La soumission à l’état mûr : Le client de fin de journée
Le reste de l'après-midi se passe tranquillement. C'est sur le coup de dix-neuf heures que la sonnette retentit à nouveau.
La vieille femme, toujours vêtue de la même façon, va et ouvre la porte. Elle fait très putain, ainsi habillée.
C'est un grand Escogriffe, dans les quarante ans, qui s'affiche dans l'encadrement de la porte d’entrée. Avant de rentrer, il demande :
- Tu es bien Annie ? La prostituée avec qui j'ai rendez-vous ?
Tout de suite, la pute mature pique un phare. Elle ne veut pas que la discussion se passe sur le palier. Elle sait que les portes ne sont pas très épaisses, dans cet immeuble et qu'on entend, assez facilement, ce qui se dit dans le couloir, car ça résonne beaucoup.
- Oui, bien sûr, pas de problème, mais entrez, ne restez pas sur le pas de la porte.
La réponse a presque été chuchotée. Le personnage est très différent de son premier client. Déjà le physique est-celui d’un homme dans la pleine force de l’âge. Et, son attitude, ses gestes, sa démarche, tout en impose.
Dès qu'il entre, il commence par lui peloter les nichons, sans autre forme de procès. Puis, il cherche à lui rouler une pelle.
Annie détourne la tête et cette fois, ose demander le prix de sa prestation.
- Mon maître, que vous avez eu au téléphone, m'a dit, qu'il avait négocié avec vous, pour deux-cent-cinquante euros. C'est bien cela ?
- Oui ma belle. Tu veux ton pognon, c'est normal.
Et le type de fouiller dans ses fontes et sort cinq billets de cinquante. Il les remet à la prostituée mature.
- Ça va, le compte est bon ?
- Oui, aucun problème. Veuillez me suivre.
- Attends mémé, je suis là pour t'en foutre un coup, pour t’usiner le cul pendant deux heures. Mais avant, j'aimerais, tout de même, pouvoir me laver la queue et pisser un coup. Alors, où-est ta salle de bain ?
- Juste à côté de la chambre, venez.
En quelques pas, elle est devant la salle de bain et se décale légèrement sur le côté. Elle invite son visiteur à pénétrer dans la pièce d'eau.
Le type défait son jean, le laisse tomber sur ses chevilles, sort sa queue et puisse dans le lavabo.
La vieille femme ne peut détourner le regard de ce sexe, qui lui paraît de bonne facture. Long, assez large, avec un gland plutôt épais. Certes, ce n'est pas le monstre du Joker, mais tout de même, c'est une bien belle queue.
Une fois que l'homme a fini ses ablutions, il se penche pour remonter, un peu, son pantalon et s'exclame :
- Bon, tu as vu l'engin, maintenant, tu vas pouvoir le goûter. On va où ?
- Oui, suivez-moi.
- Et la vieille tourne les talons pour aller dans la chambre deux mètres plus loin. Cette fois, elle rentre la première, et l’homme la rejoint. Elle lui désigne une chaise et lui annonce :
- Voilà, vous pouvez mettre vos petites affaires sur la chaise.
Le type a une gueule carrée, un visage anguleux et une carrure aussi assez impressionnante. S’il a bien dans les quarante ans, il est très bien conservé, c'est le moins qu'on puisse dire.
En quelques secondes, il se retrouve nu et se tourne vers la vieille femme. Il s'approche d'elle et à nouveau, tout en pelotant les nichons d'une main sûre, l’embrasse goulûment.
Cette fois, Annie ne peut se défiler et accueille la langue charnue dans sa bouche. S'ensuit un long baiser. Durant le baiser, le client, dont la main droite malaxe le sein gauche, envoie sa main gauche sous la robe, pour tripoter la chatte, dénudée.
Ils restent debout, tous les deux, enlacés, un petit moment. Annie appréciant ce baiser fougueux et ces caresses osées. L'homme prenant, petit à petit, possession du corps de la vieille prostituée.
D’un coup, il se recule et annonce :
- Bon, on ne va pas jouer les collégiens toute la journée. Passons aux choses sérieuses. Tu vas me faire une bonne pipe, pour commencer.
Sur ces bonnes paroles, il s'assoit sur le bord du lit, tout en attrapant le poignet de la blonde et en attirant à lui, cette dernière, de manière à ce qu'elle s'accroupisse, entre ses cuisses puissantes.
- Voilà, maintenant, tu vas me faire voir ton art de la fellation. Ton maître m'a dit beaucoup de bien des pipes, que tu faisais.
Annie, sans se jeter sur le sexe à moitié en érection, le prends d'une main sûre et, se penchant, le happe dans sa bouche. Elle commence une fellation goûteuse, en astiquant légèrement la hampe. Mais, sans la serrer trop fort, et en jouant de la menteuse autour du gland. Parfois, elle s'attarde un peu sur le méat. Cette queue sent bon, l'homme doit se parfumer le pubis.
Goûtant parfaitement à cette friandise, le client en a profité pour s'allonger en travers du lit, laissant la professionnelle œuvrer. Bientôt, il arbore une belle érection et montre son sexe sous son plus beau jour.
Ton maître ne m'a pas menti, tu es la reine de la pipe, et je vais te récompenser pour cela.
D'un coup, la belle sent des mains puissantes venir lui tenir la tête et appuyer dessus.
Annie a un petit haut de cœur, mais continue néanmoins, professionnellement, sa pipe.
Très vite, le client éjacule en puissants et chauds jets, dans la bouche de la vieille pute. Il reste quelques secondes ainsi, la queue commençant à dégonfler, toujours dans la bouche de sa bienfaitrice, puis il déclare :
- Merci ma belle, j'ai vraiment bien joui, tu es vraiment la reine. Pour me remettre de mes émotions, tu me ferais un petit café ?
La brave femme déglutit et, une fois la bouche vide, répond :
- D'accord. Tu veux du sucre avec ?
- S'il te plaît. Oui, un sucre s'il te plaît.
Et, alors que mamie part dans la cuisine mettre sa machine expresso en route, le type se déplace à pas de loup et commence une fouille méthodique. Il investit le tiroir de la table de chevet, mais dans le capharnaüm, il ne trouve rien de très intéressant. Ensuite, il s'arrête sur le petit meuble qui sert de coiffeuse et, sans rien déranger, cherche les bijoux, mais n'en trouve pas. Ensuite, toujours très peu bruyant, il ouvre l’armoire à glace, passe méthodiquement sa main entre les plis des draps, mais là non plus, ne trouve rien. Il s'aperçoit d'un tiroir dans la partie étagère de l'armoire et, en l’ouvrant, il voit une alliance en or. Il s'en empare discrètement et place le bijou dans sa poche arrière, qui ferme avec un bouton. Puis, toujours sans bruit, il revient s’asseoir sur le lit, qui grince légèrement, quand il se met dessus.
La vieille femme revient avec une tasse dans laquelle il y a une cuillère, rempli d’un café chaud, et le tend à son visiteur.
Tout en tournant la cuillère dans la tasse, l'homme, avec un sourire commercial, s'adresse à son hôtesse :
- Et ça fait longtemps que tu fais la pute ?
Non, c'est ma première journée et tu es mon deuxième client, répond franchement mamie.
- C'est marrant, vu ta science de la fellation, j'aurais pensé que tu as passé ta vie à te prostituer !
- Non, non, je le fais pour faire plaisir à mon amant et maître, que tu as eu au téléphone.
Le mec ne croit pas trop la vieille, mais lui aussi, sait que les prostituées ne racontent jamais rien de leur vie.
Le client pose la tasse vide sur la table de chevet. Le type attrape doucement, mais fermement, la vieille femme et l’enserre dans ses bras puissants.
Une fois de plus, il embrasse son hôtesse fougueusement. Quand il retire sa langue de la bouche chaude et douce, dont il vient prendre possession, une fois de plus. Il se redresse un petit peu, toise d'un regard de braise, la femme dans les yeux, lui demande :
- Ton maître m'a dit que je ne pouvais que de sodomiser, car tu avais été percée. Montre-moi un peu tes lèvres.
Progressivement, Annie se relève et remonte sa robe et, écartant les jambes de quelques centimètres, avec un sourire malin, tirant doucement sur la peau de ton sexe, laisse apparaître ses anneaux.
Le client siffle d'admiration et avance un doigt inquisiteur vers le sexe offert. Il pose sa main sur le pubis.
Bien cette main soit chaude, elle provoque un léger frisson de peur chez la vieille prostituée. D'un coup, elle prend le poignet de son visiteur et repousse aimablement la main en disant :
- On touche avec les yeux, pas plus.
L’homme, attrapant les hanches devant lui, fait faire demi-tour à sa proie. De sa main gauche, il appuie dans le milieu du dos alors que la main droite, il maintient la hanche, à une distance assez proche de lui. Là, il lui impose :
- Penche-toi en avant, que je vois ton trou du cul.
Toujours aussi docile, Annie obéit, se penche en avant, et, une main sur chaque fesse, les écarte.
Là, le client se lève et vient placer son sexe entre les fesses de la vieille pute. Il guide son gland sur le sphincter. Tenant fermement les hanches antiques, il annonce, d'une voix rauque :
- Je vais t'enculer à sec, vieille morue.
Il exerce alors une poussée phénoménale qui introduit son gros membre, d’un coup, au plus profond du rectum. Le lieu devrait être habitué à pareille manœuvre, mais il n’en est rien, et la vieille pousse un cri de douleur. Tout de suite, l’homme se met à limer comme un forcené, sans aucune mansuétude pour la pauvre femme qui ne peut que subir.
- Je vais te ravager le fion…
- Tu me fais mal ! Tu me fais mal !
- Je sais, c'est comme ça que les vieilles putes comme toi doivent jouir. La joie dans la douleur.
- Tu es un monstre.
- Ta gueule l’ancêtre.
Le type, qui pouvait paraître bien sympathique au préalable, montre son vrai visage de despote. Il lime en tenant très fortement les hanches qu’il a entre les mains.
Mamie a bien du mal à trouver son souffle. De plus, une affreuse brûlure lui vrille le ventre et le dos.
Maintenant, ce démon s’amuse à sortir totalement sa pine du rectum, pour l’enfiler à nouveau après quelques secondes, toujours plus brutalement.
À chaque sortie, mémé s’imagine que le client va arrêter là, mais très vite, elle comprend la manœuvre, et les quelques secondes d’attente sont autant de tortures psychologiques.
- Ça te brûle le cul, hein, vieille connasse !
Et voilà qu’arrivent les insultes. Elle se garde bien de répondre, de peur d’envenimer la situation, qui n’est déjà pas brillante.
Le mec s’amuse à limer à toute vitesse, puis doucement. Ensuite, il reprend sa série de sorties de l’anus douloureux, attend quelques instants, et encule à toute force, la vieille qu’il tient toujours fermement.
La séance dure presque une demi-heure, qui paraît une éternité pour celle qui en souffre.
À la fin, le visiteur empoigne le bras droit de mamie, l’attire à lui, la contraint à s’accroupir et lui fourre sa queue polluée dans la bouche.
- Vas-y, bouffe ta crotte et fais-moi jouir, vieille truie dégueulasse.
Au point où elle en est. En pleur, toujours avec cette affreuse brûlure de son cul, elle suce pour bien vider c'est diable d’homme. Elle ne voudrait pas qu’il puisse bander à nouveau et lui refaire subir les affres qu’elle vient de vivre. Elle ne sait pas pourquoi, mais sucer cette queue polluée qui sort d’elle, lui rappelle les émotions qu’elle avait ressenties, quand elle avait vu un reportage sur une jument qui mangeait le placenta après la mise à bas. Là où pas mal de gens auraient été dégoûtés, elle, elle avait presque eu un orgasme à voir la scène. Pourquoi ce souvenir à cet instant ?
L’homme, quant à lui, se laisse faire, il transpire et l’odeur est assez rance, mais il n’en a cure. Il est là pour son plaisir, que la vieille souffre, l’amplifie encore. Mais la nature reprend ses droits, et bientôt, dans une série de grognements bestiaux, il décharge.
- Ha que c'est bon de t’en foutre plein la gueule !
Annie déglutit et ne commente pas, elle a les jambes qui tremblent, et vient de vivre à l’instant, en faisant jouir son client, un orgasme fou. Serait-elle en train de découvrir la vie, ou la petite mort ?
Bien entendu, le mec se rend compte de l’état de la putain. Il connaît bien les femmes, sait que son sexe fait des ravages, dans un sens comme dans l’autre, selon son envie. Et là, il comprend que la vioque vient d’avoir un orgasme mémorable.
- Tu vois, t’as pris un panard royal ! Je te dis, la joie dans la douleur...
Ne pas répondre, surtout ne pas répondre.
- C'est bien, tu es une bonne pro du pot, tu subis sans te plaindre. J’en parlerai à ton mac et je reviendrai sûrement.
J’espère bien que non, pense alors Annie. Une fois qu’elle a retrouvé sa liberté, tout en reprenant son souffle, elle se redresse. Elle a les joues mouillées de larmes, et renifle une fois de plus.
- Alors, vieille salope, elle est magique ma bite, non ?
C'est vrai qu'elle ne se comprend plus du tout. Elle a eu mal, très mal au cul. Mais en même temps, elle a eu un orgasme incroyable, des sensations très fortes, telles qu'elle pensait que ça ne pouvait pas exister. Quelque part, l'attitude du client la ramène à celle qu’avait envers elle, jadis, son affreux mari. Toutefois, aujourd'hui, elle a joui avec une intensité jamais atteinte. Aussi, elle ne sait trop que répondre à son interlocuteur.
- Alors mémé, tu réponds ?
- Oui monsieur, oui ça m'a fait jouir.
Le visiteur se dirige vers la chaise et se rhabille rapidement. Une fois qu'il est totalement vêtu, il se penche encore vers la mémé et lui fait un bisou sur la bouche, tout ton tripotent une dernière fois ces petites mamelles. Puis, il se dirige vers la porte d'entrée, toujours suivi par l'hôtesse, et sort de l'appartement.
Elle reste interdite, se demandant comment ce diable d’homme a réussi à lui donner autant de plaisir. D'avoir joui, plus qu'avec son amant et maître, et ne sait comment, elle va lui expliquer la chose. Puis, toujours perdue dans ses pensées, elle retourne dans sa chambre, va dans son meuble pour sortir son ancienne alliance. Car, elle aime triturer ce bijou, ça la rassure quelque part. Mais là, rien, elle ne retrouve pas cette bague lisse. Se pourrait-il qu’elle ait oublié de la ranger la dernière fois ? Cette bague lui rappelle qu’elle a pu se marier jadis. Certes, son bonhomme était une ordure, mais elle plaisait dans son jeune temps. Et, ce symbole de l’union, la réconfortait. Elle devait absolument retrouver ce bijou.
Ensuite, elle va alors dans la pièce à vivre. S’assoit à son bureau, devant son ordinateur et commence à rédiger le déroulé de sa journée, pour en faire un email et l'envoyer à son maître, dans la soirée. Et elle n’hésite pas à dire à son maître qu’elle ne veut plus jamais revoir ce diable monstrueux.
Le lendemain, le maître l'appel au téléphone et lui explique, qu'il est très difficile de trouver des clients, qui payent deux-cent-cinquante euros, pour se taper une femme de soixante ans. Aussi, s’il veut bien comprendre que sa soumise ait souffert un petit peu, mais que si elle veut avoir une vie un peu plus sympa, avec un peu plus de pognon, il faut qu'elle prenne sur elle.
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