La soumission à l’état mûr : Un repas non conformiste
Les quatre dominants se marrent. Le Joker revient se tenir aux côtés de sa maîtresse. Annie, titubant, retourne à son fauteuil, et tombe littéralement dedans, en poussant un gros soupir.
Marc annonce alors à son hôte :
- À chaque fois, c'est vous qui nous invitez. Donc, aujourd'hui, je te propose que nous commandions des pizzas, mais c'est moi qui paye.
- Tu as raison, manger ici, ça peut être plus sympa que d'aller au restaurant avec nos bestiaux.
Tout le monde semble d'accord pour une pizza.
Maurice se lève et déclare la cantonade :
- Il faut que j'aille réveiller notre deuxième soumise. Elle dort encore, cette grosse feignasse.
Il sort de la pièce et revient au bout d'un petit quart d'heure, suivi de Patricia. En entrant dans la pièce, il regarde tout ce petit monde et leur annonce :
Voici Patricia, un travelo, une lopette, soumis aux femmes comme aux hommes, deux trous à bites.
Le repas se passe joyeusement, les quatre dominants sont d'un côté de la table, les trois soumis à l'autre bout. chacun se régalant de sa pizza.
Patricia est très impressionnée par la taille du zob du Joker.
Le maître s'en aperçoit, il fait signe à la trav de venir lécher sa maîtresse Solange.
- Toi, en guise de dessert, tu as du jus de moule.
Le travesti n'en demandait pas tant et il se lève, quand il entend :
- Non ! Tu viens à genoux, je ne veux pas te voir debout, vilaine bête.
La maîtresse de maison comprend la suite que veut donner son époux. Elle repousse sa chaise, se place parallèlement à la table, remonte sa robe et écarte ses cuisses. Ainsi, elle offre sa chatte lisse, sans aucun tissu gênant, à la langue de son soumis.
Il obéit.
Le maître fit un geste discret au joker, alors que le travesti, à quatre pattes, s’occupant du con juteux, ne s’aperçoit de rien.
Le black court sur pattes, vient rejoindre l’hôte. Là, il prend un sachet d’huile piquante que lui tend le dominant. Qui, d’un geste du menton, lui désigne Patricia. Le joker vient subrepticement se mettre derrière la fausse femme, ouvre le petit sachet, s’en badigeonne la queue.
- Vas-y, encule-moi cette tapette, n’aies pas peur, sa maîtresse le fiste jusqu’au coude régulièrement.
Trop content de pouvoir à nouveau se dégorger le poireau, l’homme prend son gros sexe en main, le frictionne un instant, puis l’applique contre la rosette brune du travesti.
Patricia est très surprise, elle n’a pas senti le joker se mettre en place. Elle tente bien de bouger son cul pour éviter une sodomie par trop brutale, mais rien n’y fait, ce diable de black tient ferment ses hanches, maintenant, et elle ne peut échapper à cet étau.
- GO !
Lâche Marc d’une voix terrible, ne permettant aucune contradiction, à l’attention du soumis monstrueux.
Comme s’il avait reçu un coup de fouet, Joker donne un grand coup de rein et fait pénétrer son énorme gland dans l’anus de la fiote.
Un cri de douleur est étouffé, car la femme feinte a la bouche collée contre le sexe de sa maîtresse, et que cette dernière lui maintient à tête à deux mains, fermement.
Le black exerce une pression constante qui fait pénétrer sa longue bite toujours plus loin dans le cul, qui voudrait s’opposer à cette invasion.
Patricia a beau essayer de ruer, de serrer les fesses, de bouger de droite à gauche, peine perdue. Les mains de l’homme sont comme des étaux de chair qui emprisonnent totalement ses hanches. Il a l’impression de subir le supplice du pal, mais très lentement. Quand l’énorme braquemart termine enfin sa course dans ses boyaux, il entend la voix de Marc :
- Alors, Joe la fiote, heureuse ?
Le travesti ne répond rien. Il a d'ailleurs bien du mal à reprendre son souffle. La maîtresse est fort mécontente et cramponne encore plus fort les cheveux de sa soumise, et lui demande :
- Alors, tu réponds ou quoi ?
Totalement essoufflée et ayant du mal à respirer, la bouche toujours au niveau de la chatte, il finit par répondre, d'une voix étouffée :
- Oui…
- Oui qui, pétasse ?
- Oui maîtresse !
Marc qui a suivi l'opération, mais qui n'est pas très content, de ne pas être écouté, s'adresse alors à son joker :
- Vas-y, fais-toi plaize, ramone le cul de cette grosse tantouze !
À ces mots, le black se déchaîne, il commence à limer furieusement le cul de ce pauvre travesti. Non seulement la lime échauffe copieusement l’anus, mais en plus, l’huile pimentée, qui, si elle lubrifie bien le conduit, brûle également l’intérieur.
La maîtresse enchaîne :
- Tu aimes ça, la bite ! Tu dois vraiment être comblé, là ? Non ?
Patricia ne répond toujours pas. Le furieux soumis lime comme un incube. Il donne de grands coups de rein, et à chaque fois, son gland manque de ressortir.
- Plus fort ! S'exclame Marc.
Cette fois, le joker laisse sa pine ressortir totalement de l’anus rougi et, à chaque fois, le réintroduit sans ménagement. Il arrache ainsi, un cri désespéré du pauvre travesti, qui n’a jamais vécu pareille charge ! Les cris sont très particuliers, puisqu’ils sont étouffés dans le sexe de la maîtresse.
Marc se tourne vers son pote Maurice et je lui demande :
- Joker peut limer des heures. Tu me diras, quand tu voudras, qu'il se finisse dans le cul de ta pétasse.
La scène dure encore un bon quart d'heure, durant lequel, la femme feinte pleure toutes les larmes de son corps, tant son trou du cul brûle. De plus, elle se fait copieusement engueuler par sa maîtresse, parce qu'elle ne lécherait pas suffisamment bien, bref, ça doit être la sainte Patricia, ce soir.
Maurice décide donc que ces agapes ont assez durée et qu'il est temps de passer à autre chose. Aussi, il annonce à son ami :
- On va éviter de trop fatiguer ton joker, laisse-le se répandre, si ça lui fait du bien…
Marc l'adresse alors à son soumis :
- Tu as compris, tu peux te vider.
Une fois que le Joker s'est complètement tendu, en plantant son immense queue, tout au fond du cul de la fiotte. Il fait une grosse grimace, attend quelques secondes, puis ressort Son membre moins raide.
Patricia pleure toujours à chaudes larmes, et c'est à ce moment-là, que sa maîtresse le pousse violemment, en disant :
- Allez la pétasse, à ta place.
Annie, dans son coin, suit toute la scène des yeux et se garde bien de tout commentaire. Elle se doute bien des affres que traverse le pauvre travesti, mais elle sait également, que, si elle s’en mêle, ça lui retombera sur le coin du nez.
Pendant que Patricia retourne à sa place, toujours à quatre pattes, l’anus dégueulant le foutre crémeux, Solange se remet à table.
Encore quelques discussions insignifiantes, pour faire retomber la fièvre des derniers moments. Puis, le repas terminé, les deux dominas débarrassent la table. Le Maître va chercher un énorme godemichet noir, de quarante centimètres et huit centimètres de diamètre. Il le pose discrètement sur l’assise de sa chaise, et range cette dernière sous la table. Il prend la mémé par la main.
- Voilà la reine de la soirée, qui porte mes anneaux fièrement !
Puis, il fait monter la mamie sur la table, à quatre pattes, en travers. Pour, explique-t-il, que tout le monde puisse admirer les lèvres joliment décorées des anneaux. Les quatre dominants forment très vite un demi-cercle autour de la vieille, l’admirent et commentent la chatte ainsi équipée.
- Je l'ai emmenée chez le bon docteur et c'est lui qui l'a percé et a posé les premiers anneaux temporaires. Je vais aller acheter des anneaux, portant mes couleurs et je vais commander un cadenas.
Valou, en bonne domina lesbienne, avance sa main vers le sexe et caresse les grandes lèvres. Elle joue avec les anneaux et essaye de les faire tinter. Le son est très tenu. Aussi, décide-t-elle d'aller flatter le clitoris, quelque peu. Puis, tout en discutant allègrement, elle glisse son doigt dans le vagin déjà mouillé. Ensuite, ressortant son doigt, elle va le glisser dans la bouche de la soumise. Elle s'adresse à elle :
- Tu en as de la chance, de porter les couleurs de ton maître. J'espère que ça te rend heureuse…
Annie, déjà passablement excitée d’être mis ainsi en vitrine, et aussi, par ce doigt malicieux, qui lui a enflammé les sens, avec le doigt dans la bouche, répond difficilement :
- Oui maîtresse.
Le maître s'empare subrepticement du gros gode noir, à l'insu de sa soumise. Puis, il vient le coller contre l'entrée de l'anus. En s'adressant à elle, mais en gardant les autres convives, il annonce :
- On va voir si le Joker t'a bien ouverte.
Et, joignant le geste à la parole, il enfonce le gros jouet noir, qui distend les chairs instantanément.
- Effectivement ! C'est une vraie bonne enculée !
S’écrit Valou en voyant le très gros godemichet enfiché dans le cul de la vieille.
- Oui, je lui travaille souvent l’anus, elle prend aussi gros dans le vagin que dans le rectum.
- Mais, il faut dire aussi, que joker a déjà bien ouvert le passage sous ses reins
C'est alors que Marc s'exclame :
- Vous savez les amis, ces petits jeux m'ont mis très en appétit !
Et il baisse son pantalon et son caleçon dans le même geste, demande aux femmes :
- Laquelle de vous deux, mesdames, a envie de sucer ma queue.
C'est Solange qui s’y colle, dans un premier temps, mais très vite, sa copine vicieuse, la rejoint et en profite pour mélanger sa langue avec elle, tout en suçant son mari.
Maurice prend des photos, mais en un instant, il retire, lui aussi, son pantalon, n’ayant rien en dessous.
Ensuite, les deux couples se caressent et s’embrassent gaillardement. Laissant de côté, la vieille à genou sur la table. La trav à sa droite lui tenant le god dans le cul et tripotant un nichon. Le joker qui ne bande plus, lui bricolant l’autre nichon et lui torturant, de temps à autre, le téton.
Rapidement, les deux femmes, qui se disputent la pine de Marc, en mélangeant leur langue, sur le membre érigé, finissent par s'embrasser et se peloter. Les deux mâles se font un clin d'œil et Maurice amène alors sa pine, qu'il frotte contre le vagin de son épouse, à qui, il a remonté largement la robe. Puis une fois son sexe enduit de cyprine, il s'approche de la femme de son pote et lui annonce :
- Tiens, je vais te donner une sucette, goût vagin !
Un peu à contrecœur, il faut bien le dire, Valou happe le membre en laissant de côté la bouche de sa complice.
Solange, qui commence à être bien excitée, fait venir à elle la tête de Marc. Elle lui roule une grande pelle, tout en lui pelotant, les valseuses et en flattant sa queue raide. Elle recule un tout petit peu la tête, stoppe son baiser, le regarde dans les yeux et proclame :
- J'ai envie de ta bite !

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