La soumission à l’état mûr : La brosse à dents électrique
Le maître des lieux contemple ses sujets, même si le travesti est avant tout un soumis à sa compagne, là, aujourd’hui, il sent que c’est lui qui va tout diriger. Après un petit moment de silence, il annonce :
- Bien, en tout cas, si vous avez bien fait connaissance, on va se rendre compte tout de suite.
Là-dessus, l’hôte défait les menottes et ordonne à sa chose :
- Allongée, jambes pliées. Je veux que tu offres ton clitoris à ta nouvelle amie.
Patricia ne comprend pas vraiment de quoi il s'agit. Mais ne pose pas de question.
À ce moment, le maître sort une brosse à dents électrique, et la petite brossette qui va dessus, ainsi qu’un pot de baume du tigre. Il met la brosse en marche, pour s'assurer qu'elle fonctionne bien. Puis, la tend au travesti :
- À toi de lui travailler le clitoris, et uniquement le clitoris de ma soumise, avec la brosse. Ta mission, donner un orgasme à cette vieille salope. Si tu échoues, tu seras sévèrement puni !
Alors, il se tourne vers la docile vieille femme et lui dit :
- Toi, je ne veux pas te voir jouir ! Tu te débrouilles comme tu veux, mais tu as interdiction de jouir. En fait, je veux punir ton ami…
Puis, il ajoute avec un air mauvais :
- Mais si je te vois jouir, c'est toi qui seras sévèrement punie. Tu m'as bien compris ?
- Oui Maître, j'ai compris.
Tout de suite, elle se dit que finalement, elle a le beau rôle. Et que ça devrait être assez facile de ne pas jouir. Que de toute façon, bien peu d’hommes savent vraiment faire jouir les femmes. Et que, une fiote ne doit pas être le coup du siècle.
Bien que les deux soumis ne soient pas extrêmement complices, ils ont tout de même réussi à faire connaissance et à partager un petit peu leur expérience, avec ce couple démoniaque.
Le travelo a eu beaucoup de compassion, pour la femme mûre, quand elle lui a raconté son piercing, et surtout, le coup du coton imbibé d'alcool et des brûlures que ça généraient. Brûlures douloureuses, mais absolument pas conséquentes. Et l'homme, bien que généralement très obéissant, se dit qu'il vaudrait mieux éviter à la pauvre femme d’être punie. Aussi décide-t-il de ne pas trop s'appliquer à la manœuvre. Bien entendu, n'ayant jamais utilisé l'outil, il se demande bien comment il va pouvoir procéder.
- Allez le bout de la brosse sur le clitoris de la dame. Tu lui écartes les lèvres avec deux doigts, pour qu'il soit bien apparent, et tu mets en route la brosse à dents.
- Très bien Maître.
Annie est sur le dos, les jambes repliées, bien écartées.
Le travesti, sur le coude gauche, tenant dans sa main droite, la brosse à dents. Délicatement, il ouvre les lèvres, avec sa main gauche, entre le pouce et l'index, pour dégager le clitoris, de sa gangue de chair. Il apporte alors la tête de la brosse, appuie sur le bouton de celle-ci et la grosse se met en route. Ne voulant pas être trop intrusif, il passe la tête de la brosse tout autour du clitoris. Mais le maître s'en aperçoit et il lui intime l’ordre de se concentrer sur le bouton d'amour.
Ne pouvant se soustraire au regard inquisiteur du dominateur, l'homme obtempère et passe la brosse, cette fois-ci, sur le clitoris, qui se développe doucement, mais sûrement.
- Parfait, c'est mieux maintenant. S’exclame Maurice.
Se sachant surveillé, le travesti s’applique dorénavant à passer la petite tête de la brosse, sur la base du clitoris, puis tout autour.
Annie sert les dents, elle ne veut pas jouir, elle a eu son lot de punitions et se dit qu’il serait peut-être souhaitable, qu'une autre prenne sa place dans la file d'attente des punitions ! Mais malheureusement, cette diablesse de brosse à dents, ne la laisse pas tranquille. Ça l’agace terriblement.
Solange, estimant que sont soumis ne met pas assez de cœur l'ouvrage, vient à lui et lui claque le cul, avec son paddle, d'un grand coup.
Patricia sursaute et comprend tout de suite, qu'il a intérêt à s'appliquer, à ce qu'il fait. Aussi, il développe une sorte de savoir-faire, en passant la brosse régulièrement sur le clitoris, mais également en dessous en remontant. Et avec une sorte de joie malsaine, il sent que la pauvre femme donne des signes avant-coureurs de plaisir. Ça le motive d’autant plus.
Annie tente alors de resserrer les cuisses, pour se prémunir des caresses trop insistantes. Mais c'est peine perdue, l'homme est trop lourd et son maître est venu en renfort, en lui pinçant violemment le téton droit et lui disant :
- Tu ne triches pas, s'il te plaît. Tu ne dois pas jouir, mais tu ne dois pas, non plus, empêcher qu’il s’occupe de ton clito !
La pauvre femme se décontracte donc un peu et essaie de fixer son esprit sur le coton imbibé d'alcool à quatre-vingt-dix degrés, qu’elle a eu sur sa chatte. Sur la douleur qu’elle avait alors ressentie, quand l'alcool s'est insinué dans son vagin.
C'est une sorte de tempête sous son crane que ressent Patricia. Il souhaite démontrer à sa maîtresse, qu'il est capable de faire tout ce qu’elle veut. Il veut également la récompenser de pouvoir être là aujourd'hui. Mais cette femme âgée, bien plus que lui, le touche aussi beaucoup et il ne voudrait pas qu'elle soit punie. Surtout qu’il craint que, s’il lui donne un orgasme qui sera suivi d’une terrible punition, elle ait, finalement, un fort ressentiment à son endroit. Quel dilemme !
Les trois premières minutes se sont écoulées et la brosse à dents en donne le signal, en s'arrêtant et redémarrant par trois fois de suite.
Annie s'imagine que son calvaire touche à sa fin. Mais il n'en est rien, car elle entend le maître annoncer :
- Voilà trois minutes de passées, il en reste encore six. Alors, Patricia, tu as intérêt à faire jouir ma salope, sinon il t'en cuira.
Le travesti connaît parfaitement toute la perversité dont peut faire preuve ce couple dominant, pervers et sadique. Aussi, il se dit qu'il vaut quand même mieux, que ce soit cette mamie vicelarde, qui soit punie, plutôt que lui. Donc il s'applique maintenant réellement à ce qu'il fait et il tâche de donner le plus de plaisir possible. Après tout, c'est à elle de gérer ses organes.
Annie comprend le but de son maître. Elle le sait suffisamment pervers pour pousser le soumis à s’appliquer. Et, elle se sait aussi très sensible, à cet ustensile. Elle essaie de fixer son esprit sur quelque chose de désagréable, mais rien ne vient. Et au contraire, elle commence à se souvenir de ce matin, au réveil, quand elle était pelotonnée contre sa maîtresse.
Bien qu'il fasse tous les efforts du monde, jusqu'à là, ce n'est pas positif. Le résultat espéré n’est pas au rendez-vous. Aussi, le travesti s'inquiète-t-il, quand la brosse à dents marque la fin d'une deuxième série de trois minutes.
Le fait que la brosse s'arrête et reparte trois fois de suite, dans un intervalle très court, est plus redoutable encore, que son passage de tout à l'heure. Et là, maintenant, elle craint de ne plus pouvoir se retenir, car elle sent arriver, un gros orgasme.
- Tu files un mauvais coton, Patricia ! Annonce la maîtresse avec une voix dure, qui n’augure rien de bon.
- Je t'ai prévenu, Patricia, tu risques gros, si tu rates… Là, c'est le maître qui vient de parler.
Finalement, au bout d'une petite minute, mamie donne l'impression des prémices de sa jouissance.
Notre fausse femme s’en aperçoit et s'applique d'autant plus.
Bientôt, la vieille femelle gémit, elle sent cette vague qui monte, un océan de plaisir, qu'elle ne pourrait contenir, et elle sent, qu'elle va être submergée.
Le maître s'adresse alors à elle :
- Et voilà ! Finalement, tu n'as pas pu t'empêcher de jouir... Tu es vraiment une vieille salope !
À ces mots, la mémé ne se sent plus de joie et finalement, pousse un cri d'orfraie, en jouissant violemment. Son corps se soulève du lit, ses jambes tremblent violemment, ses mains battent l’air, comme si elle cherchait à se raccrocher désespérément à quelque chose. L’orgasme est si violent, que dans ses soubresauts, elle repousse son bienfaiteur. Mais ce cadeau, n’est-il pas empoisonné ?
- Et voilà ! Il suffit que ce soit un mec plus jeune, qui s'occupe de ta chatte, pour que tu ne puisses pas t'empêcher de jouir ! Tu n’es décidément qu'une vieille chienne.
- Pardon Maître, je n'ai pas pu me retenir…
- C'est bien ce que je te reproche ! Nous allons régler ça.
À ce moment-là, Solange prend la parole et s'adresse à son travesti :
- Bien, tu as fait ce qu'on te demandait, c'est bien, mais tu te rends compte que cette pauvre femme va subir les pires tourments ?
- M'en parlez pas, Maîtresse. C'était un conflit en moi-même, je ne savais plus que faire !
- Bien. Toi, Patricia, tu viens te mettre à genoux, les mains sur la tête, au milieu de la chambre. Toi, Annie, tu viens te mettre debout au pied du lit, mains sur le bord, les jambes reculées de cinquante centimètres, écartées.
Là-dessus, le maître retourne dans l'armoire à glace et commence à fouiller, et il ressort un court fouet. Il s'approche de la femme, qui est en position, et le fait claquer dans l'air.
Annie manque de s'évanouir, elle tremble, elle a très peur, elle ne va tout de même pas recevoir du fouet ?
L'homme se recule, pour être à bonne distance, de manière que le fouet touche les fesses maigrelettes de la mémé. Puis, il lui commande :
- Jouir sans mon autorisation, comme une grosse truie que tu es, tu vas recevoir dix coups de fouet. Tu les comptes.
Il arme son bras et pour la première fois, la lanière de cuir souple s’abat en travers des fesses âgées.
- AÏE ! Ça fait mal, Maître !
- C'est quoi comme nombre ça, ça fait mal ?
La soumise, bien que meurtrie, se reprend et annonce :
- Un.
- Voilà qui est mieux.
Il lève à nouveau le bras, prépare son coup, attend que le bout du fouet retombe derrière son biceps. Puis, vise le haut des cuisses, juste sous les fesses. Il lâche son coup.
La morsure du cuir provoque, tout d’abord, une sensation de froid, qui donne un frisson. Le froid est très intense, comme si elle recevait un morceau de glace polaire. Mais tout de suite après, c'est une sensation de brûlure. Comme si la peau avait été marquée au fer rouge. Et là, la douleur persiste longtemps. D’ailleurs, la douleur de la première frappe ne s’est pas estompée, celle-ci vient en supplément.
- Ouille, ouille, ouille ! Pitié Maître, ça fait très mal. Implore Annie en pleurant. Puis, elle ajoute :
- Deux.
- Je ne t'ai pas promis des caresses ! je t'ai bien promis une punition... Et les punitions font mal !
Il arme de nouveau son bras et cette troisième fois, la lanière tombe entre les deux premières marques qui apparaissent presque instantanément après le passage du cuir. La morsure est peut-être un peu moins forte, et encore.
Ce coup-ci, la pauvre femme pousse un cri strident. Ensuite, en pleurant à chaudes larmes, elle implore encore :
- Pitié, Maître ! Trois.
- Pas de pitié pour les soumises qui n'obéissent pas…
Et il prépare le quatrième coup. Là, c'est au milieu des cuisses qu'il vise et le morceau de cuir tombe, exactement là, où il l'avait espéré.
Sous la violence de la douleur, la vieille blonde plie les jambes et se retrouve les genoux à terre. La brûlure est cruelle, car elle se propage dans toute la zone, déjà très douloureuse.
Et alors que le maître fait claquer dans l'air son fouet, elle finit par annoncer :
- Quatre.
- Je te laisse le temps de te relever. Souffle un peu, remets-toi. Je ne sais pas si tu comprends, mais nous avons un autre soumis, qui lui a bien obéi. Mais il faut qu'il puisse voir, ce à quoi on s'expose quand, on n’obéit pas. Comme tu l'as fait.
Alors que péniblement, la mamie blessée se remet en place, une nouvelle morsure vient la cueillir brutalement. Le cinquième coup tombe encore sur les fesses, presque au même endroit que le premier. Les fesses et les cuisses commencent à être rouge, la vieille femme pleure bruyamment. Toutefois, elle continue à compter.
La sixième frappe, si elle est bien moins forte, tombe, néanmoins, juste derrière les genoux, à l’articulation, ce qui est très douloureux.
- Six.
Au septième coup de fouet, le maître annonce finalement :
Bien, je te fais grâce des trois derniers coups, pour porter mes anneaux. Et, pour calmer un peu ta douleur, je vais demander à Patricia, à cause de qui tu es punie, qu'elle vienne te lécher les fesses. Ça devrait calmer un peu la brûlure du fouet.
Maurice va ranger son fouet dans l'armoire à glace. Puis, fouille à nouveau dans son sac à malices. Il en extirpe un godemichet rouge, de quatre centimètres de diamètre environ et d'une petite vingtaine de centimètres de long. Il s'adresse à son épouse et lui dit :
- Je peux te demander de gérer la situation, j'ai à faire en cuisine ?
- Bien sûr, mon chéri, pas de problème.
Et, alors que le travesti s'est avancé à genou, jusqu'aux fesses meurtries, et qu'il lèche, de l'arrière des genoux jusqu'au rein, consciencieusement, le dominant sort de la pièce. En fait, il se rend dans la cuisine, à l'étage, pour récupérer un piment réunionnais et frotter le jouet avec. Une fois qu'il a consciencieusement enduit le god, il sort de la cuisine et redescend dans la chambre d'amis. Arrivé dans la place, il sourit à sa compagne. Puis, ordonne à la fausse femme :
- Bien, Patricia, tu mérites ta récompense. Donc, à quatre pattes sur le lit, Annie va tâcher de te donner du plaisir.
Le travelo, tout en exécutant la manœuvre, demande alors :
- C'est pareil, si je jouis, je serai puni ?
- Non, là, c'est une récompense…
Il tend le jouet à sa soumise, toujours en pleurs, et lui glisse à l’oreille :
- Tu vas pouvoir te venger…
La vieille dame ne comprend pas exactement de quoi il s'agit. Mais, elle sent sa main guidée jusqu'à être entre les fesses du travesti. Là, elle entend encore :
- Lubrifie-lui l'anus de la salive, tout de même.
Alors, elle joint son index et son majeur de sa main gauche et les lèche. Ensuite, enduit progressivement l'anus du monsieur. Elle entend ainsi :
- Allez, vas-y, mets-lui le god.
Soucieuse de se racheter, en obéissant le plus possible, elle commence donc à introduire doucement le jouet dans le rectum du travesti.
Au début, le monsieur apprécie cette introduction. De plus, se faire goder par une femme mûre, c'est d'un de ces fantasmes, les plus récurrents. Mais bientôt, il se passe quelque chose d'anormal, comme un échauffement de sa rondelle !
Annie, quant à elle, s'applique à faire aller et venir le jouet dans les entrailles de son complice. Bientôt, Patricia s’étonne et demande à sa maîtresse :
- Maîtresse, j'ai quelque chose aux fesses ? Parce que ça me brûle.
Solange, comprenant tout de suite, ce qu'a préparé son mari, répond :
- Tu as encore dû faire trop la gourmande, ces jours-ci. Tu t'es fait mettre comme une pédale et tu as le cul en chou-fleur ! Voilà, ce qui se passe.
- Oh non, Maîtresse, je vous assure. Vous savez bien que je vous le dis, quand je vais me faire mettre.
- Oui, ça, c'est-ce que tu me dis, mais si on devait faire confiance aux soumis...
Annie ne sait pas trop de quoi il retourne. Toutefois, elle continue à poignarder joyeusement l'anus de cet homme déguisé en femme. Elle voit sa queue molle ballotter en dessous de lui. Elle décide d'aller un peu plus vite et plus dans les petits coins. Donc, elle fait des mouvements avec son poignet, de manière que le jouet, dans le rectum, puisse passer en haut, en bas, à droite et à gauche.
- Maîtresse, ça me brûle, mais ça me brûle vraiment, maîtresse.
- Il semblerait que tu sois puni par là où tu as péché !
- Non Maîtresse, je vous assure, ça me fait mal, ça me brûle, si vous pouviez lui dire d'arrêter !
C'est à ce moment que le maître prend la parole :
- Bien, tu as pris du plaisir à faire en sorte que ma salope soumise soit punie. Là, elle se venge ! elle te lime le cul de telle façon, que ça brûle et je l'encourage.
L'homme commence à essayer de se soustraire à l’introduction du jouet, en avançant un peu son cul et en serrant les fesses. C'est à ce moment, qu’il prend encore un grand coup de paddle, sur la fesse.
La maîtresse s'adresse alors à lui :
- Pas de ça ! Je te rappelle que la soumise à ton maître ne s’est pas soustraite au traitement, que tu lui as infligé ! Donc, remets-toi bien ma position, sinon la prochaine fois, le paddle te tombera sur les couilles.
Le cul en feu, Patricia tente de se remettre en place, mais ce jouet qui lui vrille les entrailles, qui rentre et sort, ne fais que de lui laisser une douleur brûlante. Les mouvements du jouet ne font qu’aggraver l’abominable inflammation. Bientôt, à bout de force, il crie et demande grâce. Et il tombe en avant, allongé de tout son long sur le lit, le jouet ressorti de ses entrailles.
- Ça me brûle, ça me brûle ! J'ai mal, mais j'ai mal, pitié maîtresse, pitié.
Le maître prend alors la parole, et d’une voix forte et grave, répond :
- Mais, avais-tu pitié de ma salope, tout à l'heure ?
- Pitié Maître ! Je ferai ce que vous vous me direz de faire, mais pitié ! J'en peux plus, ça me brûle le cul.
- Bien.
Se tournant vers sa soumise, il lui ordonne alors :
- Retire le god de son cul. On va arrêter là, visiblement cette fiotte ne supporte pas de se faire enculer ! va lui foutre une dernière fois le god dans la bouche.
Annie pose ensuite le genou droit sur le lit et, tenant le godemichet de la main droite, viens le mettre dans la bouche du pauvre travesti.
Garde-le dans la bouche… Et ne viens pas me dire que ça te brûle, ou bien, tu as trop sucé aussi ?
Patricia se garde bien de bouger et maintient le jouet dans la bouche. Mais très vite, sa langue commence à s'échauffer, puis de venir brûlante.
Les salauds ! Ils ont dû foutre quelque chose sur le godemichet, pour que ça m’ait brûlé le cul. Et maintenant, que ça me brûle la langue ! Ce sont bien des enfoirés ces deux-là. Pour le moment, il garde ses remarques pour lui.
Maurice fait un clin d'œil à son épouse et lui dit :
- On va les remettre au lit, tous les deux, le temps qu’ils se remettent de cette petite séance.
Là-dessus, il s'empare d'une première paire de menottes, demande aux deux personnes de se relever. La pauvre Annie, le travesti, sans marque apparente, mais avec l'anus qui brûle et désormais toute la bouche suit le même chemin, obéissent. En un tournemain, le dominateur rattache les deux êtres dociles ensemble. Ensuite, il les pousse tous deux en même temps, pour qu’ils tombent sur le lit.
- Bien, en attendant que vous vous calmiez un peu, reposez-vous. Nous avons une course à faire, donc continuer à faire connaissance, gentiment, et au besoin, aidez-vous les uns les autres.
L'homme et la femme ressortent de la chambre d'amis.
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