La soumission à l’état mûr : Partie fine

 

L'homme ne se fait pas prier, il prend la belle par la main et l’emmène dans la pièce à côté, où se trouve le grand sofa. Là, il l'allonge et après lui avoir retiré son pantalon, pointe sa queue sur la chatte bouillonnante. Le membre est tout de suite englouti par l'organe féminin.

La femme pousse un cri, dont on ne saurait dire s'il s'agit de surprise ou de bonheur.

Excité comme il est, Marc se met à limer cette chatte, mais il ne tient pas longtemps. Et bientôt, dans un grand râle de fauve, il noie la moule de son sperme laiteux, en s'affalant sur le corps de Solange.

Durant ce temps-là, Maurice et Valou ne sont pas restés inactifs. Ils s'embrassent et se tripotent mutuellement copieusement. La jeune femme s’accroupit d’un coup, et gobe le gros sexe de son partenaire pour exécuter une pipe mémorable. Quand ils entendent les couinements de Solange, puis le grognement dantesque de Marc, l’hôte aide sa suceuse à se relever, et la guide jusqu'au salon à côté. En passant, la femme file une grande claque sur les fesses de son mari et lui dit :

- Allez, debout, laisse-moi la place, gros cochon.

L'homme sourit. Il a bien une petite idée de ce qui va se passer. Et, dans un dernier effort, se relève tant bien que mal et va se vautrer dans le fauteuil à côté.

La belle Valou s’agenouille entre les cuisses de sa copine et vient lui lécher le bonbon. Elle commente, en même temps qu'elle lèche :

- Tu as le bon goût le foutre de mon homme dans ta chatte. Si je n'étais pas marié avec Marc, je te demanderais en mariage ! Salope que tu es…

Valou est presque plus lesbienne qu’hétérosexuelle, mais peu importe. Elle commence par passer sa langue sur toute la vulve, laissant de côté, dans un premier temps, l’appendice turgescent. Elle surveille les réactions de sa copine. Et, quand il lui semble que cette dernière commence à partir pour le pays des plaisirs, elle lui croque le clitoris, d’un coup de dent bien senti !

- Ouille ! Salope !

Sans répondre, elle s’empresse alors à enfouir sa menteuse dans l’antre bouillonnant, puis, après quelques moulinets subtils, elle revient au bouton d’amour, et cette fois le cajole et l’entoure d’un maximum de douceur.

Marc suit toute l’opération depuis son fauteuil. Quelque part, il est bien content de pouvoir se reposer et de reprendre son souffle.

Maurice, vautré dans l'autre fauteuil, profite du spectacle, de ces deux goudous, tout en se caressant doucement, histoire d’entretenir son érection naissante.

Valou plonge régulièrement sa langue dans l'antre féminin bouillant et y pratique de grands tourniquets. Comme si elle cherchait à extraire, tous les sucs, de ce fruit gorgé de plaisir. Cela dit, elle n'est pas en reste, non plus, avec ses mains. Puisqu'elle a attrapé les deux nichons et les malaxe, en prenant bien soin de pincer périodiquement les tétons, et ce, de plus en plus fort.

L’appel de la chair est très fort et bientôt, Maurice se relève et bien se mettre derrière l’épouse de son pote. Là, il se penche pour lui faire des petits bisous dans le cou, en même temps qu'il lui tripote les seins. Il lui susurre à l'oreille :

- J'ai très envie de toi, ma belle enculée. Tu te rappelles comment la mémé a pris le god dans le cul ? ça t'a pas un peu excité ça ?

Valou ne répond rien d’intelligible, mais son espèce de mugissement laisse penser, à l'homme, qu'elle est d'accord.

Il se lèche le bout de ses doigts, les enduit bien de salive, se tripote le bout de la queue, qu'il a déjà en érection. Ensuite, il recommence à lécher les doigts, mais cette fois pour lubrifier l'anus. D'abord tout autour du muscle, puis il revient, une fois de plus, lécher les doigts, retourne et entre le bout de son majeur dans le conduit anal de Valou.

La belle se trémousse, remue son bassin comme pour encourager son cavalier.

L'homme appuie le bout de sa queue contre la rosette, attrape les hanches à deux mains. Puis, pousse doucement en faisant une petite incantation

- Sésame, ouvre-toi.

Valou, qui a le sens de l'humour, aurait bien rigolé. Mais là, elle est bien trop occupée à se régaler du vagin de sa copine. Toutefois, elle apprécie cette sodomie, tout en douceur, qui lui ouvre l’œil de bronze. C'est peut-être ça, dont nous parlait jadis, T Lobsang Rampa, quand il parlait du troisième œil ! C'était, probablement, l’œil du bronze du bonze !

L'homme pousse progressivement son sexe jusqu'à le rentrer, entièrement, dans le rectum chaud. Une fois qu'il est en place, il annonce à sa compagne de jeux :

- Il est bouillant ton cul. Tu en avais une grosse envie !

- Hum… Hum… Fait la belle en guise de réponse.

Puis l'homme commence à ressortir son sexe, jusqu'à ce que le gland soit proche de l’extérieur. Ensuite, il le renfonce délicatement.

A priori, ça énerve beaucoup Valou, qui pousse son bassin vers le corps de son amant, comme pour lui faire comprendre, qu’elle en veut plus, plus vite et plus fort.

Marc, qui a repris, quelque peu, du poil de la bête, contemple ce couple nouvellement formé. Ensuite, il se tourne vers son hôtesse et, alors qu'elle a les yeux clos, le souffle très court, qu'elle ronronne comme une chatte, vient lui proposer sa queue, encore molle, mais déjà assez développée.

Solange ouvre les yeux, puis, reconnaissant son ami, prend son sexe dans sa bouche. Et, au lieu de le sucer de façon classique, commence à faire comme si c'était une langue, qui lui visitait sa bouche, et tourne autour du sexe avec son propre membre lingual.

Valou donne maintenant de furieux coups de bassin pour se faire sodomiser à la hussarde. Décollant sa bouche de la chatte amie, sans se retourner, elle s’adresse à Maurice :

- Si tu n'es pas plus énergique que ça, je vais faire venir joker à ta place.

Mais l'homme ne veut pas tomber dans le piège. Il se met à limer comme un démon, même s’il sait qu’il ne tiendra pas très longtemps, vu l'ambiance chaude, de cette soirée. Aussi, il ressort sa bite du cul, certes à contrecœur, et annonce à ses invités :

- Allez, on va dans la chambre, on sera mieux au lit.

Comme un cabri, Valou se remet debout, attrape par la main sa copine et l'aide à se relever.

Marc, quant à lui, a un petit peu plus de mal à se remettre debout.

En passant par la salle à manger, l’hôte ordonne encore :

- Descendez-moi cette vieille pute de la table et suivez-nous.

Quand les deux couples sont dans la chambre et commencent à se mettre dans le grand lit, le maître de maison enjoint aux trois soumis :

- Debout et regardez bien ce qui se passe. Ensuite, vous aurez interrogation écrite !

Solange s’allonge sur le dos, en travers du lit.

Valou vient se mettre par-dessus elle, et elles entament un furieux soixante-neuf.

Marc se masturbe tranquillement la bite, à côté de la tête de Solange. Quant à Maurice, lui, est resté au pied du lit et impose au Joker :

- Toi, va baiser ma salope de bonne femme !

Puis, il se tourne vers sa soumise et lui dit :

- Regarde bien ce qui va se passer. Tu vas en apprendre des choses.

Ensuite, il l'oblige à se pencher en avant, le visage au niveau du pied du lit. Il passe derrière elle et, sans qu'elle ne soit plus lubrifiée que ça, la sodomise brutalement. Il s'adresse alors à son pote et lui dit :

- Tu as déjà enculé un travelo ?

- Ah oui, mais ça fait assez longtemps, un, au bois de Boulogne…

Alors le maître s'adresse à Patricia et lui ordonne d’aller à genoux, devant le lit.

- Tu t’allonges et t’écartes les cuisses. Tu auras droit à une saillie.

Pendant ce temps, le Joker s'est approché de la chatte de la maîtresse de maison, tout en s'astiquant le vit de manière à avoir la queue raide. Il attend que sa maîtresse habituelle, lui laisse prendre possession de ce vagin, dont il doit s'occuper.

Valou guide l'immense membre et le fait entrer dans la chatte bouillante de son ami. Puis, elle lève les yeux vers son soumis et lui dit :

- Vas-y, tu peux la limer, mais là, c'est pour le plaisir. Je veux entendre ma copine jouir de ta bite.

Alors que Maurice sodomise copieusement la vieille femme qui, une fois de plus, est perdue entre plaisir et souffrance. Son pote vient de placer sa queue raide au bord du trou du travesti. Il l’attrape par les hanches, il s'enfonce en lui et exige :

- Allez, branle-toi, pédale !

Patricia branle une nouille molle. Parfois, lors de sodomie, surtout, quand c'est une de ses copines travestie qui le sodomise, elle réussit à avoir une érection. Mais, dès qu’elle se sent soumise, inférieure à son enculeur, plus moyen de bander. C’est donc bien dans la tête que ça se passe.

Ensuite, c'est un véritable opéra. On entend les cris Solange, qui se fait ramoner la chatte par cet immense gland. La vieille qui couine et crie un coup, partant dans un orgasme fou, puis, quelques secondes plus tard, la douleur se réveillant sur ses lèvres, commence à pleurer, avant de repartir dans des cris qui dénotent son plaisir. Elle est entre la chance et la joie d'avoir le sexe de son amant et maître en elle, quelque part, de porter ses anneaux. Mais aussi, cette douleur sourde qui monte de ses lèvres. Elle non plus, ne sait plus où elle habite. Ensuite, on entend également la voix de soprano de Patricia, qui se fait exploser le cul par la grosse queue de Marc. Même si elle adore se faire enculer, là, le membre qu'elle héberge dans le fond de son rectum, est le plus gros qu'elle est prise. Et, en plus, il bouge en elle de façon des plus énergiques et désordonnées.

La bacchanale bat son plein. Tout le monde est à la fête. Bien que Solange se fasse défoncer et qu'elle s'époumone, dès qu'elle a un peu repris de l'air. Et avant un nouveau cri, elle s'empresse de fourrer, sa langue ou ses doigts, dans la chatte de sa copine Valou.

S’il en faut pour tous les goûts, si ces vicieux et pervers personnages se régalent de stupre et se roulent dans la frange, ils n'en restent pas moins humains. Et bientôt, la nature reprend ses droits.

Le premier à jouir est le maître de maison, le cul bouillant et encore serré de la mémé, lui arrache sa sauce de spermatozoïdes, qui se répand dans les boyaux surannés. Il gueule son plaisir à tue-tête et, cramponnant plus fermement encore les hanches de la vieille, s’arque-boute en venant planter sa pine tout au fond du rectum. Là, seules ses jambes qui tremblent, permettent de comprendre qu'il est encore en vie.

Le deuxième à partir est ce coquin de Marc. Il insulte en permanence le travesti, le traitant de tous les noms, l’humilie en lui donnant de grandes claques sur le cul. Mais, ce faisant, il s'excite aussi et finit, lui aussi, par balancer son jus de gosses, tout au fond du cul de la tapette.

Pour le Joker, c'est un petit peu différent, car il a l'habitude de jouir sur ordre. Et, comprenant la situation, Valou s'adresse alors à lui :

- Vas-y, inonde le vagin de ma copine.

À ces mots, le black ne se sent plus de joie et pour montrer sa belle voix, ouvre en grand ses écluses et jouit, en l’annonçant fortement et en le répétant pendant toute l’éjaculation. Son sexe crache la semence par petits jets puissants, avec une pression hors du commun.

La soirée se poursuit, mais en moins violente, tout le monde étant peu ou prou fatigué de ces débordements. Les deux dominas recommencent à se gouiner, les dominateurs présentent leur sexe aux bouches, encore avides, pour se faire sucer. Mais l’heure qui suit est bien plus calme.

Pour finir la soirée, et c'est un rituel chez eux, Marc prend vaginalement son épouse. Maurice vient câliner la sienne, d’épouse, pendant que sa soumise le suce. Et Patricia, toujours excitée, se jette sur le sexe énorme du joker.

Deux heures après le début des hostilités, le combat cessa faute de combattants valident. Les dominants se mirent au lit. Le grand lit de deux-cent-quarante permettant d’avoir suffisamment de place pour tout le monde.