La soumission à l’état mûr : Chez Annie
Une semaine était passée depuis son retour de chez son maître. Deux à trois fois par jour, elle se tripotait les anneaux, les doigts enduit de vaseline, pour éviter qu’ils n’adhèrent à la fine peau. Et d’ailleurs, elle en profitait toujours pour se finir, en se cajolant le démarreur à plaisir. Là, les souvenirs de ce week-end torride remontaient instantanément, et à chaque fois, elle avait un bel orgasme.
Elle faisait également, tous les matins, ses devoirs, à savoir elle se pluggait l’anus pour faire la gymnastique. Essentiellement des flexions et quelques exercices de respiration.
En dehors de ça, et à part devoir porter un rosebud pour toutes ses sorties, combien bien même ce fut pour aller chez le médecin, elle a une vie de retraitée, ni plus passionnante, ni plus terne, qu’une autre. N’ayant pas d’amis, ses sorties se résument aux courses, et parfois aux besoins médicaux.
Ce jeudi matin, son téléphone sonne.
- Bonjour ma salope, comment ça va ce matin avec mes anneaux ?
- Eh bien, depuis hier, rien neuf. Ils n'attachent pas et ne sont plus douloureux…
- Parfait donc on va pouvoir passer à la suite de ton éducation. J'ai passé une annonce, disant que tu es une pute mature, très expérimentée. J'ai eu tant de réponses, que j'étais obligé de prendre un téléphone à carte, pour gérer toutes ces demandes. J'ai expliqué à tes clients potentiels, que tu avais des besoins d'argent, mais aussi que tu étais une experte dans le sexe. Ah oui ! Pendant que j'y pense, j'ai également laissé le message, comme quoi, ils ne pouvaient que te sodomiser, car tu as eu un petit souci avec tes lèvres. Tu leur expliqueras toi-même…
Annie tombe des nues, elle avait bien compris que son amant et maître voulait qu'elle devienne une prostituée, mais là les choses se précisent, c'est le moins qu'on puisse dire.
Cherchant donc que répondre à son maître, et bien qu'elle ne soit absolument pas prête de recevoir du chaland. Elle commence à négocier :
- Non Maître, je ne peux pas recevoir des hommes chez moi !
Ce ne sont pas "des hommes" ce sont des clients ! Ne commence pas à mélanger.
- Mais, Maître ! Je ne suis pas une putain !
- Mais si ! je te l'ai dit ! je veux que tu deviennes une bonne prostituée ! Bon, de toute façon, tu as une heure pour t'habiller comme une pute, car ton premier rendez-vous, va t’appeler.
Puis, le maître raccroche.
Perdu dans ses pensées, et un peu comme un automate, Annie, va dans la salle de bain. Là, elle se fait couler un bain, se déshabille totalement. Elle met un pied sur le rebord de la baignoire, pour retirer son plug. Une fois cela fait, elle retourne dans la salle de séjour et récupère son téléphone, pour l'avoir à côté d'elle. Quand la baignoire est pleine aux trois quarts et à la température voulue atteinte, elle plonge son corps de femme mûre, dans l'onde chaude.
Elle reste un bon quart d'heure sans bouger, son esprit virevoltant entre quelques peurs de devenir une putain. Et cette peur, dû au qu'en dira-t-on, que pourraient penser les voisins et si mon fils savait ça… Bref, un tas de questionnements, à nouveau. Une fois qu'elle s'est lavée et rincée, elle sort de l'eau pour se sécher. Puis, sécher ses cheveux. Là, elle en profite pour se brosser les dents, comme si tout le temps qu'elle prenait, reculait son premier saut dans l'inconnu. Alors qu'elle en est à se maquiller les yeux, son téléphone sonne.
- Allô, oui ?
- Vous êtes bien la femme mûre dont m'a parlé votre amant ?
- Oui je pense…
- Très bien, il m'a dit que vous demandiez cent-cinquante euros, mais que je devais voir avec vous, pour l'heure exacte du rendez-vous.
Ça y était cette fois-ci, les dés étaient jetés. Elle allait faire sa première passe. Et, finalement, ça commençait à l'exciter. Elle donne donc rendez-vous pour la demi-heure suivante. Là, elle reprit son maquillage des yeux et finit de se préparer comme le demandait toujours son maître. Cette fois, avec un bustier, des bas bleus, une robe légère bleu clair. Pas de soutien-gorge. Ensuite, elle va à la porte d'entrée pour enfiler des mules, elles aussi, bleu foncé.
À l'heure prévue, la sonnette retentit.
C'est un beau jeune homme qui est devant la porte, sur le palier. Un peu plus de la trentaine, bien fait, assez carré, mais sans faire monsieur muscle. Avec une finesse dans les traits et une coupe de cheveux un tantinet sauvage.
Tout de suite, Annie sourit. C'est un très bon présage, à priori. Elle fait rentrer le jeune, referme la porte, mais d'un coup, ne sait plus comment réagir. Heureusement, le jeune type a l'habitude des prostituées. Il sort trois billets de cinquante euros, qu’il tend à la femme. Elle ne sait pas trop comment répondre toutefois, elle sent qu'elle a intérêt à récupérer les billets, avant que l'homme ne change d'avis.
Elle pose la Somme dans une niche du meuble du salon puis se retourne vers le jeune mec.
Celui-ci, relativement à l'aise, s’empresse de la prendre dans ses bras et commence par l'embrasser fougueusement.
Annie lui rend son baiser avec passion. Elle sent son vagin s’inonder de cyprine et son anus lui procure comme de petits picotements.
L'homme demande alors :
- On reste ici ou on va dans la chambre ?
Effectivement c'est une question qu'elle ne s'était pas posée. Elle réfléchit très vite, puis se dit que sur le lit, ce serait tout de même plus confortable. Aussi, prend-elle le jeune homme par la main et le guide jusque dans sa chambre. Toutes les portes de l'appartement sont ouvertes, parce que la femme, seule dans la vie, n'a pas réellement besoin de les fermer. Arrivée dans la chambre, à nouveau, elle ne sait que faire de ce jeune et bel étalon.
Le client l'embrasse à nouveau, tout en passant les mains sous la jupe et en venant lui bricoler le clitoris. Toutefois, n'étant pas assez précautionneux et un peu brutal dans sa caresse, il blesse un peu la vieille.
Elle le stoppe dans son élan et elle lui dit :
- Non, mes lèvres viennent d'être percées. J'ai des anneaux et pour le moment, c'est encore un peu douloureux.
- Ah oui, c'est vrai, ton amant m'a expliqué qu’avec toi, c'est uniquement pour de la sodomie. Ça tombe bien, j'adore enculer les vieilles !
Les termes ne lui plaisent pas véritablement. Mais le ton n'étant pas agressif et le physique du jeune type plutôt avenant, la femme mûre ne se formalise pas. Puis, elle lui dit :
- Hé bien, déshabille-toi, jeune homme. Quel est ton prénom ?
- Moi, c'est Pascal et toi ?
- Moi, c'est Annie.
- C'est ton authentique prénom ? Ou ton nom de guerre ?
- Non, non, c'est mon vrai prénom.
Durant la discussion, le jeune mec s'est totalement dévêtu et affiche un corps très agréable à l’œil. Il regarde la mémé et lui demande :
- Tu n'oses pas te déshabiller, toi ?
- Si, si, pardon, j'étais dans mes pensées.
Et très vite, Annie, retire sa robe bleu clair.
Le jeune la détaille de haut en bas, puis lui impose :
- Allez, sur le dos, fais-moi voir tes anneaux pour commencer
Le ton lui rappelle celui de son maître, conditionné par celui-ci, instantanément, Annie obéit. En quelques instants, elle se retrouve sur le dos, allongé sur son lit, par-dessus la couverture. Les jambes écartées, la chatte à l'air.
- Ah oui ! Je vois, ton amant m'avait expliqué que tu avais des anneaux. C'est très joli.
Puis, il se met à genoux sur le lit et s’avance vers le visage de la mamie. Il exige encore, toujours sur le même ton :
- On va commencer par une pipe. Allez, suce-moi la bite vieille cochonne.
La femme mûre, bien plus en manque de sexe qu’elle ne voudrait l’admettre, ne se fait pas prier et attrape le sexe qui commence à bander. Elle l’apporte à sa bouche et l’enfourne avidement.
Pascal apprécie cette bouche chaude et douce. Il profite de la position pour tripoter les nichons à sa portée.
Annie s’applique. Elle branle légèrement le membre, tout en massant avec sa menteuse le gland doux, qu’elle a en bouche.
Au bout de cinq minutes de silence, il complimente la vieille femme :
- Ah, c'est vrai que tu as du métier ! Tu suces divinement bien… Ça fait longtemps que tu te prostitues ?
- Ben non ! Aujourd'hui c'est la première fois.
L'homme a un peu de mal à croire cette pute, mais il sait aussi, que les prostituées ne racontent jamais trop leur vie. Et, surtout, ne disent jamais réellement la vérité. Comme maintenant il arbore une belle érection, il dit encore à la vieille d'un ton strict :
- Allez, à quatre pattes, que je te la mette dans le cul.
Annie, toujours un peu hors du temps, et surtout hors de l'espace, obéit instantanément et se retrouve, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, à quatre pattes sur le lit.
Le jeune vient se mettre entre ses genoux, guide sa queue d'une main experte. Quand le gland est contre le sphincter, il pousse d'un coup. Aucun lubrifiant n'a été nécessaire, l’anus a été bien ouvert, depuis quelques jours, par le rosebud. Et de toute façon, la blonde mouille beaucoup, et cette mouille a légèrement envahi son trou de balles. Le jeune client commence à limer correctement, puis d'un coup, impose :
- Branle-toi en même temps, vieille salope.
Une fois de plus, Annie obéit à l'ordre. Elle délègue sa main droite sur son mont de Vénus et ajuste son majeur sur le clitoris, déjà bien gonflé. Comme elle se masturbe, elle ne met pas beaucoup de temps à jouir bruyamment.
Le jeune homme lui susurre à l'oreille :
- J'adore les vieilles putes, elles sont excitées en se tapant du petit jeune et quand elles se branlent, ces vieilles cochonnes s'éclatent.
Mais Annie n'est plus là, elle est dans un monde de plaisir.
Le jeune homme lime encore cinq petites minutes. Puis, sentant qu’il va jouir à son tour, sort sa bite de l'anus, attrape les cheveux de la mémé, les tire et finit par coller sa bite gluante, dans la bouche de la vieille pute.
- Vas-y, fais-moi jouir, fais-moi sortir mon jus de couilles. Régale-toi de ce bon foutre.
Elle n'a pas à sucer très longtemps, que très vite, le jeune homme gicle de courts jets de foutre, qui vont s'écraser au fond de la gorge d'Annie. Sa bite a un goût de merde, c'est vrai, mais le sperme à bon goût. Aussi, ne sachant plus trop ce qu'elle doit faire, elle finit par avaler toute la semence, de son fougueux client.
Ce dernier se redresse, reprend son souffle, en profite pour coller une grande claque sur le cul de la vieille. Puis, alors qu'il se revêt, annonce :
- Tu es bien bonne, mémé. Je me suis régalé, je reviendrai te voir.
Très vite ensuite, le client, dès qu'il est prêt, sort de la pièce et quitte l'appartement.
Annie s’écroule sur son lit, totalement perdue dans ses sentiments, dans ses pensées, dans ces idées. D'abord, elle pense au cent-cinquante euros, dans le meuble du salon. Par rapport à sa retraite, c'est tout de même une petite somme. Ensuite, elle pense qu'elle est, cette fois, réellement devenue une putain. Même si ce n'est pas exactement pour la première fois, elle l'a déjà vécu avec le voisin de son maître. C'est tout de même la première fois qu’elle reçoit seule un client. Et puis, de prendre des bites dans le corps, surtout de beaux mecs, ce n’est pas ce qu’il y a de plus désagréable. Ça ne l’affole pas vraiment. Mais justement, le fait qu’elle accepte tout ça si facilement l’interroge aussi, serait-elle plus perverse qu’elle ne voudrait se l’avouer ?
Quelque part, en plus, de se savoir devenir pute, l'excite aussi. Et puis, elle est fière et heureuse d'être parvenue à ce stade, à cette abnégation, simplement pour faire plaisir à son maître. D'ailleurs, elle se dit qu'il faut qu'elle l'appelle.
Elle tourne un peu dans la maison. Ensuite, finalement, elle prend le téléphone, s'installe dans son canapé et compose le numéro de son maître.
- Allô, ma salope soumise
- Bonjour Maître. Voilà, j'ai reçu la personne que vous m'avez envoyée.
- Très bien, alors ça s'est bien passé ?
- Oui maître, mais j'avoue que je n'ai pas osé lui demander l'argent.
- Comment ça il est parti sans payer ?
C'est un ton courroucé, qu’emploie l'homme au téléphone. On pourrait presque sentir qu'il fronce les sourcils, rien qu’au son de sa voix.
- Non, je n'ai pas osé lui demander, mais a priori, vous vous étiez mis d'accord avec lui et il m'a donc laissé les cent-cinquante euros.
- Bien, cent-cinquante euros, pour une pute de ton âge, c'est pas mal. J'espère que tu t'es bien occupée de notre client ?
- Oui Maître, sans aucun problème. Il m'a dit qu'il était content et qu’il voulait revenir.
- Parfait. J'ai un autre contact et donc, tu recevras en fin de journée, un autre visiteur. Mais cette fois, tu n'oublies pas de lui demander les deux-cent-cinquante euros qu'il te doit. Et, ensuite, tu me feras un compte rendu par email.
Je ne peux pas vous téléphoner, pour vous le dire de vive voix ?
- Non, nous recevons des amis, ce soir, et je n'aurai pas le temps d'être au téléphone.
- Bien maître, il en sera fait selon votre désir.
- Allez, bon courage. Ce soir, c'est un client pour deux heures. J'ai négocié deux-cent-cinquante. Bon après-midi, je coupe, j'ai à faire.
La pauvre femme ne sait que penser de cette courte discussion avec son amant et maître. Elle s'attendait à plus de considération, à plus de sollicitude de sa part.
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