La soumission à l’état mûr : Patricia

 

Le soir, en arrivant, le maître fait venir sa soumise dans la salle à manger. Il soulève la jupe, de la main gauche, trifouille dans la culotte, de la main droite. Il retire le coton qui est maintenant sec. Il en profite pour lui cajoler, un tant soit peu, le clitoris et lui demander si elle aime ça.

- Ah oui Maître, mais le coton à l'alcool à quatre-vingt-dix dans la chatte ça fait vraiment mal, ça brûle vraiment !

- Bon pour ce soir, nous en resterons là. Tu retires ta jupette et la culotte que je t'ai donnée, tu la mets au sale et ensuite, nous allons dîner.

Une fois de plus, le repas se passe tranquillement. Ils devisent de tout et de rien, mais pas tellement de sexe finalement.

- La journée a été éreintante pour toi, j'imagine, non ?

- Ah oui, Maître, véritablement crevante !

- Bien, donc ce soir, on fait un peu relâche. Il y a un film marrant à la télé, ça te dirait ?

- Parfait

À la fin du film, le trio va se coucher. Mais cette fois, c'est Solange qui est au milieu des deux autres. Très vite, le maître enlace sa femme, l'embrasse fougueusement et lui propose de le sucer.

Cette fois, c'est l'épouse qui repousse le drap vers le pied du lit et va sucer son mari.

Pendant qu'elle le suce, il tend le bras, pour peloter les nichons de sa soumise. Puis, il a fait venir à lui, en attrapant par la nuque. Il l'embrasse.

Quand il bande bien, Solange en profite pour le chevaucher.

Il ordonne à la blonde :

- Va lui lécher les nichons, elle adore ça... Et tu peux même lui pincer un téton, en même temps. Il se doute bien que la vieille femelle est assez perverse, pour pincer, fortement, le téton de sa compagne. Mais il sait aussi que celle-ci adore ce genre de chose.

S’ensuit une partie de baise intense, où les langues, les doigts, les sexes se mélangent gaillardement. Mamie caresse tout le corps de sa maîtresse, mais flatte aussi les couilles de son amant, qui ne cessent de bouger. Solange se régale, comme toujours, de la bite de son homme dans la chatte. Cela dit, elle adore tout autant la sodomie. D’ailleurs, en tant que receveuse et en tant que donneuse. Maurice tripote les deux paires de mamelles alternativement. Comme il ne veut pas triturer la chatte de la vieille, il finit par lui mettre son pouce dans le fondement. Puis, la fidèle épouse, décide de passer à autre chose, elle se soulève pour dégager la queue bien raide, et la guide dans son anus. Une fois que l’engin est engagé, elle se laisse empaler de tout son poids.

C’en est beaucoup pour un seul homme, fut-il endurant et performant. Maurice, profite encore, quelques instants, de l’anus chaud de son épouse. Puis, il lui demande de descendre. Après, il attrape la mémé par la nuque et lui intime, sans un mot, l’ordre de le sucer.

Annie est étonnée ? Elle aime ce goût de chatte sur la bite de son amant, mais là, en plus, il y a comme une odeur particulière. Non pas d’excrément, mais une odeur indéfinie. Et, finalement, c'est un mélange assez subtil. Mais elle n'a pas trop le temps de se poser de questions, car très vite son éducateur jouit dans un râle de goret. Elle sent sa bouche et sa gorge inonder de foutre.

S’ensuit un petit temps de calme, avant que tout le monde s’embrasse tendrement et tâche de s'endormir. Le couple amoureusement enlacé, la soumise contre le dos de sa maîtresse. Venant passer une main sous son bras, pour lui tenir un sein.

Le lendemain matin, c'est Maurice qui se réveille le premier et sort du lit. Il ne peut empêcher sa compagne de se réveiller à son tour. Et le couple sort de la chambre, pour aller prend la douche.

La soumise dort toujours du sommeil du juste, après cette journée fort chargée, elle récupère un tant soit peu.

Après la douche, le maître réveille la blonde pour qu'elle aille faire ses besoins et prendre sa douche avant petit déjeuner.

Tout le monde a bien dormi, jusqu'à neuf heures, donc il est très vite dix heures quinze quand le petit-déjeuner est avalé. L’hôte enjoint la vieille femme à aller faire un petit peu de gymnastique. Ils vont ainsi dans la chambre d’amis, et, comme l’avant-veille, Maurice s’empare du gode à ventouse, le plus petit des deux. Il fait s'accroupir la mémé vicieuse, règle le jouet de manière que, à chaque fois qu'elle s’accroupisse, elle vienne s'enculer.

Solange, connaissant parfaitement le planning qu’a concocté son compagnon, sait que ce matin Patrice, son travesti soumis, doit passer à dix heures trente précises. Effectivement, quelques instants plus tard, la sonnerie retentit. Elle voit venir un homme depuis la porte d’entrée, habillé en tenue de ville et affublé d'un petit sac de sport. Solange le fait entrer au salon et lui ordonne de se changer.

Le type est déjà tout excité et dispose d’une fière érection, qui se devine. Très vite, il retire son pantalon, sa chemisette et ses chaussures. Il a déjà son porte-jarretelle et ses bas comme sous-vêtement.

- Voilà maîtresse, je suis prête.

- Très bien. Comme tu nous as déjà dit, que tu voulais participer à nos fêtes, je vais, pour une fois, accéder à ta requête. Nous allons aller dans la chambre des tortues, tu y auras une surprise. Mais, je ne veux surtout pas que tu montres un étonnement quelconque, c'est bien compris, Patricia ?

- Oui maîtresse.

Sur ce, Solange prend le travesti par la main et le guide jusqu'à la porte d'entrée de la chambre d'amis. Elle frappe de coup sec à la porte et attend l’autorisation d'entrée.

À ce moment, Maurice intime l'ordre à sa soumise de s'accroupir à nouveau et de s'enculer. Quand elle a obéi, il dit tout fort :

- Oui chérie, tu peux rentrer.

La maîtresse et le travesti entrent.

- Voici Patricia, une des soumises, déclare Solange. Et, se tournant vers Patricia : Je te présente Annie. Qui s'est levé tard et en est encore à sa gymnastique vicieuse. Relève-toi Annie.

Là, la maîtresse se tourne vers son soumis et lui dit :

- Toi, tu vas détacher le gode ventouse, mais avec la bouche. Tu commences par le prendre, le plus loin possible, dans ta bouche.

Le travesti semble, également, très obéissant, car il fait instantanément ce qui lui a été commandé, en posant un genou à terre et enfournant le jouet en place. Il gobe l’objet qui était, il y a peu, dans l'anus chaud de la vieille blonde. Il sert que les dents, puisque le god est complètement collé au sol. Puis, il se relève, et montre qu'il a le godemichet dans la bouche.

Le maître s’en saisit, et fait faire demi-tour à la créature et lui ordonne :

- Penche-toi bien en avant, jambes écartées.

Patricia s’exécute et bientôt, il sent qu'on écarte ses fesses, et qu'on lui rentre le jouet dans l'anus. À ce moment-là, il se dit qu'il a bien fait de faire un lavement, ce matin.

- Redresse-toi, jambes serrées. Toi, Annie, tiens-toi droite et viens te mettre à côté de ta nouvelle amie.

Là, le maître fait quelques photos des deux personnes soumises. Puis, il annonce :

- Vous allez faire connaissance, mais pour bien faire connaissance, il faut de la proximité. Aussi, je vais tout faire pour que vous trouviez cette proximité.

Là-dessus, il se met à fouiller dans son sac à malice et ressort deux paires de menottes. Il fait pivoter le travesti de manière à ce qu'il soit face à la soumise. Puis, passe le premier bracelet à son poignet droit et attache le poignet gauche de la mémé. Ensuite, il fait pareil pour les deux autres poignets.

- Voilà, ainsi, vous avez suffisamment de proximité pour bien faire connaissance. On vous laisse.

Annie ne comprend rien à ce qui se passe, tout comme cet individu, qu’elle ne connaît pas. Et les deux personnes regardent le couple dominant ressortir de la pièce, puis ils s'asseyent, tous les deux, sur le lit. Mais ce n'est pas une position commode, très vite, ils sont obligés de s'allonger sur le lit de manière à être en face l'un de l'autre. Mais surtout à soulager leurs poignets. Là, ils commencent à discuter et à faire connaissance.

Depuis le bureau, le couple suit attentivement ce qui se passe dans la chambre d'amis. Vers midi, comme rien de vraiment salace ne s'est passé tout seul, ils vont tranquillement déjeuner. Après le repas, un peu avant treize heures, le couple dominant redescend et entre dans la pièce.

Maurice s'adresse donc aux deux personnes :

- Alors, avez-vous bien fait connaissance ? Vous êtes intime maintenant ?

- Oh non maître, pas intime ! Vous ne m’avez pas donné l’ordre de l’être avec elle, répond rapidement la mémé blonde.

- Il est vrai, que de te voir baiser par un travelo me plairait beaucoup, mais en ce moment, pas question de risquer une infection quelconque !

Patricia commence à avoir un début d’érection en s’imaginant se taper la mémère, qui est encore bien baisable. En fait, depuis très jeune, il se sent attiré par les femmes plus âgées que lui. Il se dit qu’il a intérêt à assurer sa place, s’il veut un jour accéder à ce morceau de choix.