Une superstitieuse : Le miroir brisé
Faustine, jeune commerciale dans les produits pharmaceutiques, jolie blonde aux yeux bleus, est éminemment superstitieuse. Elle fait attention à un tas de détails de la vie courante, comme éviter de passer sous une échelle, ne jamais mettre le pain à l'envers sur la table, ne pas travailler le vendredi treize, ne pas renverser de sel dans la maison et plein d'autres petites choses comme ça. Pourtant, sa vie sexuelle est riche. Elle aime intensément le sexe et se laisser aller à toutes ses envies, à toutes ces turpitudes.
Un jour de très bonne heure, elle rentre d’un night-club, avec un très beau jeune homme. Il ne doit avoir qu’à peine vingt ans, il est beau comme le levé du jour, grand, athlétique. Un grand sourire illumine souvent son visage, une vraie gueule d’ange.
Dès qu’elle a refermé la porte d'entrée derrière elle, les deux tourtereaux se jettent dans les bras l’un de l’autre et commence un baiser fougueux, qui laisse les mains explorer les corps. Le jeune homme impétueux, tout en tripotant outrageusement sa conquête, commence à la déshabiller. Ça part dans tous les sens, l'homme n'est pas violent, mais il n'est pas doux pour autant. Il y va de bon cœur pour retirer chemisier, jupe, soutien-gorge. Mais cet effeuillage est brutal et brusque. Certainement dû à son inexpérience.
De son côté,Faustine, très excitée, n'est pas tous non plus très douce, pour déshabiller son bel amant.
Comme dans un film, les vêtements volent. Ils vont s'accrocher, qui sur une chaise, qui sur un bibelot, qui sur un vase, qui sur le lustre et même jusqu’au miroir accroché au mur de la chambre.
L’hôtesse pouce son compagnon sur le lit et se jette, la bouche la première, sur son sexe, déjà un peu en érection.
Très vite, la joute sexuelle devient intense. L'homme commence par attraper la tête de sa prise et donner de furieux coups de reins, comme s'il voulait baiser cette bouche chaude. Puis, il attrape les cheveux, tire la femme à lui, l'embrasse, pendant qu'il l'aide, à ce qu'elle vienne à califourchon sur son ventre. Là, sans prévenir, il pénètre le vagin dégoulinant de cyprine, déjà très ouvert, et commence à limer comme un beau diable. C'est beau la jeunesse, quelle énergie !
Faustine n'en reste pas là. Et, alors que les coups de boutoir, contre son col, s'accentuent, elle projette sa main sur son clitoris et se masturbe furieusement.
Ça ne prend pas beaucoup de temps pour qu’Hervé explose et que son foutre envahisse toute la grotte féminine, déjà totalement détrempée de cyprine.
Après quelques minutes, pour reprendre leur souffle, l'un et l'autre, la belle demande benoîtement :
- Ce fut bien, mais ce fut court, fatigué ?
- T'inquiète pas, j'ai d'autres cartouches en réserve.
Et tout en entendant cela, la belle sent la bite durcir à nouveau, en elle.
Le jeune homme passe ses mains sous les aisselles, soulève la blonde et lui intime l'ordre :
- Tu vas me sucer la bite et bien me faire bander. Et j'ai envie de ton cul ma salope.
Ces mots excitent la femme au plus haut point. Et, à nouveau, elle se jette sur ce sexe dressé et le pompe. Il a bon goût, il sent le foutre et sa propre cyprine, qu’elle aime tant goûter, au bout de ses doigts, quand elle se branle. Comme l'homme recommence à grogner, et avant qu'il ne jouisse à nouveau, elle se retire, se retourne et s'accroupit, les fesses les premières, vers ce gourdin de chair dressé. Quand elle sent le sexe à l'entrée de sa vulve, elle bouge, encore un petit peu, vers l’avant, écarte ses fesses à deux mains.
Le jeune homme, comprenant tout de suite la manœuvre, prend sa queue dans la main droite et guide son gland, Juste en face du sphincter.
- Oui, vas-y, viens te faire enculer, salope !
Ces mots, le ton, l'heure, l'atmosphère, tout concourt à exciter encore davantage la jolie blonde, qui finit par se laisser tomber sur le membre dressé. Elle pousse un grand cri, qui finit par une longue plainte.
Hervé passe ses mains sous les fesses rebondies de la belle. Lui soulève le cul de quelques centimètres, puis commence à donner de violents coups de reins.
Faustine, qui adore la sodomie, et pour qui c'est une friandise sans nom, se laisse trou-du-culter de belles manières.
- Vas-y, branle-toi en même temps, ma salope...
L'ordre est sec, le ton des plus directifs. La jolie blonde s’empresse de répondre à la sollicitation verbale. Elle se masturbe frénétiquement, sentant son anus labouré par les puissantes ruades du jeune homme. D'un coup, elle se sent projeter vers l'avant et se retrouve à quatre pattes. L’homme se redresse, lui attrape le bras et je lui ordonne encore :
- Je veux jouir dans ta bouche. Viens me sucer.
Sans réfléchir, la jolie blonde se remet à quatre pattes, enfourne la queue raide pendant quelques secondes, avant de sentir le foutre épais qui lui englue les amygdales. Certes, cette fois la bite n'a pas le bon goût de sa cyprine, elle a même un léger arrière-goût d'excrément. Mais qu’à cela ne tienne, elle a décidé de faire plaisir à ce bel amant et continue à le sucer, après qu'il ait déjà joui. Elle en profite pour se masturber, toujours avec frénésie, puis bientôt, arrive un orgasme dévastateur. Elle gueule son plaisir à tue-tête et finit par s'écrouler dans un tremblement digne d'une catastrophe sismologique, la tête sur le torse glabre, de son beau prétendant.
Comme ivres de stupre, les deux amants s'endorment ainsi.
Vers onze heures, alors qu'il fait grand jour dehors, le jeune homme se réveille d'un coup. Il pousse brutalement sur le côté sa conquête et grommelle :
- Merde ! Je dois aller chercher ma grand-mère ; pour l'emmener à l'hôpital ; où est mon grand-père ! Faut que je file. Aide-moi.
Prise de panique, la jolie blonde se lève également et maladroitement récupère les vêtements de droite et de gauche. Ainsi, elle récupère le jeans qui est sur le miroir et, malheureusement, quand elle tire dessus, le miroir tombe et casse.
- Oh non ! Sept ans de malheur ! Non, non, pas ça !
Le jeune homme rigole.
- Ah oui ! C'est sept ans de malheur. Mais c'est pas grave, je reviendrai te voir. Ça sera quand même aussi du bonheur, dans ton malheur…
Faustine, reste comme pétrifié en regardant les morceaux de verre et de cadre par terre. Sa magnifique glace n’est plus. Même l’encadrement est dans un état terrible. Elle semble totalement irréparable.
Là-dessus, Hervé sort presque en courant de l'appartement et disparaît.
Sept ans de malheur, quelle engeance, pense alors la pauvre jeune femme.
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