Un peu avant l’heure prévue, il se rend au bar du château, dans la vieille ville. Au zinc, il prend un café et deux croissants. Bientôt, son nouvel ami le rejoint et ils entament une petite conversation, dans ce coin relativement isolé.

- En fait, comme je te le disais hier soir, j'adore les vieilles parce qu'elles sont folles de bites, elles sentent qu'elles vont crever, alors elles sont prêtes à tout essayer…

- Oui, tu as raison, elles sont vraiment plus funs et plus cochonnes que les jeunes.

- Ouais, moins jolie, c'est sûr, mais souvent si cochonnes qu'elles te refont bander dans la minute.

- Tu as raison les vieilles salopes, il n’y a rien de mieux. Bon, je vais t'avouer franchement, que si je trouvais une ancienne qui a un peu de pognon, ça m'arrangerait assez en ce moment. Car, je suis en indélicatesse avec ma régulière, je ne suis pas sûr d'avoir à nouveau un toit bientôt. Alors que c'est vrai, si je trouvais une vieille salace capable de m’héberger au moins quelques semaines, ça m'arrangerait effectivement.

- Qu’est-ce qui s’est passé avec ta meuf ?

- En fait, une après-midi, j’étais seul à la maison, et je n’ai plus eu d’électricité. J’ai été frappé chez la voisine, pour lui demander, si pour elle c’était pareil. Elle n’était pas là, c'est sa mère qui m’a ouvert. Une vioque de quatre-vingts balais au moins, en nuisette, les vieilles mamelles affaissées, pas de soutif, pas de culotte ! Elle m’a fait entrer.

- Ha bon ! Une chaudasse ?

- Disons plutôt une vieille folle, Alzheimer, ai-je appris plus tard, qui ne se rend pas compte de son état de délabrement et qui est une vraie saute-au-paf. Cette pouffiasse m’a excité, et finalement, je l’ai piné comme un salaud sur la table de la cuisine.

- Ouais ! Bien joué, man ! t’as déchargé dedans ?

- Oui, je lui ai rempli son vieux sac à foutre. Elle m’a proposé un café, alors m’est venu une idée totalement salace de malade, je l’ai fait venir près de moi. lui ai demandé d’écarter les cuisses, ai tripoté sa vieille besace et ai mis ma tasse sous sa chatte. Son jus de moule avec mon sperme ont coulé dans le récipient, et je lui ai fait boire…

- Ho mon salaud ! Ça, c'est du vice à l’état pur !

- Ouais ! Mais l’ancêtre a raconté ses exploits à sa fille, qui est venu en parler à ma connasse…

- Elle a quel âge ta voisine alors ?

- Dans les cinquante-cinq soixante, je ne sais pas au juste.

Puis, les deux jeunes discutent des grosses mamelles de la patronne d'une cinquantaine d'années. D'un coup, Rudolph propose à son ami :

- Ça te dirait de rencontrer deux vieilles folles ?

- Pourquoi pas, j'ai annoncé à mon patron que de toute façon, j'étais malade et que je ne pourrais pas venir bosser avant lundi prochain.

- D'accord, alors attends-moi, je sors passer un coup de fil et fumer une clope, et je te dis si on peut aller se taper les mémères, cet après-midi.

Finalement, rendez-vous est pris et Rudolph vient le proclamer fièrement au blondinet.

- Ah, une dernière chose, ce sont deux vieilles morues à moitié gouines, je crois. Elles sont chaudes comme la braise, mais ça reste des nanas. Donc quand on les rencontre, il faut surtout pas y aller avec des gros sabots, faut leur faire un semblant de cours, être poli, déférents. Ce sont elles qui, quand elles commencent à être bien chaudes, donneront le top départ des hostilités. Ça te va ?

- Ouais, OK, pas de souci. Les femmes, jeunes comme vieilles, me feront toujours marrer, elles n'assument pas le fait d'être des grosses cochonnes aux yeux de tout le monde… Qu’à cela ne tienne, nous ferons comme tu l'as dit. On va commencer par jouer les jolis cœurs, les chevaliers servants.



En début d'après-midi, Mike passe chercher Rudolph au pied de son immeuble. Le jeune homme est au chômage, plutôt désœuvré, pas de gros diplômes, donc pas vraiment non plus d'avenir flamboyant. Les deux acolytes partent en direction du centre-ville. Le chauffeur trouve une place presque juste devant une boutique de fleurs.

- Attends, je vais leur prendre des fleurs.

- T’as raison !

Dans la boutique, Mike demande à la vieille vendeuse, une femme proche de la retraite, mais pouponnée et tirée à quatre épingles, un bouquet de vingt-quatre roses rouges. Parti comme il est parti, tant pis s’il casse sa tirelire.

En lui faisant un joli clin d’œil, alors qu’elle met le bouquet en forme et l’emballe, la dame lui précise :

- Elle a bien de la chance cette petite jeune fille...

- Non, elles sont pour deux femmes à la retraite…

Rougissant instantanément, la mamie mouille aussi subitement sa culotte en dentelle. Elle serait ravie d’avoir la visite d’un beau petit mec comme ça, dut-elle le partager avec une autre femme.

Les deux compères reprennent la route et le chauffeur se laisse guider jusqu'au parking d'un petit immeuble cossu, sur les bords du Cher. Les deux hommes descendent du véhicule et se pointent devant le portier électronique. Rudolph appui sur le numéro de l'appartement de Marinette. Une fois la porte déverrouillée, ils prennent l'ascenseur. Là encore, le brun fait la leçon à son nouveau complice en lui expliquant à nouveau qu'ils seront chez Marinette, qui est toujours en binôme avec Suzy. D'ailleurs, il se pose de sérieuses questions sur les deux femmes. Mais il faut sauver les apparences, et ne jamais faire de remarques graveleuses. Les deux jeunes gars se présentent finalement devant la porte de l'appartement, le plus jeune appuie sur la sonnette.

C'est une femme d'une soixantaine d'années qui leur ouvre, vêtue d'une grande robe Chamarrée dans les tons parme. Le haut est fermé avec des boutons, mais laisse la place à un beau décolleté qui met cette vieille poitrine en valeur. La robe arrive au-dessus du genou. Des bas violets et des escarpins bleu nuit terminent le tableau.

Dès qu’ils sont dans le vestibule, Rudolph fait quatre bises à l’hôtesse, alors que Mike tend une main polie et offre les fleurs.

- Bonjour madame, enchanté de vous connaître.

- Tu peux m'appeler Marinette, jeune homme. Ce n'est pas parce que j'ai trois fois ton âge, que je me formalise.

Puis, elle les guide jusqu’au salon, en passant par la salle à manger attenante, elle dépose le gros bouquet sur la table. Là, à droite du canapé, est déjà installée une autre femme mûre, Suzy. Elle aussi porte une robe, mais une robe bleue en jean, fermée par des boutons sur le devant sur toute la hauteur. On peut voir les bretelles de son soutien-gorge, car elle semble avoir une grosse poitrine. Laissant ouvert les quatre premiers boutons, elle arbore, elle aussi, un fier décolleté. Elle porte des bas blancs et aux pieds, des mules à pompon.

Mike se place au milieu du canapé, et Rudolph sur la gauche. Marinette, quant à elle, s'installe confortablement dans le fauteuil qui leur fait face.

Suzy, très curieuse, demande alors à son voisin, qui est-il.

Le jeune homme se présente, explique qu’il est un copain de Rudolph. Sous le feu roulant des questions de la curieuse mémé, il avoue être en indélicatesse avec sa compagne, et qu'il a pris quelques jours de congés pour réfléchir à son avenir.

- Qu'est-ce qui s'est passé dans ton couple ?

- En fait, j'ai couché avec la mère de ma voisine. Et ma voisine qui a déjà une soixantaine d’années, en a parlé à ma copine. Le fait que je couche avec une femme très âgée, a choqué ma compagne. S'ensuivit des noms d'oiseaux et on en est resté là, chacun de son côté.

- Alors, vous faites chambre à part ?

- Ça va même plus loin que ça, puisque c'est son appartement et qu'elle m'a mis à la porte. Il me reste ma voiture pour passer de bonnes nuits.

Et tandis que Rudolph discute joyeusement avec Marinette, celle-ci se relève et dit :

- Je vais m'occuper des fleurs, veux-tu venir avec moi, il y a du pétillant à ouvrir.

Les deux personnes se dirigent vers la cuisine, et en passant l’hôtesse récupère son bouquet, qui est toujours sur la table de la salle à manger. Elle sait pertinemment qu'un peu d'alcool aide les jeunes à bander. Mais attention au surdosage, c'est la Bérézina. Aussi une bouteille, seulement pour quatre, est la bonne dose d'aphrodisiaque à offrir. Arrivée dans la cuisine, elle ouvre le frigo, en sort la bouteille de pétillant, pendant qu'elle la tend au jeune homme, elle récupérant un joli vase, met de l'eau dedans et y installe les fleurs.

Une fois la bouteille de Pétillant ouverte et posée sur la table. Rudolph, qui connaît déjà en détail la femme mûre et ce dont elle est capable, ainsi que de ses envies habituelles, se penche vers elle et l'embrasse comme du bon pain.

La mémé répond avec ardeur à ce délicieux baiser, imprévu, encore que.

Le jeune est très entreprenant, et il commence déjà à caresser le corps de l’aînée à travers le tissu du vêtement. Il a tôt fait de remonter la robe pour venir caresser la chatte qu’aucun tissu ne vient masquer. Puis, relâchant sa prise, et toujours dans l’élan de son baiser, il commence à déboutonner le haut de la robe jusqu’à mettre les nichons à l’air libre.

Mais Marinette ne l'entend pas de cette oreille, pas question qu'elle se fasse tirer dans la cuisine, comme une vieille poule, alors que de la viande fraîche est nouvellement arrivée. Et, qu'elle veut en savoir un peu plus, sur ce drôle d'oiseau. Aussi, dans un geste doux, elle se dégage de ce fougueux partenaire.

- Un peu de patience mon ami, tu sais bien que tu auras accès à mon corps, mais pour le moment, nous allons retourner vers les invités…

Un peu déçu, le brun suit la maîtresse de maison, passablement débraillée, ne laissant aucun doute sur ce qui vient de se passer, et retourne dans le salon en passant par la salle à manger. Elle pose le beau bouquet de fleurs sur la table, mais pas exactement au centre. Au milieu par rapport aux côtés, mais en bout de table, à une quarantaine de centimètres de l’extrémité. Elle va chercher quatre flûtes dans le grand meuble.

Pendant que Rudolph, qui porte la bouteille, va la poser sur la table du salon et se rassoit dans le canapé.

Alors que Mike et Rudolph discutent toujours avec ferveur, l’hôtesse vient se mettre juste devant le brun, lui présentant son arrière-train, et sert quatre verres de pétillant.

Durant l’opération, le jeune homme lui tripote les fesses, en remontant assez haut la robe, de manière que tout le monde puisse voir, que la mémé porte des bas. Il donne un petit coup de genou à son pote.

Celui-ci se tourne alors et admire le spectacle de cette femme, qui pourrait être sa grand-mère, en train de servir avec les fesses à l'air, se faisant tripoter par un jeune mec.

Après qu'elle a servi les quatre flûtes, dans un grognement de réprobation, elle repousse gentiment, quoique fermement, la main vicieuse qui lui caressait les fesses. Puis, elle proclame, en saisissant un verre et retournant s’asseoir :

- Je ne vais pas faire le service, vous êtes tous grands, donc, servez-vous et portons un toast à cette après-midi radieuse et ce magnifique bouquet de fleurs.

Mike se penche en avant, récupère deux flûtes, dont une qu’il tend à sa voisine.

Rudolph, lui, récupère son verre et fixe dans les yeux la proie qu’il convoite.

Puis, tous les quatre lèvent leur godet et boivent une rasade du saint nectar. La discussion va bon train, la vieille hôtesse mitraillant de questions le jeune blond, sur ce qu'il fait, sur son travail, mais aussi sur sa vie amoureuse.

Durant tout ce temps, Rudolph, un petit peu mis à l'écart, ronge son frein. Il finit par se lever, repose son verre sur la table basse et va s'asseoir sur l'accoudoir du fauteuil de la maîtresse de maison. Là, dès qu'il peut, passe son bras autour de son cou et l'embrasse tendrement. De sa main libre, il vient finir de déboutonner le chemisier et en profite pour triturer la poitrine ancienne qui tombe lourdement.

Dans cette position, la vieille femme a les seins bien en évidence. Elle ne fait rien pour les cacher, au contraire, il semble qu’elle soit très fière de se faire peloter de la sorte.

C'est Suzy qui fait alors remarquer au jeune blondinet ce que les deux autres sont en train de faire, sans retenue ni gêne.

- Regarde-moi donc ces cochons !

Dès qu'il aperçoit la scène, le sexe du jeune grandit d'un coup, et semble vouloir chercher à sortir de cette prison de tissu. Après la soirée d'hier, et ayant compris que les vieilles salopes n'y vont pas par quatre chemins, il se tourne à nouveau vers sa voisine et, cette fois-ci, c'est lui qui emballe la mamie.

Alors que les deux tourtereaux, laissent chacun leurs mains explorer le corps de l'autre, surtout le sexe pour Suzy, et surtout la poitrine généreuse pour Mike, la bataille de langue fait rage. La belle s’aperçoit de l’émoi qu’elle suscite. Le blond se régale de ces mamelles douces et lourdes. En passant sous la robe, il réalise que la dame porte des bas, et bientôt, il comprend qu’elle ne porte pas de culotte.

Pendant ce temps, Rudolph et Marinette se lèvent du fauteuil.

Le brun emmène la vieille femme, en la tirant par la main, jusqu'à la table de la salle à manger, qui n’est qu’à trois mètres de là. Ensuite, il la culbute sur le plateau en bois, recouvert d'une fine nappe, passe ses bras musclés sous ses cuisses rondes, les remonte le plus haut possible, et vient laper directement la vulve ainsi découverte.

Marinette a la moule qui ressemble à une rose au levé du jour, bien ouverte, toute ruisselante de rosée. Elle se laisse aller et est maintenant allongée sur le dos. Ses nichons mous aplatis sur son torse, sa chatte qui coule impudiquement sous les assauts d'une langue bienveillante. Elle se donne en spectacle, et cela l’excite encore plus et agace sa libido.

De son côté, le couple, formé du blond et de la rousse, s'en donne un cœur joie. Il s'embrasse comme des collégiens se tripotant à qui mieux-mieux. Bientôt, le jeune homme en profite pour lever le plus haut possible la robe de la vieille femme, et passe sa main sur un sexe au poil ras qui, lui non plus, n'est pas protégé par une culotte. Il admire un instant la dentelle des jarretières des bas blancs.

Puisque les hostilités sont ouvertes, pense alors Suzy, allons-y gaiement. Et, de son côté, elle commence à s’occuper du bouton de la ceinture du jean de son partenaire. Puis, de la fermeture Éclair et, enfin, glisse sa main sous le caleçon à la rencontre du membre viril masculin. Celui-ci commence à être déjà bien en forme.

- Belle bête que voilà !

- Merci ma chère…

- Dis-moi, jeune homme, tu vois ce que ton copain est en train de faire à ma copine, tu ne voudrais pas me faire la même chose ?

- Avec plaisir.

Le blond se lève alors rapidement du canapé, descend totalement son pantalon, qui se retrouve à ses chevilles, avec le caleçon à l’intérieur. Tandis qu'il retire ses chaussures, sans défaire les lacets, en s’aidant d'un pied puis de l'autre. Il finit par s'agenouiller entre les cuisses gainées de nylon et se penche sur ce sexe odorant et, lui aussi, luisant de cyprine.

Alors qu'avec les jambes écartées, la chatte s'est ouverte naturellement, dégageant un clitoris turgescent, bientôt la mamie sent une langue, douce et chaude, parcourir son intimité. Elle ne met pas longtemps à couiner doucement. Surtout quand le jeune homme passe les dents sur le clitoris, avec bienveillance, provoquant une réaction électrique. Toute la zone s'enflamme alors et elle commence à dire, dans un souffle qui marque son état :

- Tu es doué, c'est vraiment très bon ce que tu me fais…

Encouragé par ces mots, il continue de plus belle, tout en déboutonnant le haut de la robe. Et, quand la femme se retrouve en soutien-gorge, il pousse la délicate broderie du sous-vêtement, vers le haut, de manière à dénuder les vieux nichons. La poitrine s’affaisse tout de suite, mais elle reste douce au touché.

De son côté, Marinette, qui a la tête tournée vers le canapé, voit ce qui se passe. Et, elle aussi, commence à chanter légèrement sous les assauts de son partenaire.

À cet instant, la chose qui différencie les deux jeunes salauds, c'est que Rudolph, lèche du clitoris jusqu'à l'anus, en ayant forcé par deux fois le sphincter, pour y faire pénétrer le bout de sa menteuse. Alors que le blond reste cantonné à la vulve et au bouton érigé.

La maîtresse de maison demandes alors, en s'adressant à sa copine :

- Et si on se faisait un petit concours de léchage ? qu'en penses-tu, ma belle ?

La rousse, qui ressent de plus en plus d’ondes de bonheur issues de ses reins, répond dans un souffle :

- Oh oui ! D'ailleurs mon chevalier servant est très dégourdi !

- Le mien aussi, il m'a même enculé avec sa langue, deux fois de suite, ce petit cochon !

Il a dû avoir des cours avec de bonnes gouines ! Il n’y a qu’elles pour savoir ce que les autres femmes ressentent.

Puis les deux femelles recommencent à ahaner, toujours assez légèrement, mais le souffle court et se laissant aller aux ondes de plaisir qui remontent de leur bassin.

Mike a bien compris le message de Marinette, et, pour faire bonne mesure, alors qu'il a la langue dans le vagin, à exécuter de petits moulinets, il passe ses bras sous les cuisses de la mémé. Se reculant un instant, la tire vers lui, repousse les jambes vers le haut du corps. Et là, passe sa langue dans la raie des fesses pour venir titiller l'œil de bronze.

- Oh salaud ! Toi, tu t'y connais en femme mûre ! Tu sais ce qui leur fait plaisir…

Marinette, toujours en train de regarder ce que l'autre couple fait dans le canapé, comprend la situation. Et, alors qu'elle allait encourager son jeune amant, est, d'un seul coup, prise d'une convulsion terrible et d'un orgasme qui la cloue sur la table.

Le jeune brun, vient de glisser son pouce dans le rectum et bouge la première phalange, du plus vite qu'il puisse. En même temps, il travaille le clitoris avec sa langue. Ensuite, il le coince entre ses lèvres, qu’il pince fortement et aspire. Le bruit de succion, qui en résulte, est des plus érotiques pour la mémé allongée sur la table.

Quand la mamie revient dans le monde des vivants, elle entend :

- T'aime ça te faire bouffer la mouliche. Hein vieille salope...

- Ho oui, petit enculé, surtout quand tu dis des gros mots.

- J’ai appris que vous vous bouffez la chatte avec ta copine, quand vous n’avez pas de mec.

- Salaud ! comment tu sais ça ? Suzy t’en a parlé ?

- Moi, je suis venu la voir à l’improviste, la semaine dernière. Je l'ai baisé. Comme elle était un peu bourrée, je l'ai interrogé et elle m'a avoué que vous vous gouiniez, de temps en temps, toutes les deux.

- Salope !

C'est un cri qui vient du cœur, mais quel en était l’origine ? Que sa pote baise ce jeune à grosse bite dans son dos, sans lui raconter, ou qu’elle lui ait dévoilé leur petit secret de femmes avides d’orgasme ? Et, alors qu’elle jette un regard noir à sa complice, elle comprend que son jeune amant a baissé culotte, car il est en train de frotter son gland contre sa vulve. Mais, comme l’opération prend plus de temps qu’il ne lui sied, d’une voix où se mêle désir et exacerbation, elle implore :

- Vas-y, baise-moi ! Qu’est-ce que tu attends ?

- Tiens, prends ça…

Et le mec enfonce sa pine tout au fond du vagin, seulement arrêtée quand il butte sur le col de l’utérus. Maintenant que le passage est rodé, il ressort totalement son sexe, le prend en main, le guide contre l’ouverture de la grotte féminine, et d’un coup de rein magistral, l’enfonce à nouveau tout au fond.

C'est un cri étouffé par l’expulsion de l’air de ses poumons que pousse alors la blonde. Si elle a connu bien des grosses bites dans sa carrière de grosse salope, il faut dire que le jeune est plutôt bien pourvu. Que, si ce n’est pas la plus grosse qu’elle s’est embourbée, celle-ci entre tout de même dans le top dix.

Le grand gamin ressort prestement son membre et recommence la manœuvre. Son but est de parvenir à faire chanter mamie, car, pour l’avoir déjà pratiquée plusieurs fois, il sait que c'est là, que ça devient drôle.

Bien qu’elle soit avachie dans le sofa, les genoux se rapprochant de ses oreilles, Suzy admire le coup de rein de l’amant de son amie. Elle attrape la tête de son lécheur pour lui boucher un tant soit peu les esgourdes, mais également pour qu’il ne soit pas déconcentré par ce qui se passe juste à côté. Elle aime voir et savoir, sa complice du vice, en pleine jouissance. Elle sait que loin de la blâmer, les orgasmes qu’elle vit, la rendront encore plus vicieuse, pour la suite de la soirée.

Rudolph, après avoir entré et sorti plusieurs fois son chibre, se met, maintenant, à limer la chatte. Il commence doucement et accélère de plus en plus, pour faire crier la vieille. Bientôt, il baise cette moule odorante comme un démon.

Marinette se met à crier de joie. Le son remplit toutes les deux pièces, et doit bien aller jusqu’aux voisins. Mais ces derniers ont l’habitude des frasques des deux vieilles pétasses. Ses cris ne cessent, quelques instants, que lorsqu’elle vit un orgasme, à ces moments-là, elle ferme les yeux, puis les rouvre dès l’orage passé. Elle a les mains à plat sur la nappe, mais crispées.

Le jeune salaud est très fier de ses prestations. De faire crier les vieilles avec sa bite vigoureuse est son plus grand plaisir. Toutefois, il se contrôle, n’ayant pas envie de répandre son jus de gosse dans cette moule, aussi accueillante puisse-t-elle être.

Suzy se régale toujours autant d’entendre sa partenaire de jeux crier. Elle-même, sous les assauts de cette menteuse savante, ne se prive pas de couiner, mais bien plus faiblement.

Le blond entend bien les cris d’orfraie que pousse l’hôtesse, mais il reste attentif aux réactions de sa propre pouffiasse. Il attend, en léchant, qu’arrive son heure. Cependant, il en profite pour défaire délicatement tous les boutons de la robe, de manière à ouvrir celle-ci en grand.

D’un coup, Rudolph stoppe ses allés et venues dans la grotte inondée et bouillante. Dans un auguste geste, il attrape les deux jambes et les bascule sur le ventre, et souffle :

- Tiens tes chevilles…

Mamie ne se fait aucune illusion sur la suite du programme, elle sait que ce mec est un enculeur de génie. Pas qu’il sodomise les djinns, mais qu’il ait une grande maîtrise de cette pénétration, et surtout, une grande connaissance des réactions des femmes. Ce qui promet de bien beaux orgasmes. Aussi, elle attrape ses chevilles comme demandé. Dans cette position, elle sent alors qu’on lui écarte les fesses. Elle attend fébrilement le gros morceau de chair dans ses intestins.

De deux doigts, le brun vient d’écarter les fesses et de mettre à nu le sphincter marron, qui frétille déjà d’impatience. De sa main libre, il guide son zob, quand il est contre l’œillet, il pousse doucement pour écarter les chairs tendres en douceur et avec précaution.

Ça y est ! Le gros gland envahit son ventre par la porte arrière. Si elle aime se faire prendre la chatte, elle adore se faire défoncer le cul. Il faut qu’il y ait ce délicat mélange d’ambiance électrique, là deux jeunes, c'est très plaisant. Un enculeur qui sache manier son outil, et là, elle sait qu’elle va être bien servie. Et le plaisir du fion avec cette douleur suave du passage, légèrement en force, qui lui ouvre les chakras. Très vite, sous les doux assauts du gars, elle se met à chanter un nouvel air d’opéra-bite.

Suzy sait parfaitement ce qui est en train de se passer et elle a la chatte qui coule maintenant abondamment. Comme elle relâche la tête du gamin entre ses cuisses, celui-ci se redresse.

- Ta copine à l’air de bien s’amuser.

Et, tout en disant ces paroles sensées, à la limite de la thèse en philosophie, il se relève et tend la main à la rousse.

- Viens, allons voir ça de plus près.

Pendant ce temps-là, le labourage d’anus se poursuit, et bientôt produit l’évacuation d’un chapelet de perles sonores. La fausse blonde devient réellement rouge.

- Pardon…

- Pas grave, c'est la nature !

Le premier moment de surprise passé, Rudolph prend plaisir aux sensations de ce gaz qui force le passage entre le trou de madame et sa queue qui l’obstrue. Et, quand la messe est dite, donc le chapelet complet, il exprime fièrement :

- Merci ! Ça fait drôle sur la bite, mais c'est très agréable ! Faudra que tu pètes plus souvent.

Quelque peu rassurée, la belle ressent à nouveau tout ce plaisir qui monte de ses reins et reprend son cantique lyrique. Elle est maintenant totalement allongée sur sa table.

S’approchant du couple obscène en tirant la rousse à sa suite, il s’adresse à elle :

- Dis-moi, toi aussi, tu adores te faire enculer ?

- Moi, ce que je préfère, c'est d’avoir une bonne langue dans la chatte.

- Nous allons pouvoir arranger ça, alors…

Arrivé à côté de la table, il tire une chaise, pour en faire un marchepied de fortune.

Suzy comprend tout de suite et retire ses mules pour monter sur la chaise, puis sur la table, toujours tenue par son jeune chevalier servant. Elle fait quelques pas sur le meuble et vient s’accroupir au-dessus du visage de sa complice. Quand son partenaire lui lâche la main, elle bascule en avant et vient s’appuyer sur les grosses mamelles flasques, sous elle.

Sans cesser son hymne au vice, la folle blonde sort sa langue pour venir titiller le clitoris de sa fidèle amie. Elle sait parfaitement ce que cette dernière aime le plus au monde, se faire déguster le minou de toutes les façons possibles.

La chatte dégoulinante de jus de femelle, les lèvres grandes ouvertes, le vagin conquit par une langue agile, la rousse ne fait plus attention à cette douleur, faible, mais lancinante, qui remonte de ses genoux pliés. À présent, seul compte le plaisir de se faire gamahucher par une femme, qui prend son pied. C'est là, le meilleur moment, là que les femmes sont les plus savantes et expertes dans ce genre d’exercice. Bientôt, Suzy, commence à gémir, alors même que le blondinet lui tripote les boîtes à lait, molles, qui s’affaissent, mais toujours aussi douces.

De son côté, en hôtesse attentionnée, elle s’applique à lécher consciencieusement de fruit mûr et juteux. Elle plonge sa langue dans le vagin délicieux, y développe toute sorte d’arabesques étranges. Elle a le pourtour de la bouche qui luit de cyprine, mais ne s’en souci guère.

Le brun besogne toujours aussi efficacement ce trou du cul ridé, qui d’ailleurs l’est beaucoup moins, tout étiré qu’il est. Il donne de grands coups de boutoir à s’énerver tout seul. Les cris de sa partenaire lui montent à la tête et l’excitent de plus en plus. Lui qui fantasme sur les vieilles femmes, là, d’en enculer une comme la dernière des traînées, le rend pratiquement ivre.

Alors qu’un nouvel orgasme l’assaille, dans un geste inconsidéré, elle mord les petites lèvres développées de sa pote. Elle ne sait plus du tout où elle en est.

- Aïe ! Salope, tu m’as mordu.

En fait, la douleur fut vive, mais de très courte durée, et maintenant, la rousse au poil raz retrouve le plaisir, sûrement encore plus intense.

Mais mamie n’entend plus rien, c'est encore un autre point d'orgue qui arrive, et là, elle secoue la tête de droite à gauche comme une damnée, se barbouillant, au passage, le visage de cyprine. Puis, d’un coup, sentant la queue qu’elle a en elle, se contracter et lui forcer le fondement avec l’énergie du fou, elle se met à gueuler très fort. Ses mains frappent bruyamment le bois de la table.

Cette fois, Rudolph ne peut plus se contenir, et dans un grand râle, qui fait écho aux cris de sa partenaire, il jute et remplit l’ampoule rectale qu’il vient de tant martyriser. Quand les dernières gouttes de sperme sortent de sa pine, il s’affale sur le corps de sa bienfaitrice, tout tremblant.

C’est un souffle chaud et puissant que lui envoie dans la moule, sa copine des jours heureux. À cet instant, elle aussi sent des vibrations joyeuses monter du creux de ses reins. Un premier orgasme la surprend dans cette position, et elle ne peut se retenir et finit les fesses sur le visage ami.

Après quelques minutes entre deux mondes, le jeune mec brun se redresse avec difficulté. Il vient de vivre un moment d’une intensité inouïe. Et là, repu, il n’aurait bien plus qu’une envie, d’aller se vautrer dans le canapé. Alors qu’il commence à s’éloigner de la table, il entend :

- Viens m’aider à faire descendre Suzy.

Faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, il vient porter assistance à son pote pour déloger la rousse de sa plateforme. Une fois qu’elle est au sol, chancelante, les deux amis la prennent sous les bras et la transportent jusqu’au sofa.

Là, très vite, Mike s’installe dedans. Sa bite fièrement dressée, à indiquer, par gestes à son compère, de faire asseoir la vieille sur sa queue.

La rouquine est dans un état second. L’orgasme qu’elle vient de vivre l’a ravagé physiquement et lui a pompé toute son énergie, mais en plus, lui a court-circuité les neurones. Aussi, elle se laisse guider et se retrouve avec le jeune chibre en pleine forme, dans la boîte à gosses.

Pour commencer à baiser la vieille, le jeune blond est contraint de soulager les fesses, à l’aide de ses mains, et de la faire monter et descendre sur son sexe, de manière à lui perforer, le plus possible, le ventre.

Mais bientôt la vieille salace, commence à s’aider de ses jambes pour évoluer sur ce pieu de chair, qui lui donne des sensations fantastiques.

Alors que Rudolph est vautré dans le canapé, à regarder, avec un sourire narquois, cette chienne prendre son pied, l'hôtesse qui semble sortir de sa torpeur, vient rejoindre le trio.

Encore tout ensuquée, elle se laisse guider et atterrit à genoux entre les cuisses puissantes de son enculeur préféré. Et bientôt, elle se retrouve avec sa pine odorante dans la bouche.

Alors que Mike, ayant lâché les fesses, pour s'occuper des nichons et pincer les tétons en même temps, il glisse à l'oreille de la rousse :

- Branle-toi la chatte, salope…

La femme, très heureuse qu'on lui impose une chose qu'elle aime tant, s’empresse de répondre favorablement à la commande. De son majeur droit, elle commence à s’astiquer le clitoris. Puis, elle accélère le mouvement, de plus en plus frénétiquement.

Maintenant que Rudolph bande à nouveau très correctement, il repousse délicatement sa pompeuse, l'aide à se remettre debout et se remet sur les pieds lui-même. Là, il vient devant la rouquine et, faisant un clin d'œil à son pote, soulève la vieille femme pendant que son complice guide sa queue contre l'anus. Une fois fait, le brun appuie sur les épaules de la vieille femelle, qui s'empale d'un coup sur la bite, relativement imposante, du jeune homme. Alors, que Suzy a les cuisses écartées et les jambes par-dessus celles de son jeune amant. Rudolph, quant à lui, vient s’agenouiller entre les genoux de son pote, et guide son gros zob dans la chatte ouverte en grand.

De son côté, l'hôtesse vient s'asseoir à côté du trio. Délègue sa main gauche pour attraper le nichon à sa hauteur. Son autre main lui servant à se masturber. Elle demande à son amant habituel :

- Vous allez me la prendre en double ?

Alors qu’il enfonce son gros vit dans le ventre de la rouquine, il admet que oui, par un borborygme puissant.

- Tu es vraiment une grosse salope ! Tu marches à la bite et à la chatte…

Pour être certaine d’avoir une réponse de son amie, elle presse fortement le nichon qu’elle emprisonne de sa dextre.

C'est un petit rire aigu, qu’émet pour toute réponse, celle qui vient de recevoir un nouveau morceau de viande masculine dans son corps. Puis, dans un souffle court, elle ajoute :

- Oui, je suis une grosse salope… Dis-moi encore que je suis une grosse pute…

- Oui ma pétasse chérie, fais-toi bien baiser. Je sens que cette nuit, tu vas être chaude pour me bouffer la chatte et le trou du cul, ma salope.

Mike, pour qui l'après-midi a été très éreintante, très excitante également, ne peut se retenir plus longtemps, et finalement, inonde ce vieux pot de sa crème épaisse.

De son côté, son pote, qui vient de sentir les spasmes dans le rectum, ne peut plus, lui non plus, se retenir et finit par juter une bonne dose de sperme dans le vagin à poil ras.

Cette fois, c'est chancelant qu'il se remet debout, là, il voit sa copine habituelle, nue en train de s'astiquer la motte. Les yeux fermés, la bouche crispée, visiblement, elle est en train de vivre le clou du spectacle.

La rousse, remplie devant et derrière, alors qu'elle a encore une bite dans le cul, se termine de surcroît à la main. Elle se laisse aller à une jouissance des plus intenses. Bientôt, elle est secouée de spasmes incroyables, qui la désarçonnent et la font tomber en avant, à quatre pattes au sol, devant le sofa, ne pouvant plus remuer volontairement, ni même parler.

Le quatuor de chants de chambre a capela, reprend son souffle, après cette représentation. Les trois occupants du canapé, serrés les uns contre les autres, sans bouger, la tête encore dans les étoiles. Suzy, elle, vient de s’affaler sur le sol, toujours tremblante, visiblement son voyage astral n’est pas terminé non plus.

C'est presque une demi-heure plus tard, que l’hôtesse se relève, vient aider sa complice à se remettre debout puis à s’asseoir entre les feux jeunes hommes. Elle sert quatre flûtes, prend la sienne et se laisse choir dans son fauteuil.

- À la vôtre, mes amours, merci de cette sympathique et imprévue après-midi.

La rouquine fuit de partout à l’image d’une vieille moto anglaise qui aurait son âge.

Les deux jeunes salauds, la queue en berne, se contente de boire un coup, l’esprit vide, les testicules dans le même état.

Ensuite, la vie reprend doucement, et les discussions également. Et l’après-midi vient mourir contre la soirée, quand Rudolph donne le signal de départ. Une fois rhabillé, les deux jeunes mâles embrassent encore leurs nouvelles amies, et, accompagnés de l’hôtesse, se dirigent vers la porte, puis sortent de l’appartement.

Une fois la porte d’entrée refermée, la vieille blonde se précipite sur sa copine et l'embrasse amoureusement.

- Et si nous allions au lit dès maintenant ?

- Oui, tu as raison, on a besoin de se reposer…

- Tu crois vraiment qu’on va se reposer ?

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