La soumission à l’état mûr : Départ pour la grotte aux fées
Bien entendu, l'homme a pu détailler la tenue, grâce à sa webcam. Et il décide de jouer un tour, à sa façon, à la pauvre femme. Aussi, restant dans son bureau, en entendant la porte s’ouvrir, il interpelle celle-ci, et lui ordonne :
- Tu ne bouges pas, tu restes où tu es, tu te concentres sur sa tenue, je vais lire dans tes pensées.
Mais quel est donc ce nouveau jeu ? Vraiment son maître est bizarre, le voilà qui se prend pour un mage ! Mais elle obéit et reste assez loin du bureau, d’où provient la voix.
- Alors, tu as des bas sombres, je dirai noirs, tu n'as pas de culotte. Tu portes une jupe plissée noire, un chemisier rose fuchsia, pas de soutien-gorge non plus d'ailleurs. Et tu es chaussée de mule à pompon. Est-ce bien exact ?
- Oui Maître, tout à fait. Mais comment avez-vous fait ce tour-là ?
- Ce n'est pas un tour, c'est la magie de la relation BDSM. Je pense très fort à toi et toi aussi. Il y a une sorte de fusion cosmique, qui rapproche nos deux âmes. Mais à priori, toi, tu ne sais pas encore gérer cette fusion.
Solange, qui a tout entendu depuis la cuisine, se marre intérieurement. Connaissant bien son curieux époux et sa façon de faire avec les soumises. Elle apostrophe alors la blonde, lui demande de venir à côté d'elle dans la cuisine. Elle lève la jupette et constate qu'effectivement, il n'y a pas de culotte. Puis, ouvre quelques boutons du chemisier, de manière que les seins de la femme soient apparents, sans pour autant que la tenue n'en soit débraillée ou semble l’être. Attrape le menton et vient lui déposer un chaste baiser sur les lèvres. Ensuite une petite claque sur le cul et elle lui intime :
- Va t'asseoir dans le canapé, dans le salon, nous allons prendre l'apéritif.
L'apéritif se passe tranquillement, le maître se lève et fonce dans la chambre. Il revient quelques instants plus tard, avec son rosebud, le plus gros qu'il possède. Il se plante devant sa soumise et lui glisse entre les lèvres pour le mouiller et finit par lui laisser dans la bouche. Ensuite, il lui impose :
- Allez, debout, penchée en avant, mains sur les chevilles.
La belle mamie ne se fait aucune illusion, quant à la suite des événements. Elle se met debout, se place au milieu du salon, se penche en avant, les jambes écartées, ses mains attrapant ses chevilles.
L'homme vient de récupérer le sextoy dans la bouche et lui annonce tout de go.
- J'espère que tu l'as bien sucé. Tu n'auras pas d'autres lubrifiant !
Il se déplace vers son cul, de deux doigts, lui écarte les fesses, et lui introduit le jouet sans ménagement.
- Aïe ! s’écrit la femme mûre.
- La prochaine fois, je t'introduirai le sextoy, sans que tu le suces. Jusqu'à ce que je puisse te mettre n’importe quoi dans le cul, sans que tu te plaignes.
Le reste de l’apéritif se passe tranquillement. Toutefois, Annie se doit de rester debout. L'accord des mets et des vins est parfait, Solange étant aussi un cordon bleu. Au moment du café, le maître explique l'après-midi qu'il a prévu :
- Nous allons visiter la grotte aux fées, j'espère que les visites historiques te plaisent. Aimes-tu les histoires de fées ?
- Oui Maître beaucoup, j'aime beaucoup tous ces comptes.
- Bien, et sais-tu qui est déjà fait la plus gentille des fées ?
- Ce serait la fée Clochette ?
- Perdu c'est la fée… Lation !
Forcément, il ne fallait pas s'attendre à une autre, de la part du dominateur. À peine une demi-heure plus tard, le petit groupe de trois arrive à cette fameuse grotte aux fées. Il y a un petit parking en falun, à une cinquantaine de mètres, du dolmen. Car en fait, cette fameuse grotte aux fées, n'est jamais qu'un dolmen, qui a dû être très grand, de l'ordre de douze ou quinze mètres de long. Mais, dont une partie s'est effondrée, la pierre du toit ayant cassé, certainement sous l'action de l'eau, du gel et du vent. Quand les trois personnes sont sous la grosse pierre, dans le dolmen, Annie s’aperçoit que la maîtresse porte un petit caméscope. Le maître commence sa diatribe par une sorte de cours sur la préhistoire. Puis, très vite, il se rapproche de la soumise, la toise du regard, et lui commande :
- Accroupie, tu vas être décorée de l'ordre de la fée... lation !
- L'ordre de la fellation ! Je suis bien fière d'avoir une telle distinction, dit en riant Annie.
Et, alors que la vieille femelle s’accroupit, pour être en place, la maîtresse règle le caméscope, pour filmer.
Le maître déboutonne sa baguette, baisse à moitié son pantalon, sous lequel il ne porte ni slip, ni caleçon, et amène sa queue, encore mole, à la bouche de la docile femme.
En même temps qu'elle a le membre viril en bouche, bien qu’il ne soit pas encore développé, elle pense : « me voici en train de sucer une bite dehors, sous un dolmen, comme une vraie putain. Vraiment cet homme est un démon ! De là à ce que je sois obligée de me faire exorciser, il n’y a pas loin. Et jusqu'où ira-t-il, pour me démontrer que je suis une très grosse salope ? Je me le demande bien ! Je comprends, que je ne me connais pas moi-même ! ».
Comprenant que la blonde se perd conjecture, l'homme s'adresse à elle, d'une voix un peu rauque, et lui dit :
- Gamberge un peu moins et suce un peu plus ! Les salopes comme toi, ne sont pas là pour écrire des livres, mais pour sucer des bites...
La vieille femme se met alors à pratiquer une fellation digne d’une reine du porno. Passant sa langue tout autour du gland, qu'elle a en bouche, et pressant doucement le reste du membre, qui est encore à l'extérieur.
Elle ne tarde pas à faire gonfler le vit, qui prend un bien bel aspect.
- Oui, c'est bien, tu suces bien.
Puis, se tournant vers son épouse, il s'adresse à elle et demande :
- Et toi, tu filmes bien tout ? Tu ne perds rien, j'espère ?
- Non, mon chéri, rassure-toi sur l’immortalisé de l’instant, comme tu aimes tant à le dire, habituellement.
Alors que la femme mûre suce son maître avec amour, ce dernier entend un véhicule arrivant sur le parking, au crissement des pneus sur le Falun. Il se tourne vers son épouse et lui demande gentiment :
- Tu pourrais ouvrir ton chemisier, qu'on puisse admirer tes magnifiques seins, s'il te plaît chérie ?
La dominante sait très bien pourquoi son mari lui demande une telle chose. Elle comprend que ça va attirer le ou les curieux, et rebuter les femmes de ceci, s’ils sont accompagnés. Toutefois, l'endroit est assez peu fréquenté par des femmes. Allez savoir pourquoi…
Le nouvel arrivant avance jusqu'au dolmen, quand il s'aperçoit qu’il se passe quelque chose d'inhabituel. Il voit bien une femme en train de filmer quelque chose, mais ne distingue pas encore, de quoi il s’agit. Cela dit, il semble que la camérawoman soit assez débrayée, ce qu'il attise énormément sa curiosité. Il continue de s'approcher à pas de loup, faisant tout pour éviter de faire le moindre bruit et casser ainsi la magie de l'instant.
Le maître encourage sa soumise en lui disant encore :
- C'est bien ma salope, tu es vraiment la reine de la pipe ! S'il y avait un diplôme, tu l'aurais avec mention très bien.
C'est à ce moment-là que l'homme, ayant fait un léger détour sur le côté, aperçoit une dame. Elle a les mamelles à l’air, est en train de filmer un homme qui se fait sucer par une autre femme. Visiblement, un peu plus âgée. Le maître lève les yeux vers le visiteur et lui dit :
- Approchez, n'ayez pas peur. Ma salope est en manque de bite et elle adore sucer. Si vous voulez en profiter, c'est le moment ou jamais !
Annie, tout en continuant à sucer son amant, pour le moment, fait une drôle de grimace, mais qui ne dit rien, consent.
Visiblement, l'homme ne sait que faire. Aussi l'épouse, tout aussi perverse, se tourne-t-elle vers lui et lui propose :
- Oui, ne vous gênez surtout pas, avec notre salope, elle est là pour ça ! Pour tailler des pipes à tout le monde.
Finalement, le visiteur s’approche en défaisant sa braguette. Puis, il sort un sexe encore petit et mou.
Le maître se pousse sur le côté, et, d'un geste auguste, offre sa place.
Dès qu'elle a le nouveau vit en face de son visage, Annie, s’empresse d'enfourner le membre et de l’avaler jusqu'aux couilles. Elle garde cette pine, qui a une très légère odeur d’urine, au chaud, pour qu’elle commence à se développer dans sa bouche. Elle en profite pour passer sa langue sur les couilles lisse à sa portée. Elle se dit qu’elle est en train de devenir une autre personne. Une vulgaire salope, qui bouffe toutes les queues qui se présentent. Ces idées la travaillent. Elle ne sait pas si tout ça correspond à des envies profondes, trop longtemps réprimées. Ou si c'est-cette honte sourde qui l’excite et finit par amplifier ses orgasmes. Quelque part, elle est heureuse de réussir à se dépasser, mais elle se demande si elle y est pour quelque chose ou si ce n’est que par la volonté de ce diable d’homme. D’un coup, une envie de rire l’étreint, en pesant à son ex-mari, ce salopard, qui lui faisait croire qu’elle était frigide. Et là, une envie terrible de jouir arrive, et elle projette sa main libre pour se tripoter le clitoris.
Le type, le regard plus étonné qu’autre chose, s'adressant à l'homme qui vient de lui prêter sa copine, demande benoîtement :
- Oui, vraiment, elle suce merveilleusement. C'est une pro ?
- Non, disons, tout au plus une amatrice très éclairée. Cela dit, tu as raison de poser la question, je pense qu'il se serait souhaitable, d'en faire une professionnelle.
Mais, c'est de moi que parlent ces deux salauds ! Se dit alors Annie, tout en continuant à prodiguer sa fellation avec dextérité et douceur.
Le nouvel arrivant ne tarde pas à avoir une bien belle érection. Il se penche légèrement en avant, de manière à pouvoir venir tripoter les mamelles de la vieille.
Charmant lieu, excitante situation, sucer sous un dolmen, qui date au moins du néolithique ! Voilà bien une conjoncture qui lui était inconnue. Son maître, qu'elle aime tant, qui la prête à un inconnu, qui bande pour elle, la rend folle. Jamais, elle n'avait pensé pouvoir faire autant d'effet à un homme, c'est très nouveau, c'est une découverte.
Et que penser de ce nouveau besoin de plaisir avec d’autre ? Elle, qui n’a jamais passé ses plaisirs que par la masturbation, tant elle avait peu confiance en elle. Là, elle découvre qu’elle a le plaisir de prodiguer du plaisir à autrui ! Que ce soit contrainte, prostituée ou de sa propre volonté, elle aime faire jouir ! Mais c'est tout de même dommage, que cela n’arrive, que pour ses soixante printemps ! Mieux vaut tard que jamais.
Le visiteur commence à donner des signes de sa jouissance prochaine, avec une respiration forte. Puis, avec un léger tremblement des jambes. Et enfin, un grand tremblement de tout son corps. À ce moment, il attrape la tête de la vieille femme, la sert et la colle contre son pubis. Il éjacule en longs jets chauds.
Une fois de plus, aujourd’hui, elle vient de se faire empoisser les amygdales, par du sirop de couilles. Le léger goût de noisette, qui reste en bouche, lui plaît de plus en plus. Et puis, de devenir la reine des salopes, voire peut-être même une putain, l’idée l’excite terriblement maintenant.
L’homme ressort sa pine de la bouche chaude, qui lui a servi de déversoir, a un petit sourire et se tourne vers le maître.
- Merci bien !
- Il n’y a pas de quoi, quand on peut rendre service…
Le type a, cette fois, un franc sourire et un petit rire. Il jette encore un coup d’œil sur la poitrine de Solange, et finit par tourner les talons et s’en aller.
Maurice se replace devant le visage de sa soumise, son sexe tendu vers cette bouche suave, et il annonce :
- J’adore qu’une pute sente le foutre… Alors suce-moi avec la gueule pleine du foutre, de ton client précédent.
Ces mots font mouiller abondement la vieille femme, qui s’empresse de reprendre une pipe digne de ce nom. Une main sur le vit dressé et une autre sur sa moule dégoulinante.
Le dominateur analyse le manque de réponse de la mamie et son comportement. Il se rend compte de l’emprise qu’il a. Et, très perversement, veut en profiter, pour aller bien plus loin. Toutefois, il n’y a pas autant de visiteur de l’endroit, qu’il l’espérait. Mais, il tient à faire de bonnes vidéos, pour son site préféré. Il s’adresse alors à son épouse :
- Et une bonne langue de salope sur la chatte, pendant que tu filmes, ça te plairait ?
- Oui ! Bonne idée…
Il prend ainsi le menton de sa suceuse en main, se recule pour ressortir sa pine de l’antre chaude et pourtant si accueillante, et lui indique :
Tu as compris, Annie ? Tu as l'immense honneur et l'avantage, d'avoir le droit de lécher ta maîtresse. Elle est pas belle la vie ?
Sur ce, Solange vient s'asseoir sur une grosse pierre, elle écarte les cuisses, relève sa robe, pour mettre sa chatte à l'air. Cette dernière, décorée par le porte-jarretelles, qui tend les lanières brodées de part et d'autre.
Annie se penche en avant, pour venir lécher cette chatte, qu’elle aime tant. Elle veut s'accroupir, pour être plus à son aise.
Là, le maître lui ordonne tout de suite :
- Pas question, tu restes penchée en avant. Moi, j'ai besoin de ton cul !
Aussi, elle obéit, comme toujours, avec douceur, mais sans arrêter de s'occuper de cette vulve odorante.
Maurice passe derrière sa soumise, défait les boutons de braguette et laisse glisser son jean jusqu’au niveau des genoux. Et là, avec sa belle érection, il sodomise directement la jolie mamie.
L'endroit est étonnant et l'activité totalement incongrue. Ça ajoutait encore au plaisir qu'a Annie, d'avoir à s'occuper de son maître et de sa maîtresse, en même temps. C'est assez nouveau toutefois, il y met tout son cœur.
Solange ne perd pas une miette du spectacle et continue à filmer. passant du corps de son amant, en train de s'activer derrière la femme, à des plans bien plus rapprochés, d'une langue qui lui travaille le clitoris. Puis, elle interpelle sa soumise :
- Je veux ta langue DANS ma chatte, pas SUR ma chatte.
La blonde fait tous les efforts possibles et imaginables, pour répondre à cette attente. Elle réussit à entrer, pas très loin, mais rentrer tout de même, sa langue dans cette grotte féminine, chaude à souhait.
Le spectacle de sa soumise devenant gouine léchant sa propre épouse, qu’il savait bisexuelle, amplifie encore son excitation. Bientôt il, commence à grogner puis cramponne fermement les hanches de la pauvre femme, qui se fait maintenant bourriner de façon intense, et qui a, d’ailleurs, bien du mal à continuer à lécher sa maîtresse. Et, quand il agrippe les hanches très vigoureusement, en accélérant incroyablement son mouvement de va-et-vient, il finit par se planter dans ce cul. Dans un dernier grognement d'ours mal léché, à qui on a volé son pot de miel, il gueule :
- Putain que tu es bonne ! vieille salope.
Là, il lâche les ballons et jute au fond du rectum.
Annie est excitée au possible également. Elle aime cette sodomie, elle aime cette semence, la semence de son amant et maître. Elle aime cet homme, elle aime cette femme, mais en plus, personne ne lui a jamais dit qu'elle était "bonne". Son ex-mari, certainement pas, mais même ses amants de passage n'avaient jamais été aussi explicites.
Haletante, elle a encore un orgasme terrible qui lui fait osciller les jambes. Elle s’agrippe au bassin de sa maîtresse et retire sa langue, pour respirer bruyamment par la bouche, cherchant l'oxygène.
La belle Solange n'est pas loin d’avoir, à son tour, un orgasme, mais elle reste concentrée sur le film qu'elle est en train de tourner. Elle veut impérativement faire tout son possible pour que l'action rende le mieux du monde.
Le maître, avec les jambes coupées et le souffle cours, est prêt à donner le top départ pour rentrer. Pas de visiteurs du site aujourd’hui, semble-t-il, donc risque d’une attente pour rien. Comme il a d’autres projets, et même si ça chamboule un peu ses prévisions, il sonne la fin des jeux et le retour au bercail. Il remonte à son pantalon et referme les boutons de sa braguette. Puis, il annonce :
- Bien les filles, j'espère que cette petite visite vous a plu ?
Après, que sa lécheuse se soit remise debout, Solange manœuvre l'interrupteur pour arrêter d'enregistrer et éteint totalement le caméscope. Se relevant, elle réajuste sa tenue pour avoir une apparence plus conventionnelle.
Annie, dans un élan incroyable, se permet une chose qu'elle ne pensait pas possible. Elle se jette au cou de son maître et lui roule une grosse pelle, puis lui avoue :
- Je t'aime !
L’épouse, voyant la scène et sans jalousie, aucune, regarde le couple et demande :
- Et alors et moi ! tu ne m'aimes pas ?
Comprenant qu'elle avait peut-être fait une faute, et qu’effectivement, il valait mieux ne pas mettre sa maîtresse en colère. La vieille se détacha de son amant, saute au cou de son amante et l'embrasse, elle aussi, en lui roulant une pelle magistrale. Puis, à la fin du baiser, alors qu’elle se recule quelque peu, elle lui a fait savoir :
- Toi aussi, je t'aime ! Merci.
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