La soumission à l’état mûr : Retour au donjon

 

Un mois a passé, tous les jours mamie reçoit trois, quatre ou cinq clients, parfois jusqu’à huit, toujours envoyés par son amant et maître, et l'argent commence à couler à flot. Même quand elle était en activité, elle n'a jamais eu autant de revenu, que là. Ce mois-ci, ça marche du feu de Dieu.

En un mois, elle a perçu pratiquement quinze-mille euros de sa petite activité. Rien à voir avec sa petite retraite de mille-deux-cent euros, qui tombe tous les mois.

Le temps a passé ainsi, le matin gym avec un rosebud dans l'anus. La journée réception des clients et sodomies à gogo, d'ailleurs, Annie commence à vraiment beaucoup apprécier ce type de rapport. Le soir, après le décompte de la journée, rapport par écrit au maître et quartier libre.

Un jour, coup de fil du maître, pour lui annoncer, qu'elle doit se rendre chez lui, le week-end suivant. Objectif, aller retirer les anneaux, qu’il puisse alors lui faire porter ses véritables anneaux et non plus des anneaux de transition.

C'est donc en fin de journée de vendredi qu’Annie arrive à la gare de Tours. Son maître et sa maîtresse sont là pour l'accueillir. Dès qu'elle descend du train, l'homme lui prend sa valise pour la porter et la femme la prend par la main pour l'emmener jusqu'au parking attenant.

Dès que le maître a fourré, dans le coffre, la valise de sa soumise. Il lui demande de se placer derrière le véhicule et là, d’écarter les jambes. Il vient juste à côté, soulève la robe, vérifie les anneaux d'une main sûre, puis fait tourner sa soumise sur elle-même. Il lui écarte les fesses et vérifie son sphincter.

- Ton trou du cul est bien ouvert, tu dois bien gagner ta vie avec, non ?

- Vous avez raison, je n'aurais jamais pensé pouvoir gagner autant. D'ailleurs, je dois vous remercier.

- Pas forcément, je n'ai fait que détecter, ce qui était ta nature profonde !

Tout ce petit monde se rend au Pavillon du couple et la soirée se passe tranquillement, par un bon repas, des discussions bien salaces. Ensuite, il est temps d'aller au lit et les trois protagonistes se retrouvent dans le même lit. Le maître honore vaginalement sa soumise, pendant qu’elle a l’immense privilège, de pouvoir lécher la chatte de la maîtresse.

Le lendemain matin, petit-déjeuner et ablutions. Un peu plus tard dans la matinée, tout le monde reprend la voiture direction le donjon du bon docteur.

À midi, pas loin du but, il s'arrête pour déjeuner dans un petit restaurant sympathique. Puis, sur le coup de quatorze heures, ils arrivent enfin à destination.

Tout comme la première fois, le docteur attend le trio sur l'herbe, qui sert de parking. L'homme, comme la fois précédente, et vêtu de cette sorte de robe longue, de ces bottes noires et toujours son grand chapeau noir. Il a l'air d'un vieux magicien.

Le maître sort de la voiture et va saluer son confrère dominateur.

Pendant ce temps-là, Solange est descendue à son tour et a fait le tour de la voiture, pour venir libérer Annie. Puis, elle la prend par la main et l’emmène devant le grand bonhomme, tout en noir.

- Bien, tu es donc venue pour que je retire mes anneaux temporaires et te fasse porter les couleurs de ton maître. On y va ! Lâche-t-il, d'une voix sourde.

Prenant la soumise par la main, il la guide jusqu'à la petite pièce, dans laquelle se trouve la table d'examen et de travail.

Il l’aide à s'allonger sur le dos, ensuite, il lui attache, les poignées d'abord, les chevilles après, les jambes bien écartées, la vulve bien apparente.

- Lève ton cul, que je passe ta jupe sous tes reins.

Sans aucune appréhension, la vieille femme obéit. Elle ne souffre plus du tout des lèvres. Cette nuit, quand son amant lui a pris la chatte, elle a même eu un plaisir un peu inconnu, du fait du frottement de ses lèvres sur le vit adoré.

Le maître des lieux retourne dans l'autre pièce, fouille dans ses fontes, puis reviens s'installer, avec une sorte de mallette, à ses côtés. Il pose son cul sur un tabouret réglable, ouvre la mallette, qu'il a déposée préalablement sur le ventre de la pauvre femme, et en sort un outil un peu particulier. Là, il travaille ses anneaux de telle façon, qu'il les ouvre l'un après l'autre. Il récupère les deux anneaux en or, qu’il place dans un petit haricot métallique, comme on en trouve dans les salles d'opérations, pour placer les outils, qui viennent de servir. Se retournant vers Maurice :

- Bien, tu as les anneaux que tu veux que je lui pose ?

Oui, bien sûr, dit l'homme, en lui tendant un écrin rouge.

Le bon docteur attrape petite boîte et sort le premier anneau. Il est plus épais que les bijoux temporaires, mais aussi, ils sont bien plus ouvragés et plus grands. On pourrait lire, à l'intérieur, la date du jour suivi d'un court texte ; "à ma soumise pour appartenance".

Quand il pose un premier anneau, il est obligé de forcer un peu sur les lèvres, ce qui arrache un petit cri, de douleur et de surprise, à la pauvre Annie. Le médecin feint réitère l'opération pour le deuxième anneau. Ensuite, il se recule et précise encore :

- Voilà qui est fait, est-ce que ça te plaît ?

Le maître acquiesce d'un signe de tête. Puis, il sort de sa poche un cadenas plaqué or, sur lequel est gravée Annie soumise de maître Maurice. Il le tend, et demande :

- Ça ne sera pas trop lourd ?

- Pas de souci, avec les anneaux que tu lui fais porter, aucun risque de déchirure.

Ensuite, se tournant vers la vieille femme, lui demande :

- Alors soumise, heureuse de porter le cadenas de ton maître ?

- Oui, monsieur, très fière.

Maurice demande au maître des lieux :

- Combien te dois-je, pour ce travail soigné ?

- Rien, ce fut un plaisir. Toutefois, son anus est un appel au peuple et j'ai envie de me payer sur la bête.

- OK, on t'attend dans la pièce d’à côté alors.

Le couple sort de la petite pièce et vient s'installer dans le grand canapé à côté du poêle à bois, qui diffuse une douce chaleur.

Le bon toubib soulève son espèce de grande robe, il arbore déjà une fière érection. Il s’empare des cuisses, tout près des hanches, attire le cul de la vieille au bord de la table. Et là, sans autre forme de procès, il pousse brutalement sa queue dans le sphincter.

La belle commence à avoir habitude de ce genre de manœuvre, et la brûlure qu'elle procure. Elle s’y est bien habituée, depuis un mois, qu’elle se fait sodomiser, plusieurs fois par jour. Bien qu'elle serre les dents, elle ne montre pas la douleur. Au bout de dix minutes que l'homme la lime consciencieusement. Elle commence à avoir les ondes de plaisir qui lui brillent le bas-ventre.

Finalement, le bonhomme lâche son foutre, dans un cri rauque. Il reste quelques instants, la bite plantée dans cet anus, mais bientôt la pine dégonfle et ressort toute seule de l'antre chaud.

À ce moment, mamie a un vent sonore et expulse de la matière fécale, bien contre son gré. Tout de suite, elle devient rouge de honte.

Le maître, lui, la toise et lui dit :

- Garce ! Tu es une enculée, dont le sphincter ne fonctionne plus, à force de te faire trop plaisir par là ! Je vais te punir pour ça !

Il détache prestement la mémé et l'emmène dans la pièce à côté. Là, il explique succinctement à ses invités :

- La vieille m’a chié par terre ! Chez-moi, ça coûte vingt coups de canne anglaise.

Et très vite, il installe la femme mûre dans le carcan, referme celui-ci. Il s’empare alors d’une canne anglaise, accrochée au mur, vient se positionner et ordonne :

- Tu comptes.

Là, le bonhomme assène brutalement les vingt coups de cravache, en un peu moins d'une minute ? Il ne se soucie pas du tout des cris de la vieille, qui souffre le martyre. Puis calmé, il retourne accrocher la canne au mur, laisse la soumise emprisonnée, dans le carcan, qui pleure à chaudes larmes. Après, il va s'asseoir dans le fauteuil, en face du canapé, où sont ses invités.

- Le travail est fait, elle a fauté, elle a été punie. Les choses sont dans l'ordre qu'elles doivent être.

S'ensuit une discussion à bâtons rompus sur la domination, sur les soumises, sur la prostituée qu’est devenue Annie.

Maurice, de mémoire, raconte, dans le détail, les meilleurs morceaux des récits de sa soumise. Et l'après-midi avance tranquillement.

Une bonne heure après tout ça, alors que mamie, a les jambes qui tremblent. Car la position est vraiment très inconfortable maintenant. Et qu'elle a arrêté de pleurer, elle est détachée par son maître qui l’aide à se redresser. Ensuite, se reculant quelque peu, retrousse la jupe de sa soumise et demande à son épouse :

- Tu peux faire quelques photos de ce jour béni ?

- Maître, je ne vous savais pas si religieux !

- Tu sais, entre la maîtrise et le divin, il n’y a souvent qu’un petit pas de différence.

- Ha bon ! Ne me dites pas que c'est Dieu qui vous a demandé de me prostituer !

- TE prostituer ? Mais à qui profite le crime, ma belle ?

Là, le maître, une fois de plus, marque un point. C'est vrai qu’il ne lui a jamais rien demandé sur sa "petite activité". Et il est exact, également, qu’elle a, d’un coup, cette manne financière inespérée, qui tombe. Et, une fois de plus, la pauvre femme est perdue dans ses pensées et cogitations, quand elle entend :

- Bon, tu es une bonne soumise, et je ne doute pas, que tu sois aussi, une bonne putain.

- Oui, et tant que tu subiras les punitions et endureras les douleurs, tu seras toujours la bienvenue chez moi. Ajoute encore le bon docteur.

Annie commence à se rendre compte qu’elle représente quelques chose d’important, pour tout ce petit monde. Elle, qui pensait ne plus jamais pouvoir attirer personne, la voilà reconnue, certes comme soumise, par deux hommes, charismatique, pour ne pas dire charmant. Et puis, cette découverte, ce goût nouveau pour la prostitution et ses bénéfices incroyables, il fallait vraiment qu’on l’y pousse pour qu’elle accepte, ce qu’elle a toujours aimé, finalement !

Bientôt, Solange se lève et vient prendre doucement la femme mûre dans ses bras, très tendrement, après avoir embrassé fougueusement la soumise, elle annonce aux deux hommes :

- Nous rentrons à la maison, j’ai tellement envie de pouvoir jouer avec ses nouveaux anneaux...

Annie, maintenant fière de porter, non seulement les anneaux de son maître, mais aussi ce cadenas, qui la contraint à des rapports annaux, en interdisant l'entrée du vagin. Se sent prête à bien des aventures...

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