La soumission à l’état mûr : La cave du bon docteur

 

De retour, l’homme ne laisse pas le temps à sa soumise de souffler, bien que cette dernière ait tenté de jouer, sur son âge, pour avoir un peu de repos. Il la prend par la main, dès sa descente de voiture, et la guide dans son bureau en lui expliquant :

- J'aimerais que tout le monde puisse savoir que tu m'appartiens.

Elle ne savait pas trop à quoi cela correspondait, mais elle se dit que ça devait être un tatouage ou ce genre de chose, que voulait le maître. Elle ne savait pas si elle était prête à ce genre d'extrémité, même pour cet homme. Aussi, la remarque la perturba bien plus qu'elle ne l'aurait souhaité.

Une fois dans la pièce, le dominateur annonce, à nouveau :

- Pour le moment, et pour que tu restes bien pleine de mon amour, sans avoir trop de fuite, je vais t’équiper d'un anus-picket.

Il se penche et fouille dans un de ses tiroirs du grand bureau noir. L'objet est en fait un plug, mais bien plus gros que les modèles courants. Fait dans une matière autre que le latex, qui lui donne une teinte un peu particulière, tirant sur le brun.

- Viens à côté de moi, montre-moi ton cul et penche-toi en avant.

Sans forcer et tout en douceur, il fait pénétrer le jouet dans l’anus.

- Voilà, comme ça, pas d’inquiétude, tu n’auras plus de fuites. Ce n’est pas trop gênant ?

Elle ne sait pas si elle doit en sourire ou se méfier, mais elle ne bronche pas. Après s’être remise debout, bien droite, Annie fait quelques mouvements de droite à de gauche, et elle finit par avouer :

- Non, ça va, c'est très supportable. Pourquoi ? Il aurait fallu que j'ai mal ?

- Pour devenir une bonne soumise, il est préférable de souffrir, ne penses-tu pas ?

- Non, si je peux éviter, j'aime autant. Je ne suis pas masochiste, pas pour de la douleur pour la douleur !

- Parfait ! Maintenant, tu vas venir t'asseoir à mon bureau, à côté de moi.

Et il lui désigne la chaise sur laquelle elle peut s’asseoir.

- Et là, une fois que tu es assise, ça va mieux ? Pas de souci avec ton anus-picket ?

- Non, ça va très bien, je le sens à peine. Il est plutôt confortable, il serait même mieux qu'un rosebud !

- C'est parfait.

L'homme allume son ordinateur. Il ouvre le logiciel qui permet de visionner les petits films qu'il a faits et commence à montrer le film dans lequel l’on voit Annie se masturber copieusement, seule dans la chambre.

- Tu vois, comme tout bon maître, je suis de près tes activités. Notamment, tes activités quand tu es seule, rien ne m'échappe !

Le reste de l'après-midi se passe à tranquillement entre visionnage de films et réponse à ses courriers. Il voulait finaliser le rendez-vous, du soir même, chez ce bon docteur, avec qui il avait déjà longuement discuté, et qui semblait bien être la personne ad hoc, pour continuer l'éducation d'Annie.

Vingt heures sonne, tout le monde passe à table. Le dîner, plus léger que le repas du midi, se passe tranquillement, on pourrait dire joyeusement d'ailleurs, puis, à la fin, sur le coup de vingt-et-une heures, l’hôte décide :

- Bon, maintenant, on va se mettre en tenue ! Ce soir, je te présente un dominateur, qui possède une cave à la campagne. Tu verras, c'est un lieu magique. Alors, une jupe courte, claire, tes bas blancs avec un porte-jarretelles blanc, si tu l’as amené.

- Non Maître, mais ce sont des bas autofixants.

- Très bien, chemisier clair. Ni soutif si culotte, bien entendu. Ha oui ! Chaussures blanches ou très claires. Exécution…

Il va ensuite se vêtir tout de noir.

Solange, quant à elle, choisit une tenue toute noire, constituée d’un bustier, de bas noirs très épais, d'escarpins noir. Elle passe une jupe longue noire, qui s'ouvre très haut sur le côté. Et termine par un chemisier noir, qui permet, quand on ne ferme pas tous les boutons, de bien voir sa magnifique poitrine.

Un peu avant vingt-deux heures, le trio prend la route. Le trajet dure une bonne heure, puis le véhicule s'arrête, sur une sorte de petit parking, sur l’herbe, devant une entrée de cave, dans le coteau. Au-dessus de la grande porte en bois à double battant, une sorte de Marquise en bois, également, très ouvragé. Là, un homme de grande taille, vêtu de cette sorte de robe gothique, si particulière, que portent souvent les dominateurs, de bottes noires, et d'un grand chapeau noir, appuyé sur une canne, les attend. Dès que Maurice sort de la voiture, alors que Solange est en train de descendre, elle aussi. Et, qu’Annie attend qu'on la libère, car la sécurité enfants est enclenchée, elle ne peut donc pas ouvrir la portière depuis l'intérieur. L'homme leur dit :

- Soyez les bienvenus dans mon antre, l’antre du bon docteur.

Maurice, présente son épouse et retourne à la voiture pour faire descendre sa soumise.

Alors que tout ce petit monde est encore dehors, André, le maître des lieux, remonte la jupe, du bout de sa cane, de la femme mûre, pour vérifier qu'elle ne porte pas de culotte.

- C'est bien, une vraie soumise ne porte jamais de culotte, au mieux un tampon, lors des périodes rouges. Jamais de culotte, même pas pour aller voir le médecin.

La voix de l'homme est très grave, on pourrait dire tonitruante, et Annie en est très impressionnée.

- Tu ouvres ton chemisier, je veux que tu rentres dans le donjon, comme une véritable soumise. De façon que tu sois utilisable par tout le monde.

Bien entendu, la salope grogne un peu. Mais très peu de temps, surtout qu'elle s'aperçoit, que le bon docteur lui fait les gros yeux.

Son charisme étant naturel, il en impose tout de suite à la mamie.

Après une entrée de cave qui est constituée d'un boyau assez large pour y garer une camionnette et dont on ne voit pas le bout, ils prennent immédiatement à droite. Là, ils arrivent dans une pièce aux murs faits de pierres taillées. Le plafond est fait de poutres en bois, pas simplement pour la décoration, mais on sent qu’elles soutiennent un étage au-dessus. Près du grand mur, sous l’écran plat, trône un canapé et un gros fauteuil. Non loin, un carcan, quelques tableaux au mur et un poêle à bois, qui chauffe bien.

Annie ne moufte pas, se tient debout, droite, les yeux grands ouverts, dans l’attente de la suite des évènements. Elle a bien remarqué un beau jeune homme, assez grand et sportif, qui se tient dans l’autre coin de la pièce.

Le bon docteur vient tout de suite lui mettre ses doigts dans la chatte, de manière à voir si elle est déjà humide.

Bien sûr, comme toujours, la vieille mouille beaucoup, comme toute bonne salope, sachant que l'heure de se faire baiser est arrivée.

L'homme commence par lui visiter la chatte de ses doigts experts. Il s’aperçoit que la femelle est pluggée et décide de lui retirer l’anus-picket qu’elle porte. Ensuite, il revient au travail de la chatte, triture là-dedans. Et, visiblement, elle apprécie beaucoup se faire ainsi explorer. Puis, il l’a fait s'asseoir dans un fauteuil, qui est là, et recommence l'opération.

Mais cette fois, la docile mémé a les pattes des deux côtes du siège, sur les accoudoirs.

L’hôte s’agenouille entre ses cuisses et enfonce ses quatre doigts joints et tendus, dans le gouffre féminin chaud, sans aucune difficulté.

Maurice ne peut, bien entendu, pas voir les mouvements des doigts à l’intérieur du vagin. Cependant, il voit la pouffiasse vautrée, qui prend son pied. Il en profite pour faire quelques photos, bien explicites.

Après cela, le bon docteur sort une espèce de petite mallette, dans laquelle il y a une sorte de pompe manuelle et des ustensiles, un peu bizarres. Il en colle sur les tétons de la salope et actionne la pompe. Puis, en installe encore un, sur le clitoris et recommence à pomper. Ensuite, il retire son appareil et le maître fait encore quelques photos.

- Ça va te faire du bien, t’allonger les tétines, mais te les rendre plus sensibles aussi. Idem pour ton bouton d’amour...

En se relevant, ce sacré docteur s’adresse aux quatre messieurs nus qui sont présents.

- Vous pouvez la tripoter, vous faire sucer, mais ne touchez pas aux cloches sous vide.

Et il vient vers Maurice et Solange, les invite à s’asseoir autour d’une table basse dans le sofa, leur sert du pétillant, et commence une discussion au sujet d'Annie. À un moment, il précise sa pensée :

- Il serait judicieux, surtout si tu me dis qu’elle vit loin de chez toi, de lui pose des anneaux sur les petites lèvres, pour que tu puisses lui mettre un cadenas.

- C'est une bonne idée !

- Si tu veux, j’ai tout le matériel nécessaire à la pose.

- D’accord, mais une fois les anneaux posés, elle ne pourra plus servir pendant quelque temps.

- Une semaine environ, le temps que ça cicatrise bien.

- Alors pas ce soir, j’ai d’autres projets, mais demain après-midi, avant qu’elle ne reparte, ça peut se faire.

- Je note le rendez-vous de demain.

Toute la discussion est faite relativement loin des oreilles de la vieille docile. De plus, celle-ci est fort occupée par les quatre hommes, qui se sont approchés d’elle, et la tripote outrageusement, sans toutefois toucher les cloches.

L’hôte se lève et retourne vers elle. Voulant passer à autre chose, il se décide, finalement, à ranger ses cloches. Il ressort sa mallette, et appuie sur une sorte de bouton qui fait entrer de l’air dans la cloche. Ensuite, il la retire. Ça se passe sans douleur pour les deux tétons, mais visiblement, à la grimace qu’affiche la soumise, moins bien pour le clitoris. Après, il déverrouille et ouvre le carcan qui est à côté du fauteuil. Très vite, il relève mamie de son fauteuil et lui place la tête et les poignets dans l’étau de bois, qu'il referme précautionneusement.

Le petit jeune, qui se tenait dans un coin jusqu'à présent, vient, sur ordre du maître des lieux, offrir sa grosse pine à la bouche de la prisonnière.

Elle est heureuse de sucer un bel engin pareil, mais elle doit faire des efforts, car le carcan ne lui laisse pas beaucoup de liberté.

Pendant ce temps, le bon docteur continue à visiter les trous de la vieille pétasse. Il écarte même, avec quatre doigts, l'entrée du vagin.

Ce qui permet, à Maurice, de prendre une photo de l'intérieur de sa salope.

Visiblement, le jeune qui bande bien, est très excité et le maître des lieux lui fait signe, qu'il peut venir baiser la mémé. Lui-même allant se faire sucer, devant le carcan. Mais ça ne dure pas plus de quelques minutes, visiblement, il a un autre programme en tête.

Très vite, Annie a quelques grommellements de plaisir. Et très vite aussi, elle affiche un visage défiguré, à force de jouir.

Le jeune homme semble être un gros cochon. Et plutôt que de jouir dans une capote, dans cette antique chatte, il sort sa pine et retire sa capote. Il revient devant la soumise, pour se faire sucer. Il ne tarde pas à juter et à lui enduire les amygdales. Pendant ce temps-là, le bon médecin feint a entré complètement son poing, dans ce vagin.

Les trois autres types se marrent, mais regardent attentivement la scène. Ils savent que leur tour viendra.

Maurice prend encore quelques photos de la vieille dévergondée, avec son visage violacé.

Clairement, mamie en prend pour son grade.

Docteur sadique, toujours très joueur et propriétaire de plein de gadgets, les plus rigolos les uns, que les autres, demande alors :

- Elle ne porte pas de porte-jarretelles ?

- Si, souvent, mais là, j'ai jugé mieux qu'elle mette des bas à jarretière blancs, qu'on pourra lui retirer, si l'envie nous en prend.

- Alors attends, je vais quand même lui mettre quelque chose, pour éviter que ses bas glissent.

Et, de ses fontes, il sort des élastiques équipées, d'un côté, d'une pince pour aller sur les lèvres, de l’autre, le petit système qui permet d’agrafer les bas sur la jarretelle. Il installe ça sur l’antique roulure.

D’abord, elle ne sent rien, puisque l’homme attache les bas. Mais ensuite, il pince les grandes lèvres, qui finalement, servent de porte-jarretelles !

Le jeune homme a repris de la vigueur. Il revient se faire sucer, parce que, dit-il :

- Elle sait sucer, cette vieille salope !

Annie est toujours avachie sur le fauteuil, suçant, avec un plaisir non feint, cette jeune pine bien raide, mais douce.

L’hôte, à nouveau, aide la belle à se remettre debout, puis la remet dans le carcan. Décidément, elle n’a peut-être pas une tête à chapeau, mais à cou à carcan, assurément ! Une fois qu’elle est installée dans la position la plus inconfortable possible, le vicieux homme interpelle l’assemblée :

Messieurs, elle est à vous ! Pas de sang, et préservatifs pour la salle de jeux et les chiottes.

Cette fois, c'est la curée ! Les trois gars qui attendaient encore, viennent prendre possession de cette jolie plante encore verte. Le corps offert devient terrain de jeux, des mains vicieuses, cruelles, lui triturent les tétons. Effectivement, ceux-ci sont devenus extrêmement sensibles.

L’hôte revient vers ses invités, qui ne perdent pas une miette du spectacle offert.

La vieille est baisée, enculée, elle a en permanence une queue en bouche, ce qui lui procure un mal aux cervicales peu commun. Elle voudrait crier, mais ne peut pas, n’en a pas la force, et de toute façon, la bouche ainsi occupée l’en empêche.

Les hommes ne lui laissent aucun répit, c'est claques sur le cul, sur les mamelles, pincement de la peau. Doigts dans le cul, quand il est enfin disponible, invasions de sa chatte, quand elle est inoccupée, pichenettes sur le clitoris ou sur les tétons, quand ce n’est pas un étirement à outrance.

Bientôt, elle pleure sans bruit, et le pire, c'est qu’elle ne saurait dire si c'est de douleur ou de bonheur ! Certes, elle a de nombreux orgasmes, mais aussi de violentes douleurs. Lesquelles de ces sensations prendront le dessus ? Là est bien la question, comme dirait un célèbre auteur. Elle a l’impression de n’être plus qu’une chose. Une sorte de poupée gonflable améliorée. Un vulgaire jouet sans féminité, sans humanité. Et pourtant, elle, parfois si féministe, trouve comme un réconfort à cette situation. Plus rien à gérer, à étudier, plus de questions à se poser, subir, juste subir, et jouir !

Lorsque les trois types commencent à donner des signes de fatigue, c'est au tour du jeune homme de revenir dans la danse. Il se place derrière la femme mûre, lui écarte les fesses à deux mains, crache sur l’œil de bronze et, d’une ondulation du bassin presque reptilienne, lui enfouit son gros sexe raide dans l’anus.

Cette fois, la belle pousse un cri qui transperce l’air et résonne dans l’antre du bon docteur. Mais le jeune mâle en rut n’en a cure, et il se fait plaisir à limer outrageusement ce cul.

Veuillez m’excuser mes amis, mais si je ne fais pas taire cette furie, elle va nous crever les tympans !

Le toubib d’opérette se lève d’un bond, vient coller son sexe dans la bouche d'Annie en forçant le passage des lèvres, car cette dernière tente de se rebeller.

Finalement, elle suce avec frénésies, de même intensité que la sodomie sauvage qu’elle subit. Et, quand elle sent le jeune lui cramponner les hanches plus fortement encore, elle sent aussi le sperme de l’homme qui empoisse le fond de sa gorge. Deux hommes, plutôt mignons, jouissent en elle, c'est une sensation incroyable. Elle a alors, un orgasme explosif qui lui fait disjoncter les neurones. Elle tombe dans une sorte de coma, c'est la petite mort ! Elle a les yeux révulsés et ses muscles totalement inertes.

Le bon docteur, encore haletant, défait le carcan et relâche la pauvre femme. Il annonce alors :

- Rien ne me donne plus satisfaction, qu’une salope qui tente de résister, à ma pine.

La vieille femelle tombe mollement sur les genoux et s’avachit. Son buste se balance très légèrement d’avant en arrière, tandis qu’elle n’a pas encore repris conscience.

Maurice vient voir de plus près, dans quel état se trouve sa soumise. Très vite, il comprend qu’elle a eu un très gros orgasme, le clou de sa jouissance, et il est persuadé qu’elle n’a jamais vécu ça auparavant. Aussi, il s’accroupit à ses côtés, mais ne la touche pas.

Il faut pratiquement un quart d’heure pour que les mouvements oculaires désordonnés, derrière les paupières closes, cessent. Enfin, la femme mûre, au visage ravagé, ouvre les yeux.

- Ça va ?

- Oui… Je crois… Oui…

Solange se lève alors et vient s’accroupir à son tour et passer son bras autour du cou.

- Une grande découverte, dirait-on, non ?

- Oui… Oui, je crois bien… Oui !

Le maître des lieux prend ainsi la femelle sous les aisselles et la guide pour l’installer dans le fauteuil. Il prend ses jambes et les passent chacune au-dessus d’un accoudoir, puis retire les pinces qui emprisonnent toujours les lèvres. Ensuite, il détache les bas. Et termine en s’emparant de l’anus-picket au sol, pour le replacer dans l’anus béant.

Alors qu’elle se laisse totalement faire, le jouet ressort de son cul, sans qu’elle n’en ait commandé l’expulsion.

- Là, il ne faut plus compter qu’elle garde quoi que ce soit, dans son cul, pour ce soir !

Après ces bonnes paroles, il retourne vers ses invités en laissant la pauvre soumise se remettre doucement de ses très grosses émotions.

Mais bientôt, c'est la fin de soirée, tout le monde s’apprête à partir. Maurice aide sa soumise à marcher jusqu’à la voiture, nue. Solange a récupéré les effets personnels.

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