La soumission à l’état mûr : Songe d’une nuit d’été

 

En rentrant, le trio va directement se coucher. Cette fois, Annie a droit à être au milieu de ses maîtres. Et le couple s’endort très vite.

Cette nouvelle nuit, bien que plus confortable, entre son maître et sa maîtresse, elle a encore du mal à trouver le sommeil. Non seulement les questions de la veille reviennent en boucle. Mais en plus, elle commence à avoir des souvenirs de son ex-mari. Puis Orphée demanda son dû et le sommeil l'emporta.

La nuit est agitée, elle rêve toute la nuit de sa vie d'avant. Elle se souvenait de ce beau jeune homme qu'elle avait rencontré chez une copine. Le type paraissait sympa, il était brun, très grand. Il était athlétique, carré. Elle tomba très vite amoureuse, une relation, assez agréable, commença alors.

La romance dura une petite année, puis, surtout par la volonté de son père, elle fit sa demande en mariage, pour éviter de vivre dans le péché. Comme du côté de la belle famille, ça semblait aussi pousser à la roue, dans le même sens, il fut bientôt décidé d'unir ces deux jeunes. La suite fut vite décevante. L'homme s'occupant beaucoup plus de sa carrière nouvelle, que de sa jeune épouse. À l'époque, la vieille femme n'était pas très au fait de la chose sexuelle et attendait du jeune homme, qu’il lui explique, qu'il lui fasse découvrir le sexe et les plaisirs.

Mais, de ce côté-là, rien de bien excitant ne se passait. Les soirs, Anthony mettait sa grosse bite dans le jeune vagin, limait quelques instants, puis la remplissait. Ensuite, il se mettait sur le côté et s’endormait. Il n'y avait pas de discussion après l'amour, il n’y avait pas de discussion sur l'amour. Sans se sentir sale, elle avait tout de même l’impression de n’être qu’un sac à foutre, que le devoir conjugal ordonnait de remplir.

Vint, comme dans tout couple, un enfant, ce fils resterait unique et Annie, comme beaucoup de femmes, ne devint plus qu'une mère. Visiblement ça n’avait pas l'air de l'embêter plus que ça. Anthony, lui, ne s'occupait plus que de son job de commercial, dans les produits pharmaceutiques. Quand ce fils adorait eut environ deux ans, le climat devint lourd et pesant à la maison. Le couple ne manquait de rien financièrement, ni matériellement, mais l'ambiance était maussade, pour ne pas dire plus. Les soirs où le mari avait envie de sexe, il prenait son épouse comme on prend une professionnelle. Il lui sautait presque dessus, une fois au lit, la baisait sauvagement et en cinq minutes. Là, que du sperme, pas de préambule, pas de petites attentions particulières, juste la bite forçant un vagin à peine humide. Finalement, Annie finit par s’y faire. Mais très vite, le mari reprocha à sa compagne, son manque d'énergie et de goût pour les choses du sexe.

Les choses devinrent de plus en plus compliquées. Deux ou trois fois par semaine, le mari pinait sauvagement sa femme. À l'époque, on ne parlait pas de viol entre époux, mais ç’aurait pu s'apparenter. Ça provoquait également des grands questionnements chez Annie, qui se demandait si, finalement, elle était normale. Et si, en définitive, ce qu'on nommait orgasme et jouissance, n'étaient pas que de la littérature, et qu’il n’y avait absolument rien de physique, ni de réel.

C'est lors d'un apéritif, avec un de ses amis, qu'une discussion s'engagea sur le sexe, entre les deux hommes. La blonde, peu présente, puisqu’elle s'occupait, par ailleurs, de leur fils, car il était l’heure du casse la croûte. Après avoir couché l’enfant, elle revint dans la pièce et entendit son époux raconter à son ami et collègue :

- Je t'assure que ce n'est pas le panard que de se taper une frigide ! Elle ne sait pas baiser et ne s’y intéresse pas ! Elle est nulle au lit.

Annie, en fureur, s'enfuit dans sa chambre, pour pleurer. Anthony, quant à lui, avait compris qu'il avait touché quelque chose chez sa compagne.

Deux soirs plus tard, alors que le repas était terminé, le bébé au lit, il s’approcha de sa femme, lui remonta son chandail, lui baissa son le pantalon de jogging, avec la culotte. La plaqua sur la table de salle à manger et la baisa à la hussarde. Il avait à peine commencé à la besogner, que d'un coup, il s'écria :

- Mais vraiment, tu n’es qu’une planche ! Ça ne te plaît pas la baise ? Bon, on va passer à autre chose…

Il ressortit alors sa bite du vagin, puis l’introduisit brusquement dans l'anus, qu'il venait de mettre au jour, en ayant écarté les fesses. Il sodomisa encore plus brutalement sa conjointe qui se mit à pleurer et n’eut aucun plaisir à la chose. Une fois qu’il eut fini, il éjacula dans le rectum. Il repoussa durement le corps, laissant la femelle abasourdie et déclara :

- Tu préfères la bite dans le cul, finalement ?

Malheureusement, qui ne dit rien consent et l'homme prit cette absence de réponse pour un encouragement. À partir de cette date, elle n'eut plus droit qu'à se faire enculer, partout et en tout lieu, que son mari choisissait, quand il avait envie de se vider les couilles.

La vie continua à ce rythme. Le salaire d’Anthony était suffisamment confortable pour qu’Annie n'ait pas besoin de travailler. L'enfant grandissait, sans faire de bêtises grave, en étant très assidu à l'école. Ayant pris le gallon dans sa boîte, l’époux était de plus en plus absent.

Les absences ne lui posaient pas de problème, au contraire, puisque dès qu'il était là, elle craignait pour son anus. Car la sodomie la faisait réellement souffrir. Elle se demandait toujours, si elle était normale. Mais elle restait avec sa frustration, les douleurs d'une sodomie brutale, par un sexe imposant et sans lubrification. Elle commençait même à avoir les complications de ce genre de pratique quand c'était trop violent. Perte de matière fécale, brûlure anale, saignements.

Un soir, alors qu'il recevait un autre de ses collègues, et que la discussion tournait sur la sexualité, Anthony, devant Annie, annonça, avec un air triste :

- Tu sais, elle ne fait même pas de pipe ! Elle ne sait pas sucer ! Je te jure, c'est un boulet.

Son collègue, goguenard, lui répondit du tac au tac, en regardant de travers la jeune femme :

- C'est parce que je ne lui ai pas encore appris !

- D'accord. Viens ici, toi, dit-il en se tournant vers sa femme : À genoux devant Marc.

Elle se souvint qu’elle avait obéi machinalement, sans se poser de question. Aujourd'hui, elle se demanderait, s’il n’y avait pas une sorte de force qui la poussait vers le sexe extrême, en espérant avoir enfin un orgasme. Toujours est-il qu’elle se retrouva avec le sexe épais, de cet inconnu, dans la bouche. Conseillée par celui-ci, pour faire une bonne pipe. Elle reçut le foutre et en fut dégoûtée, à l’époque. Dans son esprit, ce qui sortait d’une bite n’était que des déchets.

Quand ils se retrouvèrent seul, son mari la prit violemment, plus qu’habituellement encore, par l’anus, mais cette fois, il l’obligea à prendre sa bite polluée dans la bouche et il éjacula ainsi.

Elle se souvint encore d’avoir couru aux toilettes pour vomir, pendant que son époux rigolait de bon cœur.

À partir de ce jour, elle ne fut plus que violée, par l’anus ou la bouche. Et son bonhomme ne jouissait plus que dans sa bouche, même après une sodomie sauvage. Qu’elle soit en pleine forme ou patraque, voire parfois, comme elle était devenue sensible de ce côté-là, alors qu’elle avait des diarrhées.

Son homme ne manquait, désormais, pas une occasion de l’humilier et de la rabaisser. Que ce soit en privée, ce dont elle se moquait de plus en plus. Mais aussi, malheureusement, quand ses collègues étaient invités.

Ce fut presque un soulagement, quand ce vilain type sortit de sa vie. Elle en avait marre de cette vie de viols. Et, d’être en permanence dépréciée, avilie, devant la chair de sa chair, devenant grand, lui était devenu insupportable. Pourtant, elle encaissait.

Puis, elle eut un autre rêve, elle vivait avec son amant et maître, dans le bonheur, et pas un jour sans avoir énormément de plaisir. Des orgasmes comme s’il en pleuvait. Elle se voyait prête à tout pour cet ange qui lui avait redonné le goût de vivre.

Au petit matin, alors que ses maîtres dormaient encore profondément, ces rêves lui restent en tête. Elle ne bouge pas d’un pouce, pour ne réveiller personne. Toutefois, le dernier rêve lui a mis le feu à la chatte, et sérieusement encore ! Finalement, se promettant de faire très doucement, elle laisse sa main droite aller saluer sa vulve. Elle passe de longues minutes à se caresser légèrement, sans accoue, sans mouvement brusque, tâchant de ne pas impacter le calme de ce petit matin radieux.

Mais ce diable d’homme doit avoir un sixième sens, qui fonctionne même quand il dort. Et bientôt, alors qu’elle sent une chaleur envahir tout le bas de son corps, elle sent une main sur son sein droit. Puis, une vive douleur sur son téton. Certes, la douleur est brutale, mais elle apaise un tant soit peu sa furieuse envie de jouir. Elle en serait presque à remercier son maître.

L’hôte ne compte pas en rester là, de sa main libre, il prend possession du sexe gourmand, par-dessus la main déjà en place. Il capture le clitoris entre son pouce et son index, et pince fort aussi. Au bout d’un instant, il lâche prise, et se tourne vars la femme mûre. Il s’approche, colle ses lèvres sur la bouche docile, et roule une pelle magistrale.

Annie croit défaillir, tant ce baiser la comble de bonheur. Elle sent cet homme tomber amoureux, du moins le pense-t-elle. Mais sait-elle seulement à quoi elle s’engage, si elle le rend amoureux ? Toutefois, son sexe s’inonde d’un seul coup et elle a un premier orgasme, rien qu’avec ce baiser.

Reprenant son souffle, l’homme attrape la nuque de sa soumise et guide la tête vers son sexe, sous les draps.

- J’ai envie de toi, fais-moi bien bander…

Elle fait d’immenses efforts pour ramper sous les draps, sans réveiller Solange, toute proche. Elle prend le sexe en bouche, et très vite, elle le fait gonfler et durcir.

Maurice, sur le dos, les jambes écartées, apprécie cette fellation. C'est réellement une reine de la pipe, cette salope, pense-t-il. Mais comme il sent qu’il risque de ne pas tenir longtemps ce matin, il attrape les épaules de mamie et l’aide à revenir à sa hauteur. Là, dans un souffle, il intime :

- Enfourche-toi sur la pine de ton maître...

Trop heureuse de l’aubaine, elle passe sa jambe gauche par-dessus du corps allongé, puis vient placer sa chatte au-dessus de la queue dressée. De sa main droite, elle guide le pieu de chair contre l’entrée ce son vagin, et là, se laisse tomber de tout son poids, se faisant littéralement écarteler le sexe. Et elle a un cri quand le gland tape au fond, contre le col de l’utérus.

Solange se retourne et regarde le couple baiser. Elle sourit à son mari.

La docile mamie devient alors une véritable femelle en furie. Elle place ses mains sur le torse puissant et prend appuie dessus. Elle soulève son bassin rapidement et le laisse retombée. Elle a l’impression que le vit va toujours plus loin en elle.

L’amant ne reste pas sans rien faire. Il l’aide à se relever, en passant ses mains sous les aisselles. Il attend le moment propice pour passer à autre chose.

Annie halète de plus en plus fort. Bientôt, elle râle, puis, alors que le membre viril est au fond d’elle et cogne contre son col, elle pousse un grand cri sauvage et strident. Son orgasme atteint des sommets, non seulement son sexe explose de plaisir, mais en plus, de faire l’amour avec son amant et maître, dans le lit de celui-ci, c'est plus qu’inespéré.

C'est le moment que choisit Maurice pour pincer très fortement les deux tétons de la vieille et les tordre le plus possible.

La mémé se met à gueuler à tue-tête, alors que plaisir et douleur se mélangent totalement. Dans un réflexe, elle plante littéralement ses ongles dans le torse velu, comme un rapace dans sa proie.

La surprise est totale chez l’homme. Tandis que, jusqu’à présent, il gérait son corps, ses émotions et son plaisir, d’un coup, décontenancé, il n’assure plus rien, et jute en longues saccades dans l’antre féminin bouillant.

C'est comme une décharge électrique terrible que reçoit la blonde. Là, son esprit part en vrille, elle se revoit à trente ans, féconde, espérant être enceinte de son amant. La douleur de ses tétons devient subitement source de plaisir, elle essaye d’ouvrir les yeux, mais tombe dans une forme de coma.

- bien, mon Chéri ! Tu peux dire que tu lui fais de l’effet, à ta soumise…

- Je peux t’assurer, qu’elle aussi m’a fait de l’effet ! Là, j’ai lâché prise, comme seule toi, tu me le faisais !

Les paupières battent, mais les yeux sont révulsés, elle tremble de tout son être. Bien qu’elle ait encore le sexe en elle, qui se ramollit, mais qui la remplit tout de même, elle ne gère plus, non plus, ses sphincters, et elle pisse dans la couche de son maître.

- Quelle dégueulasse ! Elle me pisse sur le ventre !

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