La soumission à l’état mûr : L’apéro-joker

 

Le couple se rend dans le bureau et s'installe pour suivre, sur l'ordinateur, ce qui se passe entre les deux soumis, au sous-sol.

Pendant ce temps, Patricia et Annie sont allongées en travée du lit. L'anus de Patricia brûle toujours, mais en plus, la bouche aussi, la brûle. Annie a un peu pitié de cette femme feinte. Elle s'imagine bien les affres qu’elle traverse. Mais pour sa part, de toute façon, elle a encore les fesses et l'arrière des cuisses qui sont bouillantes et le moindre mouvement, lui rappelle les coups de fouet et la douleur enflammée qu'elle a ressentie.

- Tu comprends, maintenant, pourquoi il faut vraiment faire attention à ne pas aller trop dans leur sens. Le maître et la maîtresse sont des pervers et des sadiques, aussi, tu peux faire ce qu'ils te demandent, mais fais toujours attention, que ça ne te retombe pas sur le coin du nez. Tu en as la preuve là, non ?

- Oh que oui, ma belle ! Oh que oui.

- Eh bien, j'espère que ça va te servir de leçon.

- Oui. Et je suis extrêmement confus de t'avoir fait jouir, et surtout, de t'avoir fait punir. Le fouet ! C'est incroyable !

Elle est touchée, par les excuses de sa nouvelle amie, qui semble si sincère. Et, d'un coup, elle se penche :

- Tu sais, je me doutais bien qu'il y avait un piège à te goder et à te donner du plaisir, soi-disant pour te remercier. Connaissant ce maître, que j'aime, que j'adore et pour qui je fais tout et n'importe quoi, je me disais bien, qu'il devait y avoir anguille sous roche. Mais comment se soustraire aux ordres ?

- Oui, tu as raison. Moi, c'est exactement le même problème, je ne savais pas comment me soustraire, à ces commandements pervers.

- Alors voilà, tu commences à toucher du doigt toute leur perversité…

L'homme fait un geste pour remettre un peu d'ordre dans sa perruque. Ce faisant, il entraîne le bras de la femme mûre. Puis, plutôt que de le laisser, de nouveau, le long du corps, il vient caresser tendrement le sein de la belle et lui dit :

- Je comprends que le maître t’apprécie tant !

- Ouais, j'ai le sein doux, mais, ne va pas dire pour autant, que je suis une truie.

Et les deux rigolent doucement. Dans le bureau, le couple suit toute l'évolution de près. À un moment, le maître dit dans son épouse :

- Et si nous invitions nos amis, Marc et Valou, ainsi que leur soumis, joker, qui a une si grosse bite ?

- Ah oui, très bonne idée ! Surtout que ta soumise ne peut plus prendre que dans le cul, pour le moment, vu qu’elle a des anneaux aux lèvres.

- Oui, un apéro-joker, ça devrait être intéressant effectivement.

Sur ce, et constatant qu’il n’y avait rien de bien salace à l’étage du dessous, Maurice prend son téléphone et compose le numéro de ses amis.

- Salut Marc, j’ai ma soumise Annie, dont je t’avais parlé, qui est avec nous en ce moment, aimerais-tu que je te la présente ?

- Oui, avec plaisir.

- Alors je vous invite à l’apéritif, en fin de journée, on se fait un apéro-joker ?

- Oui, très bonne idée. Je vois avec Valou. Justement, on a le Joker tout le week-end et ce soir, je n'avais pas trop de programme pour lui, donc, ce sera bien. Je pense que tu veux t’en servir ?

- Ma soumise a été opérée des lèvres. Elle porte mes anneaux, en conséquence pas de rapport vaginal. Mais je trouve marrant qu'elle se fasse sodomiser, par un très gros sexe.

- OK à tout à l'heure alors.

Comme dans la chambre d’amis ça ne bouge pas plus que ça, Solange se relève et part vaquer à ses occupations.

Le maître, lui, garde dans un coin de l'écran l'image du sous-sol. Ensuite, il entreprend de rédiger les aventures récentes de sa docile amie.

Au sous-sol, le travesti caresse doucement et très tendrement les seins de la femme mûre, attachée avec lui.

Cette douceur, après ce déchaînement de violence et cette souffrance terrible, arrive à point nommé pour réconforter quelque peu la mamie. Et, mue par une sorte de pulsion, la blonde approche sa bouche de celle de son compagnon d'infortune et l'embrasse goulûment.

Ça correspond parfaitement à ses fantasmes et instantanément, pratiquement, le travesti a une érection. Il répond à ce baiser avec délectations et fait en sorte qu'il dure le plus longtemps possible.

Les deux êtres entrent en communion et pas simplement avec la langue. Quelque part, ils se rassurent mutuellement sur la suite que prendra cette journée bizarre. Quelque peu rassérénés, ils finissent par se relâcher. Après toute cette tension nerveuse accumulée, la détente les emmène au pays des songes. Ils s'endorment, aimablement enlacés.

Vers dix-huit heures, le maître des lieux entre dans la chambre et secoue doucement sa soumise.

- Toi aussi, tu es invitée à l'apéro-joker. Aussi, je vais te détacher, mais laisse dormir ton nouvel ami, il en aura sûrement bien besoin, un peu plus tard dans la soirée.

Joignons le geste à la parole, l’hôte défait les menottes des poignées de sa soumise. Puis, en prenant bien soin de ne pas réveiller Patricia, attache une de ses mains à la tête du lit.

Le travesti ne s'est pas réveillé et ronfle faiblement.

Les deux personnes ressortent de la chambre et se rendent au rez-de-chaussée. Annie est toujours nue, à l’exception de ses bas et de ses mules, qu'elle a enfilées, avant de quitter la pièce. Le maître l'emmène dans le salon et lui propose de s'asseoir, dans un des deux fauteuils, profonds et moelleux. Ne sachant pas trop à quelle sauce elle va être mangée, elle s’assoit et reste stoïquement sans bouger.

C'est une petite demi-heure plus tard qu'elle entend la sonnerie de la porte d'entrée. Elle entend le maître ouvrir la porte et accueillir un couple. Puis, elle entend des pas qui se dirigent vers le salon. Elle ne remue toujours pas.

Quand le maître entre dans la pièce, il lui dit :

- Debout, je te présente Marc, un ami dominateur, et son épouse Valou, une amie dominante. Toi, qui aimes les dominants, tu vas être servie ! Quatre pour l'apéritif. Ha oui, je te présente aussi le Joker, on l'appelle ainsi... Mais tu vas pouvoir très vite voir pourquoi, on l'appelle ainsi…

Les quatre personnes rentrent, le maître et le couple s'installe dans le canapé, le Joker restant debout à côté de sa maîtresse. Sur ces entrefaites, voici qu’arrive Solange, qui vient faire la bise à ses amis.

Quelques minutes de discussion sur le temps qui passe, les activités des uns, des autres. Puis, la maîtresse de maison sert le punch, qui est prévu pour l'apéritif, ainsi que les petits amuse-gueules. Alors qu'elle s'installe dans l'autre fauteuil, elle demande à son amie Valou :

- Et ton Joker, il reste là, stoïque ? Ou...

- Ah oui, je manque à tous mes devoirs ! Joker, à poil vite.

Le soumis, habitué à obéir au doigt et à l’œil, ne met que quelques secondes, pour se retrouver totalement nu. Il ne porte pas de chaussettes, donc, ça va très vite. Il est affublé de telle façon, qu'il n'y a pas de perte de temps.

Annie pousse un cri de surprise, quand elle voit le sexe énorme, de cet homme noir. Elle ne s'attendait pas du tout à voir un tel monstre. Toutefois, elle fait très attention, de ne pas avoir l'air trop étonnée, de peur que ça ne soit le début de souci, pour sa santé.

Valou soupèse le sexe de l'homme en faisant un clin d'œil à sa copine et en lui disant :

- Tu te rappelles de lui, une bite sur pattes. Il n'a rien dans la tête.

- Il a tout dans la bite, réponds alors Solange.

C'est alors que Maurice prend la parole en disant :

- Il serait intéressant de le voir en pleine érection, j'espère qu'il peut bander, l'animal.

- Oui, la seule chose, c'est que son sexe n'est pas plus gros, ou plus grand, quand il est en pleine érection. Il est juste tout dur, tout raide.

- Très bien. Tout de suite, l'homme s'adresse à sa soumise :

À genou sur l'assise du fauteuil. Tu vas offrir ton cul au Joker, pour qu'il puisse le lécher, de façon à ce que ça lui donne une érection.

Apeurée, Annie se permet de demander :

- Il ne va que me lécher ? Jamais, je ne pourrai prendre un pareil membre !

- Oui, il va juste lécher. Nous, ce qu'on veut, c'est le voir en pleine érection.

Puis, le maître de maison se lève, s’empare de son appareil photo et fait quelques clichés de l'homme, au sexe énorme, qui pend entre ses cuisses. Ensuite du cul de sa soumise. Et du black, qui vient lécher l'anus, de ce cul, encore zébré de rouge.

Le soumis a un physique assez particulier. Il n’est pas mal foutu, assez carré, mais il est court sur pattes. Les cuisses seraient d’une longueur normale, ce sont ses jambes qui sont courtes. Cela dit, sa bite n'en reste pas moins très impressionnante, puisqu'elle arrive presque au niveau du genou, quand il se tient debout. Elle doit bien faire trente centimètres et quelques de long. Et de quasiment huit centimètres de diamètre.

Le joker s'applique à bien lécher la rondelle. Il écarte les fesses, un peu molles, de mamie et passe sa langue dans la vallée cuillère. Un moment, il tend même son appendice et le rentre, un petit peu, dans l'œil de bronze.

- Oui ! Ça, c'est agréable jeune homme. S'écrit la vieille femme.

Marc sait pertinemment ce qui va se passer. Et, à un moment, estimant que sont soumis a suffisamment œuvré, il donne un ordre sec :

- Joker, la suite.

Maintenant qu'il a la queue perpendiculaire au corps, l'homme se remet debout prestement et vient mettre son gros gland contre la rondelle, qui frétille encore de bonheur. Là, d’un petit coup de rein, il entre le gland, dans le rectum de la soumise.

Annie se met à gueuler immédiatement, car le passage de l’énorme gland, lui a réellement beaucoup élargi l'anus.

Marc contemple l’action, fais un clin d'œil à son complice et ami. Il connaît parfaitement l’effet que produit le gros gland, quand il écarte pour la première fois un anus, surtout si peu habitué à recevoir du gros. Il n’est donc absolument pas étonné des cris de la vieille femme.

Maurice, ordonne encore au Joker :

- Maintenant, vas-y.

Le black empoigne les hanches fermement et pousse son membre dans le corps de la femme mûre.

Elle gueule de plus bel et essaie de se dégager de cette étreinte. Elle bouge les jambes de façon désordonnée, tant et si bien qu'elle se retrouve debout par terre, et non plus à genoux, sur l’assise du fauteuil.

L’hôte enjoint alors à sa soumise :

- Branle-toi le clitoris, ça te fera du bien.

Le black lime, maintenant, consciencieusement ce petit cul blanc, en faisant des mouvements amples. En étant à la limite de ressortir son gland, puis en enfonçant tout son membre, jusqu'à ce que son pubis vienne taper contre les fesses de la mémé.

Les deux couples profitent du spectacle.

Ensuite, Marc exige encore :

- Joker, apporte.

Cette fois, l'homme cramponne complètement les hanches, les serres très fort. Et, une fois qu'il est au fond du cul, avec sa grosse bite, soulève délicatement la vieille femme et marche en direction de son maître en contournant la table basse.

Maurice et Solange mettent leurs jambes de côté ; pour laisser passer cette soumise drôlement empalée.

Marc s'est mis debout et a baissé pantalon et caleçon. Il arbore fièrement une pine, elle aussi, plus impressionnante que la moyenne, qui, sans être totalement en érection, relève déjà la tête. Quand son soumis repose la femme âgée, devant lui, il ordonne alors à celle-ci :

- Il paraît que tu es une très bonne suceuse. Montre-moi ça, vieille salope.

À ce moment-là, l'invité attrape le menton de la mémé et lui force la mâchoire directement avec sa pine. Ensuite, il baise consciencieusement la bouche de la soumise mature, en regardant de près, son joker se remettre à limer le cul.

Cette fois, son gros membre ramone bien tout le rectum avec douceur et félicité. Et, la vieille femme commence à couiner de bonheur.

- Finalement, tu vois Maurice, plus c'est gros, mieux ça passe !

- Oui, tu as raison.

Marc attrape les cheveux de la blonde et lui imprime le rythme qu’il entend éprouver. En quelques minutes, alors que les trois convives se régalent du spectacle, lui-même commence à donner des signes de sa jouissance prochaine.

Maurice s'en aperçoit et lui dit :

- Tu peux la nourrir, aucun souci.

Et, l'homme, dans un terrible grognement sinistre, décharge son foutre, par saccade, au fond de cette bouche chaude et douce. À la fin, il cramponne les cheveux à deux mains, et colle le visage de la vieille, contre son pubis, pendant quelques secondes, histoire de bien terminer son plaisir. Puis, il ressort son sexe et s'adresse à son ami :

- Tu as raison, une vraie pipeuse ! C'était une pro avant ?

- Non, mais elle va le devenir !

En remontant son caleçon et son pantalon, l'invité s'adresse encore à son soumis :

Joker, tu peux te laisser aller.

À ces mots, le black redouble de vigueur dans ses assauts. Il lime le cul de la docile mure comme un démon. Et, trois minutes trente plus tard, dans un beuglement sauvage, lâche des flots de foudre, dans le cul de mamie. Puis, une fois que sa bite est redevenue molle, mais toujours aussi imposante, il se recule et aide la vieille femme à se remettre droite, en lui disant :

- Merci beaucoup madame.

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