La soumission à l’état mûr : La gymnastique érotique
C'est aux environs de huit heures, que le maître, réveillé depuis plus de trois heures, viens secouer tendrement la soumise endormie.
Elle dormait d'un sommeil profond, mais en ayant fait un rêve érotique. Son cerveau surchauffé par tous ces questionnements et ses réflexions ayant eu grand besoin de répit. Et le repos du guerrier est bien le meilleur des sommeils. Elle ouvre les yeux, et d’un regard encore embué, fixe son dominateur avec un sourire complice, mais aussi amoureux.
L'homme la regarde, sans la toiser, affiche à son tour un sourire, bien qu’il soit plus énigmatique, et lui demande :
- Tu préfères le sport avant ou après, le petit-déjeuner ?
Le temps qu'elle mette ses idées en ordre, la femme docile finit par répondre :
- Je préfère faire le sport à jeun, s'il te plaît.
Très bien, mais ce n'est pas parce que nous sommes intimes, parfois, que tu dois oublier ta place de soumise et mon statut de maître ! N'est-ce pas ?
- Oui, Maître, vous avez entièrement raison, Maître. Mais j'ai rêvé que je passais la nuit avec vous, et comme vous me faisiez l'amour !
- C'est bien, une soumise se doit d'être un peu amoureuse de son maître, et rassure-toi, Solange n'est absolument pas jalouse. Elle sait, par expérience, qu'on peut avoir le cœur assez grand, pour aimer deux, trois, et même plus de personnes, d'un amour intense.
Sur ces bonnes paroles, l'homme aide la femme mûre à se lever. Puis la guide en la tenant par la main aux toilettes. Là, il tient la porte ouverte et ordonne :
- Allez, la pisse et la crotte, comme toutes les chiennes.
- Je ne peux pas, Maître, j’ai besoin de mon intimité.
- Non, non, pas d’histoire d’intimité entre la soumise et son maître !
Annie devient rouge. Comme nous faisons tout de même partie du règne animal, la nature reprend ses droits. Et bientôt, on entend la pisse dans le bidet. La mamie rugit encore plus.
- J’ai honte, Maître !
- Pas grave, continue, de toute façon la honte t’excite.
- Oui, mais là, c'est sale ! Je suis bloquée !
- Très bien, alors tripote-toi le clito, ça va te détendre… Et ferme les yeux.
Ce diable d’homme lui fera, décidément, tout faire ! Mais très vite, par jeux ou par besoin, elle obéit et plonge sa main droite vers son sexe. Elle ferme ses yeux et se caresse le démarreur à plaisir, en pensant à son rêve encore frais. Finalement, il ne faut pas cinq minutes pour que la femme mûre ait un orgasme. Assez intense, mais en plus, au même moment, son sphincter se relâche et elle laisse tomber une grosse crotte, qui fait un grand bruit, quand elle touche l’eau.
- Voilà qui est fait !
Cette fois, elle est de la couleur de ses ongles, rouge vif, de la tête aux pieds. Comprenant qu’il ne sert à rien de demander, elle s’essuie les fesses, sans jamais regarder l’homme. Puis, elle se relève de son trône.
- Tu ne t’essuies que d’une seule feuille ?
- Oui, je dois avoir une insuffisance rénale, donc je fais, mais c'est très sec, et ça ne me salit pas les fesses.
Il la prend par la main et la conduit dans la salle de bain.
- Maintenant, douche et lavement.
Une fois dans la salle de bain, il commence par dévisser la pomme pour la remplacer par une canule en plastique noir. Il apostrophe alors sa soumise.
- On se penche en avant et on attrape ses chevilles.
Dans le bac à douche, Annie obéit, et elle sent des doigts lui écarter les fesses.
- Ha oui ! Étonnant, on ne dirait pas, que tu viens de déféquer ! Passons à présent à la partie interne de la question.
Là, il ouvre le mitigeur et fait couler un peu d’eau pour tester la température, quand il estime être à la bonne mesure, délicatement, il fait entrer la canule dans le rectum. Il attend quelques instants, et quand l’anus rend le trop-plein, ordonne encore :
- Accroupi dans le bac.
Il scrute attentivement le liquide qu’évacue la vieille, et est à nouveau surpris de ne pas voir de pollution. Il s’en étonne :
- Même intérieurement, tu es propre ! Tu es la reine de la sodomie, c'est incroyable ! Bien, prends ta douche tranquillement.
Après la séance salle de bain, une fois sèche, Annie revient devant la cuisine. La maîtresse de maison lui adresse gentil bonjour en faisant un bisou sur ses doigts, en les présentant vers la femme et en soufflant dessus.
- Nous allons dans la chambre d'amis pour les petits exercices du matin. Annonce joyeusement Maurice.
Le couple descend donc et une fois dans la chambre, l'homme commence par expliquer :
- Tout d'abord, un petit échauffement. Pas question d'attaquer de la gymnastique, même douce, sans avoir un minimum d'échauffement. Pour commencer, tu vas faire comme si tu courais sur place, on y va.
Annie, qui est totalement nue et qui n'a absolument pas froid, grâce à la douce température, qui règne dans la maison, commence alors à sautiller sur place et à lever les genoux, comme si elle courait sur un chemin.
L'homme la regarde et vérifie que les gestes sont conformes, à ce qu'il attend d'elle. Au bout de cinq à six minutes de ce petit jeu, il s'adresse à la femme et lui dit :
- Bien, cette première partie du programme est terminée. Nous allons passer à ce que je nomme réellement, la gymnastique de salope.
- Ah bon, Maître, c'est quoi ?
- Mais tu vas le voir tout de suite. Nous allons commencer par des flexions. Tu vas te mettre debout, les bras tendus devant toi et descendre doucement sur tes genoux, puis remonter. Et ceci, une bonne dizaine de fois. Toutefois, la petite touche subtile de ma part, c'est qu'à la première fois que tu auras les genoux pliés, tu t'arrêteras, le plus bas possible.
- Bien Maître.
Et la femme fléchit les jambes, légèrement écartées, les bras tendus devant elle, et elle descend sur ses genoux, jusqu'à presque toucher le sol, avec ses fesses.
- Parfait, ne bouge plus.
À ce moment, l'homme fourgonne dans la grande armoire à glace, située dans la pièce. Il en sort un sac vert, relativement volumineux, dans lequel il trouve un godemichet avec une grosse ventouse à la base.
- Ne bouge surtout pas.
Il s'agenouille et vient placer le god dans la chatte de sa soumise, mais après l'avoir passé quelquefois entre les lèvres. Il se lèche d’abord l’index, le passe sur la ventouse, qu’il colle au sol. Alors, il annonce à la vieille femme :
- C'est bien ! Tu mouilles déjà de bon matin, c'est bon signe. Maintenant, remets-toi debout, bien droite.
La femme exécute le mouvement.
- Parfait, à présent, tu descends une dizaine de fois. Et à chaque fois, tu te débrouilles pour prendre le god, dans la chatte. Sans les mains, bien entendu. Allez, action.
C'est un peu bizarre comme gymnastique du matin, mais très vite, Annie se pique au jeu. Et, pendant une dizaine de mouvements, descend sur ses genoux pour se prendre le jouet dans la chatte.
- Parfait, c'est très bien. Nous allons, maintenant, passer à l'anus. Alors même chose, tu t'arrêtes quand tu es en bas, je vais venir te glisser le god dans le cul. Et ensuite, charge à toi, de monter, descendre et à chaque fois, de t'enculer. C'est clair, ma salope, comme explication ?
- Oui maître. Mais le matin, à froid, je ne sais pas si je vais réussir à me sodomiser !
- Mais si, tu vas voir…
Et une fois qu'elle est baissée, tout en bas, la chatte empalée sur le god. L'homme s'agenouille à nouveau devant elle. Avec l'ongle, il défait la ventouse du sol. Passe encore le gode entre les lèvres, pour qu'il soit bien humidifié, par cette cyprine qui devient abondante. Ensuite, il passe derrière la femme et glisse le god entre les fesses, de manière à lubrifier, tranquillement, l'entrée du rectum. Visiblement, l'anus semble apprécier la caresse, à sa juste valeur. Il fait pénétrer le jouet dans l’œil de bronze, tout doucement précautionneusement. Une fois qu'il estime que le godemichet est planté assez profondément, il ordonne :
- Allez, on se remet debout.
Cette fois, la remonter est un peu plus difficile que celles de la première séance. La fatigue et les muscles moins performants, de cette femme mûre, en sont la cause. Toutefois, elle se reprend, et après avoir repris son souffle, elle recommence à fléchir les genoux. Elle vient s'enculer, le plus progressivement possible, sur le jouet érotique.
Là, le maître la fixe dans les yeux et lui impose :
- Maintenant, tu comptes à chaque fois que tu t'encules toute seule.
Légèrement tricheuse, la blonde annonce : "un", alors qu'elle n’est pas encore totalement accroupie.
Elle se remet debout, puis fléchit à nouveau les genoux. Mais n'arrive pas à viser le gode pour qu'il rentre dans son anus. Et le jouet entre dans sa chatte.
Le maître, qui s'en aperçoit, lui dit :
- Ah non ! On ne triche pas ! Attends, je vais régler tout ça.
À nouveau, il s’agenouille devant la soumise, défait la ventouse, repositionne le god et le fixe solidement au sol.
- Ça devrait aller mieux.
La vieille blonde force à nouveau sur ses jambes et se remet debout. Elle a toujours les bras tendus devant elle et l'exercice commence à devenir un peu pénible. Au début, ça allait, maintenant, c'est fatiguant et légèrement douloureux pour les cuisses. Néanmoins, bonne fille, elle fait les dix mouvements demandés. À sa dernière remontée, alors qu'elle est debout et qu'elle laisse ses bras revenir le long du corps, elle regarde son maître, et lui dit dans ton un peu plaintif :
- J’ai fait ce que vous m'avez demandé, maître, mais là, je suis vraiment crevée.
- Je suis content de toi, nous allons passer à la suite du programme. Pour commencer, tu vas te dérouiller les jambes, en marchant sur place. Je te dirai d'arrêter, mais vas-y doucement, prends ton temps, fais comme si tu marchais dans la forêt, pour te promener.
Une fois de plus, la vieille femme obéit et s'imagine se promenant dans un sous-bois odorant, par une jolie matinée de printemps.
Pendant ce temps-là, Maurice a sorti un autre godemichet, plus gros celui-ci et un poil plus long. Il s'adresse alors sa soumise ;
- C'est bien, tu peux arrêter ta promenade et revenir avec moi...
- Oh, c'est dommage, je commençais à bien apprécier cette petite promenade en forêt !
- Nous y retournerons, ne t'inquiète pas. Pour le moment, tu te mets en position, comme pour faire des pompes. Tu vas faire maintenant, des pompes à pipe.
Encore une fois, la femme obéit et obtempère. Elle commence par s’agenouiller, mettre les mains au sol, puis allonger ses jambes derrière elle.
- Ça y est, tu es bien en place ?
- Oui Maître. Mais vous savez, Maître, je ne suis pas très forte en pompe.
- L'important n'est pas de battre un record du monde. L'important, c'est de participer, comme disait ce bon Baron De Coubertin.
Il s'agenouille les jambes écartées, puis vient mettre dans sa bouche le nouveau jouet en latex. Il le règle et le fixe enfin au sol avec la ventouse. S'adressant à sa salope, annonce :
- En avant pour une série de dix pompes.
Une fois de plus, Annie, obéis aux ordres et commence la première pompe. Les pompes ne sont pas douloureuses, cependant, les pompes restent un exercice difficile. Qu'il soit vicieux et pervers ou sportif, ça reste quelque chose de très physique. Surtout quand la femme n'a absolument pas l'habitude de faire ce genre de choses.
Cette fois, c'est le maître qui compte les pompes, jusqu'à dix, puis autorise sa soumise à se reposer un peu.
- Parfait ! Mais avant prendre le petit-déjeuner, je veux te décorer de l'ordre du sport de salope. À genoux devant le lit, le corps allongé.
Pendant que la blonde exécute la manœuvre, lui fouille à nouveau dans sa valise verte. Il sort un rosebud taille XXL qu'il passe dans sa bouche pour lui pour le mouiller. Il vient, d'une main sûre, écarter les fesses un peu molles et introduire de son autre main le jouet au fond du rectum de la femelle.
- Te voilà une salope sportive !
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