Une superstitieuse : La Saint-Jean
La belle histoire d’amour homosexuelle n’avait pas tenu. La jolie Évelyne, en amazone chasseresse, était repartie pour d’autres contrées, d’autres tentations, d’autres conquêtes, d’autres proies.
Un vendredi soir, alors qu'elle n'arrive pas à dormir, Faustine sort en boîte, seule. Elle danse un peu, mais l'envie n'y est pas tout à fait. Pendant qu'elle est au bar, en train de discuter avec le serveur, qu'elle connaît tout de même assez bien, un jeune homme lui offre à boire. Elle finit par discuter avec lui, il est sympathique, avenant et pas mal foutu.
Après trois verres de ce délicieux cocktail, qu’elle savoure toujours autant, l'homme devient un peu insistant. Il a commencé à passer sa main sur ses cuisses, maintenant, il remonte le long des bas et finit par caresser les grandes lèvres. Là, il se penche et l'embrasse intensément.
Bien vite, elle sent les doigts du mec, s'insinuer dans son vagin, puis aller visiter le trou du dimanche. De ça, elle raffole.
Aussi, quand le jeune type lui intime l'ordre, à l'oreille, de le suivre, elle se laisse conduire. Christophe pousse la porte des toilettes pour hommes et entre dans le toilette pour handicapés, retenant la blonde par la main. Dès qu'il a refermé la porte, il saute presque sur la belle. Il l'embrasse pendant deux bonnes minutes, tout en explorant son corps avec ses mains. Ensuite, il remonte sa robe. C'est tout juste s’il n’arrache pas la culotte, et comme elle porte des bas, ça va assez vite. Il la dirige pour qu'elle pose ses mains sur l'évier. prestement, il relève la robe, la maintient de sa main gauche. Il sort son sexe et ses couilles de son pantalon, guide son gland, de sa main droite, contre l’œillet brun.
Faustine, très excitée de la visite de son trou du cul, au bar, mouille terriblement. Toute sa vulve suinte l’envie de stupre.
Christophe, lui, n'a visiblement aucun respect pour cette viande de boîte de nuit. Il crache sur le bout de sa queue, en contact avec l’œil de bronze. Alors, d'un puissant coup de rein, pousse son sexe entièrement, dans le rectum de la blonde, qui pousse un petit cri.
Cette sodomie inopinée, dans les toilettes des hommes, qui sentent l'urine, n'est pas sans exciter terriblement la jeune femme. Très vite, elle couine, puis râle vraiment.
- Oui, vas-y ! Vas-y plus fort.
- Tu n’es qu'une grosse salope ! Tu es une enculée.
- Oui, je suis une enculée, prends-moi bien le cul.
- Dis-le plus fort, que tu es une enculée.
- Oui, je suis une enculée.
- Plus fort encore…
- Oui je suis une enculée, finit par crier cette brave Faustine.
L’ambiance doit également échauffer les sens du jeune mec, car très vite après, il éjacule et remplit l'ampoule rectale, d'un foutre crémeux, bien blanc.
La jolie blonde a encore un orgasme, ses jambes tremblent, elle s'accroche vigoureusement à l'évier. Elle est comme paralysée, dans un état cataclysmique. Elle sent ce sexe délicieux glisser hors d’elle, et, tout de suite, le haut de ses cuisses être mouillé d’un liquide qui s’échappe de son trou du dimanche.
- Ha ! Une bonne sodo en fin de soirée, ça m’évitera d’aller aux putes.
Alors que Christophe ouvre la porte, bien que Faustine soit encore avec sa robe remontée haut sur ses reins, elle lui demande :
- Tu as un numéro de téléphone ?
Il épelle en conséquence une série de chiffres, qui s’avéreront ne mener nulle part. Et il sort, en laissant la porte grande ouverte, alors qu’un troupeau de voyeurs matent ce cul, planté sur des bas qui tremblent.
Quand elle reprend conscience de l’endroit, et des types qui la regardent, elle sent le rouge lui monter au visage. Instantanément, elle redescend sa robe, et sort de la petite pièce exiguë, sous les rires et les quolibets nauséabonds. N’ayant plus le goût à la fête, elle rentre chez elle.
Le lendemain, samedi, elle décide d’aller à une fête de village, petit repas et feu de la saint jean. Elle dîne seule, à côté des pompiers.
Un beau grand pompier l’aborde. Il a vingt-cinq ans environs, il est large d’épaule, souriant, la fait rire. Comme il est de service pour allumer le grand feu, et le surveiller, il propose à Faustine de l’emmener avec lui.
Elle accepte, excitée à l’idée d’être toute proche de ce grand feu de joie, plein de références cabalistiques, de symboles ésotériques, et qui porte bonheur. Ce symbole de vie, mélange de sacrée et de profane, l’attire. De plus, la douceur du soir est propice aux divagations, à l’émerveillement. Et cette charmante soirée, avec les soldats du feu, aimable autant que marrante, agréable autant qu’enrichissante, la porte à la rêverie.
Son chevalier servant est, lui aussi, charmant et bienveillant. Il explique simplement des notions de chimie relativement complexes. À un moment, sous la directive du maire, il enflamme le brasier.
Inconsciemment, peut-être, la belle vient se coller au jeune homme. Un léger frisson parcourt son échine.
Éric, prenant le geste pour une invitation, pivote et se place devant la femme, qu’il entoure de ces bras musclés, se penche sur son visage et l’embrasse comme du bon pain.
Bien que surprise, Faustine répond au baiser en offrant sa bouche et sa langue, à cette douce intrusion.
Le jeune pompier en profite alors, pour laisser ses mains explorer ce corps, par-dessus l'enveloppe vestimentaire.
Nos deux héros reprennent leur souffle. Puis, c'est à ce moment que la belle, prend l'initiative d'un second baiser.
À nouveau, le jeune homme explore le corps de la jolie blonde. Mais cette fois-ci, il s’enhardit jusqu'à passer la main sous la jupe, en remontant le tissu du vêtement. Là, il accède à la vulve, libre de tout textile.
Comme souvent quand elle sort, Faustine ne porte pas de culotte. Elle trouve ce bout de textile un peu démodé. Mais surtout, elle trouve très excitant, quand un homme découvre qu'elle ne porte pas ce type de sous-vêtement. Et, qui la prend instantanément pour une grosse salope. Mais d'ailleurs, n'est-ce pas ce qu'elle est ? La fameuse grosse salope dont rêvent tous les mecs.
Éric sent les festivités sont ouvertes et qu'il n'y a plus vraiment de retenue. Aussi, amateur du genre, il place son majeur sur le démarreur de plaisir, et commence à le cajoler tendrement. Tout en roulant une belle magistrale, à la jeune femme, il commence un champ diphonique, sur un air à la mode, et son doigt suit le rythme de la chanson sur le clitoris. Qui est de plus en plus énervé.
Surprise du procédé, la jolie blonde, les yeux fermés, devant ce feu rougeoyant, se laisse aller. Bientôt un premier orgasme la secoue. Mais il ne dure pas plus de trente secondes, cependant, il est très intense.
Le jeune homme comprend vite que sa partenaire vient de jouir avec son doigt doué. Il se dit : cette cochonne est plus que prometteuse, il faut que j'aille bien plus loin avec elle. Sur cette bonne pensée, il stoppe son baiser, prend la femme par la main et la guide vers le camion rouge, à quelques mètres de là.
Il y a trois places à l'avant, une pour le chauffeur et deux pour le contrôle des instruments de visualisation dans les fumées et de thermographie. Derrière, c'est une banquette de quatre places, suffisamment large pour que le jeune soldat du feu puisse y allonger sa conquête. Là, soulevant à nouveau la jupe, il plonge la tête entre les cuisses et viens lécher goulûment ce fruit juteux offert. La vulve est enduite de cyprine odorante. Rien de désagréable, juste une douce odeur de femme, puissant aphrodisiaque, qui l’excite et le fait bander. Toutefois, il ne perd pas totalement la tête, et jette de temps en temps un regard en arrière pour vérifier que le feu ne dépasse pas les limites prévues.
Elle se laisse faire et goûte au plaisir conjugué de savantes caresses bucco-génitales et d’avoir un si beau jeune mâle, comme amant du moment.
Lui, sachant que plus la femelle prend son pied dans les préliminaires, plus elle sera encline à lui faire plaisir. Il passe donc un bon moment à cajoler le clitoris, à passer sa langue tout autour, à descendre le long des petites lèvres, les suçoter. Il joue avec un doigt sur le clitoris, dessus, dessous, tout en continuant à découvrir la vulve avec son appendice lingual. Il a un art consommé des choses du sexe. puis, d'un coup, sans crier gare, il plonge sa langue au plus profond, que la nature lui permette, dans la grotte féminine bouillonnante.
La blonde pousse un cri de surprise, qui se transforme, très vite, en ronronnement de chatte amoureuse.
Comprenant que ces caresses portent leurs fruits, Éric décide d'aller explorer, d’un majeur impertinent, la cavité génitale. Il délègue sa main gauche à cet office, pendant que de sa main droite, discrètement, il défait ceinture, bouton et fermeture Éclair, de son pantalon. Cette fois, le doigt qui a tout de suite trouvé la zone rugueuse, du point "G", devient parfaitement efficace. L’index gauche suit alors le même chemin, puis l’annulaire. Quand enfin, le petit doigt suit ses congénères, la main s’enfonce sans accoue jusqu’à la naissance du pouce. Et la langue travaille toujours le clitoris avec ferveur.
Là, Faustine commence à râler de bonheur. Après quoi, la respiration saccadée, elle se met à couiner comme une actrice porno, dans la scène finale.
Le pompier, toujours agenouillé entre les cuisses de la belle, commence à se remettre sur pied, tout en gardant sa main experte dans le vagin. Là, faisant glisser son pantalon à mes mi-cuisses, il vient présenter son sexe, déjà partiellement dressé, à la chaude bouche, de la jeune femme.
Cette dernière ne se fait pas prier, elle ouvre la bouche, attrape les testicules de sa main droite et attire l'homme vers elle, de façon à pouvoir enfourner ce joli membre. Il sent pourtant un petit peu la transpiration. Mais une transpiration fraîche, pas désagréable, plutôt une odeur érotique.
Dès qu'il a sa pine enfichée dans la gracieuse bouche, le bonhomme se dit : C'est de la vraie salope sauvage, pas de culotte, suce comme une reine, j'ai la chance d'être tombé dessus ! Il se laisse travailler le chinois à la langue, mais pour autant, il ne me délaisse pas sa propre préoccupation. Il tient à donner encore un orgasme à sa nouvelle partenaire, avec son doigt malicieux qui usine toujours le point "G", tout recourbé qu’il est, dans ce vagin bouillant.
Faustine suce avidement cette belle pine et y prend plaisir. Mais bientôt, cette main engouffrée dans sa chatte, finit par lui provoquer un orgasme surprenant. Elle sent les muscles de son vagin qui réagissent comme s'il voulait avaler le corps étranger.
Entendant sa partenaire en train de jouir, Éric continue de flatter le point "G", tout en essayant d'entrer et sortir la partie de sa main, déjà engouffrer dans ce vagin chaud. Il sent les muscles du minou attirer sa main et alors là, il se laisse faire.
Si le pouce avait été accolé aux autres doigts, il est fort probable que la belle se serait faite fister. Mais là, le poignet reste en dehors du jeu. Quand elle a fini de crier son plaisir, alors qu'elle a toujours la bite en bouche, elle sent que celle-ci lui échappe.
- J'ai trop envie de te baiser...
Déclare le jeune pompier, en retirant doucement sa main, de cette chatte si accueillante. Puis, il se déplace, vient se mettre à genoux entre les cuisses de la femelle et, alors qu'il lui empoigne les hanches, l'attire à lui, les fesses au raz de la banquette. Là, dans un geste souple de félins, il plante son vit dans cette chatte déjà toute ouverte.
À nouveau, Faustine pousse un cri, et très vite, c'est un champ de plaisir, qui remplit la cabine du camion de pompiers. La blonde se laisse aller et subit les coups de boutoir du jeune homme avec grand plaisir.
C'est une baise ardente, vous me direz que c'est normal avec un soldat du feu ! Éric, qui risque de jouir, alors qu'il a encore envie de bien profiter de ce corps, se retire prestement. Ensuite, il déclare :
- T’es trop bonne ! Tu vas me faire jouir trop vite. Bon, je change de trou, et en Avant Guingamp !
La belle sent ses cuisses s'envoler et venir atterrir sur les épaules de son nouvel amant. Là, elle perçoit deux mains, très douces, lui écarter les fesses. Puis, tout de suite après, un gland vient prendre possession de son œil de bronze.
L'homme pousse sur ses reins, doucement, mais fermement, et finit par entrer entièrement son membre viril, dans le rectum chaud.
- Tu la sens bien dans ton cul ?
- Oui, vas-y, défonce-moi le cul…
- Ouais, j'avais trop envie de te casser le pot, ma belle !
ensuite, Éric commence de longs et doux va-et-vient. Au début, assez lents, après, il accélère tranquillement et tente de faire coïncider les cris de joie de sa partenaire, avec son rythme. Visiblement, ce pompier, bien que très jeune, semble bien savoir y faire.
Faustine jouit de plus en plus fort et ses cris sont de plus en plus rapprochés, au fur et à mesure que le rythme s'accélère. Bientôt, un nouvel orgasme arrive et ses cris finissent en une longue plainte d'amour.
Entre les cris et la plainte, qui explique à l'homme, que sa partenaire est en train de jouir. Il ressent également le sphincter se serrer et se desserrer sur sa queue. Mais cette caresse du rectum, ne peut qu'amplifier son désir et son plaisir, arrivant au galop. Aussi, il ressort sa bite prestement, de l'anus, laisse les jambes retombées et va présenter, toujours à quatre pattes, son sexe à la bouche de la blonde.
- Vas-y, suce-moi... Fais-moi jouir dans ta bouche.
Entre deux eaux, comme elle est, elle ouvre, en grand, sa bouche et y laisse entrer le membre viril. L’odeur du sexe a changé, elle est très particulière, un mélange de cyprine et d'anus, une légère odeur d’oignon cru. Mais ça ne la dérange pas, au contraire, ça recommence à l'exciter de nouveau. Elle pompe, à peine quelques secondes, que le jeune décharge dans sa bouche accueillante. Et, elle a encore une fois un orgasme qui arrive, sans crier gare.
- Ha ! Ma salope, tu pourras te vanter de m'avoir fait drôlement jouir !
- Hum, hum. Fait la belle pour tout acquiescement.
Cette fois, le jeune homme a totalement oublié qu'il est de service et qu'il est là pour assurer la sécurité de ce grand feu.
Il s’accorde encore de longs instants à traîner dans la bouche de la femme, qui ne la rejette d'ailleurs pas. Puis, d'un coup, tourne la tête vers le feu, se souvenant de son rôle. Si le feu est toujours contenu et aucun problème n'est en vue, il s'aperçoit, toutefois, qu'un de ses chefs est en train de le chercher, en tournant autour du spectacle. Alors, très vite, il se remet debout, se rhabille, descend du camion et ordonne à sa nouvelle conquête :
- Habille-toi vite, il y a quelqu'un qui arrive.
Faustine ne perd pas de temps à réfléchir et, tandis qu'elle se remet en position assise, sur la banquette, remet, un tant soit peu, ses vêtements en ordre. Et, elle se lève et descend à son tour du camion rouge.
Plus de nouvelles du beau pompier pendant une semaine. D’un coup, il l’appelle, vient la voir à la sortie de son entreprise, sur le parking, au vu et su de tous ses collègues présents. Là, il la tance vertement, car, dit-il tout fort, il a choppé une chaude lance !
Très mal à l’aise, la pauvre Faustine se dit qu’elle doit, maintenant, aller avouer ça, à son médecin.
Forcément, baiser un pompier, le jour de la fête du feu, ça porte malheur. Et puis, elle a une copine, une rousse incendiaire, qui cherche un pompier pour fonder un foyer...
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