Une superstitieuse : Le lapin porte-malheur

 

Ce samedi soir avait bien commencé. Faustine avait fait connaissance, dans la boîte où elle aime aller, d'un type fort sympathique. Qui, pour une fois, n'avait pas cherché à la baiser et à lui faire le cul tout de suite. Il l'invita à passer le week-end sur son voilier, à La Rochelle.

Durant la semaine, elle alla acheter un lapin. Ça fait longtemps qu'elle avait envie d'un animal de compagnie. Un chien, c'était trop de contraintes. Un chat, c'était trop de soucis. Aussi, elle opta pour un lapin, un joli petit lapin blanc, avec des yeux rouges, qu'on appelle aussi un lapin russe. Mais comme elle partait le samedi matin, de très bonne heure, elle confia le mangeur de carottes à sa mère. Dès le vendredi soir, sa mère lui avait glissé une patte de lapin, dans son sac à main, à son insu, bien au fond.

Le samedi matin, Faustine se lève de très bonne heure, prend sa voiture et se rend au port de La Rochelle. Il lui faut à peine deux heures de voyage, pour arriver à destination. Elle se rend au café de la capitainerie, où Edmond lui a donné rendez-vous.

C'est un grand gaillard de quarante ans, aux traits burinés. On comprend très vite qu'il passe beaucoup de temps sur son voilier et qui prend, souvent, beaucoup le soleil. Il est large d'épaules, mais affiche en permanence un sourire presque rieur, qui fait qu'on a très vite envie d’avoir confiance en lui.

Les deux personnes embarquent sur le fier voilier et Edmond navigue au moteur pour sortir du port. À peine sortie du port, alors qu'il est encore dans le chenal, le moteur commence à toussoter, puis à crachoter et enfin, s'arrête totalement. Un petit imprévu, rien de très grave. Aussi, le marin monte la voile et l’orgueilleux navire, toutes voiles gonflées, file vers la haute mer.

Après avoir expliqué comment fonctionne la navigation, du moins quelques rudiments et une fois en pleine mer, même si pas très loin des côtes, l'homme finit par embrasser la jolie blonde.

Cette matinée s'annonce radieuse, avec un beau soleil et un ciel bleu, Edmond propose à sa passagère de se mettre nue puisque l'un des avantages d'être seul sur le grand bleu, c'est de pouvoir vivre nu. Bientôt, ils se retrouvent tous les deux nus comme des vers. La belle avec ses atouts et le monsieur montrant un sexe altier, au-dessus de la moyenne, même s'il n'est pas encore en érection. Une fois que la barre est calée, le marin agrippe la belle et la colle contre son torse puissant. Il l’embrasse longuement, profitant de ce baiser pour parcourir, de ses mains agiles, le corps féminin, dans tous les sens. Il n'est recoin qui ne soit épargné de cette auscultation méticuleuse, mais douce.

La belle, excitée par le doux roulis, la légère brise qui caresse son corps, comme par ces doigts malicieux, trouve ce voyage très intéressant. S’offrant totalement au seul maître à bord (Dieu étant en congé) et à ses pattes magiques. Elle commence même, à être très excitée.

L'homme s'en rend compte et, cessant son baiser fougueux, puis la retournant vers la barre, lui ordonne de sa voix puissante, mais encore agréable :

- Penche-toi en avant et tiens la barre.

À ce moment-là, il empoigne son sexe, se masturbe un tout petit peu. Ensuite, il passe ses doigts entre les lèvres féminines, flatte un instant le clitoris, puis entrouvre les petites babines. À ce point, il dirige son gland contre l'entrée du vagin, et s'écrit :

- En avant, matelot, barre tout droit, en avant toute.

Faustine est un peu surprise, toutefois, très excitée, elle accueille ce membre, qui ne tarde pas à envahir son intimité féminine. L’ambiance, le lieu, la font un peu rêver. Incessamment, elle se laisse prendre par le va-et-vient, de ce sexe, qui lui caresse les parois internes du vagin. Et dont le gland, de temps en temps, tape contre le col de l'utérus.

L'homme semble un peu pressé. Néanmoins, il essaie de se retenir, mais très vite, il jouit et ça finit en longs jets de sperme chaud.

La belle se met à gueuler sa fortune de mer, faisant même peur aux mouettes, elle jouit. Quand son nouvel amant se retire, elle sent couler un filet chaud, à l'intérieur de ses cuisses. Du sperme ressort de sa chatte et ça, ç’a toujours le don de l'exciter encore plus.

- Mon cochon ! Tu m'as rempli. J'espère que tu n'as pas le sperme trop salé !

- Non, pourtant tu n'as pas tort, un peu de sel avec la moule...

Les deux amis rigolent et le navire continue à glisser sur une mer d'huile.

Petit repas de plaisanciers, à base de poisson, bien évidemment. Il est très frais, Edmond l’a acheté le matin même à la criée. Plus tard, petit bain de soleil sur le pont. Il semble que les voiles soient moins gonflées, Faustine s'en étonne auprès de son nouvel ami. Celui-ci regarde les voiles, qui effectivement se dégonflent et finissent fixes.

- Nous voici dans un temps calme, la météo avait bien prévu que la brise faiblirait. Mais là, elle a non seulement faibli, mais en plus, elle est morte !

Qu’à cela ne tienne, l'homme affale la voilure, puis vient s’allonger à côté de la belle.

- Nous n'avons plus qu'à attendre que le vent se lève. Ici, le calme plat ne dure jamais plus de quelques heures, éventuellement, et très rarement, un jour ou deux.

Le repos nu sur le pont, tourne bien vite au tripotage.

Quand Faustine est bien excitée, notamment par un doigt particulièrement curieux de son œil de bronze, elle entend, de la part de son ami :

- J'espère que ça ne t'embête pas, mais chez nous, les marins, nous sommes très sodomites. En fait, en haute de mer, quand il n'y a pas de femme, on s'arrange entre nous

Si Faustine rigole, il n'empêche que la proposition lui a mis le feu au trou de balles. Et cette fois, elle se retourne, lève une jambe, écarte une fesse, pour bien faire comprendre à son amant du moment, que son anus est prêt à recevoir ses hommages, voire ses outrages…

Edmond s’installe plus confortablement sur le côté et, d’une jambe musclée, vient soulager quelque peu la jambe de la blonde. Une fois encore, il se masturbe pendant quelques secondes, puis guide son gland vers le cercle brun. Quand son membre est en contact avec la rosette, il pousse son bassin en avant, et fait entrer son gros sexe dans le petit cul, qui le laisse passer aisément.

Faustine pousse un premier petit cri, de surprise et de plaisir mélangés. Très vite, des ondes chaudes de plaisirs traverses son corps. Et, alors qu’elle sent un bon orgasme s’annoncer, elle commence à chanter la chanson du plaisir.

Le marin accélère ses va-et-vient et a déjà, un plaisir très cérébral, de faire couiner sa partenaire. Bien qu’il ait grande envie de profiter de ce joli corps, il se fatigue à soutenir ce rythme rapide, et sent sa semence qui demande sa libération.

Cette fois, pour accélérer l’orgasme, qu’elle espère libérateur, la belle mobilise son index droit, pour bricoler son démarreur à bonheur. Et là, non seulement le volume de son chant augmente, mais en plus, elle est bientôt prise de tremblement, jusqu’à l’orgasme, qui la secoue sérieusement, un vrai tsunami.

Edmond, flatter par le chant de sa sirène, ne peut se retenir plus longtemps, et finit par éjaculer en râlant lui aussi. Sa queue ramollit quelque peu, mais les jets chauds sont puissants et nombreux. Chaque passage de foutre dans le conduit du méat, agace, encore un peu plus, le sphincter de la blonde. Quand il termine son éjaculation, sa jambe, toujours supportant celle de sa partenaire, retombe.

- Ho putain ! Tu as un cul formidable !

- Merci, mais ce fut super pour moi aussi…

- Je ne te propose pas de remettre le couvert tout de suite, mais au plus tôt !

- J’ai déjà hâte…

L'après-midi se termine tranquillement. Faustine, tout à son bain de soleil, et scrutant la côte au loin. Edmond s’occupant de recalibrer ses instruments de navigation. Il profite de cette accalmie, pour justement, faire un peu de maintenance.

Le repas du soir est à nouveau fait de poisson frais, préparation de thon cru mariné dans du jus de citron et du gingembre. Ce serait originaire de Polynésie, affirme le marin.

La journée a été assez intense, Faustine, saoulée de plaisir, bâille.

Edmond propose d'aller au lit. La cabine est grande, spacieuse et pourtant elle est occupée en grande partie par un lit très grand.

Quand les deux personnages sont au lit, Edmond s’empresse d'embrasser la jolie blonde, de lui caresser, d'une main d'experte, la poitrine. De l'autre, L'œil de bronze.

Elle apprécie grandement ces petites flatteries. À nouveau, la jeune femme est excitée. Elle adore la sodomie, et là, se faire enculer avec le léger roulis du bateau, ça vaut tous les tours de manège du monde. Elle n'a pas besoin de sucer son compagnon, car celui-ci arbore déjà, une fière érection.

L’homme passe un coup de langue sur ses doigts, et les délègue à l'anus, pour l'humidifier. Un autre coup de langue baveux pour enduire le gland. puis, à nouveau sur le côté, il sodomise la femelle, qui est déjà en position, avec une jambe relevée, et qui écarte une fesse.

Le marin est plutôt doué. Il sodomise sa partenaire tout en lui caressant clitoris. Il est plutôt bien monté, mais par contre, il n'est pas très endurant. Et bientôt, il jouit dans cet anus, encore relativement serré.

Un orgasme intense, mais de courte durée, travaille violemment le corps de la belle. Mais très vite, la fatigue reprend le dessus et finalement, elle s'endort, avec le sexe de son amant, qui débande tout doucement, en elle.

Elle rêve qu'un beau militaire, de la Marine, la courtise et d'un coup, sans crier gare, lui déboîte la rondelle. Elle se réveille et comprend que son bel amant est encore en train de lui limer l'œil de bronze. Entre deux eaux, peu après, elle jouit en n’arrêtant pas de crier.

Edmond est très fier de son coup. Avoir pénétré analement la femme, sans l’avoir réveillé. Mais maintenant, il est heureux. Il attend qu'elle ait un orgasme et fait tout son possible pour se retenir. Quand il sent que le muscle se resserre sur son sexe, il intensifie son labourage. puis, avant de jouir, se retire prestement, et vient, à genoux, mettre sa bite, au niveau de la bouche de la jolie blonde.

- Suce-moi, fais-moi jouir dans ta bouche, chérie.

Toujours entre deux eaux, sans avoir quitté l’océan Atlantique, pas encore vraiment réveillée, Faustine gobe le sexe dressé. Elle le branle de sa main droite, et quelques secondes plus tard, de longs jets de foutre tiède, viennent lui engluer les amygdales. Elle tient le sexe dans sa main durant toute l’opération, et ne le relâche que lorsqu’elle est sûre que le réservoir de foutre est vide.

L'homme est un peu surpris qu’une femme accepte une pipe, juste après la sodomie. Il lui demande alors :

- Ça va ma belle ? Être réveillée comme ça, ce n'est pas une mauvaise idée ?

- Non, au contraire, j'adore ! Mais ça m'arrive si rarement.

- Si je réussis encore à me réveiller, je tâcherai de le refaire… En attendant, ne bouge pas.

Là, le marin se lève et va dans la pièce principale, où il y a la cuisine. Il ouvre le placard à victuaille, en sort une courgette, pas très grosse, mais pas toute petite, et revient dans la chambre. Dès qu'il est revenu, il voit la belle allongée sur le ventre, prête à retourner dans les bras de Morphée. Là, il lui dit :

- Tu vas dormir avec ça ! La sodomie n’en sera que meilleure, demain. Tu verras.

Et, sur ce, il glisse le légume dans le rectum, le plus loin possible, jusqu'à ce que sa partenaire fasse un mouvement avec ses fesses. Là, il arrête et lui souhaite une bonne nuit. Il vient se coller à elle, une main sur le légume, pour qu'il ne ressorte pas. Et, très vite, il s'endort aussi.

Au réveil, le marin aguerri, comprend qu'il n'y a toujours pas de vent ce matin. Il prend la belle par les épaules, lui caresse doucement les reins, puis les fesses et finit en retirant, tout doucement, la courgette de l'anus, qui reste béant. Il se lèche les doigts et humidifie le bout de sa bite. Il vient à califourchon sur la femme, qui dort encore un peu sur le ventre. Il écarte les fesses avec ses pouces, plante son vit au fond de l'anus. Il lime peu de temps, car bientôt, il ahane et, cramponnant les flancs de la blonde, qui commence à jouir, décharge son foutre, au fond de ce cul chaud.

Comme elle reste un peu sur sa faim, alors qu'il s'allonge à côté d’elle, elle commence à se masturber. Alors, elle entend une voix lui glisser à l’oreille :

- Vas-y, branle-toi, prends ton pied, ma chérie.

Faustine, qui adore la masturbation, ne se fait pas prier plus que ça et astique son démarreur à plaisir. Si bien, qu'en quelques instants, tandis qu'elle a des sensations particulières, avec son anus bien ouvert, elle jouit et elle a un orgasme à nouveau intense.

L'homme, vraiment gentleman, attend qu'elle revienne sur terre, en la caressant doucement et même tendrement, pour se lever et aller lui préparer le petit-déjeuner.

Lors de ce repas, le type explique à la jeune femme qu'il n'y a toujours pas de vent et qu'ils sont toujours "en panne", comme on dit dans la marine à voile. C’est réellement extraordinaire, car le calme plat est presque inconnu dans ce coin de mer, et qu’il ne dure jamais plus de trois heures. Le début de matinée se passe tranquillement, chacun faisant ses ablutions

Edmond fait encore quelques vérifications du matériel, de son bateau. puis, il revient, enlaçant tendrement la jolie blonde, lui passe la main dans les cheveux et comme elle est toujours nue, il entreprend de lui caresser les seins. D'abord avec les mains, puis avec la bouche, en titillant les mamelons avec sa langue. Et il finit en suçant chaque tétine, tour à tour. Pendant ce temps, sa main droite descend et vient cajoler le clitoris.

Faustine, non seulement se laisse faire, mais en plus, écarte les jambes et fléchit un peu sur celle-ci. Quand elle est positionnée, les jambes assez écartées, elle sent un doigt glisser, de sa vulve à son anus, et agacer le trou du dimanche. Là encore, elle a envie de sodomie. C'est assez comme elle aime, l'homme n'est pas trop performant dans la durée, ne lui lime pas le cul, durant des heures. Mais, suffisamment longtemps, pour qu'elle ait un orgasme. Ensuite, il éjacule. Et, de sentir un mec éjaculer en elle, est toujours un grand plaisir.

Le marin, qui a remonté les couleurs et arbore une jolie gaule, s’assoit sur la couchette et la fait venir à lui.

Elle finit par s’asseoir sur le mandrin de chair.

Cette fois, c'est Faustine qui fait tout le boulot, pourrait-on dire. Elle monte et descend, sur ce chibre, et s’astique en même temps le clitoris. Elle sait que son amant, ne va pas tenir très longtemps. Aussi, ne s’économise-t-elle pas sur le bouton à volupté. Bientôt, un orgasme ravageur vient la cueillir, elle gueule à en faire fuir les poissons, sur dix kilomètres à la ronde.

Edmond est très fier, de faire jouir cette jolie femme. Mais, comme à son habitude, il ne tient pas très longtemps et jute, en longues saccades, dans le rectum de la belle.

Maintenant, les deux partenaires sont lessivés. Entre l'excitation de la nouveauté, pour la jeune femme, ce mec, tout de même pas mal et bien monté, le soleil, la mer et les oiseaux marins. Pour Edmond, c'est un peu la même histoire, il est très fier d'avoir ramené une nana, un petit peu plus jeune que lui, très jolie, et qui plus est, adore la sodomie.

Mais la nature reprend ses droits et les deux partenaires se retrouvent assis côte à côte. La blonde cherchant son souffle, son anus qui se referme tout doucement. Mais en attendant, il laisse fuir ce mélange, si particulier, de sperme et de sécrétion intestinale. Ça devrait laisser un joli souvenir au propriétaire du bateau.

Puis, d'un coup, l'homme se remet debout, d'un bon, et s'écrit :

- Voilà le vent…

Sachant pertinemment qu'il aura du mal à rejoindre son emplacement, il explique à la jeune femme qu'il faut qu'il rentre tout de suite :

- Comme il n’y a plus de moteur, ça va être copieux !

Effectivement, le vent s'est levé. Mais bientôt, il passe à force dix et c'est plus proche d'une tempête, que d'une douce brise. Le marin, bien que confirmé, à quelques peines à trouver l'entrée du chenal, à cause du vent. Il se dirige vers son emplacement. Seulement, c'est très compliqué de manœuvrer sans moteur, et en plus, avec un vent aussi fort. Toutefois, il réussit à amener son navire à bon port, l’amarre sérieusement, affale et déclare :

- Ce n'est pas que je ne veux pas que tu restes, mais je vais passer tout mon temps à essayer de dépanner, ce foutu moteur. Je vais voir aussi au garage.

- Ah bon ! Il y a un garagiste d'ouvert, pour les bateaux, le dimanche ?

- Imagine-toi, quand on est en mer, tu n’as pas de dimanche, pas de jours fériés. Imagines-tu, sur paquebot, tout couper parce que c'est dimanche ? Ce n'est pas possible, donc nous autres avons l’habitude de travailler tous les jours.

- Bien, alors je m'habille et je m'en vais…

Une fois habillé, Faustine vient faire un tendre bisou à Edmond, en lui promettant bien de le revoir, puis descend du bateau pour rejoindre sa voiture.

L'homme, peut-être par acquit de conscience, essaie encore une fois son moteur. Celui-ci démarre au quart de tour ! Il le coupe et vérifie tous les paramètres du moteur, il ne comprend vraiment pas pourquoi ce foutu moteur l'a laissé tomber la veille.

Ça ne fait pas très longtemps que Faustine est sur l'autoroute, qu’une pressante envie de déféquer la tenaille. Elle s'arrête à la première aire de service, et court aux toilettes. Là, elle fait quelque chose d'assez liquide et légèrement sanguinolent. Elle s'essuie méticuleusement, mais pendant l’opération, son anus la brûle terriblement.

Elle repart, mais une vingtaine de kilomètres plus loin, rebelote. À nouveau la contrainte de s'arrêter, sur une aire de repos, et de courir aux toilettes. Son anus la brûle de plus en plus. Et, tout le trajet est comme ça. on dirait qu'elle fait des sauts de puces entre les aires de repos. Arrivée près de son domicile, elle fait un détour chez sa mère. Là, elle récupère son lapin et sa mère lui dit :

- Alors ? Tout s'est bien passé ?

Ne voulant pas inquiéter sa génitrice, elle répond :

- Oui, ce fut un week-end charmant.

Et, à ce moment, sa mère lui annonce :

- Hé bien, c'est certainement parce que je t'ai mis une patte de lapin, dans ton sac à main.

- Ah bon !

- Oui, ça porte bonheur, une pâte de lapin !

- Ah bah non ! Ça porte malheur, un lapin sur les bateaux ! C'est un mot qu'il ne faut même pas prononcer !

Voilà donc bien pourquoi, d'où proviennent tous les soucis et les tracas qu'elle a endurés… En attendant, elle a un anus brûlant, qu'elle ne sait toujours pas comment le calmer.

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