Une superstitieuse : Le chat noir

 

Faustine, sortant d'une relation de quatre mois, qui commençait à être toxique, se rapproche d'une de ses collègues. C'est une jolie blackette, un peu plus jeune, assez grande, très bien faite et qui a un côté MLF assez prononcé. Un vendredi soir, après une semaine bien chargé, elle se laisse inviter, par Évelyne, à faire une petite sortie resto, entre filles, dans la vieille ville.

Arrivée au restaurant, qu'elle ne connaissait pas, quelques minutes après sa collègue. Évelyne, visiblement une habituée des lieux, fait la présentation de sa nouvelle amie Faustine à toutes ses connaissances présentes dans le bar-restaurant. Les deux filles trouvent une petite table, dans un coin, leur permettant de discuter tranquillement. Elles passent un dîner fort agréable. Le repas est fin, les boissons légères et sirupeuses. Après le dessert, la brunette s'adresse à sa collègue :

- Je suis heureuse que tu n'aies pas d’apriori. Car bien les femmes détournent la tête, quand elle passe devant cet établissement. C'est vrai, que c'est un lieu de rencontre de lesbiennes, mais pas seulement. Il y a pas mal d’hétéros, il y a même des hommes, qui viennent.

- Je suis foncièrement hétéro aussi, tu sais, mais les homosexuels, femmes comme hommes, ne me gênent en rien…

- C'est bien, mais tout le monde ne réagit pas comme toi, tu sais.

Ensuite, les discussions repartent sur d'autres sujets, moins directement sexuels. Une bonne demi-heure plus tard, Évelyne propose sa copine :

- Si on allait prendre un pot sur la place ?

- Ah oui, ça pourrait être sympa...

Bientôt, voici nos deux héroïnes qui ont trouvé une petite table, après avoir fait trois fois le tour de la place. Elles sirotent chacune un délicieux cocktail différent et veulent toutes deux goûter celui de l’autre.

- Attention ! Si je bois dans ton verre, je vais connaître tes pensées…

La blackette lance cette phrase dans un rire franc. Et les discussions vont toujours bon train. Et chacune des deux nanas s'aperçoit qu'elle a de nombreux points communs, avec l'autre. L’heure tourne, mais les deux filles n'en ont pas réellement conscience. puis, sur le coup d'une heure trente, Évelyne propose à sa nouvelle amie :

- Et si je te faisais découvrir un autre endroit ? puisque ça semble être une soirée de découvertes, pour toi...

- Je suis plutôt joueuse et je te fais confiance. Fais-moi découvrir de nouveaux endroits.

Là-dessus, les deux femmes se rendent à pied dans une boîte de nuit, elle aussi, dédiée au royaume du monde saphique. Il faut une vingtaine de minutes à pied pour y arriver, et par deux fois, Faustine voit un chat noir traversé la rue. Elle se fait une réflexion, comme quoi c'est un signe maléfique. Mais comme Évelyne l'emmène dans des discussions passionnées et passionnantes. Très vite, ça lui sort de la tête.

Une fois dans le club, la plus jeune installe sa nouvelle amie à une petite table et va commander une bouteille de champagne.

Faustine la suit des yeux et la voit saluer bien d'autres femmes. Certaines d’un chaste bisou sur les lèvres, parfois d'une caresse sur les bras. Elle a aussi le spectacle de ces femmes qui dansent entre elles, qui s'embrassent, qui se caressent sur la piste de danse. C'est quelque chose de tout nouveau pour elle. Mais surtout, c'est très excitant. Elle ne se sent pas du tout homosexuelle, mais de voir ces filles se caresser, s'embrasser, très vite, une excitation sourde, inonde son vagin de cyprine.

Avec l'ambiance sonore, la discussion devient moins évidente, entre les deux nanas. Toutefois, elles essayent de communiquer au mieux, tout en vidant force verres de champagne. puis, quand la bouteille est pratiquement terminée, Évelyne se lève, tend la main à sa collègue et lui dit :

- Et si on dansait ?

Un peu comme dans un rêve, Faustine attrape la main qui lui est tendue, se lève de son fauteuil et suis docilement sa nouvelle amie vers la piste.

Ça commence par une sorte de rock, mais calme, plutôt un jerk, puis un autre. Et d'un coup, les lumières se font très tamisées et c'est un slow langoureux qui débute.

Là, Évelyne ne laisse pas le temps à sa copine de réagir. Elle la prend par la taille, la colle à elle, passe une main derrière son épaule et commence à danser un slow, ventre contre ventre, seins contre seins. Très vite, en fine mouche, elle glisse sa cuisse entre les jambes de sa partenaire et laisse celle-ci frotter sa vulve sur la cuisse inquisitrice.

Pour Faustine, l'instant est magique. Elle est un peu comme dans un rêve ! Le slow est agréable, sa cavalière sait y faire et elle prend plaisir à frotter doucement sa vulve, contre cette cuisse musclée, à travers sa petite culotte en dentelle.

La Blackette, toutes antennes dehors, est très attentive à toute la communication physique et non verbale de la blonde. Et au moment opportun, comprenant que la chair est faible, que sa cavalière est à point, elle tourne la tête et vient embrasser langoureusement, la jolie collègue.

Faustine est très surprise, dans un premier temps, mais elle ouvre la bouche et répond au baiser, en accueillant en elle, cette langue suavement invincible et invasive. Le baiser est tendre et chaud. Il est bien plus excitant que celui échangé avec un homme. Bientôt, elle sent une main sur ses fesses, mais prodiguant de douces caresses. Et une autre main, chaude celle-là, venir presser son sein droit, délicatement, et jouer de temps à autre son téton.

Durant les trois slows suivants, les deux bouches ne se dessoudèrent point.

Les deux femmes étaient comme dans un autre monde, oubliant totalement l'endroit, oubliant totalement les autres personnes alentours, n'étant plus que dans le partage du plaisir entre elles.

Évelyne, foncièrement lesbienne, est très excitée. Non seulement par la plastique de la blonde, mais également par l'idée de convertir une femme, à priori hétérosexuelle, à la religion de Sappho.

Faustine, en pleine découverte d'une nouvelle sexualité et de nouveaux horizons, incroyablement étonné de la douceur des caresses de sa partenaire et de sa science du plaisir. Certes, elle avait déjà entendu dire que les lesbiennes, connaissant parfaitement le corps de la femme, étaient expertes pour donner du plaisir à une autre femme. Mais pour elle, cela restait de la littérature. Là, elle touchait du doigt, si on peut parler ainsi, cette maxime.

Une autre part de son excitation, venez, aussi, du fait de franchir un interdit. Jadis sa propre mère, avait la dent dure, envers une voisine qui était lesbienne et qui recevait des femmes chez elle. Sa mère n'avait pas assez de mots orduriers pour qualifier sa voisine. Et durant toute sa jeunesse, Faustine s'était toujours demandé pourquoi tant de haine envers cette dame, qui finalement ne faisait de mal à personne. Et comme beaucoup de filles, l'adolescence avait été un cap très difficile dans la relation mère-fille. Elle avait ainsi, quelque part au fond d'elle-même, le sentiment de prendre une revanche sur cette génitrice devenu castratrice, quand elle avait grandi.

Quand les lumières se rallument et que l'ambiance musicale change du tout au tout, Évelyne prend la main de sa nouvelle conquête, et l'emmène s’asseoir à leur table. Elle dévore la jolie blonde des yeux, qui à son tour, n'a d’yeux que pour cette magnifique blackette. Elles finissent la bouteille de champagne, assez rapidement, et alors, Évelyne propose :

- Et si on allait prendre un dernier verre chez moi ?

Une fois de plus, comme dans un rêve, Faustine répond :

- Ah oui, avec grand plaisir.

Elle avait raison, il s'agissait bien de plaisir à la clé !

Une fois dans la rue, la jolie black prend sa nouvelle amie par la main, pour aller à sa voiture, qui est à peine un petit quart d'heure de marche. Régulièrement, elle fait des stations et en profite pour embrasser goulûment, pendant quelques minutes, la jolie blonde. Elle n'oublie pas de lui caresser les seins, et dès le deuxième baiser d'ailleurs, s’enhardit à glisser une main, pour fouiller sous la jupe de sa collègue. La culotte en dentelle est détrempée et la lesbienne, très aguerrie, se garde bien de toucher directement le sexe. Elle en reste au niveau du tissu, pour caresser la vulve, le clitoris, enfoncer même parfois, un petit peu, le fin tissu, juste à l’entrée du vagin. Elle sait que cette caresse très indiscrète, mais sans être jusqu'à complètement sexuelle, a le don d'exciter terriblement les nanas.

Quand elles sont toutes les deux installées dans la voiture de la jeune noire, dès que les phares sont allumés et avant encore que le moteur ne tourne, un chat noir traverse devant la place de parking. Comme elle démarre, Évelyne demande à sa conquête :

- J'ai pu tester ta culotte, elle est détrempée. Retire-la pour moi, s'il te plaît.

Toujours sur un petit nuage, Faustine se cambre sur le siège et fait glisser sa culotte au sol. Quand elle va pour la ramasser, elle entend :

- Non ! Laisse-la par terre, ça me fera un souvenir de cette soirée.

La route n'est pas très longue pour aller jusqu'à chez Évelyne, toutefois, durant tout le trajet, la jeune femme caresse les cuisses de son amie. Elle lui fait écarter, en grand, les jambes, passe sa main dans sa toison. Et, dès qu'elle a stoppé le moteur, sur sa place de parking, devant chez elle, elle appuie sur le clitoris doucement, mais fermement.

Là, Faustine ferme les yeux et d'un coup, un orgasme foudroyant et ravageur s'empare d'elle. Il est tellement violent, qu’il lui bloque la respiration.

La jeune collègue s'en aperçoit et continue ses caresses, en accompagnant la descente orgasmique d'une grande douceur. À ce moment, elle embrasse une nouvelle fois sa conquête. puis, elle lui déclare :

- Nous n'allons pas rester là longtemps, allons chez moi, vite…

En quelques enjambées très rapides, Évelyne se retrouve devant sa porte d'entrée. Sortant de son sac à main, la clé, déverrouille la porte et fait entrer sa copine à sa suite. Elle claque la porte, derrière elle, et cette fois, saute plus énergiquement, au cou de sa nouvelle conquête. Évelyne on profite, se sert de ses mains agiles, pour dévêtir tranquillement sa collègue. puis, une fois qu'elle est nue, elle l'emmène dans sa chambre sans autre forme de procès.

Il a un grand lit de deux cents de large, dont le drap et la couverture sont roulés au pied. Avec un soin infini, elle aide son amie à s'allonger sur la couche. Elle prend bien soin de lui caler la tête, avec un oreiller, tout doucement.

Alors, à son tour, elle se met nue, ce qui ne prend pas beaucoup de temps, et elle vient se mettre à genoux, entre les cuisses girondes. Là, elle s'assoit sur ses talons, en écartant ses propres jambes. À ce moment, elle commence un délicieux massage des nichons de la blonde. Elle les palpe, les triture, les tripote, les caresse, passe ses mains dessous, joue avec les tétons en même temps qu'une caresse, sans caresse. Bref, elle passe pratiquement une demi-heure à jouer avec les jolis seins de sa collègue.

Faustine se laisse faire, elle trouve cela agréable, au début. Mais très vite, elle trouve cela excitant et commence à avoir des frissons qui lui parcourent le corps. puis, elle se retrouve à la limite de l'orgasme. Non seulement c'est un ravissement des sens que de se faire peloter les boîtes à lait de cette façon si subtile. Mais en plus, l'excitation est très forte et elle sent sa chatte détrempée de cyprine. Elle commence à supplier :

- Je veux une bite ! Je veux une bite... Je suis trop excitée ! J'ai besoin d'une bite dans ma chatte.

- Attends ma belle, pas trop vite, laisse-moi guider tes plaisirs…

- Oui ! Mais fais quelque chose ! J'ai besoin de jouir ! J'ai besoin de jouir... C'est trop bon ce que tu me fais !

Tout en continuant ses caresses sur la poitrine, la black libère sa main droite. Avec le pouce sous l'index et le majeur, si bien que les deux premiers doigts dépassent du point fermé. Là, tout doucement, elle vient frotter la vulve et commence à l’enfoncer dans le vagin. Progressivement, en tournant, de droite à gauche, son poignet et en donnant des petits coups vers le bas de la vulve. Puis, elle fait revenir son poing un peu en arrière, en appuyant plus vers l'entrée du vagin, qui est près de l'anus. Ensuite, en remontant plus près du clitoris.

Son poing, partiellement introduit dans l’antre chaud féminin, elle stoppe les mouvements de sa main droite. À ce moment, sa main gauche vient se poser sur le pubis. De son pouce, elle commence un doux massage du clitoris. Sa main droite recommence ses petites rotations et essaye de rentrer, toujours plus loin, dans ce vagin.

Elle passe l’ongle de son pouce sous le clitoris et remonte doucement. Quand il est en haut, elle appuie avec le gras du doigt en faisant, de petits moulinets. Ensuite, elle place son ongle au-dessus du démarreur de plaisir, et cette fois, descend vers le vagin, tout lentement. Quand il est au sommet du bouton d'amour, une fois de plus, elle fait de petits moulinets. Pendant cinq minutes, elle agace le clitoris de cette façon et elle sent le vagin se détendre. Puis, tout d'un coup, sans crier gare, cet organe gourmand, avale son poing.

Faustine, pousse alors un cri, et, tout de suite après, enchaîne en criant :

- Oui, vas-y, baise-moi ! Baise-moi, j'en ai trop envie…

Évelyne sait y faire, et très vite, elle commence à limer un peu, cette chatte si accueillante. Au bout de trois minutes, alors qu’elle titille sévèrement le démarreur à plaisir, elle stoppe les mouvements de son bras. Ensuite, avec une certaine force, ouvre son poing à l'intérieur du vagin et écarte ses doigts, le plus qu'elle peut. Après quelques instants, elle referme le poing, elle l’ouvre à nouveau. Pour finir, de plus en plus rapidement, à ouvrir et fermer sa main à l'intérieur du sexe féminin.

Maintenant, et alors qu'elle est toujours en train de crier son bonheur, Faustine commence à s'agiter sérieusement. Ses mains battent le lit, sa tête va de gauche à droite et elle n'arrête pas de clamer :

- Oh oui ! Oh mon Dieu ! Oh oui ! Mon Dieu que c'est bon... Ah oui, continue...

Connaissant par cœur les femmes, Évelyne sait que sa nouvelle amie est proche d'un orgasme très fort. Alors, elle continue à faire avancer, reculer son bras et bouger son poing dans la chatte, en même temps qu'elle l’ouvre et le referme. De même, les subtiles caresses sur le clitoris n'arrêtent pas, au contraire, elles deviennent de plus en plus rapides.

Au bout de cinq minutes de ce traitement, Faustine, tétanisée, projette son bassin vers le haut, les mains crispées sur les draps, la tête droite, les yeux révulsés. Elle émet alors un long hurlement de louve. Cette fois, l'orgasme et le plus violent qu'elle n'a jamais vécu, elle ne contrôle plus rien. Ses cuisses tremblent, sa jambe droite s'est allongée brutalement.

La blackette, qui comprend tout de suite dans quel état se trouve sa nouvelle copine, termine ce bouquet final, par des caresses plus douces, de plus en plus espacées. Et, après avoir fermé son poing à l'intérieur du vagin, retire son bras tout doucement. Aucune entrave, aucune friction, tout se passe en souplesse. Dans la pénombre, elle fixe intensément le visage de sa proie et guette l'instant propice, pour venir l'embrasser.

Faustine est dans un autre monde. Quand elle revient sur la rive du plaisir, portée par une vague de bonheur, elle commence par aspirer de moins en moins fort, mais de plus en plus régulièrement. Ses yeux ne sont plus révulsés et elle commence, même, à pouvoir les entrouvrir. Elle parvient à distinguer une masse noire au-dessus d’elle. Puis, s’habituant à l'obscurité, elle arrive à voir ça jeune collègue, qui lui sourit. Le premier message qu'elle prononce, est :

- Mais comment as-tu réussi à me faire jouir à ce point ?

- Tu en avais envie, j'en avais envie, nous en avions envie... C'est ce qui donne le meilleur du meilleur.

- En tout cas, je ne te remercierai jamais assez, de ce bonheur incroyable ! Merci ma belle.

- Je vais te faire voir comment tu peux me remercier.

Et là-dessus, elle se remet sur ses genoux, puis à quatre pattes et avance son bassin, de façon à ce que sa chatte soit en face de la bouche de la blonde. Là, elle annonce :

- Fais-moi plaisir, lèche-moi le minou.

Difficile de refuser et de faire autrement. Cependant, très encline à rendre heureuse, cette jeune femme, qui lui a donné tant de plaisir. Faustine, bien que novice, sort sa langue et commence à laper, ce fruit mûr, tout doucement. Le sexe est lisse, pas un poil, et la cyprine tiède a un goût légèrement sucré, à peine amère. Finalement, la blonde se dit : dans le sexe, il n'y a pas besoin de connaître les caresses, tout vient naturellement ! Mais pas sûr du tout qu'elle soit dans le vrai.

Ce qui excite énormément la jeune black, ce n’est pas tant la caresse en elle-même, mais le fait que cette langue n'ait jamais léché le sexe d'une femme. C'était un peu comme une défloration.

Toutefois, Faustine fait visiblement des efforts pour donner le plus de plaisir à sa partenaire. Bientôt, elle plaque entièrement sa bouche contre la vulve ouverte et fait pénétrer sa langue, dans la grotte féminine.

Là, la belle noire, pousse un petit cri, plus de surprise que de plaisir. Puis, se laisse aller en permettant à ses jambes de s'écarter inévitablement. Son bassin vient alors un petit peu écraser la tête amie.

Faustine, prend la manœuvre pour un encouragement et continue de plus belle. Bientôt, elle fait comme si elle roulait une pelle, sauf que dans le vagin, évidemment, il n’y a pas une autre langue, pour lui répondre.

Cette fois, en plus de son plaisir cérébral de convertir cette hétéro, la belle Évelyne se laisse aller au plaisir. Et, rapidement, elle commence à ahaner de belle façon.

Faustine est totalement heureuse. Certes, tout cela est vraiment nouveau pour elle, mais elle y va de bon cœur, à ce ramonage en règle, de cette douce chatte.

Cette fois, Évelyne se laisse totalement aller, profite au maximum de sa compagne. Elle en use même, pour s’adonner à la masturbation. Si bien que finalement, en très peu de temps, la belle se met à chanter et un jus de cyprine tiède est éjecté, dans la bouche de la blonde. Ce n'est pas de l'urine, c'est bien de la cyprine, mais le mode d’émission est assez particulier. Toutefois, ça prouve que la jeune noire, a un très bel orgasme.

La blonde, ivre de stupre, avale cette rasade de suc féminin, tout en continuant son savant ramonage, des Parois vaginales.

À ce moment, l'intensité du plaisir est terrible, également, pour cette brave Évelyne. Finalement, elle s'écroule en avant sur le corps de sa jolie collègue, comme prête à faire un soixante-neuf. On pourrait le penser d’ailleurs !

Mais visiblement, les femelles sont très fatiguées et elles vont en rester là, ce soir, et s'endormir dans cette position.

Le lendemain matin, au petit jour, encore tout ensuquée de sa folle nuit, Faustine ouvre les yeux dans cette chambre qu'elle ne connaît pas. Sa compagne de La veille est sortie du lit, pour aller faire le café, semble-t-il, car elle entend les bruits caractéristiques, qui viennent de ce qui semble être la cuisine. La jolie blonde, qui n'aime pas rester au lit seule, se lève à son tour et va rejoindre sa nouvelle amie. Après un tendre baiser et les échanges communs sur la qualité du sommeil, Faustine demande à sa collègue :

- Tu as vu les chats noirs, cette nuit ?

- Non, mais toi, tu as vu une chatte noire de très près, si tu te souviens bien !

Les deux femelles rient en cœur. Puis, Faustine demande pour prendre une douche. Là, ça se passe dans la baignoire. Et là, en voulant ressortir de cette satanée baignoire, elle chute lourdement et se casse le bras. En attendant les secours, elle pense : effectivement, ça devait arriver, j’ai vu trop de chats noirs hier soir !

Et c'est sans compter la chatte noire… Et pourtant, dans la nuit, tous les chats sont gris !

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