La soumission à l’état mûr : Piercing

 

À la fin du repas, l’hôte convoque la mémé dans son bureau. Il lui ordonne, tout en fouillant dans un tiroir, de son bureau :

- Tourne-toi, jambes écartées… Penche-toi en avant…

Il lui glisse un rosebud dans le rectum, doucement, délicatement, après l’avoir enduit de sa salive. Quand le sphincter se referme sur la base du gros objet, on entend :

- Ouille !

- Va te reposer dans le canapé.

C'est sur le coup de quatorze heures, que les trois comparses reprennent la voiture, pour aller chez le bon docteur. Il faut compter une bonne heure de route, durant laquelle soumise ne dit rien, seul l'autoradio vomit ses chansons à la mode.

Annie n'a pas changé de tenue, elle est toujours avec ses mules aux pieds, une petite jupe plissée, qui lui arrive à mi-cuisses, et son chemisier, dont les trois boutons du haut ne sont pas fermés

Juste avant d'arriver, Solange passer un coup de fil à André pour s’annoncer. Quand la voiture s'arrête sur le parking, il est debout, en face, à les attendre. Maurice sort de la voiture ainsi que son épouse, laissant pour le moment la soumise à l'arrière.

- Nous sommes venus pour ce que tu sais.

- Oui, j'ai préparé tout mon petit matériel pour le piercing. Et j'ai retrouvé deux anneaux en or, pour mettre juste après. Il faudra qu'elle tourne les anneaux, deux à trois fois par jour, en mettant éventuellement la vaseline, si ça ne tourne pas bien. De façon à ce que les chairs cicatrices. Mais je vous expliquerai ça, tout à l'heure.

Le maître va ouvrir, maintenant, la porte arrière de la voiture. Il prend, par la main, la femme mûre. Elle est conduite directement dans une petite pièce attenante à la grande salle, où elle avait subi les derniers outrages, la fois d'avant. Là, il y a une table gynécologique, un tas de matériel aux murs et des anneaux scellés dans la pierre.

André aide la soumise à s’installer sur le fauteuil qui est assez haut. Il lui passe les pieds dans les étriers prévus à cet effet. Toutefois, ils sont pourvus de lanière, qu’il referme alors sur les chevilles, immobilisant, par cette action, les deux jambes. Puis, il va vers la droite, attrape le poignet et l’attache à son tour, au mur, où se trouve une sorte de menotte. Il fait pareil de l’autre côté, et demande :

- Ça va, tu es confortablement installée ?

- Oui.

- Parfait.

Il prend alors, sur le côté du fauteuil, deux lanières en plastique, les jette en travers du corps de la mamie, fait le tour, et vient attacher chaque lanière à un système, pour immobiliser totalement le corps. Ensuite, il s’adresse à Annie :

- Tu sais pourquoi tu es là ?

- Non.

- C'est une surprise en fait, que précise le dominateur.

- D'accord ! Alors voici, ton maître m'a demandé de te poser des anneaux sur les lèvres, pour marquer ton appartenance.

- Ah bon ! Mais je ne suis pas maso, je n'ai pas envie de souffrir !

- Ne t'inquiète pas, tout ira très bien. Ça ne fait pas plus mal, que de se faire percer les oreilles.

- Ben justement !

Tout en continuant à discuter, le bon docteur a tiré un tabouret de sous le fauteuil et s’assoit entre les cuisses, bien ouvertes.

Durant ce temps-là, Solange met le caméscope en route et commence à filmer.

- En fait, si tu as souffert lorsque l'on t'a percé les oreilles. C'est parce que tu t'attendais trop à souffrir. L'astuce, c'est de penser à autre chose. Là, le but n'est pas de te faire souffrir, mais de marquer ton appartenance.

- Mais, comment je vais faire pour ne pas souffrir ?

- bien, tu vas penser à la dernière chose très très agréable qu'il t'est arrivé. Et tu vas me la raconter, même.

- Ah bon, c'est tout !

- Oui, tu vas voir, c'est magique.

Sur ce, l’homme sort son petit matériel, ses aiguilles, qu'il cautérise dans une solution d'alcool, qu'il apprête ensuite sur une gaze stérile. Puis une sorte d'appareil, qui ressemble à un emporte-pièce.

- Bien, alors raconte-moi ton dernier grand plaisir.

- bien, ce matin, j'ai fait l'amour avec mon maître. Mais vraiment l'amour !

Ensuite, la blonde commence à raconter, par le menu, la séance de sexe, qu'elle a eu avec son maître. Elle commence même à le revivre. Elle raconte avec force détail, tout le plaisir qu'elle a eu, quand ce sexe est venu taper au fond de son vagin.

Pendant ce temps, le feint médecin lui caresse le ventre d'une main chaude. Il lui caresse ensuite les grandes lèvres en les étirant légèrement, mais sans faire mal. Ensuite, il s'en prend aux petites lèvres, auxquelles il fait subir le même traitement, un massage doux.

Après, il pose son pouce sur le clitoris, et, tout en le caressant, il interrompt la blonde dans son discourt.

- Et là, je te caresse le clitoris, ça te rappelle les sensations, que tu as eu avec ton maître ?

- C'est fou, maintenant que vous me le dites, OUI ! Effectivement.

- Très bien, continue ton récit.

André vérifie tout de même que les dires de la femelle soient bien vrais. Il s’aperçoit, à cette chatte qui suinte la cyprine, qu’elle ne lui raconte pas de bêtise.

Et comme Annie continue son récit, par le menu, en décrivant notamment les sensations incroyables qu'elle a vécu, l'homme s'empare discrètement de l'aiguille bien cautérisée. Il tire légèrement la petite lèvre, puis enfonce l'aiguille dans la chair tendre. Il s’enquiert de la femme en lui demandant :

- Alors, ça va ?

- Oui, ça n’a pas été trop douloureux.

- Attends, c'est quand même pas fini. Mais continue ton récit. Surtout, décris-moi tes sensations, autant sexuelles que cérébrales.

Et comme la blonde reprend son récit. Le bon docteur attrape, cette fois, le genre de petit emporte-pièce. En tirant légèrement sur la petite lèvre, à nouveau, il vient plaquer cet appareil, puis déclenche le mécanisme, qui perce directement un trou de cinq millimètres, dans la fine membrane.

- Ouille !

Cette fois, Annie accuse le coup.

- C'est rien, ça va passer ! Continue à raconter et à revivre, surtout, cet épisode, si intense pour toi.

Et une fois de plus, la femme mûre s'épanche. Elle a bien vu que sa maîtresse la filme, mais, mue par une sorte de perversité, elle veut lui expliquer tout le bonheur, qu’elle avait alors ressenti. Elle raconte ce qu'elle percevait, quand elle avait ce sexe magnifique, en elle. Elle va même jusqu'à raconter, qu'elle aurait aimé être plus jeune, pour pouvoir porter l'enfant, de cet homme, dont elle tombait réellement amoureuse. Bien sûr, elle sait que c'est un amour compliqué. Puisqu'il est déjà marié et visiblement, il aime son épouse.

Le docteur commence alors par piquer la deuxième lèvre. Cette fois-ci, sans s'enquérir de l’avis de la femme. Ensuite, il se saisit à nouveau de l'emporte-pièce et, claquant le mécanisme de façon à arracher une partie de cette chair tendre, il réalise un trou rond, net et précis.

- Ouille, ouille, ouille, aïe ! Là, je l'ai senti, tout de même !

Le feint médecin affirme alors :

- C'est pratiquement terminé. Maintenant, tu es percée et je vais t'installer des anneaux. Tu ne trouves pas que les anneaux, ça fait un peu esclave, d'ailleurs ?

- Si ! Je suis contre l’esclavagisme et pourtant, être l'esclave de mon maître, c'est quelque chose qui me fait rêver.

L'homme pose alors le premier anneau puis se sert d'une pince pour refermer l'anneau qui était légèrement entrouvert. Il fait de même pour le deuxième, toujours avec beaucoup de précaution, toujours en prenant bien soin de ne pas faire souffrir inutilement. Après, il explique, autant pour la soumise, que pour le couple dominant, qui a suivi toute la scène :

- Il faut les faire tourner deux ou trois fois par jour. De façon à ce que les anneaux n’adhèrent pas à la cicatrisation. Il y a peu de risques, mais on ne sait jamais. Sinon, utiliser un peu de vaseline, ça évitera que la chair ne colle alors. Dans un mois, il faudra revenir chez moi, je lui retirerai les anneaux et là, toi, tu auras acheté des anneaux qui conviennent à ton projet. je peux les poser, sans problème, et avec plaisir. Ça reste un travail, avec les mains dans le bonheur !

- Très bien, à partir de quand, puis-je lui poser un cadenas ?

- Dans une semaine, si tout va bien, s'il n’y a pas d'adhérence. Tu pourras lui faire porter un cadenas, pour fermer sa chatte, pour qu'elle te soit réservée. Ou du moins, qu'elle soit réservée à tes envies, que ce soit pour toi ou pour autrui. D'ici là, ma foi, c'est sodomie à volonté !

- Je te remercie beaucoup pour tes explications. Et pour ton travail, comment puis-je te dédommager ?

- Eh bien, j'ai souvenir que madame est une bonne pipeuse. Je dirais une bonne pipe.

- Alors le maître se retournant vers sa soumise lui demande :

- As-tu compris ce qu'on attend de toi, maintenant ?

- Oui Maître.

Le faux toubib se lève de son tabouret et défait sa braguette, fait glisser légèrement son pantalon et offre sa pine, déjà un petit peu en érection, à la bouche gourmande et docile. Cette fois, il met un peu plus de temps avant de jouir. Il profite de ce temps pour demander à Solange si elle a bien pris le film du piercing.

Celle-ci lui répond que oui, tout est dans la boîte.

Mais la blonde est redoutable, et même sans les mains, elle réussit à faire jouir ce diable de bonhomme. Il a tout de même réussi à lui percer les lèvres, sans, pratiquement, de douleur.

Le sperme est épais, goûteux, aussi mamie se régale-t-elle.

- Ouvre la bouche, montre-moi que tu as bien mon foutre dedans.

Toujours obéissante, la mémé ouvre la bouche et montre le reste de sperme qu'elle n'a pas encore avalé. En faisant cela, elle regarde avec amour son maître. C'est un regard qui en dit long, c'est un regard qui demande à ce que le maître la récompense.

- C'est parfait, ma belle, tu as été très bien.

Le maître des lieux prend à part le couple et leur dit :

On va la laisser se reposer une petite demi-heure, dans cette position. Je veux être certain qu'il n’y a pas de saignement ou quoi que ce soit d'autre.

Le trio sort donc de la pièce et va s'installer dans la grande salle, pour discuter.

Une bonne demi-heure plus tard, ils reviennent dans la petite pièce. Le médecin simulé vient détacher la blonde en lui demandant, une fois de plus :

- Ça va ? Tout se passe bien ?

- Oui Monsieur, c'est bon, pas de douleur.

- Je vais te remettre ton joli rosebud en place.

Il s’empare du jouet et écarte les fesses. Là, d’un geste lent et sans accoue, il enfile l’objet dans le rectum.

- Te voilà à nouveau équipée comme une bonne soumise.

Et comme l’homme commence à lui détacher une cheville, puis l’autre, le maître sort une grosse culotte blanche de sa poche, achetée pour l’occasion et une bourre de coton. Et il demande à ce que son acolyte lui verse de l’alcool à quatre-vingt-dix degrés sur le coton.

- On ne sait jamais, pour éviter les risques d’infection.

Le bon docteur, connaissant parfaitement les effets de ce produit sur les muqueuses, et sachant qu’il n’y a aucun risque médical, sourit en imbibant la bourre.

Avant de détacher totalement sa docile femelle, le dominant lui fait passer les jambes dans la culotte, lui remonte la culotte, et pour finir, place le tampon d’ouate dans le sous-vêtement.

- C'est pour que ça ne s’infecte pas !

Après, tranquillement, il défait les lanières avant de libérer les poignets.

Au début, ça fait froid dans ce slip. Elle n’a d’ailleurs plus l’habitude d’en porter, depuis qu’elle a accepté d’être soumise à cet homme. Mais ensuite, ça commence à chauffer sa chatte, de plus en plus. Le froid est devenu brûlure.

- Alors ? n’as-tu pas l’impression d’avoir pissé dans ta culotte ?

- Si, mais ça chauffe drôlement !

Maurice s’approche donc et lui met la main dans le slip, cherchant à dégager le clitoris. Puis, il la retire prestement, et demande :

- Et là, tu en penses quoi ?

- Aie ! Ça brûle !

Elle a l’impression de recevoir mille gouttes de cires brûlante sur le clitoris. C'est un embrasement. Hurler ne lui est pas suffisant. Elle est tétanisée. Elle a beau tenter de respirer, pour tenter de maîtriser la morsure de l’alcool. Ses lèvres semblent collées, maintenant, tout le bas ventre la brûle.

- Parfait, c'est que ça agit...

- Salaud ! Ça me brûle, c'est atroce !

- Mais comment tu parles à ton maître ? Ça, ce n'est pas possible chez moi !

Et le vicieux toubib attrape la pauvre vieille par la main et l’emmène dans la grande pièce. Il la force à mettre le cou dans le carcan, puis s’empare de sa canne.

- Compte, vilaine !

Et il abat sa badine sur le haut des cuisses, pour le premier coup.

Elle fléchit sur les genoux et se met tout de suite à pleurer.

C'est ensuite une dizaine de coups de bâton, sur les fesses, sans qu’Annie ne fasse autre chose que pleurer. Et pour finir, un coup bien plus fort encore, sur les haut des cuisses à nouveau.

- Tu n’as pas voulu compter, libre à toi, mais au lieu des cinq coups que je voulais te donner, tu en as eu dix !

La vieille femme pleure toujours à chaudes larmes, quand elle sent l présence de Son maître qui ouvre le carcan. Toutefois, la douleur est si vive sur ses cuisses, qu’elle ne tient pas debout, et que c'est son mentor qui la soutient.

- As-tu toujours la chatte en feu ?

- Oui, Maître, mais les fesses me font encore plus mal !

- Très bien, ainsi, tu sauras comment on doit subir chez moi ! Poursuit André.

Le couple prend congé de leur hôte, et demande encore à la vieille femme souffreteuse d’embrasser son bienfaiteur.

- À bientôt, ma chère, apprend l’humilité et, promis, la prochaine séance ne sera pas douloureuse.

Le trio reprend la voiture pour le voyage de retour. Annie ne se plaint pas, mais elle ne saurait dire ce qui la brûle le plus, sa chatte alcoolisée ou son derrière martyrisé.

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