Une superstitieuse : Les corbeaux
Faustine, n’ayant pas trouvé chaussure à son pied, termine sa soirée, dans son club favori, noyant son vague à l’âme dans quelques whisky-coca, en discutant avec le barman. Une demi-heure avant la fin de la soirée, un homme, d'une cinquantaine d'années, grand, plutôt séduisant, vient discuter avec la blonde. Très vite, le courant passe, et, quand les lumières blanches se rallument, le type propose d’aller faire un after, dans un bar qu’il connaît.
En sortant du dancing, Xavier veut absolument conduire. Mais, la belle tient à tout prix prendre sa voiture. Un compromis est donc trouvé, ce sera l’homme qui conduira la voiture de la jeune femme
Alors qu'ils font plus amplement connaissance lors de cet after, après une demi-heure, ils ressortent du bar, le mec prend la jolie nana dans les bras et l’embrasse tendrement.
Un peu pompette, encline à l'aventure, Faustine se laisse aller aux caresses de son chevalier servant, qui explorent son corps, par-dessus les vêtements. Puis, elle entend Xavier lui proposer de lui montrer son petit chalet, en bord de bois, qui lui sert de rendez-vous de chasse. Bien entendu, elle accepte, toujours curieuse de nouveautés.
Durant la trentaine de kilomètres qui sépare de la ville du rendez-vous de chasse, le type en profite pour l’interroger sur sa sexualité. La toute dernière partie du voyage se fait sur un chemin de terre, sur deux-cent-cinquante mètres environs. La voiture finit par s'arrêter devant le chalet de bois d'une trentaine de mètres carrés, avec une sorte de petite terrasse couverte, d’une dizaine de mètres carrés, juste avant la porte d'entrée.
Dès la porte ouverte et la lumière allumée, Faustine embrasse toute la pièce d'un seul regard. Elle voit un canapé clic-clac au fond de la pièce et elle sent que son partenaire la prend par la main pour l’y mener.
Avec quelques empressements, le mec se retrouve torse nu, et opère un effeuillage savant de la belle. Il retire son chemisier, puis la jupe avant de s'atteler au soutien-gorge
- J'adore ! Tu ne portes pas de culotte ! Et tu mets des bas ! Quel bonheur.
Faustine balbutie une sorte de merci. Et se laisse à nouveau embrasser fougueusement.
À la fin du baiser, l’hôte l’allonge doucement sur le clic-clac qu’il a mis en position lit. Très charismatique, mais aussi très directif, retire son pantalon, ordonne à sa conquête de lui faire une pipe.
Il vient à la hauteur de la belle allongée et, se mettant sur les genoux, sur le lit, s’asseyant enfin sur ses talons, attire la tête vers son sexe.
La blonde, Toujours aimable, voit ce sexe de belle taille, encore mou. Elle le prend en bouche, passe sa langue autour du gland, le masturbe de sa main droite, et très vite, le fait grossir.
Xavier est aux anges, il apprécie complètement cette fellation. Toutefois, il se connaît très bien, et sait qu'après ce genre de soirée, il jouit très vite. Aussi, il stoppe la belle dans son élan. Il vient alors se placer entre les cuisses ouvertes. Il attrape les cuisses, gainées de nylon, les tire pour soulever le bassin et l'amener à la bite. Il se plie en avant et pénètre cette chatte, déjà dégoulinante de cyprine.
Tandis que Faustine appuie sur ses bras, soulève encore plus son bassin, pour que la pénétration soit plus profonde, elle commence à couiner. Puis, elle demande dans un souffle :
- Mets-la moi dans l’anus, j'en ai trop envie.
L'homme ne se fait pas prier. Il tire encore un peu sur les cuisses, pour amener le cul au plus près, repousse sa bite un peu plus bas. Il l’a fait pénétrer dans l'œil de bronze de la blonde. En quelques coups de reins, il fait crier la femme de plus belle.
Faustine est au paradis ! le mélange de sexe, d'alcool et de nouveautés la propulse directement au septième ciel. Elle hurle son plaisir à tue-tête.
Bientôt, lui aussi très excité, Xavier émet un grognement et sa queue vomit son venin, au fond du rectum de sa partenaire. Après un petit moment pour reprendre son souffle, il finit par dire, en se redressant :
- Eh bien connasse, grâce à toi j'ai économisé une pute...
Le fait de se faire traiter de pute, alors même qu'elle a prêté son corps, aux plaisirs. Certes au sien, mais aussi à celui de l’homme, elle se met sur les coudes, regarde le sale type et lui crache au visage :
- Le gros connard, c'est tout de même toi !
Ensuite, elle se relève, récupère sa jupe, qu'elle enfile très rapidement, fait de même avec le chemisier, qu’elle boutonne à peine, récupère son soutien-gorge et sort du chalet, non sans insulter, encore une fois, le vilain :
- Ne reviens plus jamais me voir, sale con.
Elle s’engouffre alors dans sa voiture, fouille au fond de son sac à main, pour chercher les clés de contact, qui, de toute façon, sont déjà en place sur le neiman. Là, nerveusement, elle essaye de démarrer la voiture en accélérant, mais rien n'y fait, cette satanée voiture ne veut pas démarrer ! Alors qu'elle s'énerve après la mécanique rebelle, elle voit le sale bonhomme sortir du chalet et s'en aller à travers bois.
Le jour se lève, un vol de corbeau passe à plusieurs reprises au-dessus de la voiture, qui, définitivement, refuse de se mettre en route. Elle décide donc de passer un coup de fil à ses amis, mais le sort s'acharne, il n'y a pas du tout de réseau. Finalement, totalement fatigué par sa soirée, dégoûté par l'attitude de ce mec, et abattu par cette mécanique qui l'a trahi, elle s'endort sur le volant.
Quand elle se réveille, un gros corbeau noir se tient sur le capot de sa petite auto. Ne sachant que faire, elle sort de sa voiture, l'oiseau s'envole et elle vient s'asseoir sur le capot, la tête dans les mains.
Il est pratiquement dix heures, ce dimanche matin, quand elle aperçoit, au loin, un chasseur, qui semble se diriger vers elle. Elle fait un signe de la main, et l'homme lui répond par un autre signe.
Trois minutes plus tard, le prédateur arrive à la hauteur de la voiture et salut la blonde d'un :
- Bonjour vous, drôle d'endroit pour passer la nuit ! Vous chassez ?
- Bonjour, non, du tout. Vous trouvez que c'est une tenue de chasse ?
- Ouais, pour certaines chasses, ouais…
- Non, je suis en panne, ma voiture refuse de démarrer.
- Ha ! Et donc, qu'attendez-vous de moi ?
- La main habile d'un homme dans mon moteur, pour lui redonner vie.
Le type détaille la femelle d’un œil expert pendant cinq secondes, puis il ajoute :
- Ouais, je pense que je peux faire ça. Toutefois, tout travail demande salaire…
- D'accord, alors démarrez ma voiture et je vous donnerai la pièce.
- Non ma belle, je ne suis pas le perdreau de l'année. Si tu veux que je te dépanne, commence par me sucer la bite. Je veux un payement en nature.
- Non mais ! Ça ne va pas, non ?
- Alors démerde-toi, pétasse.
Et le mec tourne les talons et s'en retourne vers le champ qu’il arpentait précédemment.
Ne sachant absolument pas où elle se trouve et ne voyant aucune solution à son problème, la pauvre femme hèle encore l'affreux chasseur :
- Attendez, revenez, j’ai vraiment besoin qu'on m'aide.
- D'accord, mais avant tout, tu me suces.
Sans attendre de réponse, l'homme revient, pose son fusil, la crosse à terre, contre la voiture, ouvre sa braguette, descend son pantalon à mi-cuisses. Il ne porte pas de caleçon, sa queue est donc tout de suite à l’air libre. Il attrape la femelle par l'épaule et, d’un geste précis, la fait pivoter sur elle-même et la contraint à s’accroupir devant lui.
Faustine, trop apeurée à l'idée de ne pouvoir repartir, suit le mouvement et se retrouve accroupie devant le sexe au repos. Elle s’en saisit d’une main peu sûre et finit par le porter à la bouche. La pine a un goût frais et agréable, elle commence alors une fellation.
Le type sourit intérieurement en se disant qu’il est bien facile d’obtenir une bonne pipe, quand on a les bons arguments. Et, comme la salope a obéi si facilement, il se dit qu’il faut aller bien plus loin. Mais pour le moment, il savoure cette bouffarde maison et prend la tête blonde entre ses mains.
La femme s’applique en se disant que, mieux elle pompe, plus vite son calvaire prendra fin. Ce n’est pas de prendre une pine en bouche qui la gêne, c'est qu’elle y soit contrainte, qu’on abuse d’elle simplement parce qu’elle est en panne. Sans prendre la situation pour un viol, elle est tout de même fâchée contre elle et sa voiture. Pour essayer d’aller le plus vite à l’essentiel, elle sert sa main autour du sexe de plus en plus fort, mais subtilement.
Le chasseur veut profiter encore et encore de cette jolie femelle qui lui tombe du ciel. La matinée commence fort bien ! Il laisse encore, cette jeune pouliche, lui bricoler le chinois, mais ne veut pas jouir tout de suite. Aussi poursuit-il dans son idée :
- Tu suces comme la reine des putes, toi !
Faustine n’en a cure, ni de ce qui pourrait être un compliment en d’autres temps, ni ce qu’elle ressent comme une moquerie. Peut-être une insulte, de la part de ce salaud de profiteur.
Repoussant la tête fermement, mais sans violence, le chasseur attrape les bras de la belle et l’aide à se remettre debout. Là, il lui annonce :
- Je veux ton cul, pétasse, viens avec moi.
Et il la guide jusqu’au capot, en profite pour la débrailler, en lui ouvrant son chemisier, la contraint à se pencher en avant, jusqu’à ce que ses seins soient en contact avec la tôle. Très vite, il relève la jupe, et s’exclame :
- Ha ! Pas de culotte, tu viens te faire mettre à la campagne ?
- Non, mais…
- Pas de mais, tu as le droit d’être une pute, du moment que moi, je ne paye pas !
- Non…
- Tiens tes fesses écartées, je vais te la mettre dans ton cul de pouffiasse.
En d’autres circonstances, la femelle aurait été très heureuse d’une bonne sodomie, mais là, sous la contrainte psychologique, elle ne goûte pas du tout la chose ! Cependant, faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, et surtout espérant que ce salaud jouira plus vite, dans son cul, elle obéit encore. Et elle maintient ses fesses écartées, à pleine main.
L'homme se régale, il comprend maintenant que la femme est non seulement facile, mais en plus très crédule. Ne voulant pas se blesser, dans un cul qui serait par trop sec, il crache sur ses doigts et les fait pénétrer dans l'anus, pour humidifier les bords.
Faustine se laisse faire, elle est heureuse, tout de même, de ne pas subir une sodomie à sec, comme il est parfois arrivé. Ce qui lui arrache le cul et l'empêche de s'asseoir pendant une semaine. Cependant, elle se dit que le vol des corbeaux était bien le présage, de son malheur présent.
Le type, sans autre attention, pénètre la jolie blonde d'un sérieux coup de rein et enfiche directement son sexe, tout au fond du rectum.
La belle pousse en cri, plus de surprise que de douleur. Toutefois, elle ne veut pas jouir, sous les assauts de cet enfoiré.
L'homme se met à limer ce cul souple et chaud. Il n'a aucune considération pour sa partenaire et ne s'occupe que de son seul plaisir. Néanmoins, il est bien trop pervers pour se finir dans les entrailles féminines.
N’ayant aucune prise pour se cramponner, Faustine a les mains collées sur le capot. Bien que la sodomie, qu'elle subit, serait de nature à lui faire tourner l'esprit, elle lutte désespérément contre les ondes de plaisir, qui remontent du bas de son dos.
- Putain, tu es un peu dégueulasse ! Tu me pollues la bite avec ta merde ! pétasse...
La blonde, trop occupée à lutter contre son plaisir naissant, ne répond rien à ces insultes.
- Tu es une vraie pouffiasse… Allez, avoue-le que tu es une vraie pouffiasse.
Et comme la belle ne dit toujours rien, il lui colle une grosse claque sur la fesse droite et reprend :
- Allez, dis-le que tu es une pouffiasse.
Un cri de la femme. Puis, ne voulant surtout pas énerver ce genre de salopard, finit par dire :
- Oui, je suis une pouffiasse
- Très bien grosse pute, je viens me finir dans ta gueule de morue.
Il empoigne alors l'épaule droite de la femelle, la fait se remettre debout, puis s'accroupir devant sa queue. Et, tandis qu'il tient sa bite de sa main droite, agrippe les cheveux de sa main gauche et force la bouche, avec son sexe pollué
- Vas-y, nettoie-moi la bite, saloperie.
Un vol de corbeau passe au-dessus, croassant, comme pour se moquer des malheurs de la pauvre Faustine.
La pauvre nana, qui commence à réellement avoir peur de ce vilain chasseur, s’applique à sucer, jusqu'à ce qu'il lui englue les amygdales.
En sortant sa pine, qui continue à déverser les dernières giclées, il la reprend en main et l’essuie dans les cheveux de la femme. Puis, la repoussant et la faisons tomber en arrière, il lui dit :
- Pousse-toi pétasse, je vais démarrer ta caisse pourrie. Tu es une pute, mais ce n'est pas pour ça que j'ai envie de t'écraser !
La blonde se relève, pendant que l'homme est en train de se glisser, dans son véhicule. Elle se pousse de devant la voiture, et se met sur le côté. Alors, elle éclate en sanglot.
Dès le premier tour de clés, la voiture démarre et se met à ronronner.
L'homme ressort de la voiture, ramasse son fusil et remet sur son épaule. Comme, il s'éloigne sans se retourner, il lâche :
- Voilà, pouffiasse, tu peux aller te faire piner ailleurs, ta caisse fonctionne à nouveau.
En tremblant, Faustine monte dans son véhicule, ferme la portière, regarde encore les corbeaux, qui volent au-dessus de sa voiture. Et, elle se dit, que vraiment, les corbeaux portent malheur. Elle a pu le vivre, ce malheur...
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