Une superstitieuse : Vendredi 13

 

Après un début de semaine fort chargé, avec pas mal de déplacements, beaucoup de rencontres de clients ou prospects, Faustine se dit qu'elle a bien mérité un bon repos. Quand elle arrive chez elle, elle commence par un bon bain, puis se parfume, s’habille très sexy et décide d'aller se promener dans la vieille ville.

Elle pense bien trouver quelques beaux hommes pour l'accompagner. Dîner, oui, mais en tout bien tout honneur, chacun payant son obole. Et puis, elle sent confusément une envie de sexe, son vagin s’humidifiant petit à petit, c'est délicieux, très doux. Mais très vite, cela lui occupe tout l’esprit.

Une fois sa voiture garée aux abords de la vieille ville, elle se rend au cœur battant de cette cité. Sur l'esplanade centrale, entouré de bars, restaurants et d'estaminets, plus sympas les uns que les autres. Elle choisit une table seule, au bord de quelques marches qui donnent accès un deuxième espace. Là, à peine un mètre plus bas, souvent des acteurs de théâtre de rue ou des saltimbanques évoluent. La place est de forme carrée, quelques arbres sont là, pour donner de l’ombre, durant les chaudes après-midis. Les maisons à colombage ajoutent encore au cachet particulier de l’endroit, tout a été rénové avec grand soin.

Très vite, une fois qu’elle est installée, un homme, pas franchement très beau, pas très grand, mais avec un grand sourire, qui lui illumine le visage, vient lui demander s'il peut s'asseoir à sa table. Il y a peu de table de libre et elle accepte, lui rendant son sourire.

L'homme, Franck, est affable, de plus il a beaucoup d'humour, une discussion très riche, sans être pénible, qui évite toutes les questions trop personnelles. Finalement, le début de soirée se passe très gentiment. Il est fort agréable, et Faustine finit par lui trouver un charme certain.

Vers vingt-deux heures, la belle annonce qu'elle commence à avoir une petite faim, et le gars lui propose, tout de suite, de l'inviter. En acceptant de la tête, elle lui répond :

- Oui, tu me payes le resto et moi je te paye la pipe ! Est-ce un peu ça le deal ?

- Non, ce n'est pas ce que je voulais dire, mais comme j'ai passé un début de soirée très sympathique avec toi, ça me fait plaisir de t'offrir le restaurant. Ça ne sera pas la plus grande table de toute la ville, mais un bon petit restaurant. J'en connais un, pas loin.

Voici donc nos deux nouveaux amis qui se dirigent vers un restaurant de spécialités espagnoles. Les tapas sont très sympas, délicieux. La soirée continue vraiment très bien. À la fin du repas, Franck, toujours charmant, propose de retourner boire un pot sur la place, car là, il doit y avoir un spectacle de cracheurs de feu.

Et ça repart, ce sont des discussions à bâtons rompus, intéressantes, plaisantes, marrantes parfois. Bref, Faustine commence à tomber sous le charme de ce personnage. Et finalement, sur le coup de deux heures du matin, quand les bars ferment, elle propose à son partenaire de la soirée, de venir chez elle, pour un dernier verre. Le couple ainsi formé se rend là où est garée la voiture de la jeune femme, puis tranquillement, il rentre à l'appartement de la blonde.

Le monsieur reste gentleman, accepte de prendre un café et continue la discussion.

Notre héroïne commence à être excitée et se demande bien, quand ce diable d’homme va passer à l'attaque...

Il se passe encore en une bonne heure et demie, avant que, finalement, prétextant un besoin naturel, Franck se fait indiquer les toilettes. Et finalement, quand il revient, il a laissé sa braguette ouverte. Et, comme il ne porte ni slip, ni caleçons, il a également laissé sa queue sortir de son pantalon. La nature l’a largement pourvu.

Voyant ce sexe joliment dessiné, déjà bien gros, le doux foyer qui couvait jusqu’à là, enflamme son vagin. Et, finalement, elle vient s'agenouiller devant son invité, debout dans l'entrée de la pièce, et commence à le pomper.

- Merci ma belle, ta bouche est délicieuse. Toutefois, si tu continues à ce rythme-là, je risque de jouir trop vite !

Elle suce encore quelques instants, puis se remet doucement debout et vient embrasser l'homme.

Durant ce baiser langoureux, Franck en profite pour la déshabiller, défait les boutons de son chemisier, visiblement très habile de ses doigts. Retire ensuite le soutien-gorge sans coup férir. Ensuite, il s’attelle à dégrafer la jupe, pour la faire glisser le long des jambes gainées de nylon noir. Après, toujours lors du même baiser, il commence à travailler le clitoris de la blonde.

Faustine n'est pas en reste, elle s'occupe de caresser la jolie queue, qu'elle a vue au préalable. Le membre durcit de plus en plus et se dresse, mais il n'est pas complètement droit, il est légèrement coudé sur le côté.

La blonde est heureuse de l’effet qu’elle produit sur son partenaire. Elle adore faire bander ses petits camarades de jeux et estime qu’une érection ne saurait mentir sur son propre sex-appeal.

Franck, relâchant ses caresses sur le clitoris, passe sa main derrière, entre les fesses, et commence à agacer le sphincter. Puis, il annonce joyeusement :

- Je te préviens, je suis un peu particulier. Pour moi, faire l'amour, c'est dans les fesses !

- Ah ! Tu as passé tes vacances au Brésil, peut-être ?

L'homme rit puis retourne son hôtesse et l’allonge sur la table de la salle à manger, qui est en face du canapé, dans lequel il était assis au préalable. De sa main gauche, il saisit les poignées de la femme. Il les tient fermement, de la droite, il écarte les fesses. Là, c'est à son tour de s’accroupir et il vient lécher l'anus, jusqu'à enfoncer sa langue, bien raide, dans le trou odorant.

La blonde se laisse aller. Elle est un peu surprise de cette caresse, si intime et insolite. Cependant, elle sent des ondes électriques parcourir ses reins et remonter jusque dans le bout de ses seins, en passant par son clitoris. C'est un bonheur total.

Franck prodigue cette caresse un peu insolite pendant cinq bonnes minutes. puis, d'un coup, se relève, guide sa queue, de sa main droite, et place son gland contre l’œil de bronze. Et là, d'un coup, sans prévenir sa partenaire, pousse de toutes ses forces et fait entrer sa bite entièrement.

- Aïe ! S'écrit la pauvre blonde. Ça brûle !

Mais Franck n’en a cure. Il commence à limer énergiquement, en annonçant, presque en criant :

- Tu es une grosse salope. Tu es une enculée. Tu voulais ça, depuis le début de la soirée. Maintenant, tu l'as dans le cul, pétasse !

Il lime toujours furieusement cet anus, qui le laisse passer avec quelques difficultés, car le sexe est large. Et, au bout de cinq minutes, il plonge sa main droite sous le bassin de sa partenaire et lui massacre le clitoris, toujours avec cette même énergie.

Cette fois, Faustine ressent un formidable orgasme. La brûlure de son anus laisse place à des ondes de plaisir, qui parcourent tout son corps. Et, d'un coup, elle se met à gueuler à tue-tête :

- Oui ! je jouis, oui ! Gros salaud, encule-moi encore plus fort.

- Tu vois que tu aimes ça, salope d’enculée.

Il la défonce encore très vite et très fort. Il sent qu'il ne va pas pouvoir tenir très longtemps. Alors, d'un coup, il annonce :

- Au fait, j'ai le sida !

Il se marre intérieurement en se disant : "maintenant, il va falloir que je tienne plus de cinq secondes, à ce rodéo sida".

La belle, visiblement, n'a pas compris le message et elle continue à jouir.

- Oui, encule-moi, salaud. Encule-moi, encule-moi...

Un peu déçu de la réaction de la femelle en rut qu'il pénètre, Franck continue néanmoins sa fornication jusqu'à ne plus pouvoir se retenir. Enfin, il lâche son foutre, en plantant sa queue tout au fond du rectum. Il reste planté une quinzaine de secondes, sans bouger. Seules ses jambes tremblent, d’ailleurs à l'unisson avec les jambes de la blonde. puis, il se retire brusquement sans douceur.

La discordance est totale, entre l'homme charmant et le baiseur brutal, à la limite du violeur, Relâchant la jeune femme, il se recule et se rhabille. Tandis qu‘elle est encore allongée sur le ventre sur la table, il lui demande :

- Alors, une bonne sodomie bien brutale, ça te plaît ?

- Ah oui, j'ai aimé !

- Fais quand même un test, dans trois mois, car je suis séropositif.

- Quoi ? Salaud ! Tu me baises sans capote, alors que tu sais que tu es plombé !

- Ben oui ! j’ai juste un regret, d’habitude, quand je l’annonce en pleine chevauchée, j’ai droit au rodéo-sida, mais toi, tu étais parti trop loin, pour comprendre !

Faustine jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y reprendrait plus. Là-dessus, la belle, prenant appuie sur ses mains, se redresse. Ce faisant, elle lâche un chapelet de pets odorants et bruyants. Des bulles de foutre s'échappent de son sphincter encore ouvert.

- Allez ma belle, je reviendrai pour te défoncer le cul, une autre fois. En attendant, demain, quand tu feras ton caca marbré, tu penseras à moi.

Faustine se dit que vraiment, les vendredis treize, ne sont jamais bons !

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